Les jeunes sont à l’honneur!

Les jeunes sont à l’honneur!

« L’idée c’est de se mettre un petit peu plus de cadre et de pouvoir assurer sur des choses un peu plus terre à terre »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« J’ai pu voir mes limites »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Le but c’était de me remettre dans le bain »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« A force d’être un peu oisive, tête en l’air et rêveuse, on va dire que j’étais pas hyper stable financièrement donc j’avais une notion de l’argent qui était un peu spéciale, voire inexistante ».

Jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Aujourd’hui j’ai envie de bâtir »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Le temps en formation, c’est du temps de réflexion. J’ai besoin de ce temps-là et j’ai

besoin qu’il soit cadré via la formation. Parce que j’ai réalisé que moi toute seule je ne peux pas faire ça parce que j’ai une tendance à me

lancer très vite, je m’engage hyper vite ».

jeune femme, 29 ans, E2Cel

Enfance (avant le divorce des parents) : « On vivait en maison. Avec un grand,

grand, grand jardin, grand, grand, grand potager, une forêt pas loin, enfin c’était

génial ».


« A ce moment-là, je me rapprochais de Paris en même temps, y avait ce magnétisme incroyable. Et puis là

j’avais constamment envie d’aller à Paris tout le temps. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« J’ai fait beaucoup de restauration mais ça m’a fait du mal physiquement

donc ça sert à rien de continuer.»

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« J’ai besoin d’un objectif à long terme pour me diriger. (…) Mais à la fois sur

le présent et le futur proche, j’ai besoin de subvenir à mes besoins »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« En formation, c’est différent parce que c’est vraiment…, c’est un rendez-vous avec moi-même. »


« De frustrations en frustrations, j’ai arrêté complètement l’école après

cette première année de BEP compta »


« Je me suis retrouvée, tutrice de ma mère, donc j’avais attendu mes 18 ans,

c’est pour ça aussi que j’avais tout laissé tomber au niveau des cours. »

« Ma seule préoccupation c’était de pouvoir l’interner, d’avoir mes 18 ans

pour pouvoir l’interner en fait. Et du coup c’était hyper dur, d’avoir un rôle de

maman pour sa mère. »


« Je prends la réalité mais avec beaucoup de légèreté. Et heureusement, j’estime que ça m’a sauvé. »


« Comment expliquer que c’était un vrai bourbier quoi ? »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Ca a été l’époque la plus trash, je crois que j’ai jamais pu vivre, enfin, c’était ça, c’est du rêve et du trash aussi… Aussi rapidement en fait,

enfin je sais pas si…. C’était intense en fait c’était pas rapide, c’était

intense. D’un seul coup ! »


« J’étais à 90% occidentale, et j’avais une partie incontrôlable orientale. »


« Souvent les parents [de mes amis] ils étaient assez à l’aise pour qu’ils se

permettent de rêver. »


« Quand j’ai compris que pour elles [les filles des bars de nuit], le monde du jour c’était inaccessible, ça m’a

touché. »


« Tu ne peux pas continuer à te mettre des œillères tout le temps et de partir de ville en ville, à fuir, toujours fuir,

bâtir des belles choses, échanger des belles choses magnifiques et fuir. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« La musique c’était vraiment ma petite niche pour me cacher. Mon imagination a travaillé énormément avec la musique »

« Je me suis nichée dans l’écriture et ça m’a apaisé »


« Les personnes qui, qui sont restées, c’étaient des personnes qui étaient

assez ancrées dans le sol pour ne pas me zapper. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Je veux apprendre à me connaitre. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« J’ai capté que le hip-hop me faisait du bien. C’est toute cette culture justement, énorme, de la racine

jusqu’au feuillage qui m’a complètement réconfortée. »


« C’est un vrai un miroir en fait cette école, un miroir que j’ai envie de

regarder aujourd’hui. »


