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Notes du mont Royal
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Americana
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D E se RIPT 10DE L’EMPIRE DE LA CHINE"
ET
DESCRIPTIONGÉOGRAPHIQUE
HISTORIQUE.CHRONOLOGIQUE,v
POLITIQUEaET PHYSIQUEDE L’EMPIREDE LA CHINE ’
DE LA TARTARIE CHINOISE,ENRICHIE DES CARTES GENERALES ET PARTICULIERE S
de ces Pays , de la Carte générale & des Cartes particulieres du Thibet,& de- la Corée .4 & ornée d’un grand nombre de Figures 81 de Vignettes gravées
en Taille-douce. II” .7." .
Ph le P. 1:8. DU HALDEm’e la Campagn’ie-de IESUS.
W TOME. SECONDÏ-Dl”3k.
A Plains, [Chez P. G. L E M E R C I E R, Imprimeur- Libraire , rue Saint Jacques r
au VLivred’Or. ,iræ-"ü avr
H, M- DCC. 57-.,Zd’V’EC AlPPROBATION ET PRIVILÈGE 1m RÈÏË’
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DES ARTICLESi CONTENUS DANS CE SECOND VOLUME.
De l’autorité de l’Ernpereur,de.r Sceaux de l’Emfire , de fi: renie.
nus, de fie de enfes ordinaire: , clef»; Palais , de fis Équipage: ,
(9’ clef: marche lorquii’ilfort de Palais, 9
D E l’anciennete’ 65 de 1’ e’tenclue de la Monarchie Câinoife,Pagc 1.
r De la forme du Gouvernement de la Céline, de: defi’ergns Tribunaux , desMandarins, de: honneurs qu-on leur rend, de leur pourvoir, 69’ de leur:
finéîions, V i 2.7..Du Gouvernement Militaire , desfarce: de l’Empireîoie: Fanerefles, desgens
de guerre,a’e leur: armes,65’ de leur artillerie , ’ . 45
De la police de la Chine , fait dans les Vifles pour y maintenir le un ordre ,. fil! dans lesgrand: chemins , pour la fureté de: V oyageur: ,- des Douane: ,
des Pefies , r 50De la Nellejà’e; . i a 53D De lafirIfliti de: terres, de l’agriculture , E5 de l’ejiirne qu’on fait de ceux qui
Ù appliquent, i 64.De l’adrefle de: ,artifam, 5’ delinduflrie du menuiPeuple, 72.
Dugenie 65’ du caraéîere de la Nation Chinaifi , i 75De l’air 6’ de la fèyfiàmmz-eidcs [lainoisuleleurs mode: , de leur: maijôns ,i
(î des meuoles dont elles flint ornées, 3°VDe la magnificence dei C kiwis dans les moyages , dans le: ouvrages public: ,1
le]: que férules Pont: , les Arcs de Triomphe , les Portes Je: Tour: , 5 les
.Mur: de Ville , dans leur: Fête: , et a 83De: cërernonies qu’il: enfleraient dans leur: devoirs de ciniliteza , dans leur: roi-, file-î, Cf le: préfen: qu’ils-[e font le: un: aux autre:,dans le: lettre: qu’il:
s’écrivent, dans leur: feflins , leurs mariages ,l [5’ leurs funeî’ailles, 98Des frifons ou l’an renferme les criminels, Ü’ des cbâtimens dont on le: puni! a 151
De l’aiendance qui regela à la Céline , I38-
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ii l . TABLE DES ARTICLES. .’DesLao-sJes Canaux.65’oles Riviera dont l’Emprre dela Chrmefiamfi; V
. des Barques ,des V aryenne: ,vau Sommes Chinoifis , y l 1 j un;
be la Moririoye qui en aliforme rams a eu cours à la Chine s I ’ 1153i
Du commerce des Chinois ,’ . i * " s "- 162Du Vernis de la Chine , ’ t V I L’A ’1734.
De la Porcelaine, " i t A 177.Des Sojeries , ’h v A 20E.Extrait d’un ancien Livre Chinois a qui enfiigne la maniere effluver Cf de
nourrir les mers à faje , pour l’avoir a” meilleure 6’ plus ahandante, 208
De la Langue Chinor’fi , l l sa;De la prononciation Chinaife , 69’ de Portographe des mais Chinois en carne.
V teres Æ Europe , * V 230Ahrefgë de la Grammaire Chinofi , - l .233Du papier, de l’Enere ., des Pinceaux,de l’ Imprimerie , 69’ de la relirire des
Livres de la Chine , 239L De quelle maniere on fait étudier les jeunes Chinois, des diners degrezpar ouils paflent, 65 comhien ils ont d’examens a juhir pour parvenir au Doe’toratazjt
Extrait d’un Livre Chinois intitule: l’ Art de rendre le Peuple heureux un
établiffant des Écoles publiques , 259. .Extrait il un Faittéfiir le même firjet fait par Tchu hi , l’un des plus cele-
hres Doéîeurs de la Chine, qui flonflon fous la dix-neuvie’me Dynaflie nom.
mie Sang , » 365Ïraduéïion du Chapitre Kiang hic , au Modele que donne 1’ Auteur d’un
difcours , tel qu’il peutfl faire dans le Hic , ou Salle des vÀflÊmhle’es de
[nitrez , 277.Tradufiion au Chapitre Chinois ,02; givpropofé le profil? les riglernen; d’une
académie , au Societe’ de semions , - .279De la Litte’rature Chinoifi,’ t A 384Des King Chinois , ou des Livres Canoniques du pflmier’Ûrdre: A86
L’Y king , premier Boire Canonique du premier Ordre, 388.
Le Chu King fifitmd Livre Canonique: du premier Ordre. . i 29;:Divers Extraits du Chu king. Maximes des anciens Rois,Dialogne, 3.8.
Harangue qu’on dit que Tchong’ hoci fit allEmp’ereurTchiug rang , 30:
J
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L! -VTAABKEÆESÂARTICLES. 7. 1;,Inflruà’iion qu’Y ylm donna au jeune Toi lia ,’ ’ i , 304de [Empereur Ciao tfong ’6’ de Fouyue ,fon Mimfàe. - . A * l 505
;IreïC.hi king, infime Livre canonique du premier Ordre, V 508’ Odes Choifiesdu Chi King, premiere Ode, un jeune Roy prie fis Minime de
Ë l’infirmerie: ’ i 309,Seconde 657 ti’oifrh’me Odea la louange de Van vange ibid.
Quatrie’meOde, confins donneza un Roy, - v EnCinquzïme 0è, fier la perte du genre humain, r I t 313 V
.Sixie’me ou fipsie’rne Ode, lamentations fur les mi eres du genre humain,
r q V sur 311* Huiufme Ode, anis a un Roy , , 316q Le Tchun tfiou , quazrie’n’re Livre canonique du premier Ordre , 3 I7
Leu ki ,cinquie’noe Livre’canonique du premier Ordre , 318
Des Livres clafiîques ou canoniques [econd Ordre , * 31 9de Cong’fou tfeë,’ ou Confucius ,1; l l I A ibid.Le Ta hic, ou l’École des Adultes, premier Livre claflîque ou canonique du
firondOrdre, v Mr, 1 ’ p v V, , . sa;l Tchon g yotig , ouile’ milieu immueihle ,V econd Lierre ilafique ou canonique du
[6ch Ordre, . . 327Lun yu, ou Livre des Semences , trozfie’me Lirore clafique ou canonique du finaud
Ordre, 329’Me’ng tfe’e’ , ou le Livre de Mencius , quatrie’me Laure claflîque ou canonique
du jocond Ordre , disoife’ en deux parties 65 plujieurs Chapitres , 3 34
q Hiao king, ou du refperfiE filial, cinquie’me Livre claflîque, 565Siao hic, ou l’Ecole des enfans, fixie’me Lierre claflîque, diroifi’ en plujieurs
Chapitres 55’ Paragraphes; 36Î.De l’éducatiàn de la jeuneffc, 366 Des devoirs du mari &dela femme,
Des cinq devbits , des devoirs du A ihid. ’Pth aida 518, 567 Du devoir des jeunes gens à l’égardDes dCVOirs du Roy 8: de [on Minif- des perfonnes âgées, 3 6 9
ne, 5 6 8 ’De la «vigilance qu’on doit avoirfiir foi-même 5 . 57I’ Réglcspoui bien gouvernerioncœur, fou extérieur, ’ ibid-
i ’ ’ A A ,37: Régies pour le vêtement, 371Regks pour apprendre à compole: Réglcs pour le repas , 375.
î? . k ...’,T’A si; E DE aux "tic LES.t 1’37 Vflffw’è et? Minièfflirere-lîamiquite Y ï"
’ -x- Excmeî’câ désista’ii’uchéëfoçàiavbonhcz î remmenez mugue-
ïviïfwe’ducatidnfi . A. 373., démine» w -r’ Moines-’des.anuteorrnnaawes3; r « -- -.-
a v
s. i 3.xmaieès’raæï’eieca’eaii au jeûnai-4’513 Mgflii’zesiliïriciïdidàsiec’leàiiel
et»; fis; s t i - r 375-, l (duit veilleriurzfoismême, i .wifi.,a&iinesfnrlescinqdevoirs,V 3772. ï . y , Q, .2! A
’ suaviçteeinples tireKdesAuteurs modernes, r .. ’ ’ ;, x
Ç il Ekmples fur l’édiICatiqn de lajeuiieli i augustin le l’oihiivee. lequel»
I 9" ce i , g. i579: ” ,MIiufllerÎfuc [giimê’mh "75:85:.Ê ,EXCXQPlGSfurlÇÊ,ClqudCVOÎIG,, 389» .’ I ’ V . a. . ç
e flicard Impériali, contenant les Edits’jlesibielarationfjej ordonnança: 69’ la;v 4 g 5 jnflrufit’ons’des Empereurs des dilfe’rentes Dynajiies ,-les Remontrances Elles
V il biftours des plus habiles Miniflresfur le hon Cf lemautùais Gouverrie’niéfig7 Ü dinerfi’s autres Piëces recueillies parl’ Empereur (langui sjfîferjmine’es
’ par de courtes Reflexions , irrites du pinceau rouge, c’efl-a-dire , de fa prqpre
main , . , - , 384Extrait d’une compilation faite fias la Dynryîie Ming ,-par un Lettre’tile’hre
de cette Dynajiie 5 a . 612Lié’niu, oufirnmesillujlres, a ’ 668 .
Fin de la Table des Articles de ce fccond. Yolumc.
A-I-rr
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324 DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA CHINE,qu’il s’était efforcé d’élever , étoit priai; quelqlmfois lufiflêmç Par Mi? . 56
que ramifié: Il commença dès-larsà ê murmure, A 4languir in: le famées 19m 3’533!!! fa. Mais défi. fur-vient par (à; givragesmort, le tournant du côté de [es Difci-r ë qu’on lamarckien le compète, Ily en apics: Le: Rois , dit-il a rififis! de [mît g prirmipalzmm quarra qui fou; dansleme: mximrssjene [ais Pl"! MM" la me a» plus grande; albane , parce qui; renfer-re, ilfw miels! quiète d meut qu’ila ramendé [in les Loix an-
Après ces Fardes, il rumba dans un: È ariennes. qu’au regarde Câlæëflô; la. règle
léthargie , guidera (cpt jours , au bout et du. parfaitGeuvemcmeutqueiquepqurrdêfqurlâ il expira les brus de fer È au: le dernier fait plûëât l’ouvrage deDifcigiçs- A la premier; upuuçlle de. la à Mencius. (in; QifcipicïLa aménagesdu Phügfuiziar a. Nazi mg, qui ré- g Livres s’appelle Ta , qui, urus dire lagnpitppur icoglans-.19 Romane de L044. a» grande finance, oul’Ecole des Adultes-hçguærereuir [Gélatine-s- LeTima’eflm Ë 0111;:qu le [emmi Tabula; yang . qui
www de qui , s’écria-s’il, amuï! des, à figaifisle milieu immuable-scarifierai-(se); Ççgfzççjug, En elfe; , les S n fiant à lieu quifi; trouve entredeux chofes ex-dçs dans précieux que le, à. la sa sternes, 8c en quoi confil’œ la vertu:- Leterre , (534?; en les perdant que); en Ï :æifiéme fe nomme Lunyu ac’ef’c-à-dire,
Cçnppît mieux]; prix. 4* Difcoursmoraux &fententieux.Enfinle9g lui bâti; un Iépplççe proche de la quatrie’me cf: intitulé Mengtseè’, oui Li-
pVille de Kiquq, fig; les bords de la. Ri- vre de Mencius : l’Auteur y donne l’idée
53 , dansle lieu même où il avoit d’un parfait Gouvernement.accoûtume’ d’ailembler fes Difciples On à A ces quatreiLivres on en ajoûte deuxadçpuig Église: ce; endroit de murailles , z autres, qui fontdans une réputation pref-8c il retïemble maintenant àgne Ville, o que égale. Le premier qu’on nommeIl fu; pleuré de tout [Empire , à; fur- : Hua üng,c’efi«à-dire,du refpeé’t filial,
sourde fcs Eifçiples, quiprirentledçüil, g çpnrienrles réponfes ue Confucius fità.a; quile rçgtgçtçrent,Ç9mIflçils auroient si [on Difciple Treng , En le refpeé’r qui CH:
hideur propre perça. Cesfentimens pleins a. dû aux parens. Le fecond s’appelle Siamde vénération qu’on avoitpoutlui, n’ont g bip , c’ePt-à-dire , la Science , ou l’École
fait qu’augmenter dans la fuite, ô; on Ë des Enfans. C’elt une compilation dele regarde encore aujourd’huicornme le à Semences 8c d’exemples , tirez des Au-grand Maître, a: le premier Doâteur de en neur; anciens 8c modernes. Je vais faire
l’Empire. È un précis de chacun de ces Livres , afinIlétoitd’une taille haute &bien pto- à de donner , autant qu’ilef’cen moi , une
portionnéç : il avoit la poitrine 5c les 3 legere idée dela fcience Chinoife. Ceuxépaules larges?l’air graveôcmajefiueux, î qui voudront avoir une connoiflàncele teint olivâtre, les yeux grands , la bar- plus, parfaite de ces Ouvrages , la trou-be longue 8,: noire , le nez un peuap- veroiitdanâ la Traduélion Latine qu’enplan, lavoir; forte à; éclatante. Illuic’toit si a fait le P. Noël, l’un des plus anciens
venu au milieu du front une tumeur, ou Mifiîminaires de la Chine , qui fut; im-une efpéce de boire , qui le rendoit un ç priméeà Prague en Panne: 17x la (1.6.3!V en difiorme,cc qui avoit porté [en pare g de fa Traduflion , quej’ai tiré les con-a. le nommer Kim, qui figuifiepniær 501.- a maillâmes que je. 49m deal-ivres fui.-
lirie. C’eit wifi le nom qu’il 5e donnoit È vans. ’
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ETDE LA TARTARIIE CHINOISE. ’ 36;que le pere ou le Prince commettroient. È ticle ,. il enfeigne ce que doit ObfiÉI’VLLIl dit enfuite qu’autrefois l’Empereur a un. fils obéifi’ant, loriqu’il rend les deavoità la Cour fept Admoniteurs,.q;ui î vous funébtes à. fes parens; l’on air, lesétoient chargez de lui faire des remon- s’ entretiens, [ès vêtemens, fesrcpas, entrances, se de l’avertir de fes fautes; si un mot toute fa perfonne doit mon-qu’un Roy en avoit cinq; un premier tret au-dehors , uelle cil: la douleurMinii’treen avoittroissun Lettré avoit dont fon cœur efi pénetré. Les Loix
, un ami, 8: un pore avoit fou fils qui’ établies par les Anciens y mettent ce-remplifloient l’un 85 l’autre ce devoir. pendant des bornes. Elles veulent que
Dans le feiziéme, il dit que quoique le fils ne fait pas plus de trois jours fansl’Empereur fait élevé à la uprême di- manger; qu’il ne pouffe pas le deuil au-gnite’ , 8c que tous les Peuples foient delà des trois années s qu’on faire unioumis à fou autorité , il a cependant cerceüil 8c qu’Il [oit orné felon l’ufage;au-deflus de lui des parens, à qui il doit qu’on y renferme le corps du défunt 5de l’honneur 5C de la vénération; que u’on ferve des viandes auprès du cer-c’eil pour cette taifon qu’il atoît deux ceüil; qu’on y pleure; qu’on y grémille;fois l’année dans la falle de Æsancêtres , u’on bâtifie un fépulchre décent, a: qu’il
dans une pofiute fi refpeétueul’ez, afin ils: fermé de murailles; qu’onyporre leque tout le monde connoiife combien et cerceüil avec les cérémonies accouru-il les honore. a ruées; qu’on y COHllîtllifC un édifice, où
Dansle dix-feptiéme, il fait-voir que Ë l’on s’afI’embleta deux fois l’année, au
le Prince 8: le Minifizre doivent avoit g Printems &àl’Auromne, pour y venirl’un pour l’autre une bienveillance réci- a renouveller le louvenirdu défunt, 8: lui
proque. j a» tendre les triâmes devoirs qu’on lui ten-Dans le dix-huitiérne 8c le dernier ar- Ë doit pendant fa vie.
a» ressaaaqaaeae-eeeaaeeaee e
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SIAO HIOO’U
L’E’C-OLE DES ENFANS.Sixie’me Lèvre Clafique.
E Livrea été compofé parle Doc- Ë fur-toutdel’établiflèment des écoles pu-
Cteur Trlm hi , qui vivoit au terns "à bliques; de l’honneur qu’on doit ten-que regnoit la famille des Sang, vers a? dre aux parens, aux Rois, aux Magif-l’an de N. S. I i 50. C’ei’r une compila- il; trats,8caux perfonnes âgéessdes devoirs
tion des maximes 8: des éxemples, tant È du mari 5c: de la femme; de la manieredes anciens que des modernes. Carmine a de régler fun cœur, les mouvemens duil ne fait autre chofe que citer ces di- a corps, fonvivre, &fes vêtemens. Le butverfes maximes 8: ces divers éxemples,il 3 del’Auteur cit d’infiruire la jeunefl’c, 8:n’y a point d’autre ordre dans (on ou- * de la former aux bonnes mœurs.vrage , que celui des Chapitres 8c des Cet ouvrage ei’r divifé en deux pat-
asa
Paragraphes qui le partagent. Il parle à ries ; l’une qu’il appelle intrinféque ou
I” il à " 3’33 agg’â’dëïbtsiâitâsàsîsàtîrsîtisà
œæmmmmæææmœmæœ
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I.i’.!
Il
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366 r DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA’ CHINE ,
efl’entielle : l’autre qu’il nomme extrin- Ë le’, je n’en rapporterai que quelques-
fëque ou accidentelle. Comme la plû- a unes de celles que l’Auteur y a ajoutéespart de ces maximes fe trouvent, dans a d’ailleurs , 8e: je fuivrai le même ordreles Livres. précédens dont j’ai déja par- Ë des Chapitres ê: des Paragraphes.
M «gâfiëè’bëfiNËPÆËSWKMâSÏWkswâksâmmgszmggsæybsæggsfilandres:mma’âansïesaîamaæaumsiaaswaim
PREMIÈRECHAPITRE
PARTIE.PREMIER.
De [Éducation de la Ïeunefle.
L cire le Livre des Kits , qui prefcrit.Iles régles fuivantes, qu’on doit ob-i’erver , pour bien élever les enfans. Unemere dans le choix qu’elle fait d’une
femme pour alairter 5c infiruire fou en-fant, ne doit jetter les yeux que fur uneperforme qui fait modefle , d’un efprirpaifible , vertueufe , affable , refpcétueu-fe, exacte, prudente, 8c difcrerte dansfes paroles.
Dès qu’un enfant peut porter la mainà la bouche , qu’on le fevre, 8c qu’on
lui apprenne à. le fervir de la main droite.A l’âge de fix ans , qu’on lui enfeigne ’
les nombres les plus communs , ôc lenom des parties les plus confidérablesdu monde 5 à l’â e de [cpt ans, qu’on
le fépare d’avec (à futurs, 8c qu’on ne
lui permettepas de s’ail’eoir , ni de man-ger avec elles. Al’âge de huit ans , qu’on
le forme aux régles de la civilité 8c de lapolitefle qu’il doit garder, lorfqu’il entre
ou qu’il fort de la maifon , à: lorfqu’il
le trouve avec des perfonnes âgées. Aneuf ans, on lui apprendra le calendrier.A dix ans, qu’on l’envoya aux écoles
publiques, ô: qu’on ne lui donne pointd’habits gonflez de coton : ils feroienttrop chauds pour [on âge. Le maître lui
donnera la connoifrance des Livres, ô:lui apprendra à écrire à: à compter. A13. ans , on lui fera étudier la mufi ue ,afin que chantant des vers, les Pagesmaximes «qui yfont renfermées,fe gra-vent mieux dans fa mémoire. A 1 5. ans ,
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il apprendra à tirer de l’arc 86 a monter
à cheval. A 2.0. ans, on lui donnera leprqmier [bonnet avec les cérémonies ac-
coutumees : il pourra porter des habitsde foye 8: de fourrure , 8: il le donneratout entier à l’étude jufqu’à 30. ans ,
qu’on le mariera * :il s’appliquera alors *La’
a bien gouverner fa maifon, 8c il con- "1m
- x . chahtmuera a fe perfeôhonner dans les Let- à prâtres. A 4o. ans, il pourra être élevé aux 091°!
