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LES COMPTES RAPIDES DU GABON
ANNEE 2010
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TABLE DES MATIERES
Avant propos....................................................................................................................................................3
Introduction ......................................................................................................................................................4
Liste des tableaux et des principales abréviations ....................................................................................6
II/ LES PRINCIPAUX RESULTATS ........................................................................................................................7
II.1/ L’évolution du PIB .................................................................................................................................7
II.2/ Le PIB par branches d’activité ...........................................................................................................7
II.3/ Le PIB optique demande ....................................................................................................................9
ANNEXES 1: QUELQUES DEFINITIONS............................................................................................................19
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Avant propos
Nous voilà à la deuxième parution portant sur les comptes rapides du Gabon. Celle-ci porte sur l’année 2010 et permet à la Direction Générale de la Statistique (DGS) de disposer d’une information sur la croissance de l’économie la plus récente possible.
La DGS peut se satisfaire d’avoir, en un an, réduit le décalage dans le respect de la périodicité de production des comptes nationaux. Il faut noter que pour permettre de fiabiliser au maximum les agrégats calculés et après analyse des différentes sources de données, la méthodologie des comptes rapides a évolué. A cet effet, ce numéro des comptes rapides revient sur les aspects méthodologiques pour mieux préciser l’approche retenue.
Pour la suite des travaux, nous nous attelons dorénavant à finaliser les comptes définitifs pour que le retard dans la production des comptes soit définitivement comblé.
En termes de présentation, la présente publication se distingue de la précédente par son caractère très synthétique avec une présentation des différentes évolutions des données de comptabilité nationale complétée par une brève justification des variations significatives de chacune des grandeurs présentées.
Nous vous rappelons que la mise en œuvre d’une méthodologie de comptes rapides visait à combler le retard de parution généralement dû au retard de mise à disposition des sources par les fournisseurs de données (principalement les Déclarations Statistiques et Fiscales des entreprises). De fait, cette méthodologie se contente des informations disponibles et de quelques indicateurs d’activité. Dans ces conditions les données de la dernière année de comptes (dans notre cas 2008) peuvent être corrigées dès obtention de l’information définitive. Ces corrections ne modifient pas fondamentalement l’évaluation de la richesse créée mais généralement certaines de ses composantes. L’équilibre général n’est donc pas modifié fondamentalement mais ce sont les équilibres comptables par produits qui peuvent changer.
Toute œuvre humaine n’étant pas parfaite, nous nous efforçons d’améliorer progressivement cette parution dans le fond et dans la forme. En ce qui concerne le fond, il est important que nos fournisseurs de données s’intègrent dans le vaste chantier des réformes que nous envisageons pour la statistique car pour cette année, la priorité va être accordée à l’amélioration de notre capacité à coordonner le Système Statistique National.
Nous sommes donc disposés à prendre en compte vos remarques et suggestions pour nous aider à parfaire ce travail.
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Introduction
La présente note introductive va s’appesantir sur des précisions d’ordre méthodologique
et elle donnera un bref aperçu des évolutions globales décrites dans la suite du
document.
En ce qui concerne la méthodologie, il faut noter que l’examen des sources utilisées dans
la première estimation des comptes rapides a fait ressortir des facteurs d’instabilité dans
leur disponibilité régulière. Pour cause, il a fallu se réajuster, en termes méthodologiques
pour conserver le caractère rapide de la disponibilité des agrégats.
Dans ces conditions, l’accessibilité relativement rapide aux données portant sur l’Indice
de la production Industrielle, le commerce extérieur, l’Indice Harmonisé des Prix à la
Consommation (IHPC) et l’utilisation des données de l’enquête de conjoncture annuelle
de la Direction Générale de l’Economie constitue la base essentielle de l’élaboration des
comptes rapides.
A partir des données issues de ces sources, l’évolution de la production de chaque
produit par rapport à l’année précédente permet de déterminer la production à prix
constant de l’année précédente. Sur la base de la production par produit et à partir des
coefficients de structure de la dernière année des comptes définitifs, on détermine alors
la production des branches.
Les autres composantes des ressources par produits (marges, TVA, Droits et Taxes à
l’exportation et à l’importation) sont calculées à partir des taux de marge implicites et
des données fiscales et douanières qui elles sont disponibles dans des délais raisonnables.
