LMais au stade Henri-Vi- - pierrefitte-socialistes.typepad.compierrefitte-socialistes.typepad.com/ps/files/cahier_14.10.08.pdf · L ouvrier chute de cinq mètres U N OUVRIER originaire

matin

NOISY-LE-GRAND

Quel avenirpourle fort

de Villiers ?Page IV

SAINT-DENIS

La pub dans le métroqui choque ou fait rêverPage II

(LP/N.A.)

LOGEMENT

De plus en plus de pavillonsachetés à plusieursPage III

(LP/J.D.)

LE CHIFFRE

500 000baigneursà Montreuil

IER, en milieu de mati-H née, le stade nautiqueMaurice-Thorez de Montreuila accueilli son 500 000e visi-teur depuis le 16 août 2006,date de sa réouverture aprèsdeux ans de rénovation. Lanouvelle piscine s’était dotéede vestiaires refaits à neuf,d’une salle de musculation,d’une pataugeoire pour lestout-petits, d’un solarium, d’untoit translucide et de pan-neaux solaires pour chaufferles douches. En tout, 15 mil-lions d’euros de travaux. Lestade nautique espère biendépasser le million de bai-gneurs fin 2010.Stade nautique Maurice-Tho-rez, 21, rue du Colonel-Ray-nal à Montreuil, Mo Croix-de-Chavaux. Tél. 01.48.51.14.90.Ouverte tous les jours. Tarifadultes : de 3,2 � à 4,8 �,enfants : de 2,3 à 3,7 �.

C’EST NOUVEAU

Les infos deBondy par SMS

A VILLE de Bondy vientL de lancer un nouveauservice à destination des habi-tants : les informations parSMS. Sur inscription en mai-rie ou via le site Internetwww.ville-bondy.fr, ils peu-vent recevoir gratuitement desmessages sur leur téléphonemobile concernant leur quar-tier et leurs centres d’intérêt(spectacles, transports, tra-vaux, etc.). Pour se désabon-ner, il suffit de répondre« Stop » au dernier messagereçu !

AUJOURD’HUI

20 heures, Montreuil. Laville propose ce soir, à la mai-son du Bas-Montreuil Lou-nès-Matoub, une projectionunique et gratuite de « la11e Heure, le dernier virage »,un documentaire alarmistesur l’état de la planète, écrit etproduit par Leonardo DiCa-prio. La projection sera suivied’un débat avec SébastienGodinot, membre des Amisde la Terre, et Mathieu Gué-don, de l’agence locale del’énergie MVE.Places limitées, réserver au01.48.70.69.08 ou au01.48.70.67.94.

Montreuil - Montfermeil

Quand les supermarchés soutiennentles associations de quartier

’EST au beau milieu declients non avertis de sa visiteC au magasin Simply Market

de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne) que Christine Boutin, mi-nistre du Logement et de la Ville, aparrainé, hier matin, le lancement deQuartier d’énergie. Une opérationnationale organisée par les quelque300 magasins des enseignes Atac etSimply Market, qui vise à mettre enavant des associations locales et àles faire bénéficier de la vente d’une

vingtaine de produits de grandesmarques proposés à 1 � et 2 � pen-dant une semaine.

L’opération pourraitrecueillir jusqu’à 450 000 �

« Ici, au-delà des données commer-ciales, ce qui m’intéresse, c’est la ren-contre des hommes et des femmesentre eux », affirme la marraine del’opération. Renforcer le lien social etla solidarité de proximité est, depuis2006, le but de Quartier d’énergie,

initié par les dirigeants d’AuchanSu-per dans leurs enseignes Atac etSimply Market. Ainsi, jusqu’au19 octobre, les clients du supermar-ché de Villiers vont pouvoir rencon-trer des bénévoles de trois associa-tions. Au Simply Market deMontfermeil, c’est le même pro-gramme pour l’association Montfer-meil Tennis 93 qui prend en chargeun jeune sportif handicapé. A Mon-treuil, deux autres associations sontvalorisées : les Ramenas et En-

semble autre quartier. Pour toutes,c’est une aubaine !

« Grâce à cette opération,100 000 � ont été récoltés en 2006et 300 000 � en 2007 », préciseChristophe Mulliez, directeur du dé-veloppement durable chez Atac.Cette année, Quartier d’énergiepourrait permettre de recueillirjusqu’à 450 000 �, somme repré-sentant le montant total des produitsofferts par les industriels partenaires.

Corinne Nèves

Luc Besson annule sontournage aux BosquetsMONTFERMEIL. Huit véhicules qui devaient servir aux cascades du film avecJohn Travolta ont été incendiés dans la nuit de dimanche à lundi.

E TEMPS ensoleillé d’hiermatin semblait idéal pourle début d’un tournage…Mais au stade Henri-Vi-L dal, dans le quartier des

Bosquets à Montfermeil, pointd’équipe ni de caméras. Le barnumblanc dressé pour accueillir figurantset techniciens est vide. Un jeunehomme employé par la productionrange des barrières et refuse de direquoi que ce soit. Au fond du site, àcôté des gradins, les carcasses grisesde huit voitures.

Les véhicules ont été incendiésdans la nuit de dimanche à lundi,vers 2 heures du matin. Ils devaientservir aux cascades et au décor dufilm « From Paris with Love », dont

plusieurs scènes spectaculaires de-vaient être tournées aux Bosquetsavec les acteurs américains JohnTravolta et Jonathan Rhys-Meyer.

« C’est un beau gâchis »

L’incident semble avoir mis unpoint final à cette entreprise. Officiel-lement, comme le répétait hieraprès-midi un attaché de presse, letournage est reporté à une date ulté-rieure « quand les esprits serontmoins chauds ». Plusieurs témoinsaffirment pourtant que le patrond’Europacorp, Luc Besson, qui s’estrendu sur place hier matin, a an-

noncé l’annulation des scènes pré-vues à Montfermeil devant une par-tie des habitants recrutés pour cetteproduction. Il aurait promis quetous, figurants et agents de sécurité,seraient rétribués malgré tout.

Dans la ville, c’était hier l’abatte-ment et la déception qui dominaient.« C’est petit d’avoir fait ça, confiait unjeune homme, l’œil posé sur les voi-tures incendiées. Une minorité secomporte mal et tout le mondetrinque… » Le film devait fournir dutravail à environ 90 personnes de lacité, sans compter les associationschargées de préparer les repas pourl’équipe. Des protestations s’étaienttout de même fait entendre la se-maine dernière, certains jeunes ré-

clamant que la production em-bauche davantage de monde, etdemandant l’augmentation des sa-laires.

« Les représentants de la produc-tion avaient très gentiment acceptéde négocier. On était arrivé à 200 �

par journée, indique Goune, père defamille de 29 ans. C’était un bon pro-jet, il y a de quoi être déçu ! »

Un peu amer, le maire UMP, Xa-vier Lemoine, lâche d’une voix lu-gubre : « C’est un beau gâchis.Quand je pense à tous ceux qui m’in-terpellaient dans la rue pour me par-ler du film et qui se réjouissaient…L’opération devait être gratifiante etvalorisante pour tout le monde. »

Gwenaël Bourdon

MONTFERMEIL, STADE HENRI-VIDAL, HIER MATIN. Les véhicules incendiés auraient dû être utilisés dans plusieurs scènes du film « FromParis with Love », tournage qui devait fournir du travail à environ 90 personnes de la cité des Bosquets. (LP/G.B.)

MARDI 14 OCTOBRE 2008www.leparisien.fr

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24 HEURES

II M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8

DUGNY

Coup de filetchez lestrafiquants

NE VINGTAINE deU personnes ont étéinterpellées par la policejudiciaire départementale, hierau petit matin à Dugny,principalement dans la cité duPont-Yblon. Un coup de filetmené avec l’appui du GIR (legroupe d’intervention régionalde la police nationale), dans lecadre d’une enquête sur untrafic de cannabis.Parallèlement à cetteopération dans la petite citéde Dugny, la même enquêtemenait d’autres policiers dansdeux autres points centrauxdu trafic présumé, cette foisen province : plusieursinterpellations ont étéeffectuées dans le Var ainsiqu’en Normandie. A Dugny,les enquêteurs ont par ailleurssaisi des voitures, des armes etplusieurs kilos de drogue. Lavingtaine de suspects arrêtés,des hommes de 20 à 30 ansen moyenne, est depuisentendue par les policiers. Lagarde à vue pourrait durerjusqu’à jeudi.

ROMAINVILLE

Trois blessésdans le bus quiévite l’accident

E FACE-À-FACE auraitL pu s’avérer très grave hieraprès-midi dans l’avenue de laRépublique à Romainville, oùle réflexe d’un chauffeur debus a permis d’éviter le pire,mais pas la bousculade. Vers15 h 15, cet autobus de laligne 318 roulait sur cetteavenue centrale qui relie lequartier Floréal à la placeCarnot lorsqu’il a vu arriver enface de lui un deux-rouesroulant à contresens de cetteportion pourtant à sensunique. Le conducteur du busa brutalement freiné et aréussi à éviter le choc entreles deux véhicules, mais troispassagers, projetés dans le busau moment du freinage, ontété légèrement blessés. Toustrois ont été brièvementhospitalisés et soignés pourdes contusions. Le pilote dudeux-roues, indemne mais eninfraction grave, devaits’expliquer une première foisau commissariat dès hieraprès-midi.

MONTREUIL

L’ouvrier chutede cinq mètres

N OUVRIER originaireU de Montreuil a étévicitime d’un grave accidentdu travail, hier peu après16 heures, à Nangis(Seine-et-Marne). Ce jeunehomme de 26 ans travaillaitsur une toiture, quand il estsoudain passé à travers,tombant d’une hauteur decinq mètres. Grièvementblessé, il a été conduit àl’hôpital Beaujon à Clichy(Hauts-de-Seine), où ses joursétaient toujours en danger hiersoir.

FAITS DIVERS

Bobigny

L’avocat suspendu par ses pairsdénonce une « chasse à l’homme »

ES HOMMES en robe qui s’invectivent àcoups d’arguments juridiques, deuxD camps d’une même profession, dont les

acteurs ont prêté le même serment, qui s’écharpe-raient volontiers si n’en dépendaient pas la carrièrede l’un et la crédibilité des autres… D’électrique,l’ambiance a vite viré au court-circuit, hier matin àla maison de l’avocat et du droit à Bobigny. LeConseil de l’ordre du barreau de Seine-Saint-De-nis, en audience publique, devait décider de sus-pendre un avocat. Déjà sous le coup d’une sus-pension disciplinaire de quatre mois, prononcéecet été, Me Danglehant a de nouveau été sanc-tionné hier. Malgré le comité de soutien de plu-sieurs clients et confrères, malgré ou peut-être àcause de sa véhémence argumentée à contester lalégalité même de la procédure.

« Etouffer les scandales »

Sur un blog et à travers de multiples plaintes évo-quant la « corruption » de certains magistrats, les« abus » de ses pairs, des cas de falsification,d’usurpation de titres d’experts, etc., Me FrançoisDanglehant multiplie les attaques et n’entend passe laisser abattre. Pour lui, ce sont des « alertes »,pour ses contradicteurs, c’est « de l’agitation ».

Entre cet avocat qui dénonce ouvertement

« une chasse à l’homme ouverte contre (moi), pour(me) faire taire et étouffer les scandales que (je) dé-nonce » et un barreau dont les représentants se di-sent calomniés, attaqués et injuriés à outrance, la

pile de procédures réciproques atteint près de1,60 m de haut. La bâtonnière, Me Nathalie Bar-bier, comme son prédécesseur, Me Gabet, ont no-tamment tous deux porté plainte en diffamationcontre l’avocat, et deux autres procédures seraientà l’instruction à Bobigny. « On a des plaintes debâtonniers de toute la France, affirme Me Barbier.Cet avocat ne respecte pas le serment qu’il a prêté.Non seulement il n’a jamais eu d’adresse profes-sionnelle, mais il ne respecte ni les procédures, nises pairs, ni la justice, ni ses clients ! »

Des clients pourtant, il y en avait hier matin, ve-nus de région parisienne comme de province dé-fendre l’intégrité de leur conseil et l’épauler face àses pairs. Tous dénonçaient une « situation extra-vagante ». En dépit de la nullité de procédure invo-quée par l’avocat, articles de loi à l’appui, leConseil de l’ordre a décidé de le suspendre à nou-veau, estimant que son passif rendait cette suspen-sion « urgente et nécessaire, pour la protection dupublic ». La décision, huée par les partisans deMe Danglehant, non commentée par les autres,n’a fait qu’affirmer la détermination de l’avocat.Dès hier midi, il a décidé de lancer de nouvellesplaintes pour « faux et usage de faux » contre sessupérieurs de l’ordre. « Cela ne s’arrêtera pas là »,prévient-il.

Elodie Soulié

Saint-Denis

La pub géante pour un jeuvidéo crée la polémique

E GROS BONSHOMMESgrimaçant, armés jusqu’auxD dents, surgissant de voitures

rutilantes. Des femmes sexy et ta-touées brandissant des revolvers.C’est le décor surprenant qui a en-vahi, depuis le 4 octobre, les couloirsde la station de métro Saint-Denis-Porte-de-Paris. Les murs carrelés ontété recouverts d’un film plastiqueaux couleurs pastel, représentantgrandeur nature les personnages dujeu vidéo Saints Row 2. « L’enfer desgangs n’a pas de limites », c’est le slo-gan de ce jeu interdit aux moins de18 ans, mis en vente ces jours-ci.

L’énorme opération marketing aété lancée le jour du concert UrbanPeace, au Stade de France, pour tou-cher les spectateurs de cette granderencontre hip-hop. A Saint-Denis,où se trouve la station de métro quipromeut ce jeu, ces images suscitentla polémique.

« Des armes pointéessur les passagers »

Dans un communiqué, l’associationcontre la violence à Saint-Denis etsur Plaine Commune dénonce « uneincitation à la haine et à la violencesur les murs du métro », relevant quecertains des personnages représen-tés « pointent leurs armes sur les pas-sagers ». Sur le quai du métro, lacampagne ne laisse personne indif-férent. Liliane, 58 ans, puéricultrice,trouve « toutes ces armes particuliè-rement choquantes ». « On nepousse pas les jeunes à réfléchir,mais on les appelle à la violence »,estime-t-elle. Al Hocine, 31 ans, juge,lui, le décor très joli. « Ça change desmurs habituels, même si ce n’est paspour les enfants. » Pour Martin,50 ans, « c’est magnifique, mais je

n’avais pas fait attention aux armes ».Tout comme Nicolas, 28 ans, quitrouve que « ça reste de la publicitépour un jeu vidéo et que ça embellitle métro ». Mais pour Faïda, 21 ans,« c’est vulgaire. Et en plus, j’aime pasBooba ». Le rappeur du Val-de-Marne est bel et bien dessiné sur lesmurs, comme un acteur du jeu, fai-sant la promotion de sa marque devêtement Unkut. Lors du concert Ur-ban Peace, le 4 octobre dernier,

Booba avait d’ailleurs dérapé en ré-pondant aux provocations du public,finissant par balancer une bouteillede whisky et par quitter la scène. Ha-kim, 17 ans, estime enfin que « cen’est pas cette publicité qui va don-ner de mauvaises idées aux jeunes.C’est l’entourage qui crée les inci-dents, pas les jeux. Les dessins sontbien faits et c’est très beau. »

Refusant de répondre à la polé-mique, Gérard Unger, le responsable

de la régie publicitaire Metrobus,rappelle que cette campagne est juri-diquement valide car l’interdictionaux mineurs est clairement indiquée.« On a vu des publicités pour desfilms beaucoup plus violentes »,ajoute-t-il. Des plaintes d’usagers ontcommencé à remonter à la RATP. Ilsseront satisfaits : dès vendredi, lacampagne arrivant à sa fin, les des-sins devraient être enlevés.

