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Les stratégies dedéfense et de
copingJean-François VerlhiacLibre niveau licence:
Initiation à la psychologie dela santé
Année 2005-2006Université de Paris 10 NanterreMC Gay, C Mazé, JF Verlhiac
http://www.u-paris10.fr/80110874/0/fiche___pagelibre/
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Références
Bruchon-Schweitzer, M., &Quintard, B. (2001). Personnalité etmaladies : stress, coping etajustement. Paris : Dunod.
Chabrol, H., & Callahan, S. (2004).Mécanismes de défense et coping.Paris : Dunod.
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Historique
Défenses et Coping
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Introduction
Quelles réactions face au stress ? Réactions variables des individus face au
stress : plus ou moins rationnelle Les réactions face au stress ont un effet
sur la santé, le bien être Françoise: repousse l’examen médical, stress
renforcé, risque d’aggravation du problème(Nodule--> Cancer), état de santé généralmédiocre (symptômes psychosomatiques)
Anne réagit efficacement, plus rapidement Comment gère-t-on son stress, quels
mécanismes de défense et de coping?
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Mécanismes de défenses et copingHistorique
Coping et défenses renvoient à deuxapproches différentes en psychologie, desréponses des personnes à des dangersinternes ou externes
Défenses --> approche psychanalytique Coping --> approche cognitive et
comportementale
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Mécanismes dedéfense
Défenses contre lespulsions
instinctuelles etaffects liés à ces
pulsions
Opérationsinconscientes dumoi, opérations
involontaires
Historique des concepts de défense et de Coping
Défenses du moi faceau surmoi qui
réprime les pulsionsPulsions: colère,
jalousie, haine etc.
Réactions contre lesagressions internes
et externes
Manifestation de lapathologie
(symptômes) du faitdes conflits défensifs
entre pulsion etdéfense, défenses dumoi et répressions du
surmoi
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Coping
Ajustementpersonnel et
adaptation de sonenvironnement
Stratégiesconscientes
adaptées ou non
Historique des concepts de défense et de Coping
Faire face
Défenses volontaires Maîtriser, évaluer,réfléchir à la situation
stressante
Modifierl’environnement et
s’ajuster en fonctiondes stratégies
utilisées
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Evolution des concepts et leurchevauchement
Oppositions problématiques (conscient vs.inconscient, volontaire vs. involontaire, rigidevs. flexible, conflit interne vs. adaptation à laréalité, psychopathologie vs. bien-être et santémentale)
Ces deux concepts s’entremêlent plus qu’ils nes’opposent (un comportement peut êtreconscient et involontaire ou inconscient etvolontaire)
Exemple: Je n’ai pas conscience de faire ducoping Je fume (coping) alors que je n’ai pas le sentiment
d’être dans une situation de stress
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Evolution des concepts et leurchevauchement (suite)
Coping et défense portent tous deux surla maîtrise et la lutte contre lesévénements extérieurs
Le coping et les défenses évoluent tousdeux avec l’expérience
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La définition du coping par Cohen etLazarus (1979) englobe les défenses
Efforts orientés vers l’action et versl’intrapsychique pour gérer (maîtriser,tolérer, réduire, minimiser) les exigencesenvironnementales et internes et lesconflits entre elles.
Types de coping: Recherche d’informations Inhibition de l’action Recherche de soutien social Processus intrapsychiques (réévaluation de la
situation, processus de défense)
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Les Défenses
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Les mécanismes de défenses: deuxcatégories de défenses
Défenses adaptées vs. inadaptées Hiérarchisables (utilisation de l’échelle
DSM IV: Diagnostic and StastiticalManual of Mental Disorders)enfonction de la nature de la protectioncontre l’anxiété et contre la prise deconscience de la menace (interne etexterne)
Défenses plus ou moins volontaires etconscientes)
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Les mécanismes adaptés et inadaptés de défense (d’après Chabrol et Callahan, 2004 :
pp : 11-53).
Les mécanismes d’adaptation Définitions et caractéristiques
1- N iveau adaptatif élevé Adaptation optimale aux facteurs de stress.
