4
Actualités du Octobre 2013 Drakkar, 23 octobre 1983 : “Beyrouth anticipait le destin de l’Occident” D ès la première explosion, chacun a bondi à son poste. On com- prend d’emblée que c’est terrible. Les ordres fusent à toute vitesse. Des équipes partent pour le lieu de l’attentat, les autres sécurisent les postes. Chacun sait ce qu’il a à faire. On est sous le choc, mais le professionnalisme l’emporte. La mécanique parachutiste, répé- tée inlassablement à l’entraînement, montre ses vertus en grandeur réelle. On va faire l’impossible pour sauver les camarades. Mal- heureusement, beaucoup sont déjà morts, déchiquetés, en lambeaux, que l’on ramasse jour après jour, nuit après nuit. On a entendu certains d’entre eux râler sous les ruines, alors que nous étions impuissants à les déga- ger des amas de gravats. Ils sont là, pris dans l’étreinte mortelle de l’acier et du béton, ceux pour lesquels nous sommes arrivés trop tard, ceux avec lesquels hier on riait, on plaisantait, on rivalisait. Aucun des paras qui va relever ses camarades en cette semaine d’octobre n’oubliera ces pauvres corps, «tués par personne», nobles et dignes jusque dans la mort, magnifiques soldats équipés et prêts pour le combat, parfois la main crispée sur leur Famas. Sans doute est- ce parce qu’ils ont rejoint les légions de Saint-Michel que leur souvenir semble éternel. Le mythe para en tous cas l’est. Maintenant plus que jamais. Et tous, nous commu- nions alors dans une espèce de rêve étrange et éveillé, où la mort étonnamment proche se mêle inextricable- ment à la vie, en un jeu dont les règles nous échappent. (…) Avec le recul, ce qui demeure cer- tain, c’est que, sans en avoir eu alors une pleine conscience, Beyrouth an- ticipait le destin de l’Occident. Le ter- rorisme est devenu une menace per- manente, y compris au cœur de notre vieille Europe. Mais en ce temps-là, nous autres, modestes chefs de sec- tion, n’étions pas à même d’analyser les basculements géopolitiques en gestation. Plus modes- tement, Beyrouth nous a révélé la valeur des hommes. Beyrouth nous a enseigné bien des sagesses. Pour ceux qui surent le vivre avec intelligence, Beyrouth fut une épreuve initiatique au sens premier du terme, qui nous a décillé les yeux sur nous-mêmes et sur le monde. Ce que les uns et les autres avons appris dans ce volcan, au- cune école de management, aucun diplôme d’université ne nous l’aurait apporté, ni même l’argent ou les hon- neurs. Nous avons appris le dépassement de soi pour les autres, la valeur de la camaraderie, la puissance des relations d’homme à homme fondées sur la fidélité, la capacité à transcender sa peur, la reconnaissance mu- tuelle, l’estime des paras pour leur chef et l’amour fra- ternel du chef pour ses paras… Des mots qui semblent désuets dans l’univers qui est le nôtre, mais qui reflè- tent cependant un ordre supérieur de connaissance des choses de la vie. Bruno Racouchot Voici 30 ans, le 23 octobre 1983, dans la banlieue Ouest de Beyrouth, 58 parachutistes français trouvaient la mort dans l’attentat du Drakkar… Bruno Racouchot, alors lieutenant au 6 ème RPIMA, témoigne et donne du sens – moral et politique – au sacrifice de ses camarades.

Nlsdf 201310

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Newsletter Secours de France, Octobre 2013

Citation preview

Page 1: Nlsdf 201310

Actualités du

Oct

obre

201

3

Drakkar, 23 octobre 1983 : “Beyrouth anticipait le destin de l’Occident”

Dès la première explosion, chacun a bondi à son poste. On com-prend d’emblée que c’est terrible.

Les ordres fusent à toute vitesse. Des équipes partent pour le lieu de l’attentat, les autres sécurisent les postes. Chacun sait ce qu’il a à faire. On est sous le choc, mais le professionnalisme l’emporte.

