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Les courbes d’indifférence ne se coupent pas (1). x 2. Propriété 1 : les CI ne se coupent pas. +. X. X’. +. +. X’’. U 1. U 2. x 1. Les courbes d’indifférence ne se coupent pas (2). x 2. Propriété 1 : les CI ne se coupent pas. U 2. U 1. x 1. - PowerPoint PPT Presentation
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I. Microéconomie du consommateurII. Microéconomie du producteurIII. Deux autres défaillances du marchéIV. Prix plafond – Prix plancherV. La croissance économiqueVI. Le commerce internationalVII.Comptabilité nationaleVIII.La politique macroéconomiqueIX.La courbe de PhillipsX. Le modèle WS-PS
Les schémas : plan général
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A. Préférences et courbes d’indifférenceB. Les élasticitésC. Effet de substitution et effet-revenuD. Arbitrage travail-loisir et courbe
d’offre de travailE. Arbitrage consommation-épargne
I. Microéconomie du consommateur
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Les courbes d’indifférence ne se coupent pas (1)x2
x1
U1
U2
Propriété 1 : les CI ne se coupent pas
+
++X X’
X’’
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Les courbes d’indifférence ne se coupent pas (2)x2
x1
U1
U2
Propriété 1 : les CI ne se coupent pas
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e.fr
Préférences intransitives et choix cohérents (May (1954))
Salaire Prestige Réputation Localisation
Université I
a b d c
Université II
b c a d
Université III
c d b a
Université IV
d a c b
Règle de choix entre 2 universités : université meilleure pour + de 50% des critères
Université I Université II
Université II Université III
Université III Université IV
Université IV Université I
>
>
>
>
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Les courbes d’indifférence sont décroissantes (1)x2
x1
U1
Propriété 2 : les CI sont décroissantes
X+
X’ +
4 11
3
8
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Les courbes d’indifférence sont décroissantes (2)x2
x1
U1
Propriété 2 : les CI sont décroissantes
U3
U2
Sens de ‘préférence croissante’
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Les courbes d’indifférence sont convexes (1)x2
x1
U1
Propriété 3 : les CI sont convexes
X
X’
3
1
100 101
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Les courbes d’indifférence sont convexes (2)x2
x1
U1
Propriété 3 : les CI sont convexes
3
1
20 60
X
X’
Remarque : si les CI sont convexes alors l’utilité marginale est décroissante
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e.fr
L’optimum du consommateurx2
x1
U1
U2
U3
2pR
1pR
x2*
x1*
X*
En X*, le Taux Marginal de Substitution (du bien 2 au bien 1) est égal au rapport des prix (p1/p2)
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Elasticité-revenu et types de biens
iR x 1
Bien inférieur
Bien prioritaire Bien de luxe
Bien normal
0)(' Ri0)(' Ri 0
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e.fr Ef
baisse de p1
E’
Ei
Effets de substitution et de revenu (biens normaux)x2
x1
Effet de substitution : ↑x1 et ↓x2
Effet – revenu : ↑x1 et ↑x2
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Arbitrage travail/ loisir (1)
LLCU ,
Contrainte budgétaire :
Fonction objectif :
wLRpC 0
Valeur de la consommation Valeur des revenus
(non salariaux + salariaux)
Niveau de consommation Niveau de loisir
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Arbitrage travail/ loisir (2)
LL
C
L
pR0
pRLw 0
Le taux marginal de substitution de la
consommation au loisir est égal au salaire réel
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Arbitrage travail/ loisir (3) :effet d’une hausse du salaire réel
LL
C
L
pRLw 01
pRLw 02
Ei
E’Ef
Effet de substitution : ↑L et
↑C
Effet – revenu : ↓L et ↑C
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Arbitrage travail/ loisir (4) :la courbe d’offre de travail renversée
pw
L
Salaire de réservation
L’effet de substitution l’emporte
L’effet de revenu l’emporte
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La contrainte budgétaire (intertemporelle) :
Arbitrage consommation / épargne (1)
cas 0 : contrainte de liquidité
11 RC 22 RC
).( 111122 CRiCRRC
iRR
iCC
112
12
1
Valeur actuelle de la consommation
Valeur actuelle du revenu
(= Richesse = W)
cas 2 : avec intérêt
2121 RRCC cas 1 : sans intérêt
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Construction graphique :
Si alors
Si alors
Arbitrage consommation / épargne (2)
01 C
1212 ).1().1( RiRCiC
02 C
212 ).1( RRiC
)1(2
11 iRRC
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Construire une courbe d’indifférence :
Arbitrage consommation / épargne (3)
C2
C1
4
118
?
