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Tremplin pour la réussite NEWS TOUS LES 4 MOIS 3 / 2018 TCHAD: ACTION DE NOËL 2018

NEWS - SME - Service de Mission et d'Entraide · A la fin de leurs études, ils pourront bénéficier d’activités ... Pouvoir gérer une activité génératrice de revenu offre

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Tremplin pour la

réussite

NEWST O U S L E S 4 M O I S 3 / 2 0 1 8

T C H A D :A C T I O N D E N O Ë L 2 0 1 8

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Un cœur pour ce pays

TCHAD L ’ a v e n t u r e commence en

1950 avec le couple M. & E. Barbezat, envoyé de l’Eglise l ibre de la Côte-aux-Fées, qui implante au centre du Tchad, à M o n g o , u n e n s e m b l e d ’ é c o l e s , d e d i s p e n -saires et d’église dans la région désertique du Guéra. Une école pri-maire puis un internat surgissent de terre. Ces activités ont été reprises puis développées par J.-M. & R. Houriet en 1968, avant qu’elles ne soient remises en mains tcha-diennes et chrétiennes en 1975.

Mongo en saison des pluies

S ensibles à tous les efforts

fournis par notre parte-

naire AET* et à la pauvreté

qui sévit dans ce pays en

zone fragile, nous continuons

de renforcer notre aide dans le

domaine de la formation et de

l’éducation de base.

FORMATION : les enseignants du

centre d’Al Tatawwur de Bitkine

ont besoin de renforcer leurs

compétences. Les formations

techniques proposées, comme

électricité, couture, comptabi-

lité, formation de formateurs,

sont au cœur de leurs besoins

et vont permettre un échange

de savoirs avec d’autres struc-

tures identiques au Guéra.

EDUCATION : les parents d’élè-

ves sont très pauvres et le peu

qu’ils payent pour l’écolage des

enfants ne couvre de loin pas

les frais de fonctionnement et

les salaires des instituteurs. Vu

l’implication de nos églises dans

cette région depuis bientôt 70

ans, nous souhaitons encoura-

ger l’église-sœur du Guéra en

participant activement à la sé-

curité des écoliers du quartier,

par la construction d’un mur

d’enceinte séparant l’école de

Mongo de la route très fréquen-

tée qui la longe.

Marcher aux côtés de nos amis

tchadiens est riche d’expé-

riences et de partages. Cette

impulsion au suivi de projet est

un signe de notre solidarité ain-

si que notre volonté d’avancer

ensemble dans cette région dé-

sertique.

.JEAN-MARC HOURIET

*Les églises du Guéra se sont fédérées en 1994

sous la forme d’une Association « Assemblées

Evangéliques au Tchad » - AET partenaire du SME.

Outre les activités cultuelles et de formation théo-

logiques, les AET ont développé un programme

d’œuvres sociales et de développement, qui su-

pervise ainsi l’école et l’internat de Mongo. En tout

6 centres de santé, 6 internats, 2 écoles, 1 centre

de formation professionnel (Al Tatawwur) un pro-

gramme de formation informatique (PROFEDA), 2

centres culturels ont été mis en place et sont su-

pervisés par les AET.

« Eduquer l’enfant, c’est éduquer toute une nation. » Proverbe africain

Accompagner un enfant pas à pas. Détails à suivre dans le flyer Action de Noël 2018.

Action de Noël 2018

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Edit

oria

lEdit

o

Nous avons la joie de vous annon-

cer que notre programme insti-

tutionnel 2018-2020 a été validé

par Pain Pour le Prochain. Félicités

pour notre travail et en même temps

stimulés par de nouveaux défis à rele-

ver, nous continuons notre course en

ayant la certitude que l’œuvre du Sei-

gneur se poursuit. Un grand merci à

tous pour vos prières et votre soutien.

