Les Echos du PAC III journal interne.pdf · Le Projet PHRD va mettre l’accent sur l’augmentation de la production de cultures bio fortifiées comme les haricots et la patate douce

Les Echos du PAC IIIRevue trimestrielle d’informations et de communications N°03 Juillet-Août-Septembre 2015

Une nouvelle composante sur “l’amélioration de la nutrition au Niger”pour le PAC3

Le Projet “Agriculture sensible aux enjeux

nutritionnels et renforcement des capacités

des petits producteus” PHRD, d’un montantde 2,5 millions de dollars, financé par le gouvernementJaponais à travers la Banque Mondiale est conçucomme partie intégrante à la troisième phase duProgramme d’Actions Communautaires (PAC 3) et seramis en œuvre par le PCU du PAC 3. Le PAC3 chercheainsi à réduire la pauvreté à travers des initiatives visantà améliorer la sécurité alimentaire, relever le revenu desproducteurs ruraux tout en augmentant, en sécurisantet en diversifiant la production alimentaire. Le PAC estun programme national, mais comme le don PHRD estlimité, ses activités vont mettre l’accent sur le travailrelatif à la nutrition uniquement dans deux (02) régionsà savoir Tahoua et Maradi.

Le Projet PHRD va mettre l’accent sur l’augmentationde la production de cultures bio fortifiées comme lesharicots et la patate douce (OFSP), ainsi que desproduits de jardinage. Ce jardinage utilisera

judicieusement le peu d’espace pour la productionde fruits/légumes, ce qui va améliorer l’accès à unevariété de produits riches en micronutriments pouraccompagner les cultures bio fortifiées. On espère quel’augmentation de la production servira essentiellementà la consommation des nourrissons et des Mamansplutôt qu’à la vente même si l’on comprendrait aisémentque les femmes productrices pourraient vendre unepartie de cette production pour faire face à d’autresbesoins de la famille.

Le Projet aura trois composantes: la composante 1s’attèlera à mobiliser les petits producteurs et renforcerleurs capacités; la composante 2 va promouvoir laproduction de cultures horticoles à haute valeur nutritive;la composante 3 va soutenir la sensibilisation et lacommunication pour promouvoir la consommation deproduits horticoles à haute valeur nutritive.

Ali Moha, Coordonnateur National

Réduire la pauvreté,

améliorer la sécurité

alimentaire et

diversifier la

production

alimentaire

Ph

oto

DR

Les Echos du PAC III

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Revue à mi-parcours du Programme d’Actions Communautaires (PAC3)

Les travaux de la deuxième réunionde revue à mi-parcours du Pro-gramme d'Actions Communautaires

(PAC3) se sont déroulés du 7 au 23 sep-tembre 2015 dans les locaux dudit pro-gramme à Niamey. Au cours de cetterevue à mi-parcours, les participants ontévalué à travers plusieurs exercices lesperformances du programme et proposédes orientations allant dans le sens de l'at-teinte des résultats. L’ouverture de travaux, s’est déroulée auniveau de la Cellule Nationale de coordi-nation en présence du M. Aminou Jadi,conseiller technique du Ministre d'Etat, Mi-nistre de l'Agriculture, de M. SouleymaneFofana, expert et chef du projet PAC3 à laBanque Mondiale, de M. Ali Moha, coor-donnateur national du PAC3, des points fo-caux et de plusieurs invités. Le Programme d’Actions Communautaires(PAC) est conçu comme un «Prêt Pro-grammatique Adaptable» devant être misen œuvre sur une période de 12 ans sub-divisée en 3 phases de 4 années chacune.C’est un des instruments clés du gouver-nement du Niger pour la mise en œuvre duPlan de Développement Économique etSocial (PDES-2012-2015) et de l’Initiative«3N» les Nigériens Nourrissent les Nigé-riens (i3N). Le programme est à sa troi-sième phase et est financé par la BanqueMondiale, le Fonds pour l’EnvironnementMondial, l’Etat du Niger et les bénéficiairesdirects pour un montant de 49.518.000 US$, soit environ 24 milliards de FCFA. La3ème phase a pour objectifs de renforcerles capacités de planification et de mise enœuvre du développement local du bénéfi-ciaire, y compris ses capacités à apporterune réponse rapide et efficace en cas deCrise ou Situation d’Urgence Éligible. Ellevise également à améliorer l’accès des po-pulations ciblées aux services socio-éco-nomiques. Durant trois semaines detravaux, « les participants vont se focaliserselon M. Souleymane Fofana, chef du pro-jet PAC3 à la Banque Mondiale, sur desexercices à travers plusieurs points dont la

