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DOSSIER DE PRESSE

«25 après leur rupture tumultueuse, Marie (Véronique Genest) retrouve Philippe (Julien Cafaro), son amour de jeunesse, aujourd’hui marié avec Sophie (Caroline Devismes).Philippe et Sophie ont une fille, Julie.Marie, de son coté, à fait un enfant toute seule - Arthur (Nicolas Le Guen).Rien de grave à priori. Même si elle est toujours un peu (beaucoup) amoureuse de Philippe, Marie a assez d’humour, d’énergie et de caractère pour affronter ces retrouvailles inattendues.

Sauf qu’Arthur se trouve être le fils de Philippe.Que Marie a soigneusement omis de parler de ce détail aux deux hommes, depuis 25 ans.Qu’Arthur est tombé amoureux de Julie.Et surtout que Julie est enceinte.Le moment serait il venu pour Marie d’avouer la vérité?Ajoutons une fuite d’eau, Celine Dion, un plombier bodybuildé (Maxime), des Haïkus : quand Philippe et Sophie débarquent chez elle pour un diner imprévu, la situation devient très, très délicate à gérer, pour Marie…»

Après avoir longuement sévi à la télévision et imaginé au passage quelques séries à succès comme La kiné, pour Fr2 ; Alice Nevers, Le grand patron, « Mes amis, mes amours… », pour TF1.

Thierry Lassalle s’attaque maintenant au théâtre.Portrait craché est sa seconde pièce, après Un bébé pour deux, créé au Festival d’Avignon, en 2011.

THIERRY LASSALLE | Auteur |

“Janvier 1992. Sur la recommandation de Sylvie Joly, je sonne à la porte de Jacqueline Maillan. Elle triomphe dans Pièce Montée, de Pierre Palmade, à la Comédie des Champs-Élysées, et cherche un nouveau projet pour la rentrée suivante.Dans son grand salon en rotonde donnant sur le Trocadéro, elle m’écoute avec enthousiasme lui raconter l’histoire que j’ai dans la tête. Quel joli personnage, que cette femme contrainte d’empiler les mensonges en retrouvant fortuitement le père de l’enfant qu’elle a fait “toute seule” ! Maillan s’imagine déjà dans ce rôle, où elle pourra en même temps faire rire et émouvoir. Les idées fusent : il faudrait que l’héroïne dise ceci… Fasse cela… Bref, je n’ai plus qu’à écrire la pièce !Après une après midi de travail, la conversation devient plus personnelle. Comme ça, j’écris pour la télévision ? Maillan se verrait bien dans une comédie policière.… Elle vient justement de voir un film formidable. L’histoire d’une commissaire de police, incarnée par une jeune

comédienne épatante. Rousse, pétulante. Une vraie nature – et Maillan sait de quoi elle parle !La rousse pétulante, c’est Véronique Genest, dans l’épisode pilote de Julie Lescaut, sur TF1…Je concocte pour Jacqueline un projet télé sur-mesure – aussitôt refusé par le grand manitou de la fiction: une comédie policière, avec une vieille actrice de théâtre ? Jamais !Maillan est déçue. On reparle de mon projet de théâtre, mais le coeur n’y est plus – au sens propre. Elle est fatiguée, malade. Elle disparaît quelques semaines plus tard.24 ans plus tard, presque jour pour jour, Véronique Genest joue Portrait craché, sur la scène du Palais des Glaces. La boucle est bouclée : la comédienne appréciée de Maillan, interprète le rôle dans lequel j’imaginais Jacqueline. Sur scène, Véronique entraîne le public dans sa folie, déchaîne les rires et impose des silences d’émotion. Aucun doute, Maillan l’aurait adorée.”

NoTE dE L’AuTEuR

Dès son plus jeune âge Veronique ne rêve que de comédie. Avec son frère Olivier, qui rêve de mise en scène d’opéra, elle s’installe à Paris et fréquente les cours de théâtre. Un spot de Pub lui permet de faire ses premiers pas et la fait remarquer par Francis Giraud qui lui donne

son premier rôle dans La Banquière au coté de Romy Schneider. Dans le même temps elle passe le casting de Nana et est choisit par le metteur en scène Maurice Cazeneuve pour ce merveilleux personnage. On est en 1980.C’est le début d’une longue série de rôles au cinéma, à la télé et au théâtre. En 1991 Caroline Huppert, avec qui elle vient de tourner Rue du chat crevé, la choisit pour le pilote de la série policière : Julie Lescaut.Personne ne s’attend aux 22 années de succès qui vont suivre.Mais véronique ne s’en contente pas et enchaine avec tout autant de succès des comédies et des drames

pour la télé et le théâtre. Elle se lance dans la production et l’écriture.Son livre 46/38 guerre et poids qui sort en 2008 est plébiscité par le public. Elle en tire un One Woman Show Madame Butterlight qu’elle jouera à la gaité en 2009. Elle y parle des problèmes des femmes confrontées à leur image.En 2014, après 101 épisodes, « Julie » pose son flingue et termine en apothéose. La série est bouclée. Ni une ni deux, Véronique saute dans le costume de la tueuse de Meurtre au Pyla et renoue ainsi avec ses premiers amours : le service public. Elle enchaine sur son deuxième livre 22 v’là Julie où elle livre avec humour les secrets de fabrication ainsi que les joies et peines de 22 années de tournages.Après deux années à sillonner les salons du livre à la rencontre du public, qu’elle n’a que trop rarement eu le temps de visiter auparavant, elle retrouve le chemin des studios pour tourner Dernier amour pour France3, un biopic sur Simone Weber avant d’avoir le plaisir de remonter sur scène avec la comédie que vous êtes venus voir ce soir. Comme elle le dit elle même « Une vraie pièce de boulevard pour rire et se détendre car rire une heure par jour garde en bonne santé ».