La mécanique parachutiste, répé-tée inlassablement à l’entraînement, montre ses vertus en grandeur réelle. On va faire l’impossible pour sauver les camarades. Mal-heureusement, beaucoup sont déjà morts, déchiquetés, en lambeaux, que l’on ramasse jour après jour, nuit après nuit. On a entendu certains d’entre eux râler sous les ruines, alors que nous étions impuissants à les déga-ger des amas de gravats. Ils sont là, pris dans l’étreinte mortelle de l’acier et du béton, ceux pour lesquels nous sommes arrivés trop tard, ceux avec lesquels hier on riait, on plaisantait, on rivalisait.

Aucun des paras qui va relever ses camarades en cette semaine d’octobre n’oubliera ces pauvres corps, «tués par personne», nobles et dignes jusque dans la mort, magnifiques soldats équipés et prêts pour le combat, parfois la main crispée sur leur Famas. Sans doute est-ce parce qu’ils ont rejoint les légions de Saint-Michel que leur souvenir semble éternel. Le mythe para en tous cas l’est. Maintenant plus que jamais. Et tous, nous commu-nions alors dans une espèce de rêve étrange et éveillé, où la mort étonnamment proche se mêle inextricable-

ment à la vie, en un jeu dont les règles nous échappent.

(…) Avec le recul, ce qui demeure cer-tain, c’est que, sans en avoir eu alors une pleine conscience, Beyrouth an-ticipait le destin de l’Occident. Le ter-rorisme est devenu une menace per-manente, y compris au cœur de notre vieille Europe. Mais en ce temps-là, nous autres, modestes chefs de sec-tion, n’étions pas à même d’analyser les

basculements géopolitiques en gestation. Plus modes-tement, Beyrouth nous a révélé la valeur des hommes. Beyrouth nous a enseigné bien des sagesses. Pour ceux qui surent le vivre avec intelligence, Beyrouth fut une épreuve initiatique au sens premier du terme, qui nous a décillé les yeux sur nous-mêmes et sur le monde. Ce que les uns et les autres avons appris dans ce volcan, au-cune école de management, aucun diplôme d’université ne nous l’aurait apporté, ni même l’argent ou les hon-neurs. Nous avons appris le dépassement de soi pour les autres, la valeur de la camaraderie, la puissance des relations d’homme à homme fondées sur la fidélité, la capacité à transcender sa peur, la reconnaissance mu-tuelle, l’estime des paras pour leur chef et l’amour fra-ternel du chef pour ses paras… Des mots qui semblent désuets dans l’univers qui est le nôtre, mais qui reflè-tent cependant un ordre supérieur de connaissance des choses de la vie.

Bruno Racouchot

Voici 30 ans, le 23 octobre 1983, dans la banlieue Ouest de Beyrouth, 58 parachutistes français trouvaient la mort dans l’attentat du Drakkar… Bruno Racouchot, alors lieutenant au 6ème RPIMA, témoigne et donne du sens – moral et politique – au sacrifice de ses camarades.

Page 2: Nlsdf 201310

Actualités du Secours de France u Octobre 2013 2

Hommages à Hélie de Saint Marc

T oute une vie : à l’heure des adieux, le titre de ses Mémoires

résume mieux qu’aucun autre ce qu’Hélie Denoix de Saint Marc nous aura apporté, en nous offrant cette vie à méditer. Ni doctrine, ni mot d’ordre, ni message : une vie d’homme, balayée par les tragédies de l’Histoire. Traversée comme un champ de braises, et ponctuée de revers et d’épreuves comme autant d’étapes d’un chemin de croix : la déportation à Buchenwald, au sortir de l’adolescence, l’abandon de l’In-dochine par un jeune officier de 30 ans, le drame de l’Algérie française, à la maturité : avec elle, la révolte, l’opprobre et la prison.

Une vie illuminée pourtant par la certitude que c’est la force morale, la grandeur d’âme, qui donne seule sa dignité à l’aventure humaine. Que la vie prend son sens quand on la consacre à maintenir en soi la fragile lueur d’innocence que recèle, tou-jours, la conscience. Que sa réussite se mesure, au crépuscule, à l’aune des promesses des premiers matins.

L’homme n’avait rien d’un ancien combattant hanté par le souvenir de ses campagnes. Il en avait tourné la page sans rien renier jamais de ses engagements, de son passé. S’il avait accepté, un jour, d’en être le témoin, c’était dans le seul espoir de transmettre aux jeunes générations l’expérience qu’il en avait retirée.