mise en œuvre duprojet, le respectd’un certain nombrede règles à savoirles passations desmarchés, l’aspectenvironnementaux,et sociaux, la ges-tion financière, etc.Ils effectueront aussides visites de ter-rains. Procédant àl’ouverture de tra-vaux, M. AminouJadi a indiqué que leprojet PAC3, est l'outil de mise en œuvrede l'Initiative 3N «les Nigériens nourrissentles Nigériens» avec comme porte d'entréela commune. De par ses objectifs, il per-mettra d'améliorer la sécurité alimentaireet apportera un appui à la décentralisation.Selon le Conseiller technique, les actionsdu PAC3 répondent parfaitement auxattentes et aux résultats escomptés par leProgramme de la Renaissance du Prési-dent de la République, Chef de l'Etat, SEIssoufou Mahamadou. Le conseiller tech-nique du ministre a ensuite rappelé que leprojet a déjà connu des résultats encoura-geants qu’ils avaient observés lors des 2dernières missions de supervision. M. Aminou Jadi a souhaité que les meil-leurs résultats obtenus au cours de ces2 années seront présentés en vue de pro-céder à des échanges sur les activités me-nées. Pour le coordonnateur national du PAC3,M. Ali Moha, les résultats ainsi enregistréssont les fruits d'un travail abattu parl’ensemble des acteurs du programme etce à l'avantage des populations cibles duprojet. C'est le travail, « dis-je, d'uneéquipe qui se situe sur l'ensemble des 8régions du pays, avec la contribution im-portante des points focaux des Ministèrestechniques partenaires du projet. Je salueau passage leur forte implication et leurparticipation active dans l'élaboration etl'exécution de ces deux premiers PTBA de

la durée de vie de cette 3ème phase », a-t-il déclaré. Il s’agit, au cours de cette phasedu Programme d'Actions Communau-taires, non seulement de mettre en œuvreles activités qui sont prévues mais ausside consolider et capitaliser les résultatsobtenus par les 2 phases précédentes etceux du Programme de Gestion des Res-sources Naturelles qui a précédé la 1ère

phase démarrée en 2004. M. Ali Moha aen outre souligné que les défis sont grandsmais restent exaltants pour eux. « Le tra-vail que nous allons apprécier au cours decette évaluation reflète la détermination detoute une équipe à bien faire et encoremieux faire sur les 2 prochaines années »a-t-il affirmé. Apres plusieurs jours de travaux au niveaude la Cellule Nationale de la Coordination,les participants se sont rendus sur le ter-rain pour évaluer les performances du pro-jet et rencontrer les bénéficiaires desréalisations et les autres acteurs de lamise en oeuvre.

Saïdou Daoura

Consolider et capitaliser les résultats obtenus par les 2 phases précédentes et

ceux du Programme de Gestion des Ressources Naturelles

Directeur de Publication:Ali Moha

Coordonnateur NationalDirecteur de la Rédaction:

Saidou Daoura,Spécialiste en CommunicationComité de Rédaction:Les spécialistes de la CNC

Les coordonnateurs régionauxLes agents suivi-évaluation de la

CNC-CRC et ADL

PAC3

BP :

12946 Niamey- NigerEmail : [email protected]

Site web :www.pac3-niger.org

Collaboration Extérieure:M.H. NAGODY, journaliste-infographe

Tirage : 600 exemplaires

N°03 Juillet-Août-Septembre

Le chef du projet (costume à gauche) et les représentants de la partienationale lors des travaux de la RMP

Une vue des experts de la Banque mondiale et des consultants du PAC3


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Deux (2) sources de financementextérieures – IDA et FEM – aux-quelles s’ajoutent la contribution

de l’Etat et celle des bénéficiaires per-mettent le financement du PAC3 à hau-teur de 24 016 230 000 F CFA. Entermes de pourcentage de l’enveloppeglobale du PAC3 la répartition est lasuivante :

-40 000 000 $US de IDA (y comprisPPF) équivalents à 19 400 000 000FCFA soit 81% du montant global du fi-nancement du PAC-4 518 000 $US du FEM équivalents à2 191 230 000 FCFA soit 9% du mon-tant global du financement du PAC3-3 000 000 $US l’Etat du Niger équi-valents à 1 455 000 000 FCFA soit 6%du montant global du financement duPAC3-2 000 000 $US de contribution béné-ficiaires directs équivalents à 970 000000 FCFA soit 4% du montant global dufinancement du PAC3

Ce montant de 24 016 230 000 FCFAse répartit par composante comme suiten équivalent 1US$=485FCFA

-Composante A : 4 051 982 818 FCFA ;-Composante B : 16 974 644 653 FCFA;-Composante C : 2 989 602 529 FCFA.-Composante D: budget initial nonalloué

La répartition du budget du PAC3

par catégorie financière est :

-Catégorie 1 : Fournitures et servicesde consultants 5 909 303 050 FCFA

-Catégorie 2 : Dons au titre de Micro-projets GDTE 7 640 937 350 FCFA -Catégorie 3 : Dons au titre de Micro-projets des ISE et AGR 9 011 770 450FCFA -Catégorie 4 : Charges d’Exploitation1 163 587 750 FCFA -Catégorie 5 : Fournitures, travaux,services pour les Dépenses d’UrgenceComposante D qui ne déclenchent pasdes Politiques de la Banque;-Catégorie 6 : Fournitures, travaux,services pour les Dépenses d’UrgenceComposante D du Projet qui déclen-chent l’application des Politiques de laBanque;-Catégorie 7 : Remboursement del’Avance pour la Préparation 290 631400 FCFA .

