Météo - Agriculturedraaf.auvergne-rhone-alpes.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/...Prix moyen mensuel des oléagineux février 2017 fév. 2017/ janv. 2017 fév. 2017/ fév. 2016 colza

Carnaval au soleil : Le printemps en avance.

De bonnes conditions pour reprendre les travaux des champs : La dou-ceur permet une reprise des travaux des champs (fertilisation, préparations des sols, …) dans de bonnes conditions. Le cours des céréales progresse douce-ment et celui des oléagineux se stabilise à un niveau correct.

Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt

n° 15 - février 2017

Les ventes de vin diminuent, les prix aussi ! : La taille de la vigne touche à sa fin. Sur le marché des Beaujolais et des Côtes du Rhône, les volumes et les prix du millésime 2016 enregistrés en février demeurent inférieurs à ceux de l’an dernier.

Viticulture

Demande calme et léger repli des cours : L’activité ralentit pendant les vacances scolaires, les températures trop douces freinent la consommation des fruits d’hiver. Les intempéries hivernales en Espagne font chuter la production de légumes et contribuent au relatif maintien des prix.

Fruits - Légumes

Météo

Grandes cultures

Ovins - Porcins - Volailles L’épidémie de grippe aviaire s’amplifie : Le cours du porc progresse dans un marché fluide. La baisse saisonnière de l’agneau est très marquée cette année. La grippe aviaire continue de se propager en France.

Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêtService régional de l’information statistique, économique et territoriale16B rue Aimé Rudel - BP45 - 63370 LempdesTél : 04 73 42 16 02 - Fax : 04 73 42 16 76Courriel : [email protected] www.draaf.auvergne-rhone-alpes.agriculture.gouv.fr www.agreste.agriculture.gouv.fr

Directeur de publication : Gilles PelursonRédacteur en chef : Seán HealyComposition : Sriset Auvergne-Rhône-AlpesPhotos : © Draaf Auvergne-Rhône-AlpesPrix : 2,50 €Dépôt légal : mars 2017ISSN : 2494-0070

©AGRESTE 2017

LaitNette remontée des prix : Le prix du lait payé au producteur est enfin en nette progression. La baisse des volumes collectés semble se stabiliser au niveau national et l’évolution printanière est attendue par de nombreux observateurs : une nouvelle surproduction pourrait déséquilibrer un marché européen encore fragile. Baisse de la production de lait de chèvre avec un prix élevé.

Viande bovineLe marché du maigre retrouve des couleurs : Dans un marché avec de faibles disponibilités, les cours des bovins maigres progressent nettement pour le deuxième mois consécutif. La consommation de viande bovine accuse une nouvelle baisse début 2017.

Le printemps en avance.

Carnaval au soleil

La douceur arrivée fin janvier perdure tout au long du mois de février. Les vents, parfois tempétueux, orientés à l’ouest ou au sud maintiennent des températures largement supé-rieures aux normales (+3,2°C). La douceur atteint son apo-gée le 23 février : Météo France relève 21,2°C à Aubenas et Saint-Etienne,18,9°C à Lyon ! Les gelées sont rares et de faible intensité en plaine.


Climatologie de février 2017

Février trop doux, printemps en courroux


Directeur de publication : Gilles PelursonRédacteur en chef : Seán HealyComposition : Sriset Auvergne-Rhône-AlpesPrix : 2,50 €Dépôt légal : mars 2017ISSN : 2494-0070

©AGRESTE 2017

Plus de données en ligne sur http://www.draaf.auvergne-rhone-alpes.agriculture.gouv.fr

Source : Météo France

Hte-Savoie - Annecy-Meythet 68,5 mm 82,1 mm

6,2 °C 3,3 °C

7,5 °C 3,8 °C

Ain - Ambérieu en Bugey 54,7 mm 73,3 mm

8,3 °C 4,8 °C

Rhône - Lyon-Bron18,3 mm44,1 mm

Loire - Saint-Etienne7,6 °C4,3 °C

13,0 mm28,2 mm

Allier - Vichy-Charmeil7,5 °C4,4 °C

33,1 mm39,8 mm

Puy-de-Dôme - Clermont-Ferrand8,0 °C4,8 °C

17,8 mm21,8 mm

6,4 °C3,6 °C

99,6 mm83,2 mm

Cantal - Aurillac

Haute-Loire - Le Puy-Loudes4,9 °C 1,9 °C

29,1 mm31,3 mm

Ardèche - Aubenas9,0 °C6,0 °C

63,3 mm56,7 mm

Savoie - Chambéry-Voglans 90,6 mm 91,5 mm

7,1 °C3,6 °C

Isère - Grenoble-Saint-Geoirs 51,8 mm 51,6 mm

6,8 °C3,7 °C

Drôme - Montélimar44,4 mm45,2 mm

9,7 °C6,3 °C

précipitations (en mm)

température moyenne (en °C)Normales saisonnières 1981-2010

xx mmxx °C

Après les mois de décembre et janvier très secs (-82 % et -49 % par rapport à la normale), les pluies du mois de février se rapprochent de la moyenne régionale même si elles restent en déficit de 10 %. Le Rhône et la Loire sont déficitaires de plus de 50 %. Seuls l’Ardèche et le Cantal présentent une pluviométrie légèrement supérieure aux normales.

