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MPA Nº34 - décembre 2016-janvier 2017 1 MP ACTUALITÉS LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISE MEDIA DU GROUPE HAVAS Nº34 2016-20 17 DÉCEMBRE- JANVIER Native s’inscrit dans la démarche stratégique du groupe Havas Media France, la première agence media UX qui place le consommateur au cœur de tout acte de communication, et qui fait des contenus et de la data les deux piliers de ses activations. Des expériences qui puisent leurs forces dans l’ADN et les audiences des media partenaires, à l’instar de celles que nous vous invitons maintenant à découvrir ou redécouvrir ! native GÉNÉRATEUR D’EXPÉRIENCES ET D’ÉMOTIONS POUR UN LIEN DURABLE AVEC LE CONSOMMATEUR NTERDITE DIT IT D Nº34 Nº34 DÉCEMB DÉCEMB JANVI JANVI REPRODUCTION IN à à ! ! O REPRO O O O O O O O O O O O O O PR PR PR EP CES CES N LIEN N LIEN EUR EUR

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Nº34

2016-2017

DÉCEMBRE-JANVIER

Native s’inscrit dans la démarche stratégique du groupe Havas Media France, la première agence media UX qui place le consommateur au cœur de tout acte de communication, et qui fait des contenus et de la data les deux piliers de ses activations. Des expériences qui puisent leurs forces dans l’ADN et les audiences des media partenaires, à l’instar de celles que nous vous invitons maintenant à découvrir ou redécouvrir !

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Virginie ReydyChargée media

Estelle JardilletDirectrice conseil

Mélanie TabouretDirectrice commerciale adjointe

Fanny MaestriChargée de production

Pauline Forcioli ContiChargée de production

Théo BoissyChargé de budgets

WELEDA, FLEURS DE NUITUne éclosion de générosité signée Julien Nonnon et Havas Media Native

LUTINS INATTENDUSDU BIG NOËL ORANGEÉric et Quentin

Les 14 et 15 novembre, Weleda enchantait Paris l’espace de deux nuits magiques. La marque a tissé un partenariat poé-tique et onirique avec le street artiste Julien Nonnon, qui a réalisé spécialement pour elle, des œuvres éphémères, véri-tables cadeaux o� erts aux passants ! Installations cinétiques, à la croisée du street art et de la poésie, ces pièces se sont d’abord dévoilées aux Parisiens au détour d’une rue, sur des façades anonymes, et dès le 2 décembre à tous les Français, comme autant de bulles de douceur impromptues.

À l’approche des fêtes de fi n d’année, il y a un besoin de ralen-tir, respirer, se retrouver. Weleda propose plus qu’une œuvre, une parenthèse enchantée.À l’occasion de ce partenariat singulier, Julien Nonnon a fait de l’essence même de Weleda la matière première de son inspiration. Les fl eurs – au cœur des formules 100�% naturelles de la marque – sont sublimées. L’artiste les fait littéralement éclore sur les façades des bâtiments parisiens. Il se tisse alors des liens poétiques entre les images projetées et les éléments d’architecture de la ville. Des éclosions saisissantes, au cœur de la nuit. Beaubourg, Étienne Mar-cel, Montmartre, Belleville, Ménilmontant… Paris devient une toile où la nature s’invite.Une expérience unique partagée avec tous les Français d’abord sur Instagram depuis le 2 décembre, avec dix photos de l’artiste. Puis en vidéo sur Facebook et Instagram du 11 au 25 décembre 2016.

À l’occasion de fêtes de fi n d’année, Éric et Quentin, les tru-blions du PAF, se sont pris au jeu du Big Noël Orange. Leur ambition ? Faire vivre «�le plus Big des Noëls�» à leur patron…

Éric et Quentin, fraîchement arrivés au sein du Big Groupe TF1, se sont emparés du Big Noël et des objets connectés Orange pour nous faire vivre une battle sans merci afi n d’obtenir les faveurs de leur boss (tout le monde devinera aisément de qui il peut s’agir…). C’est à qui des deux trouvera le cadeau le plus connecté et le plus innovant pour le séduire. «�Décalé�» est le terme qui désigne le mieux les vidéos écrites par le duo, où l’on retrouve leur ton et leur humour si singuliers. Une expérience 360° di© usée sur MYTF1 et des contenus directement connectés au site Big Noël Orange pouvant aller jusqu’à l’acquisition online des produits connectés présentés ! Cette année, rien n’est too much pour réus-sir Noël et trouver des Big Cadeaux !

L’EXPERT HAVAS

Safia Care Managing partner Havas Media Native Tél. : +33 (0)1 46 93 37 02 [email protected]

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

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Marie-Alix OursonDirectrice conseil

Alexandre Le BretonChargé de production

LADYMILLIONUn lingot d’or et un diamant en un claquement de doigts !

La fête des pères, une période clé pour les parfums où capter l’attention de sa cible relève du parcours du combattant.1 Million et Lady Million forment sans conteste le couple le plus emblématique de la parfumerie, à la fois cavaleur et libre. Brillant. Fascinant.

Qui n’a jamais rêvé de gagner un lingot d’or ? Qui n’a jamais rêvé de gagner un diamant ?D’un claquement de doigts, notre couple Million nous a fait basculer de la fi ction à la réalité, du 15 au 18 juin 2016, en mettant en jeu un véritable lingot d’or, à l’image du fl acon masculin, et un véritable diamant, à l’image du fl acon féminin. Une seule condi-tion : envoyer un tweet avec le nom @ de la personne à qui l’on souhaite o© rir cette dotation, accompagné du hashtag #iam1million ou #iamladymillion. L’opération a été relayée en télévision et en digital avec un fi lm spécifi que et en social avec le support de Kev Adams, Caroline Receveur et Safi a Vendome.En trois jours, cette chasse à l’or et au diamant a généré 12 millions de vues et + 40�% d’utilisation d’un hashtag par rapport à la moyenne. Une opération innovante et enga-geante grâce à deux dotations d’exception, en écho à l’univers des parfums.

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS L’EXPERT HAVAS

Safia Care Managing partner Havas Media NativeTél. : +33 (0)1 46 93 37 02 [email protected]

" LES AVENTURES DE JOKO " La nouvelle bd 100�% Joker à suivre dans J’aime lire et Astrapi !

IBIS STYLES BY ME Lancement de sa plateforme de design participatif

Se sentir aussi bien dans sa chambre d’hôtel qu’à la maison est un sentiment jouissif, bien que trop rare à l’heure de l’ultrastan-dardisation. C’est le pari audacieux que s’est lancé Ibis Styles, qui propose aux voyageurs de vivre à chaque fois une expérience unique, puisque chaque chambre est à la fois design et singulière.

Une promesse forte portée cette année à travers le projet de co-création « Ibis Styles by me » réunissant le grand public, qui s’est vu confi er la décoration de trois nouvelles chambres Ibis Styles, et des designers de la marque. Tout au long de son processus de création, le public était épaulé par une personnalité plébiscitée et reconnue : Sophie Ferjani, marraine du projet et architecte d’inté-rieur emblématique de l’émission D&Co de M6.Une campagne collaborative et multicanale qui aura su séduire le public avec plus de 17 000 chambres créées ! Sophie Ferjani et Ibis Styles nous donnent rendez-vous à la fi n de l’année pour découvrir les trois chambres réalisées par les hôtels participants (Paris, Nice, Lille).

Tic, tac ! Et si l’on jouait à remonter les années ? Si l’on plon-geait dans un univers aussi doux que régressif : celui d’une époque où l’on avait dix ans ? Vous vous souvenez de nos envies d’aventures, de rêves, nourries par les tribulations de nos héros préférés ? Ils animaient avec passion nos conversations dans les cours de récréation, et si, depuis, nous avons vieilli, ces hé-ros de dessins animés, fi lms, BD… n’ont de cesse d’alimenter les jeux des petits.

Pour susciter la préférence autour de Joker Fruigolo à l’heure du goûter, Havas Media Native a misé sur son personnage Joko, avec comme défi d’en faire l’un des héros privilégiés des enfants. L’occa-sion de mener un partenariat unique avec le groupe Bayard Presse, mettant en scène «�Les aventures de Joko�» dans des bandes des-sinées à retrouver chaque mois au sein des puissants titres J’aime lire et Astrapi. Et ce n’est pas tout, puisque nos petits lecteurs ont eu également l’occasion de se voir o© rir un poster de Joko pour célébrer les grandes vacances et des étiquettes à la rentrée pour personnaliser leurs cahiers !Une campagne plébiscitée par les enfants (80�% d’agrément), qui ont plaisir à retrouver Joko dans leurs magazines préférés !