Les Consommations Intermédiaires par produits (CI) sont calculés à l’aide de coefficients
techniques alors que les exportations par produits sont issues des données douanières. In
fine, les CI et les exports par produits sont déduits du total des ressources par produits
obtenu dans la première phase. Le montant restant est alors réparti entre consommation
finale et FBCF grâce aux coefficients de structure issus du dernier TRE définitif. L’équilibre
ressources/emplois est alors bouclé au niveau de la variation des stocks.
On obtient ainsi un TRE à prix constants de l’année précédente qui nous conduit au TRE
en valeur calculé à partir d’une matrice des prix élaboré sur la base de l’IHPC. Par la
suite, grâce à la méthode de chaînage des indices des prix, on reconstitue le TRE base
100 en 2001.
Ce sont ces résultats qui donnent l’évolution du Produit Intérieur Brut tiré des comptes
rapides objet de cette publication.
Ainsi, en 2009, les économies développées ont traversé une forte récession dont
l’évolution s’est faite en deux phases :
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• fin 2008 et début 2009, la récession atteint son paroxysme dans l'ensemble des
économies développées ;
• dès le deuxième trimestre 2009, sous l'effet d'une vigoureuse réaction des politiques
économiques dans ces pays, des signes de stabilisation de l'activité se font jour, et
la reprise se confirme au second semestre.
De fait en 2010, Malgré la mesure d’interdiction d’exportation des grumes, les
performances enregistrées dans le secteur pétroliers et le dynamisme du secteur hors
pétrole ont permis à l’économie gabonaises d’engranger des résultats positifs.
La synthèse des résultats économiques du pays au cours de l’année 2010 est reprise dans
les pages qui suivent.
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Liste des tableaux et des principales abréviations
Tableaux :
Tableau 1 : Evolution du Produit intérieur Brut (en millions de F CFA)
Tableau 2 : Evolution du PIB par branches d’activités
Tableau 3 : Evolution des composantes de la demande
Tableau 4 : Contribution à la croissance des éléments de la demande (en %)
Tableau 5 : Evolution de la consommation par produits
Tableau 6 : Evolution des exportations par produits
Tableau 7 : Evolution des importations par produits
Abréviations :
ERETES : Equilibre Ressources Emplois, Tableau Entrées Sorties
DGS : Direction Générale de la Statistiques
DGE : Direction générale de l’Economie
PIB : Produit Intérieur Brut
TVA : Taxe sur la Valeur Ajoutée
DSF : Déclaration Statistique et Fiscale
OHADA : Organisation pour l’Harmonisation du Droit des Affaires en Afrique
BEAC : Banque des Etats de l’Afrique Centrale
TOFE : Tableau des Opérations Financières de l’Etat
TRE : Tableau des Ressources et des Emplois
FBCF : Formation Brute de Capitale Fixe
DTI/DTE : Droits et Taxes à l’Importation/Exportation
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II/ LES PRINCIPAUX RESULTATS
II.1/ L’évolution du PIB
Sur la base des prix de 2009 (cf Tableau 1), le taux de croissance de l’économie s’est situé à 6,9% par rapport à l’année 20091.
En réalité, en dépit de l’interdiction d’exportation du bois en grumes, les bons résultats engrangés au niveau de l’activité pétrolière (+5,2% par rapport à 2009) et la bonne tenue du secteur hors pétrole (+7,9%) expliquent cette performance.
Tableau 1 : Evolution du Produit intérieur Brut (en milliards de F CFA)
Tableau 2 : Evolution du Produit intérieur Brut aux prix de 2001 (en milliards de F CFA)
II.2/ Le PIB par branches d’activité
La déclinaison par branche d’activité confirme le caractère prépondérant des industries extractives, principalement celles exerçant dans le pétrole et le manganèse. Elle confirme aussi la dynamique du secteur secondaire entraînée par les bonnes performances du BTP eu égard aux grands travaux initiés au cours de l’année 2010 suite aux fêtes tournantes et en vue de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nation. Le secteur tertiaire, quant à lui, conforte son rôle de leader économique de l’après pétrole.
Le tableau de la page suivante décrit les performances des grandes branches d’activité de la Comptabilité Nationale du Gabon.