SÉNÉGAL Centre éducatif pour

enfants en situation de vulnérabilité à

Ziguinchor

LIBAN Soutien de la directrice du

Centre Tahaddi à Beyrouth

LAOS Centre de formation

professionnelle B4Lao à Savannakhet

NÉPAL Suivi de l’école de

laborantin(e)s à Tansen

LAOS Appui hospitalier au secteur

de la santé de Salavan Phase I

LAOS Appui hospitalier au secteur

de la santé de Sékong Phase II

BANGLADESH Renforcement des

compétences du personnel de santé

de la région de Chittagong

TCHAD Autonomisation du Centre

Al Tatawwur à Bitkine et renforcement

des compétences de nos partenaires

AET.

Paral lè lement

à l’activité du

p r o g r a m m e

de développe-

ment du SME,

qui représente

plus de 90%

du budget de

nos activités,

des activités

d’appui ponctuel sous forme de sou-

tien à des projets et à des individus

seront maintenues. Ces activités d’ap-

pui ponctuel ne se font pas dans le

cadre des objectifs développés dans

ce programme institutionnel, mais

respectent strictement le cadre sta-

tutaire du SME ainsi que les critères

d’Unité. Elles permettent cependant

de répondre à des opportunités et à

de besoins avérés, ne contredisent

pas la stratégie du SME et donnent

une certaine souplesse et une ouver-

ture à des projets « coup de cœur ».

Ces activités sont séparées de notre

programme institutionnel et sont clai-

rement identifiées dans notre commu-

nication interne et externe : projets de

développement (avec ou sans l’appui

de la DDC), et activités d’appui ponc-

tuel.

SYLVIE ET LE COMITÉ DU SME

Edit

oria

lEdit

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l

Un programme institutionnel

tout beau tout neuf

Perfectionnement professionnel Formation professionnelle

Education de base

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Une nouvelle mode au village

LAOS B4Lao est un centre de formation professionnelle qui reçoit des jeunes les plus défavorisés. Grâce à son pro-

gramme adapté, i ls ont le choix entre l’une des cinq fi l ières : élevage, couture, coiffure, ébénisterie et confection de pâtisse-ries. A la fin de leurs études, i ls pourront bénéficier d’activités génératrices de revenus et sortir de la pauvreté extrême.

«G râce à ma formation de

couturière, je vais pou-

voir aider mon village

et apporter une compé-

tence recherchée par la confection

des hauts, » se réjouit Simyla.* Cette

jeune fille de 18 ans est actuellement

en stage chez une couturière et pra-

tique assidûment la théorie acquise.

La formation à B4Lao lui apporte

beaucoup de connaissances, qu’elle

désire partager avec sa petite sœur

au village, car sa famille paysanne n’a

que de faibles revenus. Elle est fière

de suivre ses cours à B4Lao et de

développer encore d’autres compé-

tences, comme l’anglais, l’informa-

tique et surtout la confiance en soi.

De fil en aiguille…

L’estime de soi chez les jeunes Lao-

tiens est habituellement très faible.

Cela se manifeste par beaucoup de

peur intérieure et un manque d’ini-

tiative. Différents facteurs sont en

cause : le mode d’éducation, les

conséquences directes de la pau-

vreté sur la dignité, et la culture qui

privilégie la communauté à l’individu.

Le fait de vivre dans une société hié-

rarchisée avec un parti unique, dans

laquelle plusieurs domaines profes-

sionnels ne sont accessibles qu’en

fonction du niveau social, favorise

une pensée fataliste et un manque

d’ambition personnelle. La culture

laotienne est une culture de l’hon-

neur et de la honte, où il faut garder

l’harmonie au sein du groupe. Par

peur de se tromper ou de faire perdre

la face à son voisin, voire même de

contredire le plus âgé du groupe, peu

d’initiatives voient le jour.

Pouvoir gérer une activité génératrice

de revenu offre à Simyla un statut so-

cial, une dignité et une place recon-

nue au sein de la communauté. Un

beau papillon prend son envol.