Combien de biens en + demain pour accepter la perte de 3 unités aujourd’hui ?
Consommation future
Consommation présente
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Arbitrage consommation / épargne (4)
W
C2
C1
Wi)1(
C2*
C1*
Optimum
iRRW
1
21
Rappel :
R2
R1
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Les effets ambigus d’une hausse du taux d’intérêt :
- Effet de substitution => Hausse de l’épargne
- Effet de revenu (hausse du revenu) => Baisse de l’épargne
- Effet de richesse (baisse de la richesse) => Hausse de l’épargne
Arbitrage consommation / épargne (5)
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A. Les fonctions de productionB. Le producteur en concurrence parfaiteC. Le monopoleurD. Le monopole naturelE. Autres modèles de concurrence imparfaite
II. Microéconomie du producteur
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Les fonctions de production
Les fonctions de production Cobb-Douglas
Les fonctions de production à facteurs complémentaires
LAKy
bL
aKMiny ,
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e.fr
L’optimum du producteur en CPP(à court terme : barrières à l’entrée)
q
Cm(q)
CM(q)
q*
ECPP
CM(q*)
Profit du producteur
p(q)p
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L’optimum du producteur en CPP(à long terme : libre entrée)
q
Cm(q)
CM(q)
q*
ECPPp*
Q
p
Offre
Demande
MarchéFirme
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L’optimum du monopoleur
q
Cm(q)
CM(q)
Rm(q)
RM(q)=p(q)qCPP
ECPP
p(qM)
qM
EM
Perte sèche
Surplus du consommateur
Surplus du producteur
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La tarification du monopole naturel (1)
q
Cm(q)
CM(q)
Rm(q)
RM(q)=p(q)
pM
qM
EM
qCM
pCM
qCm
pCm
CM(qCm)
Perte du producteur avec tarification au
coût marginal
Tarification au coût moyen maximisation du surplus
collectif sous contrainte budgétaire
(optimum de second rang)
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La tarification du monopole naturel (2) :la règle de Ramsey-Boiteux
Principes :
1) Contrainte budgétaire
2) Moduler les prix des B&S réglementés en fonction des élasticités-prix de la demande pour ces différents B&S
Justification : p > Cm => perte d’utilité du consommateur, mais d’autant plus faible que la demande est peu élastique au prix.
Résultat :
L’écart relatif du prix au Cm doit être inversement proportionnel à l’élasticité-prix de la demande
Avec,
Ecart relatif = k
kk
pCmp
Le problème se pose de savoir « comment doit être infléchie la règle de vente au coût marginal lorsque l’entreprise est soumise par ailleurs à une condition budgétaire incompatible avec cette règle de gestion. » (Boiteux (1956)
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Autres modèles de concurrence imparfaite
Cournot Bertrand Stackelberg Collusion tacite
Concurrence en quantité en prix en quantité en quantité (ou en prix )
Données de l’exemple- Fonction de demande linéaire : Coût unitaire constant :
5 ppQd
iii qqCM 2
Production 1 1 1.5 1.5 (leader) 0.75 Production 2 1 1.5 0.75 (suiveur) 0.75
Prix 3 0.75 2.75 3.5Profit 1 1 0 1.125 1.125Profit 2 1 0 0.5625 1.125
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Le dilemme du prisonnier
Joueur 2
Coopère(nier)
Ne coopère pas(avouer)
Joueur 1
Coopère(nier) (b,b) (d,a)
Ne coopère pas(avouer) (a,d) (c,c)
Avec : a > b > c > d
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Le dilemme du duopoleur : concurrence (en quantité) ou collusion ?
