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Le message essentielest édité par

Association « Publier. »BP 10019/F-67320 DRULINGEN

publier@blfeurope.com

Directeur de publication : Alain Stamp

Impression : www.blfeurope.com

ISSN 1288-2526

© « Publier. » 2006

Reproduction

interdite

Ne pas jeter

sur la voie

publique

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cita

tion

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2. Mes coordonnées :

Nom/Prénom

Adresse

1. Je souhaite recevoir, gratuitement etsans engagement de ma part* :

� Un évangile, partie de la Bible

� Le livre Noël le plus beau cadeau H. Bryant, A. Raspaud, Éditions Clé

� Une visite à domicile

� La première leçon d’un cours biblique par correspondance à commander directement à MSD – BP110 19203 USSEL Cedex France

*offre limitée à une par foyer

que vous pouvez contacter, si vous voulez en savoir plus.

Cet imprimé vous a été distribué par

C O U P O N À R E N V O Y E RÀ L ’ A D R E S S E C I - C O N T R E

ou à défaut à Association « Publier. » BP 10019 F-67320 DRULINGEN

[ S O M M A I R E ]

vée de Jésus est inconcevable. Qui plus est, le fils d’un charpentier ? Sans blague… !Ses voisins demandent : « N’est-il pas le fils de Marie et ses frères ne sont-ils pas Jacques, Joseph, Simon et Judas ? D’où lui viennent cette sagesse et ces pouvoirs miraculeux 2 ? »D’autres se moquent : « Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon 3 ? » Sa propre famille tente de l’écarter, croyant qu’il a perdu la tête. Les autorités religieu-ses cherchent à le tuer. Quant à la majorité inconstante, un moment elle le juge possédé du démon et fou 4 et, l’instant d’après, elle veut le couronner roi !La première nuit du Christ à Bethléhem exi-gea du courage. Qu’a éprouvé Dieu le Père cette nuit-là, voyant son Fils sortir du ventre d’une femme, maculé de sang, et affronter un monde froid et impitoyable ?Jésus a pleuré comme n’importe quel autre bébé le soir où il est arrivé sur cette terre, une terre qui lui donnerait d’innombrables raisons de pleurer encore à l’âge adulte.

« Je crois que nous vivons dans des mondes parallèles. L’un d’entre eux se compose de collines, de lacs, d’étables, d’hommes poli-

tiques et de bergers surveillant leur troupeau la nuit. L’autre monde est constitué d’anges, de forces sinistres et quelque part, de lieux appelés paradis et enfer. Par une nuit froide et sombre, dans un repli des collines de Bethléhem, ces deux mondes sont entrés en confrontation, à un terrible point d’intersec-tion. Dieu […] a pénétré dans le temps et l’espace. Dieu, qui ne connaît pas de fron-tière, est entré dans les limites étroites d’un corps de bébé et des limites funestes de la mortalité . « Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création […] Il est avant toutes choses, et tout subsiste en lui 5 ». Mais les rares témoins oculaires de cette nuit de Noël n’ont rien vu de tout cela. Ils ont vu un nouveau-né s’efforçant d’utili-ser des poumons encore vierges 6 ».

Remerciez Dieu d’avoir désiré se révéler à vous, vous rencontrer au point d’avoir envoyé son propre Fils. C’est cela, la vérité de Noël !

� ALAIN STAMP, D’APRÈS PHILLIP YANCEY

[LE DOSSIER DU MOIS_LA VÉRITÉ SUR LA NAISSANCE DU CHRIST !_SUITE]

Vous avez dit Noël ?

Fermez les yeux : que voyez-vous ? Un paysage enneigé ? Des étoiles, des bougies, des sapins, un traîneau tiré par des ren-nes… Quels mots vous viennent : joyeux Noël, bonnes fêtes, meilleurs vœux, etc. ? À quelles valeurs associez-vous Noël ? Famille, paix, joie, trêve des confiseurs ? Noël est très éloigné de ce folklore. Cet événement est devenu une mièvrerie. Il a été domestiqué, caricaturé pour lui faire perdre sa dimension extraordinaire, sur-naturelle et exceptionnelle. Nous avons perdu de vue la vérité de Noël !

