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L E S E N T R E P R I S E S O N T L A P A R O L E
CCi22magazine
DéSORmAIS18 000 ENTREPRISESéchANgENT SuR LE NETEntretien avec Albane Morice, avocate et “contributrice”
DéSORmAIS18 000 ENTREPRISESéchANgENT SuR LE NETEntretien avec Albane Morice, avocate et “contributrice”
Sommaire
Dans la crise,multiplions nos échanges !
CCi22 magazine #52 • Octobre 2008
Trimestriel édité par la Chambre de Commerce et d’Industrie des
Côtes d’Armor, rue de Guernesey, BP 514, 22005 Saint-Brieuc Cedex 1
Directeur de la publication : Alain DAHER
Comité de rédaction : Patrick SOLO, Eric de RANCOURT, Vanessa ERMEL,
Gwénolée POILVET et Marie-Hélène HELLIO
Photographe : Pascal LE COZ
Conception, réalisation : , 02 96 70 97 92
Impression : GUIVARC’H l’imprimerie, Plérin, 02 96 79 87 77
Routage : OCEA ROUTAGE
Régie publicitaire : OUEST EDITO, Saint-Grégoire, 02 23 25 09 14
Tirage : 17 500 exemplaires
imprimé en Côtes d’Armor, sur papier recyclé Cyclus Print
ÉDITO
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ENTREPRENDRE 4 7
BRÈVES
L’actualité des entreprises GROS PLAN
Les desserts “maison”de Marie Morin
PAYS 8 9
PAyS DU TRéGOR-GOëLO
Bréhat va accueillirla 1ère ferme hydrolienne PAyS DE ST -BRIEUC
Livres de cuisine et gastronomie bretonne, le premier salon PAyS DU CENTRE OUEST BRETAGNE
Campagne de sensibilisationà la transmission d’entreprise
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ECO ENTREPRISES
Eco activités : les CCI en congrès
INFRASTRUCTURES 12 13
RéGATE
Bidourik-CCI 22sur la plus haute marche du podium RéPARATION NAVALE
Une bonne année pour le Légué
CURSUS EMPLOI 14
LANGUES
Des cours de japonais “sur mesure”
À LA UNE 15 19
DOSSIER
Désormais 18 000 entrepriseséchangent sur le net
100% TOURISME 21
SERVICE
Un service gratuit pour valoriserla qualité de vos prestations
EN ACTIONS 22 26
INFOS PRATIQUES
Le système d’immatriculationdes véhicules bientôt en ligne AGENDA
Les rendez-vous de la CCI CDEC
Les dernières décisions des CDEC RéSEAU
Création / reprise :le réseau fait peau neuve SERVICES PRO
Faites appel à des expertsgrâce au “Chéquier-Conseil”
Septembre 2008 ne restera sans doute pas comme un bon souvenir dans l’histoire de l’économie. Sur fond de crise mondiale, de plans de sauvetage des banques, de mesures gouvernementales d’urgence, les entreprises, qu’elles soient grandes ou petites, ressentent les effets de la tension internationale.
L’enquête que les services de la CCI réalisent tous les trimestres, a montré que le moral des dirigeants n’était pas au beau fixe en cette rentrée, mais les chiffres d’affaires semblent pour le moment se maintenir. Si l’on ajoute que le paysage économique costar-moricain a été secoué par l’annonce
du dépôt de bilan d’un de ses fleurons, Céléos, et par la détresse du secteur de la pêche, matérialisée par la volonté de départ de l’armateur Jean Porcher, on peut comprendre les inquiétudes.
Ce n’est pourtant pas la première crise que nous rencontrons et ce ne sera certainement pas la dernière. Les entreprises ont toujours réussi à surmonter les difficultés et je sais qu’il n’en sera pas autrement encore cette fois-ci. Les créateurs sont plus actifs que jamais, portant des projets ambitieux. Notre département a une croissance constante depuis plusieurs années, tant sur le plan économique que démographique, l’heure n’est pas donc pas au pessimisme, ni à l’attentisme. Il faut pour-suivre les réformes engagées, à l’exemple de ce qui est annoncé pour l’avenir des Chambres de Commerce et d’Industrie : supprimer le mille-feuilles administratif, pour gagner en efficacité. De même, les entreprises doivent continuer à se serrer les coudes et à travailler ensemble ; Ecobiz, la plate-forme collaborative en ligne proposée par votre CCI depuis septembre, et dont il est question dans le dossier de ce magazine, est justement un outil d’échanges pour faire progresser nos commerces, nos sociétés, nos industries, etc.
Il est nécessaire de garder la tête froide pour poursuivre efficacement le travail. Regardons autour de nous, prenons le recul nécessaire pour rester solidaires et actifs. Les meilleures choses ne se sont jamais faites sans difficultés.
Bon courage à vous tous.
Alain DaherPrésident de la CCI 22
ENTREPRENDRE
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Nouveau directeurà la Banque de FranceLa succursale de la Banque de France sur notre département a un nouveau directeur depuis la rentrée. C’est Pierre-Michel Bardet-Fremann, 45 ans, qui prend la succession de Philippe Schildt, parti à la retraite. Après une expérience au FMI (Fonds Monétaire International) en tant que Conseiller, M. Bardet-Fremann a rejoint la Banque de France et aura, sous sa responsabilité une soixantaine de collaborateurs.
Les escaliersRaux-Gicquelcertifiés ISO 9001Présente depuis plus de 20 ans sur le marché des escaliers, l’entreprise Raux-Gicquel (Binic) fait dans le sur-mesure. Son effort constant pour proposer des produits de haute qualité, tout en cherchant toujours à innover, vient d’être récompensé par une certification ISO 9001. Au delà des produits, c’est toute la ligne de production qui est ainsi valorisée.
Trophées dela communication :inscrivez-vous !Organisés tous les ans par le Club Bretagne Communication des Côtes d’Armor, les Trophées Bretagne Communication sont décernés aux meilleures campagnes de communi-cation de notre région. Pour concourir dans une des catégories (secteur privé, secteur public, secteur associatif) inscrivez-vous avant le 22 octobre. La soirée de remise des Trophées se déroulera le 2 décembre, à Saint-Brieuc.
Inscriptions et renseignements :www.cbc22.fr
La CCI 22de nouveau certifiéeCertifiée en 2007, votre Chambre de Commerce et d’Industrie a réussi son audit intermédiaire et conserve donc la certification ISO 9001. Seule la division des Services aux entrepri-ses est, pour le moment, concernée mais déjà les équipements gérés engagent une démarche qualité.
