CREGG Commission d'endoscopie-6choendoscopie :

B. NAPOLI~ON

(Lyon)

Rdponses au questionnaire concernant I'activit~ ,, 6cho-endoscopie,, des membres du CREGG

Ce quest ionnaire envoy6 h 641 membres du C R E G G a occasionn6 195 r6ponses (30 %). Le chiffre monte ti 50 % si l 'on inclue les membres des groupes o~ seul le plus interess6 a r6pondu.

47 m~dec ins prat iquent l ' ~ c h o e n d o s c o p i e (24 %)

Dans ce groupe :

- 28 prat iquent 6galement le cath6t6risme (61%) prat iquement toujours h vis6e th6rapeutique.

- 28 pratiquent l '6choendoscopie au moins en cli- nique (61%).

- 2 2 poss6dent ou font partie d 'une soci6t6 poss6- dant l '6choendoscope (47 %).

- L 'exp6r ience moyenne est de 3 ans, 13 ayant d6but6 en 95 ou 96.

- 13 (28 %) se sont form6s seuls ou par compa- gnonnage, 11 (23 %) ont pass6 le diplome universi- taire.

- 25 (52 %) s'estiment comp6tents.

- 16 (34 %) font plus de 20 examens par mois, 11 (23 %) moins de 10.

- 7 (15 %) ont 6t6 confront6s ~ une complication importante de l '6choendoscopie.

- 20 (42 %) ont un recrutement d6partemental ou r6gional pour 27 (58 %) un recrutement personnel ou limit6 aux proches correspondants (associ6s, chirur- giens...).

- 35 (74 %) utilisent du mat6riel Olympus pour 12 (26 %) le mat6riel Pentax dont 9 font des ponc- tions 6choguid6es.

Ces praticiens sont majoritairement interess6s par :

- des 6tudes multicentriques,

- la r6alisation d 'une banque de donn6es suscep- tible de les aider en cas de probl6mes techniques sur leur 6choendoscope (5 ayant eu des probl6mes r6so- lus par des confr6res mais non r6solus par le SAV),

- l 'obtention d 'une cotation 6quitable

D'autres demandes sont plus rarement formul6es :

- l'am61ioration du compagnonnage,

- une bibliographie ou des banques de donn6es de cas difficiles,

- des informations sur la possibilit6 de partager ou de racheter des tubes,

- des informations sur l '6volution du mat6riel, des indications et de la place de l '6choendoscopie face aux autres techniques.

148 ne prat iquent pas I '~choendoscop ie

* 60 (40%) d 'entre eux pourraient envisager de s'y mettre dans les 3 ans h venir.

Les 616ments susceptibles d ' influer leur d6cision sont avant tout :

- l '6volution des indications (80%),

- la baisse du coot du mat6riel (80%),

- l ' appar i t ion d 'une nomencla tu re ra isonnable (66%).

Ils envisagent de faire leur formation :

- pour 1/3 grfice ~ un compagnonnage intra- C R E G G ,

- pour 1/3 par l 'inscription au DIU d'dchoendosco- pie mais un compagnonnage in t r aCREGG est 6gale- ment alors souhait6,

- pour 1/3 aut rement (h6pital, formation person- nelle...).

* 88 (60%) n 'envisagent pas de se met t re l '6choendoscopie

Les 616ments influant cette d6cision sont essentiel- lement :

- l 'absence de structure d 'accueil ou un recrute- ment insuffisant (65%),

- un apprentissage trop lourd (56%),

- la crainte d 'une 6volution ~ la baisse des indica- tions (35%),

- la non-n6cessit6 d 'en faire eux-m6mes (associ6 la pratiquant...).

Sur les 195 praticiens ayant r~pondu

25% ne font partie d 'aucune des 4 soci6t6s savantes ci-apr6s (SFED, SNFGE, FFCD, Club franqais d'6choendoscopie),

75 % sont affili6s ~ au moins une de ces soci6t6s.

A c t a E n d o s c o p i c a V o l u m e 26 - N ~ spec ia l C R E G G - 1 9 9 6 229