Liste des éléments du patrimoine architectural remarquable

16 Avenue Masséna

SECTEUR 1 Période de construction : 1930*

Caractéristiques remarquables : Villa rénovée jumelée au N°14, avec toit à plusieurs pans débordants, recouvert de tuiles. Maçonnerie en meulière. Encorbellement des baies en briques vernissées. Linteaux des baies droits en briques

polychromes. Garde-corps en fer forgé. Enjeux et potentialités : La forme symétrique des deux pavillons accolés apporte au bâtiment et à son environnement un charme particulier se démarquant du reste des constructions du secteur. Les deux pavillons forment une structure unique par un traitement de façade et des matériaux pratiquement identiques. Seules les modénatures de façade diffèrent dans leur coloris. De fait, il est recommandé de préserver la forme générale du bâti et de la toiture, afin de préserver la symétrie de la construction. Il est préconisé de conserver le même traitement de façade (modénatures et matériaux) en privilégiant des matériaux naturels.

F55

35

Période de construction : 1895*

Caractéristiques remarquables : Villa rénovée, avec maçonnerie probablement en briques enduites ou moellon de pierre. Toiture à plusieurs pans recouverte de tuiles avec crête et épis de faîtage enterre cuite et chéneaux en zinc. corniches avec modillons décorés, frontons des baies droits et encorbellement des baies et chaînage d’angle en bossage. Marquise en verre et fer forgé de style Art-nouveau, murets et soubassements en pierre de meulière et clôture en fer forgé.

Enjeux et potentialités : Villa tirant son charme de sa forme particulière et de sa façades aux décors et moulures assez rare, le tout lui confère un caractère unique sur l’ensemble de la commune. Le jeu sur deux tons de la façade est également une particularité à préserver. De fait, il est recommandé de conserver et mettre en valeur la forme générale du bâti, de la toiture, et particulièrement le traitement de façade (modénatures, et matériaux). On constate la disparition de certains ouvrages de ferronnerie (garde-corps), qu’il serait intéressant de retrouver.

2 Rue Saint-Charles

SECTEUR 1

I139

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2 Rue Saint-Louis

SECTEUR 1 Période de construction : 1930*

Caractéristiques remarquables : Bâti collectif de style Arts-déco, toit débordant recouvert de tuiles avec lucarnes rampantes. Maçonnerie en pierre de meulière et parement de façade en briques. Balcons en béton bordés de garde-corps en fer forgé de style Arts-déco. Décoration en terre cuite et auvent recouvert de tuiles sur baie haute au de la centre façade et porte d’entrée de style Arts-déco.

Entrepreneur maçonnerie : Dupuy Enjeux et potentialités : Immeuble tirant son charme de sa forme particulière et ses matériaux utilisés en complémentarité lui conférant des caractéristiques uniques et un style s’inspirant des construction traditionnelles du début du 20e siècle mais conservant un aspect également plus contemporain. De fait, il est recommandé de préserver et mettre en valeur la forme générale du bâti et de la toiture, le traitement de façade (modénatures, et matériaux) et de conserver le caractère du bâtiment.

I147

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SECTEUR 2

Centre - Parc de Villemomble

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SECTEUR-2- CENTRE - PARC DE VILEMOMBLE

Origines du secteur

En 1875, Louis Detouche s’associe avec Mme Julie Outrebon, née Papin, pour procéder au lotissement du parc du château. Ils font don à la Commune de 8000 mètres carrés de terrain et du château afin d’y installer la mairie et les écoles et de créer une place publique. Ils cèdent au syndicat du Parc de Villemomble en 1887, le terrain de la place du Square, aujourd’hui Place de la République, avec réserve d’en abandonner une partie à la Fabriques ou à la Commune pour faire construire une église dans un délai de vingt ans. Les premières constructions se font près de la station de chemin de fer ouverte en 1856, Place de la Gare, Avenues Outrebon et du Raincy. Après le comblement de la rivière en 1892 se construiront à proximité de belles villas de plaisance.