Une nouvelle entreprise de serviceen communicationDepuis juin 2008, une nouvelle agence est venue enrichir le paysage des entreprises de communication du département. Il s’agit d’Elyazalée, créée par Sarah Toussant et Loïc Pacquard. Les services de cette agence sont surtout destinés aux PME qui n’ont pas toujours le temps, ni les moyens de communiquer. Outre la communication, Elyazalée accompagne ses clients dans l’univers du web et des progiciels.
www.elyazalee.com
Achatville.com,déjà le 100ème adhérentPortail du e-commerce costarmori-cain, Achatville vient d’accueillir son 100ème adhérent. Une barre symbolique qui confirme le succès rencontré par le site Internet. Deux ans après son lancement, Achatville Côtes d’Armor accueille plus de 22 000 visites par mois ! Rappelons que ce site est proposé aux commerçants du département et leur permet de présenter leurs produits, voire même de faire du commerce en ligne.
www.achat-cotes-d-armor.com
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ENTREPRENDRE
ECA FAROS surle marché américainL’entreprise ECA FAROS, spécialisée dans le développement de simulateurs de transport sous environnement PC, a signé à la fin de l’été, via sa filiale américaine SSI, un contrat de 10 millions de dollars avec l’armée américaine. L’objet du contrat est la fourniture de simulateurs de conduite autos et motos. 50 000 soldats par an devraient ainsi être formés par les simulateurs français.
www.faros.com
Du chocolaten tablette chez LobodisDepuis 20 ans, Lobodis propose une gamme de cafés et chocolats, tous issus du commerce équitable. Située à Saint-Brieuc, l’entreprise renouvelle aujourd’hui sa gamme de chocolats gourmands en proposant 6 tablettes de dégustation et une tablette de chocolat pâtissier. Au choix parmi les parfums : chocolat noir /grains de café, lait / noisettes ou encore chocolat noir / fève de cacao. Les matières premières sont importées d’Afrique et d’Amérique latine et culti-vées dans le respect de l’environnement. Cette PME de 30 salariés a été le premier torréfacteur français certifié Max Havelaar en 1993.
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8 Osons l’égalité !Lancée le 7 octobre dernier, l’asso-ciation Osons l’Egalité va faire un travail d’animation, de sensibilisa-tion et de formation pour favoriser le parcours des handicapés dans le milieu scolaire, professionnel et éga-lement dans la vie de tous les jours. Ces actions se feront toujours en lien avec des partenaires, comme l’Education Nationale et bien sûr, avec les entreprises. Hébergée dans les locaux de la CCI, à Saint-Brieuc, Osons l’Egalité va faire découvrir le milieu de l’entreprise à de jeunes handicapés et démontrer qu’il existe un panel important de métiers et de formations accessibles.
Informations : 02 96 78 14 [email protected]
Semaine des services aux entreprisesLa CRCI et les Chambres de Com-merces et d’Industrie de Bretagne organisent du 24 au 28 novembre 2008 la 1ère semaine des entreprises de services en Bretagne. Objectifs de cette manifestation: promouvoir les prestataires de services bretons, apporter aux prestataires une infor-mation à valeur ajoutée, faire savoir aux prestataires de services l’intérêt que leur portent les CCI de Bretagne.
Sur son territoire, la CCI des Côtes d’Ar-mor organise trois manifestations :Le mardi 25 novembre de 18H à 19H une conférence sur le thème : « Marchés Publics : Accéder à de nouveaux marchés et anticiper serei-nement l’échéance de 2010 »Le mercredi 26 novembre, sous forme de petit déjeuner - débat - de 8H30 à 10H - un échange autour du thème : « Optimisation de la stratégie commerciale pour les entreprises de services » animé par Monsieur Pierre LABBE. Et en-fin le jeudi 27 novembre de 18H à 19H30 une conférence sur le thème : « Les entreprises de services et le recrutement, mais aussi comment passer le cap de la 1ère embauche »Toutes ces manifestations auront lieu à la CCI des Côtes d’Armor, rue de Guernesey à Saint-Brieuc.
Informations, inscriptions :Olivier CORDUAN - 02 96 75 11 73
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AGROALIMENTAIRE
Les desserts “maison”de Marie MorinS’il est un dessert plein de souvenirs d’enfance, c’est bien la mousse au chocolat. Mais à
Quessoy, la mousse au chocolat, c’est bien plus que ça. Car depuis 1994, une entreprise
familiale en fabrique en quantité : Marie Morin. Présente dans la plupart des GMS françaises,
Marie Morin a su, en quelques années, s’imposer face aux géants des produits lactés en
s’engouffrant dans la niche du « dessert plaisir ». Un essor qui continue aujourd’hui avec
l’agrandissement du site de production.
Marie Morin existe bel et bien. C’est la charmante hôtesse d’accueil et la maman des deux dirigeants de l’entre-prise : Bruno et Eric. Si aujourd’hui, les deux frères sont à la tête d’une belle réussite, l’histoire de Marie Morin a débuté avec leurs parents. Alain et son épouse ont dirigé pendant quel-ques années une entreprise de négoce en produits frais, avant de décider en 1994, de se lancer dans la pro-
duction. Ils avaient déjà les contacts nécessaires auprès de fournisseurs de matières premières, et une idée toute simple : faire un bon flan aux oeufs. D’abord commercialisé sous la marque « Mamig », le flan a dû être rebaptisé, afin de ne pas faire de l’ombre à un géant du yaourt. Et pour trouver un nouveau nom, Alain n’est pas allé chercher très loin ! Très rapidement, les GMS à proximité ont référencé leur produit. Presque
15 années plus tard, les desserts Marie Morin sont présents chez Auchan, Carrefour, Monoprix, Leclerc, Géant ou encore Super U, principalement dans l’ouest et en région parisienne. Une bonne implantation qui oblige aujourd’hui à produire entre 35 et 40 000 pots par jour, 6 jours sur 7.
