LE REQUIEM DE GIUSEPPE VERDIPas un mouvement du Requiem n’est superficiel, mensonger, frivole. Verdi, comme beau-coup de peintres religieux, introduisit son propre portrait dans le tableau qu’il peignit. Edouard Hanslick

Quel paradoxe ! Le compositeur de Rigoletto, La Traviata ou Don Carlos a mis tout son génie dans une œuvre sacrée, au sens le plus large du terme, alors qu’il n’avait jamais caché un certain scepticisme envers les institutions religieuses. Verdi, adepte de la libre-pensée, ne rechignait ce-pendant jamais, le dimanche, à conduire sa seconde épouse, la soprano Giuseppina Strepponi, en fiacre à la messe. C’est tout aussi naturellement qu’il proposa à son éditeur Ricordi de faire plan-cher douze compositeurs italiens sur les treize séquences du Requiem. Lui-même, en prince des musiciens italiens, se réserverait la composition du Libera me en guise d’apothéose et de conclu-sion. L’occasion d’exécution serait donnée par le premier anniversaire de la disparition de Gioac-chino Rossini en 1869. Après quoi la partition ne devrait jamais être exploitée commercialement et serait mise sous scellés. Mais ce projet ne vit jamais le jour suite au peu d’empressement du chef pressenti, piqué au vif de se voir refuser de participer à la composition. Quant à l’imprésario, il mit son veto à engager gracieusement à disposition le chœur et l’orchestre !

Déçu, Verdi rangea le fragment du Libera me et attendit qu’une nouvelle occasion se présentât. Le décès de l’écrivain Alessandro Manzoni survenu le 22 mai 1873 à l’âge de 88 ans, allait remettre le Requiem avorté en selle. Verdi vénérait le doyen de la littérature romantique italienne, auteur du roman I Promessi Sposi (Les fiancés), depuis l’âge de seize ans. Les deux hommes s’étaient rencontrés en 1868, et la mort de Manzoni affecta profondément le compositeur qui écrivit à la comtesse Clara Maffei : « avec lui s’en est allé le plus pur, le plus saint, le plus grand de nos esprits. J’ai lu un grand nombre de journaux : pas un seul ne lui rend hommage à sa mesure. Beaucoup de mots – mais pas un seul profondément ressenti. » Peu après, il proposait au bourgmestre de Milan la composition d’une messe pour le premier anniversaire de la disparition du poète. Magnanime, Verdi s’engageait à prendre à sa charge tous les frais d’édition, de répétitions et d’exécution.

Et ce qui fut dit, fut fait. Verdi exhuma son Libera me, et termina le Requiem en quelques mois, partagé entre sa propriété de Sant’Agata où il s’était retiré pour composer en toute quiétude, et les bords de Seine durant l’été 1873. Par là même, il renouait avec ses premières œuvres dédiées à l’église. Etait-il conscient des lointaines réminiscences religieuses ressenties à l’orgue du village natal de Roncole, entre Plaisance et Parme ?

Dès sa première interprétation le 22 mai 1874 en l’église Saint-Marc de Milan où Verdi avait réglé au millimètre les détails d’exécution, l’œuvre s’émancipa du cadre liturgique pour intégrer définiti-vement la salle de concert : la voici qui s’épanouit à l’Opéra-Comique, à Londres, Vienne et dans toute l’Europe. Le public l’accueillit triomphalement, parachevant la démarche de sécularisation entamée par Verdi. Mais ce molosse inclassable ne fut pas accueilli unanimement par la critique. Certains, timorés, la comprirent comme l’exaltation dévergondée d’un luxueux quatuor vocal qui aurait transposé ses travers opératiques dans la liturgie la plus grave de l’Eglise catholique. Ceux-là n’entendaient-ils par l’extraordinaire raffinement d’écriture des ensembles, portés par la subtile vocalité des timbres orchestraux ? Verdi n’hésite jamais à aller chercher de tendres nuances pia-nissimo qu’il ne se serait pas permises à l’opéra. Car il ne désire rien moins que faire communier son public à une belle intériorité : le ton sera donc souvent celui de l’introspection et de la confi-dence, sans renoncer pour autant au lyrisme de l’invocation scandée à pleine voix par le chœur, à qui Verdi réserve les pages les plus ferventes de son Requiem, symbole de l’humanité criant ses souffrances et nous confiant son intime sentiment religieux.