« J’ai envie de faire les meilleurs enfants du monde, j’ai envie d’avoir un

boulot simple et cool »


« J’apprends tout simplement à vivre avec un monde jour, de vrai jour. J’ai vécu le monde de la nuit bad trip, le

monde la nuit à paillette, le monde du travail mais dans la nature, enfin bref là,

là c’est le monde de la ville, le jour. »


« Moi c’est ce qu’il me fallait et ça me permet de, de me remettre dans un

rythme pour commencer. Puis on verra après. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Moi je me suis réveillée un peu tard mais je me réveille quand même. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Là je sens que mes fondations c’est comme si, ça y est : Chappe de béton ça y est, elle est montée, elle est faite. Là j’ai plus qu’à construire les murs et décorer. »


« Bas les masques quoi. Faut pas me la faire à l’envers. j’ai envie que les choses soient plates et lisses. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« Je suis en train de me construire. »

jeune femme,

29 ans, E2Cel

« J’ai passé l’hiver dernier, dans la rue parce que mes

parents ils acceptaient plus que je ne fasse plus rien »

Jeune homme, 23 ans, E2Cel

« [La formation], c’est comme si tu prenais des cours du soir avec un

copain mais que ça reste sérieux »


« Je suis tombé à l’époque ou mon père… il donnait encore des

coups »


« Quand je ne faisais rien, on parlait des jeux. Du coup, là, on a d’autres sujets de conversation parce que moi ça me gavait par exemple d’écouter les autres raconter leur journée sachant que bah toi t’as rien fait. »


« Ce qui m’a plu c’est de pas toujours faire la même chose quoi, vraiment

faire différentes choses »


« Se lever le matin et faire divers choses c’est ça que j’aime bien en

fait. »


« Ca apprend au moins pour plus tard à ne pas être trop timide. »


« Déjà on n’est pas noté. Et ils disent pas qu’on est nul comme à

l’école. »


« Avant je n’arrivais pas trop à parler devant les autres et ce

matin j’ai été dans les premiers à parler, ça m’a pas du tout gêné

quoi. »

Jeune homme,

19 ans, E2Cel

« Drôle de père mon père… »


« En général je ne pars pas en vacances. »


« J’ai fait des démarches pour trouver un travail mais ça donnait rien. »

Jeune homme,

19 ans, E2Cel

« Quand j’ai fait les démarches, il fallait un diplôme…et vu que je n’en

avais pas. »


« Quand je suis allé en fait au lycée, les gens de SEGPA c’était pas une

honte donc ça allait, vu que les trois-quarts de ma classe ils venaient d’une

SEGPA donc ça allait. »


« D’abord avoir un travail…avec une famille et…une femme et deux ou trois enfants et la voiture avec une maison. Pour moi, c’est ça une vie parfaite. »


« Là bas c’était insalubre dans l’appartement et donc ma mère qui

avait des gros problèmes de santé, là bas c’était pas possible de vivre. On a

du déménager pour notre vie. »


« J’me dis, il faut tu avances, il faut que tu apprennes à parler, tout le

monde parle c’est la logique. »


« Le parrain [de promo] il m’a proposé [de faire un stage dans son entreprise] et puis voilà. Et puis après ça a été une découverte, une révélation pour moi. »


« J’aime bien l’urgence. Ca permet de sauver des vies. »


« J’ai appris à aider les gens, c’est ça le plus important. A dialoguer

avec les gens alors qu’avant j’arrivais pas à dialoguer avec les

gens. »


« Mon patron c’était un… En fait, au début il ne jugeait pas et après il a

commencé à me faire des préjudices, il a commencé à parler des arabes…des

arabes… J’ai laissé passé, j’ai laissé passé et un jour je suis arrivé en

retard…de 10 minutes. Et en fait il a dit, oui les arabes de toute façon vous êtes

tous les mêmes. »


« J’ai voulu tourner la page. Je ne voulais plus fréquenter les gens

de là-bas pour éviter de … »