Montant décaissé/mobilisé par

source de financement

Le montant décaissé sur les finance-ments extérieurs IDA/FEM et les mon-tants mobilisés sur la contribution del'Etat et des Bénéficiaires directs desmicroprojets depuis le démarrage duprojet s'élèvent à 8 662 122 630 FCFAsur un budget global du projet de 24016 230 000 FCFA.

Montant décaissé par le PAC3 sur le

fonds IDA : Au total 14 DRF et l'avancePPF ont été transmises et rembour-sées: en fin 2014, un montant global de4 486 366 625 FCFA a été décaissé eten 2015, le montant décaissé est de 2254 085 503 FCFA. Globalement (2014et 2015) un montant de 6 740 452 128FCFA a été décaissé sur le fonds IDA.

Montant décaissé par le PAC3 sur le

fonds FEM 11 DRF (demande deremboursement de fonds adressée à laBanque Mondiale) d’un montant de 578178 233 FCFA y compris l'avanceinitiale de 300 000 000 FCFA en 2014et 256 384 543 FCFA en 2015 . Lemontant total décaissé à la date du 31Aout 2015 s'élève à 780 733 436 FCFA.

Le montant encaissé du démarrage duprojet au 15 août 2015 sur les deuxfinancements extérieurs IDA et FEMs'élève à 7 521 185 564 FCFA soit untaux de 34,83% par rapport au montantde ces deux financements estimé à 21591 230 000 FCFA

Les performances du PAC3 en deux ans de mise en œuvreD’importantes réalisations faites en faveurs des populations cibles


Des réalisations concrètes et visibles sur le terrain. Ici avecles femmes bénéficiaires des kit caprins...

LLàà àà llaa bbaannqquuee aa ll iimmeenntt bbééttaa ii ll ddee DDaammeerrggoouu TTaakkaayyaa


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Montant encaissé par le PAC3 sur la

contrepartie de l’ETAT.

Au titre du PAC3 en 2014, l’Etat alibéré 400 000 000 FCFA. Ces fondssont venus s'ajouter à un montant detrois cent cinquante millions de francsexistants dans le compte trésor duPAC3. Pour l'exercice 2015, lademande de 100 000 000 FCFA a étévirée sur le compte Trésor PAC3. Autotal, la somme de 852 000 000 FCFAété mobilisée et mise à la dispositiondes communes par l'Etat du Nigerdepuis le démarrage de la phase 3.

Montant encaissé par le PAC3 au

titre de la contribution des bénéfi-

ciaires:

En 2014, les communes et les com-munautés bénéficiaires de micropro-jets ont contribué à hauteur de 127906 793 FCFA. Au 31 Aout 2015, lacontribution des bénéficiaires (en es-pèces et en nature) pour le co - finan-cement des microprojets s'élève à 161030 273 FCFA.Au total (2014 et 2015), les bénéfi-ciaires de microprojets ont contribuépour un montant estimé à 288 937 066FCFA.

Cumul des réalisations financières

de 2013 au 30 juin 2015

Sur un budget global de 24 016 230000 FCFA, les montantsdécaissés/mobilisés, à la date du 30juin 2015, s'élèvent à 7 925 565 004

FCFA soit un taux de décaissement de33%. Par composantes et sources definancement la situation se présentecomme suit:-composante A "renforcement de ca-pacités" les réalisations s'élèvent à2 493 582 095 FCFA soit un taux deréalisation de 62%;-Composante B "fonds d'investisse-ment Local" les réalisations financièrespour les microprojets communaux etintercommunaux s'élèvent 3 248 549668 FCFA;-Composante C "coordination gestionfiduciaire, suivi évaluation communi-cation", le coût des réalisations finan-cières est de 2 183 433 241 FCFA.

Par sources de financement la si-

tuation est la suivante :

-Financement IDA: 6 740 452 128FCFA avec une DRF transmise (328

578 768 FCFA) soit un taux de décais-sement de 34,75%,-Financement FEM: 780 733 436FCFA avec une DRF transmise (53829 340 FCFA) soit un taux de décais-sement de 35,63%, -Financement Etat du Niger: 852 000000 FCFA soit un taux de 58,55%,-Bénéficiaires directs (communes etles communautés) : 288 937 066FCFA soit un taux de mobilisation fi-nancière de 29,78%.

Ces montants décaissés/mobilisés surles fonds IDA, FEM, Etat du Niger etbénéficiaires ont permis la réalisationd'activités au niveau des trois compo-santes du PAC3 notamment:

-une centaine d'activités classéesdans le groupe de renforcement de ca-pacités des communes/communautés,des collectivités régionales, de promo-tion de l'intercommunalité et de forma-tion/information des acteurs desinstitutions nationales chargées de lamise en œuvre du PAC3;-plus de sept cents (700) conventionsde financement des microprojets donttrois cents dix (310) microprojets d'in-frastructures socioéconomiques, d'ac-tivités génératrices de revenus et degestion durables des terres et deseaux y compris la consolidation duvolet bio carbone.