Naïma Amiri

BOBIGNY, HIER MATIN.Me François Danglehant. (LP/E.S.)

SAINT-DENIS, METRO PORTE-DE-PARIS, HIER MATIN. Les murs de la station ont été recouvertsde fresques dont la violence choque certains usagers. (LP/N.A.)

24 HEURES

M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8 III

LOGEMENT

Le projet de loiinquiète les socialistes

ADAME la ministre, renoncez,«M il est encore temps. »L’exhortation s’adresse à la ministre duLogement, Christine Boutin, et vient deStéphane Troussel, vice-président (PS)du conseil général chargé de l’habitat, dela politique de la ville et de la mixitésociale. Alors qu’aujourd’hui la ministreva défendre au Sénat son projet de loide mobilisation pour le logement et lalutte contre l’exclusion, l’élu adresse unelettre ouverte à Mme Boutin, évoquant« une réforme brutale ». « Ce projet estle pendant de la précarisation dusalariat », critique notamment StéphaneTroussel, qui épingle surtout le projet« d’assouplissement de la loi SRU » :« Si votre réforme entrait en vigueur,vous réduiriez la part du logement socialaccessible à tous sur l’ensemble duterritoire, vous transformeriez nosquartiers en ghettos économiques. ».Tout aussi critique, le patron socialistedu département, Claude Bartolone, quiétait ministre délégué à la Ville en 2000lors de l’adoption de la loi SRU, juge« l’article 17 de cette nouvelle loiextrêmement dangereux et demandeinstamment au gouvernement derenoncer à cette mesure ».

SAINT-OUEN

Patrick Saussois hésiteà tenir la Chope

ATRICK SAUSSOIS hésite. AprèsP réflexion, le célèbre guitariste dejazz devrait décliner la proposition deson ami Marcel Campion. Ce derniersouhaitait que Patrick Saussois prennela direction de la Chope des Puces qu’ilvient de racheter à Saint-Ouen. « Marcel,qui est un ami, m’en a parlé il y a un anet demi. J’étais séduit. Mais, depuis, leprojet a pris de l’envergure. Il y aura unelutherie, une école et le bar sera ouverttous les jours. Or, il me sera impossibled’être là à plein-temps. Et, à mon âge, jene vais quand même pas arrêter lamusique pour me mettre à temps pleinderrière un bar ! » Patrick Saussoiss’oriente donc plutôt vers unecollaboration occasionnelle. N.P.

VIVRE EN SEINE-SAINT-DENIS

Pierrefitte - La Courneuve - Aubervilliers

Le devenir des pavillonsinquiète les élus

LS INCARNAIENT le rêve de la maison in-dividuelle, ils symbolisent désormais laI crise du logement. Depuis plusieurs mois,

les élus de Pierrefitte, de La Courneuve et d’Au-bervilliers s’inquiètent du devenir des pavillonsde banlieue. Ces maisons, qui étaient jusque-làoccupées par des familles avec un, deux outrois enfants ou des couples de retraités, sontde plus en plus souvent achetées par plusieursfamilles qui les divisent en appartements.« Nous avons énormément de pavillons àvendre à Pierrefitte. Pour nous, c’est l’occasionde faire venir de jeunes couples avec enfants.Mais, dans les faits, ces biens sont vendus àplusieurs personnes d’une même commu-nauté, notamment sri-lankaise ou turque », ex-plique Michel Fourcade, le maire PS.

Des garages sont transformésen habitation

Ces maisons individuelles hébergent désor-mais trois ou quatre couples avec enfants, cequi pose des problèmes en termes de station-nement, de places dans les écoles… « C’est unequestion de densification du territoire. La villeperçoit une seule taxe foncière mais doit ré-pondre aux besoins de plusieurs familles », ré-sume Jacques Salvator, le maire PS d’Aubervil-liers. Les travaux d’aménagement ne sont parailleurs pas toujours réalisés dans les règles et,selon les agences immobilières, il n’est pas rareque des garages soient transformés en habita-tion. « Les propriétaires doivent en principefaire une déclaration de travaux lorsqu’ilsagrandissent leur pavillon. Mais, dans les faits,nous n’en recevons pas ou peu et lorsque nousdemandons à ces propriétaires de se mettre enconformité avec la loi, rares sont ceux qui lefont. Nous transmettons le dossier au procu-reur et ça se termine comme ça », constate Mi-chel Fourcade.

Pour lutter contre ce phénomène, GillesPoux, le maire (PC) de La Courneuve, a modi-fié le plan local d’urbanisme (PLU) et durci les

règles d’urbanisme : « Nous avons changé lecoefficient d’occupation des sols (COS). Dé-sormais, il n’est plus possible de construire surune parcelle de 100 m2 plus de 50 m2, ce quilimite les extensions et donc les subdivisions. »La ville de Pierrefitte s’apprête à faire de même.

Reste qu’il ne s’agit là que d’une des illustra-tions de la crise du logement en France. « Laplupart de ces familles travaillent depuis plu-sieurs années en France. Mais il s’agit générale-ment de réfugiés qui, de ce fait, n’ont pas accèsau logement social. Et leurs demandes de prêt

sont presque toujours refusées par lesbanques. Ils ont trouvé cette solution pourpouvoir acheter un logement avec leurs écono-mies », précise Amirdin Farouk, de l’associa-tion France India. De leur côté, les vendeurs— beaucoup de retraités qui partent vivre enprovince — n’y voient rien à redire, bien aucontraire, puisqu’ils trouvent là une clientèle àmême de débourser une importante sommed’argent pour acheter leur pavillon, souvent im-mense.

Nathalie Perrier

Drancy

Evacué après une pollution,le conservatoire a rouvert hier

IER, les six cents élèves du conserva-toire municipal de Drancy ont pu réin-H tégrer leurs salles de cours, au sous-sol

du 21 de la rue Fernand-Péna. Le 26 sep-tembre dernier, le conservatoire avait dû être

évacué suite à la découverte d’une pollution.Depuis, les cours se déroulaient au premierétage du bâtiment, dans des salles normale-ment dévolues à d’autres activités culturelles.« Les personnes présentes ce jour-là ont été vic-

times de réactions allergiques, cutanées,ophtalmiques et de maux de tête. Noussommes inquiets pour nos enfants. N’est-il pasurgent de quitter ce lieu insalubre et d’intégrerd’autres locaux ? » questionne Dolorès Ma-gnin, la présidente de l’association des parentsd’élèves.

Les émanations toxiques seraient en faitconsécutives à la panne d’une des troispompes d’évacuation des eaux usées situéessous le conservatoire et sous le parking HLM.Celle-ci a depuis été changée et les deux autresont fait l’objet d’une révision. Selon la mairie, iln’y a donc « plus lieu de s’inquiéter ».

De gros travaux de rénovationd’ici deux ans

Le bâtiment, construit au-dessus de bassinsd’évacuation des eaux usées, connaît depuis denombreuses années des problèmes récurrentsd’inondations et d’émanations nauséeusesvoire toxiques. En 1995, le conservatoire avaitdû fermer ses portes plusieurs mois à la suited’une pollution émanant de champignons trèstoxiques, les aspergillus. « Ce bâtiment a étéédifié par les communistes au-dessus de bas-sins d’eaux usées, rappelle la ville NouveauCentre. Il n’a jamais bien fonctionné. La com-mune n’a malheureusement pas les moyens deconstruire un nouveau conservatoire. Maisnous allons entreprendre d’ici deux ans de trèsgros travaux de rénovation. »

N.P.

MONTREUIL - ROSNY

Ils braquentun supermarché

UATRE JEUNES originaires du 93Q ont été présentés hier encomparution immédiate au tribunal deSenlis (Oise). Deux d’entre eux viennentde Montreuil, un troisième deRosny-sous-Bois. Samedi matin, ilsavaient dérobé 9 370 � à l’Intermarchéde Crépy (Oise) avant de s’enfuir à pied.Mais leur méconnaissance du secteurles fera s’égarer, et facilitera leurinterpellation quelques heures plus tard.Hier, alors que les juges senlisiensstatuaient sur la demande de renvoi desprévenus, la salle du tribunal s’estremplie d’amis du quatuor. Tous trèscalmes, mais leur nombre croissant acommencé à inquiéter le tribunal. Desgendarmes ont été appelés aux abordsde la salle, en nombre supérieur à celuides jeunes présents. De quoi s’assurerune certaine sérénité au moment où lesjuges ont annoncé que les trois jeunesgarçons, en état de récidive de volaggravé, seraient maintenus endétention. La jeune femme, sansantécédent, a été placée sous contrôlejudiciaire, avec interdiction de fréquenterl’Oise. L’audience de renvoi se tiendra le12 janvier. H.S.

FAITS DIVERS

PIERREFITTE, OCTOBRE 2008. Les maisons sont de plus en plus souvent achetéespar plusieurs familles qui les divisent en appartements. (LP/N.P.)

DRANCY, RUE FERNAND-PENA, HIER MATIN. Le bâtiment a été construit au-dessusde bassins d’évacuation des eaux usées. (LP/N.P.)

24 HEURES

IV M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8

Noisy-le-Grand

L’association veut sortirle fort de l’oubli

NTIÈREMENT noyé dans lavégétation, il passe inaperçuE aux yeux du promeneur du

Monfort, ce quartier de Noisy-le-Grand coincé entre l’A 4 et Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne). Et pour-tant , à deux pas du stadeAlain-Mimoun, se dresse sur 4 ha lefort de Villiers, un des ouvrages de ladeuxième ceinture de défense érigéeentre 1878 et 1880 par le général Séré

de Rivières pour protéger la capitalede l’ennemi prussien. Pour sortir cefort de l’anonymat et le faire découvrirau grand public, l’Association de sau-vegarde du fort de Villiers a été créée ily a quelques mois. A sa tête, le prési-dent Patrick Cotte ne tarit pas d’élogesur l’édifice : « Il est en parfait état.C’est l’un des rares de l’Est parisien àêtre entier : le pont-levis est intact, toutcomme les caponnières (petites forti-

fications au-dessus des fossés), lespoudrières, la caserne, les couloirs. »

Un bel écrin totalement vide depuisquelques jours avec le départ du clubde tir. Propriété de la ville qui l’a ra-cheté en 2001 à l’EpaMarne, le fortfait l’objet depuis décembre 2007d’un arrêté de péril en raison du mau-vais état de la passerelle d’accès et desarbres instables depuis la tempête de1999. Du coup, l’association s’in-quiète et fait des propositions à la mu-nicipalité. « On peut imaginer dessalles de réception, des espaces derestauration. Les fossés peuvent êtreutilisés pour des activités sportives »,énumère Yveline Meline, la vice-pré-sidente de l’association qui souhaite« redonner une vie économique à cesite et générer des emplois ».

L’association, qui réclame l’inscrip-tion du fort à l’Inventaire des monu-ments historiques, met en avant desinitiatives de restauration exem-

plaires. Celles du fort de Sucy (Val-de-Marne) investi par des associations,du fort de Cormeilles (Val-d’Oise) quiaccueille artistes et tournages oumême du fort de Seclin (Nord) devenulieu de séminaires. La municipalitésocialiste se donne quelques mois deréflexion pour décider de l’avenir dusite. Mais elle lorgne plutôt du côtéd’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) et de son fort numérique oud’Aubervilliers. « Ces villes prévoientl’installation d’entreprises et de loge-ments pour valoriser le site, on pour-rait s’en inspirer, explique-t-on dansl’entourage du maire, Michel Pajon.En tout cas, il ne s’agit pas de détruire,mais de valoriser le fort de Villiers, unélément du patrimoine noiséen au-quel le maire est très attaché. »

Julien Duffé

Site Internet de l’association :http://www.asfv.eu/.

Montreuil

Les nouveaux tarifs du cinéma contestésEPUIS le 1er octobre, les éco-liers montreuillois payentD plus cher pour aller au ci-

néma le Méliès. Par une décision vo-tée par le conseil municipal du25 septembre dernier, la ville deMontreuil vient de décider de l’aug-mentation du tarif jeune public de1,90 � à 2,50 � le billet. Une haussede 31 % dénoncée par Renc’art auMéliès. L’association des specta-teurs, qui regroupe deux cents adhé-rents, regrette de ne pas avoir étéconsultée sur une décision prise« dans la précipitation » et justifiée,selon elle, par « une vision infondéede la sociologie » du cinéma selon

laquelle « seules les catégories socio-professionnelles les plus aisées fré-quentent le Méliès ».

Daniel Chaize, l’adjoint (ex-PS) àla culture, avance un tout autre argu-ment et relativise cette hausse, « lapremière depuis dix-sept ans », fait-ilremarquer. « Le Méliès adhère audispositif national Ecole et cinéma.On nous demande depuis deux ansde respecter la charte qui stipule queles billets doivent être compris entre2 � et 2,50 �. Or on était à 1,52 �

avec l’abonnement et 1,90 � àl’unité. »

Montreuil a donc voulu se plier àla règle commune. « On n’était pas

dans le cadre malgré deux rappels àl’ordre, poursuit l’élu. Et certains dis-tributeurs de films commençaient àdire : il faut arrêter de fournir le Mé-liès car on ne gagne pas notre vie aveceux. »

L’avenir du Mélièsn’est pas tranché

A 2 � le billet jeune public achetépar carnet de cinq et 2,50 � à l’unité,le Méliès pratique les mêmes tarifsque les cinémas de Saint-Denis,Saint-Ouen, Tremblay ou Pantin, as-sure Daniel Chaize. L’élu se veutégalement rassurant sur la perspec-tive d’une hausse de tous les tarifs,

évoquée par l’association. « La ques-tion a été évoquée au dernier conseildu cinéma mais rien n’est décidé. »Quant aux inquiétudes de Renc’artau Méliès sur une éventuelle « priva-tisation » dans le cadre de l’agrandis-sement et de la reconstruction ducomplexe au sein du projet Cœur-de-Ville « pour céder aux pressionsjudiciaires d’UGC et MK2 », ellessont infondées, assure la municipa-lité qui réfléchit sur trois scénarios :un Méliès restant dans ses murs, unagrandissement à cinq salles ou unbâtiment de six salles, comme prévuinitialement.

Julien Duffé

Noisy-le-Sec

Premières chicanes dans la majoritéA TENSION monte entre socialistes et com-munistes au sein de la majorité de Noisy-le-L Sec. Après la décision d’augmenter les im-

pôts, provoquant l’une opposition de principe descommunistes, c’est maintenant la remise en causedu projet de conservatoire — un investissement de6,7 millions d’euros avec 3 millions d’euros defonctionnement — qui soulève le courroux deGilles Garnier, adjoint (PC) au maire. « La mairevient d’annoncer aux représentants de deux asso-ciations de parents d’élèves l’abandon du projet,alors que cette question n’a pas encore été tran-

chée en bureau municipal, s’emporte-t-il. Cettemanière de procéder ne permet pas un travailconstructif au sein de la majorité ! L’accès à la cul-ture est un facteur important d’émancipation », in-siste l’adjoint qui demande une réunion avec lesélus, les usagers et le personnel municipal.

Projet de conservatoire : la maireveut consulter la population

« Je n’ai jamais annoncé d’abandon. Il faudrait quecesse cette instrumentalisation communiste dessujets sérieux, rétorque la maire (PS), Alda Péreira.

L’élue communiste à la culture était présente àcette réunion avec les parents d’élèves. Tout lemonde reconnaît que le projet tel quel n’est pasviable. »

La maire de Noisy-le-Sec suggère de consulterla population sur le thème suivant : « Etes-vousd’accord pour un conservatoire qui demanderaitune augmentation des impôts supplémentaire de30 % ? » Le sujet figurait en tout cas à l’ordre dujour du bureau municipal qui devait se réunir hiersoir.

M.-P.B.