Firme 2
Collusion(production = 0.75)
Concurrence(production = 1)
Firme 1
Collusion(production = 0.75) (1.125 , 1.125) (0.9375 , 1.25)
Concurrence(production = 1) (1.25 , 0.9375) (1 , 1)
Remarque : Si une firme joue la collusion (production = 0.75) et l’autre joue la concurrence (production = 1), alors le prix de marché, donné par la fonction de demande est égal à 3.25
Equilibre de Cournot-Nash
Solution Pareto-optimale
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Pouvoir de marché selon la structure de marché :l’indice de Lerner
Définition de l’indice de Lerner : pCmp
Valeur de l’indice de Lerner selon la structure de marché
Concurrence parfaite Oligopole de Cournot Monopole
0p
1np
1
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Le problème du hold-up : illustration
Coût total des investissements spécifiques [1] 4Soit pour chaque firme [2]= [1]/2 2
Retour brut sur investissement [3] 8Soit par firme, pour un partage égal [4]= [3]/2 4
Résultat par firme pour un partage égal [5]= [4]- [2] 2Montant par firme des frais de tentative d’accaparement [6] 3Résultat par firme si les 2 firmes tentent l’accaparement [5]- [6] -1Résultat pour la firme qui a tenté seule l’accaparement [3]- [2]- [6] 3Résultat pour la firme, seule à ne pas avoir tenté l’accaparement -[2] -2
Données du jeu
Stratégies
Firme A
Déloyale Loyale
Firme BDéloyale -1 , -1 3 , -2
Loyale -2 , 3 2 , 2
0,0
Contrat acceptéContrat refusé
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prix
p1
p0
q1 q0 quantité
c0
c1
demande
Effet d’une fusion : l’arbitrage de Williamson (1968)
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A. Les biens publicsB. Les externalités
III. Deux (autres) défaillances du marché
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Biens publics purs et impurs : rappels
Biens rivaux Biens non rivaux
Biens excludables Biens privés Biens de
club
Biens non excludables
Biens communs
Biens publics (purs)
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Non rivalité et rationnement sous-optimal du consommateur : l’exemple du pont
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Le dilemme du prisonnier et le financement des biens publics
Citoyen 2
Contribution Non contribution
Citoyen 1
Contribution (1 , 1) (-1 , 3)
Non contribution (3 , -1) (0 , 0)
Remarque : le comportement de free rider n’est pas systématique. Les études expérimentales montrent que des homo sapiens jouant au jeu du bien public contribuent spontanément au financement des biens collectifs. Si la contribution diminue généralement quand le jeu est répété, la communication ou la possibilité de sanctions à l’égard des free riders renforcent les comportements coopératifs.
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Le dilemme du prisonnier et la tragédie des communs
Pêcheur 2
Pêche raisonnée Pêche intensive
Pêcheur 1
Pêche raisonnée (2 , 2) (0 , 3)
Pêche intensive (3 , 0) (1 , 1)
Remarque : la surconsommation des biens communs n’est pas une fatalité. Dans le cadre d’études de terrain, Ostrom donne plusieurs exemples de gestion locale de ressources naturelles (forêts communales au Japon et en Suisse, communautés d’irrigation en Espagne ou aux Philippines, gestion de sites de pêche en Turquie…) échappant à la « tragédie des communs » grâce à la capacité des individus à mettre eux-mêmes en place des règles efficaces évitant la surconsommation.
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Externalités négatives : équilibre décentralisé, optimum social et effet d’une taxe pigouvienne
pS
YS
E’
F
O’= Cmsocial
D
pCPP
YCPP
ECPP
O = Cmprivé
p’ F’
Coût social de la Yème unité produite
Taxe unitaire sur la production Perte de
surplus du consommateur
Perte de surplus du producteur
Gain de l’EtatGain social
Gain net de surplus collectif
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IV. Prix plafond – Prix plancher
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e.fr
Effet de la fixation d’un prix plafond sur un marché
pCPP
YCPPYS
E’
ECPP
Offre
Demande
prix
Quantité
pmax
Perte de surplus collectif (rationnement
de la demande)
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e.fr
Effet de la fixation d’un prix plancher sur un marché
pmin
pCPP
YS YCPP
E’
ECPP
Offre
Demande
prix
Quantité
Perte de surplus collectif (surproduction)
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V. La croissance économique
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)( tkf
)(. tkfs
tkn.