Les défenses autorisent la perception
consciente des sentiments, idées et leurs
conséquences
(humour, sublimation, anticipation,
répression, altruisme, auto-observation,
affiliation, affirmation de soi par
l’expression des sentiments)
Niveaux
2- N iveau des inhibitions
mentales ou de la
formation de
compromis
Maintien hors de la conscience des idées,
sentiments souvenirs, désirs ou craintes
potentiellement menaçantes (refoulement,
déplacement, formation réactionnelle,
annulation, isolation, dissociation,
intellectualisation)
Les mécanismes d’inadaptation Définitions et caractéristiques
Niveaux 1. N iveau de distorsion
mineure de l’image de soi,
du corps et des autres
Défenses qui visent la régulation de l’estime
de soi (idéalisation, dépréciation,
omnipotence, défenses narcissiques et
personnalité narcissique)
3- N iveau du désaveu Défenses qui empêchent la prise de
conscience de facteurs de stress,
d’impulsions, d’idées, d’affects désagréables
ou inacceptables (déni, projection,
rationalisation)
4- N iveau de distorsion
majeure de l’image
Défenses qui déforment l’image de soi et des
autres (clivage, identification projective,
rêverie autistique)
5- N iveau de l’agir Défenses par l’action ou le retrait (passage à
l’acte, retrait apathique, plainte associant
demande d’aide et son rejet, agression
passive)
6- De dysrégulation
défensive
Défenses caractérisées par une rupture avec
la réalité objective et qui préservent d’une
perte des frontières du moi (Psychoses aiguës
et chroniques, projections délirantes, déni
psychotique et distorsion psychologique)
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Un exemple de mécanisme de défenseadapté : l’humour
Souligner les aspects amusants ou ironiques, lesconflits ou situations de stress
Appliqué à soi-même et pas au dépens desautres (ironie ou sarcasme, dévalorisation del’autre)
C’est un refus de soustraire, à l’attentionconsciente, les pensées pénibles pour soi
Régule les affects perturbants pour produire duplaisir.
Le moi rejette la souffrance et adopte uneattitude triomphante pour affirmer soninvulnérabilité
Défi du plaisir face à la souffrance et auxdifficultés
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Un exemple de mécanisme de défenseinadapté : le déni
Refuser de reconnaître les aspects douloureuxde la réalité alors que cela semble évident à unepersonne extérieure
Exclusion active et inconsciente de certainesinformations hors de l’attention
Ce n’est pas un évitement conscient, volontaireet transitoire (comme la répression etl’évitement adaptatif pour se préparer àl’annonce d’une mauvaise nouvelle)
A des formes plus ou moins extrêmes de déni etd’évitement, mais dans tous les cas: Exclusion active du champ de la conscience Absence de retour d’informations pour faire face Refus de l’information à laquelle on est confronté
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Les différences formes de déni(coexistantes): des réalités internes et
externes Déni de la réalité interne (nier ses pensées,
sentiments, désirs, dires, faits) Sujet en état d’ébriété réclame un certificat
d’abstinence, on le confronte à son état, il s’enoffusque, demande une prise de sang (je suis de bonnefoi), a 3 grammes d’alcool/l de sang, réfute (erreurselon lui)
Déni de la réalité externe (déni des informationsextérieures qui gênent, perturbent)
Nier qu’un événement a eu lieu, nier le comportementd’autrui, les affects d’autrui
La fille reproche à sa mère de rester avec le pèrealcoolique et violent, alors qu’elle vit elle même avecun alcoolique ; le quitte puis revient avec lui (cela vas’arranger)
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Deux formes non pathologiques de dénid’après Lazarus (1983)
Le déni sain et mature: (auto illusion ou autoduperie) : rend la réalité plus tolérable(optimisme, illusion d’invulnérabilité) etmaintient en bonne santé mentale Ces illusions permettent de bien récupérer chez un
malade (infarctus) mais attention: il faut contrôlerqu’il y ait suivi des recommandations et soins
Le défaut de déni: incapacité à s’auto-illusionner (versant dépressif et mélancolique,réaliste): lucidité anormale
Excès de déni pensée positive
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Les mesures des mécanismes de défense
Méthodes multiples: a) entretien, b)questionnaire et c) test: A) DSM-IV (Diagnostic and statistical Manual of
Mental Disorders, 1994) : passation par entretienclinique
B) Le Défense Style Questionnaire (DSK de Bond): leplus utilisé (version française de 88 items, 24mécanismes de défense abordés): aborde les dérivésconscients des mécanismes de défense
C1) Le Defensive Mechanism Inventory (DMI:présentation d’histoires courtes (conflits): choisir lesréactions à la situation qui sont proposées