« Mes papiers je suis en train de refaire…pfff c’est….je suis en mode galère comme

on dit. »


« C’est un peu la galère mais je relativise, je patiente parce que je me

dis toujours que la patience est une vertu. »


« Quand il y a trop de pression dans la tête c’est mieux d’en parler …pour

éviter de péter un câble. »


« Ce que j’aime le mieux, c’est aller dans les forêts moi… (…) La nature c’est kiffant, c’est la

liberté….tu respires tous les jours, c’est trop bien. Alors quand je me prenais la tête avec mes parents,

je prenais un sac à dos avec mon pote et je lui disais, ouais vas-y viens on bouge. On prenait tout

ce qu’il fallait, les ravitaillements…on s’installait au bord d’une cascade, on faisait un ptit feu, un ptit camp et on dormait pendant les deux trois jours

non stop. On squattait deux-trois jours comme ça. »


« A l’époque c’était peintre en bâtiment mais les entreprises ne voulaient pas

par rapport à ma cicatrice… ils aiment bien juger. Donc j’ai travaillé un peu et

après je voyais que j’arrivais pas à persister…et je me suis dis « vas-y on

va se mettre dans les stup’ »


« C’est une bande de pote et puis voilà bling bling, l’argent…C’est pour ça que

c’est dur quand je suis en galère comme ça. Ca me démange…(…) Mais je ne le fais pas. Je me suis promis tu vois. Je me suis tenu un serment pour

moi-même… »


« Ils ont été super content de moi, ils ont appelé l’école. Ils leur ont dit, franchement il n’y a rien à dire. Toute l’équipe là bas, ils étaient tous fiers de moi. Ils ont pris des photos. Ils ont insisté pour mettre la photo dans le siège. »


« Le problème c’est qu’avec le temps, on perd tout quand on fait rien. »

Jeune femme,19 ans,

La Calandre, centre éducatif de Tréméac

« A Marseille, tu verrais les cités là bas mais pff dans quelles conditions ils vivent

les gens là bas mais t’y croirais pas tes yeux. Nous on était dans les quartiers

nord mais t’y croirais pas tes yeux. Y’a des poubelles jusqu’au premier étage tu

vois. C’est du grand n’importe quoi. »

Jeune femme,19 ans,


« Y’a des bidonvilles à Marseille. »

Jeune femme,19 ans,


« Maintenant c’est 609, ça a descendu. C’est un petit peu dur mais ça va. J’arrive bien à payer. C’est dur pour le loyer. Je paye 239

pour le loyer. C’est dur mais j’arrive. »

Jeune femme,20 ans,


« C’était dur à la maison, on ne sortait pas on n’avait pas le droit de sortir. On ne voyait

personne. »

Jeune femme,19 ans,

La Calandre,centre éducatif de Tréméac

« Ma petite sœur a été voir une assistante sociale ils ont vu que c’était

trop dur, elle a été placé en foyer. »

Jeune femme,19 ans,


« Je savais qu’ils allaient me mettre à la porte. »

Jeune femme,19 ans,


« Je crois que je vais être bien dans 5 ans. »

Jeune femme,19 ans,


« Les études c’est pas mon truc. »

Jeune femme,19 ans,


« Je suis venue deux fois en fait. La première je suis venue en septembre. En septembre j’ai fait

leurs tests, les entretiens mais après ils ont dit que j’étais pas assez motivée. »

Jeune femme,19 ans,


« Moi j’ai eu un gros coup de bol, je suis tombé au moment au bon

endroit. »


« Le fait d’être tous ensemble ça permettait d’être dans la même

situation, ça permettait d’être plus relax, d’être plus relâché, de pas avoir honte j’ai envie de dire vis-à-vis des autres. »


« Vu que j’ai fait quand même la moitié de ma vie à Mayotte, moitié de ma vie ici j’ai des souvenirs de Mayotte mais j’ai plus de souvenirs d’ici. Finalement