tk0
k1k 2k0k 0k
y
Le modèle de Solow : une croissance équilibrée, de plein-emploi, stable
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e.fr
A. L’équilibre macroéconomique en économie ouverteB. Effets d’un droit de douaneC. Le modèle de Brander et SpencerD. Le modèle de Viner
VI. Le commerce international
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e.fr
L’équilibre macroéconomique en économie ouverte
Y + M = C + I + G + X (1)
Y + U = C + S + T (2)
(1) et (2) donnent :(S – I) + (T – G) = X – M + U = BOC (3)
Soit,SN – I = BOC (4)
Et, comme BOC + SCF = 0,SN – I = BOC = - SCF (5)
Equilibre Emplois – Ressources Optique Revenu, avec U = solde du compte revenu et du compte des transferts courants, T = les impôts nets de transferts publics
Epargne nette du secteur privé + Solde budgétaire= Solde courant (BOC) La balance commerciale
reflète l’écart entre l’épargne nationale et l’investissement domestique
- Epargne nationale supérieure à l’investissement domestique => capacité de financement => le pays est exportateur net de capitaux (SCF < 0, avec SCF = solde du compte financier), en contrepartie d’un excédent courant (BOC > 0).- Epargne nationale inférieur à l’investissement domestique => le pays vit « au-dessus de ses moyens » (besoin de financement) => le pays est importateur net de capitaux (SCF > 0), en contrepartie d’un déficit courant (BOC < 0)
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e.fr
dba c
Effets d’un droit de douane (Cas d’un ‘petit’ pays)
Prix
Quantité
Offre
Demande
Pa
Pw + t
Pw
Importations avant droit de douane
Importations après droit de douane
Consommateurs -(a + b + c + d) Perte
Producteurs a Gain
Etat c Gain
Pays importateur (total) -(b + d) Perte
©
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e.fr
dba c
Effets d’un droit de douane (Cas d’un pays ‘pas trop petit’ )
Prix
Quantité
Offre
Demande
Pa
Pt*+t
Pw
Importations avant droit de douane
Importations après droit de douane
Consommateurs a + b + c + d Perte
Producteurs a Gain
Etat c + e Gain
Pays importateur
(total)e – (b + d) ?
Pt*e
©
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e.fr
Nash et son équilibre
John Nash (13 juin 1928 – 23 mai 2015)
Nash J. (1951), « Non-Cooperative Games », The Annals of Mathematics
Equilibre de Nash :Une issue d’un jeu est un équilibre de Nash si aucun joueur ne peut, en changeant unilatéralement de stratégie, augmenter son niveau d’utilité.
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e.fr
Modèle de Brander et Spencer (1985) :cas Cournot sans subvention
2 équilibres de Nash
Þ Boeing est le seul à produire s’il entre le premier sur le marché(avantage de first-mover)
Airbus
Produire Ne pas produire
Boeing
Produire (-5 , -5) (100 , 0)
Ne pas produire (0 , 100) (0 , 0)
©
jero
mev
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n.fre
e.fr
Modèle de Brander et Spencer (1985) :cas Cournot avec subvention
1 seul équilibre de Nash
Subvention à la production de 25 => Airbus est le seul à produire
Airbus
Produire Ne pas produire
Boeing
Produire (-5 , 20) (100 , 0)
Ne pas produire (0 , 125) (0 , 0)
©
jero
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n.fre
e.fr
dba c
Zone de libre-échange : création et détournement de trafic(Viner (1950))
Prix
Quantité
Offre
Demande
PDD =8
PEU =6
Importations après ZLE
Importations avant ZLE
Consommateurs UE a + b + c + d Gain
Producteurs UE - a Perte
‘Etat’ - (c + e) Perte
Total b + d - e ?