Charges 8c aux Dignitez , mais ou nele fera point premier Minillrre qu’il n’ait heurs
sa. ans. Œil le démette de fon emploi,dès qu’il fera feptuagénaire. de! 5
.Pour ce qui CH: des filles, quand elles fieu?auront atteint l’âge dedix ans s on ne les ce;laifl’era plus fortir de la maifon. On leur dème
apprendra à avoir un air affable, à par-ler avec douceur, à filer, à devider dela foye, ou en écheveaux, ou en pelo-tons , à coudre, à faire des tiiTus de [oyeou de chanvre : enfin, on les applique-ra à tous les autres ouvrages propres dufexe; 85 on les mariera à 2.0. ans.
Le premierPréfident duTribunalfuprê-me des Rits doit établirdans chaque dif-rriü des Officiers, qui veillentà ce qu’on
enfeigne principalement trois choies auxPeuples. 1°. Les in; vertus; fçavoir, laprudence, la piété, la flagelle, l’é uité,
la fidélité, la concorde. 1°. Les Ex ac-tions loüables : fgavoir , l’obéiflance en-
vers les parons, l’amour envers les fre-res, la concorde entre les’proches Jaf-feôtion pour les voifins,’la fincérite’ ena-
tre
ET DE LA TARTARIE CHINOISE. 367tre les amis, 8c la miféricorde à l’égard a foira qui fe forme fur la conduite desdes auvres 56 des malheureux. 5°. Lesfut [ânes de connoiii’ances dontvon doits’infiruire , 8c qui confiitent à, appren-dre les tits, la mufique, à tirer de l’arc,à monter à. cheval, à écrire, 8c a comp-
ter.La doétrin’e du Maître, dit un autre
Livre , c’eit la regle du Difciple. Œandje vois un jeune homme qui s’y rendattentif, 8c qui s’efforce de la mettre enpratique a quiécoutele matin les leçonsde [on Maître, 8: qui les lui répete le
à
d!
è a» fit-fififi-fitëètbfiëëfiâëfi-fië
[ages , .56 qui tâche de les imiter; quine donne aucun figne d’orgüeil , &donttout l’extérieur cit compoi’é; qui veille
fur [es regards , 8c quine jette jamaislesyeux fur aucun objet tant foi: peu clef-honnête; qui parmi ceuxde fon âge nefréquente que les plus [ages &les plusvertueux; qui ne parle qu’à propos, ô:toûjours d’une maniere refpeétueufe s je
juge alors qu’infailliblement il fera degrands progrès dans la lègefl’e 8c laVÇl’tll.
MÆÆÆÆÆ’ÆÆÆÆWÆÆÆaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa WWWZVXWMËWWWRRWRW?
CHAPITRE SECOND.-1 Des cinq Devoirs.
PARAGRAPHE r.De: Demain du Parc (y du Fils.
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L cite le Livre des Rits , qui entredans le plus grand détail de tout ce
ne doit faire un fils, pour marquer (aPoumiilion à: (on amour a l’é ard de fou
pere 8C de fa mere. Il doit le lever derand marin , le laver les mains 851e vi-
Êige , s’habiller proprement, afin de ne
paraître devant [on pere que dans ladécence convenable , entrer dans [achambre avec une grande modefiie ,demander comment il le porte , lui don-ner del’eau pour fe laver les mains, 8clui préfenter la ferviette pour les efl’uyer ,
enfinluirendretouslespetits fervices uimarquent fou attention 8c fa tendreËe.
Quand un aîné ei’t parvenu par [on
mérite à quelque dignité confidérable ,
a: qu’il va rendre vifite au Chef de fafamille , qui efid’une condition médio-cre, qu’il n’entre point dans [a maifon
avec le faire &la magnificence conve-hnable’à [on rang; mais qu’il laifi’e [es
chevauxôe l’es domef’tiques àla porte, 8:
qu’il affeâe un air très-modale , afinTome Il.
à
4-ààà
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G1?a.(Ptil-
il!41’4-
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de ne point faire croire à cette famillequ’il veut lui infulter, en fanant para-de de fes honneurs 5: de [on opulence.
Tfeng, Difciple de Confucius, parle ain-1: fi votre pere 8c votre more vous ai-
ment , réjoüiilez-vous , 8: ne les oubliezpas s s’ils vous ha’ifl’ent, craignez , âme
les fâchez pas: s’ils font quelque faute,avertisz-les , 8e: ne leur refif’tez pas.
On lit dans le Livre des Rits; five-tre pere ou votre mere fait quelque fau-te , employez les paroles les plus douces8c les plus refpeétueufes pour les enavertir. S’ils rejettent vos avis , neceflèzpas deles refpeé’ter comme auparavant.
Cherchez enfuite quelque marnent fa-vorable pour les avertir de nouveau scar il vaut mieux être importun , quede les voir décrier dans toute une Ville.Que fi ce nouvel avis les irrite , 8c qu’ilsen viennent jufqu’à vous frapper, neVous fâchez point contre eux, se conti-nuez de leur rendre le même refpeéi: a:la même obéîilance.
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368’ D E scarifiois DE L’EMPIRE DE L A CHINE,. Un fils, àquelque état d’indigence g faoidfiinedoitlpoint ikyêtir’des habits
’ ’il foitnréduit, ne doit jamais vendre a qu’il portoit à cette cérémonie , ni a:les vaf’es dontil s’ei’r fervi aux obit nes Ë batte les’arbres plantez fia-ria colline oudefonpere: quoiqu’il fait tout tran tdC 3 (fait: fépulchre de (on pers. i
8181313!fiKit!fiâtàtânââaââfiââiâàa!à!AH:lââûàt’tiàiààtaâàiââââàt
PARAG R’API-IE 11.
DJIDFb’oifl du Roi, defan Mimfire.
N Roydoitdonner fesordresài’on è Si le Prince fait préfemà fou Mimi-Miniitre avec douceur 8c avec a tre d’un cheval, il doit aufiitôt le mon-
bonté ,unMinif’tredoitles exécutetavec ter; s’il lui fait préfent d’un habit
promptitude 8C fidélité. doit s’en revêtir fur l’heure , a: aller auLes Difciples de Confucius rappor- Palais faire fcs remercimens de [hotu
tenr de leur Maître, que uand il en- neurqu’il a reçu. ’troit dans le Palais , il fe coucr’boit jufqu’à Un premier Minif’tre trompe fou Prin-terre, u’il ne s’arrêtait jamais fur le ce, s’il connive à [es vices , 8: s’il citfeüil deqla porte 5 que quand il pafi’oit airez foible , pour ne pas l’avertir dudevant le Trône du Roy, on voyoit dans tort qu’il faità fa réputation. Un hom-fon air &fur fon vifage le refpeét 5c la me qui aipire aux premieres Chargesvénération dont il étoit frappé; qu’il de la Cour, 86 qui n’y envifage quemarchoit fi lentement , n’a peine le- fou propre avantage,n’efi:d’aucùne uti-voit-il les pieds a que loil’qu’il alloit à. lité au Prince. Il cil dans une a itationl’audiencedu Prince, anilitôt qu’il en- continuelle , jufqu’à ce qu’il y [ëit par-
troit dans la falle intérieure, il levoit venu: &quandila obtenu cette dignitémodel’tement la robbe , s’inclinoitpro- qu’il fouhaittoit fi pallionne’ment, il
fondément , &renenoit l’on haleine de craint à tout moment de la perdre.telle forte, qu’on eût dit qu’il avoit pet- n’y a point de crime dont un hommedu la reÎpiration; qu’en fortant d’au- de ce caraô’tcre ne fait capable, pour ne
rèsduPrince,ilpréc’ itoiti’espas,pour a pas décheoir de Ion rang. a qetre aupll’itôt horsdegpréfence; qu’en- z Comme une femme chaire n’épou-fuite il reprenoit [on air grave , &alloit à le point deux maris , de même un Mi-modei’tement prendre la place parmi les Ë nifiare fidele fe gardera bien de fervii:
Grands. i . deux Rois. ’
Ù fifiâfifi444fifiéfifië4fiè’èfl-4Md4è-fiçfi«Pour? v!
Ëlâââiâââï’iââââdàâaîââflrââàfiâfis’fii!u!!!Qàmàtittiükflfiâiiàiâflt
PARAGR A PHE 11LDur Darwin a. Mia (9’ de a nm».
L zE une des Rirsparieain’fitil faut a future époufei’oitawertie 6: de hémod-i cherche: unee’poufe damnait fa- : tiré avec laquelle elle doit obéira fan
mine flûtions: pas ionienne-mm g mari, 8c dei: MEC, a: dola pudeur”ll’ëpaax.illllîauragiravocfincériaédans- n g qui doivent êtwlïame dotât enduite.
"réfères redemandois , &avfiir in Quand message foniiéeà mirepoix,lëslprdtneffeS’réciproques Soient Ë entrenuisant: duumvir ’àfimort, a:
conçues en termes honnêtes , afinqaeàla à elle 11’anin flamme. L’é-
l
Il
l
ET DE’LVA TARTARIE CHINOISE. 369.pour: ira receVOir à futurevc’poufe dans * clic, ou quelque note d’infamie dans [ala maifon paternelle , &laconduiza chez Famille. 48’. ngnd il y a quelque malavlui : il lui offre un oiieau. appuvoiië , die héréditaire, équipent fe communirfoit pour lui mat ner fait amour, fait quer. 5°. Enfinfi fait unefilleaînée quipoml’ini’cruire de a-dociiitéavec laquel- ait perdu fou peut.
icelle doit felaiikr gouverner. Sept fortes de femmes que les. marisIl doit y avoir deux appartemensdans peuvent répudier. 1°. Celles qui mark
la manifesta l’un extérieur pour le mari , quem àl’obéifl’ance qu’elles doivent à
l’autre intérieur pourla femme. Un mur leurs pere à; merc- 1°. CellÇsqui [ontou une bonne cloifion (épateront ces l’aériles. 5°. Celles qui [ont infide-lles à,deux ap artemens , à: la porte en fiera leurs maris. 4°. Celles qui font jaloufes.foi ” ’menrgardéeKhielemarin’cnv 5°. Celles quifimtinfeéléesde quelque
tre point dans l’appartemnt intérieur, mal contagieux, 6°. Celles doutoit. Il:8: que la femme n’en forte point fans peLut arrêter le babil, 55 qui étourdifl’eaç
quelque bonne raifon. Une femme n’eft par leur caquet continuel. 7°. Celles quipointmaitrefiè d’elle-même 5 elle n’a rien ont fujettes à voler , 8c capables de rui-
’ en [a difpofition. Elle n’a d’ordre à don- ner leurs maris. Il y a cependant des con-
trer que dans l’enceinte de En apparte- jouâmes ou il n’efi: pas permis aun ma-rnent a doit-là que fe borne (on auro- ri de répudier fa femme. Par exemple,
rité. fi au terris ne le mariage s’el’t contracté,Cinq fortes de filles aul’quelles on ne elle avoit des parens , 8c qlue les ayant
doit point penfer pour le maria e. 1°. perdus dans la fuite, il ne ui refie plus(kami elle cil d’une famille oûlon né- aucune refleurce ; ou bien fr conjointe-glige les devoirs de la piété filiale. 2°. menravec [on époux,clleaponéledeüil(gland fa maii’on n’eit pas reglée, se ue triennal pour le pere ,iou pour la mere deles mœurs deceux qui la campoient État Ë ion mari.fufpeétes. 3°. Qændil y a quelque ta- Ë
üfiüflàaèfi-Qèë-ÆfitërÙ-fiùëàëb0*4fiù4fi6èôë*â&ûôô ûQfi-fitë
sanguinsaaa:sia:graissasaaassuaugamsarassussuussnsu
PARAGRAPHE 1v. ’Du, Damir de: jeune; gais à l’égard de; prrfimrs’âgm.
E Livre des Kits ordonne ce qui g tienne un peu detriere, Si le Maître s’aluit. Quand vous allez voir un ami pu’ie fur l’on épaule , pouriui dire quâ:
de votre ere , n’entrez point chez lui , a ne chofe à l’oreille , ne de ia main il8c n’en Entez point qu’il ne vous en ait Ë e couvrela bouche , pour ne point l’in-donné la permiilion, a: ne parlez point z commoder par [on haleine.
u’il ne vous interroge. ’ i Sima: éros aflis auprès de votre Mai-Œand vous vous trouveurs; avec un a tre , &qu’il vous fail’e quelque queition,
homme quia vingt ans plus que vous , Ê ne provenez point par votre réponi’e cerefpeüez-le, comme vous, fait: votre t qu’ilaà vous dire, St ne lui répondezpere ; s’ila dix ans plus que vous , refpcç» fig quiqumd il aura fini de parler. S’il vous
tez-lecomme votre frete aîné. r interroge fur le progrès que vous avez, Lorfqu’un Difciple marche dans in g fait dans votre étude , levez-vous anili-
ruë avec fou Maître , qu’il ne le uitte z tôt, 8: tenez-vous debout tout le temspeint, pour parler à une autre perêonne a que vous lui répondrez.
u’il rencontre , St qu’il ne marche pas a (kami vous êtes à la table de votre. 11:13 même ligne que lui , mais qu’il fe Ë Maître , ou d’une performe âgée, 6: qu’il
fin wwzxxpçv isrym v- w-
».-m.vs.i
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il
rt.5.
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A n-w-n-nw .
«à.
370 DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA CHINE,vous préfente une rafle devin, tenez-VOus debout pour la boire :ine refiliezrien de ce qu’il vous donnera s &s’ilvousordonnede demeurer aiIis , obé’iil’ez. Si
vous êtes allis acôté d’une performe con-
fidérable , 84 que vous apperceviez en lui. quelque inquiétude a. par exemple , qu’il
le tourne de côté 8c d’autre dans l’on
fauteuil , qu’il remué les-pieds , qu’il
examine l’ombre du Soleil, ont voiruelle heure il cil , prenez aufii-tôt con-
gé delui , en demandant la permiflionde vous retirer. Toutes lesfois qu’il vous.interroge ,levez-vous pour lui répondre.
à
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à4l?’4’
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Si vous entretenez quelqu’un qui [oitauüdeil’us de vous, ou par [a dignité, ou
par l’es grande5alliances , ne lui deman-
dez point quel âgeil a: fi vous le ren-contrez dans la ruë , ne lui demandezpoint où il va : fi vous êtes ailis auprès de
v lui , fo’iez modefie , ne regardez pointde côté 85 d’autre, ne geliZiculez point,
ne remuez point votre éventail.
Les Difciples de Confucius rappor- -rent que quand leur Maître alfilioit à.quelque grand feftin , il ne quittoit la ta-ble, qu’après les perfonnes qui étoientplus âgées que lui.
assumasausssaaaaaasaauaussaussaaaaausaaaaa Éâàââiàâ’iiàââàâ
PARAGRAPHE V.Du Devoir de: Amis.
N homme qui veut férieufementacquérir la fagotât, nechoifit pour
amis , que ceux dont les difcours 8c lesexemples peuvent le faire avancer dans lavertu &dansles Lettres.
Le devoir de deux amis confiil’eà le
donner réciproquement de bons con-feils , 8: a s’animerl’un l’autre à la pra-
tique de la vertu; I lIl y a trois fortes d’amis , dont la liai-
fon 8c la focicté ne peuvent manquerd’être pernicieul’es : des amis vicieux,des amis diflîmulez , des amis caufeurs 8:indii’crets.
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mand vous recevez une performedans votre maii’on , ne manquez pas achaque porte de l’inviter à. paiI’Cr le pre-
mier. (Eaud vous êtes arrivé à la portede la fallc intérieure, demandez-lui’lapermiilion d’entrer dabord ,pourarran- -
l ger les chaii’es 5 enfuite venez le prendre,85 conduii’ez-le avec honneur a. l’a pla-
ce , qui fera toûjours à votre gauche.L’hôte ne doit pas commencer l’entre-
tien le premier s les loix de la politeflèveulent que ce [oit le maître du logis qui
enramele difcours. . ’
CHAPITRE
ET ne LA TARTARIE CHINOISE 37:ÆHAÆÆÆA’RÆAËÆÆÆÆM’WÆÆAÆÆÆÆÆÆÆÆMMÆÆÆÆMÆÆ
WWMWWÆWÆM:WMfiMWæwefiwwwkïëwïflfiwfià’ïk
CHAPITRE CINQUIÈME.De la wègilanæ qu’on dei) avoir fisrfii-mêmt.
i PARAGRAPHE LRegle: pour Lien gouverncrfan cœur.
L 0R5 cm; la raiÎon prend Perm il; dez vifite à un grand Seigneur. Quandpire fur les paflions,rout va bien; ë vous déclarez vos ordres au peuple , aïez
mais brique les paifionsmaîrrifent la rai- au autantde gravité , que fi vous affiliiez à.
fon,toutvarnal. l l Ë quelquegtande folemniré. Mefurez lesUn Prince ui Veut être heureux , 8c "à autres fur vous-même , 8c ne faites à qui
procurer le langueur de fes peuples, doit z que ce fait ce que vous ne voudriez pasobierver les choies fuivantes ’: prendre r- qu’on vous fit.garde glue la haute élévation ou il fe trou- Ê Quand vous êtes feul , ne cefi’ez pasvc, ne ni infpire des manieres flores 8: É d’être modeile; lotfque vous tramez deméprifantess réfiüer à toute paiîîon dé- Ë quelque afl’aire,donnez-y toutevotre ar-
reglécme point s’entêter d’une opinion a rention. Dans le commerce ordinaire dedoneil s’ellè laiflë prévenir 3 ne prendre. il; la vie civile , faites paroîrre beaucoup
que des plaifirs honnêtes s s’étudier à 4* de candeur. Ce font-là des vertus queêtre populaire a: férieux; c’efl ce qui le 4i- vous ne devez jamais négliger , ruiliez-fera aimer des peuples: s’il aime quel- Ê vous relégué chez les Nations les plusqu’un, ne pas s’aveugler fur (es défauts: Ë. barbares.
s’il hait quelqu’autre, ne pas fermer les 4* On peut dire qu’un homme mérirelayeuxà [es bonnes 1qualitez : s’il amaflè des r réputation de Sage,quand il n’aime point
richeflîes , que ce oit pour les répandre: 3 atemplir fan efiomachde viandes,quandenfin qu’il ne décide jamais dans le dou- Z il ne cherche point fes aifes, quand il ate, a: qu’en difant fou avis,il ne prenne a de la dextérité dansles affaires, de la dif-
Point le ton affirmatif. Ë crétion dans fes paroles , 8: qu’il ne veutmaudirons fartez hors de vorremai- f; avoir de focieté qu’avec des perfonnes
fan, aïe: un air modeüe, &femblable à à figes 8c verrueufes.celui que vous prenez , quand vous ren- Ë
üWH***-i-W**M**H19m*Wfi**fl********fi-H«***M***H*W**
PARAGRAPHE Il.Regles pour apprendreè campofér fin extérieur.
l E Livre des Kits parle ainfi : ce Ë dans la douceurôc la féréniré du vifage,quidif’ringuel’homme fage de tous sa 8c dans la bienféance des paroles.
les autres,c’efi l’honnêteté à: l’équité : ces a. Quand quelqu’un vous parle , n’avan-
deux vertus ourleur principe dans le par- ï eez pas l’oreille pour l’entendre : ne luifait reglement des mouvemens du corps, à?! répondez pas en hauflànr la voix , com-
Tomr I I. B b b b b
. fifi- ..«nm-rw-vwsf e- R ’
à
à
rl:
à.
à
à
3.
hum-Jav-
372 DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA CHINE,me fi vous cryiez après quelqu’un, ne leregardez point du coin de l’oeil , ne forezpoint dillrait, en forte qu’il s’a perçoive
que vous penfez a autre cho e : quandvous marchez, que ce ne fait point d’unpas altier , 8: avec une contenance ’fieresa orgueilleufe : quand vous êtes debout,ne levez pas un pied en l’air : quand vousêtes allis , ne croifez point les jambes:quand vous travaillez , n’ayez jamaislesbras nuds: quand vous avez chaud, n’ou-
vrez point votre habit pour prendre lefrais s avec qui que cefoir que vous voustrouviez, ayez toujours la tête couverte -:quand vous êtes au lit , tenez-Veus-ydans une poilturc décente: quand vousvous entretenez avec quelqu’un , gar-dez-vous bien d’un certain air ou dédai-
gnpux ou railleur : ne parlez point avecprecipitation , 85 que les défauts des au-
tres ne fervent jamais de matiere à vosdifcours c n’avancez rien fur de legeres
4*
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à
a.aàdesi?