SYLVIE

CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE COORDINATEUR : SILVAIN

LIEU : Savannakhet, Laos

PARTENAIRE : AFD (Aid

Foundation of Development)

COORDINATION LOCALE : SFE

OBJECTIF : accueillir et former

des jeunes des zones reculées

afin qu’ils puissent se former

et développer des activités

génératrices de revenus

DÉFIS : terminer leurs études,

avoir un bon stage et démarrer leur

microprojet

SME IBAN :

CH79 0900 0000 1200 1401 1

Mention : B4Lao - Laos

Formation professionnelle

* nom d’emprunt

PROJET DDC

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Mon parcours pour devenir laborantine NÉPAL « Le succès n’est pas final, l’échec n’est

pas fatal : c’est le courage de continuer qui compte » (Winston Churchil l ). Anjana en témoigne :

«J ’ai grandi dans une famille

de la classe moyenne où

j’ai appris la valeur de la

vie et l’importance d’être

une femme indépendante. A l’école, j’ai

appris à lire et à écrire avec aisance,

mais les mathématiques n’étaient pas

mon fort. Néanmoins, j’ai obtenu mon

certificat de fin d’études scolaires avec

de bonnes notes.

Ma mère rêvait de me voir étudiante

en médecine, mon père préférait que

je sois infirmière. J’ai donc suivi des

cours préparatoires, mais je pense que

j’étais trop confiante. La concurrence

était rude et ma candidature à l’école

d’infirmières de l’hôpital de Tansen n’a

pas été retenue, pas même sur la liste

d’attente. Quel choc ! J’en ai beaucoup

pleuré.

Rebondir après un échec

Toutefois j’avais réussi l’examen et mes

notes me permettaient d’obtenir une

place à l’école d’infirmières de Butwal.

J’en étais ravie et j’envisageais déjà d’y

déménager. C’est alors que mon père

a entendu parler d’un nouveau pro-

gramme CMLT (Certificat en technologie

de laboratoire médical) qui allait démar-

rer à Tansen, au sein de l’école d’infir-

mières, qui bénéficie d’une excellente

réputation. Encouragée par mon père,

je me suis inscrite et j’ai été acceptée.

Comme nous formions la toute première

volée, le personnel enseignant a pris

grand soin de nous. Nos professeurs,

notamment ceux de sciences, avaient

beaucoup d’expérience. Notre coor-

dinateur des cours était très présent

pour nous offrir son soutien. Le niveau

des cours était cependant très élevé

et quelques étudiants ont abandonné.

Même si les sciences représentaient

un défi pour moi, je n’ai pas perdu es-

poir et j’ai persévéré dans mes études.

Ayant déjà vécu un échec, j’ai préféré

faire preuve d’humilité et travailler dur.

Mes examens de fin de première année

se sont bien passés et j’ai fini troisième

de ma classe ! En deuxième année, en

plus des cours, on nous a envoyé faire

de la pratique au laboratoire de l’hôpi-

tal de Tansen. Aux examens, je me suis

retrouvée troisième. A l’heure actuelle,

je suis en troisième année d’études

et continue à travailler d’arrache-pied

pour les examens finaux.

Des leçons tirées

Avec le recul, je peux dire que j’ai beau-

coup appris de mon échec au concours

d’entrée à l’école d’infirmières. J’ai

appris à travailler dur, à prendre mes

études au sérieux et à respecter ma fu-

ture profession. C’est Dieu qui m’a en-

voyé sur ce parcours, car il connaissait

mon potentiel. Je suis passionnée par

ce métier qui permet de diagnostiquer

avec exactitude les maladies bien avant

qu’elles ne deviennent évidentes. Mon

échec s’est transformé en réussite et je

suis en bonne voie de devenir techni-

cienne de laboratoire. »

ANJANA HITANGA, TANSEN

ECOLE DE LABORANTIN(E)S VOLONTAIRE : MARIANNE

LIEU : Népal

PARTENAIRE : UMHT

OBJECTIF : mise en œuvre

d’une école de laborantin(e)s

DÉFI : recherche de médecin

histopathologiste

IBAN :

CH79 0900 0000 1200 1401 1

Mention : Népal

Formation professionnelle

Anjana

PROJET DDC

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Je veux aller à l’école !L IBAN « Sami, tu ne peux pas te mettre en rang

avec les autres, tu n’es pas encore ins-crit… ».