ça fait de moi un métropolitain. »


« Ma mère elle m’appelle plus en me disant « toujours en vie ? » »


« Je me motive super vite et je me décourage super vite. »


« C’est aussi une expérience de vivre avec d’autres, de travailler avec

d’autres. »

Jeune femme, 28 ans, E2Cel

« Pour travailler dans le public on doit avoir la nationalité et tout ça. »

Jeune femme,

28 ans, E2Cel

« Je vais commencer par trouver un travail, avoir mon titre de séjour et

après pouvoir faire la formation que je veux.»


« Tous mes petits projets ça va s’inscrire dans le grand projet. »


« Moi je m’adapte vite, n’importe quel métier, à n’importe quelle équipe.

Parce que moi j’aime bien… Je m’intègre très vite. »

Jeune femme,

28 ans, E2Cel

"Avant la formation je ne savais pas vers quel métier m'orienter. J'avais plusieurs choix sans

vraiment avoir effectué de stage pour connaître les réalités du métier" ; "Pendant la formation, j'ai

appris à être dans le monde du métier, ça m'a beaucoup changé des cours du lycée" ; "Cette

formation m'a apportée des points positifs. J'ai un peu plus confiance en moi sur mes différentes

démarches. Je suis plus autonome".

Jeune femme (moins de 25 ans), Plateforme de préparation

à l’alternance (CMA)

"Avant la formation, j'étais vraiment susceptible et en manque de confiance«

Jeune femme (moins de 25 ans), Plateforme de préparation


"Dans cette formation j'ai appris à chercher des stages et comment cibler

les entreprises et comment parler devant un employeur, et aller voir des centres de formation qui prennent des gens dans le

métier que l'on a choisi".

Jeune homme (moins de 25 ans), Plateforme de préparation


"Ca nous a appris la confiance en nous. Ca nous a aidé à construire notre projet professionnel. Ca nous a fait évoluer et murir et prendre nos responsabilités (...) les stages m'ont appris à acquérir plus de maturité et de concentration (...) Je voulais remercier pour la formation.«



"J'ai appris à me connaître et à avoir confiance, comment faire pour appeler les entreprises pour négocier un stage, à se présenter pour avoir un rendez-vous avec un employeur, apprendre à

faire des CV, des lettres de motivation. On nous respecte, on nous prend comme des adultes pas

comme des enfants, et avant la formation je n'aurais pas cru que ça se passait comme ça".



"Cette formation m'a permis de me poser, ça m'a conforté dans mon envie de partir à l'Armée. Avant c'était compliqué avec ma

mère, elle ne voulait pas que je fasse l'Armée. Ca m'a aussi cadré. Aujourd'hui, j'ai hâte de partir à l'Armée, je suis pressé de partir

de chez moi. Aujourd'hui, mon projet il est clair et ça me motive".



"Cette formation m'a bien servi. Je trouve qu'aujourd'hui je suis plus sérieux. J'ai envie de

travailler maintenant".



A un(e) de vos ami(e)s qui cherche du travail que lui conseilleriez vous de faire? Que lui

diriez-vous?

"Bien définir son projet, faire beaucoup de stage et ne surtout pas se décourager"

Que lui diriez-vous de ne surtout pas faire?

"Pas de manque de respect, ni arriver en retard ».

Questionnaire (individuel) de fin de formation Plateforme de Préparation à l'Alternance

A un(e) de vos ami(e)s qui cherche du travail que lui conseilleriez vous de faire? Que lui diriez-vous?

"De chaque jour regarder les offre sur pole emploi de fair des stage avec cette formation ou l'AFPI"


"De ne pas rester sans chercher et de pas se décourager".


A un(e) de vos ami(e)s qui cherche du travail que lui conseilleriez vous de faire? Que lui diriez-vous?

