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Le message essentielest édité par

Association « Publier. »BP 10019/F-67320 DRULINGEN

publier@blfeurope.com

Directeur de publication : Alain StampImpression : www.blfeurope.com

ISSN 1288-2526

© « Publier. » 2005 _ Reproduction interditeNe pas jeter sur la voie publique

RÉAGISSEZ… POSEZ VOS

QUESTIONS… ÉCRIVEZ À

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2. Mes coordonnées :

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1. Je souhaite recevoir, gratuitement etsans engagement de ma part* :

� Un évangile, partie de la Bible

� Le livre « Quel livre ! La Bible » J.-H. Alexander, Éditions ELB

� Une visite à domicile

� La première leçon d’un cours biblique par correspondance à commander directement à MSD – BP110 19203 USSEL cedex France

*offre limitée à une par foyer

que vous pouvez contacter, si vous voulez en savoir plus.

Cet imprimé vous a été distribué par

C O U P O N À R E N V O Y E RÀ L ’ A D R E S S E C I - C O N T R E

ou à défaut à Association « Publier. » BP 10019 F-67320 DRULINGEN

[ S O M M A I R E ]

La mort fauche presque toujours par surprise ceux qu’elle prend.Le prophète Aggée précisait : « Considérez attentivement vos voies… » Faites le point, regardez où vous en êtes avec Dieu. Mesurez où vous conduit la négligence, l’indifférence, le rejet de votre Créateur.

Où en êtes-vous ?Cet abandon de Dieu et de ses commandements a de graves conséquences sur votre vie, mais encore plus sur votre avenir éternel ! Votre péché a pour résultat de vous séparer définiti-vement de Dieu.Jésus est très clair : « Si vous ne changez pas, vous périrez tous également… » Vous serez sur-pris et il sera trop tard. Vous mourrez sans avoir pu vous y préparer. Vous mourrez sans avoir reçu la Vraie Vie, qui se prolonge jusque dans l’Éternité. Il est sage de vous préoccuper de la dimension spirituelle de votre existence.

Considérez vos voiesIl est essentiel de réfléchir à la fragilité de la vie. Elle peut vous être reprise n’importe où, n’importe quand, n’importe comment.Un autre prophète donnait ce conseil : « Pré-pare-toi à la rencontre avec ton Dieu 5. » Il est indispensable de vous préparer à être, un jour, face à face avec Dieu. Il est sage de changer, de ne plus vivre uniquement pour les choses maté-

rielles mais de redonner à Dieu, dans votre vie, dans votre cœur, dans vos préoccupations, la place qu’Il n’aurait jamais dû perdre. Il est sage de changer et de reconnaître que votre péché offense Dieu.Les catastrophes naturelles, quand elles sur-viennent, ne signifient pas que Dieu nous ait abandonnés. Elles révèlent peut-être que nous avons abandonné Dieu. Bien sûr d’autres ques-tions existent. Les éléments naturels sont-ils les seuls en cause ? Pouvait-on éviter la catastro-phe ? Prévenir les populations ? N’y a-t-il pas des causes aggravantes, d’autres responsabili-tés ? Des négligences, des erreurs, des fautes commises ? Notre manque de respect coupable pour l’environnement est-il lui aussi responsa-ble ?

Un seul objectifDieu veut vous faire prendre conscience des réalités spirituelles de votre vie.« Pensez-vous que ces Galiléens ont subi un sort si cruel parce qu’Ils étaient de plus grands pécheurs que leurs compatriotes ? Non, je vous le dis ; mais si vous ne changez pas, vous péri-rez vous aussi. »

� ALAIN STAMP

[ L E D O S S I E R D U M O I S _ C A T A C L Y S M E S _ S U I T E ]

QuestionsTous, nous avons été bouleversés par l’am-pleur des tsunamis qui ont ravagé des pays déjà en difficulté. Nous avons aussi été touchés par l’élan de solidarité que cette catastrophe a déclenché à travers la pla-nète ! Mais les questions se bousculent dans notre tête comme dans notre cœur ! Notre vie est si fragile ! Nous sommes tous exposés à un danger ou à un autre ! Ici une explosion due au gaz, là-bas un raz-de-marée, ailleurs un cyclone ! Et Dieu dans tout ça ? Pas facile en quelques lignes de répondre à des questions si déli-cates. Il est pourtant essentiel que nous y réfléchissions honnêtement !