Le flan aux œufs c’est bien, mais lorsqu’on s’appelle Marie Morin on
“Nous, on fait du dessert plaisir, un peu plus cher que la normale, mais qui a le goût inimitable des
desserts faits maison”
4Bruno et Eric Morin
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ENTREPRENDREn’hésite pas à mettre les petits pots dans les grands… Et à imaginer de nouvelles recettes. C’est là qu’Eric entre en scène. Pâtissier de formation, il a rejoint ses parents et son frère Bruno en 1999 au sein de l’entreprise. Les parfums, les textures, les idées, c’est lui. Mais pour les tester, on fait confiance aux pros : les 19 salariés de l’entreprise qui, en général, « ne bou-dent par leur plaisir ». Aujourd’hui la marque fabrique en propre, sous son nom, 14 produits traditionnels dont les fers de lance sont la crème brûlée, le crumble aux pommes, le clafoutis aux cerises et bien sûr, la mousse au chocolat qui représente 45% de la production ! Eric prévoit de lancer trois nouvelles recettes pour la fin d’année mais nous n’en saurons pas plus. Le secret est bien gardé. Et c’est tant mieux, puisque c’est aussi ça qui fait le succès de l’entreprise. Car si la fabri-cation se fait de manière industrielle, le goût lui, semble tout droit sorti de la cuisine de Maman. « Nous travaillons avec des produits sains et frais venant d’entreprises comme la nôtre, familia-les et bretonnes, explique Bruno. Nos œufs viennent d’Ille-et-Vilaine, notre lait de vache de Quessoy, les fonds de tarte de Coëtmieux. Quand Eric conçoit une recette dans sa cuisine, il faut que ce soit la même à la sortie de la chaîne de production. On achète les machines pour ça. C’est le produit qui commande ! » Leur politique de développement est simple. « On va là où il y a des besoins, ajoute Eric. On ne se lance pas à l’assaut de créneaux déjà trop occupés par nos concurrents. Nous, on fait du dessert plaisir, un peu plus cher que la normale, mais qui a le goût inimitable des desserts faits maison ». Et la demande est telle que les deux frères viennent de lancer les travaux d’agrandissement pour poursuivre leur développement : une nouvelle ligne d’emballage va être ins-tallée sur une surface de 700m2. Leur chiffre d’affaires atteignait en 2007, 4,8 millions d’euros. S’ils sont depuis 2004 les seuls maîtres à bord, Alain Morin revient régulièrement dans son usine. Et le troisième fils, David s’est lui lancé dans l’aventure canadienne en créant là-bas, une usine Marie Morin. Ce qui laisse penser que ce qui coule dans les veines de la famille Morin, doit certainement avoir un parfum de chocolat…
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www.marie-morin.fr
D’un investissement de 23 à 27 millions d’euros, le site pilote de l’île de Bréhat devrait fournir de 4 à 6 MGW, grâce aux 3 à 6 hydroliennes, installées au fond de la mer, à une quinzaine de ki-lomètres au large de Paimpol. Il s’agira d’un « démonstrateur » qui permettra de tester la technologie en conditions réelles. Si celle-ci s’avère concluante, EDF
pourrait transformer l’essai et se lancer dans l’installation d’autres fermes sur les côtes françaises ; certainement en Bretagne puisque les sites marins les plus adaptés se trouvent principalement dans notre région. La Bretagne importe actuellement près de 90% de son électricité, se rendant donc très vulnérable aux incidents, et
mettant en péril l’activité de beaucoup d’entreprises. L’annonce d’EDF - même si l’échéance est lointaine - est donc une bonne nouvelle. D’autant que le projet s’est fait en totale concerta-tion avec les différents professionnels concernés.
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PAyS DU TRéGOR-GOëLO
Bréhat va accueillirla première ferme hydrolienneAlors que la pression énergétique se fait de plus en plus sentir (cf. édito du magazine de
juillet), EDF a annoncé cet été, la construction de la première ferme hydrolienne au monde.
Cette « ferme » d’un nouveau genre verra le jour en 2011, en mer costarmoricaine, près de
l’île de Bréhat.
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En partenariat avec les CCI COB, le Pays adhère depuis 2005, au CRA (Cédants & Repreneurs d’Affaires). Cette association nationale, à but non lucratif, favorise la cession et la reprise d’entreprises. Les conseillers des CCI et les bénévoles du CRA vous accompagnent dans votre démarche de transmission d’entreprise : de la préparation de l’opération de vente
jusqu’aux mises en relation avec des re-preneurs qualifiés. L’adhésion du Pays au CRA offre au cédant divers avantages comme la sélection de repreneurs moti-vés, compétents, ayant un apport finan-cier suffisant et la diffusion de son an-nonce sur un bulletin national ainsi que sur le site Internet du CRA. C’est pour rappeler tous ces avantages, que le Pays
a lancé une campagne de mailing auprès des dirigeants de 55 ans du COB.
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Les cédants sont invités à se faire connaître auprès du Pays COB :
Anne-Cécile LEMAIRE02 96 29 26 53
Promouvoir la qualité de la « haute gastronomie bretonne », en mettant en avant ses tables de renommée, ses produits labellisés ou médaillés ainsi que l’édition gourmande, particulière-ment dynamique en Bretagne, voilà les objectifs du Salon organisé par la CCI. Une quarantaine d’exposants sont attendus au Carré Rosengart, sur le port du Légué, pour présenter livres de cuisine et littérature culinaire, produits gastronomiques, ustensiles profes-sionnels et « idées cuisine ». Autour des exposants, des conférences, des dédicaces d’auteurs, des démonstra-tions, et surtout le lancement du prix du Gourmet Breton. Huit ouvrages gastronomiques sur le thème de la
cuisine du littoral ont été présélec-tionnés et seront départagés par un jury prestigieux, présidé par Jean-Paul Abadie, Président de Tables et Saveurs de Bretagne.Le Salon est organisé en partenariat avec le Conseil général, le Comité régional du Tourisme, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Saint-Brieuc, la CABRI et la Ville de Saint-Brieuc.
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Informations pratiques :entrée gratuite
ouverture de 9 heures à 19 heures sans interruption
www.salonbretonlivregourmet.com
PAyS DU CENTRE OUEST BRETAGNE
Campagne de sensibilisationà la transmission d’entrepriseDepuis le début du mois, le Pays du Centre Ouest Bretagne et les Chambres de Commerce et
d’Industrie du territoire (Morlaix, Côtes d’Armor, Morbihan) lancent une campagne de
sensibilisation sur la préparation à la transmission d’entreprise pour les entreprises de plus
de 3 salariés (hors commerce de détail).
PAyS DE SAINT-BRIEUC
Livres de cuisine et gastronomie bretonne, le premier salonLa CCI des Côtes d’Armor organise cette année la première édition du Salon Breton du Livre &
du Gourmet, qui aura lieu les 29 et 30 novembre prochains, au Carré Rosengart, port du Légué
à Saint-Brieuc.
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L’environnement et le développe-ment durable font partie intégrante de la stratégie de développement des entreprises. Les CCI, qui aident et accompagnent les acteurs de l’éco-nomie au quotidien, sont donc forces de propositions pour des solutions respectueuses de l’environnement et économiquement supportables. Elles sensibilisent, travaillent sur des outils d’accompagnement, voire gèrent des équipements. Beaucoup d’entre elles ont, et ce depuis des années, un service dédié
dont le but est justement d’aider les entreprises à faire du développement durable une source de progrès et non un frein. Ce sont les collaborateurs de ces services qui étaient réunis à Ploufragan les 2 et 3 octobre derniers. Venus de toute la France (et même d’Outre-mer), ils ont participé à des ateliers et des tables rondes sur la mise en réseau, l’innovation, ou encore la promotion d’un territoire. Parmi les intervenants, Hermann Hüwels, Responsable écologie industrielle et énergie à l’association des Chambres
de Commerce et d’Industrie alleman-des qui a expliqué comment les CCI allemandes répondent aux besoins des éco entreprises. Herbert Aichin-ger, de la Commission Européenne, a, lui, comparé le marché de l’environne-ment entre quelques états membres.