-des acquisitions de biens et services,des consultations et le fonctionnementcourant de la CNC et des CRC.Ces fonds décaissés sur les sourcesde financement IDA, FEM, Etat duNiger et Bénéficiaires, ont permisl'exécution des activités programméespour un montant cumulé (2014 et2015) s'élevant à 7 925 565 004FCFA.


SSuurr llee ss ii ttee ddee ll ’’aa ii rree ddee ppaattuurraaggee ddee MMaayyaakkii ppeeuullhh (( YYeekkoouuaa))

aavveecc ddeess ffeemmmmeess ddee MMaayyaakkii ppeeuullhh ((YYeekkoouuaa))


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Tableau sur le Taux d'engagement de la DIF des com-

munes

Le taux d'engagement de la DIF (convention signée entre laCRC/PAC3 et les communes de la région) varie d'une régionà une autre. Le taux le plus faible s'observe à Zinder avec35% et le plus élevé est 93% à Tahoua. La DIF totale enga-gée est 10 966 383 885 FCFA soit 65%. Les CRC continuentd'appuyer les communes pour l'élaboration des demandesde transfert de fonds.

RESULTATS A MI PARCOURS DU PAC3

Les ressources financières mobilisées pour le PTBA 2015permettront la livraison des produits pour l'atteinte des va-leurs ciblées par le projet.

Pour la durée du projet (2014 – 2017), il est prévu 1.744activités dont 406 activités de renforcement de capacités(composante A) , 1250 microprojets (composante B) et 88actions au titre de la composante C. Les PTBA, élaborés parles acteurs chargés de la mise en œuvre du projet etapprouvés par les sessions du Comité de pilotage, fontressortir 1266 activités programmées au titre des années2014 et 2015. Sur ces 1266 activités programmées, 491 ontété réalisées, soit 39%.

Saidou Daoura, spécialiste en communication

( extrait du document final de la Revue à mi-parcours)


La deuxième réunion extraordi-naire du comité du pilotage duPAC3 s’est tenue le Vendredi

31 Juillet 2015 dans la salle deconférence de la cellule nationale decoordination à Niamey. La session aporté sur l’amendement du manueld’exécution et celui du suivi évalua-tion qui intègrent désormais le voletsanté et éducation.Dans son mot indicatif, le Président

du comité de pilotage, M. ILLA Djim-rao, Secrétaire Général du Ministèrede l’Agriculture a dit que « c’est uneprouesse pour le PAC3 d’organiserdeux fois dans l’année deux ses-sions extraordinaires». Il a tenu à fé-liciter le PAC3 pour son dynamismedans la conduite de ses activités.

Cette session a démarré par uneprésentation de la Spécialiste natio-nale en Suivi Evaluation, MmeZakou Aminata. Au cours de son in-tervention, elle a précisé que cetamendement est consécutif auxconclusions de la deuxième mission

conjointe de supervision. A traverscette session le PAC3 veut intégrerles centres de santé et les salles declasses pour les écoles primairesdans la liste éligible des microprojetsqui sont financés par l’IDA. La spé-cialiste en Suivi Evaluation aannoncé que les changements ap-portés dans le manuel de suivi au ni-veau l’annexe 2 et l’annexe 7,portent sur la codification analytiquedes activités et des résultats inter-médiaires.Prenant la parole pour sa part, leCoordonnateur National du PAC3,M. Ali Moha, a déclaré qu’au-delà ducomité du pilotage, il s’agit de don-ner les informations au niveau descommunes sur la conditionnalitéd’approbation, car les financementsne se feront que pour les établisse-ments publics.Ainsi, plusieurs participants ont in-tervenu pour apporter des contribu-tions quant à la reformulation desindicateurs entermes d’accès par lapopulation bénéficiaire. La spécia-

liste en suivi évaluation a tenu àrassurer les participants sur d’éven-tuels changements qui interviendrontau niveau des indicateurs à la revueà mi-parcour en septembre 2015.

Avant la clôture de la session, leCoordonnateur National du PAC3,M. ALI Moha, a remercié les diffé-rents participants et a donné trois in-formations dont la première portesur l’acceptation du rapport del’audit externe du projet. Ladeuxième sur les plaintes des com-munes sur le financement desmicroprojets. Cette lenteur est liéeaux compléments des dossierssoumis notamment en ce quiconcerne les questions environne-mentales et sociales . Des effortsdoivent être entrepris par les parte-naires pour justifier les fonds mis àleur disposition. Et la dernièreconcerne l’évaluation à mi-parcoursqui se tiendra en septembre,InchaAllah.

