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ARNBE. 1,3.508. ABONNEMENTS 1 lnssbasfe.,5e,»lssOfe.lsae SS fr. De la conquête de l'Ethiopie à la dénonciation des accords de 1935 QUATRE ANS d'aveuglement et de trahison de la droite française ceN veut espérer que les réeents tue opération allai sûrement dan, êvénern.ta auront enfin geretue que dégradante pour la Fran. re, les hommes qui, depuis qua- re, te» ans, n'ont cessé de nous PlEnnE 111.10401.EITE. faire grief de notre attitude 9 t'égard (Life 2, éuiée eé, 2), porn,q, 1111111111111 lllllll 1:;11111111111111 lllll I lllll de PIMIle et qui ont imposé malgré Mme dont nous voyons aujourtl'hui les fruits. Quelle qu'ait pu êtrE en effet, l'ap- parente contradiction entre certaines argumentations de la presse italien- ne depuis 1934, entre certainea marne. vres et contre-manuvres de la diplo- matie dalimme depuis cette date, la ligne politique qu'a stfiVie tout au .urs de ces .nées a été cons- tante elle apparaît d'ailleurs tr. 0104 rament dans les articles des Journaux fascistes qui écrivent aninimPind à l'envi: a La Prame mt-eile cru qu'elle nous satisferait longtemps av. les .ncessions de 1005»» AMsi se vérifie-t-ii av. un éclat aveuglant que dès l'origine, comme Pa toujours si nettement aperçu et si for- tement exprimé ici notre ami André Leroux, c'est la Méditerranée end a été l'objet suprème de l'impérialisme mus- eralinien, et que c'est par mnséquent aux pmitions méditerranéennes de la hrance que l'expansionnisme fasciste devait nécessairement s'en prendre pour atteindre son but. I.na l'exécution du pian général uts,vait, dès cette époque, établi la dl- 1.0111age tsariste, les accords de >m- ale» 1935 ont été un remarquable dé- imt. Avec une nahraté, une ignorance nu une présomption dont la démons- tration est maintenant achevée, M. rierro Laval a pu les célébrer comme une «liquidation définitive n des liti- ges franco-italiens. Mais ils n'avaient en réalité pour but que de donner le change à la France, tout en lui arra- chant un premier ensemble de cone.- sinus, et en obtenant d'elle un consen- tement au moins tacite à la mainmise Italienne sur l'EthlopiE Ce .nsentra ruent, M. Pierre Lavai Pa donné sans .nsulter informer ie PegE sens la forme d'un acquiescement à Perpan- ine économique de l'Italie en euh,- pie. Mals fort de la sit.tion ineroym 1 Me où celui qui allait devenir chef , du gouvernement français s'était m s en gardant le aecret sur ses tracta- ti d Roma le Duce n, pas 1.i. Crama». Sang an e lereu P Matra des Affaires étrangères qui, ew anvier 1935, lui a aimi ouvert les por- tes de l'aventure 1 Mais aussi préré- dent à méditer pour tous ceux qui; pires en pâture à l'expansionnisme des détourne de nous leure amintrans Depula lues, mi effet. le PI,,, s'est' exécuté avec une terrifiante régula-. rite. Et Mujours Font favorisé sel cen- se. de ceux que lem candeur ou Mura affinités pour l'Italie fasciste ont ame- nés à suivre dans toutes les conséquene ces la politique Inaugurée a ome par. M. Pierre tandis que, toujours, lea événements ont donné raison à ceux' qui, comme nous, dénonçaient rlan Paooquinement avec le fascisme im- ME111101U1111111111.11151hI llllll 11111111no C'est la lute M. UNI Tout finit Par se savoir, dit-on. Cette par°. da la gmse PoPu- laire vient, une fois desa Pliza, iiretre .nfirmée de façon péremptoire. Et cette confirmation nous est APPortée par les incidente franc, italRns, ou du moins par les extra- antes revendications- de Mueso. lita. Le gouvernement italien, corme les lecteurs le savent, vient de dé- nonce» les accords conclus en 1935 entre m. Laval et M.solini. Dans leurs critiqueu dc ces no' Corde, qui d'ailleurs avaient accordé Passablement de choses à l'Italie, Mais rien à nous, dans leurs criti- Ities les socialiStes s'élevasent_a con- t'e ce fait que, en réalité, M. L. evait leissé à Mussolini 1. mains /ibres pour la conquête de l'Ethiopie que le duce préparait activement, Lu presse lavaliste, c'est-à-dir»le. erme réactionnaire, dément st y- U Par l'ancien président du Comeil avait toujours protesté contre tee acc.ations portées contre M. Lavai et affirmé que la question d'Abyssi- e n'avait tellement été .évmPsée eutrent.les cheR de» deux goure'''. Eh bien ! la presse réa:Mortaise 1.11 trompait, eu plutôt elle terre/mut Rédaction d AdmInistrallon s 34, rte Ihnteiallne, TOVSOUSR Tél. 200.43 C. C. Postaux 7.575 BUREAUX A PARIS : S. rus St-Angualln (2.) Téléph. Rithelka 09.00 (3 figues grOunées sut ce numéro) M. TATARESCO ambassadeur de Roumanie a remis ses lettres de créance à M. Albert Lebrun Roummie l'accrédite auprès de lui en qualité d'ambassadeur, extraor- dinaire et plénipotentiaire à Paris. L'ambassadeur a Prononcé me allocution. Il a déclaré notam- ment Reconstituée dans ses frontiè- res ethniques tracées pour toujours par la justice et le sang de ses sol- dats, la Roumanie nouvelle n'a cesse de pratiquer dans l'ordre et /e travail une politique d'entente avec tous lee peuplée, aidant de toutes ses forces les grandes initiatives destinées àeffaces les traces des vieilles querMles et à organiser la collaboration internationale. le pays et elle le trompait sciem- des Doiai.golreat%andreetdLo,ccette politique ment. ssra poursuivie aveu pes:gesn'e Mussolini n'a entrepris la con- et loYauté, le resseresms. des liens quête de l'Ethiopie qu'avec l'a.en- qui unissent net pain sera, je le liment, qu'avec l'appui de M. Laval, mois, une nouvelle contobution On s'en doutait, on en eut aujour- /Organisation de la paix de cette d'hui certaili Paix à laque/le, malgré /es défail- lances d'un moment, aspire la C'est la pre.e fasciste elle-même qui s'est chargée de confirmer ce eemeelettee de tous les Peuple.' que entre parti avait toujours dit Dans sa réponse, M Albert Le- depuis quatre ans et de donner des brun a dit entre autrei choses précisions sur lv partie de l'accord e L'élévation au sang d'ambas- concernant PEthiopie. sade de légations de France à Bu- En effet, le « Telegraph° a, jour- carest et de Roumanie °Paris té- »al du comte Cimo, ministre de» moigne de la place importante que Affaires étrangères d'Italie, écrit votre pays s'est acquise dans /e ne» lignes à l'adressa de la France ; concert des Etats par /es qualités « Elle oubliait que le pacte du 7 de travail et d'intelligence de ms janvier devait avoir une contre par- fils, par l'amure se/nem/able de »e- tic pour l'Italie r la main libre et construction d'un souverain éclairé. l'appui de la France en Ethiopie a. n Cette transformation ,réunnd C'est clair et c'est précis, également au souci comun des deux gouvernements d'affirmer de façon Aussi il 'y pl. s'ét , n a à onner de l'attitude scandaleuse, odieuse det c,,atant; la force et l'intimité de , Cette emitié, ainsi me l'a noté mois ou /e brigandage fasciste s est en refusant de joindre ses efforts M. Laval a dashono la France ,r,1",,reeirm.,es notre gouvernement pendant les e r am é. Votre Excellence, a été fortifiée par donné libre cours en Ab l.eyasinie. à ceux du gouvernement anglais vnè»ritretds 0% toeur7a n' pour empêcher /a conquête de F, ellernet le travail et linduatrine de laFran- PEthiopie. ce et de la Roamanle ont trouve un Mais M. Laval était lié par les dnmeine favorable à le»» Mem- 1 promesses qu'il avait faites à son erg dévelnnnement. Elle s'est complice Mussolini, son complice en énarionie enfin sur les Mans /es réaction et son complice- en renie- plus élevée de /a mémés ey de part, SOCLALLS1.E MOUS DEMAIIDORS enraudedél=ue eaPr'' l'éPul"- , quête économique. Ainsi a-t-il conquis les envahisseurs. Nul n'ignore, en l'empire qui est maintenant sa base de effet, que ceux-ci éprouvent des re- Le proposition de Lebas rallie la jormitmé itleoeszlète et le débat s'eu_ départ en vne de réalisation. aux dé- yeuse importants et nombreux qui L'Indépendant ri du Lotset. meo ' h aller hard et as. titner la conquete militaire à la con- s.tes que rencontrent en Ethiome Mais, s'il ne faut pas exagérer lm dangers, il ne faut pas /es négliger non plus,. car dans l'état de tension et d inqumtude ou vit l'Europe, la Ainsi, de même que l'amure né. /estes millionnaires. __,__lm Le second, ne voulant pas faste de le rémtion ee retreuve dans Nons demandons fusille /es I eatendre parler de guerre, a le cons- Mee"5 moindre des choses a son importan- ce et peut avoir des conséquences poi.nneurs dictatures roc apaise leur fa.] et I on. redoutables. I e formidable armement de l'Aile- Denecle, let I) sac glti 'Pr& tent souci d'organiser . paix. magne sous la dictature d'Hitler, de nédegleat lIaemeenar du itelie Dara ces conditions, la tendance même liceuvre néfaste du lavalisme, Nms demandons m'on fasse taire , dite de redressement qui ne veut c'est-à-dire encore de la réaction, m oes Patriotes qui Prêtthent polie pas faire figure de franc.tireur, va paix et qui mureraient les autres sels, ràip à la tends»»» In plus ra. Hitler vient de dépenser 300 mil-I Faure. retrouve dans la tension des rap- ports entre la France et l'Italie, ten- sion qui ne se Serait Pas produit» Si M. Laval n'avait pas fait, à Musso- lini, des concessions exc.sives, fai- sant croire que nous avions besoin de lui ou que nous nous soumet- tions ses volontés. Le mal est toit. Nous en suppor- tons aujourd' le poids. Il faut esperer néanmoins que rien de grave ne surgira. rifeldeoseaaelüüe'.'Éll'eni: :üqsr drzéngell'üm<Te nguotrerr7surquenP2,i; n éenappons qu'avec peine. 111111111 llllllll 111111111 lllll 11111111111111111 llllll 1111/ llllllllllllllll 111111111111111111111111 Akoutoota iodainukliodhotlidoestiik »shoot do olige faire casser la figure. cifiste, c'est-à-die» la tendance Paul Les belles étrennes! Un milliard et demi de crédits supplémentaires pour 1030! La IroisiCran jouie° du Congres National Le véritable congrès a commencé hier matin. 