Pw =4e
Effet de création
Effet de détournement
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n.fre
e.fr
I. L’équilibre Emplois – RessourcesII. Les comptes des secteurs institutionnelsIII. Le calcul du PIB
VII. Comptabilité nationale
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e.fr
L’Equilibre Emploi-Ressources
P(Production)
+ M(Importation
s)
= CI(Consommations
intermédiair
es)
+ CF(Dépenses de consommati
on finale)
+ FBCF(Formation Brute de Capital Fixe)
+ X(Exportations)
+ ∆Stock(Variation de
Stocks)
+ ∆Objet
Valeur(Acquisitions nettes
de cessions
d’objets de valeur)
► Vers les données de l’INSEE
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e.fr
Compte de ProductionProduction
Valeur ajoutée bruteCompte d’Exploitation
Valeur ajoutée bruteExcédent brut d’exploitation
Compte d’affectation des Revenus primairesExcédent brut d’exploitation
Solde des revenus primaires brutsCompte de distribution secondaire du Revenu
Solde brut des revenus primairesRevenu disponible brut
Compte d’Utilisation du revenuRevenu disponible brut
Epargne bruteCompte de Capital
Epargne bruteCapacité (+) ou Besoin (-) de financement
Les Comptes des SI (‘PERRUC’)
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e.fr
Compte de production
Consommation Intermédiaire Production
Valeur ajoutée brute
Le Compte de Production
©
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e.fr
Compte d’exploitation
Rémunération des salariés (y compris les cotisations sociales)
Valeur ajoutée brute
Autres impôts sur la production (Contribution économique territoriale…)
- Subventions d’exploitation
Excédent brut d’exploitation
Le Compte d’Exploitation
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e.fr
Compte d’affectation des revenus primaires
Excédent brut d’exploitation
Rémunération des salariés
Impôts sur la production et les importations
-Subventions
Revenus de la propriété versés Revenus de la propriété perçus
Solde des revenus primaires bruts
Le Compte d’affectation des revenus primaires
©
jero
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illio
n.fre
e.fr
Compte de distribution secondaire du revenu
Solde brut des revenus primaires
Impôts courants sur le revenu et le patrimoine reçus
Cotisations sociales reçues
Prestations sociales reçues
Autres transferts courants reçus
Revenu disponible brut
Le Compte de distribution secondaire du revenu
©
jero
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illio
n.fre
e.fr
Compte d’utilisation du revenu
Dépense de consommation finale Revenu disponible brut
Epargne brute
Le Compte d’Utilisation du revenu
©
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illio
n.fre
e.fr
Compte de capital
Formation Brute de Capital Fixe Epargne brute
- Consommation de capital fixe Transferts en capital reçus (aides à l'investissement…)
Variation des stocks - Transferts en capital versés
Acquisitions moins cessions d’objets de valeur et d’actifs non financiers non produits (terrains, brevets…)
Capacité (+) ou Besoin (-) de financement
Le Compte de Capital
©
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illio
n.fre
e.fr
Les principaux ratios
► Vers les données de l’INSEE : les SNF et EI
► Vers les données de l’INSEE : les ménages
©
jero
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illio
n.fre
e.fr
Le Produit Intérieur Brut : calcul
Les 3 approches :- l’approche production- l’approche par la demande- l’approche par les revenus
► Vers les données de l’INSEE
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jero
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e.fr
A. La fonction de consommation keynésienneB. Le multiplicateur budgétaireC. Le modèle IS-LMD. Le modèle IS-LM-BPE. Le modèle Offre globale – Demande globale
VIII. La politique macroéconomique