Pauline Forcioli Conti Chargée de production

Alexandre Le BretonChargé de production

Céline Meunier ColinChef de groupe achats

Agathe FaureDirectrice commerciale adjointe

Surya BrunetConsultante

Hélène Le Du� Directrice commerciale adjointe

« Nous sommes très fiers d'être la première marque hôtelière à embarquer ses clients dans le design collaboratif »

Mélanie CarronDirectrice Marketing des marques Ibis

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Un an après son rachat par le Groupe Figaro, le poids lourd du digital renforce ses outils dédiés à la performance. Explications de Pierre Coquard, directeur associé CCM Benchmark – Groupe Figaro.

CCM BENCHMARKredonne des galons à la newsletter

Trente et un millions de visiteurs uniques par mois tous écrans confondus (fixe, mobile et tablette), c’est ce que pèse aujourd’hui le Groupe Figaro après son rachat de CCM Benchmark fin 2015. Et, toujours selon Médiamétrie (octobre 2016), le groupe se classe ainsi désormais au quatrième rang sur l’audience du Web fixe avec 23,3 millions de visiteurs uniques par mois, derrière Google, Microsoft et Facebook, et devant le français Webedia. Sur le mobile, l’audience cumulée s’élève à 16,9 millions de visiteurs uniques, ce qui place le groupe également en troisième position derrière Google et Facebook.

CCM Benchmark booste le Groupe Figaro

Nous avons nettement senti cette année un vrai développement sur la partie KPI dans nos secteurs, une vraie volonté des agences et annonceurs de maîtriser ces indi-cateurs de performance. Nous nous sommes, nous aussi, mis en ordre de marche pour être capables de proposer des campagnes avec une maîtrise parfaite du temps passé sur les sites, du taux de conversion, etc., et de piloter nos campagnes de cette manière. C’est très nouveau pour nous en termes à la fois de culture managériale et d’approche produit, il y a toute une couche technolo-gique à mettre en place. Mais c’est obligatoire en tant que grosse régie française pour challenger Google et Facebook, nos concurrents directs sur ces aspects-là. Le deuxième en-seignement de 2016 est l’ampleur prise par la partie programma-tique, chez nous comme chez tout le monde. L’o© re programmatique est en pleine croissance, il nous faut la piloter et la canaliser de la manière la plus intéressante pour nous, les éditeurs et les annonceurs.

Comment se porte plus particulièrement votre département ?

Si 2016 a été compliquée pour les modèles classiques, l’année a été bénéfi que pour les modèles orien-tés vers la performance comme les nôtres. Au département marketing services du groupe CCM Bench-mark-Figaro, où 35 personnes tra-vaillent uniquement sur les problé-matiques R-Target, nous réalisons une croissance à deux chi© res. Le nouvel outil de retargeting sur les newsletters que nous avons lancé il y a six mois donne de très bons résultats.

La technique du retargeting existe depuis longtemps. En quoi la vôtre est-elle nouvelle ?

La technologie qui permet d’iden-tifi er des comportements d’inter-nautes et de solliciter ces derniers en publicité en temps réel n’a e© ec-tivement rien de nouveau. Mais la grande nouveauté est que nous sommes capables de le faire sur une newsletter. Jusqu’à présent, la tech-nologie ne le permettait pas parce qu’il n’y a pas de cookies, de JavaS-cript dans les newsletters qui sont en format HTML. Avec notre outil R-Tar-get, c’est désormais possible, et CCM Benchmark est le seul à le faire. Nous exploitons une donnée exclusive ré-sultant d’un mariage réussi entre la navigation Web et le profi l CRM d’un véritable internaute, pas juste un cookie. La technologie est basée sur une Data Management Platform avec des couches propriétaires : la partie RTB adressée par la plateforme pro-grammatique Zebestof, société du groupe CCM, la partie adserving qui est gérée par Smart AdServer, etc. La plateforme R-Target cible le bon profi l d’abonné au moment de l’ou-verture de la bonne newsletter pour lui adresser le bon message. C’est le résultat d’une segmentation entre contexte et audience.

À quelle stratégie correspond ce lancement ?

Nous avons développé la technolo-gie de real-time R-Target il y a trois ans en commençant par l’e-mail classique. Mais aujourd’hui, l’e-mailing est un marché à la baisse, les internautes reçoivent beau-coup trop d’e-mails et le spam est un frein important. Il nous a fallu réinventer notre modèle sur des supports plus qualitatifs, et comme REPRO

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

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Programmatic Pure [email protected]

CCM Benchmark-Figaro a un gros volume d’abonnés à ses newsletters, nous avons réfl échi à la manière de les cibler publicitairement. Avec un format moins intrusif, moins spamé. En cela, CCM Benchmark réinvente la publicité dans la newsletter qui a toujours été le parent pauvre de la publicité et du media. Avec cet outil, nous allons à l'encontre des juge-ments préconçus car nous considé-rons que le visitorat de la newsletter a d’excellentes performances. L’in-ternaute attend et ouvre sa news-letter chaque jour, son engagement est naturellement très bon. Nous voulons vendre et automatiser les newsletters comme des espaces très qualitatifs pour des campagnes plus axées sur la performance.

—PIERRE COQUARDDIRECTEUR ASSOCIÉ CCM BENCHMARK-GROUPE FIGARO

Que donnent les premiers résultats de ces campagnes ?

Le démarrage est très fort. Cela fait plus de six mois que l’intégration de R-Target dans les newsletters est en place, et nous enregistrons une soixantaine de cam-pagnes par mois sous des formats bannières ou natifs.

Dans des secteurs plus spécifi ques que d’autres ?L’ADN de R-Target est orienté sur des business à forte valeur ajoutée. Nous avons beaucoup de campagnes en immobilier, formation, banque-assurance. Mais aussi beauté-santé, nutrition en général et infan-tile en particulier.

Quelles sont les newsletters qui marchent le mieux ?

Très clairement celles qui s’adressent aux femmes, Le Journal des femmes, Madame Figaro. Et Le Particulier ou Droit-Finances. Par exemple, la newsletter Le Particulier génère un taux de clics trois

fois supérieur à celui de newsletters d’actualité classiques. Elles font plus de volume, sont plus consultées, mais l’engagement est moindre que sur une newsletter thématisée, qui est peut-être plus attendue par les internautes.

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Dans un monde en mutation accélérée, les marques établies et les licornes de la nouvelle économie ont une préoccupation commune : la durée dans le temps. Quelles sont les marques d’avenir ? Quels sont les leviers pour devenir une marque d’avenir ? C’est ce qu’étudie l’édition 2016 de «�Marques d’avenir » de l’agence W, une étude riche d’enseignements menée en partenariat avec l’institut CSA et Capgemini Consulting.

—Denis GancelPrésident cofondateur de l’agence W

ÉTUDEQuels sont les secrets de longévité d’une marque ?

L’EXPERT HAVAS

Denis GancelPrésident cofondateur de l’agence WTél. : +33 (0)1 72 27 00 [email protected]

Christelle FumeyCodirectrice du pôle society de CSA ResearchTél. : +33 (0)1 57 00 58 [email protected]

Comment est née l’idée d’étudier les marques sous le prisme de leur futur ?

Il y a deux raisons à cela. C’est d’abord une prolonga-tion du travail que l’agence W a réalisé en créant en 2009 l’Observatoire de la marque France, qui en analyse les constituants dans la mondialisation. La notion de marque France a fortement été mise en avant lors de la présidentielle de 2012, poussée notamment par Arnaud Montebourg, ce qui nous a donné envie d’aller plus loin en travaillant cette fois sur les marques en France. La seconde raison, plus conjoncturelle mais très impor-tante, est partie du constat que si, auparavant, la péren-nité des entreprises reposait sur leurs performances économiques, aujourd’hui elle est mise en péril par les menaces ou les attaques foudroyantes de leur busi-ness model par de nouveaux acteurs venus du digital ou de l’économie collaborative. Je pense, par exemple, à la SNCF avec BlaBlaCar, au groupe AccorHotels avec Airbnb, aux banques avec la désintermédiation et la sup-pression des agences bancaires. Cette situation amène nombre de marques du secteur traditionnel à se poser les questions : Allons-nous durer ? Et que faire pour de-venir des marques de référence dans notre secteur dans les dix prochaines années ? C’est pourquoi nous avons voulu étudier ce qui fait le capital d’avenir d’une marque.