Qu’on se le dise : rien n’est facile dans ce Requiem. Passages extravertis et aussi séquences intimistes qui requièrent du chœur attaques franches, articulations précises et sonorités qui ne doivent jamais perdre en plénitude. Le Dies irae, le Tuba mirum, le Sanctus et la fugue du Libera me projettent l’auditeur dans une conquête céleste, tandis que les passages plus méditatifs exhalent une grande profondeur expressive. En somme, une partition où importe la vision du chef, à même de temporiser les indications métronomiques de Verdi, souvent tendues. Trop ralentir mettrait les chanteurs en danger et alourdirait les textures polyphoniques, trop accélérer risque de gommer les contours de la vocalité. Jean-Claude Casadesus les suivra-t-il à la lettre, ou bien s’autorisera-t-il un rubato de bon aloi et de généreux ritardandi à la fin des mouvements ? Observer tout cela depuis le public constitue une expérience passionnante et sans cesse renouvelée. Benjamin François, producteur à France Musique

A lire Un opéra en robe d’ecclésiastique Hans Von Bülow

Après plus de quarante ans passés à la tête de l’Or-chestre National de Lille qu’il a créé en 1976, Jean-Claude Casadesus, qui en reste le directeur fondateur, continue à ce titre de le diriger trois séries par saison tout en poursuivant sa carrière internationale. Il reste directeur artistique du Lille Piano(s) Festival.L’orchestre, sous sa direction, a parcouru le monde (32 pays sur 4 continents – Etats-Unis, Amérique Latine, Afrique Noire, Russie, Chine et Kazakhstan -) et a mené une politique exemplaire de diffusion et de sensibilisation des enfants et des publics qui n’ont pas accès à la musique.

Ardent défenseur de la musique contemporaine, (il étudia la direction d’orchestre auprès de Pierre Boulez), il a mis en place les résidences de compositeurs et préside depuis 2001 Musique Nouvelle en Liberté.

Sa discographie de plus de trente CD avec l’Orchestre National de Lille a été saluée unanimement par le public et la critique. Ses derniers enregistrements Une Vie de héros de Richard Strauss et la 2ème Symphonie, Résurrection de Mahler ont reçu un accueil enthousiaste. Ils sont suivis du Chant de La Terre de Mahler et d’un Cd consacré à Henri Dutilleux avec notamment Les Métaboles....

En tant que chef invité, il joue sur les grandes scènes internationales - Moscou, Singapour, Mon-tréal, Baltimore, Séoul, Sao Paulo et Buenos Aires, Philadelphie, Monte Carlo et Berlin. Avant de participer, aux côtés de son maître Pierre Dervaux, à la création de l’orchestre des Pays de la Loire dont il fut le directeur adjoint, il fut engagé au début de sa carrière, comme directeur musical du Châtelet avant d’être nommé chef permanent de l’Opéra de Paris et de l’Opéra-Comique. Son goût de l’opéra l’amène à diriger de grandes productions lyriques au Festival d’Aix-en-Provence, à Orange, Paris, Trieste, Monte Carlo, l’Opéra des Flandres et bien sûr l’Opéra de Lille (mémorable Carmen dans la mise en scène de Jean-François Sivadier).

Très soucieux de transmettre, il a dirigé pendant trois ans l’orchestre Français des Jeunes et tout récemment l’orchestre des Jeunes du CNSMD de Paris à la Philharmonie. En 2016, il est appelé à la Présidence de l’Ecole Supérieure Musique et Danse des Hauts de France.

Il a écrit deux livres, Le plus court chemin d’un cœur à un autre publié chez Stock en 1997 et La partition d’une vie parue en 2012 aux éditions Écriture.

Jean-Claude Casadesus a reçu de multiples distinctions : Commandeur de la Légion d’Honneur, Grand Officier de l’Ordre national du Mérite, Commandeur des Arts et Lettres, Commandeur de l’Ordre d’Orange-Nassau, Officier de l’Ordre de Léopold de Belgique, Chevalier des Palmes aca-démiques. En 2004, les Victoires de la Musique Classique lui décernent une Victoire d’honneur.

Cette saison internationale l’amène, outre Lille, à la tête de l’orchestre national de France, du phil-harmonique de Monte-Carlo, de celui de Saint-Pétersbourg, de Bordeaux, du New Japan Philhar-monic pour 2 concerts à Tokyo et 2 à Hiroshima, puis en Allemagne, en Lettonie et au Festival de Novossibirsk.

JEAN-CLAUDE CASADESUS CHEF FONDATEUR DE L’ORCHESTRE NATIONAL DE LILLE

Né des volontés conjointes de la Région Nord-Pas de Calais devenue Hauts-de-France, de l’État et de Jean-Claude Casadesus, l’Orchestre National de Lille donne son premier concert en janvier 1976 avec en soliste Mstislav Rostropovitch. Depuis cette date, il s’est imposé comme un orchestre de référence, défendant l’excellence au plus près de tous les publics, avec la volonté de “porter la musique partout où elle peut être reçue”.

UN RAYONNEMENT EXEMPLAIRE

Chaque année, l’Orchestre se produit au sein de L’Auditorium du Nouveau Siècle à Lille (entièrement rénové et inauguré en 2013), dans sa région, en France et à l’étranger. Depuis sa création, il a ainsi irrigué musicalement plus de 250 communes des Hauts-de-France dans une démarche exemplaire de décentralisation. En véritable ambassadeur de sa région et de la culture française, il a été invité à se produire dans plus de 30 pays sur quatre continents.