Depuis une semaine, tous les

matins, Sami m’accueillait

avec son grand sourire, arri-

vé avant tous les autres, son

petit sac en plastique noir

avec un sandwich à l’intérieur et ses

chaussures trouées. Il arrivait même

parfois à se glisser parmi les enfants

du préscolaire et se mettre discrète-

ment en rang avec les autres.

L’histoire de Sami est douloureuse :

sa mère en visite chez une parente

avec bébé Sami, avait dû quitter la

maison précipitamment, le laissant

chez sa tante, car les bombarde-

ments sur le village avaient recom-

mencé. Au moment où elle passait

la porte de chez elle, un obus a tué

toute la famille. La tante a gardé le

bébé mais a perdu son mari 4 mois

plus tard, de maladie. Sans res-

sources, elle a entrepris le difficile

voyage de l’exil vers le Liban, avec

son père, ses deux enfants et le petit

Sami.

De galère en galère, et 4 ans plus

tard, cette famille est arrivée en si-

tuation de grande précarité, dans le

quartier où travaille Tahaddi. Sami,

complètement livré à lui-même, était

en danger dans la rue. Malheureu-

sement le centre éducatif était plein

et il était difficile de l’accueillir dans

une classe où nous avions déjà inté-

gré 3 enfants à besoins spéciaux.

Une nouvelle perspective s’ouvre

Pourtant un matin, Sami a pu se

mettre fièrement en rang avec les

autres et faire partie intégrante de

la classe. Oh, cela n’a pas été fa-

cile de se plier à la discipline, mais

la patience et l’amour de son ensei-

gnante ont réussi à adoucir ses com-

portements agressifs de gamin de la

rue. Il a également participé avec

240 autres enfants aux activités ré-

créatives d’été du mois de juillet au

centre éducatif.

Pour Sami, une petite fenêtre d’es-

pérance s’est ouverte sur sa vie,

grâce à son désir d’apprendre et de

vivre presque comme tous les autres

enfants de son âge.

CATHERINE

CENTRE ÉDUCATIFVOLONTAIRE : CATHERINE

LIEU : Beyrouth, Liban

PARTENAIRE : Tahaddi

OBJECTIFS : offrir une éducation

à des enfants qui ne peuvent être

intégrés dans le système éducatif

public ou qui ont quitté l’école pour

des raisons économiques et sociales

DÉFI : la situation des réfugiés

syriens

IBAN :

CH79 0900 0000 1200 1401 1

Mention : centre éducatif Tahaddi -

Liban

Education de base

Sami est devant la troisième

enseignante depuis la droite !

PROJET DDC

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La vie semblait décidément

contre elle, et Rania, onze

ans, en ressentait beau-

coup d’amertume et de

colère. Elle avait dû tout

quitter parce que la vie n’était

plus possible en Syrie, apprendre

plus tard que sa maison avait été

détruite par un bombardement,

habiter, au Liban, avec 9 autres

membres de la famille élargie dans

deux chambres trop petites et lutter

pour survivre, au jour le jour, dans

un environnement hostile. Puis son

père était mort subitement et elle

devait aller maintenant vendre des

Kleenex sur la route avec ses deux

jeunes frères, un travail qu’elle dé-

testait.

Elle qui aimait tellement apprendre

était privée d’école depuis plus de

deux ans, faute d’enseignants qui,

soit étaient morts, soit avaient fui

les zones de bombardement en

Syrie.

Désespérée, sa maman avait un

jour frappé à la porte de l’assistante

sociale de Tahaddi pour demander

de l’aide. Les familles monoparen-

tales retiennent toute notre atten-

tion car elles sont très vulnérables.

Plusieurs aides ont été données et

les enfants ont été scolarisés dans

deux centres différents, faute de

place à Tahaddi. Mais Rania a re-

joint le niveau 4 dans notre centre

éducatif. Courageusement, la ma-

man a trouvé un petit travail mal

payé, fatiguant, mais elle est fière

de ne pas dépendre complètement

de l’aide donnée.