La ville y voitune manœuvre politiqueALGRÉ leur intérêt com-M mun pour le fort, pas sûr

que la municipalité et l’Associationde sauvegarde du fort de Villiers(l’ASFV) travaillent un jour en-semble. Selon l’entourage du mairede Noisy-le-Grand, « sous couvertde protection du patrimoine, cettestructure n’est ni plus ni moins uneassociation à finalité politique dontle but est d’ennuyer le maire ». Et lamunicipalité de citer notamment laprésence de Michèle Claveau, an-cienne adjointe au maire RPR, auposte de secrétaire de l’association.Indignée, l’ASFV, qui regroupe une

cinquantaine d’adhérents, s’inscriten faux. « Nous sommes une asso-ciation loi de 1901 totalement apo-litique, assure son président, Pa-trick Cotte. Nos adhérents viennentde tous les horizons politiques etnous agissons dans l’intérêt de tousles Noiséens pour réveiller le fort.Nous avons par ailleurs de trèsbons contacts avec le conseil géné-ral, la Direction régionale aux af-faires culturelles, la Fondation deFrance, la Fédération des fortifica-tions de France. Seule la mairie es-saie de politiser le sujet. »

J.D.

PANTIN

Les habitantsinvités à préparerle budget

ES RÉUNIONS publiquesL de préparation du budgetde la ville qui ont démarrélundi à Pantin se poursuivent.Ce soir, les habitants duquartier Mairie-Ourcq sontinvités à 19 heures au salond’honneur de l’hôtel de ville,45, avenue duGénéral-Leclerc, où ilspourront exprimer leurssouhaits sur les choixd’investissement près de chezeux, en matière d’équipementspublics par exemple. Le maireet les élus présenteront lesgrands projets de la ville sousl’angle financier. Les réunionsreprendront jeudi à 19 heuresdans le quartierEglise-Sept-Arpents, à labibliothèque Elsa-Triolet,104, avenue Jean-Lolive.Samedi, à 11 heures,rendez-vous aux Courtillièresà la maison de quartier. Etmercredi 22 octobre à19 heures dans le quartier duHaut-Petit-Pantin, à l’écoleMéhul, 30, rue Méhul.

BOBIGNY

La rentrée desréunions de quartier

ARLONS franchement,P nouvelle session derencontres entre élus ethabitants démarre cettesemaine à Bobigny. Relancéesdès ce soir à l’espaceMaurice-Nilès, pour lessecteurs de la Ferme, l’Amitié,Normandie et Henri-Barbusse,les rencontres évoluent selonles demandes des habitants :désormais, elles ne seront plusseulement consacrées auxproblématiques du quartier,mais élargies à toutes lesthématiques de l’avenir de laville, telles que les projets derénovation urbaine. Quatorzeréunions sont programmées àpartir d’aujourd’hui et jusqu’au17 décembre, ouvertes à tousles habitants quel que soitleur quartier d’origine.Ce soir à 20 h 30 à l’espaceMaurice-Nilès et demain à20 h 30 à l’école Paul-Eluard.

DRANCY

Tout sur les virusà la médiathèque

AS BESOIN d’être unP grand savant pours’intéresser à la science, etnotamment aux virus, cesêtres vivants microscopiques àl’origine de tant de maladies.« Les virus sont parmi nous »,c’est le thème de laconférence organisée jeudi àla médiathèque, ouverte àtous. Des spécialistes vousferont notamment découvrir lefameux virus H5N1,responsable de la grippeaviaire, et vous révéleront quece sont moins les virus quivivent parmi nous que nousautres qui vivons parmi eux.« Les virus sont parmi nous »,conférence d’Yves Gaudin etStéphane Duquerroy, jeudi à18 heures à la médiathèqueGeorges-Brassens. Entrée libre.

VIVRE ENSEINE-SAINT-DENIS

NOISY-LE-GRAND, OCTOBRE 2008. L'Association de sauvegardedu fort (ici, ses responsables Patrick Cotte et Yveline Meline) réclameson inscription à l’Inventaire des monuments historiques. (LP/J.D.)

24 HEURES

M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8 V

� Pendant plus d’un siècle, le territoire de laSeine-Saint-Denis fut dominé par l’industrieavec des centaines de fabriques où l’on pro-duisait de tout. Durant ces dernières décen-nies, de nombreuses usines ont fermé. Avantque la culture et la mémoire industrielle nedisparaissent complètement, nous avonsvoulu dresser, grâce aux témoignages de ceuxqui y ont travaillé, les portraits de ces usinesdisparues. Aujourd’hui : la Société des tubesde Montreuil qui se trouvait… au Blanc-Mes-nil.

SEVRAN

Odette Nilèsvient raconterla Résistance

DETTE NILÈS sera cetO après-midi à la salle desfêtes de Sevran, pour raconterses années de Résistance.Agée aujourd’hui de 84 ans,celle qui fut l’épouse del’ancien maire communiste deDrancy a vécu les annéessombres de l’occupation alorsqu’elle était une toute jeunefille. En 1941, à 17 ans,Odette Nilès était arrêtée lorsd’une manifestation contrel’occupant allemand. Fichéecomme communiste, elle estconduite au camp deChâteaubriant(Loire-Atlantique) où ellecroise un jeune résistantdevenu célèbre, Guy Môquet.Entre les adolescents naîtraune brève idylle, interrompuepar l’exécution du jeunehomme, qui laissera à sonamie une lettre d’adieu.Organisé par l’Officemunicipal des personnes à laretraite, l’événement doitattirer des classes decollégiens et de lycéens.Cet après-midi à 14 heures à lasalle des fêtes, rue Gabriel-Péri.

STAINS

Alain Schillédédicace sondeuxième roman

E RÉDACTEUR en chefL du journal municipal« Sept Jours à Stains » sera cemidi au Studio Théâtre pour ydédicacer son nouveau livre.Deux ans après la parutiondes « Déchirures de l’ombre »,Alain Schillé a repris laplume. Dans « l’Echappéebelle » (Ed. Thélès), lequadragénaire conte l’histoired’une famille que la justicevoudrait séparer mais qui nese laisse pas faire et conduitune réflexion sur la parentalitéet les droits de l’enfant.Aujourd’hui à midi, au StudioThéâtre de Stains, 19, rueCarnot. Prochaine séance dedédicace le 21 novembre à19 h 30, à la librairie Foliesd’encre de Saint-Denis.

LE BLANC-MESNIL

L’historienDomenach parlede la Chine

E SINOLOGUE Jean-LucL Domenach animera jeudi,dans le cadre des Mercredisde Sciences-po, uneconférence sur le thème « Oùva la Chine ? ». Chercheur auCeri (Centre d’études et derecherches internationales),Jean-Luc Domenach aeffectué de nombreux séjoursen Chine et a créé en 2002 àPékin les Ateliers doctorauxde Beijing, lieu de dialogueentre intellectuels français etchinois.Jeudi à 18 heures dans la sallede réception de l’hôtel de ville.Entrée libre. Rens. à lamédiathèque au 01.48.14.22.06ou en mairie au 01.45.91.70.70.

VIVRE ENSEINE-SAINT-DENIS

� 20 décembre 1901. Naissance de Bene-detto Bardini à Borgo Val di Taro (Italie).� 1er septembre 1923. Naissance de Domi-nique, son fils aîné, dans la même commune.� 1931. Benedetto s’installe en France avec safamille.� 1936. Il achète un atelier rue Louis-Blanc auPré-Saint-Gervais dans lequel il confectionnedes conduits en laiton.

REPERES

Nos usines disparues/Le Blanc-Mesnil

« Nous avons fourni des piècespour 30 millions de cyclomoteurs »DOMINIQUE BARDINI, 85 ans, ancien patron de la STM (Société des tubes de Montreuil)

UAND il parle de sa « cathédrale », sa voixd’éternel jeune homme résonne avec en-Q core plus de clarté. Car Dominique Bar-dini, 85 ans, président de la Société des

tubes de Montreuil (STM), l’aime, cet immenseédifice, qui s’étire sur 200 mètres de long dans lazone d’activités de la Mo-lette, au Blanc-Mesnil.

Depuis 2001, plus au-cun cylindre d’acier n’ensort. Dominique Bardinis’installe pourtant tous lesjours dans son bureau, si-tué face à l’entrée princi-pale de ce colosse debriques et de métal. « Je fe-rai tout pour que ce bâti-ment ne disparaisse pas »,insiste-t-il. La STM aamené ses hommes et sesmachines au Blanc-Mes-nil en 1962 parce que lesite, jusque-là occupé parla compagnie Eiffel, pré-sentait l’immense avan-tage d’être raccordé au ré-seau SNCF.

Dominique Bardini a eul’idée de se lancer dans lamétallurgie lors de sa captivité en Allemagne pen-dant la Seconde Guerre mondiale. « J’ai été éblouipar les usines de tubes en acier dans ce pays », sesouvient-il. Il convainc Benedetto, son père, quiconfectionnait des conduits en laiton au Pré-Saint-Gervais, de se lancer dans cette industrie. Ledébut des années folles pour la famille Bardini.Malgré les difficultés pour obtenir des crédits, laSTM s’installe en 1946 à Montreuil. Avant de

poursuivre son essor auBlanc-Mesnil. « Nousavons fourni des piècespour 30 millions de cyclo-moteurs, précise Domi-nique Bardini. Notre prin-cipal souci consistait àsuivre la croissance denos clients. Il fallait destubes pour presque tout :les voitures, les chaisesdes écoliers, les para-sols… Ce train d’enfer a

fini par nous conduire à effectuer des investisse-ments inconsidérés. »

Sous les élégantes voûtes métalliques, l’activitémonte crescendo jusqu’en 1973. Le choc pétroliervient ébranler la STM qui ne se remettra jamais decette crise. « J’ai passé ma vie ici, note DominiqueBardini. Après la messe du dimanche, on revenait.Le site fonctionnait en permanence, la tempéra-ture des fours ne devant pas baisser. » Une atmo-

sphère familiale imprègne l’établissement qui aemployé jusqu’à 240 personnes. Benedetto, lechef de clan originaire de la région de Parme (Ita-lie), dirige le groupe avec ses trois fils : Dominique,Louis et César. « Les ouvriers travaillaient énormé-ment, se souvient Dominique. Nous avons eu lachance de pouvoir compter sur des gens qualifiéset dévoués. Ils n’ont jamais fait grève. Pas même enMai 68 ! Sans doute parce qu’ils recevaient uneparticipation sur les bénéfices. » Ce pécule les ai-dait à mieux supporter leur dur labeur dans lebruit strident et la chaleur. La structure même del’architecture porte les stigmates de l’assourdis-sante litanie qui se jouait dans ses entrailles. « Lesmurs bougeaient et il fallait régulièrement re-mettre en place les tuiles sur le toit », sourit Domi-nique. Aujourd’hui, lui et son fils Christian gèrentleur patrimoine immobilier. La « cathédrale » sertdésormais d’entrepôt à diverses entreprises. Maisà l’image de Dominique, son dévoué gardien, ellen’a rien perdu de sa noble allure.

Jérôme Bernatas

� 1946. Dominique a l’idée de produire destubes en acier. La Société des tubes de Mon-treuil (STM) s’installe dans une usine flambantneuve rue Paul-Doumer à Montreuil.� 1955. La STM passe en société anonyme.Benedetto la préside, assisté de ses trois fils, Do-minique, Louis et César.� 1962. La STM s’installe ZI de la Molette auBlanc-Mesnil dans l’ancienne usine Eiffel.

� 1973. Année record pour la STM qui vendprès de 66 000 tonnes de tubes en acier. Lechoc pétrolier marque le début de la baisse ine-xorable de la production.� 1984. Décès de Benedetto Bardini.� 2001. Un plan social met fin à l’activité de laSTM qui a cessé de produire à la fin de l’année2000. L’entreprise qui a employé jusqu’à240 salariés n’en comptait plus que 35.

LE BLANC-MESNIL, CET ETE. Dominique Bardini revient encore tousles jours dans son ancienne usine qui sert aujourd’hui d’entrepôt. (LP/J.B.)

De 1946 à la fin de l’an 2000, à Montreuil puis au Blanc-Mesnil, la STM sera spécialisée dans la production de tubes métalliques. (DR.)

BAGNOLET

Boulevard périphérique

PARIS

Porte

des Lilas

Porte de

BagnoletGymnase,

terrain de sport

Nouveau square

Espace glisse,

boulodrome

93

92

CLICHY-LA-GARENNE

ASNIERESLa Seine

SAINT-OUEN

LEVALLOIS-PERRET

PARIS XVIIe

Pont d'Asnières

Cimetière de Levallois-

Perret

Cimetière

des Batignolles

Rue Henri-Barbusse

Bd du Général-Leclerc

Rue

du G

énér

al-R

oget

Bd Jean-Jaurès

Rue de Neuilly

Rue Pierre-Bérégovoy

Rue Henri-Barbusse

Bd du Général-Leclerc

Rue

du G

énér

al-R

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Bd Jean-JaurèsRue M

artre

Rue Martre

Rue de Neuilly

Rue Pierre-Bérégovoy

Quai de Clichy

Quai de Clichy

Bd Bessières

Bd BessièresAv. de de-Clichy

Av. de de-Clichy

Bd

V.-HugoBd

V.-Hugo

D 17

D 16

D 17

D 16

Mairiede Clichy

Mairiede Clichy

Portede Clichy

Bd périphérique

Bd périphérique

Pont de Clichy

Pont de Gennevilliers

M

Ilot Bonnet, enentrée de ville

Secteur du Bac-d'Asnières

Secteur Auboin -

Porte Pouchet

VANESSA GOUGE

Les 4 emplacements prévusLes 4 emplacements prévus

Ilot Morel-

Sanzillon

A COTE DE CHEZ VOUS

VI M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8

C’EST A PARIS

Urbanisme/XXe

Boulodrome et parc de glisseau-dessus du périphérique

L Y AVAIT un fossé, ce sera dé-sormais l’un des plus beauxI points de vue de Paris : entre la

porte de Bagnolet et la porte des Li-las (XXe), la nouvelle couverture dupériphérique vient combler la « vi-laine cicatrice » qui séparait Paris desa banlieue, le long de la rue deNoisy-le-Grand, face aux deux toursdes Mercuriales. Ce soir, une réu-nion publique* convie les habitantsde ce secteur du XXe et deBagnolet àvenir discuter de l’aménagement fu-tur de cette petite dalle de 2 800 m2,créée au-dessus du périphérique.

« Pour les habitants, ce sera unepetite révolution, estime FlorenceDeMassol, adjointe (verte) au maire duXXe chargée des espaces verts. Avantla couverture, le quartier Fougèrestournait le dos au périphérique et seressentait comme exilé dans un cul-de-sac, mal desservi par les trans-ports en commun. La dalle permetnon seulement de le désenclaver,mais surtout de rétablir une jonctionavec Bagnolet. »

Un projet achevé fin 2010

La réunion doit lancer la concerta-tion avec les habitants, même si lesgrandes lignes de l’aménagementsont connues. Les boulodromes del’avenue du Docteur-Gley seront re-logés sur la dalle et agrandis à12 pistes. Un nouvel espace vert seraaménagé côté Bagnolet et un espace

de glisse urbaine (skate, roller…) seraà la disposition des jeunes.

Ce nouveau petit quartier sera ac-cessible depuis la porte des Lilas, oùla couverture du périphérique, beau-coup plus importante, est en voied’aménagement, via une promenadearborée. Enfin une petite passerelledevrait relier directement les actuelssquares Fleury et Léon-Frapié.

L’aménagement de cette petite

dalle, qui coûtera 2 M�, devrait êtreachevé fin 2010. Un peu plus haut,le long de la rue Léon-Frapié, uneautre dalle construite sur le périphé-rique accueillera un terrain de sportpour Paris et la banlieue, un gym-nase et un collège.