UNE PROGRAMMATION RICHE ET VARIÉE

Fidèle à sa mission de diffusion, l’Orchestre interprète le grand répertoire symphonique, le répertoire lyrique grâce à sa collaboration régulière avec l’Opéra de Lille, et la musique de notre temps en accueillant des compositeurs en résidence. Dans toutes les facettes de sa programma-tion, l’Orchestre invite des chefs et solistes internationaux ainsi que les jeunes talents pour faire vivre le répertoire : baroque, classique et contemporain. Parallèlement, il innove avec des cycles de concerts et d’événements tournés vers de nouveaux publics : ciné-concerts, concerts Flash à l’heure du déjeuner, Famillissimo ou “Lille Piano(s) Festival” créé à l’occasion de lille2004, Capitale Européenne de la Culture. Autour des concerts, l’Orchestre National de Lille propose de nombreux rendez-vous pour un large public : Préludes, rencontres avec les solistes et les chefs d’orchestre “en bord de scène”, afters, répétitions ouvertes... L’occasion d’échanges conviviaux !

UN PIONNIER DE LA POLITIQUE JEUNE PUBLIC

Grâce à son engagement constant, l’Orchestre place le jeune public au centre de son projet en développant une large palette d’actions : éveil musical pour les maternelles, répétitions ouvertes aux scolaires, concerts-découvertes pour les primaires et les collèges, concerts pour les lycées et les étudiants, ateliers avec des musiciens, concerts participatifs...

UNE POLITIQUE AUDIOVISUELLE DYNAMIQUE

Au fil des années, l’Orchestre a enregistré plus de trente opus salués par la critique et récompensés par de nombreux prix (Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Prix de l’Acadé-mie du disque français, Prix de la SACD, Grand Prix de la Nouvelle Académie du Disque, Diapa-son d’Or, Choc Classica 2015 …). Des partenariats forts avec les médias régionaux, nationaux et transfrontaliers lui permettent de bénéficier de relais réguliers et de (re)transmissions de concerts qui démultiplient son audience. Récemment, l’Orchestre s’est doté d’un studio numérique (il est l’un des deux seuls orchestres au monde !) qui lui ouvre de larges horizons dans les domaines de l’enregistrement et de la diffusion. Durant l’année 2017, de nombreuses parutions discographiques sont prévues : sous le label Naxos, Henri Dutilleux dirigé par Jean-Claude Casadesus et Darrell

ORCHESTRE NATIONAL DE LILLE

Ang, Offenbach/Pierné dirigés par Darrell Ang, Saint-Saëns dirigé par Jün Märkl. Chez Warner, le premier récital de la trompettiste Lucienne Renaudin-Vary est prévu à la rentrée 2017-2018. Depuis septembre 2016, Alexandre Bloch a succédé à Jean-Claude Casadesus, chef fondateur de l’Orchestre National de Lille, il est devenu le nouveau directeur musical.

Association subventionnée par

le Conseil régional Hauts-de-France

le Ministère de la Culture et de la Communication

la Métropole Européenne de Lille

La Ville de Lille

Ivan Renar, Président

François Bou, Directeur général

Alexandre Bloch, Directeur musical

www.onlille.com

INGA KALNA, SOPRANO

Née à Riga, Inga Kalna étudie le chant et la mu-sicologie à l’Académie de Musique de Lettonie. Après des débuts très réussis en Pamina de La Flûte enchantée, elle est immédiatement engagée comme soliste à l’Opéra National de Lettonie. Elle y reçoit de grands éloges pour ses incar-nations de Mimi dans La Bohème, des rôles-titres de Lucia di Lammermoor de Donizetti et d’Alcina de Haëndel. Elle se rend alors à Londres pour étudier à la Royal Academy of Music, où elle décroche ses diplômes en 1999. Elle remporte un vif succès londonien en chantant la Comtesse des Noces de Figaro avec Sir Colin Davis. Elle remporte à deux reprises le Prix du Théâtre de Lettonie et figure parmi les rares chanteurs à se voir décerner le Grand Prix de la Musique de Lettonie (elle est distinguée à trois reprises). Au Royaume-Uni, elle reçoit le Gold-berg Operatic Prize et le Bruce Millar Memorial Trust Award.

En 1999, encore jeune soprano, elle intègre l’Opéra Studio International du Staatsoper de Ham-bourg, prolongeant sa collaboration avec cette maison au bout d’une année, devenant membre de la troupe jusqu’à l’été 2007. À Hambourg, elle chante des rôles tels que Olympia, Antonia et Stella (Les Contes d’Hoffmann), Adina (L’Elisir d’Amore de Donizetti), Gilda (Rigoletto), Violetta (La Traviata), Rachel (We come to the river de Henze), la Comtesse (Les Noces de Figaro), Laura (Der lächerliche Prinz Jodelet de Keiser), Donna Fiorilla (Il Turco in Italia de Rossini), Regina (Mathis der Maler de Hindemith), Ilia (Idomeneo de Mozart) ou encore Polinessa (Radamisto de Haëndel), sans oublier Lucia et Alcina.

