3

Click here to load reader

Le Plaisir de Sucer Pour Lui

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Une épouse soumise suce un étranger pour le plaisir de son mari.

Citation preview

Page 1: Le Plaisir de Sucer Pour Lui

1

Le Plaisir de Sucer pour Lui Bonjour à toutes et à tous, je pourrais avoir honte de ce qui va suivre, mais ça m’excite tellement de vous le raconter, que j’en n’oublie toute ma pudeur.

Moi c’est Anissa, j’ai vingt-neuf ans, je suis brune avec une jolie cambrure de reins, de très jolies seins aux larges aréoles brunes. Je précise que je suis mariée avec Karim dont je suis très éprise, et auquel je ne peux rien refuser surtout quand il s’agit de sexe.

Il faut dire que dans le domaine du sexe, mon époux m’a tout appris. Mes parents et le reste de ma famille étaient des gens très stricts et également très croyants. J’ai éduquée à porter le voile et à faire mes cinq prières quotidiennes. Nous ne parlions jamais de sexe à la maison, et mes frères plus grands que moi avaient pour charge de me surveiller constamment.

À dix-huit ans, j’ai fait la connaissance de Karim, le grand frère d’une de mes camarades de classe, le coup de foudre fut immédiat et quelques mois plus tard à mon grand soulagement il m’épousa.

J’étais ravie de me soustraire à cette famille étouffante, et surtout de rattraper le temps perdu en matière de sexualité. Notre mariage a été idyllique et il l’est encore, sauf que depuis un an, mon mari qui disait que la routine s’installait trop dans notre vie, m’impose une sexualité assez débridée.

Il me force certes, mais j’y prends plaisir, même si parfois j’ai l’impression d’être trop soumise, et je pense au fond que c’est ce qu’il aime. Il a commencé par modifier ma garde-robe, et aussi tous mes sous-vêtements.

Désormais, en dehors de mon travail et de nos familles, je ne porte plus de pantalon, ni de blouse longue ni de voile, mais exclusivement des jupes et des robes très courtes, voire mini ; et quand nous sortons le week-end faire des courses, il m’interdit de mettre une culotte ou un soutien-gorge. Au tout début j’étais très gênée, mais au fur à mesure cela m’a plu.

Il a remplacé mes souliers confortables par des hauts talons, et en ce qui concerne les sous-vêtements, il aime que je porte uniquement de la dentelle transparente, blanche, rouge ou noire, des portes jarretelles et des bas, le plus souvent résilles ou couture.

Jusqu’au mois dernier, il aimait qu’on se promène un peu pour m’exhiber, et m’ordonnait souvent de lui faire des fellations dans des endroits insolites, mais samedi dernier il m’a humiliée et offerte à un inconnu. Je me doutais qu’un jour ou l’autre il passerait à l’action, mais j’ignorais quand.

Il me surnomme souvent “la petite salafiste pudibonde”, et ça l’excite énormément de me voir déguisée en pute soumise. J’ai encore bien du mal à l’admettre mais la façon dont me traite Karim me fait toujours beaucoup mouiller.

D’imaginer que je suis son objet sexuel m’excite au plus haut point. Pour en revenir à ce fameux samedi, ce soir-là Karim m’a demandé de mettre ma robe noire, celle qui est transparente, sans rien en dessous naturellement.

J’ai complété ma tenue par une paire de sandales rouges sexy avec des talons vertigineux. Nous sommes allés dîner dans un nouveau restaurant de la région, ou il régnait une atmosphère feutrée. Le repas était délicieux et Karim m’a fait un tas de compliments tout le long du repas.

Au dessert, Karim m’a fait remarquer que notre plus proche voisin de table sur la droite n’arrêtait pas de me dévorer du regard. Je m’en n’était rendue compte, mais sans plus.

Sans m’en dire plus, mon époux s’est levé et il est allé discuter avec le type en question. Au bout de dix minutes qui m’ont paru interminables, Karim est revenu à notre table, une lueur coquine au fond de son regard bleu.

La seule chose qu’il m’a dite c’est :

- « Termine ton dessert ma chérie, j’ai hâte de sortir d’ici car j’ai une surprise pour toi. »

Page 2: Le Plaisir de Sucer Pour Lui

2

J’ai récupéré mon manteau, mon sac, et je l’ai suivi en me demandant ce qu’il tramait. Dans le parking, j’ai immédiatement reconnu l’homme avec qui mon époux avait discuté dans le restaurant.

J’ai senti à cet instant même que ma gorge se nouait, et j’ai compris que si cet homme nous attendait près de notre voiture, c’était pour moi. L’inconnu m’a saluée, et j’ai répondu d’une voix sourde, car j’étais très gênée en croisant son regard aussi coquin que celui de mon mari.

Mon mari a fait les présentations rapidement, puis m’a dit de monter à l’arrière tandis que l’homme s’est installé sur le siège avant. Karim a démarré, j’étais tendue sur la banquette arrière, réalisant que dans quelques instants mon mari allait me livrer à un inconnu.

