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Lettre ouverte aux habitants de la Vallée de l’Isle : Ce n’est pas Monsieur Cazeau qui fera réconcilier nos compatriotes avec la classe politique quand on voit comment ce dernier, après avoir pris des engagements solennels envers des collègues élus, a ensuite bafoué ses écrits et renié sa parole. L’affaire du demi échangeur de Sourzac en est une vivante illustration hélas. Monsieur Cazeau est un homme sans parole, piètre gestionnaire, sectaire et acariâtre, et pourtant d’une suffisance sans bornes. Ces quelques qualificatifs peu flatteurs ne sont pas nés d’une querelle politicienne en fin de campagne électorale, mais une réalité, jugez vous même ! UN HOMME SANS PAROLE Extrait du courrier de M. CAZEAU adressé à Jacques MONTUELLE, maire de SOURZAC le 10 janvier 2003 « En réponse à votre lettre du 2 décembre 2002, j’ai l’honneur de vous confirmer l’engagement du Conseil Général de réaliser le 2ème échangeur côté PERIGUEUX à SOURZAC, avant l’expiration de la validité de la DUP, soit le 11 janvier 2013». Aujourd’hui les automobilistes prennent sans problème l’autoroute A89 à Sourzac pour se rendre à Bordeaux, mais par contre ne peuvent pas prendre l’autoroute à ce même endroit pour se rendre à Périgueux. La raison en est simple, le demi échangeur de Sourzac orienté vers Périgueux n’existe pas, par la faute de Monsieur Cazeau. Ce dernier, dans un premier temps, avait donné son accord en signant une convention avec les ASF*, engageant le Conseil Général à réaliser le demi-échangeur avant le 13 janvier 2013 et ce, pour un montant de 10 millions d’€uros. Cet engagement n’a pas été respecté et pourtant depuis 10 ans, j’ai inlassablement relancé les parties concernées sur ce dossier. J’ai toujours agi de façon courtoise et en cherchant les solutions les plus économes des deniers publics. Ainsi quand mes amis étaient au pouvoir, j’ai organisé une réunion à Paris en présence de Thierry Mariani, ministre des transports, accompagné de membres de son cabinet et de la direction des routes. Monsieur Deguilhem, Député et Conseiller Général, était présent ainsi que Monsieur Becret, Directeur Général des services du département de la Dordogne. Monsieur Cazeau s’était excusé au dernier moment. Au cours de ces échanges, chacun était convenu que la somme réclamée par les ASF paraissait largement surévaluée. J’ai aussi organisé en Vallée de l’Isle, toujours en présence de Monsieur Deguilhem et des collègues maires du secteur, une rencontre avec les dirigeants des ASF poussant ces derniers à refaire des propositions plus économiques. Peine perdue, au fil du temps les engagements de Monsieur Cazeau sont devenus de plus en plus évasifs et malgré le soutien loyal de Monsieur Deguilhem, le président du Conseil Général se dérobait et finissait par m’adresser en 2011 une lettre incongrue équivalent à une fin de non-recevoir. Face à ce blocage, avec l’appui unanime de tous mes collègues élus de la Communauté de Communes, nous avons décidé d’attaquer le Président du Conseil Général de la Dordogne au Tribunal administratif pour non respect de la convention qu’il avait signé avec les ASF*. * Autoroutes du Sud de la France François ROUSSEL Président de la communauté de communes de la Moyenne Vallée de l’Isle, Maire de Neuvic sur l’Isle, Député honoraire de la Dordogne. Connaissez-vous vraiment Monsieur CAZEAU Président du Conseil Général et Sénateur de la Dordogne ?

Lettre ouverte aux habitants de la Vall©e de l’Isle

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Page 1: Lettre ouverte aux habitants de la Vall©e de l’Isle

Lettre ouverte aux habitants de la Vallée de l’Isle :

Ce n’est pas Monsieur Cazeau qui fera réconcilier nos compatriotes avec la classe politique quand on voit comment ce dernier, après avoir pris des engagements solennels envers des collègues élus, a ensuite bafoué ses écrits et renié sa parole.L’affaire du demi échangeur de Sourzac en est une vivante illustration hélas.

