Upload
margot-ziegler
View
212
Download
0
Embed Size (px)
DESCRIPTION
réalisé en 2012 par Tradedoubler
Citation preview
tradedoubler.com
Influence des appareils mobiles sur le parcours m-commerce.
Appareils mobiles & comportement utilisateur
Les travaux révolutionnaires menés par
Tradedoubler ont montré de manière
incontestable que les appareils mobiles
influençaient les comportements d’achat :
71 % d’Européens recherchent des produits
sur leur mobile en vue d’un achat et 53 % ont
déjà utilisé leur téléphone pour effectuer un
achat. Près d’un tiers (32 %) des utilisateurs
de smartphones recherchent des produits
chaque semaine, et 87 % de ces mobinautes
déclarent être allés au-delà de leurs
recherches : soit en sollicitant des
informations complémentaires, soit
en effectuant un achat.
Régulier et ciblé, le m-commerce revêt une
importance croissante pour les stratégies
des marques et des détaillants. L’étude
de Tradedoubler montre également que
les spécialistes marketing soucieux de cibler
les consommateurs mobiles doivent éviter
d’adopter une approche uniforme. Dans la
mesure où l’engagement du consommateur
varie considérablement en fonction du type
d’appareil qu’il emploie, toute stratégie de
m-commerce doit fonctionner quel que soit
le canal emprunté, en tenant compte du rôle
que joue chaque outil de contact dans le
parcours d’achat.
Le développement rapide
du nombre de tablettes
complique encore
davantage le paysage du
m-commerce. Notre étude
montre que les tablettes
ne peuvent être ignorées
(23 % des utilisateurs de
smartphones en possèdent
déjà une et 36 %
envisagent d’en faire
l’acquisition l’an prochain)
et que ce développement
représente une opportunité de taille si les
marques parviennent à s’adapter à la façon
dont les utilisateurs de tablettes emploient
leurs multiples appareils mobiles.
Bien connaître les usages mobiles : la clé d’un m-commerce efficaceLes consommateurs mobiles ne naissent pas tous égaux. Pour cibler de manière efficace les 71 % d’Européens qui effectuent des recherches sur leur smartphone en vue d’un achat, les annonceurs et les éditeurs doivent au préalable comprendre les parcours d’achat très différents suivis par les utilisateurs en fonction de leur appareil.
tradedoubler.com
Les appareils mobiles font partie intégrante du parcours d’achat
effectuent des recherches en vue d’un achat
recherchent des produits chaque semaine
vont au-delà de la recherche
ont effectué un achat sur leur téléphone
32 % 87 % 53 %
71 %
L’éventail de smartphones en Europe
L’éventail de smartphones utilisés par les
personnes interrogées lors de l’enquête
reflète globalement la pénétration des
marques sur l’ensemble de l’Europe :
iPhone et Samsung dominent le marché
en termes de types d’appareils et Android
s’impose devant iOS en tant que plateforme
d’exploitation privilégiée. L’influence des
acteurs de moindre envergure se limite
à des marchés spécifiques, BlackBerry
affichant une pénétration de 17 % sur le
marché britannique contre 8 % à l’échelle
européenne. Cela étant, dans la mesure où
les utilisateurs de BlackBerry représentent le
groupe le plus affluent parmi les personnes
interrogées lors de l’enquête, le fait pour
une entreprise d’adapter ses solutions
à leurs comportements peut
se révéler payant sur ces
marchés.
Le marché européen des
smartphones est
extrêmement fluide,
le récent litige entre
Samsung et Apple étant
susceptible de mener à une
meilleure différenciation
entre l’iPhone et le principal
appareil Android. La variété
des schémas comporte-
mentaux suivis par les
utilisateurs d’iPhone et de
mobiles Android, que l’étude met en lumière,
rend la lutte que se mènent les deux
plateformes intéressante pour les créateurs
de solutions en matière de m-commerce.
Utilisateurs iPhone : les inconditionnels du mobile
Les utilisateurs d’iPhone sont les plus
investis, tant vis-à-vis de leur appareil que
des possibilités offertes par le m-commerce.