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Ë4l!-
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à:
4l!-
fisi.ù-
fitû-
fiàà
ilfl-1?’4-
’4-
conjeé’rures , âme foûtençz jamais vo-
tre fentiment avec opiniâtreté.
Les Difciples de confucius rappri-rent que quand leur maître étoit dansfa maifon , il parloit fort peu; de fortequ’a le voir , on eût cru qu’il ne fçavoit
pas parler 5 qu’au contraire quand il fetrouvoit à la Cour, il faifoit admirer fouéloquence ; que performe ne fçavoitmieux que lui le proportionner au géniea: à la qualité des différentes perfonnesà. qui il parloit; qu’avec les Mandarinsinférieurs, il leur imprimoit du refpeétpar une certaine nobleiIe, qui fe répan-doit dans fes clifcours; u’avec les Manadarins fupérieuts , il s’infinuoit agréable*
ment dans leur efprit, par une éloquen-ce douce ôe ailée 5 enfin, qu’il ne par-loitjamais qu’à propos, 8c lorfqu’il étoit
néceffaires que quand il prenoit l’es re-pas, ou qu’il alloit fe couc et, il gardoittoûjours un profond filence.
amarrrrrflrramwaaara Ha?iritirfir-il-wll-tHî-àkfirïr-ËH-bir***HH’*W-Œ
PARAGRAPHE IIItRaglan P091716 V étament.
E Livre Y li parlant de la cérémo-
L nie qui fe pratique , lorfqu’on don-ne le premier bonnet aux jeunes gens,s’exprime ainfi. Le maître des Cérémo-
nies en lui mettant le bonnet fur la tête ,lui dira ces paroles z fongez que vousprenez l’habit des adultes, 5C que vousfortez de l’enfance : n’en ayez donc plus
les fentimens a: les inclinations z prenezdes manieres graves 8c férieufes: appli-quez-vous tout de bon à l’étude de lafageife 8c de la vertu s 8c méritez par-là
une longue 8: heureufe vie.Selon ce qui cil: prefcrit dans le Livre
des Rits , il n’efl: pas permis à un fils ,
4?4-
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jà-
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dont le pare 8c la mer-e vivent encore ,7de s’habiller de blanc. * Il cil: areille-’
ment défendu au Chef de la; famille,dont les parens font morts, de porterdes habits de diH’érentes couleurs, même
lorfque le deüil triennal eI’r expiré. ’
041’011 ne donne point aux enfans des
habits de foye , ou qui foient doublez
de fourrures. aCelui, dit Confucius, qui travaillantréformer fes mœurs, rougit de fe voirêtu fimplement, et de n’avoir pour vi-
vre que des alimens grofliers , montrebien qu’il a fait peu de progrès dans le
chemin de la vertu.
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Pbllmla. ce
de iPKI’U
Chi.
ET DE LA TARTARIE CHINOISE. 373*************æ**********************************************i*****
PARAGRAPHE IVtrRegles pour le: repas.
UAND Vous régalez quelqu’un, Ë
st ou la chaleur avoit fermenté le ris, ousa fi la viande commençoit tant fait peu à
ou ne vous mangez à fa table ,foyez attentif à toutes les bien-féances:
donnez-vous de garde de manger avecavidité, de boire à longs traits, de fairedu bruit de la bouche, de ronger les os,«Sade les jetter aux chiens, de humer lebouillon qui refle , de témoigner l’en-vie que’ vous avez d’un mets ou d’un
vin atticulicr , de nettoyer v0s dents,de lignifier le ris qui cil: trop chaud , defaire une nouvelle fauce aux mets qu’onvous a fervis. Ne prenez que de petitesbouchées : mâchez bien les viandes en-tre vos dents, 8: que votre bouche n’en
de viandes qu’en hachis. Si l’humidité
fe gâter, ou qu’elle fût mal cuite, il s’en
apperçevoit aqui-tôt, 8e n’y touchoit pas.Il étoit d’ailleurs très-moderé dans l’ufage
du vin.Les anciens Empereurs ont eu envûë
de prévenir les excès qu’on pourroit feue
te du vin, lotfqu’ils ont ordonné a ceux
ui fe régalent , de faire plufieurs in-Ellnations les uns aux autres, à chaquecoup qu’ils boivent.
Ces gens de bonne chére, dit Men-cius, font dans le dernier mépris, parce
foin: point trop remplie. r V que n’ayant d’autre foin que de conten-Œiiquela table de Confucius ne fût ter leurs appetits fenfuels , 6c de bien
rien moins que délicate, 8: qu’il ne re- a. traitter la plus vile partie d’eux-mêmes,cherchât pas les mets exquis , il vouloir 4. ils nuil’ent infiniment à celle qui cil: laque le ris qu’on lui fervoit, fût bien cuit, 4* plus noble , 8: qui mérite toute leur at-& il ne mangeoit guéres de poiffons ou a. tention.
4 ë?ëûdfi4**èfififiëëëëüfifiëêèàfi è
îîîî’âîîîîîfltîfi’ëï’îî’lî’âî’lfiîîîü’kî ïî’â’â’lî î t’iïîîî’âîîïfiüfiîîî’îîît
&îcêâsâïcëïcïnâfiîcë23:2:3:3:3:RHËHÆHËQËZËÆËÈHêâëêêflüflêëëèü2H:
CHAPITRE QUATRIÈME.Exemple: par rapport à ces Maximes , made l’Antiquite’.
PARAGRAPHE I.a Exemples de; Ancitm [ùr la bonne Éducation.
A A more de Mencius avoit fa mai- * tôt de demeure,&alla loger proche d’unfou proche d’un lieu ou étoient a marché public. Le jeune Mencius à la
grand nombre de fépulchres. Le jeune ï vûë des Marchands, des Boutiques, 8cMencius fe plaifoit à cbnfidérer toutes a! des mouvemens quefedonnoitun grandles cérémonies qui fe pratiquoient, et Ê Peuple qui s’y ail’embloit, [e faifoit undans fes jeux enfantins,il fe plaifoit ales ï jeu ordinaire de repréfenter les mêmesimiter. Santere qui s’en apperçut, jugea g mouvemens , 8c les difl’érentes poituresque cet endroit n’étoit pas propre à l’é- au qu’il avoit remarquées. Ce n’efl: pas en-
ducation de fon fils: elle changeaaufliv .4, cote ici , dit fa mere , un endroit pro--
’h----*-- -- Tricysr’s’ts-rrf ’v- «un
à
son
374 DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA CHINE,pre a donner à mon fils l’éducation qui
lui convient. Elle quitta ce logement,et choifit une maifon auprès d’une école
publique. Le petit Mencius examinantce qui s’y patron, vit un grand nombrede jeunes gens qui s’exerçoienta l’hon-nêteté 8c à la politefi’e, qui fe faifoient
des préfens les uns aux autres, qui fetraittoicnt avec honneut,’qui fe cedoieutle pas, qui faifoient les cérémonies or-données lorfqu’on reçoit une vifite , et
[on plus grand divertifiEment fut de lesimiter. C’clt maintenant, dit fa mere ,
Il!
flë*ë*fiâèëfièëfië&4â*
a4?.4’
que je fuis à. portée de bien élevermon fils.
Le jeune Mencius voyant un de fesvoifins qui tuoit un cochon, demandaa fa mere pour quelle raifon il tuoit cetanimal. C’elt pour vous, lui répondit-elle en riant : il veut vous en régaler :mais faifant enfuite réfléxion que [on fils
commençoit à avoir l’ufage de la raifon,a: craignant que s’il s’apperçevoit qu’on
eût voulu le tromper, il ne s’accoût’u-
mât à mentit 8C à tromper les autres;elle acheta quelques livres de ce cochon ,8C lui en fit fervir à. fon dîner.
anazaaaaaaaaaaPARAGRAPHE Il.
Exemples de: Anciens fia le: ring devoirs.
’E Prince de Ki, qui avoit le titrede Tfi4, c’eI’t-à-dire , de Marquis
t ou de Baron , voyant que l’EmpereurTcheou fan neveu, fe livroit tout entierau luxe , à la mollefl’e , 8c aux plus falesdébauches, lui donna des avis férieuxfur fa conduite: mais l’Em creur, loinde déférer a fes confeils, le t mettre enprifon. On confeilloit à ce Prince de s’é-
Vader, a; on lui en fournifl’oit les moyens:je n’ai garde, répondit-i1 , par-tout oùj’irois, ma préfence inItruiroit les Peu-ples des vices 8c de la cruauté de monneveu. Le parti qu’il prit , fut de contre-faire l’imbécile , 8c de faire des actions
de démence .- on ne le traitta plus quecomme un vil efclave , acon lui laifi’a laliberté de fe dérober aux yeux du Pu-blic.
Le Prince Pi kan, qui étoit pareille-ment oncle de l’Empereur, voyant queles figes confeils du Prince Ki avoientété inutiles : que deviendra le Peuple,dit-il , fi on laiil’e croupir l’Empereur
dans fes défordres î Je ne puis pas metaire, 86 fallut’il perdre la vie, je lui re-ptéfenterai le tort qu’il fait à. fa répu-
tation, 8c le danger ou il met l’Empitc.Il alla aufii- tôt le trouver , 8c lui repro-
à*àfi**è*èëfièfififi*èèèèü*fi*êù?fiüfiëü****àèfi*èèèëûüèôù
à cha le déréglementde la vie. L’Empereuïr
l’écoûta d’un air d’indignation mêlé de
fureur. On prétend, dit-il, que le cœurdes fages cit ditFérent de celui des autreshommes : je veux m’en infiruire , 8: al’infiant il fit couper fou oncle par lemilieu du corps , avec ordre de bienexaminer quelle étoit la forme de foucœur.
Cette cruelle exécution étant venueaux oreilles du Prince de 0m frere del’Empereur : lorfqu’un fils,dir-il, a averti
fan pere, jufqu’à troisfois , fans aucunfuccès, il n’en demeure pas n : mais iltâche d’attendrit fou cœur-pat fes cris ,fes larmes, 8c fes gémiffcmens. Œandun Minii’tre a donné jufqu’à trois fois
des confeils falutairesà fou Prince , 8cqu’ilsn’ont eu nul effet, ilef’tcenfé avoit
rempli tous fes devoirs , &il lui cit per-mis de fe retirer. C’efl: ce que je vais fai-re. Et en effet ils’exila lui-même de a
atrie , emportant avec lui les vafes quiFervent aux devoirs fiInébres, afin qfuedu moins il reliât quelqu’un de la aùmille impériale , qui pût rendre deux foisl’année les honneurs accoûtumez auxancêtres défiants. Confucius vante fort
ces trois Princes, 8c il en parle comme
x de
ETDE LA TARTARIE CHINOISE. 37;devrais Héros qui ont fignalé leur zéle â chemin. Œand ils entrerent dans les
pourla Patrie. a, Villes , ils apperçûrent que les jeunes. La jeune Princell’e Kung kiang avoit È eus déchargeoientles vieillards de leurs
été promife en mariage au Prince Kzng ï ârdeaux, pour s’en charger Curmê-pégcelui-ci mourut avant que de l’avoir î mes ,’& les foulager. Mais lorfqu’ilsfu-époufée. La PrineeiI’e réfolut de lui gar- a rent arrivez dans la ville Royale, 8:der la fidélité promife, 8: de ne jamais Ë qu’ils virent les manieres civiles à: ref-prendre d’autre mari. Ses parens eurent si peâueufes de ces peuples, les témoi-beaula prefi’er de paffetàdenouvellesnô- a nages d’honneur 8c de déférence qu’ils
ces,elle nevoulutjamaisyconfentir:elle Ë e donnoient les uns aux autres s Que. compofaune Ode,oùclle faifoit ferment Ë nous femmes peu fenfez, dirent-ils?
de mourir, plûtot que de fe marier. 2 NOUS ne méritons point de marcher furDeux Princes de deux Royaumes à les terres d’un fi fage Prince ; 3: anili-
voifins avoient quelques conteitations Ë tôt ils fe céderent l’un àl’autre la terrefur uneterre , dont chacun d’eux pré- Ë qui fervoit de matiere à leur contefia-tendoit être Îe Seigneur: ils convinrent î tion: 8c comme chacun d’eux refufal’une: l’autre de prendre le Prince Vert Ë toûjours de l’accepter, cette terre cil:mang pour arbitre: c’eit un Prince ver- a demeurée indépendante , 8: exempte de
tueux et équitable , dirent-ils: il aura Ë tout droit feigneurial. Abientôt terminé ce différend. Ils partent î
enfemble , sa à peine furent-ils entrez adans fan Royaume, qu’ils virent des ËLaboureurs , qui fe cédoient les uns aux 2
autres certaine portion de terre, qui gpouvoit être litigieufe s des voyageurs , a
* quife cédoient par honneur le milieu du È
Je ne dirai rien du paragraphe troifié-me qui el’t furle Réglement des mœurs 5
ni du paragraphe quatriéme qui cil: furl’honnêteté 8c la modeiiic; parce neles exemples qu’ils contiennent , onttirez des Livres précédens , 6c que je lesai déja rapportez.
ses . anacarmsrasænmwnuaeaaemaa A
,SÉCONDE PARTIE.CHAPITRE PREMIER.
Maximes de: Auteurs Modèrner.
PARAGRAPHE I.- ’ Maximesfin I’Edumtion (1’014 jeuntflr.
’Empereur Chat) lié de la famille
des Han étant prêt de mourir ,donna cet avis au Prince fon fils qui de-voit lui fucceder au gouvernement del’Empire. S’il fe préfente une bonne ou
une mauvaife atlion à faire , ne dites-v Miniltre Lieu pré donnoit à [ès enfans:pas : c’efl peu de chofe. On doit faire ne pas avoir foin de fa propre réputa-cas des chofes les plus légercs. Il n’y a à tion , difoit-il, c’ef’t deshonorer fCS an-
.TDIIICII. ’ Ccccc
point de bien , quelque léger qu’il foi: ,
qu’il ne faille pratiquer: il n’y apointde mal, quelque petitkqu’il paroilI’e ,qu’on ne doive éviter.
Voici l’infiruélion que le premierronronneroit-r»
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376 DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA C’HIINÎE,terres, c’elË’t fe précipiter dans cinq î dent de lïEmpereuravoiturr neveu, quifortes de vices, contre lefquels, on nepeut airez fe précautionner. je vais vousles rapporter, afin de vous en infpirerl’horreur qu’ils méritent.
Le premier, ef’t de ces perfonnes quine s’occupent que du plaifI-r 6c de la.bonne chere ; qui n’ont envûe’ que leurs
commoditez ôt leur propre intérêts quis’étudient à étoufi’er dans leur cœur ce
fentiment de eo’mpafl’ion , que la nature
infpi’re ont log malheureux.Le Écond, ef’r de ceux qui n’ont au-
cun go’ûtpour la doétrine des anciensfanges; quine rougifl’ent point de honte8: de confufion , lorfqu’ils comparentleur éconduite avec les grands exemples ,ne nous ont laitièz les Héros des fié
biles pafI’ez. tLe troifiéme efi: de certaines gens qui
dédaignent ceux qui font au-defi’ousd’eux; qui n’aiment que les flatteurs;qui ne fe plaifent qu’aux bouffonneriessa aux enrretiens frivoles; uiregardentd’un œil jaloux les vertus En autres, a:qui n’apprennent leurs défauts que pourles publier; qui font confii’ter tout leurmérite dans le faite ô: la vanité. ’
Le quatriéme, el’t de ceux qui n’ai-
ment que les Comédies 8C les fel’tins, 8c
qui négligent leurs devoirs les plus im-portans.
Le cinquiéme, ef’t de quelques au-tres qui cherchent a s’élever aux char-
ges se aux dignitez , 8:: qui pour ypar-venir, ont recours aux plus indignesbafl’ell’es , 6c fefont les efclaves de qui-
conque a du crédit.N’oubliez jamais , mon cher enfant ,
ajoûte-t-il , ne les plus illuflztes famil-les ont été éta lies lentement par la pié-
té filiale , par la fidelité, par la tempés
rance 8c l’applicationde ceux quile gou-vernoient; et qu’elles ont été détruites
avec unerapidité étonnante par le luxe ,l’orgueil, l’ignorance 5 la àinéantife,
5:an prodigalité des enfans , qui ontdégénéré de la vertu de leurs ancêtres.
Far: du premier Minifire, et confia
à;
taocsoooaeoaaaoeseau-rasassetusecouaanacrouseécraserions-eauécrouas»aaooaoacaaaaaaacnsaoa
le preH’oit continuellement d’employer:
fou crédit pour fou élévation. Commeier’toilî encore jeuneôt fans expérience ,Fanv’che lui envoyal’infiruétion fuivante..
Si vous voulez mériter ma-proteétion ,’
mon cher’neVeu’ , commencez par mord
tre en pratique les confeils que je votre
donne. r ii°’. Difïinguez-vous par la piété- fif-
liale , et par une grande modeftie; foyerfournis à. vos parens, sa accu): qui ont"fut vous quelque auront si 85 que danstoute Votre conduite, iP ne vous éehapâpt: jamais aucun trait de fierté, ni de?güeil.
1°. Mettez-vous biendansl’efprit , tepour remplir de grandes Charges, il glu:y apporter une application extraordinai-re, 8c beaucoup de connoiflances. Ainfine perdez pas un moment de tems, deremplifi’ez-vous l’efprit des maximes que
noas ont laifI’ées les anciens fages.
3°. Ayez de bas fentimens de vousmême , reconnaifl’ez le mérite des autres,
et faites-vous un plaifir de rendre à char-cun l’honneur qui lui ef’t dû.
4°. Ayez foin de ne point difiraire vo-tre efptit des occupations férieufes , 5c: de
ne le as difhper par des amufemens peuféans a un fage.
5°. Soyez en garde contre l’amourdu vin 5 c’eit le poi on de la vertu : l’hom-
me du plus beau naturel, qui fe livre aune paflion fi balle , devient bien-tôtintraittable a; féroce.
6°. Soyez difcrct dans vos paroles :tout grand parleur fe fait méprifet , 8cs’attire fouvent de mites affaires.
7°. Rien de plus confolant que de fefaire des amis; mais pour les confervet,n’ayez point trop de fenfibilité; ô: ne
foyez point du nombre de ces gens, quele moindremot qui aura échappé , 6c qui.leur déplaît , tranfporte dorage et de co-1ere.
8°. On en Voir peu qui ne prêtentl’oreille aux difcours flatteurs , 8c qui ,1après avoir favouréides louanges gliLÎées
”!’E-T DE LÀ TART’ARÎIE CHINOISE.àpropos:,. n’en conçoivent une hauteidée dieux-mêmes: ne tombez jamaisdarin ce défaut; &loin. de vous: une:duppet par les feintes douceurs de ceux
ivons flattent , regardez les commedes féduc’keurs qui; vous trompent.
92°. C’cfi: le propre d’une populace
ignorante ,d’admirer ces hommes vains ,qui font parade d’un train fuperbc ,d’une longue fuite de domei’tiqucs, de
la magnificence des habits , 8c de toutce quelle luxe a inventé pour donnerune preemmence , qui cil rarement fou-tenuë du mérite : mais les lèges les re-gardent avecun œil de pitié; ils ne [ça-
vcnt ellimer que la vertu.x 0°. Vous me voyez au comble de la
prolpéticé. Sade la grandeur ; plaignez-
à
èQQfiàëè4*?9?
nflèçfièfiûâdifififi**fié4
377moi, mon neveu , à: nienviez pas monfort. Je me regarde canut un homme ,dont les pieds chancellent fur les bordsd’un précipice, ou qui marche fut une
glace fragile. Croyez-moi, ce ne fontas les grandes places , qui rendent
l’homme heureux , a: il n’efi pas ailéd’y conferver fa vertu. Suivez donc unconfeil , qui ei’t le fruit de ma longueexpérience: renfermez-vous dans Votremaifon , vivez y dans la retraite , étudiezla fageile , craignez de vous montrer troptôtrrau-dehors , 8c méritez les honneurs
en les fuyant : celui qui marche tropvite, cil: injet à broncher ou à tomber;La Providence ei’t la difpenfatrice desgrandeurs 8c des rieheires; il faut atten-dre fes martiens.
*****i**â*fi****ë*fi**ii****i***i****â**************i*âà**********
PARAGRAPHE Il.Maxime: fur les cinq Devoirs.
A ’A U T E U R entre dans le détail
des devoirs des domefiiques a descérémonies ordonnées, pour mettre le
premier bonnet aux jeunes gens; deshonneurs funèbres qu’on doit rendreaux, parens défunts; du deuil triennal;du foin qu’on doit avoir d’éviter les cé-
rémonies introduites parles fedtaires; du
devoir des Magifirats; de la précautionu’on doit apporter aux mariages; de
laineur illui doit être entre les fietes ,8: des rég es de l’amitié. Comme la plû-
part de ces réfléxions fe trouvent dans les
Livres précédons , je n’en rapporteraique quelques-unes,dont je n’ai point par-lé jufqu’ici.