Philippe CeyssatBernadette Josserand

http://draaf.auvergne-rhone-alpes.agriculture.gouv.fr/Donnees-par-filieres

La douceur permet une reprise des travaux des champs (fertilisation, préparations des sols, …) dans de bonnes conditions. Le cours des céréales progresse doucement et celui des oléagineux se stabilise à unniveau correct.

De bonnes conditions pour reprendre les travaux des champs


Source : FranceAgriMer, La Dépêche

Prix moyen mensuel des céréales

février 2017

fév. 2017/janv. 2017

fév. 2017/ fév. 2016

blé tendre Rendu Rouen 169 €/t +0,8 % +17,6 % maïs grain Rendu Bordeaux 164 €/t +1,5 % +17,8 %

Après un arrêt marqué en janvier, les céréales profitent de la douceur pour redémarrer rapidement. En fin de mois, les stades s’échelonnent de trois feuilles pour les semis de décembre à fin tallage pour les parcelles les plus avan-cées. Quelques pertes de pieds liées au gel sont observées dans les parcelles semées tardivement dans de mauvaises conditions. Les agriculteurs profitent du temps clément pour rouler les céréales et réaliser les premiers apports d’engrais. L’efficacité des désherbages d’automne est globalement satisfaisante et les interventions de sortie d’hiver débutent.Les labours et les préparations de sol pour les cultures de printemps s’accélèrent. Les semis de céréales démarrent. La sole de betterave est prévue en forte augmentation (+15 %) pour atteindre 5 800 ha.

En février, les cours des céréales sont soutenus par la bonne demande mondiale. Les stocks de report de fin de campagne sont estimés en baisse pour le blé et le maïs français.

Après un repos végétatif marqué, la douceur provoque un redémarrage rapide des colzas. En fin de mois la plupart des parcelles atteignent le stade entre-nœuds visibles. Les premiers apports azotés et soufrés sont réalisés en milieu de mois avant le retour des pluies. Les températures maximales proches des 20°C réveillent les charançons de la tige contre lesquels une protection est souvent nécessaire. Une grande disparité de développement perdure entre des parcelles au sol bien couvert et des parcelles semées tardivement avec une très faible végétation.

Après six mois de hausse, le cours du colza se stabilise à 418 €/t au cours du mois de février. L’écart de prix avec le début 2016 devient conséquent et atteint 76 €/t. A l’opposé, le cours du tournesol est en léger repli depuis trois mois.

Philippe Ceyssat

Prix moyen mensuel des oléagineux

février 2017 fév. 2017/janv. 2017

fév. 2017/ fév. 2016

colza Rendu Rouen 418 €/t +0,9 % +22,1 % tournesol Rendu Bordeaux 378 €/t -0,5 % +1,7 %


Cotation du blé et du maïs grain €/t280

260240220200180160140120

maïs grain Rendu Bordeaux

blé tendre Rendu Rouen

juil. 12 janv. 13 juil. 13 janv. 14 juil. 14 janv. 15 juil.15 janv.16 juil.16 janv. 17




©AGRESTE 2017


Cotation du colza et du tournesol€/t550

500

450

400

350

300

250

colza Rendu Rouen

tournesol Rendu Bordeaux

juil. 12 janv. 13 juil. 13 janv. 14 juil. 14 janv. 15 juil.15 janv.16 juil.16 janv. 17 Source : FranceAgriMer, La Dépêche

Indices IPAMPA nationaux des biens et services de consommation courante des productions végétales

140

130

120

110

100

90

80

Sources : Insee - Agreste

base

100

en

2010

2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016

indice généralénergie et lubrifiantsengrais et amendementsproduits de protection des culturessemence

http://www.draaf.auvergne-rhone-alpes.agriculture.gouv.fr

http://www.agreste.agriculture.gouv.fr



Les ventes de vin diminuent, les prix aussi !La taille de la vigne touche à sa fin. Sur le marché des Beaujolais et des Côtes du Rhône, les volumes et les prix du millésime 2016 enregistrés en février demeurent inférieurs à ceux de l’an dernier.

Grâce aux conditions météorologiques favorables, les tra-vaux de taille avancent bien et sont quasiment terminés début mars. Les viticulteurs démarrent les premiers travaux de fertilisation. Aucun signe de reprise végétative n’est encore visible.