� ALAIN STAMP

> le dossier du mois :

Cataclysmes> le témoignage :J’aurais aimé

mourir !

> pour aller plus loin

> l’offre du mois

> la citation

Un incroyant

ne voit à la

vie qu’une

fin sans

espoir. Mais

un chrétien

voit un espoir

sans fin.Billy Graham,Avis de tempête,Éditions Vida,page 272.

1 La Bible : Livre de la Genèse, chapitre 6 versets 13 à 22.2 La Bible : Premier livre des Rois, chapitre 17 verset 1.3 La Bible : Livre du prophète Aggée, chapitre 1 versets 7 et 11.4 La Bible : Évangile selon Luc, chapitre 13 versets 1 à 4.5 La Bible : Livre du prophète Amos, chapitre 4 verset 12.

Dieu permet-Il cela ? Pourquoi a-t-Il abandonné ces malheureuses victimes ? Question difficile !

Une punition ?Pendant des siècles, la croyance popu-laire voulait que les catastrophes natu-relles, les épidémies ou autres fléaux soient une punition, l’expression d’un jugement de Dieu. Peut-être à cause de l’épisode du déluge ? Dieu dit à Noé : « J’ai décidé de mettre fin à l’existence de toutes les créatures car, à cause des hommes la terre est remplie de vio-lence. […] Je vais faire venir le déluge d’eau sur la terre pour détruire, sous le ciel, tout être animé de vie. Tout ce qui est sur la terre périra 1. »Dans l’Ancien Testament, première par-tie de la Bible qui raconte l’histoire des relations entre Dieu et Israël, le peuple qu’Il s’est choisi, certains prophètes ont annoncé de la part de Dieu des calami-tés et des catastrophes naturelles.Des exemples ? Le prophète Élie est envoyé devant Achab, roi d’Israël, dont il est dit que le comportement vis-à-vis de Dieu fut pire que celui de tous ceux qui l’avaient précédé. Et il lui dit : « L’Éternel Dieu est vivant : il n’y aura ces années ni pluie ni rosée sinon à ma parole 2. » La sécheresse se prolongea trois ans et une famine terrible frappa la Samarie.Aggée, autre prophète, s’adresse à Zorobabel, roi de Juda et au grand Sa-crificateur, haut responsable religieux. Il leur dit : « Ainsi parle l’Éternel : considérez vos voies […] J’ai appelé la sécheresse sur le pays 3. » Pourquoi ces sécheresses, cette famine ? Dieu voulait

que les rois et leur peuple entier mesu-rent les conséquences de leur infidélité, de leur négligence, de leur désintérêt à son égard.

Pourquoi eux ?Le Christ commente deux événements dans l’Évangile à la demande de son entourage : « […] Quelques personnes informèrent Jésus que Pilate avait fait tuer des Galiléens pendant qu’ils of-fraient leurs sacrifices. Jésus leur dit : Pensez-vous que ces Galiléens ont subi un sort si cruel parce qu’ils étaient de plus grands pécheurs que leurs com-patriotes ? Non, je vous le dis ; mais si vous ne changez pas, vous périrez vous aussi. Rappelez-vous ces dix-huit personnes qui ont été tuées quand la tour de Siloé s’est effondrée sur elles. Croyez-vous qu’elles aient été plus cou-pables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis ; mais vous si vous ne changez pas, vous péri-rez tous 4. »

Que veut dire Jésus ?D’abord, que de tels événements ne sont pas la marque d’un quelconque châtiment de la part de Dieu. Dans les deux cas, Jésus répond clairement que les victimes ne sont pas plus coupables ou plus pécheurs que les autres. Il expli-que ensuite que des événements comme les catastrophes naturelles devraient nous interpeller, nous faire prendre conscience de l’issue inévitable que nous connaîtrons tous : la mort !Aucune victime de cette catastrophe naturelle ne s’attendait à une telle fin.

Je suis née à Madagascar, quatrième enfant d’une famille de sept. J’ai une malformation congénitale, la fente palatine (défaut d’élocu-tion). À l’âge de 13 ans, mes parents se sont séparés. J’avais toujours l’impression que ma mère me négligeait par rapport à mes frères et sœurs.Assez jeune déjà, j’ai éprouvé de la révolte contre Dieu. Je ne Le voyais pas comme un Père aimant. Malgré l’absence de mon père, ma mère a tout fait pour que nous fassions tous des études universitaires. Ainsi, j’ai pu étudier la médecine.