Types d’habitat

Le lotissement est réalisé en conservant le plan général du parc dans lequel il s’insère. Comme tous les autres ce lotissement n’aurait pu voir le jour sans le chemin de fer et son essor. De plus, la population augmente sensiblement après 1875 et surtout au tournant du siècle, si bien que les villas qui avaient été construites pour accueillir des villégiatures deviennent des résidences permanentes. Des voies sont tracées vers la station et la rivière par le syndicat du Parc. Des institutions sont construites pour M. Detouche par les architectes Broussard et Brouty, qui aménagent le château pour en faire une mairie et une école. Ils font également la pension pour jeunes filles Sainte-Chrétienne en 1886 autour d’un pavillon destiné au fils de Mme Outrebon, place Julie, ainsi que la pension Sainte-Marie au fond de la place du square et une maison destinée au prêtre. Ce secteur au cours du temps va devenir le quartier attractif de la commune, avec des logements collectifs autours de la station, de grands cafés, une salle des fêtes, un lavoir et un marché couvert style Baltard entre les avenues du Raincy et Outrebon.

SECTEUR 2

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Habitat pavillonnaire

Les premières villas ont des murs en moellon ou en pierre de taille. Elles bénéficient, côté rue, d’une cour derrière une clôture avec portail entièrement décoré qui ne masque pas l’ornementation de la façade principale. Le fond de la parcelle est occupé par le jardin. Le toit en ardoises est « à la Mansart ». Les combles sont éclairés par des lucarnes et œils-de-bœuf. Sur la façade principale on trouve des bossages sur les chaînes d’angle et des frontons sculptés. Les bandeaux et les appuis des fenêtres sont en pierre. A la fin du XIXe siècle ont voit apparaître sur certains pavillons l’utilisation de briques en chaînage et encadrement de baies. Dans ce quartier résidentiel des villas sont construites, surtout avenue Papin, boulevard du Général de Gaulle, place de la République, rue de Montfermeil, rue Jeanne d’Arc… en utilisant des matériaux très diversifiés, pierre de meulière, briques vertes, rouges, bleues, lambrequins, oriels, jardins d’hiver, et avec une complexité des toitures (toits débordants avec épis de faîtage, ferronnerie, frises de faïence, cabochons de grés émaillés…).

Le style qui en ressort pour certaines villas s’inspire de l’Art-nouveau avec imbrication de céramique et de frises (en provenance surtout des faïenceries de Choisy-le-Roi et de Sarreguemines) sur la façade, et l’utilisation du fer pour les supports de marquises et les trumeaux, les garde-corps et les clôtures. Entre les deux guerres les pierres utilisées sont toujours la meulière avec des toits couverts de tuiles avec demi-croupe mais aussi vers 1930 des pavillons en briques ou en pierre apparaissent avec l’émergence également du béton, de style Art Déco. Apres la dernière guerre apparaissent sur des parcelles morcelées des petits pavillons sans grand caractère mais aussi des pavillons anciens rénovés et des édifices d’architecture raffinée de différents styles qui peuvent être considérés comme remarquable.

Habitat Collectif

C’est dans ce secteur que l’habitat collectif est le plus nombreux. Les construction ont été élevées aux abords de la station dans un style Haussmannien. Les matériaux utilisés en façade sont la pierre de taille et les toits mansardés sont couvert en ardoises. Le Rez-de-Chaussée est haut de plafond pour abriter des commerces, principalement à l’époque de la construction de grandes brasseries (exemple le Grand café de Paris, Place de la Gare). Le 2ème étage « noble » est reconnaissable avec ses balcons ouvragés en fer forgé. Les étages mansardés avec lucarnes servent de combles ou de chambres de service. Vers 1900, l’habitat collectif est en pierre de meulière parée de briques vernissées et comme pour les villas, la façade est imbriquée de décorations en céramique. Le style architectural se modifie avec l’époque. Entre les deux guerres l’architecte Dargent construit au 42 Avenue du Raincy un immeuble « Arts-Déco » en meulière parée de briques rouge. A l’angle de la même avenue avec celle du Général Leclerc (1 avenue du Général Leclerc) on admire une construction en pierre de meulière avec des tourelles couvertes d’un toit en poivrière. À partir des années 1980 des résidences plus contemporaine avec toit terrasse sont construites.

