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Le Petit Monde de Pablo L'info des élèves du collège Pablo
Neruda de Brétigny-sur-Orge par Fabienne, Julie et Léopold.
Sommaire p.1 : Les tsunamis / L’énergie nucléaire p.2-3 :
Révoltes dans le monde arabe p.4 : A la découverte des instruments
Critique littéraire p.5 : A la découverte d’un métier BD
Les Tsunamis
Qu’est-ce qu’un tsunami ?
Un tsunami est une onde océanique ou marine provoquée par le
mouvement rapide d'un grand volume d'eau (océan ou mer) dont la
cause est un tremblement de terre ou d'une éruption volcanique. Il
est associé à la naissance et au déploiement d'une immense vague
qui se mettra à tout détruire sur son passage au contact des
rivages terrestres. Bien que les tsunamis puissent atteindre une
vitesse de 800 km/h quand le fond de l'océan est profond, ils sont
imperceptibles au large, car leur amplitude y dépasse rarement le
mètre pour une période (temps entre deux vagues successives) de
plusieurs minutes à plusieurs heures. Ils peuvent toutefois
provoquer d'énormes dégâts sur les côtes.
Création et propagation
Un tsunami peut se créer de différentes manières :
A cause d’une faille : les plaques tectoniques, gigantesques
plaques de terre formant nos continents, se frôlent et
s’entrechoquent aux littoraux, ce qui peut créer à ces endroits-là
des failles très profondes qui provoquent un appel d’air entraînant
un mouvement marin très important.
A cause d’une éruption volcanique : un volcan entrant en
éruption crée une onde de choc phénoménale, qui, trop proche du
rivage, peut provoquer la poussée d’une importante masse d’eau, et
par conséquent, un tsunami.
A cause d’une météorite : un corps céleste réussissant à
traverser les différentes couches de l’atmosphère tomberait plus
probablement dans l’eau que sur la Terre, vu que celle-ci est
majoritairement recouverte par les mers et océans. Un météore,
ayant gardé une masse importante après l’entrée dans l’atmosphère,
provoquerait un tel déplacement d’eau (se référer à la poussée
d’Archimède) qu’un tsunami titanesque ravagerait les côtes
terrestres.
L’énergie nucléaire Qu’est-ce que l’énergie nucléaire ?
L’énergie nucléaire provient de transformations d’atomes d’uranium
qui produisent alors de la chaleur et font s’évaporer de l’eau.
Cette vapeur va faire tourner des turbines qui alimenteront un
alternateur (composant d’une centrale électrique qui transforme
l’énergie mécanique en électricité) et créera de l’électricité, qui
filera juste après dans nos maisons, pour faire fonctionner nos
bien-aimés ordinateurs, consoles de jeux ou mixer… Risques… Mais
transformer des atomes d’uranium en électricité ne risque- t-il pas
d’avoir des effets secondaires ? Oui, le risque reste présent :
lors d’une fission (séparation) ou d’une fusion (unification)
d’atomes radioactifs, les composants risquent de devenir instables
s’ils ne sont pas correctement maîtrisés et d’exploser, ravageant
tout sur le passage des atomes fous, transformant la Terre entière
en désert radioactif (bon, là j’exagère un peu, toute la Terre ne
sera pas détruite, rassurez-vous !)
Mais les dégâts les plus importants ne sont pas, après une
explosion atomique, ceux du court terme, mais ceux du long terme :
dans les années qui suivent l’explosion, des dégâts s’opèrent sur
les populations : cancer (tumeurs, lymphomes…), maladies de
naissances (absence de membres ou de capacité cognitives).
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RÉVOLTES DANS LE MONDE ARABE
Voici un aperçu des évènements qui se sont déroulés dans le
monde arabe depuis la mi-décembre jusqu’à la fin du mois d’avril.
Ce « récapitulatif » n’est pas exhaustif et l’information continue
en permanence. À vous de suivre l’actualité !
17 décembre 2010, Tunisie
A Sidi Bouzid, Mohamed Bouazizi, un jeune marchand ambulant
chômeur, dont l’étal a été confisqué, s’immole par le feu. Des
commerçants et des jeunes, dénonçant le manque de travail, se
rassemblent aussitôt pour manifester.
19 décembre, Tunisie Le mouvement prend de l’ampleur à Sidi
Bouzid, la police fait usage de gaz lacrymogène contre les
protestataires.
27 décembre, Tunisie Les manifestations gagnent Tunis, un
millier de jeunes diplômés au chômage sont dispersés par la
police.