Sébastien Ramnoux

* Réunion publique ce soir à partirde 19 heures, école du 8 ruePierre-Foncin (XXe).

Stationnement

Des places de livraisonouvertes aux résidants

AREZ votre voiture sur uneG place de livraison le soir… Etvous ne risquerez bientôt plus riendans deux quartiers des IIIe et XVIIe

arrondissements de Paris. La mairiede Paris compte en effet y créer deuxzones expérimentales où le station-nement résidentiel sur les places delivraison sera autorisé la nuit, lesweek-ends et les jours fériés. « Il s’agitde mieux rentabiliser les places de li-vraison (NDLR : 9 000 dans la capi-tale, soit plus de 5 % des places) quisont souvent vides en dehors desheures d’ouverture des commerces »,explique Annick Lepetit, l’adjointeau maire de Paris en charge destransports.

Cette idée de bon sens, en appa-rence très simple, se révèle pourtantcomplexe à mettre en œuvre.D’abord, parce qu’elle nécessite unaccord entre la mairie de Paris et lapréfecture de police (responsable dela surveillance du stationnement).Ensuite, parce que de nombreux dé-tails techniques — notamment leshoraires « d’ouverture » des places delivraison — restent à régler. « Si les ri-verains doivent se lever à l’aube pourdéplacer leur voiture, ça ne servira àrien. Mais si nous autorisons un sta-tionnement résidentiel trop tardif, cesont les livreurs qui seront péna-lisés », reconnaît-on à la mairie.

Le groupe de travail Ville de Paris-préfecture de police, qui planche surle sujet depuis deux mois, devrait ap-porter les premières réponses à ces

questions après-demain. Les mairesdes deux arrondissements concer-nés sont conviés à une réunion àl’Hôtel de Ville, notamment pour fi-xer le périmètre des quartiers pilotes.

Pas avant décembre

« Ce test devrait s’appliquer dansl’ensemble de mon arrondissement,insiste le maire PS du IIIe, Pierre Ai-denbaum, en revendiquant la pater-nité d’une idée qu’il suggère depuis2005. Pour des questions de lisibi-lité, il faut que l’ensemble des placesde livraison du IIIe, c’est-à-dire 295,soient ouvertes au stationnement ré-sidentiel de 20 heures à 8 heures dumatin. Si on procède par microquar-tiers, les gens n’y comprendrontrien ! »

Brigitte Kuster, maire UMP duXVIIe, est du même avis. Mais recon-naît surtout un besoin criant dansdeux secteurs, les Epinettes et Bati-gnolles, où « il y a un fort déficit deparkings publics ». Après la réunionde jeudi, le projet entrera dans laphase de concertation avec les élus.Il faudra ensuite informer les auto-mobilistes, poser de nouveaux pan-neaux…

Dans le meilleur des cas, « l’ouver-ture » des places de livraison n’aurapas lieu avant décembre. « Encorequelques PV en perspective, d’ici là »,pronostiquait hier un riverain desBatignolles en terminant son cré-neau sur une place... de livraison.

Benoit Hasse

Hauts-de-Seine

Le maire de Clichy-la-Garenneprésente ses tours

E SOIR, le conseil municipalde Cl ichy- la -GarenneC (Hauts-de-Seine) va voter les

orientations de son plan local d’ur-banisme (PLU). Si le projet de docu-ment qui planifie l’urbanisme de lacommune préserve la configurationactuelle du centre-ville haussman-nien, la construction de plusieursimmeubles de grande hauteur estenvisagée en périphérie, sur des ter-rains encore disponibles.

Des tours au nombre de quatre oucinq qui se répartiraient côté Seine,avec une tour en face de la tête dupont d’Asnières et une autre un peuplus loin sur les quais, dans le sec-teur Valiton-Petit, puis une du côtédu centre commercial, près de San-zillon, et deux autres côtés porte deClichy, à l’angle du boulevard Victor-

Hugo et de la rue de Paris, puis aubout de la sortie du périphérique.Ces deux derniers immeubles, édi-fiés dans le prolongement du futurquartier des Batignolles, sont déjàdans les cartons. Le premier s’élèveraà 53 m de hauteur l’autre à seule-ment 32 m. Les autres, côté fleuve,seront beaucoup plus hauts.

« Leur hauteur ne doitpas dépasser 100 m »

« Clichy est à l’étroit sur son terri-toire », explique Jean-Pierre Auffray,premier adjoint PS chargé des fi-nances et farouche défenseur de l’ar-chitecture verticale. « On n’a pasd’autres solutions que de regardervers le ciel si on veut préserver les es-paces verts. Je ne vois pas pourquoila ville se priverait de sa chance depouvoir réaliser des tours qui lui per-mettront d’alimenter son budget etde financer encore plus de dépensessociales. » Plusieurs promoteurs au-raient déjà manifesté leur intérêtpour ces projets, selon l’élu.

Mais tous ne partagent pas cet en-thousiasme. Dans la majorité muni-cipale, les communistes sont hos-tiles à la construction de tours.« C’est une vaste connerie que de re-commencer les mêmes erreurs qu’il

y a trente ans, estime Guy Schmaus,chef de file du PC. On ne peut pasdensifier la ville si on n’a pas prévules équipements publics, les trans-ports en communs et les emplois. Ilfaut créer une cohérence. »

Les Verts sont également opposésau principe des tours. « Mais on estréalistes, explique le conseiller muni-cipal Alain Fournier. La ville a be-soin d’équipements publics et lesrentrées générées par la constructiond’IGH (NDLR : immeubles de grandehauteur) permettront de les financer.Mais nous ne voulons pas que notreville soit saccagée sous prétexte queles tours rapportent de l’argent. Leurhauteur ne doit pas dépasser100 m. »

Dans l’opposition, seul le Mo-Dem est hostile aux tours. « A Clichy,on copie toutes les idées de Delanoë.On a Clichy-Plage, Nuit blanche etbientôt les tours, critique StéphaneCochepain, conseiller municipal. Onsuit la mode. On ne doit pas couriraprès des projets qui ne sont pasbons pour la ville. Ces projets doi-vent faire l’objet d’un référendum oud’un débat public. »

Après le vote de ce soir, une en-quête publique aura lieu d’ici troismois. Mais le contexte économiquepèse sur le débat. Si la crise se durcit,

la ville abandonnera-t-elle ces pro-jets, faute d’investisseurs ? « Nousnous préparons à toutes les hypo-thèses pour les trois prochaines an-nées, répond Catherine Alfarroba,

adjointe chargée de l’urbanisme. Cesont les conjonctures économiqueset sociales qui détermineront la fai-sabilité de ces projets. »

Christine Henry

LES SPORTS

M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8 VII

Lutte, Division 1/Championnats de France par équipes

L’US Métro déclare forfaitTROIS SEMAINES du début des Cham-pionnats de France par équipes de Divi-A sion 1 (1re journée le 1er novembre), l’US

Métro, le club des frères Guénot, médaillés olym-piques à Pékin, a déclaré forfait. Explications.

� L’équipe réserve exclue de la D 3. Malgréson titre de champion de France de Division 3 enjuin dernier, l’équipe réserve de l’US Métro ne s’en-gage pas en Division 2. « Ce n’était pas l’objectif duclub, explique Thierry Bastien, le président. Noussouhaitions rester en D 3 pour des raisons finan-cières et pour une question de convivialité. Mais laFédération nous exclut également de la D 3 alorsque le règlement ne le stipule pas. »

� Une mutation refusée puis acceptée.Une lettre recommandée émanant de la Fédéra-tion française parvient à l’adresse de la salle d’en-traînement au lieu d’arriver chez le président le27 juin dernier. « Une erreur de la Fédé », expliqueBastien. L’objet de cette lettre ? Un lutteur a faitune demande de mutation en faveur de Sarregue-mines. « Mais le nom indiqué ne correspond pas àun lutteur du club », souligne encore Bastien.Après recherche, le lutteur a indiqué le nom deson père, « qui n’était pas le même que le sien »,poursuit le dirigeant. « La Fédération refuse la mu-tation le 1er septembre puis l’accepte le 14. De quise moque-t-on ? »� Les frères Guénot peu enthousiastes.« C’est bien d’avoir des médaillés olympiques,

mais il vaudrait peut-être mieux qu’ils ne se pré-sentent pas aux championnats par équipes, in-dique Thierry Bastien. Ils n’ont rien à y gagner. Etsans doute plus à perdre. » De plus Christophe,après son opération à l’épaule, est toujours enconvalescence.� Une compétition mal organisée. « J’ai l’im-pression que la Fédération compte sur les clubspour faire tourner la D 1, mais sans rien donner enéchange, lâche encore Bastien. La Ville de Parisnous prête le gymnase Louis-Lumière dans le XXe

pour organiser la compétition ou un autre gym-nase dans le XVIIIe. Ce n’est jamais le même. Cen’est pas facile et ça fait vraiment amateur, surtoutquand on a des médaillés olympiques. »

J.-C.D.

Ivry (CFA 2) - Créteil-Lusitanos (N)Palaiseau (DH) - Entente SSG (N)Epinay-sur-Seine (PH) - Paris FC (N)FC Mantois (CFA 2) - Villemomble (CFA)Racing (CFA) - Fleury-Mérogis (DH)Viry (CFA) - Le Blanc-Mesnil (DH)Villejuif (PH) - Noisy-le-Sec (CFA)Meudon (PH) - Red Star (CFA)Montfermeil (Exc.) - Sainte-Geneviève (CFA)Neuilly-sur-Marne (Exc.) - UJA (CFA)Sucy-en-Brie (DSR) - Poissy (CFA 2)Ozoir (PH) - Ararat Issy (CFA 2)Torcy (DHR) - Evry (DH)RSC Montreuil (DSR) - Saint-Ouen-l’Aumône (DH)

FC Aulnay (Exc.) - Orly (DH)Plaisir (1D) - Le Mée (DH)CA Paris (DSR) - Brétigny-sur-Orge (DSR)Saint-Leu PB (DSR) - Antony (DSR)Noisy-le-Grand (PH) - La Garenne-Colombes (DSR)Livry-Gargan (PH) - Melun (DSR)Ezanville-Ecouen (PH) - Le Chesnay (DSR)Roissy-en-Brie (Exc.) - Morangis-Chilly (DSR)LSO Colombes (Exc.) - Les Ulis (DHR)Suresnes (Exc.) - Montigny-le-Bretonneux (PH)Sarcelles (PH) - Lognes (Exc.)Rungis (Exc.) - Villennes-Orgeval (Exc.)Les matchs se joueront samedi ou dimanchesur le terrain du premier club nommé.

LE TIRAGE

Coupe de France (5e tour)

Ivry - Créteil en vedetteES DEUX CLUBS de National, Créteil-Lusi-tanos et le Paris FC, qui font leur entréeL dans la compétition, ont connu des for-

tunes diverses, hier, lors du tirage au sort du 5e tourde la Coupe de France. En difficulté en champion-nat (une seule victoire en 11 rencontres), les Cris-toliens se rendront à Ivry (CFA 2) pour un derbytrès alléchant.« On fait ce métier pour disputer ce genre dematch, glisse Pierre Mbappe, l’entraîneur d’Ivry. Laqualification s’annonce très difficile, mais on va es-sayer de créer la surprise. »De son côté, le Paris FC sedéplacera à Epinay-sur-Seine, promu cette saison en PH. « C’est le tirageau sort idéal pour nous, avoue MustaphaOusfane,le coach spinassien. On a hâte de se confronter àdes joueurs professionnels et c’est avec beaucoupde fierté que l’on défendra nos couleurs. »A noter également la venue de Sainte-Geneviève(CFA) à Montfermeil (Exc.), de l’UJA (CFA) à

Neuilly-sur-Marne (Exc.) et de Noisy-le-Sec (CFA)à Villejuif (PH). Enfin, le Red Star (CFA), passé toutprès de l’élimination (1-5 a.p.) à Sèvres (Exc.) au

tour précédent, tentera de s’éviter des frayeurs àMeudon (PH).

A.D.

Delpech : « Pas d’urgence »

OMMÉ entraîneuravec un contrat d’un anaprès avoir été prête-nom de Pierre MbappeN puis Franck Salingue

lors des quatre dernières saisons,Philippe Delpech connaît des dé-buts délicats sur le banc de Levallois.Comment vivez-vous lasituation ?

� Philippe Delpech. Je m’atten-dais à ce que ce soit compliqué maispas autant. Le plus difficile à vivrepour tout le monde, c’est l’antériorité.Cela fait trois saisons que le clubévolue dans la zone rouge. Je m’ef-force de rester positif mais je ressensune certaine souffrance autour demoi. Dans mon travail, j’insiste beau-coup sur les relations individuellesavec les joueurs. C’est à moi de lesaider à retrouver une certaine séré-nité.Vous avez choisivolontairement de repartiravec un groupe restreint…

J’ai changé de stratégie par rapportaux habitudes de Levallois. Je vou-lais d’abord faire confiance à ungroupe de 18 avant d’établir unconstat après 5-6 journées.Quel est-il ?

Nous avons des manques évidentsdéfensivement et on a encore dessoucis de concentration. C’est pourcela que je vais passer à la deuxièmephase. J’espère engager trois joueurs

expérimentés, deux défenseurs et unattaquant (NDLR : Lassana Doumbya,ex-Red Star et Compiègne, était à l’es-sai).

Cela faisait quatre ans quevous n’aviez plus dirigé uneéquipe. Vous posez-vous desquestions ?

Forcément. Un entraîneur, quel que

soit le niveau, doit toujours se re-mettre en question et rester en alerte.Si on était baladés pendant 90 mi-nutes, on pourrait m’interroger sur laqualité du groupe et les méthodes del’entraîneur. Ce n’est pas le cas. Onn’a jamais pris de leçon de football.Même quand vous êteséliminés 3-0 à Melun encoupe ou que vous êtes

menés 3-0 à la mi-temps faceà Avion ?

La réaction de l’équipe samedi(NDLR : qui est revenue à 2-3 et a ratéun penalty) montre qu’elle n’a pas en-vie de lâcher et de me lâcher. Tout lemonde est concerné et veut avancerensemble. Il n’y a pas encore d’ur-gence.Vous sentez-vous menacé ?

Bien sûr. Je suis un entraîneur qui n’aencore rien prouvé et qui a une obli-gation de résultats. Ce qui m’im-porte, c’est que mon groupe adhère.Si ce n’était plus le cas, je saurais entirer moi-même les conclusions.Que répondez-vous à ceux quidisent qu’après avoir réclamél’équipe vous vous retrouvezen difficulté ?

Pendant quatre ans, j’ai été loyal avecles entraîneurs en place. Après, je neme fais plus d’illusion sur le mondedu foot. Je ne peux pas empêcher lesgens de parler. Mais j’avance et je tra-vaille sans écouter les rumeurs.

Propos recueillis par

Laurent Pruneta

� Les dirigeants du Paris FC (N)seront reçus aujourd’hui (15 heures)à la FFF pour examiner leur appel dumatch à rejouer face à Istres (5e jour-née). L’instance fédérale avait validé,puis annulé la qualification du Sué-dois Amoah, double buteur ce soir-là (2-0).

FOOTBALL, CFA 2/LEVALLOIS. Battu (2-3) samedi face à Avion,Levallois, qui s’était sauvé lors de l’ultime journée la saison passée,occupe l’avant-dernière place du groupe B avec une seule victoire.

EN BREF

� HandballCédric Sorhaindo (Paris), FabriceGuilbert (Ivry) et Sébastien Ostertag(Tremblay) font partie de la liste des16 joueurs communiquée hier parClaude Onesta en vue des premiersmatchs qualificatifs pour l’Euro2010 en Autriche. Réunis du 27 oc-tobre au 3 novembre, les Bleus af-frontent le Luxembourg le 30 oc-tobre à Luxembourg et laRépublique tchèque le 2 novembreà Brno.