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Présence de lieux publics remarquables

Ecole primaire Leclerc et école maternelle Pasteur avec jardin d’enfants : à l’origine groupe scolaire du Centre, construit par l’architecte Breasson, en 1890 pour les garçons et en 1894, pour les filles.

Le théâtre Georges Brassens, 9, avenue Detouche : anciennement Salle des fêtes construite en 1901 par l’architecte Abel Simonet inaugurée en 1903. L’architecte a utilisé le fer, la fonte et la pierre avec un toit en forme de demi-muid en zinc. Autrefois la façade était décorée de magnifiques verrières dans le style Art-nouveau mais a conservé son fronton en demi-cercle, ses corniches et frises.

Le bâtiment culturel « Geneviève Bergougniou », ancienne Poste construite en 1925 (pierre de meulière).

Le château seigneurial de Villemomble (voir page suivante).

Présence de lieux de culte

Eglise Saint-Louis classée à l’inventaire des Monuments Historiques construite en 1901 par l’architecte Georges Dumont : il a utilisé la fonte et le fer dissimulé à l’extérieur sous un manteau de meulière. Elle comporte un important mobilier historique dont une Croix de Chemin du XVe siècle. Son clocher a été construit en 1926 par l’architecte Paul Tournon avec une ossature de béton remplie de briques et de meulière couronné par un groupe de statues taillées pour la première fois au monde dans le ciment frais par le sculpteur Carlo Sarrabezolles et surmonté par une Croix réalisée par le ferronnier d’art, Raymond Subes.

Présence d’Ecoles privées

Collège Saint-Louis-Blanche de Castille .

Lycée Blanche de Castille : bâtiment d’école de filles construit en 1887 sur un terrain appartenant à Mme Outrebon, appelé « Sainte-Chrétienne ». Architecte : Brouty.

Ecole maternelle Sainte-Julienne : anciennement Villa Saint-Raphaël, rappelant une villa romaine, construite pour le pharmacien inventeur de la liqueur Saint-Raphaël, M. Soupe.

Ecole primaire Sainte-Julienne : anciennement « Institution du Parc » pour garçons et filles, crée par madame Robert Sauzin en 1880

Présence de lieux de mémoire

Le château seigneurial, 1, Place Emile Ducatte, inscrit à l’inventaire des monuments historiques, est construit par l’architecte Alexandre Théodore Brongniart en 1769. C’était le lieur de villégiature de Mademoiselle Le Marquis (1737 – 1806), propriétaire des terres de Villemomble, Avron et Noisy-le-Sec qui lui ont été offertes par Louis-Philippe d’Orléans, 1er Prince du sang (1825 – 1885). On retrouve dans la cave du bâtiment des sarcophages Mérovingiens en pierre, vestiges archéologiques mis au jour dans l’ancien cimetière de la commune, proche de l’église Saint-Genès.


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Présence de lieux de mémoire

L’immeuble collectif situé Place de la Gare, angle de l’avenue Carnot, ou est né le danseur étoile et chorégraphe Roland Petit (1924 – 2011) en 1924 à l’étage du restaurant « Le Grand café de Paris » tenu par son père Edmond Petit.

La petite villa, 9, Place de la République ou demeura jusqu’à son décès, Marie Delna, Diva (1875 – 1932).

La villa où Marguerite Pérey (1909 – 1975) est née, 3, rue Alexandre, première femme élue à l’Académie des sciences, collaboratrice de Marie Curie, qui découvre un élément chimique « Le Francium ».

A l’angle de la Grande Rue et de la rue Huraut, villa unique avec sa tourelle en poivrière dans laquelle le réalisateur Louis Feuillade (1873 – 1925) a séjourné vers 1900. Cette villa a servi de décor aux films « Fantomas » et « Judex » réalisés par Feuillade en 1913 et 1916.


