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#7 - décembre 2012 Le journal du Relais Assistants Maternels de la vallée de l’Hérault RAm’MAG AU SOMMAIRE p.2 temps fort p.3 A savoir A PARTAGER p.4 a lire p.6 a venir Bonjour à toutes et à tous, Dans ce nouveau numéro du RAM’Mag, nous sommes heureux de faire un retour en image sur la Journée Nationale des Assistants Maternels, qui s’est déroulée le 24 novembre dernier. Ouverte à tous, celle-ci fut un succès ! Une manifestation qui n’aurait pas pu voir le jour sans votre concours. Encore une fois, nous remercions l’ensemble des assistants maternels du territoire pour leur implication dans la vie du Relais Assistants Maternels. Au crépuscule de cette année 2012 je regarde en arrière et constate avec plaisir le chemin parcouru main dans la main avec les acteurs de l’enfance-jeunesse. Avec confiance et ambition, je me tourne vers l’année 2013, certain que nous réaliserons encore de beaux projets. Par avance, je vous souhaite une belle et sereine nouvelle année. Louis Villaret Président de la Communauté de communes Vallée de l’Hérault Au moment de la période d’adaptation, ou tout simplement lors du départ des parents le matin, nous savons que l’enfant pourra réagir difficilement à la séparation ; réactions qui vont se manifester différemment selon l’âge des enfants. C’est à ce moment là que l’adulte va proposer ses bras, le doudou, la tétine et le bercer de paroles rassurantes... mais pas seulement. En effet, certains jeux peuvent aider les enfants à appréhender les angoisses de la séparation. « En psychologie du développement, la permanence de l’objet est la connaissance par l’enfant que les objets qui l’entourent existent à l’extérieur de lui, mais aussi et surtout, qu’ils continuent d’exister, même s’il ne les perçoit pas via l’un de ses cinq sens. » (Source : Wikipedia) C’est ainsi que les jeux de « coucou/caché » vont permettre à l’enfant de voir disparaître un objet et réapparaître ensuite. Ces jeux vont pouvoir symboliser la disparition du parent et sa réapparition. L’enfant, par la répétition de ces jeux au cours des moments d’angoisse, pourra se rassurer progressivement en intégrant mentalement cette permanence de l’objet. Notons que si l’enfant n’est pas en capacité de manipuler le jeu, l’adulte en jouant avec lui provoquera pour l’enfant la même symbolique. L’adulte, simplement en se cachant le visage plusieurs fois peut également accompagner l’enfant dans l’acceptation de la séparation. En illustration, voici un petit inventaire des grands classiques de jeux de « coucou-caché ». L'importance du Jeu dans le processus de separation parents-enfants La marotte, facile à réaliser, elle permet de ritualiser les moments de séparation Oursons « cachés-coucou » L’enfant maîtrise lui même l’apparition et la disparition La maison à boule, la boule disparaît et réapparaît sans cesse

Limportance du Jeu dans le processus de separation … · aider les enfants à appréhender les angoisses de la séparation. « En psychologie du développement, ... Après une balade

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#7 - décembre 2012

Le journal du Relais Assistants Maternels de la vallée de l’HéraultRAm’MAG

AU SOMMAIRE

p.2

temps fort

p.3

A savoir

A PARTAGER

p.4

a lire

p.6

a venir

Bonjour à toutes et à tous,

Dans ce nouveau numéro

du RAM’Mag, nous sommes

heureux de faire un retour en

image sur la Journée Nationale

des Assistants Maternels, qui

s’est déroulée le 24 novembre

dernier. Ouverte à tous, celle-ci

fut un succès !

Une manifestation qui n’aurait

pas pu voir le jour sans votre

concours. Encore une fois, nous

remercions l’ensemble des

assistants maternels du territoire

pour leur implication dans la vie

du Relais Assistants Maternels.

Au crépuscule de cette année

2012 je regarde en arrière et

constate avec plaisir le chemin

parcouru main dans la main avec

les acteurs de l’enfance-jeunesse.