Hélie de Saint Marc aura incarné de façon exemplaire, jusqu’à son dernier souffle, le 26 août dernier, toutes les valeurs qui réunissent les membres du SecourS de France. C’est pourquoi nous lui étions si proches, comme il nous l’a souvent confié, en ne manquant jamais une occasion de manifester son indéfectible soutien aux objectifs de notre Association.Ses obsèques ont fourni l’occasion de très beaux hommages, dont nous publions ici quelques extraits. Tous soulignent le destin exceptionnel de cet homme qui a connu tous les combats et traversé toutes les épreuves de l’honneur français, pour n’en retenir que les leçons de courage et la vertu d’espérance à transmettre aux jeunes générations.

“Toute une vie”

C ertains ont dit qu’il avait laissé sa foi à Langenstein. Je crois

que c’est un peu vite dit. Il a com-battu Dieu en face. Un combat vieux comme le monde. Un combat qu’ont

“Dieu en face… le Mal aussi”mené Jacob et Job. Un combat pré-sent dans toute la Bible. Un combat que mènent tous ceux qui refusent de vivre à la surface des réalités. C’est le combat de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, de Mère Térésa, de saint Jean de la Croix.

Ce combat consiste très précisé-ment à confronter le Dieu que l’on connaît par la foi et le Dieu que l’on perçoit dans l’histoire. C’est un combat redoutable. Hélie de Saint Marc disait quelques jours avant sa mort que la souffrance indicible des innocents était pour lui un mystère incompréhensible. Dans Champs de

“Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu”

Ton exemple d’humanité, d’écoute, cette attention permanente à cha-cun, cette absence de jugement, cette fidélité totale à tous tes enga-

gements, et ce jusqu’à ta mort, et surtout ta capacité à pardonner, cette faculté inestimable de résilience, nous ont marquées à jamais. Tu nous as appris, je te cite, “que rien n’est acquis, que tout se construit, que la vie est un combat, et que si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu”. Tout un programme ! Exigeant, avec beaucoup d’embuscades !!!

Blandine, sa fille aînée

(…) En dépit des doutes qui, par-fois, l’étreignaient, il appelait son interlocuteur à la fidélité aux réali-tés invisibles qui donnent sa valeur à l’existence. Il ne fut pas un héros ordinaire. Beaucoup plus que cela : un passeur d’étincelle.

Michel de Jaeghere, Le Figaro Histoire, oct.-nov. 2013

t

Page 3: Nlsdf 201310

Actualités du Secours de France u Octobre 2013 3

I ls sont là, ils sont tous présents, qu’ils soient vivants ou dispa-

rus, oubliés de l’histoire ou cé-lèbres, croyants, agnostiques ou incroyants, souffrant ou en pleine santé, jeunes soldats ou anciens combattants, civils ou militaires, ils sont tous présents, si ce n’est pas avec leur corps, c’est par leur cœur ou par leur âme !

“Ils sont tous là…”

Braises, il écrivait : “Je ne peux certifier qu’il existe un Dieu et qu’Il est l’image de Celui que nos pères nous ont enseigné, mais je sais au moins que le Mal existe, je l’ai vu en face. ” Et, de fait, la réponse au grand mystère ténébreux du mal n’est ni facile, ni simple, ni rapide.

Mais, trois jours avant sa mort, je crois qu’Hélie avait trouvé un début de réponse. Comme Job, à plus de deux mille ans de dis-tance. Job, qui avait touché le fond de la souffrance, de l’injustice, après des cris de révolte, de façon inatten-due, au chapitre 19, se lève de son grabat, et fait un acte de foi et d’es-pérance dans un au-delà, et il dit que ses yeux de chair verront son Dieu. (…) Et Hélie de Saint-Marc a fait cet acte de foi, de confiance.

Dom Louis-Marie, messe d’inhumation,

Lagarde-Adhémar, 31 août 2013

Tous ceux qui, un jour, ont croisé votre chemin, ou ont fait avec vous une partie de votre route ou plutôt de votre incroyable destinée, sont regroupés autour de vous : les ly-céens de Bordeaux, les résistants du réseau Jade-Amicol, les dépor-tés du camp de Langenstein, vos frères d’armes, vos légionnaires que vous avez menés au combat, ceux qui sont morts dans l’anony-mat de la jungle ou l’indifférence

du pays, les enfants de Talung que vous avez dû laisser derrière vous, les harkis abandonnés puis livrés aux mains du FLN !