� SquashCamille Serme (Créteil, no 49mondiale) s’est inclinée (3-0) hierdevant Annie Au (no 28, Hong-kong) lors du dernier tour du ta-bleau de qualification des Cham-pionnats du monde à Manchester(Angleterre).

� Water-poloNoisy-le-Sec (Elite), sans sonéquipe complète (un blessé et unétranger en instance de validationde sa licence), a chuté lourdement àNice (17-5) ce week-end, lors de la1re journée. Les marqueurs : Szabo (3),Davron (1), Egedi (1).

Tennis de table, Pro ALevallois diminué

LEVALLOIS (2e) - ISTRES (7e), ce soir(20 heures), palais des sports Péri.Levallois : Eloi (no 3 National), Karlsson(no 5), Chila (no 7), Jakab (no 23). Entr. :Loyant.

PRÈS AVOIR partagé les pointsA avec Caen lors de la dernièrejournée, Levallois espère profiter dela venue d’Istres, et de ses ex-Leval-loisiens Legoût et Hakansson, pour« repartir sur une bonne dyna-mique ». « Si on veut jouer les pre-miers rôles, on ne doit plus laisser depoints, explique Lenaïck Loyant.C’est un match important, maisaussi dangereux. » Dangereux car siLevallois, qui dispute la Ligue deschampions dans quatre jours, récu-père Damien Eloi (épaule et dent desagesse), il pourrait être privé de Ja-kab (épaule).

Saint-Denis décidé

SAINT-DENIS (9e) - ARGENTAN (10e), cesoir (19 h 30), salle la Raquette.Saint-Denis : Mirault (no 38), Lebesson(no 43), Cihak (no 53), Filimon (no 47). Entr. :Michelotto.� Saint-Denis, emmené par un Em-manuel Lebesson de retour duChampionnat d’Europe où il a brilléen bleu (victoire sur l’Allemand Ovt-charov, no 14 mondial), accueille Ar-gentan avec qui il partage la dernièreplace. « Si on veut avoir une chancede survivre en Pro A, il faut obtenirau minimum un nul », annonce De-nis Michelotto.� En Pro B, Issy et la VGA Saint-Maur (4e ex æquo) se déplacent res-pectivement à Metz (4e ex aequo) etTours (10e) à l’occasion de la 4e jour-née.

PRO A (F)

Le Kremlin dans l’inconnu

US KREMLIN-BICETRE (4e) - GRAND-QUE-VILLY (8e), ce soir (19 h 30), salle PurkartUSKB : Yang (no 8), Plaisant (no 33), Parker(no 40). Entr. : Coubat.� Toujours privé de Carole Grun-disch, Le Kremlin accueille Grand-Quevilly avec comme objectif « lavictoire ou, au pire, un nul », prévientGeoffroy Purkart qui cédera, excep-tionnellement, sa place ce soir à Em-manuelle Coubat.

J.L.

� En Pro B (F), Fontenay-sous-Bois (6e ex æquo) se rend chez le lea-der Marmande.

Philippe Delpech admet qu’il a encore tout à prouver à la tête d’uneéquipe de Levallois en grande difficulté en championnat.(LP/CEDRIC LECOCQ.)

LES SPORTS

VIII M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8

Football, DHR (groupe A)/Villepinte - L’Haÿ-les-Roses 3-3

Un match à rebondissementsVILLEPINTE - L’HAY-LES-ROSES : 3-3(0-2). Spectateurs : 120. Arbitre : M. Bil-lault.

Buts. Villepinte : Garry (47e), Doucouré(57e, 83e) ; L’Haÿ : Sebai (9e), Sainte-Claire(43e), Toanen (90e + 4).

Avertissements. Villepinte : Traoré (45e),Aarab (61e), Doucouré (83e), Niagatey (90e

+ 2) ; L’Haÿ : Budoc (77e).

Expulsion. L’Haÿ : Barraud (46e).

Villepinte : Casier - Budoc, Traoré, Mas-sengo, Tirera (Garry, 46e) - Doucouré,NZomba (Niagatey, 71e), Legros (Lam, 78e),Aarab - Dutruge, Mokpissoko. Entr. : Mas-sengo.

L’Haÿ : Franceschi - Danquin, Bokufa, Bar-raud, Ndoye - Sebai, Keita Melia (Esteve,65e), Bouffier (Toanen, 61e), Farouky,Sainte-Claire - Karemba (Gohin, 73e). Entr. :Guillemahd.

E MATCH des extrêmes a étériche en retournements de si-L tuation. Alors que la lanterne

rouge Villepinte était menée 2-0 à lapause par le leader, le match achangé de physionomie en secondepériode. Dès la 46e minute, unemain dans la surface offre un penaltyà Villepinte et oblige L’Haÿ-les-Roses à finir le match à dix. Une foisla réduction du score acquise, Ville-pinte a poussé vers l’avant pour me-ner 3-2 grâce à un doublé de Dou-

couré, avant de se faire rejoindredans les dernières secondes sur unefrappe de Toanen.Auguste-Bernard Massengo, l’entraî-neur-joueur est quelque peu « déçude passer à côté d’une victoire » maisaurait « signé pour un nul à la mi-temps ». Si le coach de Villepinte arechaussé les crampons, c’est pourcompenser le manque d’expériencede son équipe, dont « plus de la moi-tié a moins de 23 ans ». S’il reconnaîtaisément que « le chemin est encorelong », il compte bien s’appuyer sur« les choses positives » comme l’ab-négation dont ses joueurs ont faitpreuve. « Il y a quelque temps, on au-rait perdu ce match, assure Mas-sengo. C’est encourageant. » Carmême si Villepinte sait qu’il nepourra pas monter en fin de saisonpour raison administrative (nombred’arbitres insuffisant), son coach etdéfenseur central espère encore « ac-crocher le podium, pour l’honneur ».

Baptiste Tharreau

Promotion d’Honneur

Saint-Denis se détacheONNE opération pour la ré-B serve de Saint-Denis (groupe B)

qui s’est imposée face à Aubervilliers(3-1) après avoir été menée (0-1)jusqu’à la 50e minute.

« Tout s’est déclenché en un quartd’heure », se félicite Ahmed Zeggagh,l’entraîneur dionysien dont la forma-tion prend seule la tête du groupe.

Noisy-le-Grand (groupe C) confirmesa bonne entame de championnataprès une fin de match performanteface à Pontault (4-2).

Quant à Livry-Gargan (groupe D),vainqueur de la Colombienne (0-1),il reste toujours en attente de son ap-pel (Livry a perdu 4 points sur tapisvert lors de la 1re journée face à Epi-nay).

J.-C.D.

GROUPE A

MONTROUGE - VILLEMOMBLE (b) : 1-0 (0-0).But. Trummer (60e s.p.).

Expulsions. Montrouge : Mzé (75e) ; Ville-momble : Goma (75e).

GROUPE B

SAINT-DENIS (b) - AUBERVILLIERS (b) : 3-1(0-1).Buts. Saint-Denis : Signou (50e, 60e), Courtois(55e s.p.) ; Aubervilliers : Lahocine (20e).BONDY - SARCELLES : 1-0 (0-0).But. Pakombe (80e).

GROUPE C

NOISY-LE-GRAND - PONTAULT-COMBAULT :4-2 (1-0).Buts. Noisy-le-Grand : Chaloncango (44e),Anjhadi (46e, 90e), Gameiro (75e) ; Pontault-Combault : Dupuis (55e), Philippeau (65e).OZOIR-LA-FERRIERE - DRANCY (b) : 1-2 (0-2).Buts. Ozoir-la-Ferrière : Traoré (60e) ;Drancy : Chaboune (30e), Coulibaly (35e).

GROUPE D

LA COLOMBIENNE (b) - LIVRY-GARGAN : 0-1(0-1).But. Medhaoui (39e).Expulsion. La Colombienne : Sadek (80e).EPINAY - ERMONT-TAVERNY : 2-2 (1-0).Buts. Epinay : Ebobo (7e c.s.c.), Diarra (85e) ;Ermont-Taverny : Traoré (65e), Coet (84e).

Excellence

Montreuil toujoursd’attaque

ONTREUIL a réalisé le cartonM de cette 4e journée en s’impo-sant (6-2) face à Rosny-sous-Boisaprès avoir été mené dès la 5e mi-nute. Le leader confirme ainsi sonstatut de meilleure attaque du cham-pionnat. « J’ai bien aimé la grosseréaction des joueurs, souligne lecoach montreuillois, Karim Added.Ils n’ont jamais cessé d’aller del’avant. » Montfermeil reste à égalitéau classement grâce à sa courte vic-toire (1-0) face à l’EspéranceParis XIXe. « Nous sommes tombésface à une équipe accrocheuse maisnous avons assuré l’essentiel », se fé-licite Mohamed Bamba, l’entraîneurde Montfermeil.Le derby entre Gagny et Neuilly-sur-Marne s’est soldé par un match nulqui permet aux deux équipes de res-ter au contact de la tête. Sevran,après avoir concédé trois défaites enautant de journées, a stoppé la spi-rale négative en accrochant le nul

(1-1) face à l’étonnant promu Soli-taires, toujours invaincu.

B.T.

RSC MONTREUIL (b) - ROSNY-SOUS-BOIS : 6-2 (2-1).Buts. Montreuil : Cramer (15e, 20e), Bong(55e), Toussaint (65e), Zazi (70e), Kébé(85e) ; Rosny : Manoni (5e), Arabi (65e).

FC AULNAY - LE BOURGET : 1-2 (1-0).Buts. Aulnay : Savic (37e) ; Le Bourget :Benkir (60e), Diop (75e).

MONTFERMEIL - ESPERANCE PARIS XIXe :1-0 (0-0).But. Zaga (60e).

SOLITAIRES - SEVRAN : 1-1 (1-0).Buts. Solitaires : Bassamba (40e) ; Sevran :Mbizi (48e).

COSMOS SAINT-DENIS - VILLEPINTE (b) :1-1 (0-1).Buts. Cosmos : Mbanza (49e) ; Villepinte :Abdella (43e).

GAGNY - NEUILLY-SUR-MARNE : 0-0(0-0).

DSR (GROUPE B)

Montreuil inarrêtableTREMBLAY - MONTREUIL : 1-3 (0-2).Buts. Tremblay : Lamamiri (70e) ; Mon-treuil : Boussora (8e), Matomina (30e), La-comat (89e).� Tremblay n’a pas réussi à fairechuter Montreuil, qui conserve soninvincibilité (3 succès, 1 nul). « Çaa été difficile quand même, sou-ligne Hamidou Mamadou. Maison a su marquer quand il le fal-lait. » « On mérite le nul, assureAfid Djadaoui, mais on ne peutpas gagner en ne jouant qu’unemi-temps. »

Bobigny pas récompenséBOBIGNY - CONFLANS : 0-1 (0-0).But. N.C. (c.s.c.)

� Bobigny pensait avoir fait le plusdur. Mais un but contre leur camp(89e) a prolongé la mauvaise série(4 revers de rang) des joueurs deJacky Degroise.

« On avait fait un match pleinjusque-là, regrette le coach, lesjoueurs ne sont pas récompensés.La chance ne tourne toujours pasen notre faveur. C’est dommagecar ça apporte de l’eau au moulinde tous les détracteurs… »

DHR (GROUPE A)

Le Red Stareuphorique

RED STAR (b) - NOISIEL : 6-2 (3-1).

Buts. Red Star : Bondon (8e, 15e, 60e), Ak-klouche (38e), Ndiaye (85e s.p.), Djeraldi

(90e + 2) ; Noisiel : Vongsanonh (24e),Conratte (80e).

� Festival offensif du Red Star quiremporte sa première victoire de lasaison. Le jeune Gaëtan Bondons’est illustré en marquant par troisfois. « On a fait un matchcomplet », se réjouit David Guiget.

GROUPE B

Noisy et Aulnaydos à dos

NOISY-LE-SEC (b) - CSL AULNAY : 1-1(1-0).Buts. Noisy-le-Sec : Mamadi (25e) ; CSLAulnay : Chebab (60e).

� L’Aulnaysien Chebab, d’unefrappe dans un angle fermé (1-1,60e), a répondu à l’ouverture duscore noiséenne signée Mamadi

sur un tir aux 18 m (1-0, 25e). « Lenul est équitable », indique l’entraî-neur du CSL Aulnay, Dany Akson.« C’était un grand match de DHR »,selon le coach noiséen, MohamedDjouadi.

Les Lilas maîtrisent

LES LILAS - VINCENNES : 2-0 (1-0).Buts. Sylla (30e), Destrait (70e).

� Les Lilas ont remporté leur deu-xième succès de suite grâce à deuxréalisations de Sylla et Destrait.« Je suis satisfait de la manière parrapport à tout ce que j’essaie demettre en place, se réjouit MouradDagnoun. On a eu une grosse maî-trise du ballon face à un adversairetrès athlétique. Les gars ont eu unegrande envie d’aller de l’avant, letravail porte ses fruits. »

LES AUTRES MATCHS

LE POINT

DSR

Groupe B. La Garenne-Colombes -Neauphle : 1-1 ; Tremblay - RSC Montreuil :1-3 ; Bobigny - Conflans : 0-1 ; Le Chesnay -Franconville : 1-1 ; Saint-Leu - ACBB : 1-1 ;FC Mantois (b) - Levallois (b) : 3-1.Le classement. 1. RSC Montreuil, 14 pts ; 2.Franconville, Le Chesnay, Conflans, 12 ; 5.Neauphle, 11 ; 6. Levallois (b), 10 ; 7. FC Man-tois (b), ACBB, 9 ; 9. La Garenne-Colombes,7 ; 10. Tremblay, 6 ; 11. Saint-Leu, 5 ; 12. Bobi-gny, 4.Les buteurs. 2 buts : Saydou, Massengo(Montreuil), Traore (Tremblay).

DHR

Groupe A. Red Star (b) - Noisiel : 6-2 ;Torcy - Versailles : 1-0 ; Villepinte - L’Haÿ :3-3 ; Choisy (b) - Dammarie : 1-0 ; Ville d’Evry- Igny : 2-2 ; Les Ulis - Saint-Michel : 2-1.Le classement. 1. Igny, L’Haÿ, 12 pts ; 3.Torcy, 10 ; 4. Red Star (b), Dammarie, 9 ; 6.Ville d’Evry (- 1 match), Les Ulis (- 1), Choisy(b), 8 ; 9. Noisiel, 6 ; 10. Saint-Michel (- 2), 5 ;11. Villepinte (- 1), Versailles (- 1).Groupe B. Noisy-le-Sec (b) - CSLAulnay : 1-1 ; Créteil-Lusitanos (c) - Colom-bienne : 2-2 ; Les Lilas (b) - Vincennes : 2-0 ;Paris SG (c) - Porcheville : 1-2 ; Gobelins -Garges : 2-1 ; Evry (b) - Portugais. Goussain-ville : 2-0.Le classement. 1. Gobelins, 14 pts ; 2.Les Lilas (b), 13 ; 3. Noisy-le-Sec (b), 12 ; 4.CSL Aulnay, Paris SG (c), 11 ; 6. Evry (b), 10 ;7. Garges, Colombienne, 9 ; 9. Porcheville,Vincennes, 7 ; 11. Portugais Goussainville, 6 ;12. Créteil-Lusitanos (c), 5.Les buteurs. 4 buts : Chebab (Aulnay), SidAli (Noisy).