1 Les taux de croissance sont calculés par rapport au PIB en valeur de l’année précédente puisqu’il s’agit dorénavant de calculer le PIB réel aux prix de l’année précédente. Les données à l’année de base 2001 sont présentées à titre indicatifs.
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Tableau 3 : Evolution du PIB par branches d’activités (en milliards de F CFA)
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Tableau 4 : Evolution du PIB aux prix de 2001 par branches d’activités(en milliards de F CFA)
II.3/ Le PIB optique demande
La mesure portant sur l’augmentation du Revenu Minimum Commun et les grands travaux entamés en 2010 ont permis de relancer la demande intérieure après une année 2009 marquée par les évènements qui se sont succédés au Gabon en 2009 (décès du Président de la République puis organisation des élections anticipées).
Comme facteurs porteurs de cette évolution, l’augmentation conséquente de l’investissement public (+76,4%), du hors pétrole (+12%) et des investissements liés au développement des champs pétroliers et à la recherche pétrolière (+4%) qui ont contribué à l’accroissement du flux d’investissement global (+17,2%).
De même, la mise en œuvre des premières mesures de l’ère de l’émergence et la relative maîtrise du phénomène inflationniste ont permis de conforter la tendance haussière de la consommation à +2,9% en 2010.
Les bonnes performances du secteur pétrolier ont généré un surplus conséquent en exportations, ce qui a permis de couvrir la hausse des importations corrélée à l’évolution globale de l’activité économique. De fait, le niveau de l’excédent commercial a augmenté par rapport à 2009 (+4,5%) malgré le manque à gagner lié à l’arrêt des exportations du bois en grume.
En fait, la forte croissance réalisée en 2010 résulte principalement de la bonne tenue de la demande intérieure issue des comportements favorables de consommation et d’investissement dont les contributions respectives à la croissance sont de 1,6% et 4,2%.
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Les tableaux de la page suivante présentent l’évolution des composantes de la demande.
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Tableau 5 : Evolution des composantes de la demande(en milliards de F CFA)
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Tableau 6 : Evolution des composantes de la demande aux prix de 2001(en milliards de F CFA)
Tableau 7 : Contribution à la croissance des éléments de la demande (base 100 = n-1 en %)
II.4/ L’approche produits
a) Consommation par produits
(Voir Tableau 8 page suivante)
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Tableau 8 : Evolution de la consommation par produits (en millions de F CFA)
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Tableau 9 : Evolution de la consommation par produits aux prix de 2001 (en milliards de F CFA)
b) Exportations par produits
(Voir tableau 10 page suivante)
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Tableau 10 : Evolution des exportations par produits (en milliards de F CFA)
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Tableau 11 : Evolution des exportations par produits aux prix de 2001 (en milliards de F CFA)
c) Importations par produits
(Voir tableau 12 page suivante)
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Tableau 12 : Evolution des importations par produits (en milliards de F CFA)
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Tableau 12 : Evolution des importations par produits aux prix de 2001
(en milliards de F CFA)
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ANNEXES 1: QUELQUES DEFINITIONS
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DEFINITIONS
Administrations publiques
C’est l’ensemble des unités institutionnelles dont la fonction principale est de produire des services
non marchands ou d’effectuer des opérations de redistribution du revenu et des richesses
nationales. Elles tirent la majeure partie de leurs ressources de contributions obligatoires. Elles
comprennent les administrations publiques centrales, les administrations publiques locales et les
administrations de sécurité sociale.
Biens
Ce sont les objets physiques pour lesquels il existe une demande, sur lesquels des droits de
propriété peuvent être établis, et dont la propriété peut être transférée d’une unité institutionnelle
à une autre par le biais d’une opération sur le marché.
Comptes à prix constants
Ce sont des comptes déflatés des effets des variations de prix par rapport à une année de
référence.
Consommation finale
Valeur de l’ensemble des biens et services utilisés pour la satisfaction directe des besoins humains,
individuels ou collectifs, la consommation finale se compose de :
Consommation finale des ménages (consommation finale privée) : ensemble de la
consommation des ménages résidents, qu’elle soit effectuée sur le territoire économique ou dans
le reste du monde. Elle exclut la consommation finale des ménages non résidents sur le territoire
économique. La Consommation finale est valorisée au prix d’acquisition (TVA comprise).