Je n’oublie pas vos parents et votre famille, qui ont partagé vos joies et vos épreuves ; il faut ajouter à cette longue liste, les jeunes générations, qui n’ont connu ni la Guerre de 40, ni l’Indochine, pas plus que l’Algérie, mais qui ont dévoré vos livres, qui vous ont écouté et que vous avez marqués profondément !

Cette liste ne serait pas complète, si n’était pas évoquée la longue co-horte des prisonniers, des déchus, des petits et des sans-grades, les inconnus de l’histoire et des médias, ceux que vous avez croisés, écoutés, respectés, défendus, compris et ai-més et dont vous avez été l’avocat.

(…) Aujourd’hui, Hélie, notre com-pagnon fidèle, c’est vous qui nous quittez, emportant avec vous vos souvenirs et surtout vos interroga-tions et vos mystères ; vous laissez chacun de nous, à la fois heureux et fier de vous avoir rencontré, mais triste et orphelin de devoir vous quit-ter. Vous laissez surtout chacun de nous, seul face à sa conscience et face aux interrogations lancinantes et fondamentales qui ont hanté votre vie, comme elles hantent la vie de tout honnête homme, qui se veut à la fois homme d’action et de réflexion, et qui cherche inlassablement à don-ner un sens à son geste !

Général Bruno Dary, messe de funérailles,

Lyon, 30 août 2013

Hommages à Hélie de Saint-Marc (suite de la page 2)

E n fait, cet homme a assumé tout ce qu’il a fait, et s’est toujours montré prêt à en rendre compte quand on le lui demandait. Au moment de se

présenter au tribunal, il écrit : “Je connaissais la gravité de mon acte.” Il explique qu’il a agi comme il pensait devoir le faire : “J’ai préféré le crime de l’illégalité au crime de l’inhumanité.” Mais, dans la finesse de son in-telligence et son respect d’autrui, il ajoute : “Je comprends que d’autres aient agi autrement. Ils ont aussi leurs raisons et leurs manières de voir les choses.”

Dire qu’il a assumé ses responsabilités, cela signifie que jamais il n’a rejeté la responsabilité sur une autorité supérieure avec laquelle il aurait été en désaccord. Il a fait ce qu’il pensait devoir faire, à la lumière de sa conscience. La situation dans laquelle il se trouvait, au cours de sa mis-sion, était comme un rendez-vous avec l’Histoire : “Ce qu’aujourd’hui, je dois faire, je l’assume.” À plus forte raison, jamais, au grand jamais, il n’a reporté la responsabilité sur ses subordonnés. Ils ne sont coupables de rien, affirme-t-il, ils m’ont obéi. C’est moi qui les ai entraînés dans la rébellion, et toute la responsabilité de leurs actes me revient ; je sais ce que j’ai fait.

Aujourd’hui est arrivé le jour où ce mot de responsabilité prend pour lui tout son sens. (…) La Résistance n’est pas seulement un fait du pas-sé ; aujourd’hui encore, elle est un appel intérieur lorsque l’objection de conscience nous interdit de pactiser avec l’injustice ou le mensonge ou le crime… “Les sentinelles du soir” sont-elles sans rapport avec “les veilleurs” qui ont surgi dans notre société, ces derniers mois ?

Cardinal Philippe Barbarin, messe de funérailles, Lyon, 30 août 2013

Des “Sentinelles” aux “Veilleurs”

t

Page 4: Nlsdf 201310

Rétablir la vérité

Secourir les détresses

Préparer l’avenir

Secours de France lutte contre la désinformation systématique qui frappe l’histoire des derniers

conflits, et spécialement celle de la guerre d’Algérie.

Secours de France apporte une aide matérielle et morale à ceux qui se sont battus pour la France,

et se retrouvent aujourd’hui dans le dénuement.

Secours de France soutient des jeunes de la 3ème génération harkie qui rencontrent des difficultés

matérielles pour mener à bien leur formation professionnelle.

Participez aux actions du SecourS de France : faites un don !u

v www.secoursdefrance.com

Vos dons sont la condition de notre indépendance.

Vous bénéficiez d’importantes réductions d’impôts :

16:9

« Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle de ce film faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants

cause est illicite » (art. L 122-4 du Code de la propriété intellectuelle). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit,

constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L335-1 et suivants dudit code. Seules sont autorisées « les copies ou reproductions

strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » (art. L122-5-2e alinéa).