PH

Groupe A. Dammarie (b) - Montereau :5-1 ; Bagneaux-Nemours - Clamart : 2-4 ; Li-nas-Montlhéry - Montgeron : 1-2 ; Mon-trouge - Villemomble (b) : 1-0 ; Draveil -Maccabi Paris : 0-3;: Malakoff - UJA (b) : 0-5.Le classement. 1. UJA (b), 16 pts ; 2. Monte-reau, 13 ; 3. Montgeron, 12 ; 4. Maccabi Paris,11 ; 5. Linas-Montlhéry (- 1), Clamart, 9 ; 7.Dammarie (b), Montrouge, 8 ; 9. Ville-momble (b), Malakoff, 7 ; 11. Bagneaux-Ne-mours (-1), 6 ; 12. Draveil, 5.Groupe B. Lagny - Puteaux : 2-0 ; Bondy- Sarcelles : 1-0 ; Claye-Souilly - Saint-Brice :0-1 ; Ezanville-Ecouen - Meaux (b) : 3-0 ; JSCNanterre - Saint-Leu (b) : 2-1 ; Saint-Denis(b) - Aubervilliers (b) : 3-1.Le classement. 1. Saint-Denis (b), 14 pts ; 2.Lagny, 13 ; 3. Ezanville-Ecouen, Claye-Souilly,Sarcelles, 11 ; 6. Meaux (b), Bondy, JSC Nan-terre, 10 ; 9. Aubervilliers (b), Saint-Brice, 8 ;11. Puteaux, 6 ; 12. Saint-Leu (b), 4.Groupe C. Villejuif - Morangis-Chilly (b) :2-1 ; Melun (b) - Le Perreux : 1-0 ; Le Mée (b)- Moissy (b) : 0-3 ; Noisy-le-Grand - Pontault-Combault : 4-2 ; Ozoir - JA Drancy (b) : 1-2 ;Viry (b) - Savigny : 4-1.Le classement. 1. Moissy (b), Noisy-le-Grand, 14 pts ; 3. Melun (b), 13 ; 4. Viry (b), JADrancy (b), 12 ; 6. Villejuif, 11 ; 7. Savigny, 9 ;8. Ozoir, Le Mée (b), Morangis-Chilly (b), 7 ;11. Pontault-Combault, Le Perreux.Groupe D. Cellois - Saint-Cloud : 2-3 ;Epinay-sur-Seine - Cosmo Ermont-Taverny :2-2 ; Colombienne (b) - Livry-Gargan : 0-1 ;Osny - Meudon : 1-2 ; Paris SG (d) - Monti-gny-le-Bretonneux : 1-0 ; Entente SSG (c) -Chanteloup : 1-1.Le classement. 1. Montigny-le-Bretonneux,Saint-Cloud, 13 pts ; 3. Livry-Gargan, Meu-don, 12 ; 5. Osny, Epinay-sur-Seine, Chante-loup, 11 ; 8. Entente SSG (c), Paris SG (d), 9 ;10. Cosmo Ermont-Taverny, 5 ; 11. Cellois,Colombienne (b), 4.Les buteurs. 3 buts : Traore (Livry), Diarra(Epinay), Signou (Saint-Denis).

EXCELLENCE

Le classement. 1. RSC Montreuil (b), Mont-fermeil, 13 pts ; 3. Aulnay, Neuilly-sur-Marne,Solitaires, 10 ; 6. Gagny, Rosny, Cosmos, 9 ;9. Esp. Paris XIXe, Le Bourget, Villepinte (b),8 ; 12. Sevran, 5.Les buteurs. 3 buts : Savic (Aulnay) ; Ma-boulou (Montfermeil) ; Arabi (Rosny) ; Diop(Le Bourget) ; Cramer, Toussaint, Bong(Montreuil).

VILLEPINTE, DIMANCHE.L’attaquant de Villepinte

Mokpissoko (à g.) aux prisesavec Ndoye : l’image d’une

équipe descendue de DSR qui,après deux défaites en deux

matchs, a réussi à tenir tête auleader. (LP/GAEL CORNIER.)

LES ANNONCES JUDICIAIRES ET LÉGALES 93« Le Parisien » est officiellement habilité pour l’année 2008 pour la publication des annonces judiciaires et légales dans les départements 60, 75, 77, 78, 91, 92, 93, 94 et 95, par arrêté de chaque préfet concerné.

<J3><O>0000886157</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000124541<M>6 -2007J01109</M><R>2005A01078</R></J3>

Affaire: MASSOUDI Catherine. Adresse: 89

RUE De la fosse aux bergers 93250 VILLE-

MOMBLE. Activité: Commerce de détail

de journaux et papeterie en magasin spécia-

lisé. N° de Registre du Commerce:

405270059 / N° de Gestion: 2005 A 01078.

Jugement du tribunal de commerce de Bobi-

gny en date du 24 septembre 2008, arrê-

tant le plan de redressement, désigne Mme

Catherine MASSOUDI comme tenu

d'exécuter le plan, durée du plan 10 ans,

nomme commissaire à l'exécution du plan

Me Bleriot Philippe 26 Chemin de la Made-

leine 93000 Bobigny, maintient manda-

taire judiciaire Me Bertrand Jeanne 2 TER

Rue de Lorraine 93011 BOBIGNY

CEDEX, maintient administrateur Me

Philippe Bleriot 26 Che de la Madeleine

93000 BOBIGNY motifs du maintien: pour

la mise en oeuvre du plan pendant une durée

de un mois, nom du juge commissaire: M.

Leroy A.

<J3><O>0000886146</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000124541<M>2 -2008J01099</M><R>2006B04413</R></J3>

Affaire: SOCIETE ACTIVITES SPECIALISEES

PETROLIERES. Adresse: 1 RUE ALFRED

DE MUSSET 93600 AULNAY SOUS BOIS.

Activité: Autres travaux spécialisés de

construction. N° de Registre du Commerce:

491331625 / N° de Gestion: 2006 B 04413.


gny prononce en date du 25 septembre

2008, la liquidation judiciaire sous le numéro

2008J01099, date de cessation des

paiements le 1 juillet 2008, désigne: juge

commissaire M. Labonne R., juge commis-

saire suppléant M. Charles G., liquidateur

SCP Moyrand - Bally en la personne de

Maître Pascal Bally 14/16 Rue de Lorraine

93000 Bobigny, les déclarations de

créances sont à déposer au liquidateur dans

les deux mois de la publication au Bodacc

Le liquidateur devra déposer la liste des

créances dans les 15 mois à compter de

la publication au Bodacc du jugement d'ou-

verture.


Affaire: L'APPLICATION GESCOM. Adresse:

4 RUE ANATOLE FRANCE 93700

DRANCY. Activité: Conseil pour les affaires

et autres conseils de gestion. N° de Registre

du Commerce: 484431788 / N° de

Gestion: 2005 B 05337.





paiements le 25 mars 2007, désigne: juge

commissaire M. Saffre J-P, juge commis-

saire suppléant M. Demenois B., liquida-

teur SCP Moyrand - Bally en la personne

de Maître Jacques Moyrand 14/16 Rue de

Lorraine 93000 Bobigny, les déclarations

de créances sont à déposer au liquidateur

dans les deux mois de la publication au

Bodacc Le liquidateur devra déposer la

liste des créances dans les 15 mois à comp-

ter de la publication au Bodacc du juge-

ment d'ouverture.


Affaire: CMB STAR. Adresse: 2-6 AVE

HENRI BARBUSSE 2EM ETAGE BUREAU

208 93000 BOBIGNY. Activité: Construc-

tion de maisons individuelles. N° de

Registre du Commerce: 492081377 / N°

de Gestion: 2006 B 05351.






commissaire M. De Fournoux La Chaze

C., juge commissaire suppléant M. Jober-

ton M., liquidateur SCP Moyrand - Bally

en la personne de Maître Pascal Bally 14/16

Rue de Lorraine 93000 Bobigny, les décla-

rations de créances sont à déposer au liqui-

dateur dans les deux mois de la publication

au Bodacc Le liquidateur devra déposer

la liste des créances dans les 15 mois à

compter de la publication au Bodacc du

jugement d'ouverture.


Affaire: OGU BAT. Adresse: 60 RUE

VOLTAIRE 93100 MONTREUIL. Activité:

Travaux de maçonnerie générale et gros

oeuvre de bâtiment. N° de Registre du

Commerce: 484314844 / N° de Gestion:

2005 B 04993.





paiements le 18 juin 2008, désigne: juge

commissaire M. Perreau-Pradier J-P, juge

commissaire suppléant M. Capuano M.,

liquidateur SCP Moyrand - Bally en la

personne de Maître Jacques Moyrand 14/16









Affaire: G. T. P. PEINTURE. Adresse: 65

AVE DE LA REPUBLIQUE 93300

AUBERVILLIERS. Activité: COMM GROS

DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION ET

APPAREILS SANITAIRES. N° de Registre


Gestion: 2004 B 02635.






commissaire M. Demenois B., juge

commissaire suppléant M. Saffre J-P, liqui-

dateur SCP Moyrand - Bally en la

personne de Maître Pascal Bally 14/16 Rue

de Lorraine 93000 Bobigny, les déclara-

tions de créances sont à déposer au liqui-







Affaire: THEO. Adresse: 14 RUE LESAULT

93500 PANTIN. Activité: Travaux d'instal-

lation d'eau et de gaz en tous locaux. N°

de Registre du Commerce: 438579617 /

N° de Gestion: 2001 B 03024.






commissaire M. Perreau-Pradier J-P, juge

commissaire suppléant M. Capuano M.,

liquidateur SCP Moyrand - Bally en la










Affaire: AMC. Adresse: 31 RUE De Paris

93380 PIERREFITTE SUR SEINE. Activité:

COMMERCE D'ALIMENTATION GENE-

RALE. N° de Registre du Commerce:

481779395 / N° de Gestion: 2005 B 02191.





paiements le 15 août 2007, désigne: juge

commissaire M. Capuano M., juge commis-

saire suppléant M. Perreau-Pradier J-P, liqui-


personne de Maître Jacques Moyrand 14/16









Affaire: PCIMMO. Adresse: 131/135 AV

ARISTIDE BRIAND 93320 LES PAVILLONS

SOUS BOIS. Activité: Agences immobilières.

N° de Registre du Commerce: 435058482

/ N° de Gestion: 2001 B 01467.





paiements le 24 avril 2008, désigne: juge

commissaire M. Joberton M., juge commis-

saire suppléant M. De Fournoux La

Chaze C., liquidateur SCP Moyrand - Bally

en la personne de Maître Jacques Moyrand

14/16 Rue de Lorraine 93000 Bobigny,

les déclarations de créances sont à

déposer au liquidateur dans les deux mois

de la publication au Bodacc Le liquida-

teur devra déposer la liste des créances

dans les 15 mois à compter de la publi-

cation au Bodacc du jugement d'ouver-

ture.


Affaire: CARNAUTO. Adresse: 33 AVE

CARNOT 93360 NEUILLY PLAISANCE.

Activité: Commerce de détail d'équipements

automobiles. N° de Registre du Commerce:

442966966 / N° de Gestion: 2002 B 03116.





paiements le 31 décembre 2007, désigne:

juge commissaire M. Seror J-P, juge commis-

saire suppléant M. Schiltz P., liquidateur


Maître Jacques Moyrand 14/16 Rue de







ment d'ouverture.


Affaire: DAN COSMETIC. Adresse: 61/63

RUE DE LA HAIE COQ 93300 AUBER-

VILLIERS. Activité: Comm. de gros (comm.

interentreprises) de parfumerie et de

produits de beauté. N° de Registre du


1994 B 04237.






commissaire M. Schiltz P., juge commis-

saire suppléant M. Seror J-P, liquidateur


Maître Pascal Bally 14/16 Rue de Lorraine







verture.


Affaire: HAMIAZ KARIM. Adresse: 24 RUE

HENRI BARBUSSE 93300 AUBERVIL-

LIERS. Activité: RESTAURATION DE TYPE

TRADITIONNEL. N° de Registre du


2000 A 00083.

Jugement du tribunal de commerce de

Bobigny sous le N° de PC 2008J01105

prononce en date du 22 septembre 2008

la résolution du plan de redressement et

la liquidation judiciaire, date de cessation

des paiements le 9 juin 2008 et a dési-

gné Juge Commissaire M. Seror J-P, Juge

Commissaire suppléant M. Terseur J. P.,

Liquidateur Me Jeanne Bertrand 2 TER Rue

de Lorraine 93011 Bobigny Cedex. Les

déclarations de créances sont à déposer

au liquidateur dans le délai de deux mois

à compter de la publication au Bodacc.




verture.


Affaire: EURO SECURITE PROTEG.

Adresse: 21 ET 23 AVE MARCEL

DASSAULT 93370 MONTFERMEIL. Acti-

vité: Activités de sécurité privée. N° de







paiements le 3 janvier 2007, désigne: juge

commissaire M. Seror J-P, juge commis-

saire suppléant M. Maincent F., liquidateur


Maître Jacques Moyrand 14/16 Rue de







ment d'ouverture.


Affaire: TECTUR SANIBLOC. Adresse: 15

RUE Du ballon Zi des Richardets NOISY

LE GRAND 93160 NOISY LE GRAND. Acti-

vité: Commerce de gros (commerce inter-

entreprises) d'autres biens domestiques.


/ N° de Gestion: 2000 B 01515.


Bobigny en date du 24 septembre 2008

a prononcé la liquidation judiciaire sous le

numéro 2008J00051 désigne liquidateur

Me Marie Danguy 2 Bis Rue de Lorraine

93000 BOBIGNY, juge commissaire M.

Charles G., juge commissaire suppléant

M. Demenois B., maintient administrateur,

Me Houplain Bernard 46 Promenade Jean

Rostang 93011 Bobigny Cedex.


Affaire: GEBELEC. Adresse: 24 RUE

PESCAROLO 93370 MONTFERMEIL. Acti-

vité: TRAVAUX D'INSTALLATION ELEC-

TRIQUE. N° de Registre du Commerce:

433352630 / N° de Gestion: 2000 B 04033.


gny en date du 23 septembre 2008,

prononce la clôture de la procédure pour

insuffisance d'actif, nom du juge commis-

saire: M. De Fournoux La Chaze C., nom

du liquidateur: Me Jeanne Bertrand.

Radiation d'office art. R. 123-129 1° du

code de commerce en date du 23

septembre 2008.


Affaire: LAPLAIZE - L'ERMITAGE. Adresse:

30/32 RUE DE VILLIERS 93100

MONTREUIL. Activité: Entretien et répa-

ration de véhicules automobiles légers. N°


N° de Gestion: 2000 B 01869.





paiements le 19 juin 2007, désigne: juge

commissaire M. Labonne R., juge commis-

saire suppléant M. Poydenot D., liquida-

teur Me Danguy Marie 2 Bis Rue de Lorraine







verture.


Affaire: RINA PRESTIGE. Adresse: 22 RUE

QUETIGNY 93800 EPINAY SUR SEINE.

Activité: Charcuterie. N° de Registre du


2007 B 07661.





paiements le 29 novembre 2007, désigne:

juge commissaire M. Capuano M., juge

commissaire suppléant M. Perreau-Pradier

J-P, liquidateur SCP Moyrand - Bally en

la personne de Maître Pascal Bally 14/16









Affaire: YOLOU ELEC. Adresse: 65 AVE

DE LA REPUBLIQUE 93300 AUBER-

VILLIERS. Activité: Travaux d'installation élec-

trique dans tous locaux. N° de Registre


Gestion: 2004 B 04485.





paiements le 4 février 2008, désigne: juge



dateur Me Giffard Frédéric 54 Rue René

Camier 93011 Bobigny Cedex, les décla-








Affaire: SOCIETE DE FOURNITURES ET

ACCESSOIRES CHAUFFAGE SOFAC.

Adresse: 1 BIS RUE ALEXANDRE DUMAS

93300 AUBERVILLIERS. Activ i té:

COMMERCE DE GROS DE FOURNITURES

POUR PLOMBERIE ET CHAUFFAGE. N°


N° de Gestion: 1988 B 00545.





saire: M. Palatin, nom du liquidateur: Me

Jeanne Bertrand. Radiation d'office art. R.