Dans la plupart des cas, leur choix du modèle
iPhone est délibéré et ils sont susceptibles
de posséder ce type de téléphone depuis
un an ou plus. Ils connaissent ses capacités
et ont une idée très claire de la façon dont
ils souhaitent l’utiliser. Au quotidien, les
utilisateurs d’iPhone sont les plus
susceptibles d’accéder au Web mobile
(80 % le font), d’utiliser des applications (75 %)
et de consulter des sites de réseautage social
(56 %). Cet engagement se reflète dans la
fréquence de leurs activités commerciales
sur mobile. Les utilisateurs d’iPhone sont les
plus susceptibles de rechercher des produits
(46 % le font chaque semaine), d’acheter
des produits (20 % le font chaque semaine)
et de rechercher des codes et des coupons
promotionnels (28 % le font chaque semaine).
Bien entendu, cette fréquence d’activité
reflète le niveau de confort que les
utilisateurs d’iPhone ressentent lorsqu’ils
effectuent un achat sur leur téléphone :
ils sont les plus susceptibles de reconnaître
qu’il s’agit d’une expérience profondément
libératrice qui ne diffère que très peu d’un
achat sur ordinateur.
tradedoubler.com
Utilisateurs iPhone : les inconditionnels du mobile
80 %SURFENT SUR L’INTER NET MOBILEquotidiennement
75 %UTILISENT DES APPLI-CATIONSquotidiennement
46 %RECHER-CHENTchaque semaine ou plus souvent
20 %ACHÈTENTchaque semaine ou plus souvent
Utilisateurs Android : pas encore totalement familiarisés avec le m-commerce
Bien que les appareils Android soient
considérés comme une alternative de qualité
à l’iPhone, qu’ils disposent de capacités
similaires et d’une boutique d’applications
aussi bien achalandée, leurs utilisateurs sont
loin derrière en termes de symbiose avec
leur appareil, notamment lorsqu’il s’agit de
l’utiliser pour le m-commerce. La proportion
d’utilisateurs d’appareils Android accédant
quotidiennement à l’Internet s’élève à 65 %,
soit 15 % de moins que les utilisateurs
d’iPhone et seulement 6 % de plus que les
propriétaires de BlackBerry (59 %). Les 60 %
d’entre eux qui utilisent des applications
au quotidien sont également distancés
de 15 points par les utilisateurs d’iPhone.
Cette relation limitée avec les capacités de
leur smartphone influe considérablement sur
le m-commerce : les propriétaires d’appareils
Android sont moins susceptibles que les
utilisateurs d’iPhone et de BlackBerry de
rechercher des produits, de dénicher des
codes ou des coupons promotionnels et
d’effectuer des achats à l’aide de leur mobile.
Seuls 30 % d’entre eux recherchent des
produits en vue d’un achat chaque semaine,
et les 10 % qui achètent des produits chaque
semaine sur leur téléphone ne représentent
que la moitié des utilisateurs d’iPhone qui
se livrent à cette activité.
Pourquoi les utilisateurs d’appareils Android
sont-ils nettement moins investis vis-à-vis
de leur appareil ? Parmi les principaux
facteurs figurent vraisemblablement le
développement rapide de cette technologie
(autrement dit de nombreux propriétaires
d’appareils Android utilisent un smartphone
pour la première fois) et l’omniprésence de
cette plateforme, ce qui signifie que ces
utilisateurs ont vraisemblablement choisi
leur appareil pour des raisons diverses
(aspect extérieur, fonction caméra,
remplacement gratuit offert par l’opérateur)
et qu’ils ont simplement hérité des fonctions
Android fournies avec l’appareil. Les limites
que présentent certains appareils Android
peuvent également être problématiques :
les propriétaires d’appareils Android se
classent au second rang parmi les groupes
d’utilisateurs qualifiant de frustrant le
parcours d’achat sur mobile.
tradedoubler.com
Utilisateurs Android : pas encore totalement familiarisés avec
le m-commerce
65 %SURFENT SUR L’INTERNET MOBILEquotidiennement
60 %UTILISENT DES APPLI-CATIONSquotidiennement
30 %RECHER-CHENTchaque semaine ou plus souvent
10 %ACHÈTENTchaque semaine ou plus souvent
Utilisateurs BlackBerry : actifs, mais frustrés
Le sentiment qui caractérise la relation
qu’entretiennent les utilisateurs de
BlackBerry avec le m-commerce
est la frustration, et ce sentiment
est d’autant plus prononcé que
ce groupe d’utilisateurs semble
particulièrement soucieux
d’effectuer des recherches et
des achats au moyen de leur
appareil. Ce groupe est certes le
plus susceptible de qualifier de
frustrant le parcours d’achat sur
mobile et le moins susceptible
de reconnaître qu’il ne diffère
en rien d’un achat sur PC, mais
il se classe au second rang, juste
derrière les utilisateurs d’iPhone,
lorsqu’il s’agit de rechercher des
produits, dénicher des coupons
et réaliser des achats à l’aide de
leur appareil. Il est intéressant de noter que
les utilisateurs de BlackBerry sont les plus
susceptibles d’exprimer leur satisfaction
concernant le temps qu’ils économisent
en effectuant leurs achats de cette manière.