Autrefois ç’eât été un [caudale , 8:
une faute puniflable , que de manger dela viande à: de boire du vin , loriqu’onportoit le deuil de fes parens décédez :
queles terris font changez l Maintenanton voit même des Mandarins dans unterris , comme celui-là, confacré àla dou-leur 8: àïla «mais , fe vifiter, 8: le réga-
ler les uns les autres: on ne fait pas diffi-
a.
oeneeeoepoeooeoeeeoooeeooeoeeoooooooooeeeao
culté de contracter des mariages :parmile peu le on invite les parens, les amis,les voiiinsàdes repas qui durent tout lejour , 8c ou louvent on s’enyvre. Omœurs l qu’êtcs-vous devenues?
Les Rits de l’Empire ordonnent qu’on
s’abitienne de vi nde 8c de vin tout leteins ue le deüildure: on n’excepte de
cette (loi que les malades, Beceux quiont atteintl’âge de cinquante ans , anf-
quels on permet de prendre des bouil-lons , 8c de manger de la viande falée îmais il leur cil abfolument défendu defe nourrir de viandes délicates, 8c d’ail,
[filer à des feflzins. A plus forte raifonleur interdit-on toutes fortes de plaifirs,ô: de divertiffemens : c’efl de quoije [ne
parle point, car il y a des loix établiesdans l’Empire , pour réprimer ceux qui le
rendroient coupables de cet excès.Ces hommes fuperiiitieux ni ajoü-
rent foi aux menionges de la (tête de Fa,croyent avoir iatisfait à un devoir effen-tiei à l’égard" de leurs parens défunts,
rvlorl’qu’ils ont chargé l’idole de préfens ,
s78se oifertdes vimdes àleurs Miniflres.Aentendre cesùmolleurs , ce font ces of-frandes, qui effacent les pochez des dé-funts,8c qui leur facilitentl’entrée dans leCiel. Écoutez l’infiruétion que le célébrc
Yen donnoit à fes enfans : Notre famille,leur difoit-il , a toûjours réfuté par defçavans écrits les artifices de cette itérez
prenez bien garde , mes enfans , dene jamais donner dans ces vaines 8cmonllrueufes inventions.
(fiand vous avez defl’ein de mariervotre fils ou votre fille,4ne cherchez dansl’époux ou dans l’époufe que le beau na-
turel ,la vettu,&: la fage éducation qu’ilsont reçue de leurs parens : préférez cesavantagesà tous les honneurs &à toutesles richefl’es. Un mari fage 8c vertueux ,fût-il pauvre , 85 d’une condition abjec-te, peut devenir un jour confidérable parfes dignitez, 8: par fes richelieu au con-traire il cil: vrai-feinblable qu’un marivi-cieux , quelque riche , 8c quelque noblequ’il foit, tombera. bien-tôt dans le mé-pris ôc dans l’indigence.
La randeur ou la ruine des famillesvientfëuvent des femmes: fi celle que
- vous époufezadegrandes richeifes , ellene manquera pas de vous méprifer , 8c
flfiâeûêifiüfièèàëë*fiâ4è*44è4
PARAGRA
èèâèëm*fièfië4fi4*4üôëèù&àèüüèë4*4*û*4ëfièèèèè*àê
DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA ÇHJNE,à[on orgueil-jettera le trouble dansvotre
maifon. Je veux que cette riche alliancevous éléveôe vous enrichîmes maisfivous
avez un peu de cœur, ne rougirez-vouspas d’être redevable à votre femme de ces
honneurs 8: de ces richeffes a’ Le Doéleur Hou avoit coutume de
dite : lorfque vous mariez votre fille,choifiifezvlui un mari dans une familleplus illufire que la vôtre: elle vivra toxi-jours dans l’obéiifance 8c le refpeé’t qu’el-
le luiadoit , 8c la paix regnera dans la fa-mille. De même lorfque vous matiez vo-tre fils, choififi’ez-lui une femme dansune famille plus obfcure que la vôtre:vous pouvez vous affûter parfila ne vo-tre fils feratranquille dans fa maillon, a:que fa femme ne s’écartera jamais durefpeét qu’elle lui doit.
Le Doâeur Ching avoit raifon de di-te, qu’afin que l’amitié [oit durable, ilfaut que les amis fe refpeétenr l’un l’au-
tre , 8c u’ils s’avertiil’ent mutuellement
de leurs défauts. Si vous ne choififl’ez
pour amis que, ceux qui vous flattent,8e qui vous divertiflènt par leurs bons
1* mots,par leurs plaifanteries, 8c par leura badinage , vous verrez bien-tôt la finË d’une amitié fi frivole.
neeeeaeeoeoeoaoeeoaoëeeeoo
PHE III.Maximes des Auteurs Modernes .fur le fait: avec lequel on
doit vaciller fur foi-mérite. ’
N ancien Proverbe dit que celuiqui veut le rendre vertueux , ref-
femble à un homme qui grimpe unemontagne fort efcarpée 5 8c que celui quife livre au vice, cil femblableà un hom-me qui defcend une pente fort roide.
Le Doéteur F minbar: fiuznfaifoit cet-te infiruélion à fes en ns &à fes freres .-
faut-il cenfurer le prochaine Les plus liu- vpides fontclairs-voians. S’agit-il de le cen-
furer foi-m âme? les plus clairs-vdiansde-viennentilzupides. Tournez contre vous-r’nême cette fubtilité àcritiquer le pro-r
î chain, a: ayez à l’on égard l’indulgence
se que vous avez pour vous.Le cœur de l’homme cil: femblable à
une terre excellente. La femence qu’ony jette, ce [ont les vertus ,la douceur ,la jufiice,la fidélité , la clémence , Sec.
Les Livres des Sages, 8: les exemplesdes hommes illufires font les ini’tmrnenspropres à cultiver cette terre. Les embar-ras du fléole Sales pallions [ourles méchan-
tes herbcs, les épines quiy craillent, lesa vers qui rongent,qui dévorent la femcn-Ë. ce. Le foin ,la vigilance,l’attention fur
foi-même,
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ET DE LA TARTARIE CHINOISE. 37foi-même , l’examen de la conduite, c’ell: ° gade de Nm yang fans délits 8c fans am-
la pelle qu’on prend à arroferôc àculti- bition , ne s’occupant qu’à cultiver lesver cette’terre. Enfin quand onalebon- terres , 8c à’acquérir la agelfe. Liron piheur d’ac uérir la perfeétion, c’cll: le tems Général des Troupes Impériales , fit tant
de la moiËon , c’ell: la récolte. ’ par les prieres , quÎill’engagea à prendre . AVoici comment s’explique leDoéteur le parti de la guerre. Il s’acquit dans l’at- î
Hou ’ven ring: Un homme qui afpire àla méc une li grande autorité ,«qu’aprês
fagelfe , doit faire peu de cas des délices avoir partagé les champs 8c les Provin«du fléole , Banc pas fe laillèr éblouir par ces, il divila tout l’Empire en trois par-le vain éclat des honneurs ordes richef- ries. Dans ce haut point de crédit , ô:fes. Les Princes enyvrez de leur gran- d’autorité où il le trouvoit, que de ri-dent, ne le difiinguent que par leur cheires ne pouvoit-il pasaccumuler!Ce-faite se leur orgueil: ils ont de grandes endant écoutez le difcours qu’il tintfalles l’uperbernent ornées , des tables fer- a l’héritier de l’Empire.]’ai , dit-il , dans
vies avec route la delicatelle ô: la magni- ma terre natale 800. mûriers pour nour-ficence imaginable , un grand nombre rirdes versa foye: j’ai r 500. arpens dede Seigneurs &dc Domeliiques qui les terre qu’on cultive avec foin , ainfi mes
, environnent, 85 leur font la cour. Cer- fils 8c mes petits-fils auront abondam-tainement fi j’étois à leur place, je me ment de uoi vivre. Cela leur fufiit, 8cgarderois bien de les imiter. je me gafderai bien d’accroître mes rie
Celui qui veut être véritablement là- cheires; je n’ai donc d’autre vûë quege , doit dételle: le luxe, &fans avilir de procurer le bien de l’Empire: 8c pour[on efprit, en l’occupant de ces bagatel- prouvera Votre Majel’té la vérité se lales , l’élever aux connoifl’ances les plus lince’rité de mes paroles, je vous pro-
fublimes : il doit le rappeller louvent mets qu’à ma mort on ne trouvera ni risl’exemple du célébre chîu ko Kung fixing, dans mes greniers , ni argent dans mesqui fleurifl’oit fous la [in de l’Empire des coffres. Et en effet la choie arriva com-Han. Il vivoit tranquille dans la Bour- me il l’avoir promis.
«unËânâenwmdæwwâunwwu’flw’ o’
CHAPITRE SECOND.
rififi-béa??? 4’ êfi’Qfi-fififi-fitëèè tâté-flint- èfiëëèùêèëè*firfi4)ëbm’ëë*àèèè
Exemples tirez. des filateurs Modernes.
PARAGRAPHE 1.l Exemples fier l’éducation de la [extrafin
N Lettré nommé Lia, né dans z uns les autres, 5c s’exciter à la vertu.la Ville de Lien rang, avoit fait * a". Ils devoient s’avertirde leurs défauts.
avec plulieurs de l’es Concitoyens une a 5°. Ils devoient fe réünir dans les Fêtesefpecede focieté pour travailler de con- 8c les lolemnitez , Sales palier enfemble.cet: à leur perfeé’tion : ils étoient con- 4°. Ils devoient s’affilier dans leurs be-
venus des loix fuivantes qui devoient foins, ’86 fc prêter un mutuel fecoursêtre inviolablement obfetvées.r°.Tous dans leurs peines 5c leurs afliié’tions.les membres de cette focicté devoient 5°. Si quelqu’un de la focieté faifoites’afi’embler l’auvent pour fe porter. les M quelqueaétion digne d’éloge, on l’écri-
Tome Il. ’ I D d d cl d
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à;
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lêèèèëfifiè-Ëëfifiv â
38° DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA CI-ÎINE,voit dans le Regil’tre pour en confera si des raifonnemens folides. Sa réputatiomver la mémoire. 6°. De même li quel-
u’un tomboit dans quelque faute con-fidérablc , elle étoit aullitôt écrite dans
le même Regifire. 7°. Enfin tout mem-sbre de la focieté qui avoit été avertijul’qu’à trois fois de l’es fautes, 5C qui y
retomboit , étoit pour toujours exclus dela focieté , 8e fou nom bilié du Regillre.
Le Mandarin Hou yuen le plaignoit[cuvent de ce que les jeunes gens, quis’appliquoieut aux fciences, se afpiroientà la Magiflsrature, ne s’attachoient qu’a
une vaine elo nonce, fans le mettre enpeine d’approfbndir la docîtrine des an-tiens fagcs,ôede le former fur leurs exem-ples. C’ell: pourquoi il n’expliquoit a les
Difciples ne ce qu’il y a de p us lmPOI-o
tant dans fes anciens Livres fur le regle-ment des mœurs , Be fur les vertus qu’on
doit acqucrir pour gouverner I dansles difcours, il ne cherchoit qu’à déve-
lopper le feus des anciens Livres , 5e
fifiüëëfiüé-Ç-àrüùâèfiàéfifi’ Qfiëë-Üfièfi’ëùèfl-èëbùàù
ail?
le répandit bientôt de toutes parka a:en très-peu de teins on compta plus demille Dil’ciples qui firent de grands pro-
grès fous un Maître fi habile. . aLorfqu’il étoit Mandarin des Let-
trez dans la ville de Han tcheou , il érigeadeux.Ecoles: dans l’une on ne recevoir:que ceux qui avoient un efprit éminent j8c on s’y appliquoit à, pénétrer bien
avant dans la doé’trine des anciens, ô:à approfondir ce qu’elle renferme deplus fublime. On admettoit dans l’autreceux qui fe dillzinguoient par leur pru-dence: on leur enfeignoit l’arithmétidque , les exercices de la guerre, les rie-sgles du gouvernement, ôte. Ce grandnombre de Difc’iples fe difperferent partoutl’Empire. Et comme ils le diliin-dguoient du commun par leur fagellè ,5leur model’tie , 8: l’intégrité de leurs
mœurs , feulementà les voir on jugeoitqu’ils étoientles Difciples du Mandarin
méprifanr les fleurs de l’éloquence, il 4a- Houyuen.n’avançoir rien qui ne fût appuyé fur fi
4P
Œ-Ë’iià’IlP-rdl-vÆ’HÜ-iiritii-ak-lê****&**ar***it****ü****i*******H*-Hüi*üi-fir*i*ki
PARAGRAPHE II.’ Exemples [in les ring Devoirs.
E jeune 51211740 n’avoir d’autre
foin que de e rendre habile, 86d’ac uérir la vertu: fou pere qui avoitpafl’é à de fccondes nôces, le prit telle-
ment en averlion qu’il le chalfii de lamaifon. Le jeune homme qui ne pou-voir le féparer de fou pere, pleuroitnuitôe jour , 8: y demeuroit toûjours.Le Pore en vint aux menaces 8c auxcoups a 8c le fils obligé de le retirer, febâtit une petite hutte auprès de la mai-fon paternelle, ê: alloit tous les matinsla nettoyer , à: balayer les l’alles, com-me il avoit accoutumé de faire aupara-vant. Le pere n’en fut que plus irrité;&dans la colore ou il étoit , il fit abat-tte la hutte, 8e éloigna tout-à-fait l’on
û-
4’
ÔëlQÜù-Ê’Ürè- fiëfifl-bQfi-fi-firbüfi
ililàà.
àÙ-
de
i!à
point: il chercha un lo ement dans levoifinagc, 8c matin a: fou il venoit fcpréfenterà l’on pere pour lui rendre l’es
devoirs. Une année le pana ainfi ,’fans
que les maniercs dures avec lefquelleson le recevoit , puflènt diminuer latendrelleae la piété. Enfin fou perc fitdes réflexions fur l’injullzice de la haine 5
8c après avoir comparé la dureté de fa
conduite avec le rendre amour que la;portoit for) fils, il le rendit aux l’enti-mens naturels , a: rappella fort fils suaprès de fa perleront. Dans la faire Sielmoperdit fes parens; agrès avoirfiitislàit au ’
deuil-triennal, fes eres eadetsluiprobpoferent de partager l’héritage, il ycon-*
fentit: mais utile finie conduite?fils dexfa préfenoe. .51: pas ne le rebuta Voilà, leur dit-il, un nombre de don ’
,iET DE LA TARTARÆIE CHINOISE.mef’tiqucs qui font.dans un âge décré-
pit, t8: hors d’état de fetv’it ; je les cour
noisdepuis long-tems , &ils font faits àmes mameres a pourvou’s, vous auriezde la peine à les gouverner; ainfi ils de-meureront avec moi. Voilà des mariionsà. demiruinées , à: des terresillériles; je
les cultive depuis ma plus tendre jeu-nellè , ainfi je me les réferve. Il ne relie
plus à partager que les meubles, jeprens pour moi ces vaiès à demi bri-lez, de ces anciens meubles ui tom-bent en morçeaux, je m’en uis toû-
jours fervi,v& ils entreront dans monlouchit ainfi que quoiqu’il fût l’aîné
de la famille, il prit pour fou partagecourse qui étoit de rebut dans la maifonpaternelle. Bien plus, fes freres ayantbientôt dulipé tous leurs biens , il par-tagea encore avec eux ce qui lui ref-tort.
Humju, , qui s’elt tendu fi célébre
dans ,l’Empire, rapporte que c’ePt aux[ages confeils de fa mere , qu’il cil rede-
vable de toute la fplendeur de fa mai-fon. Un jour , dit-il , elle me prit en panticulier , a: me parla ainfi : étant alléVoir unde mes parens premier Minif-tre, après les çivilitez ordinaires, vousavez un fils,.me dit-il, s’il parvient jas-mais à quelque dignité , 8c que vousentendieî- dire qu’il cit dans le befoin,à: qu’à peine ra-t-il dequoi lubrifier, ri-
rez-en junibon augureipour la fuite defa vie. Siaucontraire on vousdit qu’ilades richeilès immenfes, que (on écuriecit remplier des plus beau-æ chevaux;qu’il dt magnifique dans [es habits .5regardez ce luxe 8; ces richeiIes, com-me le préfage certain de fa ruine pro-chaine. Je n’ai jamais oublié , ajoura-t-elle, une réfléxion fi fenfËe. Careom-
ment le peut-il faire, que des perfonnesconfinées en. dignitez , envoyent tousles ans àleurs parens des famines confisdérables à: de riches préfense Sic’eft u
un citer de leur épargne, 5c le fuperflu
fi
fibà?è*ëë4fifi4ëëëfifièfihùà*èë*ëëè*ëfiè?èfiù*ëë4fififiïîâfifibfiëùfifièfiëèfi**è*4è4*fiëfifi*èfiu*
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àë
38!injufizices, quelle différence y a-t-il, en-tre ces Mandarins Sales voleurs ublics?Et s’ils font airez habiles pour e déro-.ber àla févérite’ des loix , comment peu-
vent-ils le foui-hit eux-mêmes, âme pas
rougir de confufion î ’Du tenus que regnoit la Dynallzie des.
Han , une jeune fille nommée Clin ,épaula à l’âge de ieize ans un homme,
quiauflitôt après ion mariage fut obli--ge de partir pour la guerre. Comme il-étoir fur [on départ, Je ne [gai , dit-il àla femme,fi je reviendrai de cette expéë.dition: jelaifie une mere fort âgée , 8: jen’ai point de âcres qui puiflent prendrefoin d’elle: puis-je compter fur vous,fi je venois à mourir; 86 youdriez-vousbien vous charger de ce foin? La jeuneDame y confenrit de toutfon cœur, ô:[on mari partit fans inquiétude. On ap-prit peu de tems après fa mort : la jeuneveuve tint la arole , a; prit un foinparticulier de il; belle more :v elle filoittout le jour , a: faifoit des étoiles , pouravoit de quoi fournir à fa filbfillance;Enfin , après les trois années de deüil ,les parens prirentle defi’ein de lui don-ner un nouveau mari: mais elle rejettabien loin cette propofition , alléguantlarpromefle qu’elle avoit faiteà [on ma:r1", &aiÏuranr qu’elle fe donneroit plût
tôt la mort , que de confinant à de (ce.coudes nôces. Une réponfe il précife,ferma la bouche ales parens; 8: deve-nuë par-là maurelle de fan fort, elleprima 2.8. ans auprès de (a belle mere , 86lui procura tous les fecours qu’elle au-roit pû attendre du meilleur fils; cettebelle-mere étant morte âgée de lus de
80. ans , elle vendit les terres , il; mai-fons , &tout ce qu’elle polledoir , pourlui faire des obfeques magnifiques, à;lui procurer une honorable (épulture.Une aâion fi généreufe frappa telle-ment l’efprit du Gouverneur des Villesde H041 ngan à: de Yang minou , qu’il en
fit le récit à [Empereur dans une R?deleurs appointemens , je n’ai garde de Ë quête qu’il lui préfema à ce fuiter: a: fales blâmer : mais fi c’el’c le fruit de leurs 2’ Majelté pour récompenlèr la piété de
382cette généteufe Dame, lui fit donner424.0. onces d’argent, &l’exempta pen-
dant fa vie de touttribut.Du tems queregnoit la Dynal’tie des
Tang , le premier Minii’tre de l’Empire
nommé 181p? avoit une futur qui étoitdangereufement malade : comme il luifaifoit chauffer un bouillon, le feu prità fa barbe: fa [ceur touchée de cet ac-cident: hé: mon frere, lui dit-elle , nousavons un fi grand nombre de domefti-ques , pourquoi vous donner vous-mê-me cettc peine? Je lefçai bien, répon-dit-il , mais nous lemmes vieuxl’un 8cl’autre, 8c il ne fe préfentera peut-être
plus d’occafion de vous rendre mes pe-tits fervices.
Pan bina fi étant Gouverneur de laville de Kingfao , qlui s’appelle mainte-
nant Si agar, un omme de la lie dupeuple vint le trouvert J’ai eu autrefoisun ami, lui dit-il, qui in’envoya centonces d’argent s il cit mort, a: j’ai voulu
rendre cette fommeà [on fils, mais ilneveut pas abfolument la recevoir: faites-le venir, je vous prie, 8: ordonnez-luiqu’il prenne ce qui lui appartient: enmême terris il dépofe l’argent entre les
mains du Gouverneur. Celui-ci fait ve-nir l’homme en queition, qui prorelle. ne fon pere n’a jamais envoyé aper-Ëmne cent onces d’argent. Le Manda-rin ne pouvant éclaircir la vérité, vou-loit rendreAlÏargent tantôt àl’un , tantôt
à l’autre , 8: aucun d’eux ne vouloit le
recevoir , diiànt qu’il ne lui appartenoitpas. Sur quoi le Doéteur Liuyangs’é-crie: u’on dife maintenant, qu’on dil’equ’iln y a.plus de gensde probité: qu’on
dife qu’il n’ell: pas .poflible d’imiter les
Empereurs Yaa et Clam. Si quelqu’unavançoit ce paradoxe , je ne veux quecet exemple pour le confondre.