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1 Bis Rue du Capitaine Louys

R50

Année de construction : 1900

Caractéristiques remarquables : Construction en meulière avec façade parée de briques rouges dans la partie centrale et bossage en pierre sur les ailes. Toiture en tuiles avec rives en zinc. Combles éclairés sur brisis par des chiens-assis avec avant-toit. Baies hautes en plein cintre avec frontons courbes moulurés. Balcons avec garde-corps en fer forgé. Impostes avec céramique en bandeau sur partie haute et RDC. Linteaux en métal recouverts de faïences. Encorbellement des baies en bossage et porte d’entrée style Art nouveau avec imposte vitré décoré. Enjeux et potentialités: Immeuble tirant son charme de ses nombreux éléments de modénatures en façade lui conférant un caractère unique. Il est recommandé de préserver et mettre en valeur le traitement de façade (modénatures et matériaux).

Cette rue a été percée lors du lotissement du parc après 1875. Elle débouche maintenant dans la Grande Rue é l'emplacement de l’ancienne école vendue en 1848 après la construction de la mairie-école en 1847. A cette époque on a donné é cette rue le prénom de Mme Detouche, Joséphine.

SECTEUR 2

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13 Rue du Capitaine Louys

SECTEUR 2 Période de construction : Ø

Caractéristiques remarquables : Villa bourgeoise, maçonnerie en pierre de meulière, toit « à la Mansart » avec brisis recouvert d'ardoises. Lucarnes mansardées avec fronton à ailerons en arc surbaissé en pierre, appuis de fenêtres en pierre et garde-corps en fer forgé de style Art-nouveau. Bandeau et chaînage d’angle en pierre et fronton droit rénové. Encorbellement des baies en pierre. Elégante marquise du style Art-nouveau et ferronneries de clôture et de portail accordées avec la marquise.

Enjeux et potentialités : Villa rénovée tirant son charme de sa forme et de ses modénatures bien conservées et surtout de sa très grande marquise et ses ferronneries de style Art-Nouveau. De fait, il est recommandé de préserver la forme générale du bâti et de la toiture le traitement de façade (modénatures et matériaux) et de privilégier des matériaux naturels afin de conserver le caractère de la construction. On fera particulièrement attention au portail en fer forgé, à la marquise et aux autres ferronneries pour une préservation à l’identique.

R18

44

15 Rue du Capitaine Louys

SECTEUR 2 Période de construction : Ø Caractéristiques remarquables : Pavillon bâtit sur sous-sol, maçonnerie en meulière avec toit débordant en tuiles. Linteaux droits et bandeaux en briques au-dessus des baies, garde-corps en fer forgé de couleur pale. Verrière en entrée, portail et clôture en fer forgé et muret de clôture en meulière.

Enjeux et potentialités : Pavillon dont les caractéristiques architecturales et les matériaux sont représentatifs des constructions traditionnelles du début du 20ème siècle. Il est de ce fait préconisé de préserver les formes du bâti, le traitement de façade (modénatures et matériaux), et de privilégier des matériaux naturels afin de conserver l’esprit général de la rue.

R17

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20 Boulevard Carnot


Caractéristiques remarquables : Villa bourgeoise, maçonnerie en pierre, toit « à la Mansart » avec brisis recouvert d'ardoises. Lucarnes mansardées avec fronton, en arc surbaissé et à aileron pour la lucarne centrale. Appuis de fenêtres en pierre et garde-corps en fer forgé style Art-nouveau. Bandeau, chaînage d’angle et frontons des baies droits en pierre avec de nombreux décors et moulures. Clôture et portail en fer forgé. Piliers et muret de clôture en pierre, fût des piliers en chapeaux sculptés et surmontés de décors en fer en forme de coupes.

Enjeux et potentialités : Villa rénovée tirant son charme de sa forme et de ses modénatures de façade bien conservées notamment de son portail en fer forgé et ses piliers décorés. L’ensemble de ses éléments de décoration ajouté à son volume important lui donnent un caractère imposant. De fait, il est recommandé de préserver la forme générale du bâti et de la toiture, ainsi que le traitement de façade (modénatures et matériaux). On fera particulièrement attention au portail en fer forgé et ses piliers ainsi qu’à la marquise pour une préservation à l’identique.