J’ai travaillé comme médecin, consacrant le reste de mon temps à m’occuper de ma mère en fauteuil roulant. Elle ne suppor-tait pas que je prenne du temps pour moi, même si sa maladie ne demandait pas ma présence constante.

Je me sentais prisonnière. J’avais de plus en plus de mal à vivre entre le travail à l’hôpital, chargé de responsabilités et les exigences de ma mère. Mais je n’osais pas me plaindre ni exprimer mon désir de com-pléter mes études. J’ai prié le Seigneur de me délivrer de cette vie. Un jour, ma mère a été d’accord pour que je réalise mon rêve de partir à l’étranger.

En Suisse, j’ai suivi une formation mais je n’ai pas pu obtenir le diplôme souhaité. J’ai trouvé un emploi comme aide-soignante, mon diplôme de médecin de Madagascar n’étant pas valable. J’étais très malheureuse, je trouvais que je ratais tout dans ma vie. J’ai fini par dire au Seigneur que je souhaitais mourir !

Un jour, je suis allée à la Maison de la Bible de Genève et j’ai vu une publicité pour les rencontres de dialogue « La Boussole ». Je m’y suis rendue, j’ai emprunté deux livres et demandé à la personne présente si je pouvais revenir pour en discuter. Je me suis rendue par la suite à la « Boussole » chaque semaine, discutant avec une amie de cho-ses personnelles. Jésus était toujours au centre de nos conversations. Elle m’a offert le livre Une nouvelle identité pour une nouvelle vie de Neil Anderson. En le lisant, j’ai connu une joie débordante dans mon cœur et une libération. J’en ai parlé à mon amie et elle m’a demandé si j’acceptais de recevoir Jésus comme mon Seigneur et mon Sauveur. Ma réponse fut spontanée : Oui ! Dès ce jour, j’ai eu soif de la Parole de Dieu. Ma marche avec Jésus a changé totalement ma vie. Je vois devant moi une richesse infinie à découvrir.

� MARIE-FRANÇOISE RAKOTONDRAFARA, MÉDECIN

J’aurais aimé mourir !

( s u i t e e n p a g e 4 )

� l’o

ffre �

le té

moi

gnag

e

� pour aller plus loin� Évangile selon Jean, chapitre 9 versets 1 à 38� Psaume 93

Quellivre !La BibleDes gloires des civili-

sations passées, il ne

reste que des ruines.

Mais la Bible, le solide

temple de la révéla-

tion, non seulement

reste encore debout,

mais domine le passé,

le présent et l’avenir.

Connaissez-vous ce livre

extraordinaire qui défie

les siècles ?

J.-H. AlexanderÉditions ELB.

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dos

sier

terreCataclysmesPendant des siècles, la croyance populaire voulait que les catastrophes

naturelles, les épidémies ou autres fléaux soient une punition,l’expression d’un jugement de Dieu…

Les Français ont été personnellement bouleversés par la catastrophe en Asie du sud-est. La mobilisation et la généro-sité de tous en témoignent largement. Les événements douloureux nous conduisent à réfléchir à certaines questions. Nous réalisons les limites de notre existence. Nous prenons conscience que notre si-tuation et notre bonheur tiennent parfois à peu de chose et que cela pourrait nous arriver. Nous réalisons que nous sommes, en France, parmi les nantis du globe. En dépit de toutes ces considérations, la question demeure : Pourquoi ? Pourquoi

Lisez les passages bibl iques suivants :

Suivez gratu

itement

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MSD – BP 110

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Cedex France

Dieu permet-Il cela ? Pourquoi a-t-Il abandonné ces malheureuses victimes ? Question difficile !