Inga Kalna entretient avec René Jacobs une collaboration privilégiée. Après l’avoir invitée à chanter Cora dans Cora und Alonzo de Naumann au Festival de musique de Dresde, René Jacobs la réin-vite immédiatement pour Armida dans Rinaldo de Haëndel à l’Opéra de Montpellier et au Festival d’Innsbruck, un enregistrement pour Harmonia Mundi immortalisant cette production. Toujours sous la direction de René Jacobs, elle incarne Dorotea dans Don Chisciotte in Sierra Morena de Conti au Festival d’Innsbruck en 2015 et Xantippe dans Der geduldige Sokrates de Telemann de nouveau à Innsbruck mais aussi au Staatsoper de Berlin.

Depuis, Inga Kalna s’est produite sur toutes les grandes scènes internationales : Pays-Bas (Vio-letta dans La Traviata, Une israélite dans Samson de Haëndel et Dorotea du Don Chisciotte), Bel-gique (Armida dans Rinaldo à l’Opéra d’Anvers), Finlande (Adina de L’Elisir d’Amore à Tampere), Autriche (Première Dame de La Flûte enchantée avec Riccardo Muti au Festival de Salzbourg en 2006 et 2008), France (Festival d’Aix-en-Provence). Donna Fiorilla du Turco in Italia constitue l’un de ses grands chevaux de bataille : elle le chante à l’Opéra de Lausanne, au Théâtre du Capitole de Toulouse ou au Staatsoper de Hambourg. C’est avec Alcina qu’elle fait ses débuts à l’Opéra de Paris, à La Scala de Milan ou au Staatsoper de Vienne.

Sont entrés récemment dans son répertoire les rôles de Giunone dans La Calisto de Cavalli (La Monnaie de Bruxelles), Donna Anna dans Don Giovanni (Opéras de Riga et de Hambourg), Desde-mona dans Otello (Riga) et Elettra d’Idomeneo (Moscou), La Folie dans Platée de Rameau (Ams-terdam), Piacere dans Il Trionfo del Tempo e del Disinganno de Haëndel (Berlin, avec Marc Min-kowski), rôle-titre dans Maria Stuarda de Donizetti (Innsbruck, Moscou), Fiordiligi dans Così fan tutte (Hambourg) et Cinna dans Lucio Silla de Mozart (Salzbourg, Liceu de Barcelone, La Scala de Milan), Ellen Orford dans Peter Grimes et Rosalinde de La Chauve-Souris (Hambourg).

Parallèlement à sa carrière opératique, Inga Kalna est très sollicitée pour les récitals de mélodies et les concerts, chantant les Passions, Messes ou Requiem de Bach, Mozart, Beethoven, Berlioz, Brahms, Verdi, Gounod ou Fauré, les Quatre derniers Lieder de Strauss ou la Symphonie n°4 de Mahler. Elle a chanté sous la baguette d’Ingo Metzmacher, Andrea Marcon, Stefan Soltesz, Gerd Albrecht ou Marc Soustrot, de même que nombre de concerts à Hambourg avec Simone Young.

Au sein de sa discographie, citons particulièrement Rinaldo et La Flûte enchantée avec René Ja-cobs pour Harmonia Mundi, Motezuma de Vivaldi avec Alan Curtis (DGG/Archiv) ou Mathis der Maler avec Simone Young (Oehms Classics).

Native de Saint-Pétersbourg, la mezzo-soprano Franco-Russe, Elena Gabouri fait ses études au Conser-vatoire National Supérieur de sa ville natale avec Tamara Novitchenko (professeur d’Anna Netrebko); puis à celui de Paris (CNSMDP). Elle se perfectionne auprès d’Isabel Garcisanz à L’École Normale de Paris, où elle remporte le Prix de Concertiste à l’Unanimité avec Félicitations du Jury. Ses prix de concours : Grand Prix du Concours de Vivonne 2005, 1er Prix au Forum Lyrique d’Arles 2004, 2ème Prix et Prix du Public au Concours des Pays Catalans 2005, Prix du Jury au Concours de Canari 2003, 2ème Prix au Concours Ramfis 2011.

Lors de la saison 2014/15, et pour la troisième année consécutive, Elena Gabouri retourne aux Arènes de Vérone: en 2014 elle y débute Ulrica dans Un Bal Masqué de Verdi (Battistoni-Pizzi). Puis elle reprend Amneris dans Aïda de Verdi (Gagliardo-Manizade) à Aspendos International Opera

Festival (Antalya, Turquie), l’autre mythique scène ouverte. En Sardaigne, à Sassari elle fait la prise de rôle de Princesse de Bouillon, Cilea d’Adriana Lecouvreur (Battistoni-Stefanutti). En France, elle reprend le rôle de la redoutable Kabanicha dans Katia Kabanova de Janacek (Kudela-Engel) pour l’enregistrement DVD et TV France 3 au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, ainsi que sur les Scènes Nationales de Perpignan et Amiens. Avec la soprano Hui He elle chante le Concert de Noël au Théâtre Philharmonique de Vérone. En 2015 elle fait ses débuts en Asie avec Amneris de Aïda (Bisanti-De Carlo) à Seoul Arts Center, en Corée du Nord, pour le Sugi Opera.