"de regarder le site de pôle emploie et aller démarcher dans les entreprises avec son CV et sa

lettre de motivation.


"Perdre espoir".


A un(e) de vos ami(e)s qui cherche du travail que lui conseilleriez vous

de faire? Que lui diriez-vous?

« De ne pas se décourager »


"De ne pas lâcher trop vite le morceau". Questionnaire (individuel) de fin de formation

Plateforme de Préparation à l'Alternance

A un(e) de vos ami(e)s qui cherche du travail que lui conseilleriez vous de faire? Que lui

diriez-vous?

"de ne pas désespérer les efforts sont toujours récompensés"


"de ne pas saper une entreprise malgré une réponse négative".


A un(e) de vos ami(e)s qui cherche du travail que lui conseilleriez vous de faire?

Que lui diriez-vous?

"Aller toujours de l'avant et persévérer"


"Ne pas rester à rien faire et être optimiste".


"Faire des rencontres, échanger nos projets et s'entraider entre nous et les

entretiens individuels sont importants au moins une fois par semaine car cela nous permettait de nous retrouver seul avec

nos référents pour tout remettre au point sur notre projet".

Bilan de groupe de fin de formation Plateforme de Préparation à l'Alternance

"L'accompagnement individuel était important car certains parlent plus en entretien et les

référentes étaient bien présentes car elle nous donnaient des adresses, des idées d'entreprises.

Elles servaient à ce que l'on sache ce que l'on pense de nous, et mettre en avant nos points

forts et d'améliorer nos défauts (les évaluations de stage)".

Bilan de groupe de fin de formation Plateforme de Préparation à l'Alternance

Question 1: De manière globale, êtes vous satisfait de la formation proposée ?

Oui

Pourquoi?

"Elle m'a aidée à concrétiser mon projet, j'ai été bien entouré et aidé par ma formatrice et j'ai démarchés »

Question 2 : D'après vous quels sont les points forts de cette formation?

"Les points forts pour moi sont quelle ma fait prendre conscience que je n'étais finalement pas sur de mon projet". Questionnaire (individuel) de fin de formation



Oui

Pourquoi?

"J'ai pu refaire mon CV et ma lettre de motivation que je n'avait pas modifier depuis des années, et j'ai pu avoir pas mal de contact

(entreprise) ainsi que des conseils pour orienter mes recherches »


"Ces contacts, le fait qu'il y ait eu d'autres personnes comme moi avant. Et sont encadrement".

Questionnaire (individuel) de fin de formation



Oui

Pourquoi?

"Car on es pas seul dans notre projet, on es bien renseigner appuyer dans nos démarches«



De manière globale, êtes vous satisfait de la formation proposée ?

Oui

Pourquoi?

"Car elle m'a aidé a prendre plus facilement contact avec l'entreprise et a m'améliorer pour des entretient professionnel«


"Ils aident à prendre confiance professionnellement »

Si votre objectif n'a pas été atteint, quelle est l'explication d'après vous?

« Par mon manque de déplacement »


De manière globale, êtes vous satisfait de la formation proposée ?

Oui

Pourquoi?

"ils m'ont aidez a améliorez mon comportement pendant l'entretien, ils m'ont aidez a ciblez les entreprises de la région,

ils m'ont aidez aussi a faire des stages".


"Cette année beaucoup de personne veulent faire technicien d'usinage »


Quel était votre projet et vos objectifs de formation?

"de me faire confiance avant tout et de retourné en entreprise »



« Si votre objectif n'a pas été atteint, quelle est l'explication d'après vous? »

"Mon manque d'investissement"


Si votre projet ou vos objectifs ont changé en cours de formation, quels en sont les motifs?

"Car je n'avais pas de mobilité »


"Mon objectif a du mal à être atteint car je ne peut pas élargir ma zone géographique".



"La France est bouché! Les jeunes sans qualification n'ont plus d'avenir"


Documents

Les jeunes sont à l’honneur!