Sou quang , qui avoit été Précepreut
du Prince héritier , préfet-ira une Re-quête à l’Empereur Siam ri, ou aprèsavoit expofé qu’il étoit d’un âge fort
avancé, il lui demandoit la permiflîonde le retirer dans la mail’on: l’Empeteur
64fi4è*fiü4*fi-Ô4Ëëë-Ëfl-fi-Ùb-Ërfi-Êëûèëfirififi-Ê-fièfirÈrÈQ-fiëëfiflflirtëëë-Ëvfifiè-Ù’fiéfi-èù-fiflëêàâàêâèëfifi**4*êè44’?44449èè
DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA CHFINE ,le lui accorda, ô: lui fit préfent d’unegrofl’e femme d’argent: le Prince héri-
tier lui fit auili un préfent confidérable.
Ce bon vieillard le trouvant dans fa pa-trie, ordonna que la table fût toûjoutrsbien fervie, afin de pouvoit régaler (etproches a: les anciens amis. Il deman-doitde teins en tems à l’on Intendant,combien il lui relisoit encore d’argent ,«Se illui ordonnoit d’acheter ce qu’ilttou-
veroit de meilleur.-Cette dépenfe allarma l’es enfansr: ils
allerent trouver les amis de l’on pere ,pour, les engager à lui faire fur cela desreptefentations. Nous efpe’rions , leurdirent-ils , ue notre pere comblé d’hon-neurs &decluiens ne penferoit qu’à éta-
blirfolidement la famille, 8: à nous latif-fer un riche héritage. Cependant vousvoyea quelle dépenle il fait en fel’tins sa
en rejoüiilances t n’employeroit-il pas
bien mieux fou argent à acheter desterres 8: des maifons? Ces amis promi-rent de parler au vieillard: a: en effetayant trouvé un moment favorable, ilslui infinuerent le fujet de plainte qu’ildonnoit àfes enfans.
]’admire mes enfans, leur répondit-
il ; ils penfent, je crois ,que je radotte 58: que j’ai perdu le fouvenir de ce que.je ois à ma poltérité. Œils (cachentgue je leur lainerai en terres 8’: en mai-ons ce qui fufiit 8: au-delà pour leur
entretient, s’ils [cavent les faire valoir;mais qu’ils ne le perfuadent pas qu’en
augmentant leurs biens,je contribue àfomenter leur pareille. J’ai toujours en-
tendu dite que de donner de grandesrichefl’es à un homme fage , c’eit éner«
ver 8c afïoiblir la vertu 5’66 que d’en don-
ner à un infenfé, c’eût augmenter fes
vices. En un mot cet argent que je dé:peule, l’Empereur me l’a donné pourfoulage: 8c récréer ma vieilleflè; n’el’eil
pas julte que j’en profite, [clou l’es in-
tentions; ôc que pour paire: plus gaye4ment le peu de teins qui me telle àvivre , je m’en diversifie avec mes parens
ô: mes amis 3 ,Tan;
V
ETÎDÉ.LA "tiraillais CHINOISE. ’ ;-’ Taing trou avoit deux fillesl’ort jeu-nes ,
l’une de 19. ans sa: l’autre de (6. tou-rtes deux d’une rare beauté ,3: d’une
Vertu encore plus grande , quoi qu’ellesn’eull’cnt eu d’autre éducation que celle
qu’on donne communément à la cama
ne. Dansle tems qu’une troupe debilâmds infelioit ’ l’Empire,’ ils firent
une irruption foudaine dansle villagede ces jeunes filles: elles’fe cacherentdans des trous de montagnes ,* pour lederche: à; leurs infultes sa à leurs cruauùrez. Les brigands les eurent bientôt dé-terrées.,*& les emmenercnt avec euxcomme des’viélimes deltinéesa affouvit
leur brutale pallion. A tés avoir mataclié quelque teins , ils il: trauiierent l’urles bords d’un précipice: alors l’aînée de
ces deux filles s’adrefi’antàfa l’œur :il vaut
beaucoupr’nieux , dit-elle , perdre la vieque la pudicité, se à l’initant elle le jer-
ta dans l’abîme: la cadette imita anili-tôt l’on exemple; mais elle ne mourutpas’de cette chûte comme l’a l’œur: elle
en fut quitte pour avoir les jambes calLféesJLes brigands efl’rayés à ce l’peé’taclc
continuerent leur route, fans examinerce qu’elles étoient devenues. Le Gouver-neur de la ville voifine,’inl’truifit l’Em-
peton: de Ce qui ’vcnoit d’arriver: 85 SaMajelté, pour éterniferla mémoire d’u-
ne belle aâion , lit un éloge magnifieque de; la vertu de Ces jeunes filles, 8ceàempta à perpétuiré’de tout tribut leur
famille a: leur village.
èfi-Æfi-ëfi-fitèbfitfi-fivi-fi-fi-ëbififit-Æbëfi-èè-Ù fl- fi"ù-Qfirèèfiè-àèêfiôëfirfiü-éi’fi-fi-flfièèè-èè-bèçfi
. ne»à ’ Leaoyung étoit fort jeune quand ilperdit l’es parens: ilavoit quarre fieresv,avec ui il étoit très-uni r ils vivoientenfem le dans lamême mail’on, 8c leursbiens étoient communs. Il arriva que cesquatre freres le marierent :leurs femmes ’trOublerent bientôt la concorde: elles nepouvoient l’e l’upporter l’une l’autre, c’éa
toit a. tout moment des difputes a: desuerelles. Enfin elles demanderent qu’on
fit le partage des biens, et qu’on le fée
parât d’habitation. ’ jI Leaayang’fut fenfiblement affligé de
cette demande; 8: pour mieux faire corr-noître jul’qu’à quel point lori cœur étoit,
touché: il alfemble l’es freres 8: leursfemmesdans lori appartement; il fermela porte: il prend un bâton, êts’en frap-’
peut rudement la tête : ah l”malheureuxLena Jung, s’écriaLt-il, que ce fert-il de;
veillercontinuellement fur toutes tes ac?tions , de t’appliqueràl’étude de la vera
tu, de méditer fans celle la doctrine desanciens lèges: Tu te flattes de réformerun jour par ton exemple les mœurs del’Empite , 8c tu n’es pas encore venu a,bout de mettre let-paix dans ra mail’on?
’ Ce fpe’étacle frappa vivement l’es-
fieres, 8: leurs femmes z ils l’e jetterent’ I
tous à les pieds; 8c fondant en larmes ils.lui pramirent’de changer de conduite.En efi’c’t on n’entendit plus de bruit com-i
me auparavant: la bonne intelligence le.rétablit dans la mail’on, 8c on y vit re.
4, guet une parfaite union des cœurs.
ŒWHHM immanent-brutssasssüsmsauswsuarmssfiaru.PARAG’RAPHE III.
Exemple: fur le flair: avec lequel au doit rveiller fadai-même.
’Uelqu’un demandoit un jour au. g I8: li vif , qu’il fail’oit mille ll:aç;lescnfiunL
Mandarin Ti ou [un , li depuis a jour: quoique j’aye reful’é c’eprél’ent.u’il travailloit à acquérir la vertu, il î d’un homme qui pouvoitav’oir des vûës
étoit Venu à bout de le dépoüiller de * intéreilées,cependant dès qu’il s’agit de
toute attache &detoute aEeétion parti- a prépofer quelqu’un pour remplir uneculiere,]erm’appetçois que je n’en fuis g dignité vacante, l’on nom me vienrtoû-pas encore u, répondit-il, a: voicià a jours àl’el’prit. D’ailleurs, que mon fils
quoi je le reconnais. Une performe a ait quelque légere incommodité, quoiem’offrir ily a du teins un cheval li léger 2’ que je fçache bien que la vie n’eit nulle-
Tarn: Il. Eeeee,
384mentendanger, je nelaifl’e pas de paf-,lierptoute la nuit fans dormir , &dans jene fçai quelle agitation qui me fait bienconnaître que mon cœur n’el’t pas en-
core dépris de toute afi’eétion peu re-lée.
Le Mandarin Lieu qui»; étoit devenuli maître de lui - même ,que les événe-
mens les plus extraordinaires 8c les plusimprévûsm’étoienrpas capables de trou-
bler tant fait peu la paix, 8c la tranquil-litéde fan ame. Sa femme entreprit unjourdele mettre en colere; 8c pour ytéullir , elle donna des ordres à fa lès-van:te , qui furent ponetuellement éxécutez.Un jour que le Mandarin le préparoitaaller à la Cour, 8c qu’il avoit pris fes plus
magnifiques habits , la fervante renverfala marmite ales pieds, en forte que leshabits du Mandarin étant tout gâtez, ilfut hors d’état de paraître ce jour-là de-
vant le Roi. Le Mandarin ne changea pasmême de vifage sil le contenta de direà
r la fervante avec fa tranquillité ordinaire:Bill-ce ne vous vous êtes brûlée la main?
Puisil e retira dans fou appartement.Le Mandarin Yang chin avoit fait de
grands éloges d’un Lettré nommé Vang
mie’, ô: ce témoignage porta l’Empereur
à confier au Lettré le Gouvernementdela Ville de Chang. Un jour qu’Yang chia
’ paifoit par cette Ville , le Gouverneur quilui devoit l’a fortune , vint aulli-tôt luirendre les devoirs, à: lui olfrit en mêmeterris I 60. onces d’argent. Yang chia jetvtant fur lui un regard févere : Je vous aiconnu autrefois , lui dit-il 5 je vous ai prispour un homme fage , ô: je vous ai re-commandé al’Empereur : comment lepeur-il faire que vous ne me connoilliezpas a Croïez-moi , reprit le Gouverneur ,recevez cette legere marque de recon-noiifance ; il el’t nuit clofe , performe n’en
fgaura jamais rien. Comment , repritle Mandarin P Perfonnen’en l’çaura rien?
Bit-ce que le Tien ne le fgaura pas 2ER-ce neles El’prits ne le l’çauront pas? Ne
le gantai-je pasmoiPNele fçaurez-vouspas vous-même? Comment dites-vous
DESCRIPTION DE L’EMPIRE DE LA CHINE,g donc que performe ne le fçaura? Ces paru tales couvrirentde honteleJGouverneur,Ï &ilfe retira tout confus. ,
Tristanan eut jufqu’i trois foisCharge de Généraldes Troupes del’Ema
. pire. Dans cette élévation ilnefe picquajamais d’avoir de beaux chevaux , ni de»
porter fur lui des parfums s quand datoituelques martiens de plaifir,il l’emploioit
àla leôtuipc : il ne ffaillait nul cas de cesvains é a es ui r’ aurions: uel ue-fait, 8’221 fegdo’rlnoit a; de ga’ide ’en
informer l’Em eteur.11 avoit embarrent
les Seékaires, ur-tout ceux ni fuiverst.les Stèles de Poète de Tao : i étoit rigi-de , lorf neles Subaltcmes tomboientenquelqué’fiiute si &libéral , lorf u’il falloit
fecourir les pauvres ôtles orp clins. Sesgreniers étaient toûjours pleins de ris,afin de pouvoir foulager le peuple dansun tems de famine :il entretenoit avecfoin les hôtelleries publiques : il étoit ma-gnifique dans les fel’tins qu’il donnoit.Enfin dès qu’il apprenoit qu’il fe trouvoit
dans l’on reilbrt quelques filles d’honnê-
tefamille , mais pauvres , ou dellituéesde parens , il le Chargeoit de les pour-voir : il leur trouvoit des maris de mêmecondition . 8c il leurfourniifoit libérale-ment les habits de noces.
Dansles vifitesque le Doéteur Lieu; ,rendoità fes amis , il palfoit quelquefoisplus d’une heure à les entretenir, fanscourber tant fait peu le corps , :6; ayantla poitrine &les épaules commeimmobi-les a on ne lui voyoit pas même remuer lesmains ni les pieds : il étoit comme une listatue parlante , tamil étoit modelte.
Li ncntting fe falloit bâtir une mail’on
proche la porte du Palais Impérial : quel-qu’un de les amis l’ayant averti que leveltibule n’en étoit pas allez valle,& qu’à
peine un Cavalier outroit-i1 s’y tournercommodément; lui répondit en forâ-riant : Cette maifon appartiendra un jan:à mes enfans s le veltibule eI’t allez val’te
4’ pour les cérémorueslqui fc pratiqueront
a a ma pompe funr’bre, ’
g: .
a? àôfiêèèfiêèmfi-fibitfi’ëfirfiÔàfië*-Ü*ùfi-ùfiê**fiabfiéfifiê*fifièûfièàèè*àrififi-réfièëëèfi-ë-Û-êèûClPfi-èfièèèfiâfi-
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Notes du mont Royal
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15King: de la Grammaire Chinoife, un
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CT A B LDES MATIÈRES:
CONTENUES DANSCEeVÔLUMEComme au Ouvrage ejl à deux calamars, ce. qui fi trouve à la féconde
calamna çfi marqua par col. a. ce qui a rapport aux addiliæas w
efldtfiingua’ par *. 65 aux notes par n. l a ,
V lB C des Chinois , Ce que l’en appelle
ainfi, 251. [a]. 1. à l’a a 2.52Abandam’t, à quoi attribuer ce e qui
te ne à la Chine, Ifuir].
jiddzlmle ou Saaiété de Sçavans , Projet ouRéglemens pour en établir une , 2.79. àfuiwzntei’. Ce Ëu’on le ropofe dans le dei-
fein de l’étain emeur ’une, 179. Qualiteznéceilàires pour y être admis , 279. cal. 2.à p. 280. fin ral. a. Examen ri oureuxqu’il faut faire de ceux qui deman eut d’y
être admis , 280. ral. a. à p. 281. Cam;ment on doit en retrancher les membres gâ-tez, 181. Quelle doit être la confiruéiionde l’édifice des Aiïemblées , 281. é- tal. a. V
Jours de les Ailemblées s Réglemens furle rang des Affiflans , 281. Matieres qu’ony doit traitter , 28a. à» ral. a. qu’il faut yremarquer avec foin , 8: y communiqueravec fidélité les diflè’rentes vûes , 282.. ral.
and» 17.283.1es diverfeswregles demœurs edoivent fuivre ceux qui y font admis ,1 3.à [01.2. comment doivent être indiquéesles matieres qu’on devra traitter â’la pro-
chaine aiTemble’e, 28;. (01.3..Àdaplian. Il cil permis aux Chinois fans en-
fans d’adopter ceux de leurs freres , de leurs
,parens , ou des étrangers , ne’Admtlme, voyez Arlaufier.Adverbe; , ceux de la Langue Chinoife , a; 6Afin": criminelles Palient à plufieurs Tribu-
naux , avant que d’être décidées définir-k
vement , r l.Cdgmfa: de ceintures différentes , felon les dif-
férens emplois ,v v ’ 19Agriculture ré ardée comme la profeflîon la
plus utile à ’Etar , 64. en grande vénéra-
tion chez les Chinois , . A .68Alphabet Chinois compoféId’un nombre de
caraéieres prefque infini , 149. ral. a.Alun , [on efièt à l’égard du papier, 239. ral.
a.47mn oncle 8: tuteur de l’Emp’ereur Çhun
relit ,Provinces qu’il [carnet à ce Prince ,4..
Ambajadmr: des PuiiTances étrangetés dé-frayez aux dépens de l’Empereur , 17. ceuxqui le rendent à la Chine , doivent fe faireinfimité des cérémonies Chinoifes , 98.
ral. a.Amis, leurs devoirs entre eux, 370. à ral.
a.Amm’fiie: , fujets pour lefquels on les publie ,
6. l"Ancêtres défimts , devoirs 8c honneurs qu’on
leur rend dans chaque famille; tems de cescérémonies , 129. ral. a. ôfii’v.
Annule: de la Chine ’, leur antiquité, 285Amie; , ce dont ils fe fervent pour écrire au
lieu de plumes , l 249Arlaufiar, nommé Admabm , quel efi cet
arbre , 24;mare fingulier , qui tient du geniévre à: ducyprès , fa deicription , 150. cal. a.
mafieux; qui porte le coton , fa defcription ,
A r47. ral. a.Argent (1’) n’ait point-monnayé 5 ce (1111;?
s F
T A. B L. E D E Sfait la valeur, 163. ellrcou é en morceauxgros ou petits ,ilelon leyb oin , u’on peléavec de petites balances très-j s , :163.ral. a. n’efl’pas tout du même titre , 164.
Magenta, voyez àDarer. j .Arma: Ch. elfes , 44. Il eli permis aux lèulsgens de guerre d’en porter , i 5 r
Arrêt: (les) n’ont oint de force qu’ils nefoient ratifiez par ’Empereur; ceux émanezimmédiatement de l’Empereur (ont irrévo-
cables , l 136Mn de la guerre , contenu de ce Livre» , 4.31.
l du filin. ;L4rtillaria Chinoife; peu en ufage g ce qui a
donné lieu à en faire fondre , 47. Par qui fii-rent fondues les premiers pièces , 4.7. ral. a.
à fiaiv.drtifknr, leur adreliè; leur indufirie; vont
travailler chez les particuliers , loriqu’on
en a befoin , ’ l 71.Edflmùanie voyez Mathémaai un ,Mm: de Porcelaine , où e trouve peut:
un Crucifix entre la laitue Vierge a: faint
Jean , p I - 1.01airbag: font fréquentes fur les routes; mal-’ propres -,4 comment on y cil: fervi; com-
ment bâties , y z. ral. z.éAutamna. Il y aun jour fixé dans cette fanionpour exécuter à mort mus les criminels ,
. .- . . . » f 3 7Maturité fouveraine , comparaifon qu’on en
fait , 4.07. la]. a.Maur- , maniera de le connoître 8: de le prépa-
rer; lieux ou ille trouVe, 186. r37.
B.
B non ELIERS , leur nombré, la, Voyez larmier,Balance portative 5 ion Mage; la defcription,
l H z r 163.5014.Ïdmlau , delcription de cet Arbre, a 3 9. cal.2.’Ce ui ,en entre ans. lacompofition dupapier e la Chine , 239. à» ral. 1.. 14.!.ral. a. Choix qu’on fait de les jets , 141.ral. a. Comment on les prépare , 2.4.1. 1121.2,du p. 2.42.. Son tronc très-ailé à fendre de A
A haut en bas, 42":. ral. r.’Eunmflrment louvent rpetuel , toujours pre-
cedé de la Ballona e , I a gune"; leur maniera d’exercer leur prof-ef-I. fion, ’ 7t.tal. rué-107.173.Barque: entretenues aux frais de l’Empereur;V leur deliination, 1;. 158. font de trois ordres
différons; leur defcription 89. 158. ral. z.Ëelcription de celles c0 ’te’s en forme
deGaleres, , l , v l r58AEaflanada pour quelles fautes; ce châtimentl cil ordinaire;.cc qui en détermine le nom-
bre de coups , in. Quand ce châtiment n’a
Tame 11.
IMAvTîEREIS. y G95”rien d’infarnant , 13.1., ral. z. Poflure decelui qui y cit condamnéjnperfonnes quipeuvent la faire donner à aux qui dépuri-
i dentd’elles, ’ . , 13328è": fauves de toutes les efpe’ces’âl’a Chine,
excepté les Lions; . . j r 53:Ziienféanaa: oblarve’és dans les Villages a de
même’ dans les Villes g 1 ozBiens Chinoile, vo a Vin. , , V .filez! croit dans pre que toutes les Provinces
de la Chine, cependant d’ulage; on enfait des petits pains cuits au ’ marie , 8:une elpece de galette », A ,1 i8. cal. a.
Bleu, commenta s’a plique fur la Porcelaine;précautions des (âniers en le loufilant,
. a . . : A 1.33Banner, quel peut être leur nombre, in A&esd’hofpitalité qu’ils exercent , sa. fait mépriù
s a , - . - i .Evnæçfi , ur uoi condamnée à porter 9125:l cagues a qu prix délivrée dece lupplice a.