Une punition ?Pendant des siècles, la croyance popu-laire voulait que les catastrophes natu-relles, les épidémies ou autres fléaux soient une punition, l’expression d’un jugement de Dieu. Peut-être à cause de l’épisode du déluge ? Dieu dit à Noé : « J’ai décidé de mettre fin à l’existence de toutes les créatures car, à cause des hommes la terre est remplie de vio-lence. […] Je vais faire venir le déluge d’eau sur la terre pour détruire, sous le ciel, tout être animé de vie. Tout ce qui est sur la terre périra 1. »Dans l’Ancien Testament, première par-tie de la Bible qui raconte l’histoire des relations entre Dieu et Israël, le peuple qu’Il s’est choisi, certains prophètes ont annoncé de la part de Dieu des calami-tés et des catastrophes naturelles.Des exemples ? Le prophète Élie est envoyé devant Achab, roi d’Israël, dont il est dit que le comportement vis-à-vis de Dieu fut pire que celui de tous ceux qui l’avaient précédé. Et il lui dit : « L’Éternel Dieu est vivant : il n’y aura ces années ni pluie ni rosée sinon à ma parole 2. » La sécheresse se prolongea trois ans et une famine terrible frappa la Samarie.Aggée, autre prophète, s’adresse à Zorobabel, roi de Juda et au grand Sa-crificateur, haut responsable religieux. Il leur dit : « Ainsi parle l’Éternel : considérez vos voies […] J’ai appelé la sécheresse sur le pays 3. » Pourquoi ces sécheresses, cette famine ? Dieu voulait

que les rois et leur peuple entier mesu-rent les conséquences de leur infidélité, de leur négligence, de leur désintérêt à son égard.

Pourquoi eux ?Le Christ commente deux événements dans l’Évangile à la demande de son entourage : « […] Quelques personnes informèrent Jésus que Pilate avait fait tuer des Galiléens pendant qu’ils of-fraient leurs sacrifices. Jésus leur dit : Pensez-vous que ces Galiléens ont subi un sort si cruel parce qu’ils étaient de plus grands pécheurs que leurs com-patriotes ? Non, je vous le dis ; mais si vous ne changez pas, vous périrez vous aussi. Rappelez-vous ces dix-huit personnes qui ont été tuées quand la tour de Siloé s’est effondrée sur elles. Croyez-vous qu’elles aient été plus cou-pables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis ; mais vous si vous ne changez pas, vous péri-rez tous 4. »

Que veut dire Jésus ?D’abord, que de tels événements ne sont pas la marque d’un quelconque châtiment de la part de Dieu. Dans les deux cas, Jésus répond clairement que les victimes ne sont pas plus coupables ou plus pécheurs que les autres. Il expli-que ensuite que des événements comme les catastrophes naturelles devraient nous interpeller, nous faire prendre conscience de l’issue inévitable que nous connaîtrons tous : la mort !Aucune victime de cette catastrophe naturelle ne s’attendait à une telle fin.

Je suis née à Madagascar, quatrième enfant d’une famille de sept. J’ai une malformation congénitale, la fente palatine (défaut d’élocu-tion). À l’âge de 13 ans, mes parents se sont séparés. J’avais toujours l’impression que ma mère me négligeait par rapport à mes frères et sœurs.Assez jeune déjà, j’ai éprouvé de la révolte contre Dieu. Je ne Le voyais pas comme un Père aimant. Malgré l’absence de mon père, ma mère a tout fait pour que nous fassions tous des études universitaires. Ainsi, j’ai pu étudier la médecine.

J’ai travaillé comme médecin, consacrant le reste de mon temps à m’occuper de ma mère en fauteuil roulant. Elle ne suppor-tait pas que je prenne du temps pour moi, même si sa maladie ne demandait pas ma présence constante.

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Considérez vos voiesIl est essentiel de réfléchir à la fragilité de la vie. Elle peut vous être reprise n’importe où, n’importe quand, n’importe comment.Un autre prophète donnait ce conseil : « Pré-pare-toi à la rencontre avec ton Dieu 5. » Il est indispensable de vous préparer à être, un jour, face à face avec Dieu. Il est sage de changer, de ne plus vivre uniquement pour les choses maté-

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� ALAIN STAMP

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Un incroyant

ne voit à la

vie qu’une

fin sans

espoir. Mais

un chrétien

voit un espoir

sans fin.Billy Graham,Avis de tempête,Éditions Vida,page 272.

1 La Bible : Livre de la Genèse, chapitre 6 versets 13 à 22.2 La Bible : Premier livre des Rois, chapitre 17 verset 1.3 La Bible : Livre du prophète Aggée, chapitre 1 versets 7 et 11.4 La Bible : Évangile selon Luc, chapitre 13 versets 1 à 4.5 La Bible : Livre du prophète Amos, chapitre 4 verset 12.