LANGUE

Un film de Marcela FeraruUn film de Marcela Feraru

2012 – DURÉE : 90 MIN

La guerre d’Algérie, fut, aussi, affaire defemmes. Enjeux ou actrices du conflit,elles en furent également, bien souvent,les victimes.

Ce film donne la parole à quelques-unes d’entre elles. Dans leur diversité,ces témoignages illustrent la complexitéde cette guerre. Il ne prétend pas laraconter, mais la montrer telle qu’ellesl’ont vécue.Arabes, berbères, européennes dediverses confessions, elles ont été prisesdans le tourbillon d’une histoire tragiquequi a bouleversé leur destin.Beaucoup ont perdu leurs proches,leurs biens, leur pays ; d’autres, leurvie… ou leur âme.

Ce document contribue aussi à nourrir

la réflexion sur la place et le rôle de la femme dans les pays musulmans, à

l’heure où de grands bouleversements affectent sa condition dans nombre

d’entre eux.

MONTAGE CLAUDE MOUNIER, MIXAGE ET CONCEPTION SONORE MONIQUE WISNIEWSKI, GÉNÉRIQUE ET EFFETS VISUELS JEAN-MARC MÉA,

IMAGE JEAN VILAIN, JAMES MIALE, ÉTALONNAGE ESTELLE GEOFFROY, CHARGÉ DE PRODUCTION JEAN-PIERRE DUBOSCQ

CONSEILLERS HISTORIQUESDANIEL LEFEUVRE « Pour En Finir Avec La Repentance Coloniale », Flammarion, Paris 2008, « Chère Algérie - Comptes

Et Mécomptes De La Tutelle Coloniale (1930-1962) », Société Française D'histoire Des Outre-Mers -Paris 1999) ;

DIANE SAMBRON (« Les femmes algériennes pendant la colonisation », Riveneuve, Paris 2009, « Femmes musulmanes,

guerre d'Algérie, 1954-1962 », Autrement, Paris 2007) ;FRÉDÉRIQUE GUELTON (« Pourquoi Le Renseignement ? De l'espionnage à l'information globale », Larousse, Paris 2004).

Produit par Secours de Francehttp://www.secoursdefrance.com

SecourS De France : 29, rue de Sablonville, 92200 Neuilly-sur-SeineTel. : 01 46 37 55 13 u Fax : 01 46 37 10 60 u Courriel : [email protected]

u Site internet : www.secoursdefrance.com

Merci de bien vouloir photocopier ou découper ce bon de commande t$

« Les femmes, en Algérie, furent un enjeu majeur entre ceux qui voulaient rompre brutalement

les liens avec la France et ceux qui voulaient, avec elle, bâtir une Algérie nouvelle et fraternelle. »

Hélie de Saint Marc

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- B O N D E C O M M A N D E

À compléter et à renvoyer, accompagné de votre règlement à l’ordre de :

VLODICOM – 1, rue Emmanuel Chabrier – 78 330 Fontenay le Fleury - Tél : 01.30.58.43.40. Autres destinations – achats groupés, amicales et associations, nous consulter : [email protected]

Nom (Mme, Mlle, M) ………………………………………….. Prénom ………………………… N°, rue ……………………………… Ville ……………………… C.P. ……………………… Tél ………………………………….. E-mail …………………………………………………..

Désignation de l’article Prix unitaire TTC Quantité Montant TTC « Guerre d’Algérie : Mémoires de Femmes » 17,00 € (port compris) ……….. ……………. Total à payer ……….. …………….

B O N D E C O M M A N D E du DVD “Guerre d’Algérie : Mémoires de femmes”

À compléter et renvoyer, accompagné de votre règlement par chèque à l’ordre de VLODICOM :

VLODICOM – 1, rue Emmanuel Chabrier – 78 330 Fontenay le Fleury

Nom (Mme, Mlle, M) …………………….......…………………….. Prénom ……………..............……

N°, rue …………………….......…………………Ville…………………..……….. C.P. …………………

Tél …………………….......……… E-mail …………………….......……………………..

Prix unitaire TTC Quantité Total

17,00 € (port compris)

Vous pouvez aussi commander et payer en ligne en toute sécurité sur le site www.vlodicom.fr