Avec confiance et ambition, je me

tourne vers l’année 2013, certain

que nous réaliserons encore de

beaux projets. Par avance, je vous

souhaite une belle et sereine nouvelle

année. Louis Villaret

Président de la

Communauté de communes

Vallée de l’Hérault

Au moment de la période d’adaptation, ou tout simplement lors du départ des parents le matin, nous savons que l’enfant pourra réagir difficilement à la séparation ; réactions qui vont se manifester différemment selon l’âge des enfants. C’est à ce moment là que l’adulte va proposer ses bras, le doudou, la tétine et le bercer de paroles rassurantes... mais pas seulement. En effet, certains jeux peuvent aider les enfants à appréhender les angoisses de la séparation.

« En psychologie du développement, la permanence de l’objet est la connaissance par l’enfant que les objets qui l’entourent existent à l’extérieur de lui, mais aussi et surtout, qu’ils continuent d’exister, même s’il ne les perçoit pas via l’un de ses cinq sens. » (Source : Wikipedia)C’est ainsi que les jeux de « coucou/caché » vont permettre à l’enfant de voir disparaître un objet et réapparaître ensuite. Ces jeux vont pouvoir symboliser la disparition du parent et sa réapparition. L’enfant, par la répétition de ces jeux au cours des moments

d’angoisse, pourra se rassurer progressivement en intégrant mentalement cette permanence de l’objet. Notons que si l’enfant n’est pas en capacité de manipuler le jeu, l’adulte en jouant avec lui provoquera pour l’enfant la même symbolique.L’adulte, simplement en se cachant le visage plusieurs fois peut également accompagner l’enfant dans l’acceptation de la séparation. En illustration, voici un petit inventaire des grands classiques de jeux de « coucou-caché ».

L'importance du Jeu dans le processus de separation parents-enfants

La marotte, facile à réaliser, elle permet de ritualiser les moments de séparation

Oursons « cachés-coucou » L’enfant maîtrise lui même l’apparition et la disparition

La maison à boule, la boule disparaît et réapparaît sans cesse

temps fort : la vie du RAM

Le samedi 24 novembre 2012 a eu lieu la Journée Nationale des Assistants Maternels au Domaine Départemental des Trois Fontaines. Cet après-midi ludique a réuni près de 500 personnes, enfants, familles et assistants maternels confondus.20 assistants maternels se sont portés volontaires pour animer des ateliers éducatifs ainsi qu’une programmation de spectacles à destination des jeunes enfants. Nous profitons de ces ligns pour les remercions ainsi que pour la réalisation du goûter. L’après-midi, une exposition photo présentait le quotidien des assistants maternels lors des activités du RAM.Retour en image sur les moments clés de cette journée.

A la découverte d’un parcours sensoriel

Plus de 500 personnes ont partagé cet après-midi récréatif à la (re)découverte du métier d’assistant maternel.

Animation d’un livre tapis

L’association Les Homo Ludens a proposé des jeux pour petits et grands

« C’est toujours très agréable de faire des activités avec tout et rien.Après une balade au bord de la rivière où l’on a ramassé des galets et pris un goûter bien mérité (surtout quand on fait la descente jusqu’au pont malgré les graviers, le sable, la chaleur )...., nous avons installé un atelier sympa de peinture avec Etienne et Xavier. On a peint les galets et on les a laissés sécher. Ensuite, au pistolet à colle, on a assemblé les 2 galets, des bouchons en liège coupés en 2 pour les pattes et nos tortues peuvent prendre de bonnes vacances sur la plage.... Bon trop tard pour la saison, tant pis ce sera un gros dodo pour nos petites bêtes ! ». Qui sait, peut-être que ces tortues trouveront un jour

le chemin de la mer ?!

A PARTAGER : vos bonnes idees

A savoir : Colliers d'ambre pour bEbEs, attention danger !