. L I A , . .134.ral.a.flambart , leur embarras , loriqu’ils portent dela khan de chien dans quelque lieu , ouquand ilslfont chargez de chiens pour les
j tuer, l. , s , , L3 .cal.1’.Æan’uzt ( le Pere) Réception qu’on lui fait
à Ndflitdmngfifl l’on voyage-en Euà. tope par ordre de l’Etnpereur r 08. (a fuira
Defcription qu’il fait d’un grand repas à64men auquel il avoit été invité, r 1 j. tu].
p 0 . A a 1., fiait);Brune: , moyens dont les Princes doivent le
fervir ont le les attacher, 619Euglia ( e Pere de) magnificence de les fume"-
railles; [on tombeau honoré d’une Epitaphe
par ordre de l’Empereur , r a 8
i ab AVR ES. Coutume de us gardel’à la Chine pendant plufieurs années
ar refpeât 8c par tendrell’e, i225. 0n;néFort point de la porte ordinaire de la prifonles Cadavres de ceux qui meurent , 4 l 3 2.
calmais; annuel , par or ’e de qu1’82parqui compofé; ce qu’on y inlere principale;
ment , A, a gCampagne: , leur terrain cil: li ménagé à laChine pour la culture du ris, qu’on y voit
fort peu d’arbres , - r44.C’mml’ Royal , teins de la conflituŒon; [on
étendue, I56. Pourquoi bâti; lieux u’iltraverfe; E1 profondeur, I 56. cal. z. ré;
p cautions priles contre les inondations , 157Gandhi: lainages g maniere de las prendre g
5 138401. 1.. èvfui’u.Canard: de Tarin?! de Porcelaine qui flottent
fur l’eau , p zooCanaux , comment on les HEttOYE , 67. 91 - fifi:Ô o o o o o o o
69 6Leur multitude, 91. la]. 2.. 155. à juin.couverts de même que les Rivieres d’uneinfinité de barques , 91. ml. z. 155. :58.chargez de Ponts d’elÎPace en efpace , 9 1.
i cal. 1. 15j. éfili’v.CANG HI , quand proclamé EmPereur ;
hommages qu’il reçoit , 5. Son gouverne-ment ; réunit en un feul état la Chinea: les deux Tartaries; retraire les TartaresOccidentaux, ç. [a]. z. Après avoir établila paix dans les Etats , ilrappelle fes troupes,emploi qu’il en fait , 6. remplit les Tribu-naux moitié de Chinois , moitié de Tarta-
I res ; oblige ces derniers de s’appli uer debonne heure à l’étude , 6. Ml. 2. 61e deIéveriré qu’il exerce contre un de fes fils 8:
quelques-uns de les Officiers , t 1. Ml. z.Son cortege en vifitant les Provinces Me-ridionales , 21. 8; quand il alloit folem-.nellement facrifier , 1 1. â fin). Receçtionqu’on lui fit à N471 king , 4.1, à San Minou,4.1. tu]. z. Ordre qu’il donne au Pere.Ver-bieii , 48. Elïais qu’il fait de Camus nou-vellement fondus s [ujet du fefiin qu’il donneà les Généraux ; marques d’eflime qu’il fait
mitre pour le l’ere Verbiel’t , 4S. al. 2.e fait Préfident du Tribunal des Mathéma-
tiques , 62. Sa bonté envers un Mandarinâgé de Cent ans , 175. Ce qui le porte àexaminer lui-même les premiers Doôteurs 5Jugement qu’il rendit; en quoi il s’applau-dit dans cet examen cxrraordinaire , 2.581à» ml. 2. défend la vente des livres con-traires aux bonnes mœurs , 266. cal. z. cequ’il dit fur l’Ordonnance publiée parl’Empereur Van ri , 395. de l’ordre queT5640 ri avoitdonné,4.01.delarerredonnéepar ce Prince à T411 orang, 4.01. de l’Empe-reur Sam ri, 401. 4.03. Ses réflexions furles Ordonnances 8: le Regne de King ri ,396. 397. fur celles de Van fi, 400. [01.1.Son Jugement fur la lettre de Yvan ri , auRoi de Tangping , 404. fut l’Ordonnancede Trbnng ri , 4.0 5. fur celle de Ngai ti ,4.05. (a). z. Ses remarques fur le difcoursde Km [han à l’Empereur Ver; ri 5 fur lebon 8e le mauvais Gouvernement , 4.11.ral. 2. fur-les longs difcours de Km y ,4.2.6. à: 4.1.8. fur la lettre de Mai ttfiing auRaide 04 , 43 o. Eloge qu’il fait du difcoursde Quang 12mg à Yum ri , 4.47. ral. z. 8:des deux remontrances de 0144715 kit, con-
! tre le favori de Tnng bien , 463Gang 1M , ce que c’eflc; comment exécuté, 16.
ml. 1..C47: ne , efpece de Carcan; infamie de ce fup-
P’ce, 133Mo]. z. Sa durée, r34.0mm: fondus par ordre de l’Empereur , 47.
Épreuves qu’on en fait , . 4.8Cno Tso NG , Villon de cet Empereur ,. fun efiime pour Ion Calao Fou né , 7.96.
TABLE DES MATIÈRES.tu]. z. Son entretien avec Ce Colza, 30 y.
’ fait).au yang tçieau , ou Vin d’agneau que e cit
cette liqueur , 1 1 9C40 J140 , ion éloge , [on dialogue avec «l’Em-
reur Yu, 199. é- fait).Capitaine Anglais , friponnerie que lui fait un
Marchand Chinois , 77(Muffins Chinois , un même cataracte aPlufieurs lignifications , 22. 5. 116. font lesmêmes que ceux de la Culfimbinqdu Toflgking 8: du 342m , 227. Ceux qui expri-moient la Lune sa le Soleil , 2:7. ral. 2.Leur difference des nôtres , 2.50. ral. z.Leur Primitive infiitution , 22.7. :88. Cedont on le fervoiten leur place a’vant En bi a
leur inventeur , 1 9 3Cm au: ou Infiæflam aniu, leur Oflîce; 4e font redouter des Princes a: des GrandsSeigneurs de l’Empire , 26
Cari-nil: , ceux des perfonnes ailées; comment
les cadavres y font placez , r z yCérémonies , celle de l’inauguration de l’Em-
. pareur Gang bi , 5. pratiquées dans les cala-mite: ubliques pour obtenir de la pluyeou du eau tems , 31.. Celle du labourage,7o. â ral. 1. à» 71. 75. Celle de fermerles Sceaux , 95. Une remarquable entreles autres , 97. Celle obierve’e le jourque l’Empereur déclare une de les femmesImperatrice , 100. 101. Celles prati uéespar l’Empereur à la mort de fes Mini res ,
4.09. ral. 2.Glu sa La du; , efpece de gaze 8c de crêpe ,
l I O0174721572: de la Chine , ce qu’el’i un des côtez;
comment leurs murailles font confervéesblanches; leur platfond , 2.4.1. [a]. z.
Cbnmmflx extraordinaires; leur defcription ,. ’1 53. (al. z.
Chang ( le Roi de ) les (quefiions à confina:fur le Gouvernement e les Peuples , 6 38.Réponfes qu’il en reçoit, 6 39
0174115 tien, lignification de ces mots , 4. 38.
I [0 . l-clmo dam tthz’ , difcours qu’il préfente à l’Em-
pereur; ce qu’il dit dans l’exorde , 599Cru. o 1. 1 a , Empereur de la famille des
Han 5 avis [qu’il donne à foh fils étant ré:
de mourir , j 375. tu; 1..Chan tf0 , [on difcours fur la guerre , 4.30.Autre fur les moyens d’affurer les fronde-res de la Chine , 43;. Mémoire qu’il pré-fente à l’Empereur K Mg 22’ auquel il avoit
" admiré ces deux difcours , 4,3 5C1140 y tfe , Minillre du Roi 0a; fou finira-
gême pour repréfenter à ce Prince le dangerqu’il couroit en faifant la guerre à King ,
6 sadrapier: ou Engin: hydrauliques a defcrip-
tion de cette machine , 66
G
’T S. 59?charger maniai-c de lesëfilribuer. , ’29vClzaÆr deliiné à lever les feüilles de. papier -,
rimèrent de celui d’Europe, 14:1. ral. 2..Chat , qui , peint au naturel épouvante les
fouris , - m 1.00châtiment ordinaire des enfans Chinois quimanquent à leurs leçons, 252. ral. 2..
châtiment dont on punit les coupables , 13 5.
, A ’ du fiivanter.r deufirfl’ , des hommes , 83. à» ml. z.du» kiai, ion difcours , V 53 5. â- fait).
- Chemin: font bien enuetenus; ce qu’ont faitles Chinois pour les rendre unis , si. Leurcommodité 8: leur agrément , 52. à fili’U.
Che pal ou Monument de pierre 5 à qui 8:
pourquoi élevez , A 55Cheval fingulier appellé Cejrfle, 4.69. ral. 1..Cbcvaüx , nombre qu’en entretient l’Empe-
. . ,7rent, tChevreuil: odoriferans , voyez Hiang.1
tchang tfi’.’
Chi , lignification de ce caraéiere , 308. 409. *CH 1 nonne , Prince de Tfin, monté fur1 le trône ’, il accable le peuple de nouveaux
impôts 8e de corvées , 4.06. é- Ml z. épuifepar les dépenfes les Finances; changemensde Palais qu’il fait depuis Kiènyeng 5ufqu’à
fait , .106. t0]. 2. Chemins u’il fait faire;fepulmre qu’il le fait bâtit; u age qu’on en
a fait, 407. Caufe de la défaite , 8: de laperte qu’il ’fit de la Couronne Impériale 5
i 408Phi kinggtroifiéme Livre canonique du pre:mier ordre; ce qu’il contient; on autoritédans l’Empire, 5113. Son Mie; 398. étal.2.. Divifion des Poëfies de ce Livre, to S . ml.2.. plein d’allegories s nom qu’il donne àl’époufe de l’Empereur Ven bang , 310.11.
a, b. Ce qu’on y lit de cet Empereur ,
l 33 5. ral. 2..Gain , ce qui cit rapporté de cette jeune fille’ dans le Siaahia, 381.:al. 1.657. :82.Clam ( la ) Son avantage fur les autres nations;’ 1. Preuve de l’ancienneté de cette Monar-
chie , 2.. ml. 1. Son étenduë , 6; Outre lamultitude des Provinces qu’elle renferme ,Royaumes qui lui font tributaires», 7. Cequi contribue au grand nombre des habi-tans , 7. tu]. 1. comment elle cil fortifiée 545. ml. 2. Une des lus valies 8e des lusfertiles portions de ’Univets , 138. e le
’ plus riche 8c le plus floriilant Royaume dumonde ; ourquoi cependant allez pauvredans un eus, 145. cal. 2. A quoi redeva-ble de (on abondance , x55. peut-êtreappellée le pays de la love , dentelle cil:inepuifable ,: 2.1.6. Pourquoi on y voit unli grand nombre de Livres , 2.49. ral. 1.
Ching mere de Confucius; fou origine , 5:0Ching, ce que ce Doéleur difoit fur l’amitié ,
’ 5’ ” . 37S. col. 1..
Cbifl’inz’n,,Minill.re du Roi, de T au; marquesqu’il donne de la fidélité à on Prince a:de fou afl’eEtion filiale envers [on pere -,
-651. 6* fait). -0775710133 ce qui leur a donné lieu de le croire
les Maîtres du monde , 8c de s’imaginerqu’ils en occupent la plus confidérabie par-rie) 2;. Leur maniere de parler à l’Empe-
. reur 8: même à. les Officiers lorfqu’ils re-préfententfa performe , 9. Leur refpeéi pouron trône », fan fauteuil,.8cc. titres magnifi-
. ques 8: pleins de vénération qu’ils leuronnent -, blâment cependant leurs. dé-
fauts , Se condamneut leurs vices , 9. [a]. z.Ce qu’ils font lorfque l’Empereur cil malade,
Comment ils le regardent 5 par quel endroitils jugent de [on mérite 81: de les miens g1.2.. Caufe de leurmé ris pour lui, u. col. 2..fort indulirieux de laborieux -, 72.. Profitqu’ils font des chofes les plus inutiles 973; commerce ridicule qu’ils font, ’ 3. ml.:2... Caraélere de leur efprit , 7;. naturelle-ment vindicatifs , 76. fort intereifez 8;fourbes , 77. très-entêtez de leur prétenéduë grandeur 8.: de leur prééminence furles autres Peuples , 78. Leur opinion furl’Europe 8c les autres parties du Monde ,79. Leur amour pour la vertu; leur foin àcacher leurs vices , 79. ral 1.. Leur air seleur phyfionomie; leur idée de la beauté ,8 o. Leur phyfionomie n’a rien de rebutant 580. ml. z. Quand ils ne boivent point duvin , 104. ral. 2.. Filles que les pauvres d’en-tr’eux donnent à leurs enfans , 1 19. cal. z.Ecuvent avoir des concubines , 120. ml. z.
omlnent ils vivent avec elles , lzl.ffll. z,ont foin de le pourvoir de bonne heure decercueil, 1 2.2, .rol. z .navi ent fur mer commefur les rivieres ; ont eu (il tout rems de bonsVailïeaux a ont parcouru les mers avant lanailTancedeJEsUs-CHRIST, 1 59. ml. 2.. Leurcommerce dans l’intérieur du Royaumeplus confide’rable quecelui qu’on fait en Eu-
tope; depuis quel teins leurs ports fontouverts aux Étrangers , 169. fourbes dansleur négoce, 170. Leurs anciens vête-mens;à qui redevables de l’invention des loye-ries , 20;. Leurs étoffes les plus ordinaires ,2x 6. à fini. ont deux fortes de langues ,5.24. ral. 2.. préfèrent un beau caraâere àla peinture , 228. ne fçauroient écrire lesLangues de l’Europe avec leurs caraéteresni même les prononcer , 150. Sur quoi ilsécrivoient anciennement, 2.39. De quoi ilsle fervoienr alors au lieu de plume ou depinceau , i3 9. à ml. 2.. préfentement , 149.
- col. z. Leur fentiment fur le noir de filméerecueilli de l’huile de Gergelin , 8: fur celuiqui le tire immédiatement de vieux Plus ,24.8. Leurs pré aratifs quand ils veulent écri-
re; commenti s tiennent leur Pinceau; leur
l?a
li-tu.
â
il
1l:
2’, :4 ,1
698 A TABLE DESmaniercd’ëërirev, Hg. [11152. d’imprimer,
250. â’tal. z. 1.51. à cul. 2. [gavent lanôtre, 150. du cul. 1. Différence de, leurscaraôteres des nôtres 5 leur maniere degraver’dans les affaires preiTe’es g ce dont
ils fe fervent au lieu de nos prcITes ., 250.1’01. z. Pourquoi ils n’impriment que d’untâté s leur maniere d’aflembler les feuillesimprimées 8; de relier leurs Livres , 251.Ml. 2.. Pourquoi ils n’ont point de métho-de comme en Europe pour a prendre leurslettres., 2511. Comment-ils y pple’ent , 251-.tu]. z. â- p. 2.52.. Les plus aiiez donnentdes Précepteurs à leurs errions, z 1.3. col. z.«Leur maniere d’ap rendre les Livres , 253.Comment ils [on ent les inclinations deleurs enfans , 1:6 y. Cal. 2.. Principe de leurrefpeét filial , 1.71. Leur principale étudedès la fondation de l’Empire , 284..wl. z.Science à laquelle ils s’appliquent plus qu’à
toute autre; pourquoi fort ignorans fur la.Cofmographie ; ont plus publié de Livresque tout autre peuple, 183-. ral. z. LeurrefpeEt 8c ellime pour le Livre Y long , 19 3 .A quoi ils attribuent ce qui cit parfait sa cequi cit imparfait , 194. Leur coutume degarder le cercueil de leur pete dans leurmaifon, . 3.1.3. a» [01.2. 7L.
CHIN N ONG &HOANG T1, Empereurs,inventent les caraéleres Chinois ,n 1.9 3
CM7: flqng, voyez Mmrmr.CHiN TSONG , Empereur , ce qui le porte
à recommencer la guerre; oppofition de [esMinifiress remontrances qu’ils lui admirent,
571.. de filin.Che lmng ba , pere de Confucius; [on origine;
(on â e , loriqu’il mourut , 32°012’014 , ien ainii nommé , à quoi eiiiné ,
159Chaue’ men, Auteur Chinois; teins au uel il
récrivoit i (ecret qu’il affure en ufagekÎès les
premiers trams; perdu ; fous quelle Dynafiie
recouvre 9 14.1chou ngan , encore enfant , tue un ferpent àdeux têtes 3 la prédiction de fa mere à ce
fujet fe verifie , 680. âv ce]. z.Chrétien: , Cérémonies pratiquées à leurs fiine-
railles , 128Chiaking , facond Livre canonique du pre-mier ordre; autre nom qu’on lui donne; fadivifion ’, contenu des deux premieres par-ties , 295. de la troifiéme , 196. col. 2. 8: destrois dernieres , 297. à ral. z. a fouilertbien des changemens , 2.99. n. Plufieurs en-droits de ce Livre font en vers libres sa
mêlez , ’ 3m.C 1-1 u N , Empereur, belle leçon qu’il fait àYu , lui laiiÏant le Gouvernement , 1.78. col.2.. voyez YAO. Ce qu’on loue en lui; fuc-ceffeur qu’il fe donne , 295. Règlement qu’il
fait -, (es exemples 6; les enièignemens -,
M A T Î E R E 5-. hcomment regardez parmi les Chinois ,99;ral. 2. voyez YU. Son éloge , 33 1. toi. 3’.
Ce qui en efidit dansle Mmg tfëe , 340; ral.1. 343. 346. 349. ral. z. 350. 391.61 ral. z.356. ral. 1.. 358. 3’62. 36;. fameux pour faflagelle &fa Vertu , 39;. * Eaitjoüir l’Empire
d’une paix profonde , 3 991’Chng knng, voyez Men tfè’e En.
aC HUN Toi-11 , Empereur , regne fous latutelle de fort Oncle dînant]: , 4.-. Effet dutalent qu’il avoit de gagner les cœurs defes Sujets; prêt de mourir, il le nomme unfucceifeur , qu’il reconmandetaux foins de
fes premiers Minifires , 5"Citadelle: , voyez Fa’m’n’flër.
Citron: , voyez 113mm. ,’Ci’viliteIÇChinoifeS , quelles elles font”, en quoi
gênantes , 98. regardées par les Chinoiscomme très-importantes au bon ordre 8:
au repos de l’htat, V g9Catin , Difciple de Confucius a commente le
Tibia; tfzan , 3 1 X. Ml. z.Cochon: , leur viande préfere’e à la Chine à
toutes les autres viandes , 138Coiffure , celle des hommes , 83. ml. z. des
femmes; 8 1. è fait).Cœur , Regles pour le bien gouverner , 517.[a .2.
Calao , premier ordre des Mandarins 5 leurnombre n’efi point fixé g ou ils tiennentleur Tribunal; nom qu’ils portent commeun titre d’honneur , n. Ml. z. d’où on les
tire , p V 27Cali ( le ) pourquoi il accufe l’un des premiersPrinces du Sang 8c les calao devant l’Ema
pereur , 799Comédiem, où ils vont reprefenter leurs pie”-
ces, 112. 501.2.Commerce Chinois , jufqu’où il s’étend ordi-
nairement 169. 171. à flair). Depuis que]tems ouvert aux Étrangers , 169. Ce qui lerend facile sa floriiïant , 170. De quellesMarchandifes il fe fait , 17 1. évfiziu.
Cammzflaire: , pourquoi envoyez par l’Empe-
reur à Canton , 4.0. ml. z,Concubine , ce nom n’a rien d’infamant chez
les Chinois , ne. ral. z.Cnnfifmtian , pourquoi elle n’a point lieu chez
les Chinois , 1 5. tu]. 2.Confiuiw , honneurs que lui doivent rendre lesLettrez , 10;. Ce qu’il dit fur l’honneur qu’il
faut rendre aux défunts , 130. Fondementdes grands honneurs qu’on lui rend , 264.ral. z. regardé par les Chinois comme le
remier de leurs Sages , 286. ml. 1.. 319. efii; feul qui ait pû démêler les foixante-quattefigures de F0 bi , 291. Comment il en vintà bout, 1.91.501. z. à 17- 292. Commen-taires qu’on lui donne , 292. 318. VoyezLivre clanique , &c. a gouverné une partiede la Chine, 319. Sa mémoire cil en très-
grande
î:
1
TABLE ’nr-sï-Maritu’ris. 159;,. Â «grande vénération; la uobleffe héréditaire
ne fe trouve que dans fa; famille , qui fub-(me encore, 319.101. z. Lieu 8c tems defa naifl’ance , 319. Avantagepqu’il eut fur.Thalesi, Pythagore , a Socrate, 3 19.4501. i.à p. 3m. Maximes rémnduës dans p lesouvrages a Ion âge lorfqu’il perdit fon-pere,
320. ce qu’on remarqua. en lui dans IonHâgeleplus tendre, 31.6;dfl ral. z. Son étude
à l’âge de quinze’ans :, marié à dix-neuf a
fils qu’il eut; travaille à reformer les moeurs,3 zonal. z. à» 11. 3 z 1 . Preuves qu’il donnede (on eu d’attache aux honneurs; élevéâ une es premieres charges du Royaumede Lou sp’changement (obit 8c heureux quiÉtat alors dans ce Royaume ç qui cauIa de
jaloufie, 321. Pourquoi il fe émet de (acharge; quitte la Cour; Royaumes qu’il
..parcourt 1, reduit à la derniere indigencedans celui de Ching ,. 3 21.101. 2; Nombrede fes Difciples 5 les anage en quatreclaires , 322. But de fa’dFoEtrine; fes aciionsne démentoient point [es maximes g toujourségal à lui-même , 322. ral. z. Saconfiance&fa fermeté, 522. tu]. z. dy- p. 323..Occafion’où il foûtint dignement le caraétere defa e, 323. Samodefiie , 323. à cal. 2. Pa-roes qu’il .repetoit fouvent ", époque de famort; fou âge, 323. ral. a. Ce qu’il dit àfes Difciples quelques jours avant fa der-niere ma adie, 3&3. tu]. z: à" p. 324: Sesdernietes paroles ; tombe en létargie, 8:meurt 3 lfepulchre qu’on bâtit ; regardépar les Chinois connue le maître 8; le pre-mier Doüeutde l’Empi’re"; (on portrait;
pourquoi appelle Kim; par [on pere , 324.es ouvrages , 324:. tu]. 1’; Ce qui cit dit de
Ion Livre des Annales des’Princes illufiresi tin-Royaume de Lou dans le M mg tfëe;
a se. col. z: Ses paroles en examinant le Ch" l. Æiug , 4’541 ce qu’il dit fur le tombeau de fa
. i more, 21.54.; rai. z. fur les Jugemens crimi-nels , 502; Ses fentiméns fur le filence , 6 ’55.
fur la fagefiè , p 66j. tu]. 2.Gong fan tfië , voyez Ovnfiztiur. .Gong in tu , fa remarque fur l’Y kiug , 2’941 ds
. ral. ilau; bug; hypocrite 8: flaireur dont il cil:parlé dans le Chu bing , 500
Gang par; , fignifiœtion ’de’ce 135m :,. fixiémé
&"derniere Cour fouveraine de la Chine; a ede même que les autres des Iribunauxfubal-ternes , 2s. Chacun de ces Tribunaux a finiPalais particulier sa fes Salles; 2 5. ral. 1..