Un parcours de guérison

Et Rania a excellé en classe.

D’abord triste et agressive, elle a

été suivie par la psychologue qui

l’a aidée à revenir sur la mort tra-

gique de son papa, à comprendre

les étapes du deuil et sortir de sa

tristesse.

Rania a intégré le chœur qui répète

à Tahaddi les mardis après-midi

et s’est découverte une très belle

voix. Aujourd’hui, elle fait partie

avec 9 autres enfants de Tahaddi,

d’un projet de chorale avec 50 en-

fants irakiens, syriens et libanais.

Elle aura même un solo dans une

des chansons.

Cette histoire illustre la façon dont

Tahaddi aime intervenir dans une

famille, de manière globale ou ho-

listique, soutenant la famille dans

plusieurs domaines pour l’aider, si

possible, à s’en sortir.

CATHERINE

Rania, foulard vert, dans le bus qui l’em-mène, avec ses camarades de Tahaddi, chanter avec une chorale mixte faite de jeunes de Syrie, du Liban et d’Irak.

Rania revit par le chantL IBAN Tahaddi ( le défi en arabe) est une association qui mène

une action globale contre la pauvreté dans une banlieue au sud de Beyrouth, dont la population mixte atteint 10’000 per-sonnes. Elle offre des services dans le domaine du social, de l’éducation et de la santé physique et mentale, au travers d’une quinzaine de programmes différents et avec une équipe pluridis-ciplinaire de plus de 50 personnes. L’auteure de cet article est la cofondatrice de l’association. Témoignage.

PROJET DDC

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IMPRESSUM

Editeur FREE, St-Prex

Rédaction : © SME

Photos, illustrations :

© SME, IngImage

Impression : Printcesse, Belp

NEWS : production écono-

mique suisse, selon un pro-

cédé à compensation de CO2

respectueux de la nature, et

sur un papier labellisé pour la

gestion forestière responsable.

Contact : SME, Service de

Missions et d’Entraide

Glapin 8, CH-1162 St-Prex

[email protected]

Tél. +41 (0)21 823 23 23

www.sme-suisse.org

CCP SME : 12-1401-1

SME IBAN :

CH79 0900 0000 1200 1401 1

Dons déductibles des impôts.

ONG reconnue d’utilité

publique, affiliée à la :

Actualité d’urgence

Remerciements

Le spécialiste de la gastronomie ouvert à tous

Rupture meurtrière d’un barrage

L’inondation dans la province d’Attapeu au Laos qui a eu lieu le 23.07 a submergé 7 villages, laissé 12’000 sans-abris et une centaine de disparus. Les équipes SFE d’Attapeu et SME B4Lao et Sékong se sont unies pour venir en aide aux sinistrés aux côtés des autorités. Grâce à votre générosité une somme de 8’460 CHF a été envoyée pour les premiers secours.

Merci pour votre soutien et vos prières.

NEPAL MERCI pour la bourse accordée par UMHT

qui me permet de devenir laborantin. Je suis motivé

à relever le niveau des analyses médicales de mon

pays. J’ai hâte de commencer dans un laboratoire de

province pour apporter mes compétences.

SAURAV, 20 ANS

SAVANNAKHET M E R C I p o u r v o t r e

soutien et vos prières !

ETUDIANTS B4LAO

2017/2018

TCHAD MERCI car j’ai réussi ma formation couture

qui va me permettre de travailler et d’aider ma famille

dans son quotidien.

FATIMA, 55 ANS

SENEGAL Je suis issue

d’une famille polygame de 12

enfants. Grâce à vous je vais

à l’école et continue de bien

travailler pour rester la 1ère de

ma classe. Je souhaite devenir

enseignante.

MAME DIARA, 7ANS

BENIN Comment remercier

le SME pour tout ce que

vous faites pour nous ? Nous

sommes reconnaissants au

Seigneur pour la mission qu’il

nous a donnée en famille.

DAMIEN ET LUCIE