Quels enseignements avez-vous retenus du classement établi par les décideurs interrogés ?

Il est intéressant de noter qu’il tord le cou à des idées re-çues. Il y a un jeunisme économique qui laisse entendre que seules les plateformes digitales ont le droit de cité et sont les valeurs de demain. En réalité, ce n’est pas ce que montre l’étude. Deux tiers des marques dites « d’avenir » ont plus de 40 ans. Il est très important pour des marques parfois centenaires et considérant leur âge comme un handicap que les décideurs et leaders d’opinion per-çoivent comme un élément majeur le fait d’avoir un mythe fondateur. Mais encore faut-il ne pas tomber dans

la nostalgie et réactualiser en perma-nence ce mythe fondateur pour être une marque d’avenir. Le classement montre également que si des entre-prises américaines de la Silicon Val-ley symbolisent encore le fantasme d’un nouvel eldorado, des marques françaises sont aussi considérées comme des marques d’avenir. En 2016, près de la moitié des marques d’avenir sont des marques natio-nales, top 30 et top 100 confondus. Elles sont issues des nouvelles tech-nologies, comme Orange ou Free, mais aussi des secteurs traditionnels de l’industrie, comme Renault, Mi-chelin, Airbus, Total, Danone. Le top 5 des critères qui constituent une marque d’avenir est aussi très intéressant. La meilleure garantie pour l’avenir d’une marque est un modèle économique pérenne. C’est-à-dire non pas un critère d’image mais un critère issu des fondamen-taux économiques. Le deuxième est une gouvernance eÄ cace. C’est un point très important qui ne ressortait pas l’an dernier. Est-ce lié au business éthique ? On voit bien que le sujet est diÄ -cile. Et que l’incarna-tion est fondamentale. Si je prends l’exemple d’AccorHotels avec Sébastien Bazin, qui incarne le mouvement et la transformation,

on voit bien que les éléments de gou-vernance et le renouvellement des managers sont des enjeux majeurs. Les décideurs envoient cette année un message de pilotage managérial. Pour eux, une marque d’avenir est en-suite celle qui crée de la valeur et qui est performante économiquement. Ce top 3 est le socle économique de l’entreprise. Pour les décideurs, une marque d’ave-nir est aussi une marque qui anticipe les besoins du cconsommateur, crée de nouvelles attentes et met l’inno-vation au cœur de son modèle. Ces

Interview Denis Gancel, président cofondateur de l’agence W

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

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grès. Les entreprises disposent déjà d’études classiques en interne. MAP permet de faire converger ces outils existants vers un tableau de synthèse pour que, devant un Comex, le patron de la stratégie, par exemple, puisse dire : «�Nous devons mettre l’accent sur l’innovation, créer un lab, un incubateur de start-up ou être plus clairs sur notre gouvernance, car il y a des questions qui se posent sur ces sujets.�» Une marque doit mon-trer qu’elle bouge pour être perçue comme une marque d’avenir.

Pour les décideurs, une marque d’avenir est une marque qui anticipe les besoins du consommateur et crée de nouveaux besoins. C’est aussi une marque qui met l’innovation au cœur de son modèle. Denis Gancel

La donnée que nous manions, croisons, générons est hybride :

attitudinale et comportementale, passive et active, individu et foyer,

qualitative et quantitative.

Apporter aux entreprises et institutions une compréhension fine des comportements des individus pour appréhender leurs besoins, analyser leurs environnements, anticiper leurs évolutions et identifier les leviers d’engagement.

CSA, Consumer Science & Analyticsc’est la synergie de CSA Research,institut de référence des étudesmarketing et d’opinion depuis40 ans et CSA Data Consultingdédié à l’analyse et l’activationde la data au bénéfice desstratégies media-marketing.

La donnée CSA est activable sur tous les leviers marketing : achat media programmatique, CRM, personnalisationdes contenus.

NOTRE AMBITION

NOTRE SPÉCIFICITÉNOTRE FORCE

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cinq critères constituent le cahier des charges parfait de l’entreprise qui veut devenir une marque d’avenir.

Comment réagissent les entreprises à qui vous avez présenté cette étude ?

Elles se sentent totalement concernées, car le futur est vraiment leur préoccupation. Le discours qui revient souvent est : «�J’ai des milliers de personnes dans mon entreprise, je suis attaqué par des gens qui ne payent pas les charges sociales, qui n’ont aucun scrupule fi scal, on ne se bat pas avec les mêmes règles.�» Ce sont des gens qui méritent le respect, à qui nous disons : «�Rien n’est perdu.�» Le changement et la transformation sont des enjeux clés. Ce qui nous intéresse, avec Capgemini Consulting, avec qui nous avons créé Marques d’avenir, c’est de donner un élément de pilotage sur les items de

l’avenir et de la perception de l’ave-nir. De façon assez simple, sans jargonner, pour accompagner les e© orts que les entreprises font déjà. L’étude inclut pour chaque secteur des sous-cahiers des charges, des sortes de guides pour actions, que nous avons complétés par ce que nous appelons le Marque d’avenir profi le (MAP). Il s’agit d’un outil basé sur l’autoévaluation pour com-parer la performance de sa marque sur les six critères d’une marque d’avenir et identifi er des axes de pro-

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

—Christelle Fumey, codirectrice du pôle society de CSA Research

L’institut CSA était en charge de la deuxième édition de Marques d’avenir menée en partenariat avec Capgemini Consulting. Qu’avez-vous fait évoluer en termes de méthodologie ?

Nous avons fait le choix d’interroger des gens qui sont au quotidien en prise avec des problématiques d’en-treprise là où l’échantillon de l’année précédente était axé sur des cadres, des CSP+. Nous avons interrogé pour cela un échantillon raisonné de décideurs en France, des directeurs d’entreprise ou des directeurs d’un service stratégique pour l’entreprise. Et surtout, nous nous sommes focali-sés sur des entreprises plus grandes que la moyenne. C’est-à-dire que nous ne sommes pas sur un échan-tillon représentatif des entreprises françaises, car sinon nous aurions eu 90�% de TPE. Nous avons souhaité avoir la perception des grandes en-treprises, grands groupes et entre-prises de taille intermédiaire (ETI), ainsi que celle des plus petites entre-prises, start-up et PME issues des secteurs innovants selon la classifi -cation Insee. L’ensemble des critères testés durant l’étude pour défi nir une marque d’avenir abordait six dimensions : performance, bénéfi ce client, disruption, gouvernance, res-ponsabilité sociétale des entreprises (RSE)/bien commun, émotion.

Interview Christelle Fumey, codirectrice du pôle society de CSA Research

Est-ce que ce changement de méthodologie explique que le classement des marques di� ère de celui de 2015 ?

Pas vraiment. Près d’un tiers des marques d’avenir 2016 n’étaient e© ectivement pas présentes dans ce classement en 2015, mais ces bouleversements sont notamment dus à l’actualité. Des critères plus conjoncturels portés par une forte médiatisation peuvent faire rapidement évo-luer les perceptions. L’exemple de Tesla Motors est élo-quent. Cette marque gagne plus de 28 places entre 2015 et 2016, pour arriver troisième derrière Apple et Google. À cet égard, le cas de Tesla est emblématique de deux enseignements. La marque profi te de l’arrimage à un sec-teur industriel qui est bien noté dans l’étude car perçu comme étant innovant ou en capacité de répondre aux enjeux qui sont posés à l’automobile. Et Tesla profi te aussi de la cohabitation avec des acteurs disrupteurs, des start-up qui sont devenues des icônes, comme Google ou Facebook, bien sûr, mais aussi avec BlaBlaCar ou Uber, qui font leur entrée dans le top 30 de 2016. Il faut préci-ser que le classement a été fait avant les diÄ cultés tech-niques rencontrées par Tesla sur des failles de certaines voitures. On verra si cela a des conséquences, sachant qu’il y a aux États-Unis une culture de «�test and learn�» qui reconnaît le droit à l’échec. Pas de changement, en revanche, sur les deux premières places. Apple et Google restent des marques stables car extrêmement puissantes en termes économiques, d’image et d’usage. En revanche, la nouvelle composition de l’échantillon peut expliquer l’évolution des critères. Plus BtoC, plus grand public, l’échantillon 2015 considérait comme une marque d’avenir une marque qui change l’usage quotidien du consommateur. Cette année, il s’agit de décideurs pour qui le business model est essentiel dans la pérennité d’une marque. Il est aussi intéressant de noter que ce ne sont pas les mêmes leviers d’avenir qui émergent selon le type d’entreprises. Pour les start-up, c’est l’anticipation et la réponse à des besoins, en créant

un produit inédit qui rencontre un public. Pour les PME, le processus essentiel est d’avoir un modèle

économique pérenne en misant sur la créa-tion de valeur. Le critère déterminant pour

les ETI est leur dirigeant et l’incarnation du projet d’entreprise qu’il représente. Pour les grandes entreprises, l’avenir passe par la synthèse de tout cela. Ce qui me frappe c’est qu’alors que l’on parle beaucoup de disruption, de capacité à casser les codes, pour

les décideurs, les marques d’ave-nir doivent être innovantes sans pour autant être rupturistes. Si des marques du classement ont réussi à s’imposer en cassant les

codes, l’innovation incrémen-tale prime sur la disruption.