Sur le marché, les cours des vins demeurent globalement inférieurs à ceux de l’an passé. Les crus s’en sortent mieux.Les transactions en vrac de Beaujolais, avec 35 517 hec-tolitres contractualisés en février, enregistrent une nouvelle baisse par rapport à l’an dernier (-36 %). A sept mois de campagne 2016-2017, le volume des transactions enregis-


Source : UIVB

Transactions de vins du Beaujolais - Millésime 2016 - Vente en vrac et au négoce

cumul campagne 2016-2017 situation fin février 2017

évolution / campagne précédente

volume cours volume coursBeaujolais Génériques 190 564 195,0 -13,6 % -0,1 %

dont Villages Rouge Nouveau 55 313 206,1 +1,2 % -0,7 % Rouge Nouveau 94 236 202,0 -7,5 % +0,2 % Villages Rouge 16 458 167,8 -44,1 % -7,9 %

Rouge 15 294 142,2 -44,4 % -11,0 %Beaujolais crus 58 655 298,8 -21,0 % +0,7 %

dont Brouilly 11 297 277,8 -44,6 % -0,8 % Morgon 16 410 299,1 +5,2 % +1,8 % Moulin à Vent 4 540 378,7 -31,1 % +0,7 %

Total millésime 249 219 219,4 -15,5 % -0,6 %

Unités : hl, €/hl

Source : Inter-Rhône - Contrats interprofessionnels

Transactions de vins des Côtes du Rhône - Millésime 2016 - Vente en vrac et au négoce

cumul campagne 2016-2017

situation fin février 2017

évolution / campagne précédente

volume cours volume coursCôtes du rhône régional 593 366 141,5 -26,0 % -1,0 %

dont rouge 501 705 140,2 -28,9 % -1,3 % rosé 62 415 141,7 -7,0 % +0,4 % blanc 29 246 162,7 +0,8 % -2,0 %

Côtes du rhône Village avec NG* rouge 20 961 202,7 -26,6 % -2,1 %Côtes du rhône Village sans NG* rouge 47 239 166,0 -26,8 % -1,5 %Crus : Grignan Les Adhémar rc** 4 092 112,4 -67,0 % -2,5 %Crozes Hermitage rc** 5 988 470,4 -6,0 % +3,9 %Saint Joseph rc** 6 793 574,1 +63,1 % +5,2 %

Unités : hl, €/hl

*NG : nom géographique**rc : rouge conventionnel

trées est inférieur de 15,5 % à celui des sept premiers mois de la campagne précédente. Avec une récolte en hausse et un marché trop timide, il est nécessaire de rassurer les opérateurs qui ont tendance à céder à des cours inférieurs à ceux du millésime 2015. Ainsi, le prix des Beaujolais Rouge recule de 11 %, celui des Beaujolais Village Rouge de 8 %.

En Côtes du Rhône régional, les volumes vendus reculent de 36 % par rapport à février 2016 et sont inférieurs de 26 % à ceux vendus lors de la campagne précédente à la même période. Les prix fléchissent. Les cours des Côtes du Rhône Village (avec nom géographique) se replient de 2 %. Le

marché vrac de l’appellation Grignan-Les-Adhémar est en baisse réelle mais les ventes directes augmentent sensible-ment suite aux efforts menés en terme d’oenotourisme. La récolte de Saint-Joseph, en nette hausse, devrait permettre de répondre à de nombreuses demandes insatisfaites à ce jour ; les cours sont bien orientés. La situation est similaire pour les appellations Saint-Péray et Cornas. On ne relève pas de souci majeur en Crozes-Hermitage. En Côtes-Rotie et Condrieu, le stock est suffisant et les ventes sont bonnes.

En 2016, les vendanges de la région ont été très belles, tant en volume qu’en qualité, malgré les aléas climatiques. La situation nationale est toute autre, avec un net repli par rapport à 2015 (-10 %). Cette baisse de la récolte française s’inscrit dans un contexte de recul également de la produc-tion mondiale de 5 %.

Bernadette Josserand



©AGRESTE 2017


Prix des millésimes de l’année précédente relevés en février - transactions des vins en vrac

Sources : UIVB - Inter-Rhône

€/hl

2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017

Beaujolais crus

Beaujolais génériques

Côtes du Rhône Régional rouge

Récolte de vins Auvergne-Rhône-Alpes

Source : Agreste

3 000 000

2 500 000

2 000 000

1 500 000

1 000 000

500 000

02009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016

récolte pour AOP hors vins doux naturels, hors vins pour eaux de vie

récolte pour IGP

autres vins

hl

[email protected]




Fruits

La taille des arbres fruitiers est très avancée. Le redoux du milieu de mois provoque le début du débourrement sur les abricotiers et amandiers qui enregistrent un léger retard. Les dernières plantations sont réalisées dans les vergers ainsi que les travaux de fumure. En pomme, la conjonc-ture est calme avec des difficultés d’écoulement plus préoccupantes en Golden. Le manque de débouchés à l’export sature le marché intérieur. Les gros calibres béné-ficient de meilleures ventes. Les pommes sous indication géographique protégée (IGP) trouvent des opportunités avec l’approvisionnement des stations de montagne. Avec une offre variétale plus réduite, les transactions en poire se poursuivent à une rythme régulier. La Passe-crassane se vend mieux dans les plus gros calibres. Alors que la fin de campagne s’annonce toute proche, les cours se main-tiennent.