M. Laoualy I. Farouk, Stagiaire

Deuxième session extraordinaire du Comité du Pilotage du PAC3Dynamisme du PAC3 dans la conduite de ses activités


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Zoom sur certaines activités

Communautaires (PAC 3) au cour


Le ministre de la communication présidant l'atelier sur le Partenariat PAC3 -Radios communautairesLe Gouverneur de Dosso presidant l'atelier de formation des agents

forestiers

Le Gouverneur de Maradi recevant la mission conjointe gouvernementBanque mondiale lors de la viste terrain à la Revue

Le spécialiste en décentralisation et gouvernance locale lorsd'une présentation sur le PAC3, à KonniUne vue des particpants à la Revue à mi parcours

Lors de la remise du prix à la commune de Mehana à l’occasion de la JAD 2015 à TillaberyUne vue des Prefets et maires de départements et communes de la Région de Tahoua

Le Gouverneur de Tahoua présidant l’atelier de signature des conventionsde cofinancement avec les maires et préfets des communes FIL de Tahoua


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du Programme d’Actions

rs du 3ème trimestre 2015


Une vue des participants à la Journée Africaine de la Décentralisation à Tillabery

Sur le site de marché à betail de MakalondiSur le site de récuperation des terres de Roumbakawa, Dakoro

Sur le site de l’aire de paturage de Mayaki peulh de la CR de Yekoua

Le Conseiller technique du ministre recevant des explications sur le système d’exploitation de miel Avec les femmes bénéficiaires de kit caprins de Damagaram Takaya

Le Coordonnateur régional de Maradi avec les femmes de la CR Korgom lors de la visite de terrain

Au niveau du puits achevé de Zongon Bouzou (CR Baoudeta)


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Du 28 au 29 Août 2015, le Pro-gramme d’Actions Communau-taires( PAC3) a organisé à

Konni un atelier sur le renforcement descapacités des radios communautairesimplantées dans sa zone d’intervention.Cet atelier a regroupé 42 participantsvenus de toutes les régions du Niger àraison de deux animateurs par région.La cérémonie d’ouverture a été prési-dée par le Ministre de la Communicationet des Relations avec les Institutions,M.Yahouza Sadissou.

Dans le discours qu’il a prononcé àl’occasion de la cérémonie d’ouverturede cet atelier, le Ministre de la Commu-nication et des Relations avec les Insti-tutions, M. Yahouza Sadissou, arappelé que les radios communautairessont devenues au fil du temps des outilsindispensables à la promotion du déve-loppement à la base. C’est en ce sensque le Programme d’Actions Commu-nautaires entend nouer un partenariatsolide avec les radios communautairesse trouvant dans sa zone d’intervention.

Le Ministre de la Communication aajouté que : « La radio communautaireamplifie les efforts de développementdes populations rurales et des couchesvulnérables, du fait de sa grande capa-cité à faire partager en temps recorddes informations essentielles concer-nant le développement dans un rayonbien déterminé ».

Pour sa part, le Préfet du Départementde Konni, M. Serkin Abzin, représentantle Gouverneur de la région de Tahouaempêché, a rappelé les objectifs duPAC3 qui sont de renforcer les capaci-tés de planification et de mise en œuvredu développement local, y compris lescapacités à apporter une réponse ra-pide et efficace en cas de Crise ou Si-tuation d’Urgence Éligible etd’améliorer l’accès des populations ci-blées aux services socio-économiques.Il a ensuite fait un état de lieu des acti-vités du PAC3 dans sa région en indi-quant que la dotation indicativefinancière(DIF) de Tahoua est la plusélevée parmi les régions avec un mon-tant global de 3.221.628.120 FCFA enfaveur de 21 communes et qu’ au stadeactuel, en deux ans d’exécution, cette

DIF a permis d’approuver 181 micro-projets pour un montant total de 2 997956 373 FCFA soit 92% de la dotationindicative. Parmi ces microprojets 61ont été décaissés pour un montant de1013 901 483 FCFA. Quarante-deux(42) autres microprojets d’un mon-tant de 541 404 336 FCFA sont dans lecircuit de décaissement, tandis que 61dossiers sont approuvés par les comi-tés départementaux et sont en instancede transmission au PAC3 pour finance-ment.

Le Coordonnateur National du PAC3,M. Ali Moha a, à son tour, déclaré quel’atelier qu’organise le Programmed’Actions Communautaires, fait partiedu dispositif normal de la mission assi-gnée au programme, celle de travailleren partenariat avec les radios commu-nautaires pour qu’elles diffusent et sen-sibilisent les communautés à la basedes actions de développement que mè-nent le gouvernement et ses parte-naires.

Après la cérémonie d’ouverture les par-ticipants ont suivi une série de presen-tations :

-Une présentation du PAC3 animée parle spécialiste en gouvernance locale etdécentralisation, M. Issoufou Maazou ;-La présentation des résultats du PAC3après deux ans de mise en œuvre parl’assistant sénior en suivi évaluation,M.Abdourahmane Hassane Diori;-La projection du film documentaire sur

les réalisations du PAC3.

Ensuite, le Directeur de Radios Com-munautaires au Ministère de la Com-munication, M Amadou Boukari, a faitune présentations ur la pérennisationdes radios communautaires et de leurimportance pour le développement auNiger. Au cours de ces exposés, undiagnostic sur l’état de lieu des centsoixante huit (168) radios communau-taires existantes au Niger a été fait pourpermettre aux différents partenaires demieux appréhender le rôle qu’ils aurontà jouer pour la bonne marche de leurpartenariat.