On peut imaginer que les fondamentaux ne vont pas changer d’une année sur l’autre. Dans quelle direction allez-vous faire évoluer la méthodologie cette année ?

On est e© ectivement sur des fonda-mentaux d’image qui ne bougent pas nécessairement de manière specta-culaire d’une année à l’autre. On doit s’interroger sur l’édition prochaine en faisant évoluer le questionnaire pour creuser certaines dimensions. On aura toujours notre top 30, qui est incontournable, mais peut-être ne sera-t-il pas nécessaire de creuser autant les critères et plutôt mettre la focale sur autre chose. Par exemple, j’aimerais essayer de comprendre pourquoi des marques comme EDF, Total, Engie sortent du radar sur les dimensions d’utilité, de béné-fi ce client. C’est comme si on avait un peu oublié qu’elles apportaient un service au quotidien. La dyna-mique n’est pas dans leur camp, cela montre qu’elles devraient penser à réenchanter leur identité, à recréer du lien avec l’utilisateur. Plus large-ment, l’outil de pilotage va être aÄ né au regard du retour d’expérience que l’agence W et nous-mêmes avons auprès de nos clients.

Ce qui me frappe c’est qu’alors que l’on parle beaucoup de disruption, de capacité à casser les codes ; pour les décideurs, les marques d’avenir doivent être innovantes sans pour autant être rupturistes. Christelle Fumey

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ACTIVATION DATA

UNE DÉMARCHE DATA DRIVENSUR LES HABITUDES

COMPORTEMENTALES DESCONSOMMATEURS

AMPLIFICATION MEDIA

CONVERGENCE OOH,MEDIA DIGITAUX ET MOBILE

INTERACTION CLIENT

UN CONTENU ENRICHI POUR DENOUVELLES CONNECTIONS CLIENTS

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

brèves 1on vous l'aura dit !

Stade 2. L’émission revient avec un nouvel horaire le dimanche, à 17 h 30, pour soixante-dix minutes. Et un nouvel univers de magazine de décryptages, d’enquêtes dans la sphère économique et sociétale du sport, de portraits de sportifs en immersion et de reportages dans les coulisses des grands événements.

francemusique.fr. Le site, relooké en novembre dernier, enrichit son offre de sept nouvelles webradios : Classique Easy (pour les amateurs de musique classique), Classique Plus (les œuvres du grand répertoire), La Jazz (pour amateurs comme pour initiés), Concerts Radio France, Musiques du monde Ocora, La Contemporaine (la création musicale de 1945 à aujourd’hui), une webradio événementielle (au nom modulable en fonction des événements) et Classique Kids.

M6. La chaîne continue de décliner sa plateforme de marque « Continuons de grandir ensemble ». Le film lancé en septembre 2016 autour de ses animateurs a fait l’objet d’une campagne de cinéma avec un spot de quatre-vingt-dix secondes projeté dans 3 700 salles fin décembre. Le clip est également diffusé sur le Web et les réseaux sociaux.

NRJ Global. Le groupe vient d’acquérir la technologie de la start-up Triber, qui permet d’éditer des applications mobile innovantes. Une nouvelle étape dans le plan de développement du groupe NRJ dans l’univers digital après la prise de participation dans le MCN Share Fraiche en février 2016.

Nounou Connect. C’est le nom de l’application mise au point par Fullsix pour Bepanthen de la division consumer health du groupe Bayer, que le groupe accompagne dans la définition et la mise en œuvre de sa stratégie digitale. Il s’agit d’un véritable carnet de bord de la journée de bébé connecté entre la nounou et les parents. L’appli est disponible sur mobile et tablette, Android et iOS.

en très bref

PREMIER MULTIPLEX PERISCOPE EN FRANCE

Ce dispositif inédit est signé Havas Paris pour SNCF. Afi n de célébrer la première circulation du TGV L’Océane vers Bordeaux et Toulouse, les équipes de Havas Paris, Havas Events et SNCF ont imaginé et or-chestré le premier multiplex Peris-cope en France le 11 décembre der-nier. Ce dispositif digital coproduit avec WeScope a pris la forme d’une émission spéciale depuis le compte @DansLeTGV. Suivi par quelque

SNCF A ORGANISÉ, AVEC HAVAS PARIS ET HAVAS EVENTS, LE PREMIER MULTIPLEX PERISCOPE EN FRANCE POUR LA CIRCULATION DE SON nOUVEAU TGV L’OCÉANE

58�000 spectateurs en live, ce Peris-cope a été regardé par 100 000 spec-tateurs en quarante-huit heures à peine en replay. Cette innovation est le point d’orgue d’un dispositif phy-sique et digital lancé le 25 novembre (expérience immersive en gares et online, social media avec des blo-gueuses, créations d’artistes locaux). Objectif : proposer aux voyageurs une véritable expérience de marque en faisant découvrir les innovations du train sans oublier les attraits de la région Sud-Ouest.

ADMAN MEDIA ÉVÉNEMENTIALISE SES DISPOSITIFS

Une vidéo s’affiche en haut de page en auto play mute au-dessus du titre du site de l’éditeur, et dès que l’internaute clique, le son s’active et la vidéo s’agrandit sur l’intégralité de la page. Prime Video est le der-nier format vidéo oustream lancé par ADman Media, leader sur le marché hispanique et latino-amé-ricain dans la distribution vidéo. Ce nouveau dispositif s’ajoute aux formats InText, InBanner, Native Video, I Spot et Video Seeding déjà proposés par la jeune la société espagnole créée en 2010. Présente REPRO

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grand répertoire), La Jazz (pour amateurs comme pour initiés), Concerts Radio France, Musiques du monde Ocora, La Contemporaine

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Concerts Radio France, Musiques du monde Ocora, La Contemporaine (la création musicale de 1945 à aujourd’hui), une webradio

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(la création musicale de 1945 à aujourd’hui), une webradio événementielle (au nom modulable en fonction des événements) et

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Objectif : proposer aux voyageurs une véritable expérience de marque

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ADMAN MEDIA ÉVÉNEMENTIALISE SES DISPOSITIFS

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

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dans huit pays, dont la France de-puis 2012, elle a enrichi de façon continue la technologie de sa pla-teforme SSP de vidéo pour desk-top et mobile afin que la relation entre l’annonceur et l’internaute soit la plus fluide et la plus adap-tée possible. Avec ses quelque 300 éditeurs et 18 000 social publishers partenaires en France, ADman Me-dia a réalisé des campagnes vidéo

en multidevices pour plus d’une centaine d’annonceurs.

BIENVENUE DANS LES COULISSES DE LA RADIO

La matinale est le rendez-vous phare des stations de radio et celui sur lequel sont braqués tous les regards lors de la publication des chi© res d’audience. CStar a décidé d’en faire

un sujet de fi ction. La chaîne de la TNT entame, en e© et, la production du programme court Le Morning, une créa-tion originale française qui raconte les coulisses de la vie d’une radio et de son morning. Coproduite avec H2O Fictions, cette fi ction de 45 épisodes sera di© usée au pre-mier semestre 2017.

LE CHIFFRE

11,4�% des Français de 13 ans et plus, soit 6,1 millions de personnes, écoutent chaque jour la radio sur un support digital. Selon l’étude 126�000 Radio de Médiamétrie, le mobile se classe en tête avec 3 millions d’adeptes chaque jour. Il est suivi par l’ordinateur (1,4 million d’auditeurs), la télévision (1,2 million), la tablette (549�000) et le bala-deur (280�000).

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ITEun sujet de fi ction. La chaîne de la TNT entame, en e© et,

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vie d’une radio et de son morning. Coproduite avec H2O Fictions, cette fi ction de 45 épisodes sera di© usée au pre-

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Fictions, cette fi ction de 45 épisodes sera di© usée au pre-

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mobile se classe en tête avec 3 millions d’adeptes chaque

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la télévision (1,2 million), la tablette (549�000) et le bala-deur (280�000).