123-129 1° du code de commerce en date

du 22 septembre 2008.


Affaire: TECTUR SANIBLOC. Adresse: 15

RUE Du ballon Zi des Richardets NOISY

LE GRAND 93160 NOISY LE GRAND. Acti-

vité: Commerce de gros (commerce inter-

entreprises) d'autres biens domestiques.


/ N° de Gestion: 2000 B 01515.


gny en date du 24 septembre 2008 arrête

le plan de cession au profit de: Monsieur

Hervé MONTEMBAULT 9 rue des Mésanges

77170 BRIE COMTE ROBERT (qui se

réserve le droit de se substituer toutes

personnes physiques ou morales dans la

réalisation de la reprise).


Affaire: TEI. Adresse: 51B RUE DU CDT

ROLLAND ACTIPOLE 93350 LE BOUR-

GET. Activité: ORGANISATION DES

TRANSPORTS INTERNATIONAUX. N°


N° de Gestion: 1997 B 00772.





saire: M. De Boysson G., nom du liquidateur:


Maître Jacques Moyrand. Radiation d'of-

fice art. R. 123-129 1° du code de

commerce en date du 23 septembre 2008.


Affaire: CUNHA MANUEL PAUL YVES.

Adresse: 66 BD JEAN JAURES 93400

SAINT OUEN. Activité: GESTION DE

SUPPORTS DE PUBLICITE. N° de Registre


Gestion: 2000 A 00639.





saire: M. Aubry-Andre J-P, nom du liqui-

dateur: Me Jeanne Bertrand. Radiation

d'office art. R. 123-129 1° du code de



Affaire: AGROTRADE. Adresse: 3-5 RUE

De la commune de Paris C à Paris nord

immeuble ampère LE BLANC MESNIL

93153 LE BLANC MESNIL CEDEX. Acti-

vité: Autres intermédiaires du commerce

en denrées, boissons et tabac. N° de




Bobigny en date du 24 septembre 2008

reporte la date de cessation des paiements

au: 27 juin 2008.


Affaire: BAHIA VIANDE. Adresse: 86 RUE

VOLTAIRE CHEZ SOFRADOM 93100

MONTREUIL. Activité: Commerce de

gros (commerce interentreprises) de

viandes de boucherie. N° de Registre du


2006 B 04777.





paiements le 3 septembre 2008, désigne:

juge commissaire M. Capuano M., juge

commissaire suppléant M. Perreau-Pradier

J-P, liquidateur Me Jeanne Bertrand 2 TER

Rue de Lorraine 93011 Bobigny Cedex,

les déclarations de créances sont à

déposer au liquidateur dans les deux mois





ture.


Affaire: PAROBA. Adresse: 34 BLD

ANATOLE FRANCE 93300 AUBERVIL-

LIERS. Activité:. N° de Registre du


2005 B 05033.






commissaire M. De Fournoux La Chaze

C., juge commissaire suppléant M. Jober-

ton M., liquidateur Me Jeanne Bertrand 2

TER Rue de Lorraine 93011 Bobigny

Cedex, les déclarations de créances sont

à déposer au liquidateur dans les deux mois





ture.

<J3><O>0000885582</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000124541<M>1 -2008J01076</M><R>2008F50055</R></J3>

Affaire: M. LEUNG Kwai Wah. Adresse: 9

all d'Epernay 93130 NOISY LE SEC. Acti-

vité:. N° de Registre du Commerce:

453735847 / N° de Gestion: 2008 F 50055.





paiements le 16 novembre 2007, désigne:

juge commissaire M. Maincent F., juge

commissaire suppléant M. Seror J-P, liqui-











Affaire: GARAGE AMELLY. Adresse: 32 34

RUE JULES AUFFRET 93130 NOISY LE

SEC. Activité: ENTRETIEN ET REPARA-

TION DE VEHICULES AUTOMOBILES. N°


N° de Gestion: 2003 B 01919.





saire: M. Sophie, nom du liquidateur: Me





Affaire: PHIL TRANSPORT. Adresse: 107

RUE DE PARIS 93100 MONTREUIL. Acti-

vité: TRANSPORTS ROUTIERS DE

MARCHANDISES DE PROXIMITE. N° de







saire: Mme Poilleux, nom du liquidateur:

Me Jeanne Bertrand. Radiation d'office art.

R. 123-129 1° du code de commerce en

date du 23 septembre 2008.


Affaire: G. I. S.. Adresse: 16B ALL

DUQUESNE 93130 NOISY LE SEC. Acti-

vité: CONSTRUCTION DE MAISONS

INDIVIDUELLES. N° de Registre du


2002 B 04571.





saire: M. Aubry-Andre J-P, nom du liqui-

dateur: Me Jeanne Bertrand. Radiation




Affaire: DEKOSS - SECURITE. Adresse: 26

RUE RICHARD GARDEBLED 93110

ROSNY SOUS BOIS. Activité: ENQUETES

ET SECURITE. N° de Registre du


2001 B 03022.





saire: M. Bejui F., nom du liquidateur: Me





Affaire: GUTIERRES JEAN. Adresse: RUE

DES CITES ANGLE RUE EMILE REYNAUD

ET 93300 AUBERVILLIERS. Activité:

COMMERCE DE DETAIL DE PRODUITS

PHARMACEUTIQUES. N° de Registre du


2000 A 00513.

Arrêt de la cour d'appel de Paris en date

du 23 septembre 2008 annule la décision

rendue par le tribunal de commerce en date

du 12 octobre 2007, la Cour dit n'y avoir

lieu à prononcer une sanction personnelle

à l'encontre de M. Jean GUTIERRES.


Affaire: 2RMB CONSTRUCTION REHA-

BILITATION RENOVATION MAINTENANCE

DU BATIMENT CONSTRUCTION. Adresse:

13 RUE DU LANDY 93400 SAINT OUEN.

Activité: TRAVAUX DE MACONNERIE

GENERALE. N° de Registre du Commerce:

319814208 / N° de Gestion: 1988 B 02128.





saire: M. Allauzen, nom du liquidateur: Me

Moyrand Jacques. Radiation d'office art.




Affaire: A LA POINTE. Adresse: 104 RUE

DE LA REPUBLIQUE 93230 ROMAIN-

VILLE. Activité: ORGANISATION DE

FOIRES ET SALONS. N° de Registre du


2001 B 02481.





saire: M. Terseur J. P., nom du liquidateur:




M A R D I 1 4 O C T O B R E 2 0 0 8 IX

LES ANNONCES JUDICIAIRES ET LÉGALES 93« Le Parisien » est officiellement habilité pour l’année 2008 pour la publication des annonces judiciaires et légales dans les départements 60, 75, 77, 78, 91, 92, 93, 94 et 95, par arrêté de chaque préfet concerné.

Avis de publication préalable à la saisine facultativede la Commission nationale du débat public

Projet « T4 à Clichy - Montfermeil »Création d’une antenne du tram-train T4

pour désenclaver le plateau de Clichy-MontfermeilLe projet « T4 à Clichy - Montfermeil » vise à améliorer de manière

signi�cative les conditions de déplacements en transports collectifs duplateau de Clichy - Montfermeil au moyen d’un axe structurant en sitepropre. Ses objectifs principaux sont les suivants :

• assurer des rabattements rapides vers le réseau magistral,dans de bonnes conditions de confort et de régularité ;

• améliorer le maillage des transports collectifs, la dessertelocale des territoires traversés, les conditions d’accessibilité et decheminement ;

• favoriser la mutation urbaine et sociale, grâce à l’améliorationde la desserte en transports collectifs ;

• participer à l’amélioration du cadre de vie par la requali�cationdes espaces publics associés à la création des infrastructures detransport, en favorisant notamment les modes doux et en prévoyant desitinéraires cyclables lorsque les emprises le permettent.

Cette opération est essentielle pour la desserte de la Zone UrbaineSensible (ZUS) de Clichy-sous-Bois - Montfermeil en facilitant l’accès versles zones d’emploi de Roissy et Paris, via le T4 et les correspondancesavec les RER B à Aulnay-sous-Bois et E à Bondy.

Le projet consiste en la création d’une antenne du tram-train T4,se débranchant de la ligne actuelle pour rejoindre le secteur du Projetde Renouvellement Urbain (PRU) de Clichy - Montfermeil puis lecentre-ville de Montfermeil, jusqu’au terminus projeté au droit de l’HôpitalIntercommunal. Conçu comme un tramway urbain classique, il comporte10 stations et présente deux options de tracé entre le T4 actuel et leCarrefour des Libertés à Clichy sous Bois, « porte d’entrée » du Projet deRenouvellement Urbain en venant de l’Ouest :

• le tracéde référencesedébranchede la ligneT4approximativementen son milieu, au Sud de la station « Lycée Henri Sellier », et s’insèresur le réseau viaire des communes de Livry-Gargan, Clichy sous Bois etMontfermeil. Ce tracé de 5,8 km peut être orienté vers le Nord (Aulnaysous Bois) ou vers le Sud (Bondy) ;

• le tracé alternatif se débranche tout au Nord de la ligne T4, audroit de la station « Freinville-Sevran », et s’insère sur le réseau viaire descommunes de Sevran, Livry-Gargan, Clichy sous Bois et Montfermeil. Cetracé de 6,7 km s’oriente obligatoirement vers le Nord

Aux conditions économiques de janvier 2008, les coûtsd’investissements s’élèvent à environ 160 M€ pour l’infrastructure et 50M€ pour le matériel roulant (respectivement 175 et 45 M€ dans le cas dutracé alternatif).

En application du Code de l’Environnement (article L. 121-8 II etarticles R. 121-4 à R. 121-5), le STIF, autorité organisatrice des transportsde voyageurs d’Ile-de-France et maître d’ouvrage du projet « T4 àClichy - Montfermeil », met à la disposition du public le dossier présentantles objectifs et caractéristiques principales du projet.

Ce dossier est consultable du 13 octobre 2008 au 12 décembre 2008inclus, dans les lieux suivants :

• STIF : 3 rue de Monttessuy - PARIS 7ème (direction des projetsd’investissements)

• SNCF : dans les gares de Bondy et du Raincy (RER E) et d’Aulnaysous Bois (RER B), aux guichets lors des horaires habituels d’ouverture,

• RFF direction régionale Ile de France : immeuble Sequana 1 - 87/89quai Panhard et Levassor - PARIS 13ème.EP 08/0142 - [email protected]


Affaire: SOCIETE AULNAYSIENNE DE

RENOVATION. Adresse: 72 AVE DE

NONNEVILLE 93600 AULNAY SOUS

BOIS. Activité: CONSTRUCTION DE

MAISONS INDIVIDUELLES. N° de Registre


Gestion: 2002 B 02312.





saire: Mme Lefebvre H., nom du liquida-

teur: Me Jeanne Bertrand. Radiation




Affaire: SOCIETE C G N. Adresse: 8 RUE

DIDEROT ZAC DE LA GARENNE 93110

ROSNY SOUS BOIS. Activité:. N° de







saire: M. De Fournoux La Chaze C., nom

du liquidateur: SCP Moyrand - Bally en la

personne de Maître Jacques Moyrand.

Radiation d'office art. R. 123-129 1° du

code de commerce en date du 23

septembre 2008.


Affaire: SOCIETE DE CONSEILS REALI-

SATION ET D'ETUDES SCRET. Adresse:

011 RUE DU LANDY 93400 SAINT OUEN.

Activité: TRAVAUX D'ETANCHEIFICA-

TION. N° de Registre du Commerce:

305219453 / N° de Gestion: 1988 B 00349.





saire: M. Allauzen, nom du liquidateur: Me

Moyrand Jacques. Radiation d'office art.




Affaire: SOLVA INTERNATIONAL. Adresse:

51 TER RUE EDOUARD VAILLANT 93100

MONTREUIL SOUS BOIS. Activité:

CONSEIL EN SYSTEMES INFORMA-

TIQUES. N° de Registre du Commerce:

393710850 / N° de Gestion: 1994 B 00373.










Affaire: LAMBOLEY ET FILS. Adresse: 092

AVE PASTEUR 93100 MONTREUIL SOUS

BOIS. Activité: TRAVAUX DE FINITION NCA.


/ N° de Gestion: 1988 B 01384.







Maître Jacques Moyrand. Radiation d'of-

fice art. R. 123-129 1° du code de



Affaire: DESPERADOS. Adresse: 43/45 AVE

VICTOR HUGO BAT 287 93300 AUBER-

VILLIERS. Activité: ACTIVITES ARTIS-

TIQUES. N° de Registre du Commerce:

405265463 / N° de Gestion: 1996 B 01876.





saire: M. Maincent F., nom du liquidateur:





Affaire: SARL PIERRE ET VOLUME. Adresse:

122 AV De la résistance 93340 LE RAINCY.

Activité: AGENCES IMMOBILIERES. N° de

Registre du Commerce: 480465715 / N° de

Gestion: 2005 B 00504.



prononce la clôture de la procédure pour insuf-

fisance d'actif, nom du juge commissaire: M.

De Boysson G., nom du liquidateur: Me Giffard

Frédéric.

Dissolutionnon commerçant

<J3><O>0000889996</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000305885<M>pc95/00013 sci les peupliers</M><R> </R></J3>

Avis de dépôt le 19 septembre 2008 au

greffe du Tribunal de Grande Instance de

BOBIGNY de l'état de collocation concer-

nant le bien immobilier sis à AULNAY SOUS

BOIS (93) 18, avenue du Gros Peupliers,

Lots 101-102 et 104 (parkings) cadastré

section n° 86, appartenant à la SCI RESI-

DENCE LES PEUPLIERS ayant son

siège 7, allée de la Fontaine, 93340 LE

RAINCY. Les contestations sont recevables

dans le délai de trente jours au greffe à

compter de la date de la publication au

BODACC.

BOBIGNY, le 7 octobre 2008

LE GREFFIER EN CHEF

<J3><O>0000889985</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000305885<M>SCI RESIDENCE DES PEUPLIERS</M><R> </R></J3>

Avis de dépôt le 19 septembre 2008 au

greffe du Tribunal de Grande Instance de

BOBIGNY de l'état de collocation concer-

nant le bien immobilier sis à AULNAY SOUS

BOIS (93) 18, avenue du Gros Peupliers,

Lot 2 (box) cadastré section n° 86,

appartenant à la SCI RESIDENCE LES

PEUPLIERS ayant son siège 7 allée de

la Fontaine 93340 LE RAINCY. Les

contestations sont recevables dans le délai

de trente jours au greffe à compter de la

date de la publication au BODACC.

Bobigny le 7 octobre 2008

LE GREFFIER EN CHEF

Constitutionde société<J3><O>0000889973</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000399663<M>EUROPA TRAINING GROUP</M><R> </R></J3>

Par acte SSP en date du 01/10/2008, il

a été constitué une société.

Dénomination sociale :

EUROPA TRAINING GROUPForme : SARL

Capital : 10 000 Euros

Siège Social : 30 Avenue du bois Mous-

say, ZAC Bois Moussay, Bât Delta N°

8 93240 Stains

Durée : 99 ans

Objet social : L'organisation de sessions

de formations professionnelles et la four-

niture de matériel pédagogique, la loca-

tion de salles de formations, la fourniture

de services divers auprès de tout presta-

taire de la formation professionnelle.

Gérant : Monsieur PATISSIER Franck,

demeurant au 13 Bis, rue du Plateau Paris,

né le 27 Février 1980 à MONT DE

MARSAN, de Nationalité Française, céli-

bataire;

Immatriculation au RCS de BOBIGNY (93)

<J3><O>0000890180</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000432905<M>CONSTITUTION</M><R> </R></J3>

Par acte SSP en date du 5 octobre 2008,

il a été constitué une société.

Dénomination :

NOYOForme : SARL

Capital : 2 000 euro

Siège social : 22 rue Franklin 93500

PANTIN

Durée : 99 ans.