Ensuite, le spécialiste en communica-tion du PAC3, M. Saidou Daoura, a faitson exposé sur la communication duPAC3 en termes d’objectifs et de pers-pectives. Un débat a été ouvert sur lesmessages prioritaires du PAC3 qui se-ront diffusés par les radios communau-taires. Apres cette présentation, ledocument du partenariat a été passé enrevue, amendé et validé par les partici-pants.

La clôture de cet atelier a été marquéepar l’adoption d‘une convention qui ser-vira de cadre formel pour le partenariatentre le PAC3 et les radios communau-taires.

Saïdou Daoura, Spécialiste en

Communication

Renforcement des capacités des Radios communautaires de la zone d’intervention du PAC3Pour un cadre formel de partenariat entre le PAC3

et les radios communautaires


Photo de famille des participants


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Le gouverneur de la Région deTahoua, M Salifou Barmou, a présidéle jeudi 15 octobre 2015 à Tahoua, la

cérémonie de signature de plusieursconventions de cofinancement de micro-projets éligibles en 2015. Cette cérémonies’est déroulée en présence de tous lesmaires de 21 communes d’intervention duPAC3 dans la région et de 11 préfets dedépartements dont relève les communespartenaires.Cette rencontre s’est tenuejuste au sortir de la revue à mi-parcours eta été l’occasion pour le coordonnateurrégional de Tahoua de rappeler aux parti-cipants que la Région bénéficie d’une do-tation indicative financière de3.221.628.120 FCFA.La phase active duPAC3 dans régions a commencé en juillet2014 avec la tenue des premiers comitésdépartementaux d’approbation des micro-projets (CDAP).Ainsi en 2014, 11 CDAP ont été organisésà l’issue desquels 120 microprojets ont étéélaborés, approuvés, et ont fait l’objet designature de conventions de cofinance-ment entre le PAC3 et les Communes.Pour l’exercice 2015, dix (10) CDAP ontété organisés et ont permis l’approbationde 61 microprojets pour un montant totalde 737 665 806 FCFA. En moins de deux ans de mise en œuvre,cette DIF a ainsi permis d’approuver 181microprojets pour un montant total de 2997 956 373 FCFA soit 93% de la dotationindicative. Parmi ces microprojets, 69 ont été décais-sés pour un montant de1 075 493710FCFA. Soit 33% de la DIF de la région.

A l’issue de la signature des 61 conven-tions de cofinancement, 10 communessur les 21 auront engagé la totalité de leurDIF, tandis les 11 autres se situeront à untaux d’engagement de leur DIF entre 70et 98%.Aussi, dans le souci de permettre à larégion de bien planifier ses activités, uneconvention a été signée en avril dernierentre le PAC3 et le Conseil Régional deTahoua pour un montant de 75 millions deFCFA pour appuyer l’élaboration du Plande Développement Régional. Ce proces-sus dont la maitrise d’ouvrage totale estassurée par le Conseil Régional est exé-cuté à plus de 40% et se poursuit norma-

lement.Aussi, un registre pour enregistrer lesplaintes a été remis par le gouverneur auxMaires pour un souci de transparencepour l’exécution des activités du Pro-gramme d’Actions Communautaires au ni-veau régional.Enfin le gouverneur a longuement entre-tenu les Maires et les Préfets sur la né-cessité de bien suivre les activités duPAC3 au niveau de Tahoua et surtoutd’intensifier les activités pour réussir lechallenge et faire profiter les populationsdes investissements du Projet à Tahoua.

Saïdou Daoura, Spécialiste en

Communication

La Cellule Régionale de Coordination PAC3 de Tahoua61 conventions de cofinancement de micro-

projets signées avec les Mairies partenaires


Le Gouverneur de Tahoua remettant un registre de plaintes

Les Maires des communes de Tahoua engagés à plus de performance


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Dans le cadre du renforcement descapacités des spécialistes de laCellule Nationale de Coordination

du Programme d’Actions Communautaires,M Saidou Daoura, Spécialiste en Commu-nication a bénéficié d’une formation à Ca-sablanca au Maroc du 21 septembre 2015au 10 octobre 2015.Cette formation s’est déroulée au sièged’AFRIQUE COMPETENCES, un CabinetConseil et Formation Professionnelle Opé-rationnelle Continue et Membre de laFédération Européenne Des Ecoles basé àCasablanca.La formation a porté sur le thème : Elaboreret Mettre en œuvre le Plan de Communica-tion et les techniques graphiques dont lePhotoshop.Pour ce qui concerne le module sur l’Ela-boration et mise en œuvre de Plan Straté-gique de Communication, il a porté, sur laconnaissance des matériels adoptés, sur lerôle et les objectifs de la communication, lediagnostic de la communication, lesobjectifs mesurables, les messages clés àdécliner, les messages associés ainsi quela détermination et la caractérisation de lacible de la communication. Puis, il a étéquestion de mix-communication, de la pré-sentation du plan de communication, desactions planning, du budget et du contrôleet le suivi –évaluation.Aussi, la séance a porté sur la communi-cation de l’entreprise, la communication in-terne, la stratégie de la communication