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e.fr
C = c.Y + C0
C = niveau de consommation
c = propension marginale à consommer
Y = revenu disponible
C0 = consommation autonome
La fonction de consommation keynésienne
©
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n.fre
e.fr
Y = C + I +G (1)
C = c.Yd + C0 avec Yd = Y (2)
(2) dans (1) donne :
ΔY = k.ΔG avec k = 11−𝑐
Exemple numérique :
c = 0.8 ⇒ k = 5
Prolongements
Exemple (c = 0.8) Conclusion Economie ouverte
IM = m.Y X = X0
ΔY = 11−𝑐+𝑚 ΔG m = 0.1 ⇒ k = 3.33 Moindre efficacité de la relance budgétaire en économie ouverte
Multiplicateur fiscal Yd = Y – T ΔY = −𝑐1−𝑐 ΔT k = - 4
Moindre efficacité d’une baisse d’impôts plutôt qu’une hausse des dépenses publiques
Théorème d’Haavelmo ΔG = ΔT k = 1
Existence d’un effet de relance (limité) malgré l’absence de déficit budgétaire
Politique budgétaire : l’effet multiplicateur
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jero
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e.fr
Le modèle IS - LM
La décroissance de lS : ↑i ↓I ↓Y (effet multiplicateur) ↓S⇒ ⇒ ⇒
La croissance de LM : ↑Y ↑L⇒ 1 excès de demande de monnaie hausse du ‘prix’ de la monnaie (↑i) ↓L⇒ ⇒ ⇒ 2
Equilibre sur le marché des B&S :
I(i) = S(Y)
Equilibre sur le marché de la monnaie :
M/P = L1(Y) + L2(i)(avec P fixe)
©
jero
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e.fr
Les pentes de IS et de LM
LM verticale L dépend exclusivement de Y (motif de transaction) La politique budgétaire est inefficace (effet d’éviction pur)
LM horizontale Toute augmentation de M est intégralement absorbée par la thésaurisation (trappe à liquidité) La politique monétaire est inefficace
IS verticale I ne dépend pas du taux d’intérêt I dépend des variations de la demande (accélérateur) la politique monétaire est inefficace
i1
i0
Y
LM
IS1
IS0
i0
Y
LM
IS0
i1
i0
Y
IS LM1
LM0
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e.fr
Le modèle IS – LM - BP
La décroissance de lS : ↑i ↓I ⇒ ⇒ ↓Y (effet multiplicateur) ↓S⇒
Cependant : 1) Multiplicateur + faible qu’en économie fermée => IS est + pentue2) IS peut se déplacer vers la droite si les X augmentent
La croissance de LM : ↑Y ↑L⇒ 1 excès de demande de monnaie hausse du ‘prix’ de la monnaie (⇒ ⇒ ↑i) ↓L⇒ 2
Equilibre sur le marché des B&S :
I(i) = S(Y)
Equilibre sur le marché de la monnaie :
M/P = L1(Y) + L2(i)ie
Ye
LM
IS
BP
Equilibre de la balance des paiements (BP) :
BP(Y,i) = BTC (Y) + BCX (i) = 0
La croissance de BP : ↑Y ↑IM déficit de BTC Equilibre de BP ssi ⇒ ⇒ ⇒ ↑i (excédent de BCX)
Zone d’excédents
Zone de déficits
©
jero
mev
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im
Ye
LM
IS
BP
La mobilité des capitaux : la pente de BP
i
Ye
LM
IS
BP
Mobilité parfaite des capitaux (BP horizontale)- Le taux d’intérêt est égal au taux mondial
Immobilité des capitaux (BP verticale)La balance des paiements est réduite à BTC (BCX = 0) Seul Y influence la BP : BP(Y) = BTC (Y)
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Les variations du taux de change : les déplacements de BP
Ye
LM
BP0
BP1
BP2
IS
ie
Dépréciation (↓e)Þ déplacement de BP
vers la droite (BP1)
Appréciation (↑e)=> déplacement de BP vers la gauche (BP2)
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Changes fixes et mobilité des capitaux (1)=> inefficacité de la politique monétaire
Ye
LM0
BP
IS
ie
LM1
↑M ↓i⇒
⇒ déficit de BCX
⇒ dépréciation ⇒
Achat de monnaie domestique sur le marché des changes
⇒ ↓M (retour en A)↑⇒ I ↑Y (point B)⇒
et ↑IM déficit de BTC⇒
A
B
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Changes fixes et mobilité des capitaux (2)=> efficacité de la politique budgétaire
Ye
LM
BP
IS0
ie
LM’
↑G
↑⇒ i excédent de BCX ⇒(point B)
⇒ appréciation ⇒Vente de monnaie domestique sur le marché des changes