C2) Tests projectifs (Rorschach et l’échelle de défensede Lerner, TAT)
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Les études empiriques des mécanismesde défense
Les rôles du Sexe, de l’environnement, desévénements de vie et des troubles psychiatriques Peu de variation des styles de défenses selon le sexe
pour les populations non pathologiques Les filles utilisent des défenses plus matures que les
garçons Les défenses immatures diminuent avec l’âge Famille cohésive, défenses plus matures Les conflits: renforcent l’usage des défenses
immatures L’emploi de défenses matures réduit le risque des
troubles dépressifs suite à des événementstraumatisants, réduit le niveau de stress post-traumatique, réduit le nombre de symptômes post-traumatiques
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Défenses maturesCorrélées avec:
Santé mentale etphysique
Plaisir au travail,stabilité maritale,satisfaction des
relations conjugales Peu deconsommation detranquilisants etantidépresseurs
Peu deconsommationd’alcoolisme
Peu de dépressionPrésence de soutien
social (famille,confidents)
Satisfactions liées àla vie
Compétencessociales à
l’adolescence(normes et
conduites sociales)
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Défenses immatures
Groupe avectroubles
psychiatriquesGroupecontrôle
Anxiété, Dépression,troubles paniques,dépersonnalitation Déni et refoulement
des affects négatifspour les peurs
paniques,
Projection, agressivité,retournement contre
soi pour les dépressifsPassage à l’acte,réponses au conflit etau stress par l’action
pour les troublescompulsifs etobsessionnels
Agir pour ne plussentir et ne pas savoir,recherche de sensation
Défenses et troubles psychiatriques: résultats variables enfonction des études
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Défenses et troubles psychiatriques(suite)
ATTENTION À trouble psychiatrique identique correspondent
parfois des styles de défenses variables et à desstyles de défenses différents correspondentparfois des troubles psychiatriques semblables(problème de causalité entre défenses ettroubles)
Les défenses sont parfois des symptômes d’untrouble psychiatrique
La relation causale est difficile à déterminerdans le cadre de l’action thérapeutique
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Les mécanismes de défense et lesthérapies
Les thérapies de la dépression peuvent jouer oumodifier l’usage des mécanismes de défense Par exemple des personnes dépressives en traitement
pour dépression et après traitement utilisent desdéfenses matures (pas systématique)
Des défenses immatures diminuent avec l’ensemblede la symptomatologie dépressive après traitement
Agissent sur les représentations négatives que lessujets se font de leur environnement (e.g., la patientne dit plus « la vie est injuste envers moi ») sansmodifier la présence de ses tendances à la projection
Les thérapies opèrent par un travail progressifde prise de conscience du processus défensif, desa reconnaissance en lui d’un processusautomatique ayant des rôles et effets spécifiques
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Exemple de prise de conscience d’unedéfense par la thérapie
Le clivage: Séparation, compartimentation des états affectifs qui
s’opposent ou échec à intégrer les aspects positifs et ceuxnégatifs de soi ou des autres dans une image cohérente,présence d’affects ambivalents que l’on a du mal à intégrer
Fait d’exclure la nuance dans les sentiments, diviser en bon-mauvais : cela entraîne des renversements soudains dessentiments pour soi, pour autrui
Etapes du processus de prise de conscience: Clarification: explorer des informations vagues, imprécises,
déconcertantes, contradictoires Confrontation: rassembler, réorganiser les informations
contradictoires pour mettre le patient en présence deséléments suggérant des représentations contradictoires desoi et d’objets
Interprétation: des motivations et défenses inconscientesrendant compréhensible ce qui était contradictoire
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Le coping
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Le coping
Issu des mécanismes de défense puis abordé entoute indépendance pour rendre compte desprocessus psychologiques et leur relation avecles réactions comportementales et cognitives
Abordé à part des défenses car en grande partiea des propriétés conscientes et stratégiques
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IllustrationVisite médicale,
médecin Perdre du poids,arrêter de fumer
Risque attaquecardiaque, décès,
handicap
Stress, sentiment etincapacité de changement
de comportement, commentfaire face ?