Monsieur Cazeau est un homme sans parole, piètre gestionnaire, sectaire et acariâtre, et pourtant d’une suffisance sans bornes. Ces quelques qualificatifs peu flatteurs ne sont pas nés d’une querelle politicienne en fin de campagne électorale, mais une réalité, jugez vous même !

UN HOMME SANS PAROLE

Extrait du courrier de M. CAZEAU adressé à Jacques MONTUELLE, maire de SOURZAC le 10 janvier 2003

« En réponse à votre lettre du 2 décembre 2002, j’ai l’honneur de vous confirmer l’engagement du Conseil Général de réaliser le 2ème échangeur côté PERIGUEUX à SOURZAC, avant l’expiration de la validité de la DUP, soit le 11 janvier 2013».

Aujourd’hui les automobilistes prennent sans problème l’autoroute A89 à Sourzac pour se rendre à Bordeaux, mais par contre ne peuvent pas prendre l’autoroute à ce même endroit pour se rendre à Périgueux.

La raison en est simple, le demi échangeur de Sourzac orienté vers Périgueux n’existe pas, par la faute de Monsieur Cazeau.

Ce dernier, dans un premier temps, avait donné son accord en signant une convention avec les ASF*, engageant le Conseil Général à réaliser le demi-échangeur avant le 13 janvier 2013 et ce, pour un montant de 10 millions d’€uros.

Cet engagement n’a pas été respecté et pourtant depuis 10 ans, j’ai inlassablement relancé les parties concernées sur ce dossier.

J’ai toujours agi de façon courtoise et en cherchant les solutions les plus économes des deniers publics.

Ainsi quand mes amis étaient au pouvoir, j’ai organisé une réunion à Paris en présence de Thierry Mariani, ministre des transports, accompagné de membres de son cabinet et de la direction des routes. Monsieur Deguilhem, Député et Conseiller Général, était présent ainsi que Monsieur Becret, Directeur Général des services du département de la Dordogne. Monsieur Cazeau s’était excusé au dernier moment.

Au cours de ces échanges, chacun était convenu que la somme réclamée par les ASF paraissait largement surévaluée.

J’ai aussi organisé en Vallée de l’Isle, toujours en présence de Monsieur Deguilhem et des collègues maires du secteur, une rencontre avec les dirigeants des ASF poussant ces derniers à refaire des propositions plus économiques.

Peine perdue, au fil du temps les engagements de Monsieur Cazeau sont devenus de plus en plus évasifs et malgré le soutien loyal de Monsieur Deguilhem, le président du Conseil Général se dérobait et finissait par m’adresser en 2011 une lettre incongrue équivalent à une fin de non-recevoir.

Face à ce blocage, avec l’appui unanime de tous mes collègues élus de la Communauté de Communes, nous avons décidé d’attaquer le Président du Conseil Général de la Dordogne au Tribunal administratif pour non respect de la convention qu’il avait signé avec les ASF*. * Autoroutes du Sud de la France

François ROUSSEL Président de la communauté de communes de la Moyenne Vallée de l’Isle,Maire de Neuvic sur l’Isle,Député honoraire de la Dordogne.

Connaissez-vous vraiment Monsieur CAZEAU Président du Conseil Général et

Sénateur de la Dordogne ?

Page 2: Lettre ouverte aux habitants de la Vall©e de l’Isle

Un recours au Tribunal Administratif n’a rien d’infamant mais cette simple démarche qui était la seule chose possible après avoir épuisé les moyens amiables, amenait cette incroyable réponse de Monsieur Cazeau.

Bref, M. Cazeau suspendait une subvention à la commune de Neuvic sous prétexte que François Roussel qui est maire de Neuvic mais aussi président de la communauté de communes de la moyenne vallée de l’Isle avait osé faire un recours au tribunal administratif, contre le conseil général dont M. Cazeau en est le président.

Incroyable !

Comment ne pas être scandalisé par de tels propos et de telles méthodes, cette fois-ci on frisait la correctionnelle.