Les sorties en noix sont constantes. Un petit courant d’af-faires à l’exportation se maintient vers les pays du Nord. Un réajustement des cours est parfois consenti pour assu-rer le niveau des ventes. Le déstockage du kiwi avance normalement. Le produit est de bonne tenue et provient dans sa grande majorité des chambres en atmosphère contrôlée. Les températures trop douces et le chassé croi-sé des vacanciers ralentissent les approvisionnements. Un flux d’exportation vers l’Allemagne perdure, il s’adresse à une clientèle fidèle.

Demande calme et léger repli des coursL’activité ralentit pendant les vacances scolaires, les températures trop douces freinent la consommation des fruits d’hiver. Les intempéries hivernales en Espagne font chuter la production de légumes et contribuent au relatif maintien des prix.

Prix moyen mensuel au stade expéditionfévrier 2017

fév. 2017/janv. 2017

fév. 2017/fév. 2016

pomme Golden cat.I 170/220 g plateau 1 rg 0,85 €/kg -5 cts +10 cts poire Passe-crassane cat.I 75-80 mm plateau 1 rg 1,46 €/kg -1 ct +6 cts


fév. 2017/janv. 2017

fév. 2017/fév. 2016

noix AOC Grenoble sèche +32 sac de 5 kg 3,85 €/kg -8 cts +15 cts

kiwi Hayward 95-105 g 1,35 €/kg -4 cts +9 cts

Source : FranceAgriMer - RNM - stade expédition

Source : FranceAgriMer - RNM - stade expédition

Pommes Golden 170-220 plateau 1 rang

Noix AOC Grenoble sèche + 32 mm - sac de 5 kg

2016-2017

2016-2017

moyenne quinquennale

moyenne quinquennale

2015-2016

2015-2016

1,00

0,950,900,850,800,750,700,650,60

4,304,204,104,003,903,803,703,603,503,40

€/kg

€/kg

45 46 47 48 49 50 51 52 01 02 03 04 05 06 07 08 semaines

42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 01 02 03 04 05 06 07 08 semaines

Production de fruits d’hiver2016 (1) 2015 (2) Évolution/

2016-2015pomme 104 100 111 500 -7 %poire 21 100 20 300 +4 %noix 18 800 17 900 +5 %kiwi 5 700 6 000 -5 %châtaigne 3 700 3 100 +19 %

Source : Agreste

Unité : tonne

(1) statistique agricole provisoire - estimation au 01/03/2017(2) statistique agricole annuelle définitive



©AGRESTE 2017

Légumes

Après un mois de janvier est très hivernal ayant interrom-pu la récolte, le mois de février très printanier améliore la trésorerie des maraîchers. Le volume produit redevient normal, la faible importation espagnole tire les prix à la hausse, l’Espagne étant le premier fournisseur de fruits et légumes de l’Union européenne. En plein champ, les sols sont faciles à travailler et permettent les semis et planta-tions précoces dans de bonnes conditions. En serre, les salades et la mâche rattrapent le retard de janvier. En fin de mois, la faiblesse de la demande en laitue conduit à un léger tassement des cours qui restent cependant supé-rieurs à ceux de l’an dernier. Dans le sud de la région, on observe les premières plantations de pommes de terre pri-meurs. Les arrachages de poireaux reprennent après le gel. Il n’y a pas de rupture dans l’approvisionnement. La remontée des températures freine la demande et les cours enregistrent un petit recul.

Jean-Pierre UlmannMichel Ollier

Pomme Golden France - vrac +170 g - le kg Kiwi France vrac

3,00

2,50

2,00

1,50

1,00

40 42 44 46 48 50 52 2 4 6 8 10 12semaines1 4 7 10 13 16 19 22 25 28 31 34 37 40 43 46 49 52

semaines

€/kg

Source : FranceAgriMer - RNM - Relevés de prix chaque semaine dans un panel représentatif de 150 grandes et moyennes surfaces