11 s'est déroulé toute la journée et fort avant dans la nuit Paris, 26 décembre. Le prési- dent de la République a reçu au- jourd hul, 11 h. 30, en auchence officielle, S. E. M. Georges Tata- resco, qui lui a remis am lettres de créance par lesquelles le roi de La majorité absolue acquise à Léon Blum par suite de l'adhésion de la Fédération du Nord Sur la politique inférieure, unanimité pour déclarer la guerre sans merci au Cabinet Daladier La salle du Centre administratif de la mairie de Montrouge. Sur l'estrade le bureau du Co el première séance ej, dit, il que les eferts de r A 10 heures Mura Dormoy, an- pela pur leuee ''''', ee'll'Ie: du l'auto» meut, men ministre de Pinte/mur, Mua- La situation actuelle, dont il ne Viser& dons dis &limas féconds/ . teuc de l'Allier, ouvre /a première faut toutefois P. exagerer lot dan- den occesions de s'enrichir et de S. ' Séance. Il donne immédiatement la gess, est la conséquence directe des rencnveler. I parole au jeune député de la Haute- accords au bas desquels M. Laval r Les ...Id . a Pune' entre me ; Loire Thiolas qui vient défendre à a mis sa signature qui était, hélm i danx nava n'ont fait en'exPrimer ' la tribune une motion préjudicielle non la sienne propre, mais celle de l'iditai comMun rue se pronose cet- I tendmt à rechercher encore un tex- le France, te emitié asiasente et naeinri"fi. s te d'unité. Je le répète, il ne faut pet ma- u n Antée la cérémonie le nrésident Lob o d 1 Fer éd" tlo d rer lm dmgers qmuss l ue présentent les te. lu deeueeirtIcununauttSiemdeTer" n ,.7.. I da Noarsd,'tout en L u déelar . anat en mea instenta. L'embas,sedane . complet accord avm précedent roomontades oiniennes. Le 1 bluff italien est dmtiné à masquer ensuite reconduit à son hôtel. orateur, Itu. fait remarquer que sa les échecs subis en Espagne ainsi tardive initlatsve n'a aucune chm- ce 'aou n'auue iment . l'avant . le difficultés sa. CeSu renais- d b tir Elle rait q lque concetion. Aboprdant alors le point crucial dont no. avons parlé déjà dans r nos précédents comptemendus, il dé- ti Mare que les pactes mnt faits pour q lent la paix, onn nous fessant coure Eli.tquaiure, pb1n préserver de la guerre et non pour la favoriser; pour donner un maxi- mum de sécurité et non pas un mi- nimum et que, s'il y en a qui ébran. ChOn l'a dit à la tribune de la par nue grande partie des congres- ambre. Et bien nous demandons la muse- sista,. lière our les dégustateurs des fonds secrets, p les pamphlétaires à gegen Arnold et GOIIM les combinard. à la petite semaine,. tique, orateur poursuit : a l. mouchards au mois, econi- Devenant de pl. en plus pathé- tards à l'année et les vendles us détend( nt deo assise., ojaliet iutte donne /ecture de la motion que adversaus voienes Il appelle la position de Jaurès, son peisalicoe naieen.etsrte politique Ce que redoute Gouin, m ne sont as exactement les terme, de la motion Blum, ce sont les interpréta- uns auxquelles ils prêtent, alors un la motion qu'il rapporte ne per- . . D'ailleurs pour les écarter plus eûrement encore, /a motion Paul récoraias!ei,ohnaje hautement on» 1.ionn,dmane danger ediguerre,recem elant ci% tnê ro eue. én: Gon et d amibe des peuples. Ce, pue nu lrieéuvi,de're xaminer s'il ne faut faeelpeisaliotntdLesstItouuevrernnuerideenttosiepruil er'. Sur cette question d'une imper. Nous n'am. à aucun degré le droit tanceoappaie, réel effort de de leur chercher querelle a propos comiliation a été hait par /es amis d» 0mpas, quand ils ne de Paul Faure. aura En ce qui concerne le pacte fran- Mais la motion ne se borne pas cela. Elle préconise le resserrement, l'extension des amitiés de la Fran- ce pour qu'elle ne mit pas isolée ; elle amepte les peut., mais elle en- tend bien qu'ils soient seulemmt dé- fmsifs et contiennent la classe d'arbitrage qui formait le fond de la pensée de Jaurès dara son action pour la sauvegarde de la paix. Telle quelle est, la motion Paul tiMent . seconde étape de son pro- seront peut-etre contraints de quit- çaise (sir) demande la dissolution u t dans l Men M. sa Pro/men/de ea Fratten I Albertini est vivement applaudi en-somatique, et l'action a ramer pour briser les deux Rocs antago- Demonne, le Camarade Albertnn nie. qui de plus en plus se parte- vient apporter l'appui total de sa gent le monde, les amis de Léon tendance a /a motion Paul Faure. Il Blum n'ont pas accepté le point de déclare qu'a la suite des discussions vue furist,s o. ',orateur dderuslagerü'nde mise'olu'rnantds . 05 rséson'tiumtirn:: le majorité était d'entraîner dernè- pensait cependant que le devoir de festés au sein du Parti. Le premier re elle le plus grand nombre possi- veut la paix ; muid n'y croyant PeS, hie de membres de la mimrité. Ce se préoccupe surtout de PrePUrer devoir, la majorité ne paraît Pas l'avoir compris, Léon Blum a accep- té de faire de sa motion une sorte de chapeau pour satisfaire la mino- rité. Mais ce chapeau, a tout l'air d'un coup de chapeau. Evoquant les accord.s de Munich, Arnold justifie la position du parti sur ces accords qui ont sauve la paix. Cette paix, dont noue sam. mm nous, socialtstm, plus que qui- conque comptables devant le pays, al profondément saigné au cours de /a dernière guerre mondiale. que1 sion vous croyez que est rades, ne nous laiasez pas ltout'imCema- pres- pétulté. Nous demandai. aux lèches- la malion Paul Faure dpésorm,auisi eytIleperrieuen ila.urpeérreirs bottes de Franco, traître et ms.sin qu'il n'y a plu rien à faire qu'à de f...icher le came en EsPagne. On va entendre à présent 1oi ora- préparer ki guerre. Et voue emmnsilemrintor nueaflu fermer,r àtueut. ul teurs de la tendance Pa Faure. Le représentant de l'Isère termi- Voici Arnold, député de ('Item à ne son mposé en adjurant Léon la tribune où mn succès au fur et Blum de demander à ses amis ma- mesure qu'il parie. ira sans umse joritaires de faire en vue de la ré- grandleseet, co qui fera lite»un conciliation un effort égal celui congressiste a J'ai l'impression fourni par les amis de Paul Faure, que si nous votioas imMdiatemmt, ce sont lm sdees de 1 orateur gui remoUrtIetrabirrd Ar t. n Tt d nold rappelle les efforts faits par ses amis au sein de /a commission dm réant:nions FEUX BOSON pour trouver m texte de syntlese, et souligne que st Paul Faure a 5,0 député d'Aim sii-p pEn-Prréozn.7 été volontairement absent de cette en? en ett do rou o'ngepe parlementaire, nomuireruelieruu'ou'eauultugeunl al 'l ru'uejeje à nos iodent IM aussi defendre le point de h qui vue du secrétaire général du Parti. Faure apporte dans le i de de deux hommes et non dise._ nous avons publiée dm» reprises sion de deux idem. tien et y ajoute de judicieux commentai. clartépoluers rt mmnium in.et,tnes froê,gdl.erltdipa.a- Un auccee considérable est fast à Porate. quand il regagne sa pla- ce. Les trois quarts du congrès se lèvmt et entonnent l'Internationale, oit i m mérité Cmt pourqUoi, MM. eenr rendu rot. Lui aussi tient à déclarer ne murait y avoir lutte entre qu'il ..° le maintien de cellem sur eux le déer eme qui devrait sire le hommage Lem Blum qui a été toujours partisan de l'en- hommm dont les qualité, se m.'«problèmerésoudre par piètent et qui, tous deux ensentle, P tente, il tient à préusser que ail es amieaou, oda minorité , ont rendu toujours à leur parti la.génenféiunce internationale encl- umes. ils n'en continueront d'inappréciables services. moins à donner tout leur dévoué Mais s'il défend. texte de Paul II appartient au Parti socialiste, concours au Parti et qu'ils demeu- Faure, c'est qu'il le trouve plus demeurant uni, de saisir l'opinion roront solidaires de gon action. Ce- conforme à la tradition du Parti. Ilipublique par toua lu 1110Yel1S de Wrtgerdnaülone,neldelCIOZ"?. rir à ms solutions. Léon Blum expose son point de utie Tout comme vient de le faire Fé. lia Gouin, le député de Narbonne commence par' lire la motion qu'il rapporte. Cmi fait il déclare qu'il lui a fallu renoncer à rapporter une motion d'unanimité ou de très grande majorité nomme il l'a fait à peu près à chacm dm congréa de- puis vingt ans. Si, après tant d'es, sais de persuasion qu'il n'a pas mé- nagés, s'il s'y est résolu, c'est parce qu'il s'est trouvé devmt un devoir impérieux. Le parti traversait une crise d'opinion. a J'ai senti la né- cessité de lui faire la confession sincère de mapensée dans des ci, constancm mceptionnellm. e Cette pensée, dit-il, n'a jamais varié, et s'il en fallait une preuve il n'y aurait qu'a, rappeler lm luttes que j'ai menées contre le traité de Versailles, l'occupation de la Ruhr, pour1le désarmemmt général, et»,,, Je n'ai pu changé d'opinion anr lm grands problèmes internationaux. Ils me connaissent mal ce. qui prétendent que mon attitude pré- sente est cakeéu par i'mtisênutia. me. L'accueil que j'ai fait au Do. tour Schadt me lave de cette accu- satina. Ce n'est pas non plus une question de rivalité avec Paul Faure. a. La vérité est tout autre, pour. suit le leader du Parti. Les événe- ments changmt rapidement de tout au tmt. Avant le grand» guerre, le socialisme en appelait aux proléta- rials de tous les pays, mais aujo.. d'hui la même attitude est impossi- ble, car tous /es prolétariat, ne pourraient répondre identiquement. Maintenant, la S. D. N. est morte. E y a l'axe Rome-Berlin-Tokio, l'armement de l'Allemagne, Panéan. tissement de la Tchécoslovaquie guerre faite par lm Etats totales' mes à l'Espagne républicaine. e A tout bout de champ nous pouvons nous trouver devant une coalition formidable. Que devons- nous faire pour ne plus nous trou- ver, comme en septenlhre, devant l'alternative soumission ou guer- re ? Notre motion vous l'offre, Elle n'est pas une motion de .guerre. Cali un prmédé de polémique de nos adversaires d'avoir publié que le congrès se trouvait entre une motion de guerre et une de pais Non ! Nom n'avons différé que sr les moyens de préserver la p, LEON BEUR. pana de la Fran., des buts qui cons- permettent de pen.ser qu'un jOUr re i A nom de la tendance Zoretti- du Parti mnummiste. Quelle preme française ? Eh I bien nous aussi nous denten- Nous demmdons sue soient four- rés en prison et vite., 1. Gignoux, les Miche/in, les Guinder, ces cm. de l'opinion, ces tem. satra compromettre l'indépendance de notre pays. a Après avoir parlé d. prétentions dalo-gerneaniques, Blum aborde la question des nactes. E ne conteste pas une révision possible et méme nécessaire devant une situation notivelle, mais il voudrait qu'on évi- te de les frapper dès msintensat l'une sorte d'inutilité. Aucun d'eux n'est automatique, mais ils doivent 50 CENT. MARDI 27 DECEMBRE 1938 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