J159

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36 Boulevard Carnot


Caractéristiques remarquables : Pavillon, maçonnerie meulière et ciment, avec toiture débordante en tuiles mécaniques brune et lucarne « à la capucine ». Frontons des baies droit en pierre, appuis des fenêtres en ciment et garde-corps en fer forgé, volet métallique bordeaux et traitement de façade bicolore. Muret de clôture en meulière et clôture en fer de style moderne.

Enjeux et potentialités : Pavillon qui s’insère harmonieusement dans l’esprit de l’avenue tant par son volume, ses formes que ses matériaux à la fois traditionnels et contemporains. Les tons de sa façade donne un élégant mélange de style. Il est de ce fait préconisé de préserver les formes du bâti, le traitement de façade (modénatures, coloris et matériaux), et de valoriser l’existant de façon à conserver l’esprit de l’avenue et le caractère du bâtiment. On portera une attention particulière aux céramiques et notamment à la plaque d’architecte.

K76

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38 Boulevard Carnot


Caractéristiques remarquables : Pavillon traditionnel, maçonnerie en meulière avec toiture débordante à croupe en tuiles mécaniques et aisseliers. Frontons des baies circulaire et semi-circulaire, en briques et pierre, appuis des fenêtres en pierre et élégants ouvrages de ferronnerie pour les garde-corps et le portail. Muret de clôture en meulière, clôture en fer forgé et piliers avec fût en chapeau sculpté. Escalier de pierre et marquise moderne en entrée.

Enjeux et potentialités : Pavillon dont les caractéristiques architecturales et les matériaux sont représentatifs des constructions traditionnelles du début du 20ème siècle avec des ouvrages de ferronnerie et des modénatures colorées. Il est de ce fait préconisé de préserver les formes du bâti, le traitement de façade (modénatures et matériaux), et de privilégier des matériaux naturels afin de conserver l’esprit général de la rue, du secteur. On portera une attention particulière aux ouvrages de ferronnerie et à la clôture et ses piliers pour leur préservation.

K77

48

52 Boulevard Carnot


Caractéristiques remarquables : Villa bourgeoise, maçonnerie en meulière avec toiture débordante à deux versants en tuiles mécaniques. Encorbellement des fenêtres et frontons des baies droits en pierre, moulures et chaînage d’angle en pierre également. Elégant balcon avec garde-corps en fer forgé. Muret de clôture en meulière, clôture et portail en fer forgé et piliers avec fût en chapeau sculpté. Marquise du style Art Nouveau.

Enjeux et potentialités : Villa rénovée tirant son charme de sa forme traditionnelle et de ses modénatures de façade bien conservées notamment ses éléments de ferronnerie. L’ensemble entouré d’une large court donne un caractère assez imposant à la bâtisse. De fait, il est recommandé de préserver la forme générale du bâti et de la toiture, ainsi que le traitement de façade (modénatures et matériaux). On fera particulièrement attention aux ferronneries et au portail ainsi qu’à la marquise à préserver.

L9

49

58 Boulevard Carnot

SECTEUR 2 Période de construction : Ø Caractéristiques remarquables : Villa bourgeoise, maçonnerie en meulière avec toiture débordante à deux versants en tuiles mécaniques et avec grande lucarne à deux pans et aisseliers. Encorbellement des fenêtres et frontons des baies droits en pierre, moulures et chaînage d’angle en pierre également et garde-corps en fer forgé. Muret de clôture en meulière, clôture en fer et marquise de style Art Nouveau.

Architecte : E.FEUILLU

Enjeux et potentialités : Villa rénovée tirant son charme de sa forme, notamment de sa très grande lucarne et de ses éléments de ferronnerie de l’Art-Nouveau. L’ensemble entouré d’une large cour donne un caractère assez imposant à la bâtisse. De fait, il est recommandé de préserver la forme générale du bâti et de la toiture, ainsi que le traitement de façade (modénatures et matériaux). On fera particulièrement attention aux ferronneries ainsi qu’à la marquise à préserver.

L10

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Liste des éléments du patrimoine architectural remarquable