Après son baptême aux Arènes de Vérone en 2012, où elle a remplacé le jour même Dolora Zajick dans le rôle d’Amneris de Aïda de Verdi sous la baguette de Daniel Oren, elle est réinvitée par les Arènes durant la même saison. Son succès l’amène au Festival du Centenaire des Arènes de Vérone en 2013, ainsi qu’au Bicentenaire de Verdi, Elena Gabouri interprète Azucena (Le Trouvère) et Amneris dans la nouvelle production de Aïda de La Fura dels Baus, ainsi que dans la version historique de 1913.

Elena Gabouri travaille avec des chefs tels que Daniel Oren, Marco Armiliato, Alexander Lazarev, Vasily Petrenko, Andrea Battistoni, Giampaolo Bisanti, Giuliano Carella, Omer Meir Wellber, Julian Kovachev, Dmitri Jurowski, Tulio Gagliardo, Nicolas Giusti, Friedrich Player, Laurent Pillot, Domi-nique Rouits, Pierre-Michel Durand et avec des metteurs en scène tels Franco Zeffirelli, PierLuigi Pizzi, André Engel, Ivan Stefanutti, Mario De Carlo, Gianfranco De Bosio, Nicolas Brieger, La Fura dels Baus, Antoine Selva, Charles Roubaud, Bernard Rozet, Elena Tzavara, Nadine Duffaut, John Fulljames, Jean-Claude Casadesus…

Sous la baguette de Vasily Petrenko, Elena a enregistré le CD The Rothshild’s Violin de Fleishman (« Avie »)

ELENA GABOURI, MEZZO-SOPRANO

Comme le souligne l’Associated Press, Stephen Costello est «un chanteur prodigieusement doué dont la voix a un impact immédiat».

Le ténor né à Philadelphie a rapidement acquis une répu-tation de «talent de première classe» (Opera News) après avoir attiré l’attention américaine en 2007, quand, âgé de 26 ans, il a fait ses débuts au Metropolitan Opera lors de l’ouverture de la saison lyrique. Deux ans plus tard, Cos-tello a remporté le prestigieux prix Richard Tucker et est depuis apparu dans plusieurs des plus importants opéras et festivals de musique du monde, y compris le Metro-politan Opera New York, le Royal Opera House Covent Garden, le Deutsche Oper et le Deutsche Staatsoper Ber-lin, l’Opéra d’Etat de Vienne, le Bayerische Staatsoper Munich et le Festival de Salzbourg.

La saison 2016/17 de Stephen Costello comprend Alfredo dans La Traviata au Bayerische Staatsoper Munich et au Bolshoï, Der Rosenkavalier en concert avec le Boston Symphony Orchestra, le rôle de Lensky d’Eugène Onéguine et Greenhorn de Moby Dick pour le Dallas Opera. Il interprète aussi le rôle titre dans Roméo et Juliette pour l’Opéra National Coréen et le Metropolitan Opera, et Duca de Rigoletto pour le Metropolitan Opera. Ste-phen Costello fait ses débuts à l’Opéra National de Paris en 2017 en chantant Camille de La Veuve joyeuse.

STEPHEN COSTELLO,TENOR

ALEXANDER TSYMBALYUK,BASSE

Né en Ukraine, Alexander Tsymbalyuk fait ses études au Conservatoire d’Odessa. Il suit l’enseignement des professeurs Ludmila Ivanova, Vasiliy Navrotsky et de Paata Burchuladze. Vainqueur de nombreux concours (Concours Elena Obraztsova à Moscou en 2006, Concours Riccardo Zandonai en Italie et Concours International Tchaïkovski à Moscou en 2007), il fait ses débuts au sein de la troupe du Staatsoper de Hambourg. Il est rapide-ment invité au Metropolitan Opera de New York, à la Scala de Milan, à l’Opéra Royal de Copenhague, au Bayerische Staatsoper de Munich, au Staatsoper de Berlin, au Palau des Arts Reina Sofia de Valence, au Royal Opera House Covent Garden de Londres, au Liceu de Barcelone, au Théâtre Bolchoï de Moscou, au Maggio Musicale Fioren-tino.

Au cours des récentes saisons, il a interprété Sparafucile de Rigoletto au Royal Opera House Covent Garden, au

Théâtre Bolchoï et au Bayerische Staatsoper de Munich, Fafner de L’Or du Rhin avec l’Orchestre Philharmonique de Séoul sous la direction de Myung-Whun Chung, Raimondo de Lucia di Lamer-moor, Timur de Turandot et Fiesco de Simon Boccanegra à la Scala de Milan, le Prince Gudal (Le Démon de Rubinstein) à Moscou, le rôle-titre de Boris Godounov et Bartolo des Noces de Figaro au Bayerische Staatsoper de Munich, Timur au Metropolitan Opera.