Un étude sur le marchéporteur des écoactivitésLors du congrès des CCI, une étude nationale, commanditée par l’ACFCI, a été présentée. Objectifs : quantifier
Eco activités :les CCI en congrèsDepuis plus de 15 ans maintenant, les CCI françaises se réunissent régulièrement pour mettre
en commun leurs initiatives et réfléchir ensemble aux enjeux du développement durable.
C’est la CCI des Côtes d’Armor qui a accueilli l’édition 2008 du congrès, dont le thème était cette
année : « Eco entreprises et marché de l’environnement : quelles opportunités pour les territoires
et les PME ? Quel rôle pour les CCI ? ». L’occasion pour l’ACFCI (Assemblée des Chambres
Françaises de Commerce et d’Industrie) de présenter une étude menée au niveau national.
“Aider les entreprises à faire du développement durable une source de progrès”
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l’importance des PME et TPE sur les marchés des éco activités, et identifier les domaines prometteurs pour le dé-veloppement de ce type d’entreprises.Ainsi, a-t-on appris que les TPE et PME représentent ensemble entre 55 et 60% du marché des éco activités, qui s’élèvent entre 50 et 55 milliards d’euros ! Ces chiffres devraient s’ac-croître, avec les objectifs fixés par le Grenelle de l’Environnement et la législation volontariste (notamment la loi sur l’eau) du gouvernement. C’est ainsi que les 6 secteurs d’activités, identifiés par l’étude (récupération des matériaux recyclables, assainissement non collectif, systèmes solaires thermi-ques, pompes à chaleur domestiques, appareils de chauffage domestique au bois et amélioration des performances thermiques des ouvertures dans l’ha-bitat) présentent des perspectives de progression importantes, même si en définitif, cela dépendra de la répon-ses des ménages face aux incitations des pouvoirs publics. Et cela dépendra également, dans certains cas, de la capacité des entreprises à trouver les personnels qualifiés nécessaires en quantités suffisantes.
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Les chiffresà retenir :
L’emploi dansles éco activités
Amélioration des performances •thermiques des ouvertures dans l’habitat : plus de 50 000 personnesRécupération des matériaux•
recyclables : 31 000 personnesAssainissement non collectif :•
7 500 personnesSystèmes solaires thermiques :•
2000 à 2500 emploisCe sont les systèmes solaires ther-•miques qui représentent le chiffre d’affaires le plus important : entre 350 et 400 millions d’euros. Derrière, la récupération des maté-riaux recyclables avec un CA de 13 millions d’euros (CA en hausse au cours des quatre dernières années) et l’assainissement non collectif avec près d’1 milliard d’euros de CA par an.
11L’étude complète
est disponible en ligne,sur le site d’Exceltys : www.exceltys.fr
Une fois de plus, le Bidourik a fait men-tir son nom (petit dernier en breton) ! Après la Transquadra en 2005/2006, le voilier naviguant aux couleurs de la CCI 22, a remporté le Trophée Double
IRC UNCL 2008 ! Une belle réussite pour ses deux skippers, Alain Le roux, Directeur des équipements gérés au sein de la CCI, et son épouse Geneviève Le Vaillant. Cette victoire récompense non
seulement leur régularité mais aussi leur enthousiasme.Bravo à l’équipage !
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RéGATE
Bidourik-CCI 22 sur la plus haute marche du podium
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Certes 2008 n’est pas finie, mais les chif-fres déjà atteints à l’heure où nous im-primons laissent présager de très bons résultats pour la plate-forme de répa-ration navale du Légué. Depuis janvier, 98 bateaux de moins de 12 mètres, 10 bateaux de moins de 16 mètres et 16 bateaux de moins de 25 mètres ont été sortis de l’eau par l’élévateur. A cela s’ajoutent les 18 bateaux de passagers et les 9 gros bateaux de plaisance que l’équipe du port a manœuvrés. Si tous les navires ne sont pas passés dans la gigan-tesque cabine de peinture, celle-ci a tout de même été occupée 170 jours depuis le début de l’année ! Le nombre symbolique des 200 bateaux devrait être atteint d’ici la fin de l’année.oContact plate-forme du Légué :Laurent Kernivinen02 96 33 46 04 06 75 91 88 06
RéPARATION NAVALE
Une bonne annéepour le Légué
Le Pays du Soleil Levant est un « terrain de jeu » très important pour les entreprises de pointe. LISI Aerospace (ex-BlancAéro), spécialisée dans la production de fixations de précision pour le racing et l’aérospatiale, travaille étroitement avec le Japon depuis début 2008. Si les échanges se font la plupart du temps en anglais, le Directeur com-mercial Didier Godin, et le Responsable Recherche & Développement Gildas Boleis, ont souhaité aller un peu plus loin dans les relations avec leurs corres-pondants. « L’entreprise a une politique de formation aux langues assez forte, explique Gildas. Déjà bilingue anglais et allemand, j’ai eu envie de me lancer dans un nouvel idiome. Et notre arrivée sur le marché asiatique m’a poussé tout naturellement vers le Japon ». Depuis le 15 février, au rythme de deux heures toutes les deux semaines, Gildas Boleis et Didier Godin suivent les cours de Masami Levot-Sugawara, qui vit dans notre pays depuis quelques
années. Ainsi, outre la langue, la professeur fait découvrir à ses deux élèves les us et coutumes d’un pays qui a su allier traditions et moder-nité. Didier précise : « Lors de notre premier cours, Gildas et moi lui avons expliqué ce que nous recherchions. Un déplacement à la rencontre de nos clients était prévu deux mois plus tard, l’idée était donc, dans un premier temps, de savoir se débrouiller pour se présenter, s’orienter, bref échanger avec nos interlocuteurs. Dans un deuxième temps, il nous fallait un vocabulaire technique, adapté à notre activité ». Opération réussie puisque les deux collaborateurs de LISI Aeros-pace ne se sont pas sentis perdus lors de leur déplacement en mars. De plus, leur effort à apprendre une langue qui est, d’un prime abord, complète-ment hermétique aux européens, a impressionné leurs clients. « Ils étaient vraiment contents de voir que nous avions fait la démarche d’apprendre le
japonais. Le fait de savoir comment se tenir, dans un pays où le savoir-vivre est primordial, nous a également beau-coup aidé. Aujourd’hui encore, même si l’essentiel des mails est en anglais, je fais le maximum pour m’exprimer en japonais » termine Gildas.Les cours dispensés par la CCI, peuvent se faire au sein de l’entreprise, au cen-tre d’étude de langues, ou même par téléphone. Outre l’anglais, l’espagnol, l’allemand et l’italien (relativement courants), il est possible d’apprendre l’arabe, le chinois, le polonais, le por-tugais ou encore le russe. Des stages en immersion totale, ainsi que des cours adaptés à votre activité peuvent être organisés.