M. TATARESCO - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1938/B315556101_MIDSOC_1938_12_27.pdf · uts,vait, dès cette époque, établi la dl- ... La

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Page 1: M. TATARESCO - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1938/B315556101_MIDSOC_1938_12_27.pdf · uts,vait, dès cette époque, établi la dl- ... La

ARNBE. 1,3.508.

ABONNEMENTS 1lnssbasfe.,5e,»lssOfe.lsae SS fr.

De la conquête de l'Ethiopie

à la dénonciation des accords de 1935

QUATRE ANSd'aveuglementet de trahison

de la droite française

ceNveut espérer que les réeents tue opération allai sûrement dan,

êvénern.ta auront enfin geretue que dégradante pour la Fran.re, les hommes qui, depuis qua- re,te» ans, n'ont cessé de nous PlEnnE 111.10401.EITE.

faire grief de notre attitude 9 t'égard (Life 2, éuiée eé, 2),porn,q, 1111111111111 lllllll 1:;11111111111111 lllll I lllll

de PIMIle et qui ont imposé malgré

Mme dont nous voyons aujourtl'hui lesfruits.

Quelle qu'ait pu êtrE en effet, l'ap-parente contradiction entre certainesargumentations de la presse italien-ne depuis 1934, entre certainea marne.vres et contre-manuvres de la diplo-matie dalimme depuis cette date, laligne politique qu'a stfiVietout au .urs de ces .nées a été cons-tante elle apparaît d'ailleurs tr. 0104rament dans les articles des Journauxfascistes qui écrivent aninimPind àl'envi: a La Prame mt-eile cru qu'ellenous satisferait longtemps av. les.ncessions de 1005»»

AMsi se vérifie-t-ii av. un éclataveuglant que dès l'origine, comme Patoujours si nettement aperçu et si for-tement exprimé ici notre ami AndréLeroux, c'est la Méditerranée end a étél'objet suprème de l'impérialisme mus-eralinien, et que c'est par mnséquentaux pmitions méditerranéennes de lahrance que l'expansionnisme fascistedevait nécessairement s'en prendrepour atteindre son but.

I.na l'exécution du pian généraluts,vait, dès cette époque, établi la dl-1.0111age tsariste, les accords de >m-ale» 1935 ont été un remarquable dé-imt. Avec une nahraté, une ignorancenu une présomption dont la démons-tration est maintenant achevée, M.rierro Laval a pu les célébrer commeune «liquidation définitive n des liti-ges franco-italiens. Mais ils n'avaienten réalité pour but que de donner lechange à la France, tout en lui arra-chant un premier ensemble de cone.-sinus, et en obtenant d'elle un consen-tement au moins tacite à la mainmiseItalienne sur l'EthlopiE Ce .nsentraruent, M. Pierre Lavai Pa donné sans.nsulter informer ie PegE sens laforme d'un acquiescement à Perpan-ine économique de l'Italie en euh,-

pie. Mals fort de la sit.tion ineroym1 Me où celui qui allait devenir chef, du gouvernement français s'était m s

en gardant le aecret sur ses tracta-ti d Roma le Duce n, pas 1.i.

Crama». Sang an e lereu PMatra des Affaires étrangères qui, ewanvier 1935, lui a aimi ouvert les por-

tes de l'aventure 1 Mais aussi préré-dent à méditer pour tous ceux qui;

pires en pâture à l'expansionnisme des

détourne de nous leure amintransDepula lues, mi effet. le PI,,, s'est'

exécuté avec une terrifiante régula-.rite.

Et Mujours Font favorisé sel cen-se. de ceux que lem candeur ou Muraaffinités pour l'Italie fasciste ont ame-nés à suivre dans toutes les conséqueneces la politique Inaugurée a ome par.M. Pierre tandis que, toujours,lea événements ont donné raison à ceux'

qui, comme nous, dénonçaient rlanPaooquinement avec le fascisme im-

ME111101U1111111111.11151hI llllll 11111111no

C'est la lute M. UNITout finit Par se savoir, dit-on.Cette par°. da la gmse PoPu-

laire vient, une fois desa Pliza, iiretre.nfirmée de façon péremptoire.

Et cette confirmation nous estAPPortée par les incidente franc,italRns, ou du moins par les extra-

antes revendications- de Mueso.lita.

Le gouvernement italien, cormeles lecteurs le savent, vient de dé-nonce» les accords conclus en 1935entre m. Laval et M.solini.

Dans leurs critiqueu dc ces no'Corde, qui d'ailleurs avaient accordéPassablement de choses à l'Italie,Mais rien à nous, dans leurs criti-Ities les socialiStes s'élevasent_a con-

t'e ce fait que, en réalité, M. L.evait leissé à Mussolini 1. mains/ibres pour la conquête de l'Ethiopieque le duce préparait activement,

Lu presse lavaliste, c'est-à-dir»le.

ermeréactionnaire, dément st y-

U Par l'ancien président du Comeilavait toujours protesté contre teeacc.ations portées contre M. Lavaiet affirmé que la question d'Abyssi-

e n'avait tellement été .évmPséeeutrent.les cheR de» deux goure'''.

Eh bien ! la presse réa:Mortaise1.11 trompait, eu plutôt elle terre/mut

Rédaction d AdmInistrallon s 34, rte Ihnteiallne, TOVSOUSR Tél. 200.43 C. C. Postaux 7.575

BUREAUX A PARIS : S. rus St-Angualln (2.) Téléph. Rithelka 09.00 (3 figues grOunées sut ce numéro)

M. TATARESCOambassadeur de Roumanie

a remisses lettres de créance

à M. Albert Lebrun

Roummie l'accrédite auprès de luien qualité d'ambassadeur,extraor-dinaire et plénipotentiaire à Paris.

L'ambassadeur a Prononcé meallocution. Il a déclaré notam-ment

Reconstituée dans ses frontiè-res ethniques tracées pour toujourspar la justice et le sang de ses sol-dats, la Roumanie nouvelle n'acesse de pratiquer dans l'ordre et /etravail une politique d'entente avectous lee peuplée, aidant de toutesses forces les grandes initiativesdestinées àeffaces les traces desvieilles querMles et à organiser lacollaboration internationale.

le pays et elle le trompait sciem-des Doiai.golreat%andreetdLo,ccette politique

ment. ssra poursuivie aveu pes:gesn'eMussolini n'a entrepris la con- et loYauté, le resseresms. des liens

quête de l'Ethiopie qu'avec l'a.en- qui unissent net pain sera, je leliment, qu'avec l'appui de M. Laval, mois, une nouvelle contobutionOn s'en doutait, on en eut aujour- /Organisation de la paix de cetted'hui certaili Paix à laque/le, malgré /es défail-

lances d'un moment, aspire laC'est la pre.e fasciste elle-mêmequi s'est chargée de confirmer ce eemeelettee de tous les Peuple.'que entre parti avait toujours dit Dans sa réponse, M Albert Le-depuis quatre ans et de donner des brun a dit entre autrei chosesprécisions sur lv partie de l'accord e L'élévation au sang d'ambas-concernant PEthiopie. sade de légations de France à Bu-

En effet, le « Telegraph° a, jour- carest et de Roumanie °Paris té-»al du comte Cimo, ministre de» moigne de la place importante queAffaires étrangères d'Italie, écrit votre pays s'est acquise dans /ene» lignes à l'adressa de la France ; concert des Etats par /es qualités« Elle oubliait que le pacte du 7 de travail et d'intelligence de msjanvier devait avoir une contre par- fils, par l'amure se/nem/able de »e-tic pour l'Italie r la main libre et construction d'un souverain éclairé.l'appui de la France en Ethiopie a. n Cette transformation ,réunnd

C'est clair et c'est précis, également au souci comun des deuxgouvernements d'affirmer de façonAussi il 'y pl. s'ét, n a à onner

de l'attitude scandaleuse, odieuse detc,,atant; la force et l'intimité de

, Cette emitié, ainsi me l'a notémois ou /e brigandage fasciste s est

en refusant de joindre ses effortsM. Laval a dashono la France ,r,1",,reeirm.,es

notre gouvernement pendant les e r am é.Votre Excellence, a été fortifiée pardonné libre cours en Ab l.eyasinie.

à ceux du gouvernement anglais vnè»ritretds 0% toeur7a n'pour empêcher /a conquête de F, ellernet

le travail et linduatrine de laFran-PEthiopie. ce et de la Roamanle ont trouve un

Mais M. Laval était lié par les dnmeine favorable à le»» Mem- 1

promesses qu'il avait faites à son erg dévelnnnement. Elle s'estcomplice Mussolini, son complice en énarionie enfin sur les Mans /esréaction et son complice- en renie- plus élevée de /a mémés ey de part,

SOCLALLS1.E

MOUS DEMAIIDORS enraudedél=ue eaPr'' l'éPul"-, quête économique. Ainsi a-t-il conquis les envahisseurs. Nul n'ignore, en

l'empire qui est maintenant sa base de effet, que ceux-ci éprouvent des re-Le proposition de Lebas rallie lajormitmé itleoeszlète et le débat s'eu_

départ en vne de réalisation. aux dé- yeuse importants et nombreux qui L'Indépendant ri du Lotset. meo

' h aller hard et as.titner la conquete militaire à la con- s.tes que rencontrent en Ethiome

Mais, s'il ne faut pas exagérer lmdangers, il ne faut pas /es négligernon plus,. car dans l'état de tensionet d inqumtude ou vit l'Europe, la

Ainsi, de même que l'amure né. /estes millionnaires.__,__lm

Le second, ne voulant pasfaste de le rémtion ee retreuve dans Nons demandons fusille /es I eatendre parler de guerre, a le cons-

Mee"5 moindre des choses a son importan-ce et peut avoir des conséquences

poi.nneursdictatures roc apaise leur fa.] et I on. redoutables.

I e formidable armement de l'Aile- Denecle, let I) sac glti 'Pr& tent souci d'organiser . paix.magne sous la dictature d'Hitler, de nédegleat lIaemeenar du itelie Dara ces conditions, la tendancemême liceuvre néfaste du lavalisme, Nms demandons m'on fasse taire, dite de redressement qui ne veutc'est-à-dire encore de la réaction, m oes Patriotes qui Prêtthent polie pas faire figure de franc.tireur, va

paix et qui mureraient les autres sels, ràip à la tends»»» In plus ra.

Hitler vient de dépenser 300 mil-I Faure.retrouve dans la tension des rap-ports entre la France et l'Italie, ten-sion qui ne se Serait Pas produit» SiM. Laval n'avait pas fait, à Musso-lini, des concessions exc.sives, fai-sant croire que nous avions besoinde lui ou que nous nous soumet-tions ses volontés.

Le mal est toit. Nous en suppor-tons aujourd' le poids. Il fautesperer néanmoins que rien degrave ne surgira.

rifeldeoseaaelüüe'.'Éll'eni::üqsrdrzéngell'üm<Tenguotrerr7surquenP2,i;n éenapponsqu'avecpeine.

111111111 llllllll 111111111 lllll 11111111111111111 llllll1111/ llllllllllllllll 111111111111111111111111

Akoutoota iodainukliodhotlidoestiik »shoot do olige

faire casser la figure. cifiste, c'est-à-die» la tendance Paul

Les belles étrennes!Un milliard et demi de crédits supplémentaires

pour 1030!

La IroisiCran jouie° du Congres NationalLe véritable congrès a commencé hier matin. 11 s'estdéroulé toute la journée et fort avant dans la nuitParis, 26 décembre. Le prési-

dent de la République a reçu au-jourd hul, 11 h. 30, en auchenceofficielle, S. E. M. Georges Tata-resco, qui lui a remis am lettres decréance par lesquelles le roi de

La majorité absolue acquise à Léon Blum par suite del'adhésion de la Fédération du Nord

Sur la politique inférieure, unanimité pour déclarer la guerre sans merciau Cabinet Daladier

La salle du Centre administratif de la mairie de Montrouge. Sur l'estrade le bureau du Co el

première séance ej, dit, il que les eferts de r

A 10 heures Mura Dormoy, an- pela pur leuee ''''',ee'll'Ie: du l'auto»

meut, men ministre de Pinte/mur, Mua-La situation actuelle, dont il ne Viser& dons dis &limas féconds/ . teuc de l'Allier, ouvre /a première

faut toutefois P. exagerer lot dan- den occesions de s'enrichir et de S. ' Séance. Il donne immédiatement lagess, est la conséquence directe des rencnveler. I parole au jeune député de la Haute-accords au bas desquels M. Laval r Les ...Id .a Pune' entre me ; Loire Thiolas qui vient défendre àa mis sa signature qui était, hélm i danx nava n'ont fait en'exPrimer ' la tribune une motion préjudiciellenon la sienne propre, mais celle de l'iditai comMun rue se pronose cet- I tendmt àrechercher encore un tex-le France, te emitié asiasente et naeinri"fi. s te d'unité.