Il a fait ses débuts à l’Opéra national de Paris dans les rôles du Commandeur de Don Giovanni et du Roi René de Iolanta. Il se produit aussi en concert : Requiem de Verdi au Maggio Musicale Fio-rentino et les Gurrelieder de Schönberg au Konzerthaus de Vienne avec Zubin Mehta, Mefistofele de Boito à l’Accademia Santa Cecilia de Rome avec Antonio Pappano, Rigoletto au Hollywood Bowl avec Gustavo Dudamel, Otello au Barbican Center de Londres avec Sir Colin Davis…

Ses engagements en cours et à venir comprennent Le Prince Grémine (Eugène Onéguine) à l’Opéra national de Paris, Raimondo (Lucia di Lammermoor), le Chef de la police et le Vieux bagnard (Lady Macbeth de Mzensk) au Bayerische Staatsoper de Munich, Ferrando (Le Trouvère) au Royal Opera House Covent Garden de Londres.

CHOEUR REGIONAL HAUTS DE FRANCE

Créé en 1981, le Chœur Régional Nord-Pas de Ca-lais est devenu le 1er Avril 2016, le Chœur Régional Hauts-de-France.

Le Chœur Régional propose un répertoire choral exigeant et varié : de la musique ancienne à la musique contem-poraine, en passant par l’opéra, l’opérette, la musique de chambre, des chefs d’œuvre de Bach, Mozart, Brahms ou Ravel, comme ceux d’Ohana, Cavanna ou Tippett... S’il s’affiche volontiers dans le genre de l’oratorio sympho-nique, le Chœur sait faire la part belle à la musique de chambre vocale et profane, voire au répertoire lyrique. En 35 ans, c’est un répertoire de plus de 200 œuvres qui a été construit.

Sous la direction de Jean Bacquet (†) puis d’Eric Deltour, le Chœur a donné plus de 500 concerts qui ont rassemblé plus de 500 000 auditeurs.Le Chœur se produit aussi bien seul, accompagné au pia-

no, à l’orgue ou a cappella, qu’avec d’autres formations telles que l’Orchestre National de Lille ou encore La Grande Ecurie et la Chambre du Roy.

Couleur vocale et musicalité, réactivité, souplesse d’interprétation, sont autant de ses qualités appréciées par ses partenaires et les critiques.

A travers son encadrement professionnel, il apporte une formation rigoureuse ainsi qu’une pratique de haut niveau aux choristes de la région soucieux d’enrichir leur expérience musicale.Quelque 130 choristes chantent actuellement au Chœur Régional, animés par la passion de la musique vocale et par les valeurs d’échange, de générosité, de solidarité mais aussi d’effort et de dépassement de soi…

Le Chœur Régional Hauts-de-France bénéficie du soutien financier du Conseil Régional Hauts-de-France. Il est également soutenu par les Conservatoires de Lille et d’Arras, Mazars-Acéa et Expert Juridique Santé.

Créé en 1986, le Chœur Nicolas de Grigny est constitué de chanteurs amateurs de haut niveau de Reims et sa région, encadrés par une équipe artistique professionnelle : Jean-Marie Puissant, directeur artistique depuis plus de 20 ans, Nicolas Pattier, chef-assistant, Elodie Mar-chal, pianiste-accompagnatrice, Patrick Radelet, professeur de chant, ainsi que chanteurs solistes, instrumentistes, danseurs, metteur en scène, techniciens et orchestres pour les concerts et spec-tacles.

Grâce à l’exigence et au dynamisme du chef de chœur, le CNG donne des spectacles contras-tés de grande qualité. La volonté du directeur artistique est d’aborder des répertoires très variés, de l’époque baroque à nos jours, en passant par l’interprétation de musiques du monde (Brésil, Chine, Espagne) ou d’œuvres de jazz (Caratini, Goret, Gershwin) avec orchestre, orgue, a capella, en grand chœur (80-120 choristes) ou en chœur de chambre, chœur de femmes, chœur d’hommes ou ensemble vocal.

Depuis quelques années, le Chœur Nicolas de Grigny souhaite apporter une autre dimension à l’interprétation des œuvres et réalise des spectacles avec mises en scène (Carmen, Passion Opéra, Carmina Burana, Gershwin), qui font intervenir des musiciens, des danseurs, artistes de cirque, comédiens, figurants.

Le CNG a passé commande auprès de 2 compositeurs : Patrice Caratini, dont le CNG a créé « Xocoalt », spectacle musical autour du chocolat, qui mêle narration et musique, le tout accom-pagné d’un orchestre de jazz. Plus récemment, Jean-Marie Puissant a sollicité Ivan Jullien pour un arrangement d’extraits de comédies musicales de Gershwin pour solistes, chœur mixte à 7 voix, orchestre de jazz et danseur de claquettes.

Le Chœur Nicolas de Grigny organise régulièrement des répétitions publiques commentées, desti-nées le plus souvent aux habitants du quartier des Châtillons (lieu des répétitions), mais également dans d’autres lieux (salles des fêtes de villages) afin de faire découvrir la musique vocale à des personnes qui ne vont pas régulièrement au concert, ou à des mélomanes qui veulent découvrir de nouvelles œuvres en assistant à des répétitions du choeur.