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Les top cadres et les hauts revenus surconsomment le media presse, en print mais aussi en format numérique. C’est ce que confi rme la nouvelle étude One Premium de l’ACPM, qui intègre pour la première fois la consultation réelle des marques de presse sur le digital.

presseLa presse se liten numérique chez les Premium

Bonne nouvelle pour les acteurs du marché, l’étude One Premium a été revue pour coller d’un peu plus près à leurs attentes. Elle intègre, en effet, une nouvelle mesure passive des consultations des sites et applications de presse sur tous les moyens d’accès numériques (ordinateur, mobile et tablette) et dans tous les lieux de connexion, à domicile et sur les lieux de travail. Un net plus par rapport à la mesure précédente, qui reposait sur une approche déclarative. Par ailleurs, la mesure d’audience menée par Kantar TNS se déroule désormais en continu tout au long de l’année, hors les mois d’été. Des changements positifs qui impliquent, en revanche, de ne pas comparer les résultats d’audience de la presse et des marques de presse en termes d’évolution par rapport aux années antérieures.

Nouvelleméthodologie

L’EXPERT HAVAS

Adèle FourréResponsable de pôle PublishingTél. : +33 (0)1 46 93 36 [email protected]

Pauline WierzbickiResponsable de pôle PublishingTél. : +33 (0)1 46 93 29 [email protected]

Que ceux qui enterrent régulièrement la presse en prennent de la graine : le media est une référence pour la cible des Premium. En e© et, 99,7�% de cette population, soit 7,9 mil-lions d’individus de 18 ans et plus, consultent au moins une marque de presse (en print ou en digital). Mieux, ils en sont surconsommateurs : 55�% sont e© ectivement de gros lec-teurs quand ils ne sont que 36�% de gros auditeurs de radio et seulement 6�% de gros téléspectateurs.Les annonceurs retiendront particulièrement que la presse est la première source d’information des Premium sur les secteurs de consommation, comme la mode, l’au-tomobile, la beauté, la banque/fi nance ou la décoration.

UNE LECTURE NUMÉRIQUE BIEN ANCRÉE

Print ou papier ? Les top cadres et top revenus ré-pondent�: les deux. Ainsi, 95,1�% consultent au moins un titre de presse en version papier, et pour 95,6 % d’entre eux, la lecture numérique est devenue une habitude. 72,9�% de cette population suréquipée en ordinateurs, smartphones et tablettes consultent la presse sur smart-phone (49�% le font sur tablette).Quand on regarde d’un peu plus près la répartition des lecteurs de presse exclusifs print ou numérique, on

constate que, sur l’ensemble des titres de presse, 51�% sont des lec-teurs exclusifs «�numérique�», contre 39�% d’exclusifs print. Les exclusifs «�numérique�» sont majoritaires dans un grand nombre de familles, la PQR (57�%), les magazines féminins (54�%) et les magazines économie, busi-ness (50�%). Quant aux lecteurs de magazines loisirs, ils optent priori-tairement pour le papier (49�%), tout comme les lecteurs de news (46�%).

DES FANS D’ACTUALITÉ

Ce n’est pas une surprise, ne serait-ce que pour des raisons profession-nelles : dans le top 10 des marques globales, les Premium plébiscitent la presse quotidienne et les maga-zines d’actualité. La presse quoti-dienne dans son ensemble o© re des profi ls de lectures variés. Dans le quinté gagnant fi gurent, dans l’ordre, PQR 66, Le Figaro, Le Monde, L’Équipe et Le Parisien/Aujourd’hui en France, avec un important taux de dupliquants print/digital aÄ ché

par les quatre premières marques. L’Express arrive en tête des maga-zines les plus consultés par cette cible. Les magazines présents dans ce top 10 sont encore consultés ma-joritairement sur le print. L’Obs, ce-pendant, domine le classement des lectures exclusives digitales (58�%), devant Le Parisien/Aujourd’hui en France (56�%) et L’Express (55�%).

L’étude One Premium dresse éga-lement un focus riche d’enseigne-ments sur le top 10 de ces deux familles respectives. En presse quo-tidienne, Ouest-France et Le Parisien/Aujourd’hui en France arrivent en tête des consultations exclusives digitales. En revanche, La Croix, Le JDD et Libération sont davantage lus exclusivement sur le print. Du côté des magazines, c’est la famille actualité/news/pictures qui s’avère la plus consultée par les Premium. Quatre titres féminins trouvent éga-lement leur place dans ce ranking : Elle, Gala, Madame Figaro et Femme Actuelle. REPRO

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Les top cadres et les hauts revenus surconsomment le media presse, en print mais aussi en format numérique. C’est ce que confi rme la nouvelle étude One Premium de l’ACPM, qui intègre pour

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numérique. C’est ce que confi rme la nouvelle étude One Premium de l’ACPM, qui intègre pour la première fois la consultation réelle des marques de presse sur le digital.

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la première fois la consultation réelle des marques de presse sur le digital.

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Bonne nouvelle pour les acteurs du marché, l’étude One Premium a été revue pour coller d’un peu plus près à leurs attentes. Elle intègre,

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été revue pour coller d’un peu plus près à leurs attentes. Elle intègre, en effet, une nouvelle mesure passive des consultations des sites

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en effet, une nouvelle mesure passive des consultations des sites et applications de presse sur tous les moyens d’accès numériques

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

MPA Nº34 - décembre 2016-janvier 2017 15

ACPM ONE 2015-2016 LNM

Qu’apporte de plus la nouvelle méthodologie de l’étude One Premium au marché et aux éditeurs ? La nouvelle méthodologie pour

mesurer les fréquentations des sites et des applications presse est basée sur la pose de cookies (vs une mesure

déclarative précédem-ment). L’étude One Pre-mium renforce donc la fi abilité de ses résultats et permet d’analyser l’au-dience digitale réelle des marques étudiées.

La mesure doit-elle aller encore plus loin pour répondre

aux besoins du marché ?Oui, car le marché publici-

taire a besoin d’évaluer les performances globales des dispositifs intégrant tous les devices (presse, desktop, tablette et mo-bile) sur les cibles cadres

et hauts revenus.

Les marques d’information se taillent la part du lion auprès de ce lectorat. Celui-ci s’est-il détourné de la presse à centre d’intérêt ? Et que peut faire cette presse pour le reconquérir ?

Les marques d’information ont généralement des audiences digi-tales plus élevées que celles des sites de presse à centre d’intérêt. La tendance générale marquant la progression des consultations digitales favorise naturellement les marques d’information, souvent plus matures sur ces devices. Dans l’objectif de booster leur audience digitale, les marques de presse à centre d’intérêt doivent donc ajus-ter leurs stratégies et leurs organi-sations mais aussi adapter la narra-tion de contenu au format digital. Par exemple, le magazine féminin Elle a utilisé Facebook Live en mars dernier pour rassembler sa commu-nauté autour de la Fashion Week en di© usant en direct les défi lés de mode de l’événement.

La lecture numérique est bien ancrée auprès de cette cible Premium. Quelles évolutions cela doit-il impliquer pour les éditeurs ?

Les éditeurs doivent adapter leur modèle économique au vu de ces résultats. Par exemple, Les Echos ont mis en place des lectures payantes à partir du cinquième article consulté. Cette tendance des visites digitales payantes devrait se renforcer dans les mois à venir pour la survie des marques de presse en France.

Interview Adèle Fourré et Pauline Wierzbicki, responsables de pôle Publishing

Pauline Wierzbicki

Adèle Fourré

L’étude One Premium renforce la fiabilité de ses résultats et permet d’analyser l’audience digitale réelle des marques étudiées

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Media de la proximité et de la mobilité, la communication extérieure ne veut pas oublier qu’elle est aussi un support artistique.