� ALAIN STAMP

Le dossier du mois :

La vérité surla naissance

du Christ !Récit de Noël

Pour aller plus loinL’offre du mois

La citation

« L’une de mes amies avait coutume de jouer aux devinettes pour aider son petit garçon de six ans à assimiler le nom des différents animaux. C’était son tour de faire deviner sa maman : « Je pense à un mammifère. Il est grand et il fait des tours de magie ». Kathy réfléchit un instant puis donna sa langue au chat. « C’est Jésus ! » s’exclama triomphalement l’en-fant. Sur le moment, cette réponse parut irrespectueuse à Kathy, mais elle comprit ensuite

que son fils avait mis le doigt sur l’un des aspects

les plus dérangeants du mystère de l’incarnation.

Dieu dans la peau d’un mam-mifère ! »

Ce Jésus que je ne connaissais pas,Ph. Yancey, Éditions Farel, page 35.

1 La Bible : Épître aux Philippiens, chapitre 2 versets 7 et 8.2 La bible : Évangile selon Marc, chapitre 13 versets 55 et 563 La Bible : Évangile selon Jean, chapitre 1 verset 46.4 La Bible : Évangile selon Jean, chapitre 10 verset 20.5 La Bible : Épître aux Colossiens, chapitre 1 versets 15 et 17.6 Ce Jésus que je ne connaissais pas, Ph. Yancey, Éditions Farel, page 42.

[Visitez www.unpoissondansle.net]

est troublée. Tout comme Joseph. Pourtant, c’est à eux que Dieu con-fie le sort du Sauveur du monde.Jésus naît dans des conditions misé-rables, sans hygiène, sans confort. L’humiliation, pour Dieu, com-mence avant même la naissance de son Fils !

Humble

Le Dieu incarné ne déboule pas sur terre dans un tourbillon furieux ou un feu dévorant. Le Créateur de toutes choses s’abaisse, encore et encore, jusqu’à devenir un fœtus, grandissant cellule par cellule dans le ventre d’une jeune femme crain-tive et inquiète. « Il s’est dépouillé lui-même… Il s’est humilié lui-même… » dira Paul 1.Le Dieu puissant, appelé « Dieu des armées » dans la Bible, apparaît en terre d’Israël sous la forme d’un bébé ! Incapable de parler, d’ingur-giter la moindre nourriture solide, de contrôler sa vessie, dépendant entièrement d’une adolescente !

Accessible

Les hindous offrent des sacrifices dans des temples. Les musulmans s’agenouillent et se prosternent si bas que leur front touche le sol. La plupart des pratiques religieuses sont marquées par la crainte de l’homme qui désire s’approcher de Dieu.

Quoi de moins effrayant qu’un nouveau-né emmailloté ? En Jésus, Dieu inaugure une relation qui n’est pas basée sur la peur.

Perdant

Le récit de la Nativité met en évi-dence que si le monde favorise les riches et les puissants, Dieu, lui, a un penchant pour les perdants.Une mère célibataire, sans-abri, est obligée de trouver un refuge pendant le long voyage qu’elle en-treprend pour répondre aux lourdes exigences imposées par un gouver-nement d’occupation.Avec Joseph, Marie devra se réfu-gier en Égypte, le pays qui avait rendu son peuple esclave. Étrangère dans un pays étranger, elle a dû se cacher par peur de son propre gou-vernement. Pourchassée, démunie et en fuite avec son bébé.Jésus pourra-t-il un jour répondre aux espoirs de son peuple ? Même la langue maternelle de sa famille évoquait son statut de perdant : Jé-sus parlait l’Araméen. Une langue utilisée pour le commerce et étroite-ment liée à l’Arabe, rappel constant et cuisant de la soumission des Juifs à des puissances étrangères.

Courageux

Un Messie venant de Galilée ? Pour les Palestiniens du premier siècle, qui méprisent les Galiléens, l’arri-