«On en trouve en vente dans les magasins bio, en bijouterie, sur Internet et même désormais dans certaines pharmacies, pour un prix excédant rarement une vingtaine d’euros. Les colliers d’ambre sont le nouveau phénomène à la mode (40 à 45 % des parents y auraient recours) et ornent de plus en plus de petits

cous, au seul argument qu’ils apaiseraient les douleurs des bébés (dès 4 mois) lorsqu’ils font leurs dents. La Société Française de Pédiatrie (SFP), publiant début octobre les résultats d’une étude menée aux urgences pédiatriques des hôpitaux de Toulouse et Montauban, tire la sonnette d’alarme : si rien ne prouve les vertus thérapeutiques de l’ambre, les accidents liés à ces colliers, par strangulation ou ingestion, sont, eux, bien réels.Des bienfaits sans fondement scientifique. Toutes les méthodes semblent bonnes pour calmer le mal d’un bébé en pleine poussée dentaire chez des parents souvent désarmés. C’est en général grâce au bouche à oreille ou par mimétisme que les parents équipent leur enfant de ces colliers d’ambre. « Rien, hormis le fait d’y croire, n’en a pourtant jamais prouvé les bienfaits, c’est de la pure superstition », avertit un pédiatre parisien. Pour les spécialistes toulousains, ce « négoce rentable » se pratique « aux dépens de la crédulité des parents ». Le Professeur Patrick Tounian, secrétaire général de la SFP, nuance : « l’effet placebo peut parfois se révéler étonnant, même chez les bébés, mais dans le cas de ces colliers, le rapport bénéfice-risque est trop important côté risque. » Des cas de décès avérés. L’ambre, si rien ne prouve qu’il ait de véritables vertus antalgiques, n’est pas en soi dangereux. C’est le fait de porter un collier qui l’est, surtout chez les enfants de moins de 3 ans. Coincé dans un barreau de lit, à un crochet ou à toute autre partie du mobilier, le collier risque d’entraîner une pendaison, survenant sous l’effet du poids de l’enfant. Cela, les notices d’utilisation « le précisent rarement », relève l’étude de la SFP. Le service d’urgences pédiatriques de l’hôpital Necker, à Paris, a déjà recensé jusqu’à trente décès d’enfants par étranglement sur un an, mettant notamment en cause des colliers ou des chaînettes. La réglementation française exige que les colliers doivent céder sous un poids supérieur à 2,5 kg. Mais comment en être certain lorsqu’on les achète sur Internet ? Pis, les parents sont souvent rassurés de pouvoir s’en procurer en pharmacie. Les pédiatres qui ont mené cette étude espèrent que l’ordre des pharmaciens en fera interdire la vente en officine. Et que les institutions de santé lanceront une étude épidémiologique de grande ampleur, en vue d’une réglementation plus stricte encore.

Article du journal Le Parisien du 16-10-12, écrit par Anne-Cécile Juillet

Nathalie Sanch, assistante maternelle à La Boissière, nous fait partager l’une de ses bonnes idées !

Article écrit par le Dr Anna COGNET, Psychologue clinicienne pour la revue ASSISTANTES MATERNELLES MAGAZINE n°92 - oct 2012.

Les questions sur la mort

La mort fait partie de la vie et les enfants y sont confrontés tôt ou tard. En l’entendant évoquer avec émotion par les adultes, les enfants vont s’interroger, parfois très jeunes : pourquoi on meurt ? Ça change quoi ? On va où quand on est mort ? Beaucoup de questions qui pourront être posées à leur assistant maternel...