Pour ces utilisateurs en manque de
temps mais à fort pouvoir d’achat (CSP+),
le m-commerce s’impose en toute logique,
malgré les frustrations rencontrées.
Tablettes : le canal mobile de substitution
Lorsqu’il s’agit d’indiquer le mode de
recherche et d’achat préféré, un seul
appareil mobile est en mesure de rivaliser
avec l’iPhone, et ses utilisateurs sont souvent
les mêmes. L’émergence des tablettes a créé
un canal de substitution en matière de
m-commerce, doté de ses propres schémas
comportementaux et de règles distinctes.
Il est essentiel que les marques, les détaillants
et les éditeurs n’oublient pas qu’un nombre
croissant d’utilisateurs de smartphones
possèdent également une tablette et qu’ils
sont susceptibles de privilégier différents
appareils mobiles à diverses étapes de leur
parcours d’achat.
Il est intéressant de noter que les utilisateurs
de tablettes ne réduisent pas l’usage de leur
smartphone pour la recherche et l’achat ;
leur volume d’activités de m-commerce est
au contraire plus important dans la mesure
où ils utilisent parallèlement les deux
types d’appareils, la tablette commençant
à prendre le pas sur le PC en tant qu’outil
privilégié pour les achats à domicile et le
smartphone étant l’appareil de choix sur le
lieu de vente. L’étude indique que 84 %
des propriétaires de tablettes utilisent leur
appareil à domicile, un chiffre plus de 10 fois
supérieur au nombre d’entre eux
ayant utilisé leur tablette dans un
magasin. Toutefois, en raison de
son caractère portable, la tablette
peut également jouer un rôle
dans d’autres environnements :
42 % l’utilisent en déplacement,
33 % à l’hôtel. Plus d’un quart
(26 %) des propriétaires de
tablettes utilisent leur appareil
sur le lieu de travail, et 17 %
au restaurant ou au café.
Tablettes : le canal mobile de substitution
Utilisateurs BlackBerry : actifs, mais frustrés
tradedoubler.com
59 %SURFENT SUR L’INTERNET MOBILEquotidienne ment
37 %UTILISENT DES APPLI -CATIONSquotidienne ment
31 %RECHER-CHENTchaque semaine ou plus souvent
13 %ACHÈ TENTchaque semaine ou plus souvent
84 %UTILISENT À DOMICILE
42 %PRÉFÈRENT RECHERCHERsur tablette
35 %PRÉFÈRENT ACHETERsur tablette
60 %ACHÈTENT TOUS LES MOISsur tablette
Les utilisateurs de tablettes sont davantage
susceptibles de convertir en achats les
recherches effectuées sur leur appareil.
Pour 42 % d’entre eux, la tablette est le mode
de navigation préféré sur les sites des
détaillants et 35 % déclarent qu’il s’agit de
leur mode d’achat préféré, 60 % d’entre eux
achetant des produits au moins chaque mois.
Les utilisateurs de tablettes sont nettement
plus susceptibles d’acheter des articles plus
onéreux (articles de sport, vêtements et
accessoires, produits cosmétiques et
appareils électroniques) et leur plafond de
dépense est nettement plus élevé que celui
des utilisateurs de smartphones, 38 % d’entre
eux ayant dépensé plus de 250 € et 18 % plus
de 620 €.
Questions stratégiques liées au m-commerce
Cette variété en termes de schémas
comportementaux selon les différents
appareils ne laisse aux spécialistes marketing
que deux options lorsqu’il s’agit d’élaborer
une stratégie mobile : axer les
solutions sur les groupes les
plus enclins à effectuer des
achats sur leurs appareils, ou
élaborer une stratégie
susceptible de fonctionner sur
l’ensemble des appareils en
contournant les limites et les
frustrations de certaines
plateformes. En ciblant
minutieusement leurs
investissements, les marques et
les détaillants peuvent remplir
ces deux objectifs.