Mes collègues maires de toutes sensibilités ont considéré que la ligne rouge était franchie par Monsieur CAZEAU.

J’ai donc signifié à Monsieur Cazeau que je faisais faire une analyse fine de ses propos par un avocat afin de voir l’éventuelle suite qui pourrait être donnée…

La réaction a été rapide, les militaires hésiteraient entre les termes de "retraite" ou "repli stratégique" ! Pour ma part je considère que prenant conscience de l’énormité de sa menace, Monsieur Cazeau s’est vite dégonflé et la subvention suspendue est arrivée sans trop tarder.

Les collègues maires, ainsi qu’en témoignent leurs courriers n’ont fait que rappeler à M. Cazeau les engagements qui étaient les siens.

Extrait du courrier de M. CAZEAU adressé à François ROUSSEL, maire de NEUVIC le 30 janvier 2012

«... Cependant, compte tenu du recours contentieux concernant le demi-échangeur de Sourzac engagé le 2 novembre 2011 à l’encontre du Département par la Communauté de Communes Moyenne Vallée de l’Isle dont vous assurez la présidence, j’ai décidé de reporter la signature de la convention citée en objet».

Extrait du courrier de Jean-Charles MARIE, maire de BEAURONNE adressé à M. CAZEAU, président du Conseil Général, le 21 mai 2012

...«S’agissant du demi-échangeur les démarches entreprises par M. ROUSSEL ont toujours été avalisées par le Conseil Communautaire s’appuyant sur l’historique de cette affaire. En effet, ce demi-échangeur a toujours été prévu à Sourzac comme le prouve la DUP dont il a fait l’objet...».

... « Par ailleurs, le 28 novembre 2005 et le 3 juillet 2008 vous vous êtes engagé publiquement pour la réalisation du demi-échangeur avant 2013, engagement confirmé par un courrier adressé au Maire de Sourzac»...

... «Ancien Officier de carrière je considère qu’un engagement, qu’il soit écrit ou oral, se fait sur l’honneur de celui qui le prend et qu’il ne peut pas être abrogé sans l’accord du bénéficiaire»...

Page 3: Lettre ouverte aux habitants de la Vall©e de l’Isle

Dans cette affaire consternante, le délai de l’utilité publique ayant été dépassé depuis le 13 janvier 2013, seule une démarche d’acquisition amiable des terrains nécessaires à la réalisation du demi-échangeur de Sourzac pourrait éventuellement sauver l’avenir de ce demi échangeur.

Ce dernier n’apporterait rien à Neuvic mais serait bénéfique pour les habitants de Sourzac, Saint Louis en l’Isle, Mussidan, Saint Front et Saint Médard de Mussidan qui voudraient rejoindre Périgueux sans descendre "aux Lèches" mais par l’autoroute depuis Sourzac et non pas 20 kilomètres plus loin à Saint Astier (Périgueux Ouest).

De très nombreux automobilistes qui tous les jours se rendent à leur travail pestent contre une voiture sans permis qui les oblige à rouler à 40 km/h sur les portions à voie unique, entre Sourzac et Saint Astier, peuvent adresser leurs doléances à Monsieur CAZEAU, c’est lui le responsable !

UN PIÈTRE GESTIONNAIRE

Monsieur Cazeau a souvent indiqué que le coût demandé par les ASF pour la réalisation de ce demi-échangeur était trop élevé… C’est l’un des points d’accord que j’ai avec Monsieur CAZEAU. Mais c’est Monsieur CAZEAU, lui seul, qui a apposé sa signature au bas de la convention le liant aux ASF.

10 millions d’€uros c’est sûrement trop cher, des professionnels sérieux, y compris dans les services du Conseil Général ont estimé que le coût ne devrait guère dépasser 2 ou 3 millions d’€uros !

Alors pourquoi ne pas dénoncer cette perspective de surfacturation, pourquoi Monsieur CAZEAU ne s’est pas battu pied à pied, pour obtenir le détail des prix, poste par poste qui amène une proposition si exorbitante de la part des ASF pour faire ce demi échangeur de Sourzac.Mystère !