Les enfants et la mort

Les adultes le savent bien, la mort fait partie intégrante de la vie. Pour les enfants, la question est plus abstraite, car ne s’imaginant pas spontanément qu’il pourrait y avoir une fin à l’existence, la mort n’est pas tabou pour eux, elle s’inscrit dans le jeu : « Pan pan ! T’es mort ! Et maintenant, t’es plus mort ! ». Les premières interrogations des enfants sur la mort vont apparaître vers 4 ou 5 ans, voire plus tôt si les circonstances les y confrontent, comme le décès d’un parent ou d’un animal de compagnie. Quoi qu’il en soit, il n’est pas utile d’aborder ce thème avant que l’enfant s’y intéresse spontanément, ce qui arrivera tôt ou tard. Ainsi, si un petit enfant est touché par un décès dans son entourage, il est, bien entendu, préférable que les parents en informent l’assistant maternel, mais ce n’est pas nécessairement ce qu’ils feront (difficultés à aborder le sujet, sentiment qu’il vaut mieux que l’enfant n’en sache rien ou qu’il s’agit du domaine privé, etc). Mais les enfants nous surprennent toujours par leurs questions ou leurs réflexions, et on ne peut pas facilement y échapper ! La question, maintenant, est de savoir comment y répondre. Il me paraît important, tout d’abord, de bien signaler à l’enfant que toutes ses questions sont importantes et légitimes et que l’on est prêt à lui répondre, mais aussi que certains aspects devront être discutés avec ses parents, puisque la manière de percevoir la mort est personnelle, familiale, culturelle. Enfin, si le sujet est trop sensible pour l’assistant maternel, il ne faut surtout pas qu’il se force à l’évoquer, cela serait trop difficile pour lui et trop anxiogène pour l’enfant.

Ce qui inquiète dans la mort

Longtemps, la mort va rester un concept abstrait chez le petit homme, qui ne peut déjà pas intégrer qu’avant de naître, il n’était pas là, ou encore que « devenir grand » ne signifie pas que ses parents vont rajeunir, ou autres théories infantiles sur la mort. L’idée générale est de ne pas effrayer l’enfant, tout en restant le plus sincère et le plus respectueux des différences culturelles de chacun : un vrai défi à relever !

Pourquoi on meurt ?

Quand on devient adulte, on ne grandit plus, on dit qu’on vieillit. Surtout, c’est notre corps qui vieillit et s’use, et un jour, on meurt. La mort c’est la fin de la vie et il n’y a que les êtres vivants qui meurent. On peut aussi mourir avant d’être très vieux, quand on a un accident ou une maladie très grave, mais c’est plus rare.

Pourquoi c’est triste la mort ?

Même si on sait que la mort fait partie de la vie, quand quelqu’un qu’on aime meurt, cela nous rend triste, car cela signifie que l’on ne pourra plus voir ou parler à cette personne. Alors, aux funérailles, on pleure beaucoup, on pense à la personne décédée, on dit des choses gentilles sur elle, mais petit à petit, on accepte et on a moins de peine, cela s’appelle « faire son deuil ».

Où on va quand on meurt?

Quand on est vivant, il faut toujours prendre bien soin de son corps, car on en a qu’un et qu’on va passer toute sa vie avec ; mais quand on est mort, le corps n’est plus qu’un corps (éventuellement, cela peut permettre d’expliquer l’inhumation ou la crémation, mais ce n’est pas un passage obligé).

Il est difficile de réduire un être humain à son enveloppe charnelle, mais on ne peut pas non plus se permettre de proposer une vision trop personnelle à l’enfant, qu’elle soit religieuse (« Quand on meurt, on va au paradis ») ou purement agnostique (« Après la mort, il n’y a rien »). Une solution respectueuse des croyances de chacun peut être d’expliquer à l’enfant qu’on ne sait pas exactement ce qui se passe pour les morts, mais que certains disent que leur âme ou leur esprit reste vivant, monte au ciel, ou va rejoindre les autres personnes aimées et décédées... Il faut faire selon sa sensibilité, selon les suggestions mêmes de l’enfant et éviter la confusion, car les tout-petits prennent

A lire : revue de presse

toujours les choses au pied de la lettre : « C’est comme s’endormir », « Il te regarde de là où il est »... Cela peut être angoissant.