VÉRoNIQuE GENEST

C’est d’abord à travers ses one-man-show que l’on découvre Maxime. Depuis de nombreuses années, il se produit sur des scènes prestigieuses comme L’Olympia, Le Bataclan, Le Palais des Glaces, La Comédie de Paris ; mais aussi à travers toute la France. Parallèlement à cette expérience de la

scène, il intègre l’équipe des chroniqueurs de Laurent

Ruquier dans On a tout essayé, de Nagui et de Frédéric Lopez. Pour finalement prendre les commandes de sa propre émission Sur la tête de Maxime sur la chaîne Comédie ! Il enchaîne plusieurs one-man : J’suis pas du matin, Maxime en 12 rounds mis en scène par Jacky Matte. Mais c’est au théâtre qu’il se révèle, tout d’abord dans une pièce de Dominique Coubes Le siècle sera féminin ou ne sera pas au théâtre du Gymnase ; puis dans Le clan des divorcés, Dix ans de mariage et Famille recomposée qu’il joue pendant plusieurs saisons. Il écrit sa première pièce Le simulateur sous la direction de Sylvain Meyniac au théâtre Le Temple.

MAXIME

Metteur en scène prolixe, pas loin d’une cinquantaine de productions à son actif, inclassable car éclectique, est aussi à l’aise dans les tragédies… (Vol au dessus d’un nid de coucou de Dale Wasserman au Théâtre de Paris (250 rep.) avec, entre autres, Bernard Tapie et André Falcon,

Les Sorcières de Salem d’Arthur Miller (260 rep.) au Trianon, à Hébertot, au Ranelagh avec, entre autres, Barbara Schulz, Gilles Nicoleau, Grégoire Bonnet,

Marie Parouty, Dommage qu’elle soit une P… de John Ford créé au Trianon et au Palace avec, entre autres, Jean-Paul Rouves)… que dans les comédies (Des soucis et des potes, qui a triomphé pendant 2 ans et demi au Trévise ou encore l’indétrônable Arrête de pleurer Pénélope (plus d’un million de spectateurs), qui se joue encore un peu partout, dix ans après ; Mike au théâtre Comédia qui lui rapporte trois nominations aux Molières 2011 dont Meilleur spectacle musical. Nous lui devons aussi l’arrivée de cet « ovni » dans notre paysage théâtral Les Hommes viennent de Mars et les Femmes de Vénus de et par Paul Dewandre, qui n’a pas quitté l’affiche du Théâtre du Gymnase pendant huit saisons ).

THoMAS LE douAREc | Metteur en scène |

Il quitte sa région haut-mar-naise pour « monter » à Paris et s’inscrire au Cours Simon où il y reste-ra 3 ans. Dans la même année, il commence par le festival d’Avignon puis il est très vite repéré par Robert Dhéry et sa troupe des Branquignols. De pièce en pièce, il en a joué plus de 70, côtoyant les plus grands comédiens

comme Michel Serrault, Pierre Mondy, Michel Galabru, Jacques Balutin, Daniel Prévost, Isabelle Mergault… Jouant dans plusieurs pièces comme : Knock, Panique au Plazza, La Femme du Boulanger, Laisse parler ta mère, Drôle de couple, etc.

Il est également très demandé à la télévision dans des films réalisés, entre autres, par François Lucciani, Dominique Tabuteau, Alain Wermus, Philippe Béranger, Williams Crepin, et est apparu dans des épisodes de séries comme Maigret (aux côtés de Bruno Cremer), Marc et Sophie, Maguy, Joséphine ange gardien, Un homme en colère, Samantha Oups !, Camping Paradis.Au cinéma, on a pu le voir dans tous les films d’Isabelle Mergault.Il y a 14 ans, il fonde avec quelques amis, l’association GAH, dont il est le directeur artistique, qui organise chaque année, le Festival des Briardises en Seine et Marne.

JuLIEN cAFARo

Venant du Nord-Pas-de-Calais, elle débute sa carrière parisienne dans la Compagnie Roger Louret en 1997 et enchaîne plusieurs spectacles dont Les Années Twist, La Fièvre des Années 80 ou encore La Java des mémoires. Elle participe aussi pendant quatre ans aux émissions Les Années Tubes sur TF1 présentées

par Jean-Pierre Foucault. On l’applaudit ensuite dans Les Dix commandements d’Elie Chouraqui et Pascal Obispo et Les enfants de l’Olympia d’Odile Bastien et Thierry Sforza.Sa formation complète en chant, danse et comédie la conduit vers des productions musicales telles que : Voca People à Bobino, Mike au Comédia d’Hairspray au Casino de Paris et à Bobino.Elle entame une carrière théâtrale qui a commencé au Festival d’Avignon avec Dorian Gray et qui depuis ne s’est pas arrété.

cARoLINE dEVISMES

Nicolas LE GUEN a découvert le plaisir de la scène à l’age de 8 ans et n’a depuis plus quitté les planches. À 20 ans, il complète sa formation classique avec le théâtre d’improvisation. Il co-dirige aujourd’hui la troupe d‘improvisation « Les Kikkos » se produisant tous les mois à Paris.

Passant par Woody Allen, Melquiot ou Courteliner, il présente avec la troupe Les Enfants d’Ernest une version revisitée de La Double Inconstance de Marivaux, au festival Off d’Avignon 2016, au Théâtre des Barriques

NIcoLAS LE GuEN

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