Consommation finale des administrations publiques (consommation finale publique) : valeur des
services non marchands produits par les branches non marchandes, déduction faite des
paiements partiels effectués par les ménages pour la fourniture de ces services.
Contribution à la croissance du PIB
La contribution d’une des composants des emplois à la croissance du PIB est le rapport, exprimé
en pourcentage et à prix constants, entre la variation de cette composante entre les années n-1
et n à la valeur du PIB de l’année n-1.
Corrections territoriales
C’est une rubrique d’ajustement dans l’équilibre général Ressources-Emplois des biens et services.
En ressources, elle correspond aux produits consommés par les résidents dans le reste du monde,
en emplois, elle correspond aux produits consommés par les non résidents sur le territoire national.
Exportations de biens et de services
C’est l’ensemble des biens et des services fournis par des résidents à des non résidents, à titre
onéreux ou gratuit. Elles sont évaluées au prix FAB (franco à bord).
Formation brute de capital fixe (FBCF)
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Encore appelée investissement, la FBCF est égale aux acquisitions moins les cessions d’actifs fixes
réalisée par les producteurs résidents. Les actifs fixes sont les actifs corporels ou incorporels issus de
processus de production et utilisés de façon répétée ou continue dans d’autres processus de
production pendant au moins un an.
FBCF des ménages
C’est l’acquisition ou la production pour propre compte de logements dans le cadre de l’activité
domestique des ménages. Par ailleurs, les biens d’équipement constituent de la FBCF lorsqu’ils
sont acquis pour répondre à des fonctions d’entrepreneurs individuels des ménages.
Importations des biens de services
Ce sont l’ensemble de biens et des services fournis par des non résidents à des résidents, à titre
onéreux ou gratuit. Elles sont mesurées en prix CAF (coût, assurance, fret).
Impôts sur la production et les importations
Ce sont les versements obligatoires sans contrepartie, prélevés par les administrations publiques et qui frappent la production et l’importation de biens de services, l’emploi de main d’œuvre et la propriété ou l’utilisation de terrains, bâtiments et autres actifs utilisés à des fins de production. Ces impôts indirects sont dus indépendamment de la réalisation de bénéfices d’exploitation.
Impôts sur le revenu
Il s’agit des impôts frappant les revenus, les bénéfices et les gains en capital. Ils sont établis sur les revenus effectifs ou présumés des personnes physiques, ménages, sociétés, et institutions sans but lucratif au service des ménages.
Production
La production est une activité exercée sous le contrôle et la responsabilité d’une unité institutionnelle qui combine des ressources en main- d’œuvre, capital et biens et services pour fabriquer des biens ou fournir des services.
Production marchande
Production écoulée ou destinée à être écoulée sur le marché. La production marchande comprend :
- les produits vendus à un prix économiquement significatif (c'est-à-dire à un prix qui a une influence significative sur les montants que les producteurs sont disposés à offrir et sur les montants que les acquéreurs souhaitent acheter) ;
- les produits troqués ; - les produits autoconsommés ; - les produits stockés.
Production non marchande C’est l’ensemble des biens et des services individuels ou collectifs produits par les administrations
privées ou par les administrations publiques et fournis gratuitement , ou à des prix
économiquement non significatifs (c'est-à-dire à des prix qui ont peu ou pas d’influence sur les
quantités qu’un producteur est disposé à offrir et qui et qui n’ont , selon toute vraisemblance ,
qu’une influence marginale sur les quantités demandées), à d’autres unités institutionnels ou à la
consommation dans son ensemble.
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Produit intérieur brut aux prix du marché (PIB)
Agrégat représentant le résultat final de l’activité de production des unités productrices
résidentes, le PIB peut se définir de trois manières :
- somme des valeurs ajoutées brutes des différents secteurs institutionnels ou des différentes branches d’activité, augmentée des impôts moins les subventions sur les produits ;
- somme des emplois finals intérieurs de biens et de services (consommation finale, FBCF variations de stocks), plus les exportations, moins les subventions ;
- somme des emplois des comptes d’exploitation des secteurs institutionnels : rémunération des salariés, impôts sur la production et les importations moins les subventions, excédent brut d’exploitation et revenu mixte.