Rappelons que le Président du Conseil Général a trouvé de l’argent pour subventionner la création d’une zone d’activité sur la commune des Lèches, que celle-ci a accueilli des entreprises qui pour l’essentiel ont été délocalisées de Mussidan ou Saint Médard.

Il faut dire que l’on ne se bouscule pas pour s’installer sur cette zone des Lèches. Les terrains qui ont été remaniés et remblayés amènent des surcoûts considérables afin de retrouver le terrain naturel pour réaliser des fondations. Quelle gabegie ! Quel scandale avec tout cet argent public jeté par les fenêtres !

UN HOMME SECTAIRE

Dans un autre secteur on a trouvé de l’argent là aussi pour faire une déviation pour le contournement d’un village qui n’avait pas la réputation de créer des bouchons mémorables. Devinez où ?

A Ribérac, tiens tiens comme c’est curieux.

Il suffit de se promener dans ce gros village si prisé par nos amis anglais, pour voir que l’argent coule à flot pour la voirie, les ronds points, les places, les espaces verts, sans oublier les équipements culturels et sportifs. La devise de Monsieur CAZEAU doit être « rien n’est trop beau pour Ribérac » et les autres cités peuvent attendre ! On est en plein dans les pratiques de républiques bananières.

Cerise sur le gâteau, à Ribérac bourgade de tout juste 4000 habitants, on crée un stade avec une pelouse synthétique alors que Périgueux n’en possède pas. Près d’un million d’euros pour servir quelques dizaines de jours par an. Les élus des communes pauvres apprécieront.

Et on apprend aussi par la presse qu’il y a eu une "aide à la descente" (défense de rire) de 75000 € pour le club de rugby de Ribérac… Bien que le CAR (Club Athlétique de Ribérac) soit le club le plus «arrosé» de l’ovalie périgourdine, on apprenait fin mai que ses comptes avaient été rejetés car il manquait encore 40 000 € !

Pas de souci, le bon docteur Cazeau viendra au chevet du club avec le bon traitement sonnant et trébuchant qui va bien ...

Comment ne pas écœurer les milliers de bénévoles du Périgord, désintéressés, qui toute l’année font vivre le sport de village qui lui, porte de vraies valeurs !

Comment ne pas être effaré par le sectarisme évident de Monsieur Cazeau qui ne veut pas engager les quelques millions d’€uros nécessaires à la réalisation du demi échangeur de Sourzac sous prétexte que c’est François ROUSSEL (UMP) qui le demande, et que par contre on dépense des dizaines de millions d’€uros pour Mussidan et Ribérac (élus PS), pour des opérations dont l’urgence est loin d’être démontrée.

Extrait du courrier de Jacques MONTUELLE, maire de SOURZAC adressé à M.CAZEAU, président du Conseil Général,

le 29 mai 2012

...«Nous vous rappelons que le Conseil Général de la Dordogne a signé une convention avec les ASF le 5 novembre 2002 pour la réalisation de celui-ci dans le cadre d’un avenant objet de 2ème phase. De même, le 10 janvier 2003 vous nous avez confirmé l’engagement du Conseil Général à réaliser le 2ème échangeur avant l’expiration de la DUP le 11 janvier 2013...»... « par la suite nous serions prioritaires pour la réalisation de ce 2ème demi-échangeur.»...

Les contribuables périgourdins apprécieront sûrement qu’une si imposante délégation conduite par M. CAZEAU se soit rendue à Chicago. On reconnaît même sur la photo M. MATTERA, grand homme politique du MODEM, sans doute récompensé pour sa docilité.

Photo : Sud-Ouest du 27 avril 2013

Ce n’est pas la crise pour tout le monde !

Dans le même secteur on a trouvé de l’argent pour réaliser la déviation de Mussidan, sans d’ailleurs mesurer l’impact négatif indéniable que cela aura sur le commerce et l’économie locale…Le devis de départ est de 22 millions d’Euros, mais la facture sera sûrement plus élevée à l’arrivée.