CréationLa communicationextérieure affiche sa créativité

L’EXPERT HAVAS

Isabel PiresResponsable de pôle / AdcityTél. : +33 (0)1 46 93 33 [email protected]

Comme toujours dès lors qu’il s’agit de création, les débats ont été ani-més au sein du jury du Grand Prix de la Communi-cation Extérieure, organisé par l’UPE (Union de la publi-cité extérieure), le 18 novembre der-nier à Amsterdam. Pour cette 43e édi-tion, 13 campagnes ont été distinguées par un prix ou une mention, mais ce que l’on retiendra notamment est la faible part accordée aux dispositifs digitaux. En dépit d’un nombre de

campagnes DOOH plus important chaque année, une seule campagne digitale fi gure au palmarès 2016. La rai-son : le manque de créativité de ces dispositifs, que l’on a

même entendu qualifi er de «�gifs ani-més�». Si le DOOH doit encore faire ses preuves aux yeux des patrons de la création des agences du Grand Prix, il en va cependant di© éremment pour le marché. Selon les dernières données de l’Irep, l’aÄ chage digital a vu ses recettes publicitaires croître de 19,1�% sur les neuf premiers mois de l’année. Et l’on compte à ce jour 5 770 mobi-liers digitaux en France, en indoor et en outdoor, tous aÄ cheurs confondus. «�Di© érents facteurs jouent en faveur du développement du digital. Rassu-

rés par un cadre légal plus clair, les concédants com-prennent de plus en plus que c’est un moyen de commu-

En 2017, l’institut de mesure d’audience de la publicité extérieure proposera une mise à jour de l’étude d’audience sur l’ensemble des agglomérations qui intégrera notamment la nouvelle population Insee, les nouveaux périmètres des agglomérations Insee, les nouveaux comportements de mobilité dans chaque agglomération ainsi que les nouvelles offres des sociétés de publicité extérieure. En parallèle, A§ métrie poursuivra ses travaux de recherche sur l’intégration de données « smart data mobilité » (GPS, téléphonie, Internet…) dans sa méthodologie ainsi que sur l’extension du périmètre couvert par l’étude (outdoor et indoor).

Affimétrie s’adapte aux évolutions sociétalesLa France

compte 5 770 mobiliers digitaux, en indoor et en outdoor, tous afficheurs confondus

nication intéressant. Et le marché le reconnaît comme un media très contextualisé qui permet de faire de la smart data�», explique Philippe Baudillon, président de Clear Chan-nel France. De l’avis unanime des aÄ cheurs présents au Grand Prix, la communication extérieure en géné-ral et le DOOH en particulier ont une carte à jouer en surfant sur le développement continu du mobile. Sur les 37 millions de personnes qui possèdent un smartphone en France, le taux d’interaction avec l’OOH est de 16�%, de 15�% avec la té-lévision, de 14�% avec la presse et de 13 % avec la radio (source : iligo, pre-mier baromètre de suivi de l’usage des connexions entre écrans). Un couple interactif auquel le marché veut prédire un bel avenir.REPRO

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

MPA Nº34 - décembre 2016-janvier 2017 17

Qu’est-ce qu’une bonne création dans ce contexte ?

Dans le meilleur des mondes, elle doit être intelligente, c’est-à-dire qu’elle doit délivrer le bon message, de ma-nière lisible. À partir de là, elle peut emprunter plusieurs formes, être im-pertinente, drôle, spectaculaire. Dans tous les cas, elle doit provoquer des discussions. Nous sommes tous en quête du message qui va trouver un écho sur les réseaux sociaux. Dans les débats qui ont animé le jury du Grand Prix, on a évoqué la campagne iconique de 1981 où Myriam promet-tait d’enlever le haut puis le bas pour «�Avenir, l’aÄ cheur qui tient ses pro-messes�». C’était juste une aÄ che et la France entière en a parlé. On peut discuter devant une aÄ che, dans le métro, dans la rue, dans le bus. Cette connexion avec les gens est extrêmement importante, et c’est ce que nous devons avoir en tête à propos de l’aÄ chage. Ce lien passe

par la puissance de l’idée que l’on souhaite mettre en avant et ensuite par la bonne exécution, épurée.

À l’inverse, quelles sont les erreurs à éviter avec ce media ?

Il faut éviter de prendre l’aÄ che pour un support fourre-tout sur lequel on martèle plusieurs infos à la fois. En faisant cela, on délivre un

UNE APPROCHE AUDIENCE PLANNING - GARANTIE D’IMPACT ET D’ENGAGEMENT CONSOMMATEUR SUR LES MÉDIA OOH ET LOCAUX

[email protected]

AMPLIFICATION MEDIA

CONVERGENCE OOH, MEDIA DIGITAUX ET MOBILE

INTERACTION CLIENT

UN CONTENU ENRICHI POUR DE NOUVELLES CONNECTIONS

CLIENTS

ACTIVATION DATA

UNE APPROCHE DATA DRIVEN SUR LES HABITUDES

COMPORTEMENTALES DES CONSOMMATEURS

Une spécifi cité qui engage la responsabilité des créatifs, estime Xavier Beauregard, coprésident en charge de la création de l’agence Les Gaulois (groupe Havas), reconnu comme l’un des dix meilleurs directeurs de la création au monde selon The Directory Big Won Rankings. Il nous explique comment.

Quelles sont les spécifi cités de l’a¦ chage par rap-port aux autres media pour un créatif ?

On peut choisir de ne pas allumer la télévision, de ne pas ouvrir un magazine, de ne pas écouter la radio, de ne pas surfer sur Internet. En revanche, quand on marche dans la rue, à moins de le faire les yeux fermés, on est forcé-ment exposé à l’aÄ chage. En cela, l’aÄ chage peut être vu comme un media extrêmement intrusif. Mais c’est aussi sa force, car c’est un media extrêmement populaire, qui va nécessairement toucher les gens. Agences et créatifs, nous avons une responsabilité, car nous obligeons les gens à regarder la campagne.

—Xavier Beauregardcoprésident en charge de la création de l’agence Les Gaulois

Interview « L’affichage est le media le plus populaire »

IL FAUT ÉVITER DE PRENDRE L'AFFICHE POUR UN SUPPORT FOURRE-TOUT SUR LEQUEL ON MARTÈLE PLUSIEURS INFOS À LA FOIS

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

message di© us. Au vu des campagnes en lice en 2016, je suis assez déçu du virage que prend l’aÄ chage au-jourd’hui. Les grands annonceurs le considèrent trop souvent comme une garantie d’exposition et privilé-gient de ce fait la promotion, les discours prix, en ou-bliant totalement l’e© et image.

Ces campagnes sont pourtant le fruit d’un partenariat entre un annonceur et une agence…

Oui, mais il y a encore beaucoup d’éducation à faire dans ce domaine. Par ailleurs, pour avoir de la qualité, il faut du temps et de l’argent. Cela s’applique à tous les corps de métier. Si vous contactez un entrepreneur en lui disant «�Je n’ai pas d’argent et pas de temps mais faites-moi une belle maison�», il ne pourra pas le faire. S’il n’est pas possible d’avoir les deux, il faut au moins avoir soit plus d’argent, soit plus de temps. Plus d’argent parce que plus de créatifs, plus de ressources pour faire de la qualité, ou plus de temps pour pouvoir peaufi ner et trouver les bonnes réfl exions. Mais c’est compliqué aujourd’hui, car beaucoup d’agences subissent un rythme e© réné de pro-duction, pas uniquement dans l’aÄ chage mais dans tous les media, et forcément la création en pâtit.

• Agence : Altmann + Pacreau • Annonceur : M. Moustache—Qualifi ée d’«�originale�», de «�décalée�», de «�loufoque�» ou encore de «�rafraî-chissante�» par les membres du jury, la campagne M. Moustache a fait l’una-nimité pour son graphisme impactant et ses visuels épurés. Elle a été réali-sée à l’occasion de l’ouverture de la première boutique parisienne de la jeune marque de chaussures françaises et en profi te pour mettre pour la première fois en avant la cible féminine.

Le développement du digital en a¦ chage change-t-il la donne en matière de création ?

Il y a une vraie carte à jouer en digital, mais à condition de ne pas s’en tenir à produire des campagnes qui sont à la croisée du papier et du fi lm. Sinon, c’est là aussi la paupérisation de la création. Un des grands enseigne-ments que je retiens des campagnes d’aÄ chage sélectionnées au Grand Prix est que si les grandes marques vont vers le digital, les digital natives ont, eux, décidé de communiquer en masse en aÄ chage papier. Les Uber, Meetic, Instagram dont nous avons vu les campagnes ont compris que pour exposer un message global, il faut être au plus proche des gens, au cœur des conversations, c’est-à-dire dans la rue. C’est un signe positif pour l’avenir de l’aÄ chage qui est, ré-pétons-le, le media le plus populaire.

palmarès

LE GRAND PRIX PRIX

• Agence : Havas Paris• Annonceur : Notaires de France—Pour réaÄ rmer la force de l’acte notarié tout en insistant sur la proximité des notaires et leur modernité, l’agence a réalisé la première campagne de communication gra-vée dans le marbre. L’aÄ che de 500 kilos a été gravée en direct par un sculpteur dans trois villes de France (Paris-La Défense, Lyon et Toulouse).REPRO

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• Agence : Buzzman• Annonceur : CanalPlay—La seule campagne digitale primée au Grand Prix en 2016. La vidéo permettait de regarder un épisode d’un format court sous l’abribus d’une durée adaptée à celle de l’attente du bus. Une campagne qui joue totalement sur l’interactivité.