L’homme n’était pas déplaisant, du même âge que nous, élancé, blond aux yeux bruns avec un collier de barbe. Je savais que Karim nous emmenait dans le parking privé de sa boite. Le week-end souvent, Karim viens s’y garer le temps que je le suce, quelques fois il m’a même sodomisée contre le mur de béton froid.

Ils descendent de l’automobile, et Karim ouvre ma portière et me dit :

- « Retire ta robe ma chérie, ta surprise c’est pour maintenant. »

Je rougis car à coté se trouve l’inconnu qui se penche pour voir si j’obéis. Devant mon manque d’enthousiasme, mon mari s’impatiente et me lance :

- « Obéis, ou c’est la fessée.... »

Avec des gestes fébriles je fais glisser ma robe, et je me retrouve en porte-jarretelles et en bas devant Karim et l’inconnu qui me regarde vicieusement. J’entends mon cœur battre très fort, et je sens des picotements au creux de mes reins. Mon époux se penche à nouveau vers moi et dit :

- « Montre nous ta chatte, j’ai promis à Fred que tu avais tendance à beaucoup mouiller quand je te traite comme une catin ! »

Une femme normale aurait peut-être refusé, mais à ce moment-là je ne suis plus vraiment moi-même, je sens mon corps se ramollir et un doux liquide envahir mon vagin. Docilement, je m’allonge de tout mon long sur la banquette et ouvre les jambes, mais la voix de mon mari se fait plus dure à mes oreilles :

- « Je t’ai dit d’écarter les cuisses pétasse, alors obéis ! »

Je cale une de mes jambes sur le siège avant et l’autre sur la plage arrière, je suis très excitée et je tente de le cacher, mais mon époux n’est pas dupe. Il s’approche alors de mes cuisses ouvertes et plonge trois doigts dans mon vagin puis les ressort et les montre à Fred en disant :

- « Sous ses airs de sainte nitouche, elle mouille comme une chienne, dis donc ... »

Il a raison mon mari, je suis trempée à tel point que je n’ose pas bouger de peur qu’ils voient ma mouille couler le long de mes cuisses. Il me connait si bien. J’adore qu’il me traite comme un jouet, un objet sexuel, je me sens tellement bien quand je suis sa chose soumise.

Je regarde Karim qui est en train d’allumer nonchalamment une cigarette, il surprend mon regard et dit à l’inconnu qui s’appelle Fred :

- « Au restau, quand je t’ai dit que ma femme était une sacrée suceuse de bite et une grande avaleuse de foutre, je ne t’ai pas menti, tu devrais la tester, tu as ma permission… »

Karim fait le tour de l’auto, ouvre l’autre portière arrière, et me dit de me mettre à quatre pattes en position de chienne. J’obéis et je sens la main lourde de mon mari m’asséner quelques claques sur les fesses, pendant que Fred pointe son sexe déjà tout dur vers ma bouche.

Je ne vois pas son visage juste sa queue assez grosse et infiniment plus longue que celle de mon mari, et sans plus attendre j’ouvre grand ma bouche pour dévorer cette bite que mon mari m’offre sur un plateau.

Page 3: Le Plaisir de Sucer Pour Lui

3

Humm, je me sens chienne et soumise, c’est trop bon de penser uniquement au plaisir, sans contraintes morales. Les claques continuent à pleuvoir sur mon cul déjà bien rouge, et la queue de Fred ravage ma bouche de plus en plus vite. Moi je m’applique à le prendre en bouche, je lui lèche les bourses tout en les lui malaxant, je lui crache sur la queue pour mieux faciliter son passage dans ma gorge, et Fred ne met pas longtemps de ce traitement à jouir, et je le comprends, la situation est tellement salace.

Son sperme abondant et chaud éclabousse mon visage, et Karim qui n’en n’a pas loupé une miette m’ordonne de tout avaler. Je m’exécute, car mon mari ne mentait pas quand il disait que j’étais une bonne avaleuse, c’est vrai j’aime le foutre chaud et bien épais. Après quoi je me rhabille frissonnante, Karim dépose Fred à la sortie du parking et fonce à la maison.

Je n’ai pas le temps d’atteindre la chambre que Karim fonce sur moi et me pousse à terre, de nouveau à quatre pattes mais cette fois ci, je sens le gland humide de mon mari marteler mon cul à la recherche de mon anus qu’il atteint bientôt. Déjà toute dilatée, j’écarte moi-même mes fesses avec mes mains pour mieux sentir sa bite s’enfiler dans mon conduit anal qu’il a si bien préparé depuis toutes ses années.

Il me donne des coups de reins puissants en m’insultant, une main crispée sur ma chevelure :

- « Tu aimes que ton maître t’encule, salope hein, et tout à l’heure tu ma drôlement excité quand tu as pompé ce type, tu es ma pute à moi ... »

Nos gémissements s’entremêlent et nos corps s’agitent formant un duo déchaîné et fougueux. La nuit a été longue d’abus divers, et c’est au petit matin, ma chatte, mes seins et mes fesses douloureusement contusionnées des nombreuses frappes reçues, mon anus cruellement éclaté, que je me suis endormie repue dans les bras de Karim.

**********