Je le répète, il ne faut pet ma- unAntée la cérémonie le nrésident Lob o d 1 Feréd" tlo

gédrer lm dmgers qmuss

lue présentent les te. lu deeueeirtIcununauttSiemdeTer"n,.7.. I da Noarsd,'tout en L udéelar. anat en

mea instenta. L'embas,sedane té . complet accord avm précedentroomontades oiniennes. Le 1

bluff italien est dmtiné à masquer ensuite reconduit à son hôtel. orateur, Itu. fait remarquer que sales échecs subis en Espagne ainsi tardive initlatsve n'a aucune chm-

ce 'aou n'auueiment . l'avant . le difficultés sa. CeSu renais- d b tir Elle rait q lque

concetion.Aboprdant alors le point crucial

dont no. avons parlé déjà dans rnos précédents comptemendus, il dé- tiMare que les pactes mnt faits pour q

lent la paix,onnnous fessant coure Eli.tquaiure, pb1n

préserver de la guerre et non pourla favoriser; pour donner un maxi-mum de sécurité et non pas un mi-nimum et que, s'il y en a qui ébran.

ChOnl'a dit à la tribune de la par nue grande partie des congres-

ambre.Et bien nous demandons la muse-

sista,.

lière our les dégustateurs des fondssecrets,

ples pamphlétaires à gegen Arnold et GOIIM

les combinard. à la petite semaine,. tique, orateur poursuit : al. mouchards au mois, econi-

Devenant de pl. en plus pathé-

tards à l'année et les vendlesus détend( nt

deo assise., ojaliet iutte donne /ecture de la motion queadversaus voienes Il

appelle la position de Jaurès, sonpeisalicoe naieen.etsrte politique

Ce que redoute Gouin, m ne sontas exactement les terme, de la

motion Blum, ce sont les interpréta-uns auxquelles ils prêtent, alorsun la motion qu'il rapporte ne per-

. .

D'ailleurs pour les écarter pluseûrement encore, /a motion Paul

récoraias!ei,ohnajehautement on»1.ionn,dmanedanger ediguerre,recem elant ci% tnê ro eue. én:

Gon et d amibe des peuples. Ce,

pue nulrieéuvi,de're xaminer s'il ne faut faeelpeisaliotntdLesstItouuevrernnuerideenttosiepruiler'.

Sur cette question d'une imper. Nous n'am. à aucun degré le droittanceoappaie, réel effort de de leur chercher querelle a proposcomiliation a été hait par /es amis d» 0mpas, quand ils nede Paul Faure. aura

En ce qui concerne le pacte fran- Mais la motion ne se borne pascela. Elle préconise le resserrement,l'extension des amitiés de la Fran-ce pour qu'elle ne mit pas isolée ;elle amepte les peut., mais elle en-tend bien qu'ils soient seulemmt dé-fmsifs et contiennent la classed'arbitrage qui formait le fond dela pensée de Jaurès dara son actionpour la sauvegarde de la paix.

Telle quelle est, la motion Paul

tiMent . seconde étape de son pro- seront peut-etre contraints de quit- çaise (sir) demande la dissolution u

t dans l

Men M. sa Pro/men/de ea Fratten I Albertini est vivementapplaudi

en-somatique, et l'action a ramerpour briser les deux Rocs antago-

Demonne, le Camarade Albertnn nie. qui de plus en plus se parte-vient apporter l'appui total de sa gent le monde, les amis de Léontendance a /a motion Paul Faure. Il Blum n'ont pas accepté le point dedéclare qu'a la suite des discussions vue furist,s o. ',orateur

dderuslagerü'ndemise'olu'rnantds .05 rséson'tiumtirn:: le majorité était d'entraîner dernè-pensait cependant que le devoir de

festés au sein du Parti. Le premier re elle le plus grand nombre possi-veut la paix ; muid n'y croyant PeS, hie de membres de la mimrité. Cese préoccupe surtout de PrePUrer devoir, la majorité ne paraît Pas

l'avoir compris,Léon Blum a accep-

té de faire de sa motion une sortede chapeau pour satisfaire la mino-rité. Mais ce chapeau, a tout l'aird'un coup de chapeau.

Evoquant les accord.s de Munich,Arnold justifie la position du partisur ces accords qui ont sauve lapaix. Cette paix, dont noue sam.mm nous, socialtstm, plus que qui-conque comptables devant le pays,al profondément saigné au cours de/a dernière guerre mondiale.

que1sion vous croyez que estrades, ne nous laiasez pas ltout'imCema-pres-

pétulté.Nous demandai. aux lèches-

la malion Paul Faure dpésorm,auisi eytIleperrieuen ila.urpeérreirs

bottes de Franco, traître et ms.sin qu'il n'y a plu rien à faire qu'àde f...icher le came en EsPagne. On va entendre à présent 1oi ora- préparer ki guerre.

Et voueemmnsilemrintornueaflufermer,ràtueut. ulteurs de la tendance Pa Faure. Le représentant de l'Isère termi-

Voici Arnold, député de ('Item à ne son mposé en adjurant Léonla tribune où mn succès au fur et Blum de demander à ses amis ma-mesure qu'il parie. ira sans umse joritaires de faire en vue de la ré-grandleseet, co qui fera lite»un conciliation un effort égal celuicongressistea J'ai l'impression fourni par les amis de Paul Faure,que si nous votioas imMdiatemmt,ce sont lm sdees de 1 orateur gui

remoUrtIetrabirrd Art. nTt d nold rappelle lesefforts faits par ses amis au seinde /a commission dm réant:nions FEUX BOSONpour trouver m texte de syntlese,et souligne que st Paul Faure a 5,0 député d'Aim sii-p pEn-Prréozn.7

été volontairement absent de cette en? enett do rouo'ngepe parlementaire,nomuireruelieruu'ou'eauultugeunl al'l ru'uejeje à nos iodent IM aussi defendre le point de

h qui vue du secrétaire général du Parti.Faure apporte dans le i dede deux hommes et non dise._ nous avons publiée dm» reprises

sion de deux idem.tien

et y ajoute de judicieux commentai. clartépoluers rtmmnium

in.et,tnes froê,gdl.erltdipa.a-

Un auccee considérable est fastà Porate. quand il regagne sa pla-ce. Les trois quarts du congrès selèvmt et entonnent l'Internationale,

oit im mérité

Cmt pourqUoi, MM. eenr rendu rot. Lui aussi tient à déclarerne murait y avoir lutte entre

qu'il ..° le maintien de cellem sureux le déer eme qui devrait sire lehommage Lem Blumqui a été toujours partisan de l'en- hommm dont les qualité, se m.'«problèmerésoudre parpiètent et qui, tous deux ensentle, Ptente, il tient à préusser que ail esamieaou, oda minorité , ont rendu toujours à leur parti la.génenféiunce internationale encl-

umes. ils n'en continueront d'inappréciables services.moins à donner tout leur dévoué Mais s'il défend. texte de Paul II appartient au Parti socialiste,concours au Parti et qu'ils demeu- Faure, c'est qu'il le trouve plus demeurant uni, de saisir l'opinionroront solidaires de gon action. Ce- conforme à la tradition du Parti. Ilipublique par toua lu 1110Yel1S de

Wrtgerdnaülone,neldelCIOZ"?.rir à ms solutions.

Léon Blum exposeson point de utie

Tout comme vient de le faire Fé.lia Gouin, le député de Narbonnecommence par' lire la motion qu'ilrapporte. Cmi fait il déclare qu'il luia fallu renoncer à rapporter unemotion d'unanimité ou de trèsgrande majorité nomme il l'a fait àpeu près à chacm dm congréa de-puis vingt ans. Si, après tant d'es,sais de persuasion qu'il n'a pas mé-nagés, s'il s'y est résolu, c'est parcequ'il s'est trouvé devmt un devoirimpérieux. Le parti traversait unecrise d'opinion. a J'ai senti la né-cessité de lui faire la confessionsincère de mapensée dans des ci,constancm mceptionnellm.

e Cette pensée, dit-il, n'a jamaisvarié, et s'il en fallait une preuveil n'y aurait qu'a, rappeler lm luttesque j'ai menées contre le traité deVersailles, l'occupation de la Ruhr,pour1le désarmemmt général, et»,,,Je n'ai pu changé d'opinion anr lmgrands problèmes internationaux.Ils me connaissent mal ce. quiprétendent que mon attitude pré-sente est cakeéu par i'mtisênutia.me. L'accueil que j'ai fait au Do.tour Schadt me lave de cette accu-satina. Ce n'est pas non plus unequestion de rivalité avec PaulFaure. a.

La vérité est tout autre, pour.suit le leader du Parti. Les événe-ments changmt rapidement de toutau tmt. Avant le grand» guerre, lesocialisme en appelait aux proléta-rials de tous les pays, mais aujo..d'hui la même attitude est impossi-ble, car tous /es prolétariat, nepourraient répondre identiquement.

Maintenant, la S. D. N. est morte.E y a l'axe Rome-Berlin-Tokio,l'armement de l'Allemagne, Panéan.tissement de la Tchécoslovaquieguerre faite par lm Etats totales'mes à l'Espagne républicaine.

e A tout bout de champ nouspouvons nous trouver devant unecoalition formidable. Que devons-nous faire pour ne plus nous trou-ver, comme en septenlhre, devantl'alternative soumission ou guer-re ? Notre motion vous l'offre, Ellen'est pas une motion de .guerre.Cali un prmédé de polémique denos adversaires d'avoir publié quele congrès se trouvait entre unemotion de guerre et une de paisNon ! Nom n'avons différé que srles moyens de préserver la p,

LEON BEUR.

pana de la Fran., des buts qui cons- permettent de pen.ser qu'un jOUr re iA nom de la tendance Zoretti-

du Parti mnummiste.Quelle preme française ?Eh I bien nous aussi nous denten-

Nous demmdons sue soient four-rés en prison et vite., 1. Gignoux,les Miche/in, les Guinder, ces cm.

de l'opinion, ces tem.

satra compromettre l'indépendancede notre pays. a

Après avoir parlé d. prétentionsdalo-gerneaniques, Blum aborde laquestion des nactes. E ne contestepas une révision possible et mémenécessaire devant une situationnotivelle, mais il voudrait qu'on évi-te de les frapper dès msintensatl'une sorte d'inutilité. Aucun d'euxn'est automatique, mais ils doivent

50 CENT.MARDI 27 DECEMBRE 1938

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»ffl 2être executés tels qu'ils sont à un que le débat sur la politique étran-pitom.t précis, et c'est lb es qui le gère se terminera vers 23 heures.

, sépare dre unis de Paid Faure. On passera au vote et il est vrai.Qumd il a parlé de l'amitié free- semblable que par suite de l'adhé-

co-britannique et de la néce.ité de site que la fédération du Nord atravailler à un rapprochement rus- apporté en majorité à La motionSa-américain, Blum poursuit i 1Léon Blum, celle-ci obtiendra la

Tokio.

a On parle de blocs idéologiques. I ...imité absolue.J n, nein ou,an, le seul gui ex._te Berlin-Rnae

Paul Faure bénéficiera de l'a p-point de la tendance Zoretti et &Me

, o.a Nous n'en connaissons point Ms partie des mandats de la motion

Clauses par le détail, mais nous les Weil-ReYnal.connaissons pour les avoir déjà en / Dès Onze ce vote sera acqUiS, on

ouvre. D'autreu nations le voient:abordera alors la discussion sur laaussi. Cela peut 1. porter à se rap- I Politique intérieure.

Là aussi deux tend.ees se le-procher. Elles ne le fPe ras (JOsouhaiterai «elle le fissent), mais ' ront jour et deux motions seront en

I km bloc, justement, ne serait pas présence. Lime rapportée par Jules

I idéologique. Il suffit de nommer [Mo., député de Sets, reflétera leset 'Amérique. 'idées de Léon Blum, tandis que

l '

a La formule des blo. idéologi-rll;ll'lln15 ders-nn.Flée Par l'OilC°3Jrni,

.1 erses est donc dangereuse rate ! idées dede a liZejib ePalhiereé. les/ - ,;p.eus'elleet este creelçleolidepsaEste.iptpoitoala01;1 Tandis. que Roucayrol déclare

g6 la part des autres pays. et dire .!alletnnestbrellte ans Fitsounnléneestene-

cela n'est pas contester la possibili- française er peerocelamanetl la nécessité d'une coexistence Peisible des té de constituer un gouvernementtotale totalitaires et des autres. I

a Qui donc a contesté la -volonté ',..deenl..ib?