Cibler les applications dites « natives » sur le point de vente
Les utilisateurs d’iPhone se distinguent en
tant que groupe utilisant le plus souvent des
applications natives dans le cadre de leurs
activités de m-commerce : ils sont aussi
susceptibles de faire leurs achats par le biais
d’une application que par l’intermédiaire d’un
navigateur mobile. Les applications offrent
aux détaillants et aux éditeurs l’occasion de
séduire ce précieux groupe d’utilisateurs sur le
point de vente au moyen de fonctions mobiles
intégrées : 25 % des utilisateurs d’iPhone
recherchent des codes promotionnels au
sein des magasins, 35 % scannent des
codes-barres, 25 % scannent des QR codes,
22 % reçoivent des offres spéciales basées
sur la localisation et 20 % se servent de leur
téléphone comme d’une carte de fidélité.
Les canaux basés sur la performance jouent
un rôle déterminant dans leurs recherches
de bonnes affaires, les applis d’offres du jour
et de comparateurs d’achat étant installées
respectivement sur 23 et 21 % des iPhones.
tradedoubler.com
20 % 21 % 22 % 23 % 25 % 25 % 35 %
CODE PROmO TIONNEL
CARTE DE
FIDÉLI
TÉ
COMPA
RATEUR
DE PRIX
OFFRES
GÉOLOCALI
SÉES
OFFRES
DU JOUR
QR CODES
CODES
PROMOTIO
NNELS
CODES-
BARRES
Tradedoubler propose à ses clients un
large éventail de solutions novatrices dans
le domaine du commerce basé sur les
applications. Nous disposons d’un certain
nombre de programmes permettant
d’échanger les codes promotionnels mobiles
en magasin, en ligne ou sur un mobile.
Outre le fait d’accroître le nombre de
conversions réalisées par le biais des
applications, cette approche ouvre la voie
aux conversions en magasin qui étaient
auparavant inaccessibles aux éditeurs
Internet. Nous mettons également en œuvre
des programmes d’affiliation de pointe qui
incitent les clients à télécharger et à effectuer
leurs achats au sein d’une application. Les
mesures sont effectuées par notre système
de tracking de téléchargement d’applications
sur un indicateur CPA. Ainsi, nous appliquons
le modèle de performance marketing, dans
lequel le paiement est entièrement basé sur
les résultats, au secteur du téléchargement
d’applications.
La décision d’investir dans le développement
d’une application native dépend des
ressources et des rendements probables.
C’est le cas tant pour les éditeurs que pour
les marques et les détaillants. L’étude
menée par Tradedoubler prouve que tout
développement d’applications destinées à la
plateforme iOS produira vraisemblablement
les rendements les plus élevés, compte tenu
notamment de la solide part du marché
des tablettes que détient l’iPad. Toutefois,
la démarche optimale pour les spécialistes
marketing pourrait bien résider dans
l’exploitation des applications optimisées
pour l’iPhone de type codes promotionnels,
offres du jour et comparateurs d’achat,
qui jouent un rôle si important dans le
comportement des consommateurs en
magasin. Cela permettrait de libérer des
ressources physiques et financières pour le
développement de sites mobiles proposant
à l’utilisateur une expérience enrichissante
sur iPhone et iPad, répondant ainsi aux
attentes des utilisateurs d’iOS qui sont tout
aussi nombreux à préférer mener leurs
activités de m-commerce par le biais d’un
navigateur.
Les sites mobiles suscitent l’intérêt de la « majorité tardive »
Pour ceux qui souhaitent cibler un large
public d’utilisateurs mobiles, il est essentiel
de disposer d’un site mobile performant.
Les utilisateurs d’appareils Android sont
de loin les plus enclins à rechercher des
produits à l’aide de leur navigateur mobile
(19 % citent le navigateur mobile comme
canal de recherche préféré, contre 9 % qui
préfèrent utiliser des applications). La plupart
de ces recherches ont lieu en magasin,
43 % déclarant utiliser leur téléphone lors
de l’achat d’un produit pour en vérifier le
prix à la dernière minute, souvent par
l’intermédiaire d’un lecteur de codes-barres
(l’appli de m-commerce la plus utilisée
par les utilisateurs d’appareils Android).
Être présent sur les sites comparateurs de
prix, en particulier sur les sites offrant une
solide intégration avec les applis de lecture
de codes-barres, devient essentiel pour
influencer les décisions d’achat de ce groupe.
tradedoubler.com
Les avantages d’une stratégie de conversion intégrée
Convertir cette influence en achats nécessite
une démarche plus souple que celle qu’exigent
les utilisateurs d’iPhone. Pour les commerçants
et les marques souhaitant cibler un plus large
éventail de consommateurs mobiles, il est
essentiel de disposer d’options attrayantes
permettant de convertir les recherches
effectuées sur mobile en achats hors ligne.