Recherche d’informations poursavoir comment changer de
comportement, ou changer demédecin (moins directif) ou s’en
remettre au destin ou alcool
Choix faits pour réduire l’écartentre les ressources disponibles à
la personne et la demande de lasituation
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Facteurs qui interviennent dans ladiversité des réponses des sujets au stress
DISPOSITIONS CONTEXTE
PROPRIÉTÉS DESSITUATIONS QUI ONT
UNE RÉPERCUSSION SURLE COPING
PERSONNALITÉ, FACTEURSPERSONNELS QUI
ORIENTENT LE COPING
S’ADAPTER(ACCOMMODER/ASSIMILER)
CHANGER DE POINT DEVUE, CHANGER LA
SITUATION
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La relation entre coping et stress
EvénementPression atypique
ou stresseur
Tentatived’adaptation
Affects négatifs et stress etstress lié aux difficultés
d’adaptationRéponses plus ou moins adaptéespour aider à surmonter les
difficultés
Plus ou moins de diminution de l’intensitédu stress et des effets néfastes de
l’événement sur la santé, plus ou moinsd’amélioration du bien être
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Le modèle transactionnel deLazarus et Folkman, (1984)
StresseurTensions
individuellesRapport, transactions,
efforts d’adaptationentre personnes et
environnement
Ressources biologiques,psychologiques socialesexploitées lors de stress
Expérience ressentie de latransaction avec éveil excessif quientraîne détresse physiologique
et/ou psychologique
Stress quand déséquilibre, écart (perçu ouréel) entre exigences de la situation et lesressources du système biologique (corps,organisme) et psychologique (motivation,
bien-être) et social (isolement) de la personne
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Stress et coping (suite)
Dans les échanges avec l’environnement,l’individu évalue Les exigences de la situation Ses ressources disponibles Les contradictions (forces qui s’opposent)
L’expérience aide au choix des bonnesstratégies de coping
Le coping est la résistance au stress (sonévacuation), capacité à rester en bonne santémalgré le stress et les stresseurs
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Le mécanisme de coping et de résistance au stress endeuyx étapes d’après Lazarus et Folkman, (1984)
Phase primaire Réaction à la menace, à lademande de la situation
Deux phases réactives à lasituation, mais les facteurs
personnels, individuelsvont réguler ces deux
phases réactives
Evaluation des dégâts (gains,pertes), souffrance endurée,générée par le stress, pertes
et gains futurs, peut onaméliorer la situation ?
Phasesecondaire
Evaluation et engagement desressources disponibles (sont-
elles suffisantes)
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La relation entre Coping et Contrôle
Evénement(maladie etc.)
Contrôle plus oumoins important
Contrôle: on peutéloigner le stress par le
coping
Moins d’affectsnégatifsPas de contrôle: source
de stress, accumule leseffets du stress
Diminution de l’intensité dustress et des effets néfastesde l’événement sur sa santé,plus ou moins d’amélioration
du bien être
(Sentiment de) faiblesressources pour
changer la situation
Augmentation de l’intensitédu stress et des effets
néfastes de l’événement sursa santé, dégradation du
bien être
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2.16Catastrophe naturelle
2.94Chômage
4.63Accident de voiture grave
4.97Accident du travail
6.36Accident domestique
6.27Accident cardiaque
7.29Cirrhose
8.12HIVEvénements de vie future
Contrôle moyen perçu
Contrôlabilité perçue des événements est très variable: la nature plus ou moinscontrôlable de l’événement permet de se faire une idée des moyens d’action et de
protection disponibles (paralysie, passivité, fatalisme ou action)