interne et communication externe.En schématisant : Plan de communica-

tion= élaboration d’un document cadre

+ plan d’actions

Ce schéma doit répondre à une analyseSWOT : faire la déclinaison des forces etdes faiblesses de la communication ainsique les opportunités et les menaces.Aussi, les objectifs de la communicationdoivent être SMART, c’est-à-dire :Spécifique, Mesurable, Ambitieux, Réaliste,TemporelChaque terme correspond à une façon

d’appréhender la démarche devantconduire à l’atteinte de résultats.Il a étépassé en revue l’organisation d’une com-munication d’un programme de développe-ment en cas de crise. Cette organisationdoit respecter trois étapes à savoir avantla crise. Des supports appropriés pour la communication interne notamment écrits,audiovisuels et oraux ont été passés enrevue.Les supports écrits : il y a le journal,la lettre, la note de service, le tableau d’af-fichage, la boite à idées, le procès-verbal,le compte rendu et le rapport.Les supports

oraux : constitués de téléphone, de l’en-tretien, de l’exposé, de réunion, deconférence, de stage de formation….Lessupports audiovisuels : internet, journalthématique, Visio conférence, film docu-mentaire, Musique de l’ambiance télé-phonique, web.2…De façon globale,beaucoup des outils sont disponibles. Ilfaut seulement continuer la sensibilisa-tion pour leur mise en application, tout ensachant que les cibles de la Communi-cation sont en interne et en externe.Pour la communication externe, il y a lieude relever l’importance de logo, lescartes de visites, la plaquette, le dépliant,la brochure, les banderoles, le totem, lespanneaux de visibilité, internet et extra-net. Pour la communication medias, lesoutils utilisés sont les medias classiquesdont la presse écrite, l’affichage, la radio,la télévisons et le cinéma.En conclusion, il y a lieu de reconnaitreque cette formation a été utile en cesens qu’elle a permis un renforcementcertains de capacités du spécialiste encommunication.

Saïdou Daoura


Renforcement des capacités du spécialiste en communication au MarocPour une bonne mise en œuvre de

plan de communication du PAC3

Le spécialiste en Communication lors de la formation

Au moment de la remise de diplôme à la fin de la formation


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Le 21 septembre dernier s’esttenue dans la salle de réunion duGrand Hôtel, une rencontre

d'échanges entre le Chargé du projetà la Banque Mondiale, M. SoulemaneFofana et les maires des communesFIL/PAC3. Le chef de mission côtégouvernement, Conseiller Techniquedu Ministre de l'Agriculture, M. AminouJadi, était également présent à la ren-contre.

Au total, ce sont (22) maires des com-munes FIL/PAC3 de la région deDosso, (22) maires des communesFIL/PAC3 de la région de Tillabéri, levice-président du conseil de ville deNiamey, trois maires représentantsdes communes FIL/PAC3 de la régionde Maradi, trois maires représentantsdes communes FIL/PAC3 de la régionde Tahoua, trois maires représentantsdes communes FIL/PAC3 de la régionde Zinder, les Secrétaires générauxadjoints des régions de Dosso, Tilla-béri et Niamey, les Coordonnateursrégionaux des CRC/PAC3 d'Agadez,Diffa, Dosso, Maradi, Niamey, Tahoua,Tillabéri et Zinder, le CoordonnateurNational et les spécialistes de laCNC/PAC3, et les membres del'équipe de la Banque Mondiale de lamission de revue à mi-parcours duPAC3 qui ont pris part à la rencontre. Ainsi, après la Fatia et la présentationdes participants, le Coordonnateur Na-tional a remercié les maires pour leurdisponibilité et leur participation mas-sive avant de passer la parole aureprésentant du Maire Central qui asouhaité la bienvenue aux hôtes. Lechef de mission côté gouvernement aprononcé le mot d'ouverture puispassé la parole au Chargé du projet àBanque Mondiale. Ce dernier a situél'objet de la réunion qui est d'échangerà bâtons rompus sur la vie du projet,les difficultés rencontrées afin de leurtrouver une solution adéquate pour lesdeux prochaines années. Un exposésynthétique sur le PAC3 (présentation,budget, résultats attendus, niveau demise en œuvre en deux ans et indica-teurs de performance) a été présentéaux participants à titre de rappel etpour lancer les échanges.

Les maires et les SGA des gouverno-rats ont exprimé leurs intérêts sur lesujet et ont vivement remercié le PAC3et la Banque mondiale.