Gang quem; ce que c’efl: 9 4, ’ 53. [a]: z.Cflntdmin ( le Père) ancien Miflionnaire a. ce
qu’il dit de la Gange 8: des autres châti-mens aufquels les Mandarins condamnentles coupables , 134. Recette qu’il a eue deChinois habiles’pour faire de la bonneencre,’ . ’ - 2.4.7; cal. 2.567). 2.21.8.
. Tome Il.
enquilluge: qui ont’fervi de Monnoye à la
Chine , I 1 6*,Carde (le. Roi de) piffe environ l’an .620. ’âl’Empereur des ieces .d’Encre *,,leur com-
’ polirions éclat" écime Encre", eifec de ce
Apréfent , , l . "1.46’Cafi’, fignification de ce mot, 26 7. Ml. z.’Cotaa , voyez Ceufiurr. Ce qui’eit arrivé’â
. Ton d’eux , , V 1.6Cam: , arbrifi’eau , ce qu’ori’en employe pour
faire ’duvpapier ,N 2.41. ml. z.Couleurr. La jaune ei’t la couleur Impériale,
10. ral. 2. Toutes fortes ne font pas per-mifes à tout lemonde , sa Ce qu’il faut pourfaire de la couleur blanche , 189. 191. Cellede deuil chez" les Chinois , 296. 372.
VU , , tu].2.*Cauflin. Ceux qui ont droit d’en avoir; ce qui
le difermcie , , 9.9Cautume extravagante des Tertiaires; abolie, par ordre de l’Empereur, , 128.5121. z.Grimm, pour lefquels on condamne à être mar-
qué aux deux joues; à tirer les Barques , ouau banniil’ement; ü * a 1 3’;
Crfinimlx (les) ne [ont point exécutez à mortque l’Empereur n’ait confirmé la fentence ’,’
1 1. Ceux d’un rang un peu difiingue’ fontportez "en éhaife au lieu du fupplice, 351.
v ral. 1.Cuivre ,voyez anoye. L’Empereur fit dé-truire les Temples de FIIË , 8: fondre les
’ Idoles decuiv’re 5 loriqu’il manqua de fa ’
. Monnoye de ce métal ’, . l 167. cul. z.
r ÀR ÀT O de l’EmpereutV en ri fur des rieres 8: des ii.1pplii
cations que fadoient aire pour lui plufieurs’de fes’ Officiers 1, 394. d’un des Empereurs
de la Dynafiie Tzzug; 49.5.6» fado. furquelques phénomenes extraordinaires ,
1 1 sa zflâna qui difiinguent à la Chine les Gense Lettres 5 en quoi leur comp’araifon avec
les Bacheliers , Licentiez et les Doéteurs del’Europe , n’efiï pas tout-à-fait jufie , 257.
. 4. . . ce]. z:Demaifêfle: (quatre jeunes) de l’Imperatricel veulent l’accompagner à la. mon 8c s’im-
v, moler devant (on. corps , 1 28. ral. 2.Enter, Monnoye de cuivre, qui a ou cours
de tout rams àlaChine; , ’ 1 64.501. z.Denierr Impériaux , moyens dont on fe (et:’ pour les perceVoir ,7 15: A quoi ils font
p employez , .7 16. cal. a.Dentrmller ( le Pere) cherche inutilementl’Inventeur de la Porcelaine , 177. Ce qu’ilen dit , 178. 6* filin. Recherche qu’il a faire,258. cal. z; ô fuira Ce qu’il rapporte delà
1’ P r P P P PP
v7!
înïüréiïisvnbauxwénmr «normaux
700 T A B L E D E Smémoire des Chinois , 26;. ml. z. au p.166
Dm: des Chinois autrement difpofe’es que
les nôtres , a. 3oDépèrlze: des Mandarins pour la Cour; com-
ment expediées , 1 l xDéfinir: étrange , 2.63. cal. z.Deuil ordinaire, combien il dure; à quoi il
0in e ’, quelle en cil: la couleur , 124.501. z.Ab inences pratiquées pendant qu’il dure ,
’ 116. Ml. a.Dtfle’retzd: , comment vuidez chez les Chinois,
j lBiguine dont l’Empereut à préfent regnant
a revêtu [es freres , 59Difriple: de Confucius , leur nombre; parta-gez en quatre dalles ; occupation de ceuxde chaque claire; les plus célebres dans leur
dalle , 32 zDifcours , fujet de celui admiré à l’Empereur
Sam tr" , 4.45Difmz , effet qu’elle fait fur les Chinois ,
l 14,6Divorce, cas aufquels la Loi le permet, 52;.tu . 2.
Daflmr, ce qu’il faut fçavoir pour avoir cedegré à la Chine , 2.84.. ral. z.
Daffeur: , de deux fortes àla Chine : les Ler-
trez , les Militaires , 4 3Dam ou Argent" , comment on dore ou ar-
gente la Porcelaine , i 90. col. 1..Butane: , celles de la Chine moins encreufes
que celles des Indes , a 57. è- [a]. z.Dragan célebre , devife de la Chine , 8.: orne-
ment des habits de l’Empereur , 1 94.Dragon: , devife de l’Empereur , ro. ral. 2.
E.
AU X. (les) Comment les Chinois lesfont palier d’une montagne à une
autre , . 6 7Euler: , jeu des Chinois; ce qu’en dit un deleurs Auteurs , 613. Sentiment d’un autrefur leur acharnement à ce jeu , 6 14
Erale de chaque jour , comment elle doit le
terminer , 267. [a]. 2.Bayle: de la Campagne , diférentes de ce* qu’étoient autrefois celles qu’on nommoit
Chute ou Tfing , 259. ral. 2.. Forme 8: ordrequ’on leur pourroit donner , fuivant un Li-
vre Chinois , 2 6 l. à» ral. 1..Euler fondées , rares à la Chine, 26;. ral. 2.Ecalz’er: , leur occupation dans les Ecoles pu-
bliques, 262. à col. z. Ce qu’ils doiventfaire en entrant ou en fartant de l’Ecole;de retour chez eux , 262. col. 1., à p. 2.36.Leur grande étude , 26;. Examen qu’on ldoit faire de leur portée, 265.:01. 1 Livresdont on doit leur interdire la le&ure ,
MATIÈRES..266. cal. 1. But de leur étude, V A :66
Em’waim (les) d’un Tribunal 8c du Bureaude la Polie , Pourquoi condamnés à mort,
Edumtion de la jeunefiè, 366; à fait). Excis-ples des anciens fut la bonne éducation,37;. ô [ici-v. Ceux tirez des Modernes ,379. à fluo. Maximes fur cette éducation,375. â- fuiwnm. Celledes Princes d’unegrande importance pour l’Etat , a, z z
Empermr, fou autorité, 9. âtfili’lldfltfl. regardé
comme une efpece de divinité g refpeétu’on a pour lui, 9. Sa maniere de dameres Lettres 8: les Aâtes publics, io. ml. z.
feul arbitre fouverain de la vie 8c de lafortune de les Sujets; dif oie de toutes lescharges de l’Empire; êta lit les Vicerois ,l l. Succelfeur qu’il peut le choilir , l l, [01.2. Pourquoi il monte fur le trône, 12. Sesdevoirs dans les tems de calamitez publi-.ques , I z. ral. z. Marques de ion autorité ,13. de fili’U. Ses revenus, 14.. :01. z. Dansquelles occafions il peut exempter des Pro-vinces entieres de tous tributs , I 5. tu]. a.Ses dépenfes ordinaires , r 6. Ml. 2. âfiti’v.
Son Palais , l7. ml. z. à flip. Sa marchelorfqn’il en fort, 20.:01. z. à filin. Allem-blées qu’il convoque de tems en teins àszing; leur caufe , 3go. cal. 1.. Pourquoiil envoye fouettement des Infpeéieurs dansles Provinces , 4o. va , accompagné dequelques Seigneurs de fa Cour , labourerquelques fillons de terre , 7o. 18 5. «Il. z.Sa magnificence dans les audiences qu’ildonne aux AmbaiTadeurs , 88. fait quelque-fois donner la bafionnade à des perfonnesdeconfide’ration , 131. cal. 1.. a ordonnéqu’on ne feroit mourir perfonne que le pro-cès ne lui eût été prélente’ trois fois , 136.
ml. z. Ce que faifoient autrefois les an-ciens Empereurs pour faciliter les remon-trances a: le procurer de bons avis , 392.Vifites qu’il rend à fes Minifires malades ,4,09. ml. 2 comparé à une faille , 42.1.
Empire Ç 1’) n’efi compofé que de deux Ordres,
9. D’où dépend la tranquillité , rg. Sesforces, 4;. Comment fortifié , 4s. [a]. a. ds[am comparé à un beau 8c précieux varie,
, 424-.Emre de la Chine , la compofirion ; figuresqu’on imprime fut la pâte; forme qu’on luidonne ’, la plus efiime’e , 245. Comment [ont
regardez les Ouvriers qui la font; le terrisdelbn invention prefqueimme’morial; la reemiere en ufage , 24.5. [a]. 1. Tems auquel oncit parvenu à la faire telle qu’elle efl mainte-nant 5 fa matiere , 246. R ecerte pour en fairede bonne , 246. Ml; 2. Seconde recette ,247. étal. 2. Troifiéme recette , 247.:01. z.à p. 248. Ce qui fait la fine , la luifante, 8c lamoindre, 2.4.7. cal. 2.. Où le fait celle qui a
. ne. Jar:
2,5".) n.
Je.
,TtAB LE D’ES"le lusde réputation; où s’en fait le débit,24g. Ce qu’il faut faire pour difünguer fesdivers de de bonté, 148. ml. 1. Moyende la congre: a: de l’empêcher defe gâter ,248. ont. 2. à, p. 249 de réunir, fans qu’il
’ .y pareille ,1 les bâtons, qui, chargez d’or-
u nemens 8c de dorures , 8; conferve: par. euriofité, viendroient à le brifer -, ce qu’il
faut faire avant que de: la broyer’fur le. marbre , lorfqu’on veut écrire de finir déli-4 catcment les traits de pinceau; [on ufage ,.
lorfqu’elleieii fort ancienne , 249En": rouge, Ion ufageà la Chine , 24.5. col. 2.En": Imperiale , quand trouvée; fa matiere ,
r n 24sEntre d’Im imerie , quelleelleefl: , 251. Com-
. ment on a prépare , I 251. ral. 2.Enfant Chinois [uccedent aux biens de leursî pores, mais non pas àleursdiïritezfiSCom-
V ment r ardez ceux ne adopta N,. Droits e ceux-ci , 12e. A quel âge. ils
commencent à étudier les Lettres , 251. Ce- qu’ils doivent apprendre par jour , 252.
Comment punis , orfqu’ils manquent à leursleçons , 252. tel. 2. Livres qu’ils doivent
- Voir ar cœur fans broncher , pendant- - lémde diefquels on leur interdit toute autre. leéture", uand 82 comment on leur ap rend
t â former es Lettres , 252. ml. 2. Lorlqu’ilsles fçavent , ce qu’on leur donne pour les’perfeé’tionner , 252. cal. 2. d- p. un. Leur
. foin pour le former la main à l’écriture ",v leur vûë à cet égard , 25;. Re les qu’on. leur donneà apprendre , loriqu’i s fçavent. airez de carafiteres pour compofer, 25;. Ce
qui fe»pratique pour juger s’ils profitent,r agg. à ral. 2. Tems auquel ils doivent
compofer tous enfemble devant le petite Mandarin des Lettrezà autres examens
qu’ils fubiflèm , 35’3.t01.2. Voyez Emdianr.
r
Livre qu’on leur donnoit autrefois à lire à vi l’âge dei-mitans, 259. ral. 2. Autres Livres’ qu’on leur donnoit dans les balles claires;. ceux qu’on leur filoit étudier à l’âge de
quinze ans , 260. Voyez Etalim. Ce qu’onmontre promptement à ceux des pauvres ,26çul. 2. A quel âge on les marioit autre.fois , 366. en). 2. A quel âge préfentement,
l « . 566.M’l.2.*Engin: hydrauliques, voyez Chapelerr.Entremntenfi: , femmes qui fe mêlent de faire
les mariages , V ’ 120Epirm’e: (les) ne croiiferit point a la Chine ,«excepté une efpece de poivre , 14;. ml. 2.D’où les Chinois les tirent , 1 73
Efclnwr (les) font d’une grande fidelité; ce pqui en fait le grand nombre , 74. Souvent
: un grand Mandarin qui a nombre d’efcla-à ves ,en lui-même efclave d’un Seigneur de
h la Cour , - 74. col. 2.,Efpril tutelaire , Formule de prieres que lew
T IF. R 7o]:Mandarin lui admire en tems de calamité n52. [01.2. à filig-
Emfi: d’or , celles fabriquées à la Chine fortbelles , mais de peu de durée ,, 206. [01.2.
Etrangarr ( les ) ne peuvent s’établir dans l’Eme
pire , 50. Ml. 2.17min, leur vraie fin , 266. à ral. 2-Etîtdian: , Examens qu’ils fubiil’ent avant ce-
lui des Mandarins; leur nombre àcompo-fer, 2H. ô ral. 2. Ce qui les diflingue ,26;. Ce qu’ils doivent éviter avec loin ,267. Ml. 2. Nombre de ceux qui afpirentaux Degrez, 28s. :01. 2. Ce ui les porta à
A fouillerait: tous côtez le feu de la revolte ,
. . 287En confeille à I’Empereur Tfîn du" bang deaire brûler les-Livres de la Chine, 391. n.
En] , fa lignification , » 409 *EU L c H! fils se fucceITeur de obi bang; par
fan falle 8c les cruelles exaétions , il foulevefes Peuples contre lui; perd en même tems
l’Empire 8: la vie , 4.09.2211ququ , leur jaloufie contre le Pere Verbici’l;
s’oppofent à l’exécution des Ouvrages dont
il avoit la direEtion ,Enrapéan: , leur principal commerce à la Chi-
ne . 173Examm des enfans Chinois , qui le fait detrois en trois ans tfe’verité de cet examen;exemple de cette féverité à. l’égard d’un r
Afpirant aux Degrez , 253. Comment fefont les examens , 2ç4. ds ml. 2. à» fili’U.Celui qu’on nomme Impérial , 25’7. ml. 2.
But de ces examens fréquens , 275. ds- tol. 2.Ce qui fe paire à l’examen particulier dechaque mois , 275. tu]. 2. â- fuira.
t Exécutivn: à mort de differentes manieres ,135. Quelles font les plus honteufes , 135..
ral. 2.Exemple: étonnans de la hardiefi’e 8: de la
fermeté des Cenfeurs Chinois , 26. Un dejulfice 8: de féverité rapporté de I’Empeæ
reur Gang hi, 4. u. ml. z. Autre furprenantde l’empreirement d’une femme 8: d’une.concubine à ufer d’une déférence extraoradinaire l’une pour l’autre, 687. â 501.2
Explicarian de la quinzième figure des foi-
1
suinte-quatre de F0 bi , 29;Extrrr’eur, Regles pour apprendre à le compo;
fer, * ;7i. éfniv.F.
’ AMIL L ES Chinoifes , nombre decelles qui fe font trouvées dans le dé-
nombrement qu’en a fait faire l’Empereuri Gang bi , 15. La plus noble 82 la plus an-
cienne de la Chine , 6!F471 , lignification de ce mot, 239. ml. 2.
.. .- 243. cal. 2.
emmènerai: mmnm ,74;
7o) TABLEl-DEISEn; , innommé Trbtmgyen , fage Mandarin;Ion eu d’attache aux richeiÏes , 2.7;
F471 r é, premier Minime; infimaion qu’ildonne àafon neveu i, 376401. a. à» p. 377.
Fwnmhun gin devenu grand Mandarin par’fon travail; comment après la mon: fa fem-une animoit les enfans à l’étude , 271.
ml. z.F471" ,"bpe’ration expriméeparrce’terme par
les Europeans , 24.3. cal. a.l’an fini , (on difcours au lerepentir , 600Ian tcbung [un , ce que difoit cePhilofophe
’à les Difciples fur la droiture 8; la douceur,un. Ml. 2.0L p. 27.3. Infiruâion qu’il fai-foit à les enfans 8: à (es freres , .378. 501:2.
. . I ’â- 1’. s79:1347: tfau alu-«examine lepton préfente’ à l’Em-
pereur fur les moyens de foulager les Pro-vinces ruinées parles Mandarins ; après
q l’avoir lû par ordre de ce Prince , il le luirend cacheté 8; y point-le [ien , 593
Ian: monnayeur: ( es ) feroient en grandnom re à la Chine -, fi l’argent. y étoit
monnayé ., k V 168ïFemmer. Leur taille la plus commune ; leuridée fur la beauté 8e les agrémens , :80. ml.a. Habillement 8c coëflîire des jeunes; celuides plus âgées, 81. de filtra. Celles que lesmaris peuvent-répudier , 369. ral. z. Juliedifcernement de celle d’un géant au fervice
«l’un premier Minifire d’une fort pente taille,
«fur la grandeur du corps de [on mari 8c la,pe’titeffe de (on’efprit, 8: fur la fuperiorité
du émie du Minifire ; effet du. ju ementqu’e e porte là-deffus , 676. ral. a. [un].
Femme: publiques ne font point foufl’ertes dans
les enceintes des Villes , sid’un [Mg , les Annales ne difent rien de l’in-
venteur de la Porcelaine , 177. Ce qu’ellesrapportent de la compofition de fa matiere ,
. 182.«Influx , cérémonies qu’on y pratique, in.ée. filial.
Enfin. Defcription de celle qui le célebre auPrintems , 69. [a]. 7.. de celles qu’on céle-
bre folemnellement , 9En; d’artifice. Defcription de celui que fittirer l’Empereur Gang lai , 97
Æeüillvr de papier marquées du Sceau Impe-rial; pourquoi tant recherchées ar ceux
qui bêtifient , 1 7. tu]. 2.rident; d’une fervante , bien récompenfée ,
68 ..figurer fort en ufage chez les Chinois pour
exprimables peulées , 225. r0]. 2. Quellesfont les figures radicales , 226. ml. z.
FMI Chinoiies n’ont oint de dot , 1 19. Cellesaufquelles on ne droit pas penfer pour lemariage , 369. ,d- ml. z. Celle de ohm ,promile à un jeune homme de En; , refiifede quitter la maifon paternelle , 6 4. ce]. 1.
l
MATIÈRES. ’Quelles étoient fes raiforts-3 r . 68 5
Fil: , voyez Pers.Fleuve jaune, voyez Hong ba.Fa , lignification dete compliment , le:Faë 85140. Principe a: fin des choies-que
ces deux Socles établilfetlt y où COnduithleuT
. idolâtrie , . 2.80Faë infeâe les Indes de fa doârine , 31. 3 . ral. -’ 2.496.501. z.*0ùfetrouve»fon1dole, 323.
cal. a.F0 m , fondateur de la Monarchie Chi-
noife; le teins auquelil a coïtâmencévâ. raguer ell:*fort incertain; Ouvrage dont il- cil Auteur; .fonadeffein dans cet Ouvrage ,
288. 0’101. 2. Premiers rincipes qu’ilt établitflniages quinaiflènt fesPrincipes;. figures ui réfultent de ces images , 289.
