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Ve Congrès International d’Épidémiologie Adelf-Epiter / Re

hronique entraîne des troubles neurologiques. Notre objectif était d‘établirne relation entre l’exposition aux perchloréthylène et l’apparition des signeseurologiques subjectifs, ainsi que les perturbations des tests psychométriques.éthodes.– Il s’agit d’une étude transversale type exposé-non exposé, réalisée

ur tous les salariés travaillant dans le pressing de la ville de Sidi Bel Abbés. Ontté exclus tous les sujets présentant des antécédents neurologiques. Le recueiles données a été fait à l’aide d’un questionnaire Q16 adapté aux solvants quiomporte 24 questions sur les signes neurologiques chroniques, avec quatre testssychométriques. La métrologie d’ambiance du PCE a été effectuée à l’aide deubes réactifs calorimétriques (pompes Drägger).ésultats.– La comparaison des groupes étudiés montre une différence statisti-uement significative pour : les troubles de la vigilance, les troubles de l’humeur,t les troubles digestifs. La différence est non significative pour le reste desymptômes, ainsi que pour les tests psychométriques.iscussion/conclusion.– L’analyse des résultats du questionnaire nous a permis’identifier un nombre important de renseignements sur les symptômes observéshez la population étudiée en fonction de l’exposition aux solvants. La facilitée l’utilisation, le faible coût et la richesse des données nous incitent à introduiree questionnaire dans le milieu professionnel.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2012.06.357

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e stress des étudiants en médecine et son impact sur leserformances académiques. Ben Loubir a,b, Z. Serhier a, M.O. Bennani a

Laboratoire d’informatique médicale, faculté de médecine et de pharmacie,niversité Hassan-2, Casablanca, MarocLaboratoire de neuroscience et santé mentale, faculté de médecine et deharmacie, université Hassan-2, Casablanca, Maroc

ntroduction.– Le stress des étudiants en médecine a été, depuis des décennies,n sujet attrayant pour de nombreux chercheurs et cliniciens. Plusieurs étudesnt révélé que ces étudiants sont plus vulnérables au stress que les étudiants desutres disciplines. Les données relatives à l’impact du stress sur les performancescadémique sont rares. Notre but est d’étudier l’association entre le stress et laerformance académique chez les étudiants en médecine.éthodes.– Nous avons mené une étude transversale chez les étudiants de la

aculté de médecine et de pharmacie de Casablanca en 2011, à l’aide d’un ques-ionnaire auto-administré. Le stress a été mesuré avec une échelle de dix items,haque réponse variant selon une échelle allant de 1 à 5. Un score supérieur àdétermine la présence du stress. Les performances académiques ont été mesu-

ées avec la MS, qui est le score moyen de toutes les notes obtenues lors de’examen au cours du premier semestre.ésultats.– Au total, 137 étudiants avaient répondu au questionnaire. Près de

a moitié des répondants 47,4 % ont été stressés, avec une prévalence de stresseu élevée chez les répondants de sexe féminin (50,5 % contre 41,0 % pour lesépondants de sexe masculin, p = 0,3). Le MS global rapporté par les étudiantstait de 11,9 (± 2,3). Parmi les répondants, seulement 68 % ont rempli leur MS.ependant, aucune association significative n’a été signalée entre le stress et lesotes obtenus à l’examen.iscussion/conclusion.– D’autres études sont nécessaires pour identifier les fac-

eurs spécifiques liés au stress des étudiants en médecine et pour élaborer desrogrammes appropriés pour la gestion du stress.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2012.06.358

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mpact des charges de travail sur la qualité de vie desemmes au travail en Tunisie. Bettaieb a, R. Ben Salah b, N. Ben Alaya c, F. Ben Salah b, A. Mrabet d

Laboratoire d’épidémiologie médicale, institut Pasteur de Tunis, TunisieInstitut de santé et de sécurité au travail, Tunis, TunisieObservatoire national des maladies nouvelles et émergentes, ministère de la

anté publique, Tunis, TunisieUnité de surveillance épidémiologique, direction générale de la santéilitaire, Tunisie

Ir

’Épidémiologie et de Santé Publique 60S (2012) S97–S148 S139

ntroduction.– La montée en puissance du travail féminin soulève de nos jourse nombreuses questions sur l’ampleur de l’interaction des effets spécifiquesu généraux des conditions du travail et des contraintes familiales sur la santé.’objectif de ce travail était d’évaluer l’impact à court terme de la charge duravail sur la qualité de vie des femmes tunisiennes employées.