-neut _P,i'an nllede.frecetteb'nnrenenyonenpiibllsmsen,

'de réalise_, d'organiser cette eoexim 1 rienene'elenunonaine, s'iltence I Nous soin.. Presnen en. hostile au gouvernement actuel, nete rendes nous, ta Fran.e v`mns" précise ries en ce qui concerneche dont fai déjà parlé. Etes-vous l'idée d'unité française et laisseraitsûrs roue réo..er d'acquies...n,i le groupe parlementaire libre d'agirde l'autre côté ? zau miees des intérêts des travail-

L'orateur en a terminé, 1.1 COn- leurs, oU du mains de ce qu'il esti-Out dune en disant : merait tel.

Je suia un homme dont la ba- Il y a de grandes chances que les.tene peur la paix a rempli relis- votes sur ces deux motions ne

tence. Mais vous n'avez pas de soient pas identiques à ceux sur leschance de persuader les dictatures motions concernant la politiquetotalitaires si vous ne les persuade. étrangère. Et sans aller juaqu'àpas, d'abord qu'elles ont intérêt à croire, comme certains congreSsis-courir le risom de la guerre, a tes, que Paul Faure pourrait obte-

Bentile de dire que le dengrès fait air la majorité, nous pensons que leau chef du Parti Une chaleuaeuse nombre de s. voix augmentera

considérablement quand vers deuxovation.Blum a parlé de 11 h. 40 à. 13 heures demain matin on passera auIi. 40, Fatigué par ose eltort, il est vote,obligé de rentrer the lui, prendre Ce sont ces débats que nous rap-in repos mérité.

MM. de ta première nese anglo-itallen ne pourrait être signé

---s0V---La deuxième séance

I Le même bureau est à la tribune. Notons avant de tennis. queTout d'abord, le secrétaire fédéral Paul Faure interviendra très brié-Du Pas de Calais, tentant un suprè. ven.ee.nt dans le débat de politiqueene et dernier effort de conciliation, intérieur.demande au congrès de désignerune commission composée de PaulFaure, Jean Lebas et Léon Blum,qui serait chargé de rédiger un tex- Amour du Congrèste d'unanimité. Le congr. est d'un setout autre avis. La proposition est,runii.tn.nnnun tludiuvessn pour.'

Un fait a surpris les vieux rem-bers dei Congrès nationaux, c'est

Le premier orateur de la Soirée l'absence du bireau du Parti sis tri-est le camarade Lebel], délégué de bute dr Cone.,la fédération de la Haute-Vienne. Ni Paul Faure, ni han-BanitsltSe rappelant Ses interventions re- Sévrrac, Le se sOlit assis à la ',Suiemarquables lors d'un, nui hur el ordinairement réservée,congrès, les auditeurs lu accor,ilmt 112 sen. installés dans la saliune attention soutenue, que mente /urinai des amis de leur tendance ntson talent. ' céle naine évidemment ua certain

Il va défendre le point de vue de einiit ers bruits qui courent dansPaul Faure, en s'attachant surtout les couloirs.à, la question d. pactes. Il indique Osquell. sont d'après lui les raeilleu- ' titisme en effet, ocres le Me-ren façom de les faire puer en les s,bns Pbt en ;ente, .1

einem. mmethatement sa la empaniMerprétant et

entuat

tenant compte et qu d est fermement décidé à lades nouvelles siions internatio-nales, de lem phyoionomie et des ms/riss/unicomequenc. qu'elles impliquent.,oest très optimiste en me gni conCem-j '

ne les p.sibilités de conversation Puisque nous parlons Ms bruiteavec les Etats totalitaires et prin- de couloirs, il en est un qui rmdecipalem,ent l'Allemagne, avec insistance et qui com,rne no-

Puis, poursuivant son exposé, il tre camarade Vincent Auriol,se déclare u littéralement appuya. On Prête à notre ami Ihntenhpnté en voyant Léon Blum accepter de donner sa démission de iecrelai-Ziromski à ses côtés a. Car, dit-il, r du groupe Parlementair. Le dé-je ne puis oublier que celui-ci est Prié de Muret, aurait Me narre enpartises de répondre à la fores par Ma `lofant Téliec g nuet 'Pee-le même moyen. Cela implique avent imésident du groupe la eitoute discussion internationale une Parlement, défendre la notion Paulcourse échevelée aux armements Faure.amenant fatalement la guerre '''est Pour ce qui eimerne Paul

Avant de parler de fermeté sur Faure que pour ce qui u 'nia à Vin-le plan' international, il serait peut- cent Auriol, nous faisons les pine euêtre plus utile de tenir un langage Prese. réserves. Ce n'est pat le pre-identique dans le domaine intérieur mitre fois que de telles rdnieurset notamment pour la défense dea ses en circulation, S'évearellaSentlois socialm que nom laissons aine- vent l'attachement dont nos -mare-miser dangereusement. ' des font preuve envers les mandats

Tout momme- pour Arnold et Lite que leur confie le parti.Blum, le euccès de Lebail est trèsgrand.

Une erreur bien involontaire flotscharles smnassio a fait irnprmer que note, ^amandeés Paul SaintMortin. démit) du Geis,

avait parle en faveur de la Il. PL'ancien ministre de Léon Blum nh'est tout le contraire u s'est pate

porterons demain, car nous venonsde donner bien hâtivem.t quelquesimpressions de séance, susceptiblesd'être modifiées au cours des dé-bats qui continuent au moment oùnous téléphonons,

se retourner contre nous.La droite, cependant, les s cartbat,

tues contre noua Elle a permisPierre Laval de les saboter. Au débutde mars 1990, rmand M. Eden Prelm-sait à Genève l'application de la mue-tion pétrolière qui aurait encore purenverser le murs dee choses, M Stuc,des. mandataire de In réaction Mue leCabinet Sarraut, l'a refusée, comme l'aed souvent relaté, et avec tant de pré-cisions, notre and Salomon GrilmliachiAinsi a été assure le trient', e a len

cesses est prise la ressema françai-se, et à nous qui avons dem. lem

.1re.:,1.1 ufireelsiu rtsndeq.e,,,deujjins pozr.

liominea arrivent à découvrir rintéretvéritable de la France dans le drameespagnol. Aujourd'hul même on voitM. Pierre Laval parler de l'envoi d'unreprésentant français à Burgoe et les

/va tracer un tableau de la situation jeumj_muoun n jm no,extérieure. Il le fera avec sa ma- propor,,.w,nière toute personnelle, fort abs-traite, mais d'une hauteur de vue I

Butin n'analyserons pas son dis-, Autre erreur ou plu. extasiascours, faute de place ; cependant, réparer. Dans la délée. be de lail nous faut bien souligner les argu- Usure garants figure notre atm (dé-ments nouveaux qu'il a apporté ment Faleucci, adjoint au maire dedans le débat. Toulouse.

Parlant de la production du ma-tériel de guerre, il a montré la né-cessitè pour .sur

bier un maximum p.i., casede production, de détacher un sommes re-

grand nombre &ouvriers de l'indus- bs1.7 Certain°. erre

quer des engins de mort. De sorte

.. MI olli'MOn.trie prit,. pour leur fmre fabm- s

Issu par la motion Léon Stem. nom sommes plus que jamais cer-C est 2600 mandats qui sont gages tains de nos succès et de notrequ'il faudra demander aux ouvriersdemeumnt 0,.p denn jeu mu. à notre collaborateur et non Pb. triomphe. Nous ne pouvons pas

de nie off, unnuiérnente, comme nous l'avons écrit. vous demander de renoncer à vo-re pour compenser le travail qu'au- tes entreprise dévastatrice. Celaraient effectue leurs carnarad. dé- ne dépend pas de vous. male de

hétacs' dam l'industrie de guerre, ceux auxquels vous avez vmsalisé

àDetelle sorte que la préparation Le sénateur Kingla guerre ex'e de tout le prolé-

tariat un effort sans cesse accru.Spinasse signale cette conséquen- propose le boycotl

ce sans en tirer les conclusions, lais-aant au congrès le .in d'apprécierson argumentation comme il l'en- économiquetendra.

clusien quand ll indiquera lde

a née.- de l'AllemagneDe même, il ne tirera pas con-

eité de se placer sur le même ter-rain et forces égales entre négo-ciateurs, à seule fin que les conees- Washington ' décembre. Le sé.sions que l'on peut être amené à latent' /ling, démocrate de l'Utah, afaire à l'autre, ne paraissent Pan proposé aujourd'hui la cessation desêtre la conséquence de la crainte.

des liens commerciaux aven le Reich..`s

'A ce moment, un délégué monte73p.atf fere. chancelierouvar.Hmitel.etr

tue nà la tribune, male une panne d elee-tricité se produit. Et comme il est19 heur., le congrès décide sage-ment de se séparer et de renvoyerla séance à 21 heures.eoz

La séance de nuitA la reprise, on apprend que les

25 orateurs restant inscrits dans le Audacieuse agression dans un traindébat, ont décide d'un commun ac- à Manillecord qu'un certain mmbre renon-ceralt la parole et que les .autr.limiteraient leur Intervention aururàinu:surnillsiojstrict nécessaire pour préciser leur Catisse je. un, et

, De telle sorte qu'Os peut ealaérter estivai à 150.000 da... ---pensée oit celle de leum amie. I d'or. te se sont enfuis avec rall butin

relations diplomatiques et la rupture

lemand entretient des relations com-merciales avec /es autres nation.

Le boycottage économique par lesU.S.A. et les autres grandes nationsdémocratiques, a-t-il conclu, frappe-rait Mêler là oh il 555 particulière-ment vulnérable a.

Les sanctions oestre rrtaiir, auraient qu'après le retrait des ionienne.. Ra-

mi Peri-Mer net dans cette entreprise .'"° °"ria'éthiopienne dont la sulte des aven,

Calahlberhan que la droue a memme

ment. a montré qu'elle n'était pas seu-qmnd m. Eden a da quitter le cabinet

Muent critrilneue, mais qu'elle SerraitbriMnMeme. Nous qui déplorions le dé-part de M. Eden, nous qui disionsqu la conclusion de aCCOrd ang o-itste-en avant le règlement de l'affaired'Espagne était plus qu'une duperie,

Les revendications italiennes

sont le fruit de quatre ansd'aveuglement et de trahison

de la droite française

LE MIDI SOCIALISTE

ver encore ea faute m mettant rac-rond du Ili avril à exécution sans queMussolini ait retire d'Espagne plus de10.000 éclopés, elle nous a eMuers aupilori. Elle mus a dénoncée commedes eectaires. Elle nom a flétris dunom de bellicistes. Contre mus elle a

en méme temps qu'en noua aliénant promis monts et merveilles dune

miell'Angleterre,ce miel de la mnetIon pe-tuollém dr e przi enalL reeeelerpe.s.ojrpusln Rhénanie par les troup. alleman-

mente aessitdt t'essaies eepugoulr.

de.

speta lui avale dssss us Empire s

le zr.ee.éttelLr. e est lest svaeune étonnante determination. Le la

LE ROLE ITALIEN DANSL'OFFENSIVE REBELLE

négociation francoatalienne, laquel-le pourtant le discours de Gen. n'apas tarde à mettre un terme Injurieux.Contre nous elle a proclamé qnoremmaissance de la conque. italien-ne en Ethlopie, que renvoi d'un am-bassadeurà Reine aliment ramenerRome Vers Paris.