• Agence : Jésus et Gabriel• Annonceur : Metrobus—La signature « l’AÄ chage Bus par Metrobus » avait pour vocation de sensibiliser les professionnels de la publicité au media tout en interpellant les passants par des accroches humoristiques.

• Agence : Fred & Farid• Annonceur : Ma place est dans la salle—La campagne destinée à faire revenir les Parisiens dans les salles de spectacles après les attentats du 13 novembre a bénéfi cié d’un puissant relais sur les réseaux sociaux.

• Agence : Buzzman• Annonceur : Elle’s Imagine’nt—En plein Euro 2016, le slogan provocateur « Je ne supporte pas les bleus » avait pour but d’interpeller les passants pour les faire réagir sur une cause totalement di© érente, la violence conjugale.

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

Marty McFly lui-même serait probablement blu� é s’il entrait dans l’univers du canapé connecté qui porte son nom. Retour sur six mois d’expériences utilisateurs de cet objet symbole de l’évolution des comportements media.

ProspectiveMarty nous embarque vers le futur

L’EXPERT HAVAS

Cécile Villain-MichaudStrategic Planner Tél. : +33 (0)1 46 93 34 [email protected]

Pauline SirieixAnalyste media et consumer insightsTél. : +33 (0)1 46 93 15 [email protected]

Dans un article récent que le maga-zine Challenges a consacré à Marty, le journaliste parle du «�pari fou fait par Havas Media et son PDG, Raphaël de Andreis�». Embarquer les innovations aux fonctionnalités connectées les plus pointues du moment pour en analyser les poten-tialités était, en e© et, un sacré pari. Et une idée inédite pour une agence media de laquelle on est loin d’at-tendre des prestations de R&D expé-rimentale. L’idée prend en revanche tout son sens quand on sait que Marty «�a pour fonction de récupérer des fl ux de données comportemen-tales, de consommation media et digitale pour prédire les usages de demain�», comme l’explique Pauline Sirieix, analyste media et consumer insights chez CSA Data Consulting. Conçu autour de l’UX, ce canapé in-telligent est équipé d’une vingtaine d’objets connectés entre eux : ta-blette, pico-projecteur, caméra 360, casque de réalité virtuelle, impri-mante 3D, lampe connectée, console de jeux, réfrigérateur connecté, jusqu’à une technologie exclusive reliant musique et sensations tac-tiles, développée par la start-up française Aurasens. Au total, Marty propose à ce jour 101 fonctionnalités pour faciliter les usages au quoti-dien. L’utilisateur peut, par exemple, regarder une vidéo, se détendre en écoutant de la musique, imprimer un objet, et même déguster une boisson fraîche en déclenchant élec-triquement l’ouverture du frigo inté-gré, tout cela commandé à la voix grâce à Alexa, d’Amazon Echo. Au-tant de fonctionnalités dont Marty permet de mesurer la valeur d’usage actuelle et future.

CROISER LES DATA

Depuis juillet 2016, 360 sessions d’utilisation du canapé connecté ont été organisées en interne par le planning stratégique de Havas Media, sous l’égide de Jean-Charles Clément, responsable de la R&D, et de Cécile Villain-Michaud, strategic planner. À chaque fois, les utilisa-teurs de Marty répondent à un ques-tionnaire, et les données collectées convergent vers des tableaux de bord établis par les équipes analy-tics de l’agence. Ces Marty Users, membres des di© érentes entités de Havas et aussi clients du groupe, se sont vite prêtés au jeu en déclen-chant plus de 2�000 atmosphères proposées par les di© érentes fonc-tionnalités connectées. Pour ce qui concerne les expériences, la réalité virtuelle a rencontré un grand suc-cès. Elle a été utilisée sept heures quarante-cinq en 62 sessions, durant sept minutes cinquante en moyenne

par utilisateur, ce qui est assez colossal. C’est du quanti-tatif, et il y a indubitablement un e© et curiosité, mais cela ouvre des perspectives pour la consommation media du futur�» raconte Pauline Sirieix. Le questionnaire permet également de connaître la consommation media actuelle des utilisateurs, ce qui a donné l’idée à Havas Media de mixer tous ces éléments avec ses propres outils pour aÄ ner sa connaissance du comportement des consom-mateurs. «�Grâce au questionnaire media, Havas Media va pouvoir constituer des typologies d’utilisateurs en se calant sur la segmentation de nos sept familles pro-grammatiques�», confi rme Pauline Sirieix. Pour mémoire, cette segmentation de sept familles de consommateurs bien distinctes est bâtie au plus près de leurs comporte-ments, de leurs besoins et de leur évolution. Le processus engagé via Marty est déjà en cours. Ainsi les équipes de CSA Data Consulting ont-elles déjà déterminé que 44�%

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de Smart Shoppers (acheteurs à la recherche de bons plans), 39�% de Inno Lovers (adeptes de l’innovation au sens large) et 17�% de First Jobs ( jeunes actifs de 15-29 ans débutant leur carrière professionnelle) ont déjà ré-pondu au questionnaire. Le croisement des data révèle, par exemple, que quand 45�% des Marty Users déclarent utiliser la catch-up au moins une fois par semaine, ce chi© re monte à 49�% chez les Smart Shoppers. Que 30�% sont abonnés à Netfl ix mais que ce pourcentage atteint 37�% chez les Inno Lovers. En outre, nous avons pu noter que les Marty Users sont dans l'ensemble, et tout parti-culièrement les femmes, plutôt réfractaires à la captation de données ainsi qu'à la reconnaissance faciale.

WORK IN PROGRESS

Ce tracking de data va s'accélérer car l’utilisation de Marty est en évolution constante. «�Nous sommes en train d’explorer de nouveaux usages à travers des groupes bien spécifi ques, que nous convions à chaque fois à réagir à partir de thèmes précis, indique Cécile Vil-lain-Michaud. Nous avons déjà organisé, par exemple, des sessions sur le thème de soirées de foot avec des fans et de soirées shopping entre copines. Nous allons continuer avec des enfants de 7-10 ans, des adolescents, des jeunes mamans et des seniors. Pour les ados, la thé-matique sera d’utiliser Marty un soir où les parents ne sont pas là. Les seniors auront, pour leur part, à organi-ser un voyage avec leurs petits-enfants. Et les jeunes ma-mans, à qui il manque toujours au moins deux heures par jour, utiliseront Marty pour les aider à alléger leur quo-tidien.�» Les interfaces même de Marty sont aussi tou-

jours en chantier permanent. Havas Media vient ainsi d’entamer une collaboration avec des élèves ingénieurs en cinquième année à l’EISTI (École internationale des sciences du traitement de l’infor-mation) pour les faire travailler sur la reconnaissance faciale. Marty pourra alors reconnaître les utilisateurs et les appeler par leur prénom. La reconnais-sance vocale d’Amazon Echo va reve-nir dans une version 2, en français et avec des références hexagonales. «�Les utilisateurs eux-mêmes nous donnent des idées supplémentaires, comme cette jeune femme qui vou-lait utiliser l’imprimante 3D pour ré-aliser des bijoux, ou ce groupe de copains en afterwork qui a suggéré des usages auxquels nous n’avions pas pensé�», raconte Cécile Villain-Michaud. Les fonctionnalités sans fi n de Marty commencent aussi à intéres-ser les entreprises, à l’instar de ce grand distributeur qui l’a utilisé lors d’une réu-nion de 800 cadres du groupe. «�D’autres projets se profi lent avec des entreprises », indique Cécile Villain-Michaud. Autant de développements qui vont permettre de capter un maximum de data et de segmenter encore plus fi nement les Marty Users. «�C’est un magnifi que laboratoire pour imaginer le futur�», conclut Cécile Villain-Michaud.

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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS

brèves 2ON VOUS L’AURA DIT !