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Informations : Monique Le Page - 02 96 75 11 42
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LANGUES
Des cours de japonais“sur-mesure” Les CCI sont connues pour dispenser des formations en langues : anglais, espagnol,
allemand ? Mais sait-on qu’il est également possible d’y suivre des formations « sur-mesure »
adaptées à votre activité et dans des langues beaucoup moins courantes ? C’est ainsi que
Gildas Boleis et Didier Godin, de l’entreprise LISI Aerospace (Plérin), étudient le japonais
depuis le début de l’année.
Il est possible d’apprendre l’arabe, le chinois,le polonais, le portugais ou encore le russe
4Didier Godin et Gildas Boleis
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À LA UNE
Désormais18 000 entreprises
échangent sur le netwww.cotesdarmor-ecobiz.biz
Entretien avec Albane Morice, avocate et “contributrice”
Les membres de la CCI élus en 2004 avaient fait du développement des réseaux économiques, un de leurs axes prioritaires. Pourquoi ? Le discours n’est pas nouveau : un dirigeant à la tête d’une entreprise est souvent seul. Seul dans la prise de décision, seul à manager, seul aussi lorsque des difficultés se présentent. En intégrant un réseau économique, le chef d’entreprise rompt cet isolement. Il peut échanger informations, contacts et conseils avec ses confrères, progresser, et donc faire progresser son entreprise. Et si c’est bon pour l’entreprise, c’est bon pour le territoire ! Dans ce sens, la CCI a mené plusieurs actions avec, en point d’orgue en 2007 et 2008, l’organisation de l’opération « Quai des réseaux », à laquelle vous avez été nombreux à participer. Mais depuis 2004, un autre projet, plus ambitieux, était dans les cartons : Ecobiz. Après 20 mois de travail en interne, la CCI a lancé le 15 septembre dernier cette plate-forme collaborative destinée aux dirigeants et à leurs collaborateurs.
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À LA UNE
L’histoire d’Ecobiz commence à Grenoble. La Chambre de Commerce et d’Industrie locale lance en 2003, en partenariat avec la société Knowings une service innovant, permettant aux entreprises de communiquer entre elles, via le net. Si le principe n’est pas révolutionnaire, son application auprès des acteurs économiques d’un territoire, lui, l’est. Toute de suite,
Ecobiz a rencontré à Grenoble un vrai succès. Dans les années qui ont suivi, constatant la réussite d’Ecobiz, d’autres CCI se sont lancées dans l’aventure : Clermont-Ferrand, Dijon / Beaunes, Versailles, Ardennes, Le Havre ou encore Bordeaux. A l’heure du web 2.0, du développement des nouvelles technologies de l’informa-tion et de la communication, la CCI
des Côtes d’Armor est la première dans l’ouest à proposer ce nouveau service, qui changera quel-que peu les habitudes des dirigeants, mais également celles des conseillers de la CCI. Grâce à Ecobiz, le réseau est partout, sur votre lieu de travail, dans votre bureau…
Comment ça marche ?Ecobiz, c’est tout d’abord un site colla-boratif protégé avec, pour le moment, six communautés :
Ressources humaines• et management
Vie économique et locale•Commerçants•International•Performance industrielle•Réseau PLATO•
D’autres communautés viendront s’ajouter dans les mois à venir, selon les besoins des entreprises. Outre un fond documentaire qui lui est propre, chaque communauté propose un forum, où les membres peuvent échanger en toute confidentialité. Et chaque communauté est animée par un conseiller d’entreprise de la CCI.Ecobiz c’est un site collaboratif
4Jean-yves Cornec, Alain Daher et Eric de Rancourt
4300 dirigeants étaient présents lors du lancement
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protégé avec des informations thématiques, ciblées et fiables, liées au métier des membres : des actualités juridiques, des outils méthodologiques, des fiches techniques ou encore des dossiers de fond. On y trouve aussi des informations privilégiées sur la vie économique locale, avec les derniers indicateurs économiques, l’actualité des entreprises, l’agenda et des news-letters thématiques.C’est aussi un programme de rencontres. Car le but n’est pas d’isoler le dirigeant dans un monde virtuel ! Ecobiz propose-ra donc à ses membres des conférences et des ateliers exclusifs. Enfin, Ecobiz, c’est un annuaire, qui permet aux membres de se contacter et de développer leur propre réseau.
Ecobiz est totalement protégé. La page d’accueil et l’actualité générale restent accessibles au grand public
mais chaque adhérent possède un code personnel qui lui permet d’accéder à l’espace confidentiel de sa propre communauté.
Pour tous les dirigeantsSi Ecobiz est un « réseau » en ligne, il n’est pas nécessaire d’être déjà membre d’un réseau économique « classique » (comme PLATO, Germe) pour y ad-hérer. Il faut seulement être poussé par l’envie d’échanger, de progresser, pour développer ses compétences et son entreprise. Inutile également d’être un « pro » de l’informatique, Ecobiz est facile et didactique. Enfin, le faible coût d’adhésion permet d’ouvrir ce service au plus grand nombre.
Les réseaux n’appartiennent et n’ap-partiendront à personne. Sur la toile, l’information circule de plus en plus vite. Il serait absurde qu’une institu-tion, quelle qu’elle soit - la CCI comme une autre - prétende s’approprier les réseaux. Les réseaux appartiennent à leurs membres. Ecobiz est mis à la disposition des entreprises par la CCI : Ecobiz vivra par les entreprises.
Un départementaux réseaux très fortsNotre département a une très forte tradition de « réseaux » économiques. Le succès rencontré par les deux édi-tions du « Quai des réseaux » en est bien la preuve. Plusieurs réseaux nationaux sont nés en Côtes d’Armor, comme GERME, qui compte aujourd’hui 700 adhé-rents, cadres d’entreprises, en France et en Outre-mer.L’un des premiers clubs APM (Association pour le Progrès du Management) a été créé à Saint-Brieuc par l’UPIA. Enfin, le réseau PLATO, concept venu du Belgique, a été implanté pour la première fois en France sur notre département. Il s’étend aujourd’hui sur toute la France et compte plus de 1 000 adhérents. Ecobiz est donc une suite logique au dynamisme entreprenarial local.
Les expertsvous répondentIls sont une cinquantaine de volon-taires, occupant des fonctions variées dans des secteurs qui le sont tout autant. Ces experts, qu’on appelle aussi contributeurs, sont la pierre angulaire d’Ecobiz : ils font profiter les communautés de leur expérience et de leurs connaissances. Avocats, comptables, notaires, responsables export, consultants ou encore DRH, en répondant aux questions des adhé-rents, en anticipant aussi leurs inter-rogations, ils vont faire progresser les communautés
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À LA UNEL
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Ecobizen chiffres
6• communautés
18 000• entreprises référencées
7• animateurs, conseillers d’entreprise
de la CCI 22
50• contributeurs / experts
150 • € par an et par adhérent
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À LA UNE
Communauté International : Annie Le Masson - 02 96 78 62 05 - [email protected]édéric Barbier - 02 96 75 11 53 - [email protected]
Communauté performance industrielleValérie Georges - 02 96 39 59 41 - [email protected]
Communauté réseau PLATOCorinne Garnier - 02 96 75 11 58 - [email protected]
Communauté Ressources Humaines et managementOlivier Corduan - 02 96 75 11 73 - [email protected]
Communauté Vie EconomiqueFabien Thomas - 02 96 75 11 61 - [email protected]èle Kergoët - 02 96 75 11 60 - [email protected]
Communauté CommerçantsEdith Pavoine - 02 96 75 11 64 - [email protected]
www.cotesdarmor-ecobiz.biz
Les animateurs :n’hésitez pas à les contacter !
