LE BIEN PUBLIC

Mercredi 23 octobre 2013

CAROLINE SENNEGON

Au centre, les deux gagnants : Kathy Bayer, du CFA du bâtiment d'Autun, et Jean-René Simon, du CFA du bâtiment de Dijon. Photo V. L

Le 24 e concours du meilleur apprenti-peintre de Bourgo-gne et le 15 e concours du meilleur apprenti-maçon de Bourgogne se sont déroulés la semaine dernière à Dijon.

C

'est un événe-ment régional incontournable

qui permet de promouvoir des métiers, ceux du bâtiment, qui ont des débouchés certains », déclare Didier Sève, président du concours peintre du

meilleur apprenti de Bourgo-gne 2013. « L'apprentissage constitue une très bonne voie pour l'avenir des jeunes », esti-me de son côté Pascal Mi- chaud, président du concours maçon.

Depuis vendredi dernier, les gagnants du 24e concours du meilleur apprenti-peintre de Bourgogne 2013 et du 15 e con-cours du meilleur apprenti-ma-çon de Bourgogne 2013 sont connus. Il s'agit de Kathy Bayer, du CFA du bâtiment

d'Autun (71), pour le concours peintre, et de Jean-René Simon, du CFA du bâtiment de Dijon, pour le concours maçon. Ces concours sont organisés cha-que année à tour de rôle dans les différents départements de la région Bourgogne, avec le soutien du conseil régional de Bourgogne et des collectivités locales. Cette année, il s'est dé-roulé à Dijon la semaine der-nière, sur un total d'environ un peu plus de 20 heures.

V. L

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FORMATION

Les meilleurs apprentis du bâtiment récompensés Cabinet consultants

conseil

et formation

« Il n'y a pas de bien-être sans bien faire »

La CFE-CGC organise ce mercredi 23 octobre au parc des Expositions, à Dijon, un débat autour des

risques psychosociaux (RPS). Sont-ils un phénomène nouveau ? « Les problématiques de santé au travail sont traitées de-puis plusieurs années mais le vocable n'existait pas enco-re. Les intervenants du domaine santé au travail interro-geaient plutôt les questions de charge de travail, de souffrance au travail, de stress. Par la suite, les suicides de certains salariés parfois sur leur lieu de travail n'ont fait qu'accentuer la médiatisation de ces problématiques san-té et sécurité au travail. Ce n'est donc pas un effet de mo-de. Aujourd'hui, la prise en charge des risques psychoso-ciaux s'inscrit dans un cadre réglementaire. » Les entrepreneurs sont-ils persuadés d'emblée de la réalité de possibles RPS chez eux ? « Les entreprises qui m'interpellent pour mettre en place des démarches de prévention des RPS sont des structures industrielles appartenant à des groupes, mais également des structures médico-sociales, des associations, des ad-ministrations ou des collectivités locales. Très peu sont encore dans le déni de l'existence des risques psychoso-ciaux. » Y a-t-il des RPS qui reviennent plus souvent que d'autres, que vous allez à chaque fois retrouver ? « Lorsque j'interviens, je retrouve souvent des pro/D/é -ma-

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