Accompagner le deuil

Les rituels funéraires sont partie intégrante du travail de deuil, certains historiens et anthropologues situent d’ailleurs le commencement de l’humanité au moment où l’homme préhistorique prit soin de ses morts. Les jeunes enfants sont souvent absents des obsèques, et c’est sûrement mieux comme ça. Pour autant, ils ont besoin de faire, eux aussi, un travail de deuil. Il peut être intéressant de proposer aux enfants, surtout aux très jeunes qui ne peuvent pas avoir recours au langage pour exprimer l’ensemble de leurs ressentis, une création en rapport avec l’être perdu : un arbre généalogique, un dessin en souvenir, la décoration d’un cadre pour y mettre une photo, etc.

L’une de mes petites patientes, Zoé (4 ans), vient de perdre son grand-père brutalement et toute la famille est sous le choc. Nous en parlons lors de deux rendez-vous, mais Zoé est trop inquiète de la tristesse de ses parents pour élaborer son propre deuil. Elle m’apporte un jour un dessin, qu’elle a fait avec son assistante maternelle, lors de la garde périscolaire. Sa « nounou », comme elle l’appelle, lui a raconté le conte d’Andersen, « La petite Sirène », ce qui a inspiré Zoé. Certes, cette histoire est sombre, mais, comme tous les contes de fées, elle permet d’aborder avec les enfants des sujets graves d’une manière imagée, qui parle directement à leur inconscient. Zoé m’explique que le vieux Roi des Mers est resté seul au fond de l’océan dans son château, pendant que la petite Sirène chante sur la mer. On peut penser que ce vieux Roi et ce château sous l’eau sont des métaphores de son grand-père et de son inhumation, et que cette sirène multicolore, souriante, chantante, c’est elle qui essaie d’être gaie pour compenser le chagrin familial. Zoé a dessiné sa sirène sans bras. Je le lui fais remarquer et lui explique que cela signifie peut-être qu’elle se sent impuissante à réconforter son entourage ; mais surtout je lui indique qu’elle n’a pas le pouvoir de consoler ses parents de cette perte, mais qu’eux aussi vont finir par aller mieux.

Les deuils et les chagrins ne se règlent pas en une séance ou en un dessin, mais toutes les interventions verbales ou créatrices peuvent aider, accompagner l’enfant en situation de deuil.

L’intégralité de l’article est disponible au Relais Assistants Maternels.

BIBLIOGRAPHIE:

Si on parlait de la mort de Catherine DoltoAprès la mort d’un être cher on est malheureux, on a du chagrin. On dit qu’on est en deuil… La mort, on doit pouvoir en parler, même aux tout-petits, leur donner les mots pour comprendre ce qui se passe lorsqu’une personne chère disparaît. Dire la vérité à un enfant lui permet de faire le deuil, d’exprimer son chagrin et de sentir peu à peu que la vie continue et qu’il a le droit d’être content de vivre.

Les questions des tout-petits sur la mort de Marie Aubenais, Dankerleroux et Anouk RicardEntre trois et six ans, les enfants découvrent que la mort fait partie de la vie. Et les voilà posant mille questions, auxquelles il est souvent difficile de répondre. Ce livre invite les petits, à travers six contes, à trouver leurs propres réponses aux questions existentielles.

L’enfant face à la mort d’un proche du Dr Patrick ben Soussan et Isabelle GravillonNotre époque refuse l’idée de la mort et admet de moins en moins la notion de perte et de séparation. Et quand un enfant est concerné par la disparition d’un proche, la volonté de le protéger de ce séisme est telle qu’on rend son deuil plus difficile encore. Pourtant, c’est le rôle des adultes de l’accompagner dans cette épreuve. Ce livre répond aux questions les plus fréquentes de l’entourage : Faut-il lui dire la vérité lorsqu’on sait la personne condamnée ? Que faire s’il refuse d’aller à l’hôpital ou même de parler du malade ? Comment organiser la vie durant cette période troublée ? Comment l’aider à dire adieu ? Comment lui annoncer la mort ? Comment lui permettre de faire face à une mort brutale ? Doit-il aller à l’enterrement ? Le psy est-il un passage obligé ?...