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À LA UNE
La CCI vous a demandé cet été, de devenir contributrice pour le plate-forme Ecobiz. Pourquoi avoir accepté de vous lancer dans un tel projet ?Avocate, j’interviens dans le domaine du droit des entreprises auprès d’une clientèle variée de commerçants, arti-sans, industriels et professionnels libé-raux principalement dans la constitution de sociétés et groupes de sociétés, la transmission et la restructuration d’entreprises, la rédaction d’actes et l’élaboration de contrats commer-ciaux. Mon travail, c’est plus du conseil que de la gestion de contentieux, c’est protéger, optimiser les ressources financières, anticiper pour éviter les conflits. Lorsqu’on m’a présenté Eco-biz, j’ai tout de suite compris l’intérêt du projet. C’est un formidable outil de communication et les échanges sont essentiels dans le commerce. C’est pour cette raison que j’ai accepté de devenir « experte ».
Quel sera votre rôle ?A mon échelle, je vais faire profiter les adhérents de la communauté com-merce de mon expérience. Même si ça ne remplacera pas les contacts physi-ques, je vais pouvoir répondre à des thématiques récurrentes, informer de nouvelles réglementations et même anticiper certaines interrogations. Ma contribution va se concrétiser par la rédaction de dossiers techniques et des visites régulières sur le forum, pour répondre aux questions.
Votre mission va se rappro-cher de votre métier…Attention, mon rôle ne va pas être de faire du S.O.S. juridique ! Il m’est im-possible de répondre à des questions précises d’un adhérent sans avoir la perception de l’ensemble du dossier. Ce n’est d’ailleurs pas le but d’Ecobiz, qui ne va pas remplacer l’intervention de professionnels dans les entreprises. La plate-forme va permettre d’ap-porter de premiers éléments à des questions récurrentes ou transversales.
Donner, c’est bien, maispensez vous égalementtirer un bénéficeà cette participation ? Je vois aussi Ecobiz comme un outil d’enrichissement personnel. C’est d’ailleurs le principe même d’un réseau : donner et recevoir ! Dans le droit des affaires, on doit travailler avec les autres experts, comme les experts-comptables ou les notaires. Ecobiz va permettre d’enlever les cloisons entre les professions. Mes contributions vont venir compléter cel-les des autres experts, je vais pouvoir ainsi apprendre de nouvelles choses et élargir mes contacts. Car Ecobiz, c’est aussi des réunions régulières entre les membres, plusieurs fois par an.
Ecobiz, quel avenir ? Je suis persuadée que les dirigeants et leurs collaborateurs vont être séduits, car Ecobiz me semble très proche de la philosophie des Côtes d’Armor. Il y a déjà ici une forte politique de réseaux, les dirigeants connaissent déjà l’inté-rêt de rompre son isolement et d’aller vers les autres. Ecobiz va être un outil de plus pour aller dans ce sens.
“Pourquoije suis contributeur”Avocate en droit des affaires, membre du barreau de Saint-
Brieuc et d’Arizona USA, Albane Morice est également,
depuis septembre « contributrice » de la communauté
commerce d’Ecobiz. Ses motivations sont simples : faire
profiter les membres de ses conseils.
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TOURISME
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Le tourisme vit actuellement une grande période de mutation : change-ment de mode de consommation de la clientèle, internationalisation de la concurrence… Face à cette situation, les acteurs du tourisme s’efforcent de marquer leur différence par un profes-sionnalisme et une qualité d’accueil irréprochables.Cap Qualité Touris-me permet d’obtenir un regard extérieur sur l’ établissement et des propositions d’actions de progrès qui permettront aux professionnels de dégager des axes prioritaires et de répondre au plus près aux nouvelles exigences des visiteurs.
Un fonctionnement calqué sur le parcours clientDeux demi-journées vont permet-tre à l’Animateur Qualité d’évaluer l’ensemble des services. Processus de réservation, affichages extérieurs, accueil physique, étude de la carte du
restaurant, audit web… Au total, un peu plus de 350 critères objectifs qui vont mettre en exergue les points forts et les axes de
progrès de l’établissement.Un document de synthèse est alors remis au dirigeant, document dans lequel des actions concrètes de progrès sont proposées. Un programme de suivi est alors enclenché et permet de bénéficier d’un accompagnement personnalisé.
Ateliers techniqueset approcheenvironnementale2 à 3 fois par an, les entreprises Cap Qualité Tourisme sont invitées à débat-tre sur des problématiques communes, en présence d’un expert. Communiquer efficacement par e.mail, et accroître sa visibilité sur le web sont les premiers thèmes qui ont été abordés.La démarche se veut également inno-vante par son volet environnemental. Une auto-évaluation riche d’enseigne-ments sur la base de quatre thèmes majeurs : politique générale, tri des déchets, consommation d’énergie et gestion de l’eau.
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Pour tout renseignementsur Cap Qualité Tourisme :
Rénald Lelièvre - 02 96 78 62 11www.cotesdarmor.cci.fr/cap
Un service gratuit pour valoriser la qualité de vos prestationsLancé il y a deux ans maintenant, avec le soutien du Conseil général, Cap Qualité Tourisme
est un service gratuit destiné aux professionnels du tourisme. Objectif : les accompagner
dans l’amélioration de leur outil de travail et de leurs prestations. A ce jour, une cinquantaine
d’hôteliers, de restaurateurs ou de dirigeants de camping a bénéficié de Cap Qualité Tourisme.
“Cap Qualité Tourismepermet d’obtenir un regard
extérieur sur l’ établissementet des propositions d’actions
de progrès”
Création / reprise :le réseau fait peau neuveC’est l’un des plus vieux réseaux économiques de notre département. Depuis plus de 25 ans,
le Club des Créateurs et Repreneurs d’entreprises des Côtes d’Armor accueille en son sein des
porteurs de projets, qui viennent de « se lancer ». Ces deux décennies au service de l’économie
méritait bien un petit coup de « jeune ».
Le club des créateurs et repreneurs d’entreprises des Côtes d’Armor change de « look » avec la volonté de répondre toujours plus aux deman-des des entrepreneurs d’aujourd’hui : nouveau site Internet, nouveau logo et renouvellement du Bureau.