Le démenti à ces prophéties men-eongères d'une Mule de rats et d'unepoignée de partisans ou de stipendiés,il est là maintenant.

LeS manummtions du 80 novembreà Monteeitorlo, la campagne Monismenée depuis lors par la presse ita-senne, et, l'autre samedi, enfin, la de-noneMtion des moeres de janvier IBM

leeetC.,7tett ,pue

lai s relatafaveur de laquelle l'afflux d'armes etde nuercenair. italiens n'a pas cessédem. ors.

Devant mtte menace el daim, e'est ont contraint même les plus Insemespourtant aux républicains espagnole de ...mer 00 mue a gond.. lem

politique de complaisance, de tracta-tions et de complicité à l'égard deMuseohni.

Par les lettrm seerètes a du 7janvier 1615,M. Pierre Laval a nea l'Italie le pied à l'étrier.

Elle formule aujourd'hui contrenous un programme de revendicationsIllimité, appuyé par la menace de la

gros baMMons de la dente souhaiter force.se Espaguc 1meommeoee ,Foreco, Voilà le résultat de quatre ans de

m° 0° diplomatie fasciste, et de quer. ansque fait la réaction française, tamile d'aveuglement ou de trahison de laque lm républicalm espagnols meurent droite frunnni.e.hérolquement pour assurer notre sé-unun te..., tut. nun

`'"Au moment oh le péril se lève de

léglom Belo-allemandes de Franco et nouveau pOtIP la Fran, il Malt né-

en empêchant rétablieeement définitif ...a.. de .sauver,

des Maliens le long des Pyrénées. Et de dire me pour nousAn début même de cette année, Pin- ne Mame.. Pas avoir conflan.

Met de notre paye en Espagne était si. dans les hommes ou les partis qui ont

clair que toute la France aurait do donné ses meilleures arme. an P.Vaapplaudir M. Eden lorsqll'il rendis.- qui sensSait à Mi Chamberlain qu'un accord P. B.

En EspagneCe sont des forces essentientmentJ'unes nui animent le secteur de

Trou] et de sarosLA SITUATION ARRESTATIONS EN MASSE

L'offensive de Franco, violente,1EN ESPAGNE FRANQUISTE

massive, a, comme h était prévei- ' Hendaye, 26 décembre Les ra-hie, obtenu quelques premiers ré- net voyageurs autorisés à sortu detest, dans la zone du ria Sègre, la zone rebelle confirment que les

La bataille se poursuit sur le arrestations continuent â un ryth-front de l'Est et, jusqu'à nouve/ or- me accéléré,dre, Il convient de s'en tenir aux A Burgos, Valladolid, Earragoese,communiqués des de. adversaires. Pampelune, Saint-Sébastien, de

Jusqu'à présent, les armées laya- nouvelles prisons ont dû être am.leu tiennent résolument devant nagées. Les prisonniers privés deadversaire pourvu d'un matériel de nourriture et d'hygiène, sont sansguerre formidable, un état /amentable.

L'abondance des moyens de des-I Les quelques rares touristes quitraction que les alliés de Franco ont passé la frontière ces tempsont jeté dans cette bataille est soi- derniers dans le but de suivre 1111-demment noue, grave cérame de la fameuse route dedéfenseurs de /a République, m guerre ont étéais

ment et on dûfouillés minutlease-

abandonner tousles conditions de terrain et les con-ditions climatériques dans lesqbel- leur. Paniers bellssinnes nyses,/es se poursuit cette bataille con- l'urnes. elsQuanttiennent, m mus l'avo dit hier, in- 'so aux étrangers autorisés

e/niables a la résistance républicainertir de la zone. même tes Alle-contestablement, des éléments fa- Islands et les Italiens, ils sont Mll-

et dont elle saura, san doute, tirer gés t'abandonner tous les papiersqu'ils emportent.

P'Lretislimnsident Nellsin n'a Ints hé.'l tanUnte société hollandaise a été °bil-reerésentant d'une imper-

MS, lisischnneri dans sua nllasz gd de déchirer le carnet de rom-troPne gourernement de Fran- mande contenant les adresses deco. ses clients ; des lettres de sa flan-

A l'instant où vous lancez des di- Me ont subi le même sort.visions italiennes sur un frontcomposé de poitrines espagnu'es 1

UN DERIENTIParis, 26 décembre. On dé-

ment officiellement au ministèredes affaires étrangères que rin ma-tériel de guerre italien ait transitéen France à desti.tion de l'Espa-gne nationaliste

LE COMMUNIQUEGOUVERNEMENTAL

Barcelone, 26 décembre. Frontde l'Est Dans la sore de Trempsecteur de Montsech, les soldats es-

C'est l'envoyé spécial du e Mes- /mamie ont repoussé totalementagero de Rome sur le front na- toutes les tenta,tives d'infiltrationionaliste espagnol de Catalogne de l'ennemi, efficacement projeté

qui donne les dételle lem plus corn- par l'aviation,plets sur l'action des troupes Pa- Les factieux ont sue! de nom-iennes dans l'offensive actuelle- ibj,,eeinsteasg-epertes sam obtenir aucun

ment en COUS. Les voletLe secteur du bas Sègre, ewrie- 1 Dans la .0oo d. Sarre les

Pat eenn du nejt,u mg,onnueje sions Prune:mes, appuyées coneram-tallen qui, bien entrainé e bien ment Plis l'llyinnene InblInnsleconduit, a fait en trois jours à pei- saMes, poursuivent leurs rata-ne une brèche qui, désormais, dé- Fie., f°,nt, boa Positions. Maigrepasse 24 kilomètres de profondeur. in,jsstsindles sels*écartelé les deux

nul 'ésC'est un énorme coieermélre untliejneleliml'auntgrsetblbenes l'ennemi

de résistance des rouges et unir D'autres Mtaques peuesées pargyn,ujrn boue tue, remjuare ,1 ennemi en direction d'Aires e. As-

,. été totalement eenonsefes.la secteur d'action assigné aux au- Untoen nernt d,nrmueu gut nnensene Toz..,ois:annoke ont été annihilés par les armes de terre.sur les flancs.

I Les avions républicains ont tom-Es même journal italien ajoute bardé efficacement /es /Ignés et /es

d'autre parte

concentrations rebelles.Peur mtte grande offensiVe Es, le Front d'tremadure : Au Cours

/

géeéralissIme Franco a mobilisé six de la nuit dernière, nos forces ontautres corps d'armees ce. de repoussé un coup de main dévies-Nmarre, d'Aragon, du Maroc, de ché par l'ennemi contre nos nosi-Maesrazgo et deux de nouvelle Tor- lions du secteur de Cabeze de Suey.mation qui ont pris les noms d'us- I Sur /es autres fronts, rien à ai-et et de Catalogne. Ils ont été gnaler.

échelonnés selon les pomibilltés Aviation. L'aviation ennemie atactiques manreuvrieres de chacun bombardé aujourd'hui Fous, Mire-sur les 128 kilomètres de front qui nosa del Duque, El Viso et Plusieurss'étend -des Pyrénées à la mer en endroits de la côte situés au seinuiv.t la ligne dee fleUve, e ide la côte catalane,

LES NATIONALISTESANNONCENT UNE AVANCE

DE 10 KILOME,TRES

Lérida, 26 décembre. D'un desenvoyés spéciaux de l'agence Ha-vas .

< Reprenant leur progression aupoint du jour, les nationalistes ontpénétré un peu plus profondémenten territoire adverse, aux deux ailesde leur front.

a Au nord, les troupes du généraiFranco ont avancé de 6 à 8 kilomè-tres en profondeur, en direction tel'est. Au sud, el/es ont conquis levillage de Cogun, et, aPrèS uneavance de nrès de /0 kilomètres,sont arrivés, à la tombée de la nuit,aux abords Immédiate de 11.Mpor-tant nud de communications deGrenade/a.

La route de Granadella-Valleest sous le feu de l'artillerie natio-naliste. a

LES FORCES ENCIAGEESSaragosse, 26 décembre.

affirme à Saragosse que des vingt-sept divisions engagÉes par les na-tionalistes sur le front de Cata/o-gne, nue seule est composée de Vo-ontaires italiens.On précise en outre, que lee lé-

gionnaires ne font pas partie destroupes de choc chargées de per-cer. Dotés d'éléments Motorisés outrOupes qui, après la rupture ex-ploitent l'avantage augets et rem-plissent les missions d'éelaireursdevant le gros des troupes.

Les troupes de Che, par centre,sont exelusiVement espagnole, dit-on. Elles Se COMpOSent, entre au-tres, des corps d'armée d'AragOn etde tem d'Urgel, de Navarre et de IMastrazgo,

LA BATAILLE REPREND

Burgos, 26 décembre. A 10heures du matin, les opérations,ralenties par le brouillard et lemanque de visibilité, ont repris,

!erra catastrophede chemin de fer

en Roumanie85 MORTS ET 325 BLESSES ONT ETE

RETIRES OES flECOMBRES

Bucarest, 26 decenume. Une ef.troyen. mu-strophe de chemin de terc'est produnu au cours de lu nuit deNoël. Un tren de Voyageurs ahmat- deGalata e chisinau est entré en collision,a proxinnte de la station de ValCaitaeiBessarable du SucD, avec un autretrain de voymeurs venant en sens s-urets la choc a Cté terrible. JUsquaprésent, on a dégagé des décoMbreS85' morte et 235 nesse., dont beaucouurent dans un état grave.

Les communications. partictillerernentprécaires en raison du mauvais senauet les lignes téléphoniques coupées.rendaient difficile l'organisation desrecours, tleanMeina deux Raina aveudes médecins et du personnel infirmieront pu être envoyées de Galata sur leu

Les deux locomotives et sept masoesétaient complèmmeet vemytul 1555 lesautres wagons étaient pins bu morne

Nt Ghe'inegemm, ministre des Com-municationa et M Marinescd ministrede la SaMe publinue. se sont rendus surMeee dans R nuit même.

De la premiére enunête h lamelle ila rie proc,dé. il résulte oue le tests deCleittta à Chastrau. qui aurait ch) at-tendre dans la st*tion de Valcaltsel, letrain venant eo sens inveme prit ,noterdes mirera', encore Mconnues le démetavent d'arrivée en PRI, do Ventre irginet Mye Re Van- dam, re dernier convoià nueloue distance de /a station de Val-caitaet

Le voyagede M. Daladieren Corse et en Tunisie

Pari& 26 décembre. -- M Erie La-bonne readent général de ne°. enTunisie, est arrIve ce matin à pariaAux journalistes qui rintemogealent sela situation en TUrnine. M Labanne adénigré

iittlatiOn est meus calme et l'étatd'esprit de La population est excellent,Les travaux du grand conseil se sontdéroulés d'une façon harmonieuse. DeSPluLes,,a.,or.bo:dant:e. sson dans letombées da lepays, ce qui a donne naissance â de

M Eric Labonne s'est aussitôt rendune coMpagnie du commandant Allaischef de con cabines militairn au minis-fere de kr Guerre, su U a conféré pen-dant plus d'une heure et demie avecM. Edouard Daladier sur l'organisationdu prochain voyage du président du

a'u0

ravinesid'une conférence nul

aura lieu demain arrês.midi que le leo-gromele de oe viname sera définitme-

m'Isesarillén côté. M. Canter. directe', ducabinet de M Dalacher a rem M. Fe,tirjean méfet de la Corse.

LA REPONSE FRANCAISEA LA NOTE TrALIENNE

Rame, 38 décembre. Comme suiteà la commoniCaton du 17 décembre, par/amtelJe le gouvernement fasciste infor,malt le gouvernement nantais qu'il netenait plus pour valables les traitesfrancoqtaliens de janvier 1995 64 An-dré-François poncet, ambassadeur deFranee, a fait 'tenir au emnte Cano unenote eut constitue un exposé du pointde Me français sur cette question

Un avion égaréen Méditerranée

Toulon, ° décembre. avion detransport anglais, venant du °aire et se

Murs sont d'ad= anddemade,ee poser sur la

merMm-Mandrier.non loin de la 'tat's

aéronautique de SUn ne dépiors aucun accident de per.