Le CNG bénéficie des soutiens de la Ville de REIMS, du Conseil Général de la Marne et du Conseil Régional (ORCCA).

CHOEUR NICOLAS DE GRIGNY

LE STADE PIERRE MAUROY

Œuvre de l’Agence Valode & Pistre et de l’Atelier Ferret Architectes, construit et géré par le Groupe Eiffage, le Stade Pierre-Mauroy a été inauguré en Août 2012.

Véritable enceinte multifonctionnelle, le Stade est capable de se métamorphoser en moins de 24 heures en la plus grande Arena d’Europe, avec une capacité de 30 000 places. Sa toiture amovible s’ouvre ou se ferme en moins de 30 minutes et il est doté d’une façade animée de près de 2 000 m2.

Terrain de jeu de son club résident le LOSC, pour ses matchs à domicile, le Stade Pierre-Mauroy accueille éga-lement de grands événements internationaux.

Plusieurs artistes tels que Rihanna, Patrick Bruel ou Johnny Hallyday s’y sont ainsi déjà produits. L’année 2017 s’an-nonce quant à elle riche en nouveaux rendez-vous musi-caux avec la venue notamment de Bruno Mars, Depeche

Mode, Céline Dion ou encore Les Vieilles Canailles, trio composé de Jacques Dutronc, Johnny Hallyday et Eddy Mitchell. Le Stade accueillera également cet été son premier festival, le North Summer Festival, avec comme têtes d’affiche connues à ce jour Justin Bieber, Sting, Martin Gar-rix, Klingande et Ibrahim Maalouf.Côté classique, l’émission Prodiges se produira pour un concert événement, présenté par Ma-rianne James, à l’occasion duquel seront réunis 10 000 choristes, le plus grand chœur jamais réalisé au monde.

L’enceinte fait également rayonner la France et sa région, en devenant le terrain de jeu des plus grands rendez-vous sportifs comme les demi-finales du TOP14 en 2014, la finale de la Coupe Davis France – Suisse, les phases finales de l’EuroBasket2015, le Supercross, ainsi que plusieurs matchs de l’UEFA Euro 2016. En janvier dernier, l’Arena du Stade s’était à nouveau transformée pour recevoir cette fois-ci l’Equipe de France de Handball, dans le cadre du Championnat du Monde de Handball 2017.

Le Stade Pierre-Mauroy est fier d’accueillir aujourd’hui Jean-Claude Casadesus et l’Or-chestre National de Lille, pour ce troisième concert événement.

LE CREDIT MUTUEL NORD EUROPEPARTENAIRE DE LA 3EME EDITION DU CONCERT CLASSIQUE DE L’ORCHESTRE NATIONAL DE LILLE AU STADE PIERRE MAUROY

Présent sur le terrain musical et sportif, le Crédit Mutuel Nord Europe est le partenaire du concert Requiem de Verdi.

Le Crédit Mutuel, c’est d’abord la banque « qui donne le LA ». Depuis 15 ans, le groupe investit afin d’offrir au plus grand nombre l’accès à toutes les musiques, en parrainant des évènements musicaux emblématiques et fédérateurs. De Prodiges en passant par le Main Square Festival ou le North Summer Festival, le CMNE s’associe à des rendez-vous incontournables de la musique. Il soutient également des salles de concert et accompagne cette année l’ONL pour la diffusion audiovisuelle de ses concerts, notamment sur la chaîne internationale Mezzo.

Depuis 2013, le Crédit Mutuel Nord Europe est partenaire officiel du Stade Pierre-Mauroy. Banque de proximité et résolument moderne, le CMNE a choisi de s’associer à un équipement grand public hors du commun au rayonnement international. Fédérateur et modulable à souhait, le Stade peut se mouvoir en la plus grande Arena d’Europe et promettre à la fois des concerts historiques comme des moments de sport intenses. En s’associant à la MEL dans l’organisation d’un concert événement de l’Orchestre National de Lille, le CMNE marque sa volonté de soutenir le Stade Pierre-Mauroy dans son essor. Partenaire depuis la toute 1ère édition, le Crédit Mutuel Nord Europe est fier de soutenir ce concert classique d’exception qui rassemble 300 musiciens et choristes de la région sous la baguette de Jean-Claude Casadesus.

Retrouvez tous les événements à venir sur http://evenements.cmne.fr/

A propos du CMNELe Crédit Mutuel Nord Europe est un leader de la bancassurance. Banque mutualiste, elle dispose d’un statut coopératif transparent qui associe étroitement ses 1600 administrateurs et 4500 col-laborateurs. Euro régional, le Groupe CMNE est présent en France sur 7 départements mais éga-lement en Belgique et au Luxembourg. Il s’organise autour de 3 métiers : la banque, l’assurance et la gestion pour compte de tiers. Le Groupe est dépositaire de la confiance de plus d’1,6 million de clients-sociétaires grâce au professionnalisme de ses collaborateurs et à sa forte implication en faveur de ses territoires.