Le réseau propose des rencontres pratiques, traite de problématiques relatives aux projets de création, de reprise, à la vie et au développement de nouvelles entreprises, avec pour objectifs :
La formation• pour l’élaboration du projet ;L’accompagnement• lors des premiè-res années de création ou de reprise ;L’échange• d’expériences entre per-sonnes partageant souvent les mêmes interrogations ;L’accueil• pour permettre aux créateurs et repreneurs de créer un premier tissu relationnel ;La diffusion d’informations• pour être au courant des mutations per-pétuelles du monde de l’entreprise ;
L’entraide• pour ne pas se sentir isolé dans cette fastidieuse mais belle aven-ture qu’est la création ou la reprise d’entreprise.
Pour être au plus près du tissu économi-que, le Club est divisé en trois sections : Dinan, Lannion et Saint-Brieuc. Des réunions sont organisées sur l’ensemble du territoire.
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Informations :www.clubdescreateurs22.org
4Stéphane Latruffe, le nouveau président
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ENTREPRENDRE EN FRANCELes 4 premières heuresde votre entrepriseGratuit, de 14 heures à 18 heures
CCI 22 à Saint-Brieuc :Les mercredis 5 et 19 novembre,3 et 17 décembre
Contact : Sophie ROUAULT02 96 78 62 21
CCI 22 - antenne de DinanLes mardis 4 novembre et 2 décembre
Contact : Catherine LE BOULANGER02 96 39 59 70
CCI 22 - antenne de LannionLes mardis 28 octobre, 18 novembreet 9 décembre
Contact : Sylviane MESSEANT02 96 48 08 19
CCI 22 - antenne de LoudéacLes mercredis 19 novembreet 10 décembre
Contact : Yvonne ANDRIEUX02 96 28 37 50
5 jOuRs POuRENTREPRENDREDe 9h à midi et de 14h à 18h - 100€
CCI 22 à Saint-BrieucDu 8 au 12 décembre
Contact : Sophie ROUAULT02 96 78 62 21
CCI 22 - antenne de DinanDu 17 au 21 novembre
Contact : Catherine LE BOULANGER02 96 39 59 70
CCI 22 - antenne de LoudéacDu 1er au 5 décembre
Contact : Yvonne ANDRIEUX02 96 28 37 50
MATiNéEs sOCiAlEsLe jeudi, de 9h à 12h30 - gratuit
CCI 22 à Saint-Brieuc6 novembre et 4 décembre
Contact : Sophie ROUAULT02 96 78 62 21
REuNiONsD’iNFORMATiON& EVENEMENTs Réunion d’information
«L’entreprise face au risquedu cyber monde »Mardi 18 novembre à 8h30 au siège de la CCI, rue de Guerneseyà Saint-Brieuc
Contact : Fabien ThOMAS02 96 75 11 61
Réunion d’information « La signature électroniqueet le système d’immatriculation des véhicules »Vendredi 7 novembre, à partir de 8h30, au siège de la CCI, rue de Guernesey à Saint-Brieuc
Contact : Valérie URVOY02 96 78 62 14
La semaine des entreprises de services en BretagneDu 24 au 28 novembre
Contact : Olivier CORDUAN02 96 75 11 73
Salon Breton du Livre& du GourmetLes 29 et 30 novembre, entrée gratuiteau Carré Rosengart, port du Léguéà Saint-Brieuc
FORMATiONLe cataloguedes formations 2009 est sorti : n’hésitez pas à le demander !
Bureautique - InternetInternet initiation :13 et 20 octobreInternet perfectionnement :3 novembreExcel initiation :13 et 20 octobre, 9 et 10 décembre Excel perfectionnement :3 et 17 novembre, ou 24 novembre et 1er décembreWord perfectionnement :3 et 17 novembre Access : 12 et 19 novembre
ManagementOptimiser ses recrutements :17 et 24 novembre
Gestion du temps :13 et 14 novembreCommuniquer et manager effica-cement : 4 et 5 décembre
Qualité, Sécurité EnvironnementIncendie - équipier de première intervention : 22 octobreHygiène et sécurité alimentaireen restauration : 17 et 24 novembrePremiers secours : 4 et 5 décembre
CommercialDévelopper la qualité de l’accueil : 13 et 14 octobreDévelopper techniques de vente en magasin : 13 et 20 octobreAménagement du point de vente : 17 et 24 novembre Développer la clientèle, spéciale tourisme : 17 et 24 novembre Mettre en place un plan d’actions commerciales : 7 et 14 novembre
Gestion / juridiqueBilan et compte de résultat :13 et 20 octobreIndicateurs de suivi et de pilotage financier : 24 novembreet 1er décembreCIEL compte ou EBP Compta :13 et 20 octobre
Contact Anne-Marie TALIBART02 96 78 62 20
Langues étrangèresRentrée inter entreprises : 20 octobre et 17 novembreCours intensifs spécial pharma-ciens : 16, 23, et 24 octobre,6 et 13 novembreCours anglais intensif : semaine du 24 novembreCours anglais spécial hôtellerie : semaine du 17 novembreFormation spécialisée anglais « accueillir au téléphone » :17, 18 et 24 novembre
Et toute l’année anglais, italien, portugais, polonais, arabe, es-pagnol, allemand, russe, chinois, français langue étrangère, en mini-groupe, cours particuliers ou cours par téléphone.
Contact : Monique LE PAGE02 96 75 11 42
Mémento CCI
CCI des Côtes d’Armor
(siège)Rue de Guernesey - BP 51422005 Saint-Brieuc Cedex 1
Tél. 02 96 78 62 00Fax 02 96 78 62 10
Antenne de LannionZI Pégase - Rue Blaise Pascal
BP 15622302 Lannion Cedex
Tél. 02 96 48 08 19Fax 02 96 48 76 24
Antenne de LoudéacRésidence « Les Promenades »
Rue Bigrel - BP 22222602 Loudéac Cedex
Tél. 02 96 28 37 50Fax 02 96 28 60 69
Antenne de Dinan6, rue du Nouetté - BP 65234
22105 Quévert CedexTél. 02 96 39 59 70Fax 02 96 39 59 30
Commune Enseigne Activité Objet Surface Avis CDEC Avis CCI
CDEC du lundi 7 juillet 2008 :ST-QUAY-PERROS BIO DECORATION Eqt maison biologique Création 247,5 m² 4 4
QUEVERT ECO CONSTRUCTION Matériel de gros Eqt maison Création 250 m² 4 4
PLOUBEZRE INTERMARCHE Supermarché Extension de 800 à 2000 m² 4 4
PLOUBEZRE STATION MARCHE Station-service Création (régularisation) 87 m² 4 4
PLERIN Sans enseigne Equipement maison Création (régularisation) 1885 m² 4 4
PLERIN Sans enseigne Equipement maison Création (régularisation) 2 019 m² 4 4
CDEC du lundi 11 août 2008 : ST-QUAY-PERROS MAISON & REFLET Décoration - Ameublement Création 900 m² 4 4
TREGUIER Boutique de thé (Evenou) Epicerie fine Création 73 m² 4 4
LOUDEAC INTERSPORT Articles de sports Création 1 400 m² 4 4
MERDRIGNAC PRO & Cie Electroménager-TV-Hifi Création 298 m² 4 4
CDEC du lundi 15 septembre 2008 : TADEN DECATHLON Articles de sports Création 2 000 m² 4 4
ST-BRANDAN E.LECLERC Supermarché Création 2 495 m² 4 4
ST-BRANDAN E.LECLERC Station-service Création 224 m² 4 4
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EN ACTIONS
* : dossier unique | 4: avis favorable | 8 : avis défavorable | : abstention
De plus en plus de procédures admi-nistratives peuvent se faire via Internet. L’immatriculation des véhicules ne fera bientôt plus exception. Pour le compte de leurs clients acheteurs d’un véhicule neuf ou occasion, les garagistes et les concessionnaires n’auront plus be-soin de se rendre en Préfecture pour effectuer les démarches nécessaires au changement de carte grise et à l’im-matriculation. Il sera bientôt possible de réaliser ces actions, y compris le paiement, directement de l’entreprise. Et la production centralisée des certificats d’immatriculation permettra l’envoi du titre au domicile de l’usager, par courrier sécurisé.