Le froid10 DEGRES A VESOUL, 'SENO

DEGUE A PhliFiGNANParis 211 décembre, Le Plus bas-

se temperalure enregistree ce matin7 heures, est sans doute celle que

marquait le thermonlètre à Vesoal19 degrés ; la plus haute serait cel-le annoncée de Perpignan avec els-

. degré.Voici quelques autres teroperatures

de la matinée brima, 11 ; Auxer-re, Chateate Chinon, Chalon-sur-Sao-ne, 12 Dijon, II ; Nancy, Abbe-ville, Beauvaise, 9 ; Rennes, Metz,Le Bourget, Lyon, Tours, Podiers,Clermont Ferrand, 8 ; Orleans,Granville, .7 ; Le Havre, e-6 Bordem, Rochefort, Marseille, Calais,Montélimar, 5 roulouse, Mari-gnane, Pau, Cuneo., 3 n Cher-bourg, 2 Antibes. plus 3 degrés,

LA NEIGETarbes, Pe décembre. L'offemi-

ve du froid et de la neige ses ra-lentit pas dans la region des Hautes-Pyrénées. Cependant qu'à Tarbes ongrelotte de froid Sous Un ciel sombreet .11 continue â neiger à Bagne-res de Bigorre, à tel point que l'onpeut faire du ski sur les pentes avoi-sinantee un clair soleil régne mur lePic du Midi.

Autour de //observatoire da combedne neige atteint 2 m. 20.

LA SAUNE GELEELa seconde vague de froid Menou»

rée par l'Oé N. M. se fait. eente sur,le Chalonnais-Bourguignon, ou lethermomètre est descendu à 10 et12, aiore quIner il marquait --3 et4 degrés.Depuis hier la Selose est gelée anport d'Our..v ou elle à 55p mètresde large. La navigation est interr.,

A AUCH1

Auch, 26 décembre. Si, malgréun temps uniformément couvert etgris, nom n'avons pas subi à Auchde nouvelles ebutee de neige depuisIn nuit de vendredi à samedi, cellequi est tombée n'est Pas enclise 10.-due et /a température qui descend,la nuit, à 8 n'arrive pas dans lajournée à remonte, an -dessus de 1

La neige recouvre toujours les esenpagnes, les jardins et les tolis et leverglas continue à rendre glissantespas mal de rues et de places publi-ques. Aussi Ii circulation est-elle ré-duite à son strict minimum.

Con Cd 1 IllrererLA SITUATION ECONOMIQUE

ET FINANGIERE DE L'ALLEMAGNES'AGGRAVE

Berlin, 26 décentere. Le s Bulletindes Lois ria Reich s publie me ordon-nance contenaM une nouvelle reg.-mentation du contrôle des devises rag-gravant encore. On y von appargitrepour la première fois le principe mi.vent L'exporMtion &liner. de MM.tatur est considérée comme une infra,um am, onesoriptions.emrlea Male.[Mme st cette exportation.asirreallseePst des mayens qui es orentrevismontPas directement MM probibitione et auxlunitations édictées par le législationFur les devises. Les mineux compétentsdéclarent que la homélie ordonnenée apour objet d, fournir bne arme eftlaccelcontre ceux qui tournent la /oh maistend égMernent b ne pas entMvettrafic honnête par de nouvelles re,strie-1bons.

L'emploi de la marge mensuelle dedix marks est limitée par la monteurordonr.ce à un nombre restreint secas Cet, Marru ne'pourre notammentpas etre affectée h renvoi de secoumdes nersonnes res'clent O l'étranger

Notons nue demis le début de le38le défait de la VICenen rom/remet> ah>mande est devenu presti, catestro-

LE RAPPROCHEMENTPOLONO-SOVIETIQUE

S'EFFECTUE PEU A PEU

Mercredi 23 décembre àRAOUL S'URI (72 kg)

champion italien

GEORGES FREYMOND(73 kg)

Champion de ParisSANDOR NEMETH (78 kg)

Hongroisex-champion d'Europe

HERB PARES (86 kg)champion du Canada

PENNY SHERMANchampion du monde

des mi-lourds

A PansA LyonA NarbonneA MarseilleA Tu

POUR TOU Ot SEBRULE VIF . cigarette

non des peler., entre pu. u u e etla Pologne, annonces par m récente cle-situation someto-poloname se poursuitdune, manière satisfaisante. Lee pguenons Inpuntes se liquident iirent'Z

Les négocierons menees a Mem, nueLyehotrki représentant du Mi/m,

tare du Commerce polonais, ontabovt'à un accord de principe en vue t0 luconcluSion ulteheure d'une

nomencommerciale entre les deux pays s;base du clearing et de la balenefos.--importations et exportationu récite,mes.

Les InformatIOna lames à Pétra,selon lesquelles la déclaration maleVOlonaise prélude à un rapproch,laditioue plus accentué sont pr,rées ceneedent on a rimnressionles démentis officieux rus=es rent=neti nhts incerta, nrieretenais on autant Ici one dans 'grrn'rom ertnere ms choses vont vite

mi usrat Inmeteamblabie'dttut peut /e devenir monts delnell''

LA TENSIONEtISSO-MANDCHOUE

Tokio, 26 décembre. on aru,en-cutine importante conférence a eu belenecirLt R iired, King. capitale luafin derrysager des mmeanu'rhe' >1511s "

tenforcement de la défense des frofuti6.-4res dv Ivlandchnukono s contre Une ai-tuque éventuelle des Russes p.

I 512E FERA HITLERPOUR S" 5M5MUSSOLINI S

Tout es que Ion savait bise MirFons-nous dans a PrjEuvre », était

POr

20 deeemore,fintserraa.v,,alt.crthem.und.6

résenter 'ayant pe 1 janvier un menarandum detatire sur les mye/Micaitaliennes. Mémorandum ne comprenantnue les revendications territoriaMs ju-,tannique én Méditerranée a. Ce mem,landeem doit corp étudié par /e Omit.Permanent Italnalleinand de Munich.

22. Rinke, parait-ir discute déjà, Mimatin au soie. avec son entendage 'dola questiOn du soutien à l'Italie. Sté ce-Iere cmItre l'Angleterre lui aurait cestours derniers, inspiré le désir de. reseneascit,ér nepotu,,d.br,MireAngete.ft,G,,uell,liestimete

il voudrait eseaver de galvaniser sonneunle avec ce &éden. SI faisait puna-ntmite sur cette pirttims. it voudraitse IanCer t carpe perdu derriére

kr

CA ET LA..,L'ETAT DE SANTE DUDOCTEUR GOEBBELS

Berlin PA décembre. Au sujetde l'êlat de santé du docteur Josephcapideele ministre de la propagande,alité delams quelques jours en raisond'or. rilMe Intestinale les Milieuxou or ses dee tirent que la maladiesuit son murs nornml et one l'étatdo docte., Goebbels est satisfaisant.Cependant le malade est encore alité

AU CONSEIL NATRYNAL DESiNSTITUTE11113

Taris 26 décembre. Ce matins'est ouvert à la Maison de la Mutua-lité le conseil national des institmleurs.

Parmi les calmit°, rordre dujour figurent l'examen de la situationaprès la grève du 30 novembre I.StOriiOun prises ainsi que /es reven-dications notamment celles qui vi-sent au rajustement des salaires.

JULES HENRY REJOINTSON POSTE A BARCELONE

Paris 26 décembre. M. JulesHenry. ancien directeur du cabinetdu ministre des affairee étrangèresptilgnommé ambassadeur à Barcelone,rem. sen poste ce soir.

I/ est remplacé dans 808 Macho,Pan M. Pierre BreasY, qui assure tadire-lias des services &information

Papa, 28 décembre. La régularisa. et de presse.

IIMIIIiiiiIiiiiND111111111111111111111110111111111111111111111111111111111111111111110111111111

Les Grandes Réunions de Catch Professionnella Halle aux Craies de Toulousecontre BEN CHEMOUL 173 kg)

ehaMpion d'Algérieex-champion ale France

contre PAUL MARTON 171 kg)Hongrois

Finaliste des Je. Olympique.contre ANDRE TRANTE (77 kg)

FrançaisFinaliste du Champ d'Europe

contre ERIC FETZ 185 kg)champion d'Allemagne

Grand combat internationalcoeMe JOHNNY DEMPTON (PO kg)

champion de l'Etat del'Arizona

5 GranCs combats 5sous le contrôle de la Fédération Française de lutte probe-sienne/te

Arbitre des combats 1 M. Kriquernan, arbitre officiel natérnationaldes Fédérations de lutte profecssir.,onneolee, .glaise, belge, eepagnole

Prix des places l de 7 à s2.5In..haLoc,,,éaetion: 42 bis, rue Alsace

.1111/SIMID1111111munifitnit lllll 1111111iiiiillium11111111111110111111Mitimenum

DE LA TLOEURN REECEETrESAMERICAINE ri es ds lelinsIL'216 000 U °nue Pan,

pomparlere 4VCCm eau Pim, du Servem c C de Gera, -

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LUC IFN LAIT, INT 'SIGNE5eg °::°)

Lucien Laurent. R C de Sumboure. j'ai 46 am et is m°i°La hocha. ' 'Membre. dam st. eh. weeee nom To.I.oee F. c plus ancien de Cell% al.' :71,cap,

ecc

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1...à ;.rd vee. "h 12 Raides proe'avin à l'occasion du media réculièrerneur. 1= e

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: M. TATARESCO - images.midi.bibliotheque.toulouse.frimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1938/B315556101_MIDSOC_1938_12_27.pdf · uts,vait, dès cette époque, établi la dl- ... La

1406 t. utctuxn !100 terreux; mclxi cROUPE D EOUC.AllON SOCIAI.ISPi cul genlral Vslnueu rounno, nui Ortie flrulsrromrfll nOve, heuleo.n 0e son ii Poilu C icuesd, euocuxxieuelal.

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mvi 2 Itt t g A

'dNlé xx u Id t I nu entas vivu nu nul I e.

14d4 t. Mucliinvx bina 111e le Il hvvoee, s Ive, 37. oie Veludu. catioertue ondule en Iroilles,14t2 t. Amincie Ood du ions1453 t. loue article Rnpe000 moisi es liouveiee Reunsselle

du bue Alaini: Qnenxnv. diesi

ciste; gonds; livra de tul;i

1404 t. Aoi de bètre.1400 t. Pures, pières déla000esi

tous accessoires pour bpnioletle de La pe4eeo des mdinoe. n cr065Colerse. ehissnO ioues su gpsesiodisenvsa.

Les nitres et demandes de repro-senlutines et de murchond:oeo quiprerrdent sent publié es sons tes ré-serves d'usage.

Pour les adresses se rendre ouj la lAme Adgeon be000miqoe

Hôtel de la Chombro de Commerce deTontoese. Téleph. 235.69,

POUR L'ESPAGNEI1EPLISLICAINE

Lu toésusisi du isviuu 0usd ssee èdiseuuiliuv dc, nuiluexis cuis le vilse à

Lssm,dioiie G. Cuimvieo.