Dieu envoya l’ange Gabriel dans une ville de Galilée appelée Nazareth, chez une jeune fille liée par fiançailles à un homme nommé Joseph, un descendant du roi David. Cette jeune fille s’appelait Marie.L’ange entra chez elle et lui dit : – Réjouis-toi, toi à qui Dieu a accordé sa faveur : le Seigneur est avec toi. Marie fut profondément troublée par ces paroles ; elle se de-mandait ce que signifiait cette salutation.L’ange lui dit alors : – N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bien-tôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus. Il sera grand. Il sera appelé « Fils du Très-Haut », et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son ancêtre. Il régnera éternellement sur le peuple issu de Jacob, et son règne n’aura pas de fin.Marie dit à l’ange : – Comment cela se fera-t-il, puisque je suis vierge ?L’ange lui répondit : – L’Esprit Saint descendra sur toi, et la puissance du Dieu très-haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. […]En ce temps-là, l’empereur Auguste publia un édit qui ordonnait le recensement de tous les habitants de l’Empire. […] C’est ainsi que Joseph, lui aussi, partit de Nazareth et monta de la Galilée en Judée, à Bethléhem, la ville de David : il appartenait, en effet, à la famille de David. […] Or, durant leur séjour à Bethléhem, arriva le moment où Marie devait accoucher. Elle mit au monde un fils : son premier-né. Elle lui mit des langes et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans la pièce réservée aux hôtes. Dans les champs environnants, des bergers passaient la nuit pour garder leurs troupeaux.Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Sei-gneur resplendit autour d’eux. Une grande frayeur les saisit.Mais l’ange les rassura : – N’ayez pas peur : je vous annonce une nouvelle qui sera pour tout le peuple le sujet d’une très grande joie.Un Sauveur vous est né aujourd’hui dans la ville de David ; c’est lui le Messie, le Seigneur. Et voici à quoi vous le reconnaîtrez : vous trouverez un nouveau-né dans ses langes et couché dans une mangeoire. Et tout à coup apparut, aux côtés de l’ange, une multitude d’anges de l’armée céleste qui chantaient les louanges de Dieu : gloire à Dieu au plus haut des cieux ! Et paix sur la terre aux hommes qu’il aime. Quand les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent l’un à l’autre : – Allons donc jusqu’à Bethléhem pour voir ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. Ils se dépêchèrent donc d’y aller et trouvèrent Marie et Joseph avec le nouveau-né couché dans une mangeoire. Quand ils le virent, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de cet enfant. Tous ceux qui entendirent le récit des bergers en furent très étonnés.

� ÉVANGILE SELON LUC, CHAPITRES 1 ET 2.

Le récit de Noël…

( s u i t e e n p a g e 4 )

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Noël le plus beau cadeauNoël, c’est le grand moment de fin d’année avec son lot de festivités, de sapins enguirlandés, de cadeaux et de repas somptueux. Mais que dire du sens original de cette fête : la célébra-tion de la naissance de Jésus-Christ ? Les auteurs de ce livre nous invitent à redécouvrir le récit insolite du pre-mier Noël, tel qu’il est présenté dans la Bible. Ils nous encouragent à nous reposer la question : qui est cet enfant dont on

célèbre chaque année la naissance ?

H. Bryant, A. Raspaud,Éditions Clé.

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dos

sier

véritéLe Dieu incarné ne déboule pas sur terre dans

un tourbillon furieux ou un feu dévorant…

La nouvelle de la grossesse de Marie n’a pas dû être bien

accueillie par tout le monde dans la famille ! Comment ont réagi les grands-parents, les voisins à propos de cette grossesse suspecte ? Sans doute Joseph et Marie ont-ils été humiliés. Cette nais-sance surnaturelle a toutes les apparen-ces sociales d’une naissance illégitime. Marie est dépeinte, dans les tableaux ou les vitraux illustrant la nativité, se-reine, heureuse. L’Évangile selon Luc souligne toutefois à quel point Marie

La vérité sur lanaissance du Christ !

� pour aller plus loin� Évangile selon Luc, chapitres 1 et 2.

Lisez les passages bibliques suivants :

Suivez gratu

itement

un cours bib

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La première

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MSD – BP 110

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est troublée. Tout comme Joseph. Pourtant, c’est à eux que Dieu con-fie le sort du Sauveur du monde.Jésus naît dans des conditions misé-rables, sans hygiène, sans confort. L’humiliation, pour Dieu, com-mence avant même la naissance de son Fils !

Humble

Le Dieu incarné ne déboule pas sur terre dans un tourbillon furieux ou un feu dévorant. Le Créateur de toutes choses s’abaisse, encore et encore, jusqu’à devenir un fœtus, grandissant cellule par cellule dans le ventre d’une jeune femme crain-tive et inquiète. « Il s’est dépouillé lui-même… Il s’est humilié lui-même… » dira Paul 1.Le Dieu puissant, appelé « Dieu des armées » dans la Bible, apparaît en terre d’Israël sous la forme d’un bébé ! Incapable de parler, d’ingur-giter la moindre nourriture solide, de contrôler sa vessie, dépendant entièrement d’une adolescente !

Accessible

Les hindous offrent des sacrifices dans des temples. Les musulmans s’agenouillent et se prosternent si bas que leur front touche le sol. La plupart des pratiques religieuses sont marquées par la crainte de l’homme qui désire s’approcher de Dieu.