VIVENDI LANCE WATCHMUSIC EN FRANCE

Le service de vidéos musicales pour mobiles devrait arriver en France dans la première moitié de l’année 2017, a annoncé Karim Ayari, PDG de Watchever, la fi liale allemande de vidéo à la demande du groupe Vivendi. Ce nouveau service devrait être distribué par un ou plusieurs opérateurs télécoms et est destiné avant tout à une consommation sur les smartphones ou tablettes. Il est déjà proposé au Brésil depuis oc-tobre dernier comme une option par l’opérateur Telefônica, pour environ 4 euros. Le tarif devrait être du même ordre en France, «�un peu moins de la moitié du prix des abonnements aux services de streaming�», tels que Spotify ou Deezer, vendus autour de 10 euros, dixit Karim Ayari. Au pro-gramme : des clips musicaux, des concerts live et d’autres contenus exclusifs sans interruption par des publicités, ainsi que des services de musique en streaming et un mode hors ligne. Watchever, qui compte une centaine de collaborateurs à Paris et Marseille, a également déve-loppé l’application Studio+, bouquet de séries courtes exclusivement sur mobile lancé récemment en France par le groupe Canal+.

CANAL+ ÉTEND SA PROGRAMMATION EN AFRIQUE

Les fans du ballon rond ont rendez-vous sur les quatre chaînes Canal+ Sport pour suivre en direct et en intégralité la Coupe d’Afrique des nations Total Gabon 2017, du 14 janvier au 5 février prochains. La di© usion de cet événement sportif majeur pour le continent résulte de l’accord conclu par Canal+ Overseas, fi liale du groupe Canal+ en charge de l’international et de l’outre-mer français, avec la Confédération afri-caine de football (CAF) et Lagardère Sports. Il ne concerne pas que la seule CAN mais porte aussi sur les

droits de di© usion des plus presti-gieuses compétitions oÄ cielles de la CAF (Championnat d’Afrique des nations Total, Ligue des champions et Coupe de la Confédération de la CAF Total, matchs de qualifi cations pour la Coupe du monde FIFA 2018, etc.). Cet accord porte sur une durée de sept ans à compter de janvier 2017. Canal+ Overseas élargit éga-lement son o© re à destination d’un autre public africain, plus familial, via un accord de di© usion signé avec The Walt Disney Company portant sur les fi lms et séries des studios maison (Studios Walt Disney Pic-tures, Marvel Studios, Disney Pixar,

Lucasfi lm et Ghibli). Canal+ Overseas est ainsi le seul opérateur en Afrique subsaharienne francophone à pro-poser l’intégralité des quatre chaînes Disney.

MOBILE : OUI AU « TEST AND LEARN »

Les investissements sur mobile explosent (+ 71�% au pre-mier semestre 2016, selon l’Observatoire de l’e-pub SRI), mais quid de la perception du media et son intégration dans les stratégies des annonceurs ? Afi n de dresser un nouvel état des lieux, le SRI a reconduit l’étude qualita-tive menée en 2014 par Harris Interactive. Il en ressort que les annonceurs décrivent un marché publicitaire mobile complexe, semblent mieux informés sur les prestataires, les o© res, les dispositifs et les formats, et n’hésitent pas à tester plusieurs solutions. Ils ont à cœur la question de l’intrusivité des formats publicitaires sur un device considéré comme très personnel. S’ils ont majoritairement recours aux formats bannières et inters-titiels, ils les jugent néanmoins assez peu satisfaisants et cherchent à tester des modèles innovants et créatifs (interactifs, native inread ou infeed, social ads ou publi-cités vidéo courtes). Et qui passent par une optimisation du parcours client.

ÇA ROULE POUR AUTOLIB’

Le service d’autopartage du Groupe Bolloré fête ses 5 ans. Avec 5�000 véhicules électriques en circulation à date, il se classe comme le numéro un mondial de sa catégorie. Présent à Paris, Lyon, Bordeaux, Turin et Indianapolis, il va continuer de se déployer dans les rues des villes en 2017, à Londres avec Bluecity, et pour la première fois en Asie, à Singapour, avec BlueSG. En Île-de-France, Autolib’ va, par ailleurs, proposer des REPRO

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EUROPE 1 REBAT LES CARTES DE L’INFO

Jean-Pierre Elkabbach n’assurera plus l’interview politique qu’il ani-mait en semaine à 8 h 20 depuis vingt-neuf ans. Depuis le 2 janvier, il est remplacé par Fabien Namias, qui est aussi directeur général de la station et qui a pour mission de se consacrer à sa fonction de directeur de l’information. Jean-Pierre Elkab-bach continue pour sa part d’interro-ger les politiques, mais le week-end, à 8 h 20 les samedis et dimanches. Il reste également aux commandes du Grand Rendez-vous, chaque di-manche de 10 heures à 11 heures. Ces bouleversements ont pour objectif de «�renforcer l’o© re et l’audience de la matinale�» en cette année électo-rale. Pour mémoire, selon Médiamé-trie, Europe 1 a atteint son plus bas niveau d’audience cumulée (8,1�%) entre septembre et octobre.

– Twitter. Xavier Niel (Free, 148 000 abonnés), Stéphane Richard (Orange, 27 000 abonnés) et Yannick Bolloré (Havas, 12 500 abonnés) sont les trois dirigeants les plus suivis sur Twitter, selon une étude réalisée par Human to Human (groupe Hopscotch).

– Scènes de ménages. Télé 7 Jours consacre un hors-série de 96 pages en bande dessinée au programme court de M6. On y retrouve un best of inédit du quotidien des quatre couples qui cartonnent à l’écran (de 3,7 millions à 4 millions de téléspectateurs en moyenne chaque semaine).

EN TRÈS BREFLES CHIFFRES

2018. C’est la date à laquelle dispa-raîtra la publicité commerciale dans les programmes jeunesse de la télé-vision publique. Après l’Assemblée nationale en janvier 2015, le Sénat a défi nitivement adopté la propo-sition de loi dans ce sens du séna-teur écologiste des Hauts-de-Seine André Gattolin. —57. C’est le nombre de programmes dédiés au sport qui fi gurent dans les 100 meilleurs programmes 2016 mis en lumière dans le rapport Yearly Sports Key Facts d’Eurodata TV Worldwide (10 meilleurs pro-grammes dans 10 pays majeurs). —+�46,7�%. C’est l’augmentation en novembre dernier en France du nombre de téléchargements des applis d’e-commerce leaders pra-tiquant le Black Friday, indique la plateforme de données mobile Ogury dans une étude du trafi c des utilisateurs mobile dans le cadre du Black Friday 2016. Elle était de 44,2�% aux États-Unis, de 43�% en Ita-lie, de 40,1�% au Royaume-Uni et de 37�% en Espagne.

—10,6 millions de téléspectateurs ont regardé la première di© usion en clair de Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ? sur TF1 le 27 novembre dernier, soit 41�% de PDA. Un score spectaculaire qui en fait la plus forte audience cinéma de l’année 2016, pour TF1 mais aussi toutes chaînes confondues.

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– Twitter. Xavier Niel (Free, 148 000 abonnés), Stéphane Richard (Orange, 27 000 abonnés) et Yannick Bolloré (Havas, 12 500 abonnés)

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(Orange, 27 000 abonnés) et Yannick Bolloré (Havas, 12 500 abonnés) sont les trois dirigeants les plus suivis sur Twitter, selon une étude

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sont les trois dirigeants les plus suivis sur Twitter, selon une étude réalisée par Human to Human (groupe Hopscotch).

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Télé 7 Jours consacre un hors-série de Télé 7 Jours96 pages en bande dessinée au programme court de M6. On y

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96 pages en bande dessinée au programme court de M6. On y retrouve un best of inédit du quotidien des quatre couples qui

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retrouve un best of inédit du quotidien des quatre couples qui cartonnent à l’écran (de 3,7 millions à 4 millions de téléspectateurs

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cartonnent à l’écran (de 3,7 millions à 4 millions de téléspectateurs en moyenne chaque semaine).

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Éditeur : Havas Édition - 29/30, quai de Dion Bouton - 92817 Puteaux Cedex

IMPRIMEUR : ti-median - 70/82, rue auber - 94401 Vitry-sur-seine

Dépot légal : décembre 2016-janvier 2017

Date de parution : décembre 2016-janvier 2017

N°ISSN : 2271-2666

Directeur de la publication : Étienne Curtil

Direction artistique : Emilia Sausse

Responsables de la rédaction : Marie Glatt, Nadine Medjeber

rédaction : lena rose

Suivi de fabrication : Anne Geesen

Contact commercial : Rose-Aimée Gemain

Relectrice : Eve Mougenot

Contact : [email protected]

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