Dis, c’est comment quand on est mort ? de Hélène RomanoLes enfants confrontés à la mort se retrouvent bien souvent seuls face à leurs ressentis, à leurs questions, à leur détresse, car les adultes n’osent pas leur en parler. Ce livre permet de mieux comprendre ce que représente la mort pour l’enfant, ce qu’il peut se poser comme questions, les façons dont il peut réagir face à la perte d’un être cher, les attitudes et les propos qui peuvent l’apaiser.

Bonjour à toutes et à tous,

Dans ce nouveau numéro

du RAM’Mag, nous sommes

heureux de faire un retour en

image sur la Journée Nationale

des Assistants Maternels, qui

s’est déroulée le 24 novembre

dernier. Ouverte à tous, celle-ci

fut un succès !

Une manifestation qui n’aurait

pas pu voir le jour sans votre

concours. Encore une fois, nous

remercions l’ensemble des

assistants maternels du territoire

pour leur implication dans la vie

du Relais Assistants Maternels.

Au crépuscule de cette année

2012 je regarde en arrière et

constate avec plaisir le chemin

parcouru main dans la main avec

les acteurs de l’enfance-jeunesse.

Avec confiance et ambition, je me

tourne vers l’année 2013, certain

que nous réaliserons encore de

beaux projets. Par avance, je vous

souhaite une belle et sereine nouvelle

année. Louis Villaret

Président de la

Communauté de communes

Vallée de l’Hérault

A venir

contacts

Vous pouvez rencontrer les animatrices du RAM Intercommunal au Domaine Départemental des Trois Fontaines au Pouget.Stéphanie COMPAGNET - animatrice du RAM Intercommunal - 06 46 49 45 28 - [email protected] RIQUE - animatrice du RAM Intercommunal - 06 43 34 62 00 - [email protected] BULINGE - Responsable service Enfance-Jeunesse - 06 46 49 45 27 - [email protected]

PEFC / 10-31-1244

n°IS

SN :

2257

-527

8

Animations collectives itinérantes (9h30 - 11h30)(sous réserve de modification)

- AM de St-André-de-Sangonis, à St-André-de-Sangonis : Groupe 1 : 11/01/2013, 25/01/2013, 04/02/2013 Groupe 2 : 14/01/2013, 28/01/2013, 22/02/2013

- AM d’Aumelas et Gignac, à Gignac : Groupe 1 : 08/01/13, 29/01/13, 12/02/13Groupe 2 : 22/01/13, 05/02/13, 19/02/13

- AM d’Aniane et Puéchabon, à Aniane : 07/01/13, 24/01/13, 14/02/13

- AM de Campagnan et St-Pargoire, à St-Pargoire : 08/01/2013, 01/02/2013, 18/02/2013

- AM du Pouget, au Pouget : 18/01/2013, 08/02/2013, 15/02/2013

- AM de Bélarga, Plaissan, Popian, Pouzols, Puilacher, St-Bauzille-de-la-Sylve, Tressan, Vendémian : au Pouget : 07/02/2013à Vendémian : 21/01/2013 Nouveau ! Le RAM se déplace maintenant à Tressan : 24/01/2013

- AM de Jonquières, Montpeyroux, St-Jean-de-Fos, St-Saturnin-de-Lucian : à Montpeyroux : 25/01/13 à St-Jean-de-Fos : 11/01/13, 22/02/13

- AM d’Argelliers, La Boissière, Montarnaud, St-Paul-et-Valmalle : à St-Paul-et-Valmalle : 14/01/13à Montarnaud : 21/02/13Nouveau ! Le RAM se déplace maintenant à La Boissière : 28/01/2013

Par avance, le RAM vous souhaite de belles fêtes de fin d’année !