4 janvier 2011, Tunisie, Algérie Mort de Mohamed Bouazizi. Des
émeutes éclatent à Alger et à Oran (Algérie), rapidement
réprimées.
Les troubles en Tunisie se poursuivent. Au 11 janvier, on
déplore plus de 20 morts par balles.
14 janvier, Tunisie Une manifestation est organisée à Tunis pour
réclamer le départ immédiat de Zine El-Abidine Ben Ali. Dans
l’après-midi, le 1er ministre tunisien annonce que le président est
temporairement dans l’incapacité d’exercer ses fonctions.
13 février, Egypte Après 18 jours de manifestations, le
président égyptien Hosni Moubarak quitte le pouvoir. Des centaines
de milliers de citoyens avaient réclamé dans les rues son éviction
immédiate.
Libye, Bahreïn, Yémen, Jordanie, Irak Les manifestations se
multiplient pour revendiquer justice et libertés. On compte 2 à 6
morts dans chaque pays.
22 février, Libye On déplore des centaines de morts. Plus de 30
000 personnes ont déjà fui.
26 février, Libye Benghazi, la 2ème ville du pays, est libérée
du contrôle du colonel Mouammar Kadhafi. Les forces loyales de ce
dernier contrôlent encore la région de Tripoli.
Fin février/début mars, Moyen-Orient et Maghreb Contestations et
violence se poursuivent en Irak, au Yémen et au Bahreïn, avec des
morts et des blessés, ainsi que des dizaines de milliers de
manifestants au Bahreïn. Émeutes au Maroc, à Oman (morts), en
Arabie Saoudite et en Algérie. Démission du 1er ministre tunisien,
entraînant celle de plusieurs ministres. Les combats se poursuivent
en Libye entre les insurgés et les forces loyales de Kadhafi.
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4 mars, Egypte L’ancien gouvernement démissionne. Un nouveau 1er
ministre, ayant participé à des manifestations, est nommé et
s’engage à satisfaire les demandes populaires pour un changement
démocratique.
6 mars, Bahreïn Des milliers de manifestants exigent la
démission du 1er ministre.
7 mars, Tunisie Un nouveau gouvernement prend ses fonctions.
C’est le 3ème depuis le départ de Ben Ali.
9 mars, Maroc et Yémen Mohammed VI annonce d’importantes
réformes, tout comme le président yéménite Saleh le 10 mars.
11 mars, Belgique et Yémen Les dirigeants européens se
retrouvent à Bruxelles pour une réunion de crise sur la Libye. Les
avis divergent sur la reconnaissance de l’opposition au régime
Kadhafi et sur l’option militaire. Ils appellent finalement le
colonel à démissionner et décident de ne pas intervenir
militairement dans l’immédiat. Des manifestations massives sont
organisées au Yémen malgré les concessions du président.
Mi-mars, Libye, Maroc, Oman, Bahreïn, Algérie, Syrie, Gaza Les
forces de Kadhafi continuent de reconquérir l’est du pays. À
Casablanca (Maroc), des manifestants réclament des réformes. À
Oman, après des semaines de manifestations, le sultan Al-Saïd
décide de donner des pouvoirs législatifs à l’assemblée
consultative. À Bahreïn, des « alliés » du gouvernement (Arabie
saoudite…) ont déployé leurs forces. Les opposants crient à «
l’occupation étrangère ». Des étudiants algériens ont organisé un
sit-in devant la présidence pour réclamer une « réforme profonde ».
À Damas (Syrie), plusieurs dizaines de personnes ont manifesté en
faveur des libertés avant d’être dispersées par les forces de
l’ordre. À Gaza, des dizaines de milliers de manifestants se sont
rassemblés pour réclamer la « fin des divisions »
interpalestiniennes.
17 mars, Libye Les Nations Unies autorisent le recours de la
force contre l’armée de Kadhafi.
19 mars, Libye Premières frappes aériennes contre les forces de
Kadhafi.
20 mars, Yémen Limogeage (exclusion) d’une partie du
gouvernement.
23 mars, Libye, Yémen et Algérie Poursuite des raids aériens de
la coalition contre Kadhafi. L’UE et l’OTAN sont divisées. Au
Yémen, des chefs de l’armée et des hauts diplomates se rallient à
la contestation contre le président Saleh. Violentes émeutes en
Algérie.
24 mars, Syrie Annonce de réformes par le gouvernement alors que
les manifestations massives et meurtrières continuent.