⇒ ↑M ↑Y (point C)⇒ ↑⇒ Y
et ↑IM déficit de BTC⇒
A
B
C
IS1
Ye’
ie’
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Changes flottants et mobilité des capitaux (1)=> efficacité de la politique monétaire
Ye
LM0 BP
IS
ie
LM1
A
BC
IS’
Ye’
ie’BP’
↑M ↓i⇒
⇒ déficit de BCX
⇒ dépréciation ⇒↑EX (IS à IS’)
⇒ ↑Y (point C)↑⇒ I ↑Y (point B)⇒
et ↑IM ⇒ déficit de BTC ↓BP (BP à BP’)
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Changes flottants et mobilité des capitaux (2)=> (relative) inefficacité de la politique budgétaire
Ye
LM
BP
IS0
ie
↑G
↑⇒ i excédent de BCX ⇒(point B)
⇒ appréciation ⇒
↓EX
⇒ ↓Y (point C)
↑BP ↑⇒ Y
et ↑IM déficit de BTC⇒
A
BC
IS1
Ye’
ie’
BP’
IS1’
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De l’équilibre IS – LM à la courbe de demande agrégée
Source : Epaulard Anne et Pommeret Aude, Introduction à la macroéconomie, Paris, La Découverte « Repères », 2002
↑P ↓M/P excès de demande de monnaie ↑i ↓I ↓Y⇒ ⇒ ⇒ ⇒ ⇒
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La courbe d’offre globale est croissante
OG
Y
P
OGCT
OGLT
YN
Cas intermédiaire (OG)
↑P ↓w/P Hausse de la demande de travail ↑Y (Hausse de la production offerte)⇒ ⇒ ⇒
Cas extrêmes
Rigidité des prix (P = 0) Court terme (OGCT)
Flexibilité parfaite des prix et des salaires (w/P = 0) Long terme (OGLT)
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Fonctions d’offre globale et effets d’une relance de la demande
Source : Epaulard Anne et Pommeret Aude, Introduction à la macroéconomie, Paris, La Découverte « Repères », 2002
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Equilibre keynésien
Théorie de la préférence pour la liquidité
Courbe IS
Courbe LM
Modèle IS-LM
Courbe de
demande globale
Courbe d’offre globale
Modèle OG - DG
Du modèle IS – LM au modèle OG – DG
Source : Mankiw G., Macroéconomie.
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P OGCT
OGLT
DG2 Y
P
DG1
Y
P2
Y2
DG se déplace vers la gauche,contractant l’activité et augmentant le chômage à court terme.
AB
CAvec le temps, les prix baissent, ramenant l’économie à l’équilibre de plein-emploi.
Effets à court terme (B) et à long terme (C)d’un choc de demande négatif
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1P OGCT1
Y
P
AD
OGLT
YY2
Le choc pétrolier déplace OG vers le haut,entraînant une chute de l’activité et une montée du chômage.
A
B
Avec le temps, les prix baissent, ramenant l’économie à l’équilibre de plein-emploi.
2P OGCT2
A
Effets à court terme (B) et à long terme (A)d’un choc d’offre négatif
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La courbe de demande agrégée en économie ouverte(mobilité parfaite des capitaux)
↑P Þ↓(M/P) (LM vers la gauche) Þ ↑i (excédent BCX)
Þ ↓Y (avec ΔeN tel que i = iE – aa)↑e Þ ↓ EX (déficit BTC)
Avec, iE = taux d’intérêt étrangeraa = anticipation d’appréciation du taux de changee = taux de change réel = eN.(P/PE) (eN = taux de change nominal)
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IX. La courbe de Phillips
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La courbe de Phillips empirique
Source : Hervé Le Bihan « 1958-2008, avatars et enjeux de la courbe de Phillips », Revue de l'OFCE 4/2009 (n° 111), p. 81-101.
NAWRU(Non-Accelerating Wage Rate of Unemployment)
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La critique de la courbe de Phillips par Friedman
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X. Le modèle WS-PS
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Le modèle WS – PS (Layard, Nickell et Jackman (1991))
Source : Gautié Jérôme, Le chômage, Paris, La Découverte « Repères », 2009.
PS croissante : ↑U (récession) => ↓ marges des firmes (↓p) => ↑ w/p
WS décroissante : ↑U => ↓ pouvoir de négociation des salariés => ↓ w => ↓ w/p