0,60

0,50

0,40

0,30

0,20

€/pièce

3,00

2,50

2,00

1,50

1,00

8,60

8,20

7,80

7,40

7,00

6,60

€/kg €/kg

2015 2016 2017

45 47 49 51 1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 semaines

Poireau France le kg Noix AOP Grenoble - sachet 500 g

Prix des fruits et légumes au stade détail

Toutes les cotations sur les produits frais du RNM sur https://www.rnm.franceagrimer.fr/



fév. 2017/janv. 2016

fév. 2017/fév. 2016

laitue Batavia blonde cat. I colis de 12 0,82 €/pièce +11 cts +31 cts

poireau cat. I colis 10 kg 1,20 €/kg -23 cts +57 cts

1 4 7 10 13 16 19 22 25 28 31 34 37 40 43 46 49 52 semaines

2014-2015 2015-2016 2016-2017

2015 2016 2017 2014-2015 2015-2016 2016-2017

Batavia blonde Rhône-Alpes cat.I colis de 12 - la pièce

2017

moyenne quinquennale 2016

1,000,900,800,700,600,500,400,300,200,100,00

€/pièce

Source : FranceAgriMer - RNM- stade expédition

1 4 7 10 13 16 19 22 25 28 31 34 37 40 43 46 49 52 semaines



Nette remontée des prixLe prix du lait payé au producteur est enfin en nette progression. La baisse des volumes collectés semble se stabiliser au niveau national et l’évolution printanière est attendue par de nombreux observateurs : une nouvelle surproduction pourrait déséquilibrer un marché européen encore fragile. Baisse de la production de lait de chèvre avec un prix élevé.

Lait de vacheEn janvier, le volume de lait collecté en Auvergne-Rhône-Alpes se replie légèrement et reste largement inférieur à celui de l’année dernière (-12 % par rapport à janvier 2016). La tendance est inverse au niveau national où la production semble repartir à la hausse après le plan de réduction de la production laitière, notamment dans les grands bassins producteurs, (2 045 ML, +2,4 % sur décembre 2016 mais -6 % par rapport à janvier 2016).

Selon les données provisoires de l’enquête annuelle laitière SSP FranceAgriMer, le prix du lait hors AOP alpines payé au producteur régional progresse nettement en janvier et se situe au-dessus du prix des deux dernières années à la même époque.

Cette progression concernerait également le lait de vache AOP alpines dont le prix dépasserait les 600 €/1 000 litres (+20 € sur décembre 2016) pour des volumes collectés en légère hausse (20,5 ML, +0,6 ML sur décembre 2016).

Dans ces conditions, l’indice du prix à la production du lait de vache (IPPAP) est de nouveau en hausse en janvier 2017 (+3,1 % sur décembre) tandis que l’indice des prix d’achat des moyens de production agricole (IPAMPA) aliments pour vache laitière reste stable (+0,6 % sur décembre 2016).

Livraisons mensuelles de lait

janv. fev. mars avr. mai juin juil. août sept. oct. nov. déc.

Million de litres250

225

200

175

150

Source : Enquête mensuelle SSP-FranceAgriMer - extraction du 03/03/2017

Source : Agreste

Livraisons régionales de lait

janvier 2017 janv. 2017/déc. 2016

janv. 2017/janv. 2016

203 millions de litres -2,6 % -12,0 %

Prix moyen du lait - hors AOP alpines


janv. 2017/janv. 2016

357 €/1 000 litres +17 €/1 000 litres +8,5 %

2014201520162017

Indices IPPAP, IPAMPA et IPC

janv. mars mai juil. sept. nov. janv. mars mai juil. sept. nov. janv. mars mai juil. sept. nov. janv. 2014 2015 2016 2017

130

125

120

115

110

105

100

95

base 100 en 2000

IPAMPA aliments pour vaches laitières 20 % <MAT< 35 %

Indice des prix à la consommation laits et prod. laitiers

IPPAP lait de vache


Livraisons et prix moyen du lait AOP alpines €/1 000 LMillion de litres

2523211917151311975

630610590570550530510490470450janv. fév. mars avr. mai juin juil. août sept. oct. nov. déc. janv.

2016 2017

livraisonsprix



©AGRESTE 2017


Livraisons régionales de lait


janv. 2017/janv. 2016 année 2016

20 606 hl -2,0 % +0,8 % 323 774 hlSource : Enquête mensuelle SSP-FranceAgriMer - extraction du 10/03/2017

Prix moyen du lait


janv. 2017/janv. 2016

884 €/1 000 litres +0,5 % +4,5 %Source : Enquête mensuelle SSP-FranceAgriMer - extraction du 10/03/2017

Sur les trois dernières années, la chute de l’indice des prix à la production du lait de vaches est la plus importante (-15,3 %) tandis que celle de l’Ipampa « aliment pour vache laitière » reste limitée (-5,8 %). Dans le même temps, l’indice des prix à la consommation du lait et des fromages enre-gistre une baisse beaucoup plus légère (-3,6 %).

Les prix de la poudre de lait et du beurre débutent leur baisse saisonnière tandis que le dernier appel d’offre concernant la mise sur le marché de poudre de lait écrémé par Bruxelles a pris fin le 7 février sans transaction à la clé. Les prix des produits laitiers restent cependant supérieurs à leur niveau des deux années passées à la même époque.

L’accord commercial entre l’Union européenne et le Canada (CETA) devrait ouvrir un contingent de près de 18 000 tonnes de fromages exportés vers ce pays, dont 16 000 tonnes «de haute qualité». Les négociations tarifaires entre distributeurs et industriels se prolongent en février dans un contexte plutôt tendu concernant la filière laitière.