22 avril, Tunisie, Yémen, Syrie, Libye En Tunisie, prochaine
étape démocratique : annonce de l’élection d’une assemblée
constituante le 24 juillet. Au Yémen, pénurie de gaz : le pays est
désorganisé. En Syrie : la mobilisation contre le régime ne faiblit
pas. A propos de la Lybie, une question se pose : va-t-on envoyer
des troupes alliées au sol ? A Misrata, ville au Nord-Ouest, la
situation humanitaire s’aggrave.
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Ah ! Le Ukulélé ! L’un des instruments à cordes les plus simples
à débuter, et tellement oublié par la communauté musicale.
L’origine du Ukulélé remonte à 1879, à Hawaï. Il a été introduit
dans l’île par des luthiers portugais. Il n’a jamais (ou presque)
connu de modifications, mais a eu de nombreuses variantes (souvent
ce sont des hybrides entre d’autres instruments à cordes et du
ukulélé, comme le banjolélé ou le guitalélé) et plusieurs tailles
(du plus petit au plus grand : soprano, concert, ténor et baryton).
Le ukulélé s’accorde généralement en Sol : c’est à dire que ses
quatre cordes (il a en effet 4 cordes, comme la basse) doivent
faire le son Sol, Do, Mi ou La. Cet accordage spécial rend les
accords (ensemble de cordes frottées en même temps) très faciles à
jouer (bien que certains demandent à vos doigts une extrême
agilité, qui ne peut s’acquérir qu’avec une pratique plus ou moins
quotidienne). Beaucoup d’acteurs et musiciens célèbres (tels
Marilyn Monroe ou Elvis Presley) sont des adeptes du petit
instrument, mais le joueur le plus célèbre est sans aucun doute
Israel Kamakawiwole (ou “IZ “, mort en 1997, à cause de son
important surpoids) dont la chanson «Over The Rainbow » a fait le
tour du Monde grâce à Internet.
Le Pikasso est un instrument à cordes s’apparentant à une
guitare. Il possède 4 manches, 2 rosaces et 42 cordes. Il pèse 6,7
kg. Il possède un système d’amplification assez sophistiqué avec
des microphones « piézo-électriques ». Le Pikasso est construit en
bois de rose indien, en épicéa allemand, en ébène, en orme et en
buis. Il a été créé dans les années 80 par la luthière canadienne
Linda Manzer pour le guitariste Pat Metheny qui voulait un
instrument avec le plus de cordes possibles. Sa construction a duré
2 ans. Son nom est apparemment tiré de sa ressemblance, en
apparence, aux œuvres cubistes de Pablo Picasso.
http://www.youtube.com/watch?v=Wp1wHZfZz9s Liens utiles :
Tablatures de ukulélé : http://www.ukulele-tabs.com/fr/Over the
Rainbow : http://www.youtube.com/watch?v=V1bFr2SWP1IBlog pour les
débutants : http://ukulele4ever.skyrock.com/
« Je n’aime pas parler de moi. Je ne veux pas tomber dans la
caricature. Et puis dans l’orgueil … Je trouve bien orgueilleux de
raconter ma vie tout en sachant qu’on va me lire. J’ai peur de me
travestir. Les autres comprendront-ils qui je suis vraiment ? »
Voilà les premiers phrases de l’autobiographie Petite marchande
d’allumettes à Kaboul de Diana Mohamadi. Ce livre raconte la vie de
Diana, une jeune Afghane « ordinaire » de 13 ans qui vit dans une
famille de quatorze enfants. Elle rêve de devenir médecin mais doit
se contenter pour l’instant de vendre des allumettes à Chicken
Street où elle a déjà perdu son amie lors d’un bombardement... Ce
livre plein de surprise, vous plonge au plein cœur de
l’Afghanistan, au-delà des clichés sur la burqa, les talibans, la
drogue…
http://www.youtube.com/watch?v=Wp1wHZfZz9shttp://www.ukulele-tabs.com/fr/http://www.youtube.com/watch?v=V1bFr2SWP1Ihttp://ukulele4ever.skyrock.com/
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L’ébéniste
’ébéniste peut fabriquer restaurer et copier des meubles en
bois. Il définit le modèle et l’ornementation selon le choix du
client, fait les plans, définit des dimensions et choisit le
ou les bois qui seront utilisés. Ensuite, l’ébéniste réalise le
meuble.
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Le Petit Monde de Pablo 2011 page 1.pdfLe Petit Monde de Pablo
2011 pages 2 et 3.pdfLe Petit Monde de Pablo 2011 page 4.pdfLe
Petit Monde de Pablo page 5.pdf