Gagner du tempset lutter contre la fraudePourquoi ce nouveau système de télé-transmissions de l’immatriculation et du paiement des taxes ? L’Etat espère ainsi éviter les démarches en Préfecture, augmenter la rapidité de la procédure, simplifier les démarches administrati-ves des usagers et des professionnels, améliorer la performance des activités
liées à l’immatriculation et renforcer la lutte contre la fraude ainsi que le vol des véhicules et des titres.
Le SIV, comment ça marche ? L’adhésion pour les professionnels, au SIV en ligne est volontaire. Il n’y a pas d’obligation mais cela est fortement recommandé, car beaucoup plus simple.Pour accéder à ce nouveau service en ligne, le professionnel devra signer une convention d’habilitation avec la Pré-fecture de son département pour la télétransmission des demandes d’im-matriculation, ainsi qu’une convention d’agrément l’autorisant à encaisser les taxes pour le compte du trésor public. C’est la Préfecture qui est le guichet uni-que pour les deux conventions.Il devra également se procurer un certi-ficat électronique sur support physique (clé USB ou lecteur de carte).
Qu’est ce qu’uncertificat électronique ?Un certificat électronique est une iden-tité électronique qui permet d’authenti-fier vos échanges sur Internet, de vérifier
et de savoir de manière formelle qui en est le signataire, de sécuriser vos accès informatiques et de garantir l’intégrité des informations télé transmises, Chambersign France, autorité de certifi-cation, référencé par MINEFI (Ministère des Finances), est une association créée par le réseau des Chambres de Com-merce et d’Industrie françaises. Il délivre sur tout le territoire national les certifi-cats électroniques.
Pour en savoir plus sur ce nouveau dis-positif et sur le certificat électronique une réunion d’information sera orga-nisée le 7 novembre prochain par la CCI des Côtes d’Armor, en partenariat avec le CNPA (Conseil National des Professionnels de l’Automobile).
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Contact :
Valérie Urvoy - 02 96 78 62 [email protected] Site utile : www.chambersign.fr
DéMATéRIALISATION
Le Système d’immatriculation des Véhicules bientôt en ligneA partir du 1er janvier prochain, outre le système de numérotation des plaques, le SIV
(système d’immatriculation des véhicules) va réformer la procédure d’immatriculation des voitures,
camions, utilitaires, cyclomoteurs, motos. Ce nouveau dispositif va permettre de simplifier les
démarches administratives effectuées par les professionnels, concessionnaires et garagistes,
pour leurs clients. Ainsi, à l’issue d’une seule démarche, l’usager pourra recevoir sa carte grise à
son domicile, sans avoir à se déplacer en Préfecture.
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Faites appel à des experts grâce au “Chéquier-Conseil”Faute de moyens, ou par manque d’habitude, les commerçants font rarement appel à des
consultants extérieurs pour améliorer leurs méthodes de travail. Depuis septembre, et pendant
deux ans, le « Chéquier-Conseil » devrait inverser la tendance.
Les chefs de grandes entreprises ont l’habitude d’utiliser des conseillers ex-térieurs pour rendre leurs entreprises plus performantes. Ces consultants, avec un œil neuf apportent le recul qui manquent parfois aux dirigeants. Mais ces services ont un coût, qu’une petite structure peut avoir du mal à suppor-ter. Aussi, la CCI propose depuis sep-tembre, en partenariat avec les Pays de Guingamp, de Saint-Brieuc, du Trégor-Goëlo, du Centre-Bretagne et du Centre Ouest-Bretagne, engagés dans l’ODESCA, le Chéquier-Conseil. Son principe : permettre aux entrepri-ses de bénéficier de 2 à 6 heures de conseil, à utiliser par tranche de deux heures (chéquier renouvelable une fois pour une thématique différente). Le coût est pris en charge à 80% par l’Etat et le Conseil régional ; les 20% restants sont à la charge de l’entre-prise (soit 18 € H.T. de l’heure).
Les bénéficiairesToutes les entreprises ne peuvent pas bénéficier de ce service. Sont éligibles
les entreprises artisanales et commer-ciales (ayant un point de vente aux particuliers) des secteurs suivants :
Alimentaire (hors CHR)•Services•Bâtiment•Production•Equipement de la personne•Equipement de la maison•Culture-loisirs•Hygiène-santé-beauté•
Il faut également respecter les critères suivants : moins de 15 salariés (hors chef d’entreprise, conjoint, membres de la famille, apprentis ou associés), surface du point de vente inférieure à 300m², chiffre d’affaires n’excédant pas 1 000 000€, existance depuis plus d’un an, l’entreprise doit être indépen-dante, hors galeries marchandes des centres commerciaux des périphéries. Les grossistes, les cafés-hôtels-restau-rants et les services aux entreprises sont exclus du dispositif.
Des thématiques variéesLes interventions des consultants tour-nent autour de huit thématiques :
Marketing et communication•Aménagement du point de vente•
et de la vitrineTransmission•Organisation du travail•Développement durable (économie •d’énergie et gestion des déchets)Diagnostic d’un projet de dévelop-•pement d’entrepriseDiagnostic qualité et préconisations•Technologies de l’information et de •la communication
Les Chéquiers-Conseils sont à retirer auprès de la CCI. Le consultant se déplace ensuite dans l’entreprise et laisse un compte-rendu à l’issue de la prestation.
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Informations :auprès de votre conseiller commerce
habituel ou de Jean-Marc Nourri 02 96 75 11 46