Lait de chèvre

En janvier, la collecte régionale de lait de chèvre serait en légère baisse de 2 % comparée à décembre 2016 selon les données provisoires de l’enquête mensuelle laitière SSP-FranceAgriMer. La production régionale dépasserait de près de 1 % celle de l’an passé à la même période. Au niveau national, la tendance est identique avec une collecte qui reculerait de 5 % en janvier par rapport à décembre 2016.

Le prix moyen régional du lait serait en légère hausse par rapport au mois dernier et s’établirait à 884 €/1 000 litres, prix en hausse de 4,5 % par rapport à l’an passé.

Au niveau national, le prix diminue de 3 % par rapport à décembre tout en étant supérieur de 4 % à son niveau de 2016.

Prix des produits laitiers et prix du lait en France€/ 100 kg et €/ 1 000 litres

Source : FranceAgriMer

450

400

350

300

250

200

150

poudre de lait 0 % MG

poudre de lait entier 26 % MG

beurre standard industriel 82 % MG

prix du lait France

janv. mars mai juil sept. nov. janv. mars mai juil sept. nov. janv. mars mai juil sept. nov. fev.17 2014 2015 2016

Indice mensuel des prix à la production (IPPAP) - Lait de chèvre

base 100 en 2010 - Données brutes

2012 2013 2014 2015 2016

140130120110100

908070


janvier 2017

Livraisons et prix moyen du lait de chèvre €/1 000 LMillion de litres


janv. fev. mars avr. mai juin juil. août sept. oct. nov. déc. janv. fév. mars avr. mai juin juil. août sept. oct. nov. dec. janv. 2015 2016 2017

1 0009008007006005004003002001000

livraisonsprix

François Bonnet, Fabrice Clairet

Source : Agreste

Indices IPAMPA, IPPAP et IPC - moyennes annuelles130125120115110105100

95908580

base 100 en 2000

IPAMPA aliments pour vaches laitières 20 à 35 % MGIPPAP lait de vache

IPC lait et fromages

2014 2015 2016

125,0

103,1

121,9

104,1100,0

117,7

102,699,4

121,1

4,03,5

3,0

2,5

2,0

1,5

1,0

0,5

0



n°15 - février 2017

Bovins maigres Après le creux habituel de décembre dû aux jours fériés, les exportations régionales de broutards retrouvent leur niveau habituel avec un léger retrait par rapport à janvier 2016. Sur l’année, les exportations sont en revanche en forte hausse.

Le manque d’animaux sur le marché ne permet pas de satisfaire une demande italienne bien orientée. Les ateliers d’engraissement italiens se vident facilement, incitant les opérateurs à rechercher des broutards. Depuis quelques mois, les femelles sont très demandées car elles atteignent un poids de carcasse moins élevé, plus facile à écouler. Dans ce contexte, les cours enregistrent une forte pro-gression, notamment pour les animaux de races rustiques ou croisés qui retrouvent les niveaux de prix de la période avant FCO. Les prix des laitonnes sont en hausse de plus de 10 % sur un an. Avec une concurrence européenne peu présente et l’ou-verture probable du marché israélien, les perspectives sont bonnes pour le marché du maigre, au moins pendant la période du creux de production.

Avec la baisse des naissances dans les troupeaux laitiers, l’offre de petits veaux est plutôt limitée. Cependant, la pru-dence des intégrateurs pour des veaux qui seront abattus en dehors de la période propice au veau de boucherie, ne permet pas une reprise des cours qui restent en deçà des deux années précédentes.

Le marché du maigre retrouve des couleursDans un marché avec de faibles disponibilités, les cours des bovins maigres progressent nettement pour le deuxième mois consécutif. La consommation de viande bovine accuse une nouvelle baisse début 2017.

Exportations régionales de broutards

janvier 2017 janv. 2017/janv. 2016 année 2016 2016/

201526 049 têtes -1,2 % 297 488 têtes +7,8 %

Source : Agreste-BDNI

Cotations départ ferme des bovins maigres Commissions de cotation Clermont ferrand et Dijon

février2017

Évolutionfév. 2017/ janv. 2017

Évolutionfév. 2017/fév. 2016

Mâle croisé U 400 kg 2,62 +4,4 % +3,1 %Mâle aubrac U 400 kg 2,63 +5,6 % +2,7 %Mâle salers R 350 kg 2,24 +1,8 % +0,9 %Mâle charolais U 400 kg 2,51 +2,4 % +0,8 %Femelle croisé U 270 kg 2,49 +1,2 % +10,7 %