Quoi de moins effrayant qu’un nouveau-né emmailloté ? En Jésus, Dieu inaugure une relation qui n’est pas basée sur la peur.

Perdant

Le récit de la Nativité met en évi-dence que si le monde favorise les riches et les puissants, Dieu, lui, a un penchant pour les perdants.Une mère célibataire, sans-abri, est obligée de trouver un refuge pendant le long voyage qu’elle en-treprend pour répondre aux lourdes exigences imposées par un gouver-nement d’occupation.Avec Joseph, Marie devra se réfu-gier en Égypte, le pays qui avait rendu son peuple esclave. Étrangère dans un pays étranger, elle a dû se cacher par peur de son propre gou-vernement. Pourchassée, démunie et en fuite avec son bébé.Jésus pourra-t-il un jour répondre aux espoirs de son peuple ? Même la langue maternelle de sa famille évoquait son statut de perdant : Jé-sus parlait l’Araméen. Une langue utilisée pour le commerce et étroite-ment liée à l’Arabe, rappel constant et cuisant de la soumission des Juifs à des puissances étrangères.

Courageux

Un Messie venant de Galilée ? Pour les Palestiniens du premier siècle, qui méprisent les Galiléens, l’arri-

Dieu envoya l’ange Gabriel dans une ville de Galilée appelée Nazareth, chez une jeune fille liée par fiançailles à un homme nommé Joseph, un descendant du roi David. Cette jeune fille s’appelait Marie.L’ange entra chez elle et lui dit : – Réjouis-toi, toi à qui Dieu a accordé sa faveur : le Seigneur est avec toi. Marie fut profondément troublée par ces paroles ; elle se de-mandait ce que signifiait cette salutation.L’ange lui dit alors : – N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bien-tôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus. Il sera grand. Il sera appelé « Fils du Très-Haut », et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son ancêtre. Il régnera éternellement sur le peuple issu de Jacob, et son règne n’aura pas de fin.Marie dit à l’ange : – Comment cela se fera-t-il, puisque je suis vierge ?L’ange lui répondit : – L’Esprit Saint descendra sur toi, et la puissance du Dieu très-haut te couvrira de son ombre. C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. […]En ce temps-là, l’empereur Auguste publia un édit qui ordonnait le recensement de tous les habitants de l’Empire. […] C’est ainsi que Joseph, lui aussi, partit de Nazareth et monta de la Galilée en Judée, à Bethléhem, la ville de David : il appartenait, en effet, à la famille de David. […] Or, durant leur séjour à Bethléhem, arriva le moment où Marie devait accoucher. Elle mit au monde un fils : son premier-né. Elle lui mit des langes et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans la pièce réservée aux hôtes. Dans les champs environnants, des bergers passaient la nuit pour garder leurs troupeaux.Un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Sei-gneur resplendit autour d’eux. Une grande frayeur les saisit.Mais l’ange les rassura : – N’ayez pas peur : je vous annonce une nouvelle qui sera pour tout le peuple le sujet d’une très grande joie.Un Sauveur vous est né aujourd’hui dans la ville de David ; c’est lui le Messie, le Seigneur. Et voici à quoi vous le reconnaîtrez : vous trouverez un nouveau-né dans ses langes et couché dans une mangeoire. Et tout à coup apparut, aux côtés de l’ange, une multitude d’anges de l’armée céleste qui chantaient les louanges de Dieu : gloire à Dieu au plus haut des cieux ! Et paix sur la terre aux hommes qu’il aime. Quand les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent l’un à l’autre : – Allons donc jusqu’à Bethléhem pour voir ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. Ils se dépêchèrent donc d’y aller et trouvèrent Marie et Joseph avec le nouveau-né couché dans une mangeoire. Quand ils le virent, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de cet enfant. Tous ceux qui entendirent le récit des bergers en furent très étonnés.

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La vérité sur lanaissance du Christ !

� pour aller plus loin� Évangile selon Luc, chapitres 1 et 2.

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1 La Bible : Épître aux Philippiens, chapitre 2 versets 7 et 8.2 La bible : Évangile selon Marc, chapitre 13 versets 55 et 563 La Bible : Évangile selon Jean, chapitre 1 verset 46.4 La Bible : Évangile selon Jean, chapitre 10 verset 20.5 La Bible : Épître aux Colossiens, chapitre 1 versets 15 et 17.6 Ce Jésus que je ne connaissais pas, Ph. Yancey, Éditions Farel, page 42.

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