Produit national brut
C’est le revenu résultant de la répartition de la valeur ajoutée, de la distribution des revenus de la
propriété et des opérations et redistribution.
Services
Ce ne sont pas les entités indépendantes sur lesquelles il est possible d’établir des droits de
propriété. Leur commercialisation ne peut être dissociée de leur production .Les services sont des
sorties hétérogènes produits sur commande ; ils se traduisent typiquement par un changement de
l’état des unités qui les consomment, changement obtenu par l’activité des producteurs à la
demande des consommateurs.
Stocks
Ils représentent la situation, ou la détention, par les unités institutionnelles ; des actifs et des passifs à un moment précis dans le temps.
On enregistre la valeur des actifs non financiers, produits et non produits, et celle des actifs et
passifs financiers. Les actifs couverts se limitent à ceux qui sont utilisés dans l’activité économique
et qui font l’objet de droits de propriété.
Subventions
Ce sont les transferts courants sans contrepartie que les administrations publiques versent à
des producteurs résidents dans le but d’influencer leurs niveaux de production, leurs prix ou la
rémunération des facteurs de production. On distingue les subventions sur les produits, versées par
unité de bien ou de service produite ou importée et les autres subventions sur la production.
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NOMENCLATURE DES BRANCHES D’ACTIVITES
Libellé
Branches retenues pour la
publication Agriculture, élevage,chasse, pêche B01
Exploitation forestière, sylviculture B02
Production de pétrole brut et gaz naturel et der services pétroliers B03
Autres extractions B04
Industries agro-alimentaires B05
Industries des boissons et du tabac B06
Industries textiles, de l'habillement et du cuir B07
Industries du bois et de l'ameublement B08
Fabrication du papier, imprimerie, édition B09
Raffinerie de pétrole B10
Industrie chimique, transformation du caoutchouc et des matières plastiques B11
Fabrication de matériaux de construction, industrie du verre B12
Travail des métaux, fabrication de matériels et biens d'équipement, autres n.c.a B13
Production et distribution d'eau et d'electricité B14
Bâtiment et travaux publics B15
Commerce B16
Services de réparation B17
Hôtels, bars, restaurants B18
Transports B19
Postes et télécommunications B20
Services financiers B21
Services immobiliers B22
Services rendus aux entreprises B23
Administrations publiques B24
Services d'éducation et de santé B25
Services rendus aux ménages B26
SIFIM B27
Correction territoriale B28
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Organigramme de la Direction Générale des StatistiquesOrganigramme de la Direction Générale des StatistiquesOrganigramme de la Direction Générale des StatistiquesOrganigramme de la Direction Générale des Statistiques
Directeur Général : Francis Thierry TIWINOT
Directeur Général Adjoint : Paolo – Yves OVONO
OVONO
Directeur de la Comptabilité Nationale : Poste vacant
Chef de Service des Comptes de la nation : Césaire MBADINGA
KOMBILA
Chef de Service des Etudes Economiques : Jean Jacques ONDO
MEGNE
Directeur des Etudes, de la Coordination Statistique et de l’Informatique : Symolin
ONDO METO’O
Chef de Service des Etudes et de la Coordination Statistique : Jean Benoit PONGUI
PONGUI
Chef de Service Informatique : Poste vacant
Direction des Statistiques Démographiques : Jean Noel BIYOGHO
OBAME
Chef de Service des Etudes Démographiques : Noel MOUSSAVOU
Chef de Service des Mouvements de population et de l’Etat-Civil : Edwige OYE NDONG
Chef de Service Cartographie : Désiré ZE NGUEMA
Directeur des Statistiques Générales : Jean Nestor
NGUEMA
Chef de Service des Statistiques de Production et du Commerce Extérieur : François
Nicaise NKOGHE NZE
Chef de Service des Enquêtes : Louis Bernard MOUANDA
Chef de Service des Prix et Indicateurs Sociaux : Nicole NGUEMA
MBOGHO
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DIRECTION GENERALE DES STATISTIQUES
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B.P 2119 Quartier Lalala, Libreville (République Gabonaise).
Téléphone : (241) 72.04.55/ 72.13.69 / 76.06.71 / 76.14.12
Fax : (241) 72.04.57
Courriels : [email protected] Site web : www.stat-gabon.com