La possibilité d’échanger en magasin les
codes promotionnels ou les points de fidélité
mobiles offre un axe de conversion aux
utilisateurs qui éprouvent des difficultés lors
du parcours d’achat mobile, et elle permet
aux éditeurs de monétiser les opportunités
d’achat en magasins pour la première fois.
Lors d’une récente campagne menée par
Tradedoubler, qui faisait appel à des codes
promotionnels pour stimuler les ventes,
la moitié de ces codes ont été échangés
en magasin.
Les arguments en faveur des tablettes
Les tablettes offrent un canal mobile de
substitution permettant de dialoguer avec
des groupes d’utilisateurs à fort pouvoir
d’achat, comme les utilisateurs de BlackBerry,
qui éprouvent éventuellement des difficultés
lorsqu’ils effectuent des achats sur leur
smartphone. 27 % des utilisateurs de
BlackBerry possèdent également une
tablette et il est probable qu’ils considéreront
de plus en plus cet appareil comme un
moyen efficace de contourner les problèmes
rencontrés lors de l’utilisation de leur
smartphone pour effectuer des recherches
et faire des achats.
tradedoubler.com
Une stratégie de conversion intégrée stimulera les ventes
SITES INTERNET MOBILES EFFICACES
APPLIS POUR USAGE EN MAGASIN
CODES PROMOTIONNELS
Assurer la pérennité des stratégies de m-commerce
À mesure que le marché européen des
smartphones se développe, les changements
intervenant au sein de la gamme d’appareils
et de tablettes concurrentes influeront de
manière significative sur les stratégies de
m-commerce. Les litiges en matière de
brevets entre les principaux acteurs, les
questions concernant la compétitivité
future de BlackBerry et la volonté de Nokia
d’accroître sa part de marché en s’alliant
à microsoft auront vraisemblablement
une influence sur la façon dont les
consommateurs mobiles réalisent leurs
activités commerciales.
Bien que les pressions
sur les prix soient
susceptibles de se
traduire par une légère
baisse de la part de
marché globale de
l’iPhone en Europe,
sa position en tant
qu’appareil de choix
pour l’utilisateur de
smartphone averti ne
semble pas menacée.
Cela justifie tout
investissement dans
des solutions de
m-commerce ciblant
de façon plus
approfondie les
utilisateurs d’iPhone
par le biais
d’applications et d’expériences optimisées
pour cet appareil. Les gains d’efficacité liés au
développement parallèle d’applications pour
iPad et pour iPhone sont considérables,
compte tenu notamment de la domination
de l’iPad sur le marché en plein essor des
tablettes (et de l’émergence de l’iPad mini).
Toutefois, cette situation pourrait évoluer
suite au lancement en Europe de la tablette
Kindle Fire (de type Android), considérée
comme ayant permis à Android d’égaler
la part de marché de l’iPad aux États-Unis,
ainsi qu’à l’arrivée d’une nouvelle vague
de tablettes basées sur Windows.
Cela étant, la question majeure que doivent
se poser les spécialistes en marketing mobile
concerne le développement futur d’Android.
Compte tenu de la part de marché croissante
de cette plateforme, il sera de plus en plus
important de communiquer de manière
efficace avec les utilisateurs d’appareils
Android. Parallèlement, la conception
des appareils Android pourrait évoluer
considérable ment suite à l’affaire des brevets
iPhone. Les habitudes associées au profil de
« majorité tardive » qu’ont les utilisateurs
d’appareils Android plaident fortement
en faveur d’une stratégie mobile intégrée
incorporant les conversions hors ligne et en
ligne. Et cette souplesse sera vraisemblable-
ment le moyen le plus efficace d’assurer la
pérennité des stratégies de m-commerce.
tradedoubler.com
L’émergence d’Android ?
Les modes d’utilisation des mobiles n’étant pas uniformes, il n’y a aucune raison pour que les stratégies le soientLes vainqueurs seront les spécialistes en marketing mobile capables de comprendre les différents parcours d’achat suivis par les utilisateurs des différents appareils et d’élaborer leur stratégie de m-commerce autour de ces différences.
Pour obtenir plus d’informations sur l’étude de Tradedoubler relative au m-commerce, contactez Camille Palluat De Besset à l’adresse suivante : [email protected]
Ou visitez tradedoubler.com