Objet social : Livraison repas

Gérant : M. BUENO Hervé demeurant 5

rue de la Bua 75020 PARIS

L'immatriculation sera faite au RCS de BOBI-

GNY.

<J3><O>0000874060</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000405224<M> AHLEM</M><R>AHLEM</R></J3>

Par acte SSP en date du 30 juin 2008, il

a été constitué la SARL :

AHLEMCapital : 2000 euros

Siège Social : 1 AVE DU COMMAN-

DANT CHARCOT 93270 SEVRAN.

Activité : Boucherie, Charcuterie, volaille,

triperie, traiteur et vente de produits

alimentaires orientaux à emporter.

Durée : 99 ans

Gérant : M. ALLAGUI Abdelhak,Dom. 3

allée Maryse Hilsz 93270 SEVRAN.

RCS BOBIGNY pour avis.

Divers société

<J3><O>0000889989</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000427887<M>SARL DEBARRAS EXPRESS</M><R>23902</R></J3>

SARL DEBARRAS EXPRESSSARL au capital de 3500 Euros

Siège social :

95 Avenue du Président Wilson

93100 MONTREUIL

490 428 018 RCS BOBIGNY

Le 31 décembre 2007, l'AGE a décidé la

dissolution anticipée de la société à

compter de ce jour. Monsieur RABANEL

Eric, 64 avenue de Docteur Vaillant 93230

ROMAINVILLE a été nommé Liquidateur.

Le siège de liquidation est fixé à l'adresse

du liquidateur.

Mention faite au RCS de BOBIGNY

<J3><O>0000889753</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000427887<M>SARL AYA</M><R>23898</R></J3>

SARL AYASARL au capital de 1.000 Euros

Siège social : C/C Youri Gagarine

rue Paul Doumer

93230 ROMAINVILLE


Le 31 décembre 2007, les associés ont

approuvé les comptes définitifs de liqui-

dation, déchargé le liquidateur de son

mandat, donné à ce dernier quitus de sa

gestion et constaté la clôture des opéra-

tions de liquidation.


<J3><O>0000890040</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000399663<M>KAMI</M><R> </R></J3>

KAMISARL au capital de 8 000 Euros

Siège social : 42, bis boulevard de

Chanzy

93190 LIVRY GARGAN

RCS N° : 493137111 de BOBIGNY

L'AGE du 9 Octobre 2008 a décidé de

nommer gérant AKPINAR ALI BEKE,

demeurant 37, rue d'Hauteville 75010 PARIS

à compter du 9 Octobre 2008, en

remplacement de YILDIRIM Mehmet

démissionnaire.

Mention sera faite au RCS de BOBIGNY.

<J3><O>0000889736</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000399663<M>SBGMR CORPORATION</M><R> </R></J3>

SBGMR CORPORATIONSARL au capital de 8 000 Euros

Siège social : 26/28 Avenue De La

République

93170 BAGNOLET

RCS N° : 482 233 822 de BOBIGNY

L'AGE du 06 Octobre 2008 a décidé de

nommer gérant M. TAT Remzi, demeurant

3 Pl. des aubepines 95170 Deuil la Barre

à compter du 06 Octobre 2008, en rempla-

cement de M. DURGUT Irfani démission-

naire.

Mention sera faite au RCS de BOBIGNY.

<J3><O>0000889717</O><J>14/10/08</J><E>SD</E><V>1</V>10<C>1</C>0000427887<M>MODE'S</M><R>23894</R></J3>

MODE'SSARL au capital de 8.000 Euros

Siège Social :

284, avenue Aristide Briand

93320 LES PAVILLONS SOUS BOIS


Le 15 septembre 2008, l'AGE a décidé de

transférer le siège social au 8 Allée Bayard

93190 LIVRY GARGAN.



Affaire: DIAFORM. Adresse: 12 AVE

GALLIENI 93250 VILLEMOMBLE. Acti-

vité: Entretien corporel. N° de Registre du


2001 B 02286.


gny en date du 24 septembre 2008, arrê-

tant le plan de redressement, désigne M.

Denis VIDEGRAIN comme tenu d'exécuter

le plan, durée du plan 10 ans, nomme

commissaire à l'exécution du plan Me Giffard

Frédéric 54 Rue René Camier 93011 Bobi-

gny Cedex, nom du juge commissaire: M.

Charles G., sous le numéro 2007J01581.


Affaire: GROUPE ACE. Adresse: 101

RUE DU DR BAUER 93400 ST OUEN.

Activité: Activités des agences de publi-

cité. N° de Registre du Commerce:

487664047 / N° de Gestion: 2008 B 01536.






juge commissaire M. Dubois J., juge

commissaire suppléant M. Saffre J-P, liqui-

dateur Me Jeanne Bertrand 2 TER Rue de

Lorraine 93011 Bobigny Cedex, les décla-








Affaire: B. G. L. COM. Adresse: 7 PL Du

11 novembre 1918 93000 BOBIGNY. Acti-

vité: Autres activités de télécommunica-

tion. N° de Registre du Commerce:

482534351 / N° de Gestion: 2005 B 03103.






juge commissaire M. Joberton M., juge

commissaire suppléant M. Leroy A., liqui-

dateur Me Danguy Marie 2 Bis Rue de







ment d'ouverture.


Affaire: LIGNES. Adresse: 61/63 AVE ARIS-

TIDE BRIAND 93190 LIVRY GARGAN.

Activité: Construction de maisons indivi-

duelles. N° de Registre du Commerce:

487705774 / N° de Gestion: 2005 B 06814.





paiements le 31 janvier 2008, désigne: juge



dateur Me Giffard Frédéric 54 Rue René

Camier 93011 Bobigny Cedex, les décla-








Affaire: SORABIS. Adresse: 27 RUEAMBROISE CROIZAT 93400 ST OUEN.Activité: Fabrication de vêtements de dessus.N° de Registre du Commerce: 479861668/ N° de Gestion: 2004 B 06014.Jugement du tribunal de commerce de Bobi-gny prononce en date du 23 septembre2008, la liquidation judiciaire sous le numéro2008J01077, date de cessation despaiements le 31 mars 2008, désigne: jugecommissaire M. Maincent F., juge commis-saire suppléant M. Seror J-P, liquidateurMe Jeanne Bertrand 2 TER Rue de Lorraine93011 Bobigny Cedex, les déclarations decréances sont à déposer au liquidateur dansles deux mois de la publication au BodaccLe liquidateur devra déposer la liste descréances dans les 15 mois à compter dela publication au Bodacc du jugement d'ou-verture.


Affaire: M. H. K.. Adresse: 35 RUEARAGO 93230 ROMAINVILLE. Activité:Construction d'autres ouvrages de géniecivil n. c. a.. N° de Registre du Commerce:480112770 / N° de Gestion: 2004 B 06377.Jugement du tribunal de commerce de Bobi-gny prononce en date du 25 septembre2008, la liquidation judiciaire sous le numéro2008J01101, date de cessation despaiements le 30 juin 2008, désigne: jugecommissaire M. Dubois J., juge commis-saire suppléant M. Saffre J-P, liquidateurMe Danguy Marie 2 Bis Rue de Lorraine93000 Bobigny, les déclarations decréances sont à déposer au liquidateur dansles deux mois de la publication au BodaccLe liquidateur devra déposer la liste descréances dans les 15 mois à compter dela publication au Bodacc du jugement d'ou-verture.


Affaire: SQTD. Adresse: 38 RUE PLEYEL93200 ST DENIS. Activité: Transports routiersde fret de proximité. N° de Registre duCommerce: 449733385 / N° de Gestion:2005 B 01119.Jugement du tribunal de commerce de Bobi-gny prononce en date du 24 septembre2008, la liquidation judiciaire sous le numéro2008J01094, date de cessation despaiements le 24 août 2007, désigne: jugecommissaire M. Perreau-Pradier J-P, jugecommissaire suppléant M. Capuano M.,liquidateur Me Jeanne Bertrand 2 TER Ruede Lorraine 93011 Bobigny Cedex, lesdéclarations de créances sont à déposerau liquidateur dans les deux mois de la publi-cation au Bodacc Le liquidateur devra dépo-ser la liste des créances dans les 15 moisà compter de la publication au Bodacc dujugement d'ouverture.

Un Greffier associé

Marc DOUCEDE


Affaire: S. T. U.. Adresse: 86 RUE

VOLTAIRE 93100 MONTREUIL. Activité:

LOCATION DE CAMIONS AVEC CONDUC-

TEUR. N° de Registre du Commerce:

445011240 / N° de Gestion: 2003 B 00474.

Le projet de répartition prévu par l'article

L 644-4 du code de commerce est déposé

au greffe du tribunal de commerce de Bobi-

gny le 22 septembre 2008. Tout intéressé

peut contester ledit projet devant le juge

commissaire dans un délai d'un mois à

compter de la présente publication.

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• La résolution d’incidents majeurs dans le processus d’expéditions,la détection des défaillances et la mise en place d’améliorationsorganisationnelles et/ou techniques ;

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(Source : Infotrafic)www.leparisien.frCirculation en temps réel

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Ligne D. Des travauxsont en cours chaquenuit entre la gare de Lyonet Combs-la-Ville. Ils

s’achèveront dans la nuit de vendredi à sa-medi 18, mais d’ici là la circulation est modi-fiée sur l’axe Paris - Villeneuve-Saint-Georges.Dans le sens nord-sud. A partir de 22 h 6et jusqu’à la fin du service, les trains Zyck par-tent de la gare de surface à Paris-Lyon(grandes lignes) et marquent un arrêt supplé-mentaire en gare du Vert-de-Maisons. A par-tir de 22 h 15 et jusqu’à la fin du service, lestrains Ropa partent de la gare de surface à Pa-ris-Lyon (grandes lignes) et ne sont pas reçussur leurs voies habituelles en gare de Mai-sons-Alfort et du Vert-de-Maisons. A partir de22 h 30 et jusqu’à la fin du service, les trainsRova ne desservent pas les gares de Maisons-Alfort et du Vert-de-Maisons. Les voyageurssont invités à emprunter le train précédent oule train suivant. Les trains Ropa et Rova à quaien gare de Paris-Lyon à 5 heures et 5 h 15partent de la gare de surface à Paris-Lyon(grandes lignes) et ne sont pas reçus sur leursvoies habituelles en gare de Maisons-Alfort etdu Vert-de-Maisons.Dans le sens sud-nord. Les premiers trainsdu matin au départ de Melun et Corbeil nesont pas reçus sur leurs voies habituelles engare du Vert-de-Maisons et de Maisons-Al-fort jusqu’au train partant de Corbeil à 5 h 30.

Ligne 7. les travaux derénovation se poursui-vent à la station Poison-nière, qui est actuelle-

ment fermée aux usagers. Celle-ci ne rouvrirases grilles que le mercredi 10 décembre. D’icilà, il convient de prendre votre mal en pa-tience.Ligne 7 bis. La station Bolivar fait, elle égale-ment, l’objet de travaux de remise en état. Ilsont débuté fin septembre, mais ce n’est qu’àla mi-décembre, plus exactement le 17, quevous pourrez enfin l’emprunter.Ligne 8. A la porte Dorée, les grilles de la sta-tion de métro sont fermées jusqu’au 3 dé-cembre.

OUT dernièrement, des motards de laT préfecture de police de Paris ont pro-cédé à l’expérimentation d’une moto élec-trique de type tout-terrain, sur le site deMontlhéry (91), sous l’égide de l’écolemoto de la direction opérationnelle desservices techniques et logistiques.Mise en conditions réelles, cette motoélectrique, non polluante, a répondu auxexigences des formateurs. D’une autono-mie de trois heures, d’une puissance équi-valente à une 125 cm3 et d’un poids de90 kg, elle pourrait être appelée à rempla-cer celles actuellement utilisées. Des expé-rimentations de matériels nouveaux sontchose courante à la préfecture de policede Paris. De quelque nature qu’ils soient,ces matériels sont destinés, pour certainsd’entre eux, lorsqu’ils correspondent à unedemande bien précise et entrent dans lecadre des normes imposées par la préfec-ture, à remplacer ceux actuellement utili-sés et devenus sinon obsolètes, tout aumoins dépassés. En passant à la motoélectrique, la brigade motorisée de la PPrenforcerait ainsi l’image d’une police qui,si elle a notamment en charge la répres-sion de la pollution, sait donner l’exemple.

ÇA BOUGE

Des motos électriquespour la police parisienne

E MATIN-LÀ, la ligne 2 lançait sesnouvelles rames rutilantes. Une dameC sourit : « Il y a encore moins de places

qu’avant. C’était le but ? » Elle est debout,comme presque tout le monde. On regarde,comme s’ils se pavanaient dans un salonprivé, les rares chanceux qui bénéficient desquelques places assises, ultralarges, en effet.A la station Alexandre-Dumas, une voix fémi-nine préenregistrée annonce : « Père-La-chaise, terminus. » Prise au sens littéral, une

formule ramassée, plutôt jolie et indubitable-ment exacte: le cimetière, fin de partie. Ledrôle de convoi arrive maintenant à la stationPère-Lachaise, où de nombreux passagers,perplexes — le vrai terminus, Porte-Dau-phine, se trouve vingt stations plus loin—,descendent pour emprunter les correspon-dances. Tout le monde semble hésiter, mêmele métro, qui reste à quai. Des contrôleurs dela RATP, qui se trouvaient à bord du trainneuf en rodage, murmurent que c’est « n’im-

porte quoi » et conseillent de ne pas bouger.Quelques minutes plus tard, le conducteurannonce, d’une voix impassible, qu’il « conti-nue comme prévu ». La foule remonte, soula-gée, rigolarde, comme si elle l’avait échappébelle. A l’approche de la station Couronnes,la voix féminine annonce à nouveau : « Père-Lachaise, terminus. » Depuis ce jour de sep-tembre, on n’a plus revu de rame neuve sur laligne 2.

Yves Jaeglé

VOIX PUBLIQUE

« Père-Lachaise, terminus »

L’info du jour

Ce sont les tribus de la garedu Nord

ECKTONIK, hip-hop, mais aussi « flexmanagers » (leshommes d’affaires qui voyagent avec leur ordinateurT portable en bandoulière), sapeurs (les Africains tirés à

quatre épingles), starlettes ou gitanes… Toutes les tribus secroisent dans les couloirs de la gare du Nord (Xe).

Pendant trois semaines cet été, Avi et Ellie, deux photo-graphes néerlandais, ont installé un studio éphémère dans laplus grande gare d’Europe pour leur tirer le portrait. Débutjuillet, ils avaient fait la même chose dans la gare de Rotter-dam (Pays-Bas). Dans le cadre de la Saison culturelle euro-péenne, leur travail s’expose depuis hier et jusqu’au 31 dé-cembre sur les trains Thalys qui font la liaisonParis-Amsterdam, via Bruxelles. « Nous avons repéré les gensqui s’habillent pareil, et nous leur avons proposé de se fairephotographier. En général, ils étaient contents qu’on re-marque leur style », explique Ellie Uyttenbroek.

A l’heure de la mobilité, les looks se mondialisent. Le genrehip-hop — pantalon large, grand tee-shirt, casquette — se re-trouve dans toutes les grandes villes. « Mais Paris reste trèsriche », estime Ellie. Afin d’en montrer la diversité, les photo-graphes ont exceptionnellement quitté la gare du Nord : pourla série « Filles du VIIe », ils ont fait une incursion dans l’Ouest.

J.S.

PARIS (Xe), HIER. Le Thalys, recouvert de photos, à son entrée en gare duNord. (LP/J.S.)

Documents

LMais au stade Henri-Vi- - pierrefitte-socialistes.typepad.compierrefitte-socialistes.typepad.com/ps/files/cahier_14.10.08.pdf · L ouvrier chute de cinq mètres U N OUVRIER originaire