éthodes.– Étude transversale, auprès d’un échantillon représentatif de94 femmes travaillant dans les secteurs du textile (116), la fabrication des chaus-ures (200) et de l’administration (78), réalisée entre 2009 et 2010. La qualitée vie a été évaluée à l’aide du questionnaire Short Form Survey-36 (SF-36).ésultats.– Le score global de la qualité de vie était de 67,5 ± 15,2. Il existaitne altération inégale des différentes dimensions du questionnaire SF-36. Laomposante vitalité était la plus altérée avec un score inférieur à 50. La qualitée vie des femmes employées différait significativement en fonction du secteur’activité (p ≤ 10−3). Le score du SF-36 était plus bas (moins bonne qualité deie) dans le secteur textile. La charge sociale, les charges physique et mentaleu travail influencaient significativement la qualité de vie.iscussion/conclusion.– La qualité de vie des femmes employées est corrélée à

a charge du travail. Le SF-36 est un outil utile pour l’évaluation de la qualité deie au travail.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2012.06.359

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ie, travail et santé des salariés de la sous-traitance duucléaire.-H. Boulay a, J.-M. Hemery a, P.-Y. Montéléon a, A. Rousselet a,.-L. Vibert b, C. Wargon a

Association interprofessionnelle des centres médicaux et sociaux de santé auravail (ACMS), Suresnes, FranceAssociation paritaire de santé au travail (APST), Bourg-la-Reine, France

ntroduction.– Les médecins du travail surveillant cette population ont percu uneégradation de son état de santé, de ses conditions de vie et une augmentationes contraintes professionnelles.éthodes.– Étude transversale, par questionnaire, en 2008–2009 proposé aux

alariés des sous-traitants d’installations nucléaires de base lors de leur visiteédicale.ésultats.– Les 853 salariés inclus étaient 95 % d’hommes, d’âge moyen de9 ans, 91 % en contrat de travail stable, majoritairement employés, techniciens,gents de maîtrise, dans tous les secteurs et activités du nucléaire, avec unencienneté moyenne de 12 ans. Au cours des 12 derniers mois, en moyenne septites de travail différents, 65 % de leur temps de travail sur site nucléaire dont7 % en arrêt de tranche. Longs temps d’attente, ne pas se sentir en sécurité,lus de huit heures par jour, plus de 5 jours consécutifs, en espace confiné, aveces travaux à terminer dans l’urgence sont principalement leurs conditions deravail. Rouler de nuit, ne pas dormir et ne pas manger à son domicile, avoires difficultés d’accès aux soins sont le plus souvent leurs conditions de vie.es salariés avaient un indice de masse corporelle moyen de 25,9. Les médecinsnt identifié l’existence d’une pathologie chez 43 % des salariés, dont 15 %eprésentaient une gêne pour le travail en nucléaire et 10 % étaient en rapportvec les conditions de travail.iscussion/conclusion.– L’étude identifie plusieurs indicateurs de pénibilité ete santé. Les résultats suggèrent des pistes d’amélioration des conditions deravail et de vie.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2012.06.360

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onducteurs receveurs de transports en commun privés’île-de-France – Phase 2. Chaudron , P.-Y. Montéléon , C. Bortolameolli , A.-S. Hugel ,. Le Goualher , T. Sidhall

Association interprofessionnelle des centres médicaux et sociaux de santé auravail (ACMS), Suresnes, France

ntroduction.– Décrire l’état de santé et l’organisation du travail des conducteurseceveurs, évaluer leur évolution et comparer avec une population de référence.