Jeunesses SocialistesLes Jeneessee Sucislicles 50x1 flsuieuse

l'ucmsivv du dosble mssisee de eues buesC'rst ne soie mardi 27 déermtiee cuinaiedas R. Asls se R Guvv, dc moi'Ztheorrs.dsoslseeendeselmedrs! -----------

Jan Ibiox sen Moie Siol000 TOry, dofl5T°ueoitassd5 100es de leu, 005005 se

L Epg èpbt exdti md 9h30Le bénéfice de celle 000léecocesl- Les sensieusoes de le Seihev Tuuluuusve,

1.01 ixtégratrmeni A des icones. d'ai- I AltinlI et Lueusdslls

itelPsyenoedoivenl'erlvns COMMISSION EXECU1IVEav devoir d'y nsnirter. Riuxivo en sois, 10 lieuse., su siège.Simonr teey dédicacera 100 lance Pe e, du Ventiles Froet de li I. berté u soi u,mt ccc- Poesavia !odisoucsablsdo dans lu suIe. t. sacoéiuioaeTons ne loin 0 21 beurcs, eux Joue-

GROUPE FEMIN N LOUISE.MICHEL

'CHU LUI: PILW'

AMICALE 0ES A. C. 0E L'OUESTEssuombile g006role noue lv nvoo.

sslleutivni du bunenu eues lieu leasninuit jenoler 1133.

L usioar000u qui dtuienrOivoi poaeeRue mvdtdelllin mut pelés d'edreueeesoc demande ou elfe S plate de lap51104010, j venu su I lunoier, demies

'SAIsI'

ostos INREPSNRAN'rEDÉS ANCIENS COMBOTTuNTS

L'vnlux Iode» f00010 0m uxceleisuOembaltusltu lnlucmv ers membres quenos bareoeo soft ouoelu uns ev luxesde la à 10 brunes ou siège. 0. plme Ru-inca 5 Toulvuer

tues bureOuo sosie ahionvls le dimnnctlxmatin de Il oeuneasmidl. eu linge 5,rIma Par050,

Lu cnnumieeioo des ieoess tiOss se la,edhvuevies do Gisons Luuisa,Msehsl euvi

xujuuod'hu, oiuidi, lei. 30 ciFaoeednPexvle.

Oeoeolsscnv de t, lAis du 29 dAnembieLa seosélelis Clé. Feumeui

GROUPE JOSEPI-1 C5ERLlAmsdnox:eoe)

Réunion de ions les iuineoedes du mec-cemeocsodi. à21 heusce. sePlumns. 10. sue dus Avoidxsioieie.

UMON DEPARTEMF.N1ALG - Reioiondeleiun,mismoudaedolesnlsuiudu AeOuccmeus d ecliuie, euiuuod'hui mxldi 21 m,uaui, A le h. 30. à le Bouisu duTeaseit.

UNION DES SYNDICATS. - Les oluixbec, du cuvss,l dedivo,eleeuxv .uoo Luxuuqiis rues uxivued'hu, oiuodi, A il houses , A le Aiu, se du Te dell.

EMPLOYES DU COMMERCE, FIE

L'INDUSTRIE. -. Ce soir, 4 9 isbas, A

lu Pousse du 'I iuoesl, sénesov de, dildnnéesous déléguée eioolleulanes.

li ne anse rot tOit d'outre ivolnsllunte p000eot sou n tnvu'lt lieu.

AVIS DE DECESQue connu 00 05U050lll5l e FIla mol

tuuu,xse p5111 ruoelurmluc rée VI-1cnt0, Ercod'is douc loi uooril1sr0uSil

On ser0lilest!ne1remiinire55 nnsiecsese rorx-t 050e Srs lvoln,l.Flevsvrri_v.mts N 'naisse texlsmstmoo25, esosevuse de nesssnsvun lAellgv1

Il o cl se'ess'' 'cintluhinrle vné.enl ente ev ternIt lieu.

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peeiipveovcni que 0010e 10111e 51 elueéuearcueilil sec floues due jolie mine

bvoirell seule peellitor Le enmddeftun ttn000re ev est la melliruen Ici reco-ure A une npnloe do teesim tels suai

eciointeo tIrent 55111 ouous'mee d'vulre.11m 10 areuel Ioo,lflhnble

« Ci le Orcmel06 r O 0e 000000e uevoeeon'é une iniveeealnse et i0000e deluionoixuiltd entelsor qu'nnlound'Iint en.cure Croie eve spore l'tJOAP reçoItpsermodltueterot des vvnoeilcn nffrntnen-0ev 0e aes ovuoveos omIs vllemovdu

Le 0u550i'rvelenot 115110v vs p58 00'mr'td enduit sImSStOunt A In elnxtetlovCetSebOltA stes R011eelhS000eie ("est nleorecel 1051e eec cet le rev010tec citron

lt'voroiset ttsllrOls sertit seeca gronde'ment la raine de le Psis s.

AVIRON

A L'EMOLATIAN NAATIQUE

Après lys i0000tlauuoiu subis un 11e-onllluo et du lu Féle de l'Aeboe 0e Nmilu 000500mi0u dci in no cool00 tIreOgaAsAls A tOUS les aneleouoee ccx leun000lani bunesalaéeclyeoesuua l'egidedo l'amitié et de In vamnendenlel f00.bita Info neemetiea dv nomm000ve lunoulcile sanée duc, cette aO,sisflOn dcondé Osm'linie qui nuviou0010 ev lItso cuire le clixlsne de 1000cc 00e r000tnfls

Pnigsomme - n 11 houle» un dso-toaqu'su polit Inur

u minuit . Aécvlino de 1x0x00 laItIons uxr lulyuraoteniirscton.

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DANSBANLIEUE

AUCAM VILLECERCLE LAIQIJE FETE DE LAIS'

0mo DE 005E. - 00x0 devsnl 0cc1MO ccmblc PM'dén par M le Maire,neoomi'ag0O dv quli100l enfin mc, 00'. Roses, 11 décembre. - L. nnysge1rie cumin nos mm rndscls de coi crocs que eeo, Duladlse e apprate A tales exen mxl p000uila t l'o'oas mu de la tOm 5 00es, sa m Tumuii net pousaxtp culde LArbIn do Nom dret cd b l'Eox è Mc' Viogixio Oxydn dm00 Lu F005 4 glusnon In loue e guide 0m bide et 0m lis, nomoie uxc cmcnceUiux al 010e mn.il'' odiere. '05 xes000ee 00 noter ossu Oelilquenue A l'ègxcu de 111dmen n se pi005lent 5 cc romore. tavdu Apaés 0001e Oelonci les peeragcslltlaOC liait ob'ouisoonr Or 11100100e et de edlitu,oee quI n000mpegesornnt le prOsi.si foot nova du Conseil français, M. Gupdn

Roua ale-a' tee 10mo est petIte ortIe. Un-letoc t1rnnt o o hasmtouo de loIr loche. 11 cet dnldeqt axe sotte d0100teOru.ils m'srarevt sire Cabot 500005es dalla l'élue aoleol dot laite, Id-1ecrnèsllee soUs lev 000lqsidieeetymls te.

Mollo mea n050ds nous notons ovuonunOr cuir loue ues embues le siuear incul 01 quelque peu 15100e de le que epéon Noel ce cous nPnoite que des Sou.oie so nette tic d'nfloée

solo encolla dosie O 050aesntei tous050v lut 0m psOu 00 0e Iota oct ccv.trlaupsoenoets de nette Ocre les mal-ices nul. uoe rois de rias. ce ddpeoue-lent cuve compter' In muntolynlité nIer'oc insonore b'eioretllsnt tes membresOu noresu oui par 1551e ulule stésintôres.tés ,senlvlrevt 50 tiSes 50001 de drs000.ope retta selon 000.5 lullcs les nfleml.vers 000e 15 01x0 Cr0000 bonSeur Os Soc

- MURETALLOCATIONS FAMILIALES AGRI.

COLOS. - Le meise de M Ciel e l'hoc.d'ieic000si s, s sdmic,slsés quo M.

la dos,tsuo de. Sesoico, Asoieols. de lel'Ioula Geluoee les, ole i0uscsie deys lesels de lu mous, le samedij jsosisi

nOtés de lsostsllixire vs0ef',q est diliee .i,,s.,x,0,. xo,.u,saeO,.,eai Imitas, decieeltoi 01'O'e do la Cesireoslls dace pe00000sete noIr l'lluliu.

.00erinNO.rslSte lrCcs'ltsSehOses D'nuirepart,enoequlnenneenelarlsnsssls'eOt s e' 50551500e d'eoofvhe's ellsucsc qua le gouqemsmect eOeuçn,eom,Se Cli 1,01 ioula 00000 liii rositi e 0. fsPA A la 000e itallaoxe de000çeot les00550rlxr exe.s,luxns,5 sOrti embuS 505x5,18 05 5115, le juuecnloste italuene 00es-ces Serterocs» 05 lOiel'laS «no te.

LIbelle. sus l'a ddto 400, Sel Ordre OSent ; elle eenerlt l'nlfutnlce oses 110.roeli quel Irunl UI loyer S'importe Ouate

11x010, le retour an dtato co ante

sua --pilml le, nuioèlecol ule,muis Bicug. dico ire 0503apa ne tut nov 00015' signets p000M, Vieguix iluyua lare.

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00 sa eeuoioa t 10 msssnn mooluolor, ou "o".................000x10 pur leader»:oc use s nalleos aos Feuxce et 'Stalle pendent la prc,oda de

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Icedeulluc On s Le Polit Pât:sSIen»I°s peur dune, sous cruels, simeisoastt

pour l'é"llrsnsost de nos semeurs nousUuyxumlc N051,ee que-Ils0 pIe' ii'ueiujSej6u8io'nue rlsuuar S'eaele-

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1939. AIr hesuies, guulaeAlluoallooelami CPods sm o.ciuuiuli lois,.

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Le voyage en Corse et en Tunisiede M. Daladier

est considéré comme une provocatioFpar le journaliste officieux italien

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soli eoedcdre duna 10 rudcc 0e 1er 0001000. dOmr,xaIs mmielcus

01 si Gapds cocdlutUs /000 de 0511es oOeieO, lldnseleeuA-

ers 10e mc,lifeetuliosa fcalcoub005 dOcSautes seharne sa dc 10 bob es nénA.lou,e iqxt.Ioe 61000 soc cersealues et sipeuceul, O lu île., usle rosse Occase letête do mue 1011es mot pnscsumtste&

La transmissiondes pouvoirs

à M. Aguirre Cerduneiiveae prêsdent

de la RépuHque du CMII

Osolisex do OhIIl, 15 uteembee. -

btsy c050i I001aeduee 0e la sOaoas

las plus l,isllseoinilles do l'armAs, as10 mneloa sI es l'uaialine,

L'andoie Ose uOpnuis. sB pa000ulisrdo, memboee dO 50001 ropulsles, des

0105, '0 ee.esiouilor nsm 5'Aspygns sIII Salué, osa les seelaI050lccs 05 la

auOiOulsyt Os l'aontnle de M. dagulere

La nemies Ove rxacoteq 0.0e salle

lu M m goOsiOns IllIco le siSes pebsbOenOIstcl s reOlé la ssnexscl uansl è le cons

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I,aSuoIe,csdaobiactseea001seuqado»ss rolsideol, p0101 Os I'IOhnree oriel'

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0000100 a mIlu 000m 010" xoS liuvelemuot vu trO'n-rtcmeo 50001' ChArles Pomnert, 0000enns dusTMe rosIt et aIle p'Ouuomrnt 01000e bulla do blusu,uLo en dc Nuelsi E lent I "es enynoies dccrlidenirO555, repa0i doxce sa dImIsello Ou OomttIA I'S'e dote oIs et nous entent 0e 00'l 0,11 0 SghbolSext SI oshoce.ei nue 11,01' 00e "alu s'o"osO'ySOIino seni500nlle Occis Is Front popnlales de la i3Ontos et ds0,01 Oi'O'r"ce .osl 015. uns 'nurs sonèS les bac:decl, Or Oap:0t, rIlelelime cv000l,oeioleleeve. Anot na o 05 enaselI101s. tculs.50010 0

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VIC$DELSCSEUSES EFFICACES 111111 pee dde2,sl. drc1qoiess

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La tablier cli 1010 do restnamayt lotoolommncl prolcll à 301 mèlces duhou de l'soplosioo, Toise -'s 11010cM.lsles eoiaids 051 5001 dos JcdlM 150-

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AVIS DE DECES

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