Page 4: Lettre ouverte aux habitants de la Vall©e de l’Isle

Directeur de publication et rédaction : François ROUSSELImpression en 4 500 exemplaires : Imprimerie FANLAC

UN HOMME ACARIÂTRE

Acariâtre, selon le dictionnaire Robert : « d’un caractère désagréable et difficile, acrimonieux, aigre, atrabilaire, bougon, grincheux, insociable, intraitable, querelleur, quinteux ».

Eh oui, Monsieur Cazeau c’est un peu tout cela à la fois !

On a vu plus haut que le fait de déférer le Conseil Général au Tribunal administratif le rendait très irritable, voire menaçant comme s’il s’agissait d’un crime de lèse majesté.

La presse s’est souvent faite l’écho de ses colères comme dans un passé récent où il avait agressé physiquement un journaliste du journal Sud Ouest dont les commentaires ne lui plaisaient pas. La Dordogne a même eu les honneurs du Canard Enchaîné à ce sujet ! On s’en serait bien passé.

L’opposition du conseil général a vigoureusement protesté quand les conseillers généraux ont appris par la presse que Monsieur Cazeau les affublait de noms d’oiseaux, voire de mammifères puisque certains étaient désignés comme des bourricots.

Monsieur Cazeau, en bon autocrate qu’il est, rappelle souvent que c’est lui le patron. Il n’admet pas de voix discordantes, même ses collègues parlementaires se disent impuissants à faire avancer leurs dossiers locaux sans le bon vouloir de Cazeau I, puis Cazeau II, Cazeau III, Cazeau IV, Cazeau V...

Vivement qu’il passe la main !

UNE SUFFISANCE SANS BORNES

Le président du conseil général de la Dordogne, contrairement au président de la république,

n’affiche pas une volonté d’être simplement « normal »

Sûr que ce n’est pas « Monsieur tout le monde ».

Il a une très très haute idée de sa personne et pour être bien vu on n’en fait jamais assez en matière de Monsieur le Président par ci, Monsieur le Président par là.

Lorsqu’un élu veut prendre un rendez vous pour rencontrer le président du conseil général, au cabinet dudit président, on vous répond que le président va vous « accorder une audience ».

Monsieur Cazeau ne donne pas de rendez vous, il accorde des audiences comme les empereurs, les rois ou le pape ! Ce n’est pourtant pas ce dernier qui doit être son mentor, mais curiosité de l’actualité, le pape retraité Benoît XVI et Monsieur CAZEAU, ont annoncé quasiment le même jour (j’imagine sans se concerter) qu’ils se mettaient à « tweeter » !

Pour qui a eu l’occasion de voir comment Monsieur CAZEAU semble empoté avec un smartphone dans les mains, on l’imagine mal écrire plus d’un mot à la minute, mais peu importe, un membre de son cabinet pléthorique doit être rétribué pour cette tâche.

La "communication" au Conseil Général a atteint en 2011 la somme de 1 million 600 000 € afin de payer les publications et magazines ou autres «coups de pub» ostensiblement dédiés à la gloire de M. Cazeau !

> 22 millions d’€uros pour la déviation de Mussidan. Comme si on parlait du bouchon de Mussidan comme on parlait autrefois du bouchon de Millau !

> 15 millions d’€uros pour la déviation de Ribérac. (même remarque que pour Mussidan).

> 1 million d’€uros ou presque pour la pelouse synthétique du stade de Ribérac et on ne trouve pas les quelques millions d’€uros nécessaires pour faire le demi-échangeur de Sourzac pourtant beaucoup plus utile à l’économie de la Vallée de l’Isle.

> 0 €uro pour le demi-échangeur de Sourzac.

Résumé

A 75 ans, Monsieur CAZEAU porte beau certes, mais l’aigle des plaines du Ribéracois incarne t-il l’avenir du Périgord ?

En tous cas, la fin du règne s’annonce pénible.

Extrait du journal Sud-Ouest du 15 décembre 2012

« lors du débat d’hier, Bernard Cazeau a tenu à rappeler qu’il était le patron»