Unité : €/kg vif

Mâle croisé U 400 kg - commission de cotation de Clermont-Ferrand


2,80

2,70

2,60

2,50

2,40

2,30

2,20janv. fév. mars avr. mai juin juil. août sept. oct. nov. déc

2016

€/kg vif

2017 2015

Exportations de broutards

Source : Agreste-BDNI - extraction du 07-03-2017

50 00045 00040 00035 00030 00025 00020 00015 00010 000

5 0000 janv. fév. mars avr. mai juin juil. août sept. oct. nov. déc

Têtes201520162017



©AGRESTE 2017

Bovins de boucherie

En vaches, le rythme des réformes laitières s’atténue forte-ment après plusieurs mois d’abattages élevés. En vaches allaitantes, après une longue période de capitalisation des troupeaux, les abattages repartiraient à la hausse en 2017.En ce début d’année, les achats de viande de bœuf par les ménages ont diminué de 2 % par rapport à 2016 sur la période de 4 semaines s’arrêtant au 22 janvier 2017 selon Kantar WorldPanel. Les morceaux bruts ont poursuivi leur baisse (-5 %) alors que le haché frais restait en hausse (+1 %).Les opérateurs peinant à vider les frigos, le marché est toujours aussi morose, les cours sont stables sur un mois, avec toutefois un léger regain pour la vache de classe O.

En jeunes bovins, malgré la baisse des abattages, les cours suivent la même tendance que 2016, à un niveau bas. Alors que le commerce se stabilise en Italie, la pro-duction polonaise s’annonce abondante et le marché pour-rait s’alourdir et rester difficile toute l’année.Les représentants de la profession veulent donner un se-cond souffle à la démarche «cœur de gamme» qui peine à trouver écho auprès de la grande distribution.

En veaux de boucherie, comme tous les ans, les opé-rations commerciales du Festival du veau ont permis de mettre cette viande en avant entre fin janvier et début mars. L’activité a démarré lentement et a évolué en dents de scie. Les ventes devraient au final être un peu infé-rieures au très bon niveau de 2016.La cotation du veau rosé clair R, regroupant la grande ma-jorité des veaux mixtes et croisés, se situe toujours sous les niveaux des années précédentes, plombée par les ef-fectifs importants de veaux croisés sur le marché.

Jean-Baptiste Guittard


Cotation entrée abattoir du jeune bovin viande U bassin Centre-Est


4,20

4,10

4,00

3,90

3,80

3,70


2015

20172016

€/kg de carcasse


Cotation entrée abattoir du veau de boucherie - rosé clair classe R - bassin Sud

7,00

6,80

6,60

6,40

6,20


20152017

2016

€/kg de carcasse


Cotation entrée abattoir de la vache viande R bassin Centre-Est


4,20

4,10

4,00

3,90

3,80

3,70


2015

2017 2016

€/kg de carcasse

Cotations des bovins finis entrée abattoir Commission de cotation bassin Centre-Est

février2017

Évolutionfév. 2017/ janv. 2017

Évolutionfév. 2017/fév. 2016

Vache viande R 3,73 = +0,2 %Vache mixte O 3,18 +1,0 % +1,8 %Génisse viande U 4,57 = -1,4 %Jeune bovin viande R 3,93 = -0,1%Veaux de boucherie rosé clair R 6,66 +0,5 % -1,8 %

Unité : €/kg de carcasse





Porcs

En ce début d’année 2017, les abattages régionaux de porcs progressent par rapport au mois dernier grâce aux traditionnelles promotions de début d’année qui favorisent la demande intérieure.

En février, à la commission de cotation de Lyon, le cours du porc charcutier de classe S poursuit sa hausse et gagne 5 cts/kg carcasse (1,62 €/kg carcasse, +3 % sur janvier 2017). Il est même supérieur de 19 % à son bas niveau de février 2016.

L’épidémie de grippe aviaire s’amplifieLe cours du porc progresse dans un marché fluide. La baisse saisonnière de l’agneau est très marquée cette année. La grippe aviaire continue de se propager en France.

Cotation entrée abattoir du porc charcutier - classe S bassin Sud-Est


1,80

1,70

1,60

1,50

1,40


2015

2017

2016

€/kg carcasse

Source : RNM

Cotation entrée abattoir du porc charcutier - Classe S - Bassin Sud-Est

février 2017 fév. 2017/janv. 2017 fév. 2017/fév. 2016

1,62 €/kg de carcasse +3,0 % +19,1 %

Source : Agreste

Abattages de porcs charcutiers

janvier 2017 janv. 2017/déc. 2016 année 2017 2017/

201610 422 tec +7,2 % 10 422 tec +5,4 %

tec : tonne équivalent-carcasse

Le marché national est fluide et l’offre parvient difficilement à satisfaire les besoins des abatteurs. L’indice Ipampa ali-ments pour porcins progresse de 0,5 % en janvier sur le mois précédent mais se situe en retrait de 5 % par rapport à janvier 2016.