Toutes les interventions se sont appe-santies sur les questions relatives à lanon objection de la Banque sur lesdemandes de transfert de fonds, l'aug-mentation de la Dotation IndicativeFinancière des communes, le poidsde la contribution des bénéficiaires aufinancement des microprojets, le pro-blème de maîtrise du concept d'inter-communalité et la nécessité derenforcement de capacités des acteursen vue de booster ce volet ,le besoinde renforcement des capacités desprestataires en vue d'améliorer la qua-lité des dossiers de microprojets, lesmicroprojets de 2014 (sous forme deDTF) non encore financés, l'approchedu PAC1 et PAC2 comme modèle enmatière de passation de marchés com-munautaires, la mobilisation de lacontribution de l'État par les com-munes pour exécuter les microprojets,la question foncière des sites de réali-sation des microprojets financés par lePAC3 et la prise en compte des me-sures de sauvegarde environnemen-tales et sociales, les préoccupationssur le niveau de décaissement et letaux d'engagement de la DIF, les ques-tionnements sur le taux de consom-mation de la DIF de certainescommunes et région.

Le Chargé de projet, initiateur de larencontre, M Soulemane Fofana, a, àtoutes ces questions soulevées,apporter des réponses claires et qui serésument comme suit:

1. Concernant la non objection: il ad'abord insisté sur "le pourquoi" unenon objection de la Banque sur lesdemandes de transfert de fonds: c'estsimplement pour assurer le respectdes règles définies dans les accordsde financement principalement sur leplan environnemental, social et dupoint de vue de la gouvernance. Si lesdemandes sont complètes etconformes, le traitement est très ra-pide et le projet avancera à un trèsgrand rythme.

2. Concernant la contribution des bé-néficiaires: il a rappelé que cette ques-tion a été analysée au cours desphases précédentes PAC1 et PAC2;Tout en affirmant le bien fondé de lacontribution des bénéficiaires (en na-ture et/ou espèces) pour la durabilitédes investissements, les deux parties(Gouvernement et Banque Mondiale)ont revu à la baisse entre 5 et 10%selon la catégorie de microprojets;

3. Concernant la contribution de l'État:la mission de revue à mi parcours por-tera le message nécessaire auprèsdes autorités compétentes pour queles dispositions utiles soient prisespour que les communes bénéficiairesdu fonds "État" disposent de ces fondsdans les meilleurs délais en vue d'exé-cuter les microprojets concernés; il estégalement conseillé de trouver unpoint focal qui sera chargé de suivreles dossiers;

4. Concernant l'augmentation de laDIF; la réponse a été formulée sousforme de questionnement: comment

Rencontre d’échanges avec les maires de communes FIL/PAC3 Des questions importantes pour la mise en

œuvre du projet passées au peigne fin

(suite en page 12)


Le Chargé du projet à la Banque Mondiale(à gauche) lors des échanges


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se fait-t-il que certaines communes onttotalement consommé/engagé leurDIF alors que d'autres n'ont rien fait?;

5. Concernant le renforcement de ca-pacités des prestataires et des STD,l'activité est primordiale à plus d'un titreet doit permettre à chaque acteur dejouer pleinement son rôle notammentle rôle régalien des STD;

6. Concernant les DMP de 2014 nonencore financés, la problématique esten cours de traitement en deux pointsspécifiques: les DMP à problèmes(pièces manquantes ou insuffisantes)et DMP sur contrepartie de l'État duNiger;

7. Concernant le modèle PAC1 etPAC2 pour la passation de marchécommunautaire: deux points essen-tiels: un engagement tacite et le délaide passation de marché;

8. Concernant la requête de la mai-resse de Kiéché: les dispositions né-cessaires seront prises pourdébloquer les fonds Etat du micropro-jet concerné;

9. Concernant l'intercommunalité: be-soin de maîtrise du concept et de ren-forcement de capacités des acteursdans le domaine.Ensuite, des compléments d'informa-tions ont été apportés par les spécia-listes (RNSE, SQES, Auditeur interne),des Coordonnateurs régionaux du

PAC3 et le coordonnateur National duPAC3. Le représentant du Gouverne-ment a relevé la nécessité de parta-ger les préoccupations issues de cetterencontre avec les autorités nigé-riennes en vue de trouver les solutionsappropriées à la question de la mobili-sation effective de la contribution del'Etat.Les participants se sont félicités decette initiative et ont salué la transpa-rence dans l'approche.Ils ont appréciéhautement les échanges fructueux quiont permis de clarifier des aspects et

des difficultés rencontrées dans lamise en œuvre du PAC3. Des proposi-tions d'actions et de rencontres simi-laires, soit au niveau régional soitnational pour toiletter les DMP en ins-tance et faciliter le traitement, ont étéformulées lors des échanges.La réunion s'est conclue sur une notede satisfaction et un engagement àœuvrer plus fort dans l'atteinte desrésultats du PAC3 pour le bien être despopulations cibles.

Mme Zakou Aminata

RNSE/PAC3/CNC


Une vue des spécialistes et coordonnateurs régionaux lors de la rencontre avec le chef de projet

Une vue des participants à la rencontre avec le chef de projet

Documents

Les Echos du PAC III journal interne.pdf · Le Projet PHRD va mettre l’accent sur l’augmentation de la production de cultures bio fortifiées comme les haricots et la patate douce