LA METROPOLE EUROPEENNE DE LILLE

Concert classique de l’ONL au Stade Pierre-Mauroy : Un évènement exceptionnel initié par la Métropole Européenne de Lille

La Métropole Européenne de Lille (MEL) est le premier partenaire du grand concert de l’ONL dont la 3ème édition, qui mettra à l’honneur le Requiem de Verdi, aura lieu le 12 juillet prochain au Stade Pierre-Mauroy.

Au-delà de son soutien financier de 50 000 €, la MEL a été à l’initiative, en 2015, de l’organisation de cet évènement en rapprochant les deux structures majeures de son territoire que sont l’ONL et le Stade Pierre-Mauroy. En initiant ce concert, avec le soutien du Crédit Mutuel Nord Europe, Damien Castelain, Président de la Métropole Européenne de Lille, a souhaité que la musique clas-sique entre dans le Stade pour la faire découvrir aux métropolitains, notamment aux plus jeunes. Un véritable succès puisque pour chacune des éditions, plus de 12 000 personnes ont assisté au concert.

Une culture accessible à tousTous les métropolitains pourront en effet profiter de ce concert à un tarif grand public avec des places à partir de 10 euros. Une culture accessible pour tous, au plus près des métropolitains, c’est l’objectif de la MEL ! Nuit des bibliothèques, dispositif la C’Art, Belles Sorties, soutien aux grands équipements d’intérêt communautaire et aux événements d’intérêt métropolitain… La MEL, qui consacre plus de 15M€ par an aux équipements et événements culturels, porte en effet l’ambi-tion de construire une véritable métropole culturelle. Cette ambition est partagée par l’ensemble des structures soutenues, au travers des politiques tarifaires volontaristes, mais aussi des actions directes auprès des publics, de médiation, de pédagogie, de sensibilisation. La MEL soutient par ailleurs l’investissement de ses communes dans la création ou la rénovation d’équipements qui participent à la dynamique culturelle.

Un concert qui s’inscrit dans la programmation « décoiffante » du Stade Pierre-MauroyCe grand concert marquera également la fin d’un premier semestre 2017 placée sous le signe d’une programmation musicale plus que jamais décoiffante au Stade Pierre-Mauroy. Au lendemain de la clôture du Championnat du monde de handball qui l’a consacré comme l’une des enceintes sportives françaises incontournables, le Stade Pierre-Mauroy s’affirme aujourd’hui comme une scène musicale de premier plan. Cette année, l’ONL côtoie ainsi dans la programmation du Stade : Depeche Mode, Bruno Mars, les Vieilles Canailles, le Grand Concert Prodiges, Justin Bieber et Sting dans le cadre du North Summer Festival, ou encore Céline Dion.

C’est une chance formidable pour le rayonnement du territoire que d’accueillir de tels concerts. La construction du Stade Pierre-Mauroy était un choix ambitieux de la part de la MEL qui s’avère aujourd’hui payant.

À propos de la MEL Au service des 90 communes qui la composent, la Métropole Européenne de Lille agit au quotidien pour 1,2 million d’habitants. Elle est compétente dans les domaines essentiels suivants : transport, logement, économie, espace public et voirie, aménagement et urbanisme, politique de la ville, eau, assainissement, déchets ménagers, accessibilité handicap, nature et cadre de vie, culture, sport, tourisme, crématoriums. Le Conseil de la Métropole, présidé par Damien Castelain depuis le 18 avril 2014, est composé de 184 membres élus au suffrage universel direct pour 6 ans.

BILLETTERIE

Tarifs :

Club* : 80€Carré or : 60€Cat 1 : 45€Cat 2 : 30€Cat 3 : 20€

*Offre Club : Accueil privilégié avec accueil via un hall VIP, siège confort avec vue plongeante sur la scène, accès aux salons du niveau 1, programme de l’événement et coupe de champagne offerts.

Les places sont en vente sur stade-pierre-mauroy.com et dans les réseaux de vente habituels.Pour les personnes à mobilité réduite, un bon de commande est à télécharger sur le site du Stade.

CONTACTS

Orchestre National de LilleFrançois Bou, Directeur généralAssisté de Nathalie Gallois ngallois@on-lille.com

Philippe Danel, Directeur artistique déléguéAssisté de Régine Leleu artistique@on-lille.com

Nicolas Delecour, Administrateurndelecour@on-lille.com

Nicolas Foulon, Responsable presse & médiasnfoulon@on-lille.com03 20 12 82 41 / 06 88 05 15 26

Accueil/Standard info@on-lille.com03 20 12 82 40

Stade Pierre-Mauroy Accueilaccueil@stade-pm.com 03 20 59 40 00

Perrine Vilain, Responsable presse & médiasservice.presse@stade-pm.com

Crédit Mutuel Nord EuropeLucille Boidin, Relations pressepresse17@cmne.fr03 28 03 69 06

Métropole Européenne de LilleClarisse Neveu, Relations pressepresse@lillemetropole.fr03 20 21 25 00