Dans les autres bassins européens la situation est contras-tée. Dans les pays du nord de l’Europe et notamment en Allemagne, malgré une offre réduite, la cotation est stable. En Espagne, en revanche, la demande forte, notamment à l’export, demeure supérieure à l’offre. Les cours augmen-tent tout au long du mois et devancent dorénavant le prix allemand. De nombreux cas de grippe aviaire en Chine laissent envisager un renforcement de la consommation de viande de porc dans ce pays qui pourrait consolider les importations.

OvinsEn janvier, les abattages régionaux d’agneaux se replient légèrement comparés à décembre dans un marché plutôt timide de début d’année.

L’afflux d’agneau lacaune en cette période de consomma-tion réduite tire fortement les cours à la baisse. A 5,83 €/kg de carcasse, la cotation de l’agneau zone sud perd 7 % par rapport à janvier, celle de l’agneau lourd diminue de 4 % à 6,04 €/kg de carcasse.

La baisse saisonnière du cours français de l’agneau est très marquée cette année en raison de la hausse des abat-tages, de l’accroissement de la pression à l’import, de la chute du prix des peaux et du manque de consommation.

Abattages d’agneaux

janvier 2017 janv. 2017/déc. 2016 année 2017 2017/

2016

235 tec -1,1 % 235 tec +17,2 %tec : tonne équivalent-carcasse Source : Agreste

Cotation entrée abattoir de l’agneau couvert R 16-19 kg

Source : FranceAgriMerjanv. fév. mars avr. mai juin juil. août sept. oct. nov. déc

€/kg de carcasse7,00

6,80

6,60

6,40

6,20

6,00

5,80

5,60

zone sud 2017zone nord 2017zone sud 2016zone nord 2016

Volailles et lapins

La grippe aviaire continue de se propager en France. Au 13 mars 2017, le ministère en charge de l’Agriculture a dé-compté 406 foyers H5N8 dans les élevages et 49 cas dans la faune sauvage, confirmés et notifiés, contre 231 foyers un mois plus tôt. A noter de nombreux cas sur la faune sauvage dans le département de l’Ain. En janvier, les abattages régionaux de volailles reculent de 7 % par rapport à ceux de décembre 2016, en raison de la baisse des dindes, pintades et volailles festives (cha-pons et poulardes) malgré la hausse des Gallus standard. Cette tendance s’observe aussi au niveau national : les abattages totaux de volailles se replient de 6 % en têtes et 5,5 % en tonnes équivalent-carcasse. Les tonnages de poulets baissent de 3,3 %, ceux de dindes de 6 % et ceux de canards de 18 %. Les importations de viande de poulet progressent de 2,5 % en provenance en grande part de la Pologne et du Brésil.

A Rungis, les cours des volailles sont stables par rapport au mois dernier. Comparés à l’an passé, le prix des poulets « découpe » augmente, celui de la dinde est en net recul.

En janvier, les abattages de lapins sont en nette hausse (+37 %) par rapport au mois précédent.

Le cours national du lapin vif départ élevage gagne un centime en février par rapport au mois dernier. Son prix s’estime à 1,80 €/kg, en hausse de 2,4 % comparé à février 2016.

Importations de viandes ovines

novembre 2016

nov. 2016/nov. 2015 2016 2016/2015

Total 7 500 tec -6,7 % 83 016 tec -8,4 %

dt Royaume-Uni 3 681 tec +0,1 % 35 712 tec -10,2 %

Source : Agreste

Abattages de volailles et lapinsjanvier 2017

janv. 2017/déc. 2016 2017/2016

total volailles 6 937 tec -7 % +11 %

dont poulets et coquelets 5 188 tec +20 % +15 %

dindes 1 342 tec -25 % -3 %

pintades 240 tec -46 % +7 %

lapins 26 tec +37 % +21 %tec : tonne équivalent-carcasse


Cotation Rungis «découpe»


fév. 2017/fév. 2016

poulet PAC* standard 2,30 €/kg = +2,2 % poulet PAC* Label 3,90 €/kg = +8,3 % dinde filet 4,80 €/kg = -7,7 %* :Prêt à cuire

Cotation nationale du lapin vif


fév. 2017/fév. 2016

lapin vif hors réforme départ élevage 1,80 €/kg +0,6% +2,4 %




©AGRESTE 2017


Indices IPAMPA nationaux


indice base 100 en 2010140

130

120

110

100

90

80janv. mars mai juil. sept. nov. janv. mars mai juil. sept. nov. janv. mars mai. juil. sept. nov. 2014 2015 2016

aliments pour volaille

aliments pour lapin

énergie/lubrifiants

Fabrice Clairet

Les indices IPAMPA de janvier sont en retrait de 5 % par rapport à janvier 2016 aussi bien en aliments volailles que lapins.


Documents

Météo - Agriculturedraaf.auvergne-rhone-alpes.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/...Prix moyen mensuel des oléagineux février 2017 fév. 2017/ janv. 2017 fév. 2017/ fév. 2016 colza