Auteur es figures , 292. invente les»carac--*teres Chinois, 2 9 mâtai. z .Cequi lui apprit-
. l’art des scombinaifons -; premienpere des rSciences 8; du bon Gouverment-, 193. tu].a . Crédit qu’il donnoit à les figures t, 2.94.
Fang [Jung , quel efi cetoifeau , i 3. en]. z.8 r. fert d’ornement’â la coëflîirerdes fem-
. mes , 81F0713 bai , ce quec’efl V, A ’41 5. 11. vÏûfltdfle)’ (le Perede) ce qu’il dit fur la’dou-V i
ceur des Chinois , v . 7 fForma le: de Semences de mort aufquelles l’Em-
.pereur foufcrit , , r 37Farnwfi: , Plan: d’armes 8c Citddtle: enV grand hombre à la Chine , 8: idilfingue’es
en dilferens Ordres , 4.6Fou , Villes du premier Ordre; ce que c’efl, A408. n.
Jim: ming , à qui on donne ce nom , z 5 5Fou min [mu , lignification de ce titre d’hon-
neur , 507. 71.Fou pi ell nommé Tin ttht’ 5 refiife cet em-ploi; ion difcours à ’Empereur Yng Jung ,53 6. éd filin. Effets de ce difcours , 538
170117112410: à cuire la Porcelaine , leur con-firuâion a maniere de ranger les vafes peintsdans ces fourneaux , 194.: Leur defcription,
4 a96. Maniere de les fabriquer ; 197’Ïûfl tfun , qui l’on nomme ainfi , z 55l’au yné , Colao de l’EmpereurCn tfng ,
296. cal. z. Voyez Cam TsonctFou jam , qui on appelle ainfi , z 55Fripanmriz , traits finguliers de celle des Chi-
nois , 7 l r 77. cal. z;Fruit: articuliers à la Chine , 14.4.Inn (il) cequec’efl, * "189
G-°
AZETTE publique , manifefie lesraifons qu’avoir en I’Empereur Gang
. hi de dégrader fon fils héritier de la Cou-ronne, i l. ral. z. s’imprime chaque jour à
Pelzings
TA ’B’ï.’ E DE S
Ëgking 5 ce qu’elle contient ,, 42.. On n’y im-
4 prime rien, qu’il n’ait été préfenté à l’Em-
. Pal-cura ’ ... ’ ’43G: la: 18c Ge MLCommentaires; commentils s’expliquent furLun’plalIage de l’entretien
de Ça pt mg avec [on Calao; Il n’y a que. le Ciel cul duquelonpnifiè dire qu’il voit ,
&e. ’ 306. cal. 2.11.be kiang,4CommentÀa,ire; (on Auteur, son.. a]. z. Voyez 6e H.Général i fa principale attention , 4.3 1Généraux; pourquoi l’Empire en manque de
. h bons , . » ’- 6l 9Générqfite’ admirable d’une more 8c de fa fille ,
, 6"en: p: miton, voyez Men thE En» 9Gant d’étude , voyez Lauren. VCm yen 8: 10’101: , Difciples les lus célebres
de la troifiéme claire de ceux e Canfuinr ,
, . . a: zgiflez; en Étui-ide quantité à laChine, I, 32Gin , ligni cation de cette Lettre, 2 7 3. ral. 2;
. ’ .1. 4.06: Ml. 2.’* 4.87. n.Gingembr: triage de fan fuc à la Chine ,
A v . 1.46.501. a.Gin fang, plante fort edimée 8: d’un randprix a comment regardée par les Mé ecinsChinois, 1 se. ce]. z. Ses proprietez , 151.Sa préparation , 151. ml. z. Où elle croît ,Hz. Comment on la ceuille , 1 51. [a]. 2.à fifi). Explication de fa figure , t 51. in.tombe (à: tenait tous les ans; le nombre de
. reg années fe sonnoit ’ar celui de fes ci es ,1p. nir. Nom que es. Chinois lui gon-nent; comment les Tartares la nomment 5,ne étoupas dans la Province de Pr une" li,
comme it le Pere Martini , i; 5d’un [in , explication de ce mot , 3m. n.G1 N T5 o N G , Empereur , adopte un jeune
homme de les parens pour lui fuccede’r ,î 3 6
Gnnvememmt politique de la Chine; fa forme,a. z . à» niv. Ce qui le rend heureux 43è
tranqui e , 5 3 7ânonnent": militaire de la Chine , 4.545
. , d- fifi).Gouùeineàr de Ville , honneurs que lui ren-dent les Peuples , loriqu’il a exercé fa char-ge avec approbation sa orfqu’il fe retire
ans une autre rovince , i05.:al. 1. Lejour de fa naiiTan’ce , 104.. ë- [a]. z.
armer, feuls cas qui les dif nient de fépréfenter à l’examen trienna , z 56. ml. 2.Quand les vieux en (ont digienfez ’, a 56.»
[adné-p. li").Grain: que produifent lesrdiffërentes Provin-
ces de la Chine , 65Grand! de l’Empire, jours aufquels ils doivent. ,s’afi’embler en habits de cérémonie , pour
rendre leurs hommages à l’Empereur, 1 oGand; d’un Royaume a comment autrefois
Tomé Il. V Ï v
MATIÈRES. r ne;I refpeétez, 41;. Voyez [frima t
me; ,r quel cil: aujourd’hui œkoyaume’, Nomqu’on donnalà un de [es-Princes après fa’mort,..33-s. Son dialogue. avec Menciusv,’
- .53 t5. ml. a. à. firmanter.
’ ABIïLEMÈNT. Celui étalions
mes en Hiver 8: en Eté, 81.64121. 1;.Habitant: Chinois; capables de porter les
armes ; leur nombre ,
l . 1Entité en dix mille morceaux , quel eit cg
. genre de fupplice , . - 13 6Hai pian ou Vocabulaire , ’226Han, voyezTfinr . 4 h v A , h vHan lin, qui l’onnomme ainfi , z 51è ral. z:Han lin jam membres de ce Tribunal par-
ticulier; à quoi dédiriez; craints 8: relu? A
l peétez , , p a.Han nu ,, Miniflzre de l’Empereur Hien tfindans le Tribunal des crimes ; fa remontran-ceàc’e Prince, 525. èfiin. Effets 8: ’
I fuites de cet Écrit , 52.7Han (le) ce que c’eflzl, . 1 . 1 89He , lignification de ce caraâere, 14.5". tel. 1LHua quelle cil cette dignité , , 404.?Hem M, voyez Yo.
. Hian tzhnng tfi , lignification de ce nom ;de cription. de cet animal, 154. Sa nourri-k
turc, . n A, 4. .151... (du,Hina king , Livre de Confucius; fa mariere,314.. taf. 2.44.6 3. Signification de ce mot;cinquième Livre clailique , 363. Précis ducontenu de ce Livre, ;6;. à. [finaux Ce.qui y cil dit des Minifires , 4.6 3
H 1 se K o N c , Empereur; à quoi redevablede l’aggrandiffement de fou Royaume, 8; de. ’ I
9° ’fou heureux regne, l 4 I a 3Hue ours! , Empereur; ce qu’il dit en.I examinant le tombeau de Kan afin, 454HIA o van 1-1 , Empereur , déclarationù qu’il fait publier, r . 4,77
Hun voU , Empereur de la DynamoSang , moyen qu’il trouve pour remédier au. itrouble ne émioient les Princefl’esqu’on 2marioit ans les familles ou elles entroient;
. Ü 64h 6* [nitrain: lignification de ce terme , 1. 5 5. 4.08,. n.Han ming à qui l’on donne ce nom , 11,5-.
:0 . 2v.H151»: T s o ’N c , Empereur à défenfe qu’il
fait à tous les grands Officiers des Provin-ces , fig. sa déclaration fur les examensfaites par un de les Officiers , 524. J oye quecaufe cette déclaration , 5’24. ail. z. Hun-1lueurs qu’il rend. à un os de En? , 5 17
Hi": tfnn , voyez Trbiln’én. r , VHin pan , cinquième Cour fouverame, 85
C I mbre criminelle de l’Empire , a. j .Qqqqqqqci
ibfimergkw msieu .3 -.
misa-réerai» A ’
M’
t’emmflswmæir:
1
v 34 Ho bing, ufage de cette Plante a fesqualirez
704. TABLE DESHic ou Ecolæ fait emmottes , 263. ral. l2.Hic la" , qui on appelle ainli 1,15 3. ral. 2.;En son , (a lignification, 4m n.Hic ne ,l Mondain qu’en appelle ainfi ; ce
qu’il fait arrivé dans un En; , 1. y g. tu]. z.A quoi obligé par la charge , a 56. ml. 2..
Hiflnin, fou utilité a antiquité de celle de la
Chine , z 8 5En; g le fameux ) demande qu’il fait à Ionmartre, étant ,petlt écolier, réponlesqu’il en
reçoit , - a 6 6Ho , voyez Hong de Ho.Haut" , fils de l’EmperEur Hui se défignë
fflp fucaclleur , comment dégradé , (:19:
. ral. 1.Hiang 85 H0 , oifeaux aquatiques i .pronohflics que lion tire de leur vol dans les airs ,
484.. ml. z. à p. 4.85. n.Hong au ou Fleuve jaune ; pourquoi ainfi
nommé; peu naviguable; rava e les lieuxoù il palle; les innondations a la efcription,
157. à [muHong bang, jeune enfant s recompenfé de
fou meulon Pleine de rendrefle pour fon
pore, 269. 6* ml. z.Han gai , oul’eintre: de Porcelaine , pour-quoi prefque auffi gueux que les autres Ou-vriers g leur travail efl: partagé entre plu-fieurs -, occuPation des uns 8; des autres ,
V ’ 18 j. de fait).H04 rang ,l’ plante FamelItmle; où elle le* trouveafon finit Q fes tiges , fou ulage ,
’ 1.4.2.
Ho sur; 71 , voyez CHING nous.Hoei, lignification de ce terme , 33 5Hui flan , Minifh’e de Sam ri 3 fuiet de la
Lettre a ce Prince , q 4.4.5Hui rang, quelefi cetirre , 281. ml. z.Han" talma, Ville de la Province de King
mm , où fe travaille l’encre la plusiellimée ,
24;. 248. Emploi que font les Marchandsde lairgrand nombre de Chambres; com-ment ils les difiinguent , 24,8
Hui rthing, qui on nomme ainfi , 28 1. Ml. z.Hui alfa?! , glaçai: cctitre , 281. ml. z.Hui mag . ci de Gui 5 cequi en cil dit dans
leMmgtfzè’, 361. Ml. z. 6-12. 363. Aqui redevable de les conquêtes , 3 9 0
Hum kong, Roi de Tfi , confulte [on Minillre lfur le moyen de rendre Ion Gouvernementagréable; réponfe que lui fait ce Minilire ,637- Avanrure qui lui arrive à la thalle ,
638Hem mu , faderait don: il eli parlé dans le
clin laing , ocintrinfeques , . 24.6; :01. z.
Hol4na’oi13 marellandifes qu’ils portent au
Japon , I7 Iliman , précautions prifes pour empêcherla fubmerfiou de les terres fort haires , 15 8
1
M A T I E R E S.H o N c v o U , Empereur g! deqüellèmanîere
iliordonne le Payement des troupes , i67.501.1. Ce qui e portera ordonner qu’onefità bâtir des Écoles publiques dans les princi- v
l Pales Villes; en fonde pour la campagne rtermes de fou Ordonnance , 259. à tu]. 2:Conclufionlqu’il tire furllestireurs d’Horof-
27s. à ml. z.cape ,H ml du General des Tartares , l’un des plus l
beaux de la Chine , - 8 6H o T t , monté fur le trône; déclaration quel’Impetatrice la mers fait Publier , 470
H a tau sa La 4h14 , ce que les Chinois appel-lent ainfi , 193. Ce que porte la tradition
» fur ces deux figures , :9 a. ml. 1.H ou , ce qu’avoir coutume de dire ce Doéieur
fur le mariage , q 378. [a]. a.Hou 12m, feconde Cour fouvetaine; fes Trie
bunaux fubalternes , ’ " ’14.Han un; ting , comment ce Doâeur s’expliquel fur un homme qui lafpire à la veritable fa-
. gelTe, r 379. â- [91.2.Han yuan , Mandarin , le plaint de ce que lesieunes gens qui s’appliquaient aux Sciences8a, afpiroient à la Magifirature , ne s’arra-choient qu’à une vaine éloquence , 380;«il. a. Erigc une école dans la Ville de H au
trimez , 3 80. tu]. z.Hun Mi , grand Officier deguerre; excèsoù le porte la haine contre Confucius , 3 z z.
[a]. z. à p.313.Hum w, à quoi il attribue l’élevation de fa
maifon; ce qu’il rapporte de la mare , 318 l.a: .. z.
Humilité (1’) recommandée dans les anciens
Livres Chinois , 3 07. ral. 1. n. 3.1 o,
. ral. z. n.I.
A M B ON S de la Chine fort recherchez;1 58. col. a;
En flâna , que] efl: le Lac qui muche â’cene- J Ville a vents qu’on y elluye; cérémonies que
* pratiquent les Matelots quand ils appro-chent de l’endroit le 1plus périlleux , 1 y;
7412m. Moyens dontfe ervoient les Chrétiensde ce Royaume pour avoir des images de
nos Myfieres, * , 20534 Min: , quels [ont ceux des Grands-Seigneurs,85. Animaux qu’ilsy nourrillenr , 86
74min: potagers , fournis de routes fortesd’herbes , de racines& de légumes , r44.
’ ’ ce]. z.741m2 , Compofition de cette couleur , 189.
I . t 9 I.Idée: , marxiste de fe les communiquer les une
aux autres , z 17Idolâtres, ce qu’on leur repréfente, lorfqu’ilsA ont des dichultez fur le Myfiere de l’Incara
TABLE DÈS MATIÈRES. 7°;nation 86 fur la Paillon de Jefus’aChrifi ,
-’ - * A v* v. r. . 2,96. ral. z.Mâle: , conquiert: elles [ont tramées pour obtura
nitldéla yeux: du beau rem: , p: Ce* n’en fit. ’unoêuin’avoi: pas scout-dé la
me d’un lourai; de celle de Klnug’
un» 5 sa. né. 2.faire home, qui s’unir de recevoir la baïram »
mide fun etc, m r 1537mm: gâtât leursPdevoira à l’égard des per:
formes â ées , 369. à par.faufil, ocarina qu’mlui donne, si. En-
nemie delacontrainte ; marnera de l’utilitai-
œ a 16 7’Impair (le) Symbole, ce qu’il et! chez les Chi-
nois , 4 39;. à r. 194-Imprmm’ur. Cérémonies pratiquées à la mon
d’aires: durant le reins quelon corps m: misen dépôt , 12.8. ml. 2. Leur intention Ennourrlflant 8c élevant des Vers à laye ,
» :05. Celles d’à-préfent ont abandonné ce:
. exercice, 2.0 y. ral. a. Déclarntlons que faitpublier l’Imperatrice mers: de l’EmpereufTtbdng ne, 466. 467. Eloge de. cette Impe-
rattice , - ’ - 4.68Imprimerie, trèsnancienne à la Chine; difl’e-rente de la nôtre , 2.4.9. tu]. z, é- p. 15°,
En quoi commode ; propre aux Livres detoutes fortes de Langues g de quoi dépend
la beauté du camelote , 150la miam: Chinois , leur marnera de fortifier
. ’ j . il ’ 4’hmm Page XI. Bref qu’il admire au Pore
Verbiefi, V V A V4.9. a]. z;Infifln (petits) laye qu’ils produifent , fontr fumages, leur nourriture , ,07
la Infini" publics voyez CenfènrliInfime»: dont Ie’fervent les Chinois pour
faire lesplus belles étoffa? , r .13674?: marquées d’un fer ëhaud- ,l châtiment;
les Chinois fçavent en flatter les marques , p394m.
Inncrnirqtpublic; l’on ufage , je. r01. a. ;firman e crimesdignesdemort; comment
, ils doivent être décidez , 196. Brocantes* obierve’es dans ces Jugemem , :96. Ml. z.
firman" fanvages -, hviande en et! fortelhmée,
l ï . 136. ml. a.Mr: quelque leur: , leveur àfâCÏhine’, r3;
K.
i A N, Kgnification de ce terme, 247KAN G va N a , Empereur, fait mefuréramarrer les terres; viliteel’es Provinces t
2 fait planter des Bernes pour provenir lescontefiafions des Laboureurs , A ’6 9
Kan [Mg , uf de cette plante, M6. cal. z.Quelle elle: sfesfeiîillcs; enquoifahataire,
v ’ V 247
Kao hm r Reine qui gouvernoit l’Empire ,423°- tal. 2.. * i
K 1m r1 , Empereur de la Dynaflie de Tfi,invention dont on lui fait honneur , 24a.ml. 1.. Après avoir délivré ,l’Em ire desmm qui l’afiltge’ oient , ans u’i a elleà la Cour , 39 5. Dellein dgntil :il déteigne,
s 6 z 8Km: tfle , Dllciple de Mordus; réponfe qu’ilreçoit aux dilficultez qu’il propofe’â [on
maître , 364.. au fiiwmrr.Kao T5 ONG , troifiéme Empereur de la
Dynafiie des Tang; Papier qu’il fait faire ,24.ol ral. 1. Va vifiter Kunglyl réponfe qu’il.en reçoit à la demande qu’i lui avoit faire ,:173. tu]. 2.. Ce qui en eilditdanslu Mzngne , v ’ w . 3 x8
KM par , ce qui en eli dit dans le Meng tfeë -,363.
KM» lm) bang fa reconneifiance envers famers! pour la correéiion qu’elle lui avoit.
faire , 17:.la, (le Prince) titre qu’il avoit a avis qu’ildonne à l’Empereur Tchao); , 574.
K in dm: , oïl: le premier ui donne à l’Empe-tout des avis par écrit -, on difcours à l’Ema.
i pètent Vu: ri t cil: fait Hem , 4.26Khmg , liiËuification de ce terme , 487.. tu]. z»King , e du Roi de Tfi, eli mariée à Sam
orang, 674.. Ce qu’elle fait pour tirer ce: rEmpereur de (on indolence , 6 74.. col. z.
6 A Kim ’ [lia , ou modela que donne l’Auteur d’un
di tours tel qu’il le peut faire dans le Hic 4traduéilon (le ce chapitre , 1. 7 -.. à filiuantu.
King hé, paniquoilhit T4 fou par l’Empea
leur , l - . l 4King un: , étoffes qui fe fabriquent dans cette
Province , 1C 6. ml. 1..Kim f frac cadet du Roi If" , dequi euefidit dans le Meng rfië, 3 56. 6- :01. 1.. à" g.
A ’ V * 3 S7 iun la! , Ce qui en afi dit dans le M2715 me;
i ’ A p 35.8. cal. z.K in yang , Minillre de l’Empereur Kirnyen ri;’ difeours de remerciement qu’il adreflè à ce
Prince, 471. fouiner 0&5. ’Empire , 4.72
KM (fi, ce clamsoit, a En). ral.KIÂ "r5! N c , Empereur a ou qu’i fit avant
de: éminences ÈSÉtHdCS; En armada--
vaut le pontait: de Canfnrm, r 06KM ffi’ng ,» efflefide Forum ç, mortiers de
’lapetndre, ’ - p. ’r 195Kit y, rifler: de 161’an ,- efiélevé au degrél de Tdfnu a’r l’Empereut Van ri 5 pourquoil exilé; ca e de la mort , 4s r. ml. z. Mé-
moire qu’il avoir pléism’é à cet Empereur , V
A 4.12. il 7.K; pli, premier Minime; fa réponfe a fa
œurÈmP ’ h . 3 82.En: « *’ersur-, pourquoi en erreur,
’ ml: z. Dernier de la famille 1’!!ch défait;
"mirasse-x:
mm TABLŒ DESfè’eiile à N au d’un, où il meure; 296. Ufage ’
que les Chinois font de fon nom , 297. Ce ’qui en cil dit dans le Mcng tfië , 3 3 5. cal. z.
- ’ apical. a.Kim ,Woyez Fou.Kim 8: Tfe , emploi ancien riccies caraéieres;
i ce que confirme leur figure , 24.04K 1 EN rue N T1 , Empereur , entreprend la
«conquête de Ou 5 comment il y réulfir r,471
King , flignification de ce mot , 3 :4-Kiling, quel eli cetanimal, rôsntbl. 2. 4.86.
’ 556. n.«Kilo», Voyez Gaz 7m. p«in ou livre Chinoife , de loombienïd’onces
k compofe’e , r 8.9«in , efpece d’infirumenr de Mufique, 439. --Ë
k 4 . 50L 2.«in , fignification de ce caractère; 14.0King, lignification de cette lettre, 1.86. 33LKing, Livres anciens ,10:? [202g , Doéteur Chinois , acculé d’avoir
4 teré Le texte de l’y king, 291. ce]. z.Kir: bang , infimâion qu’elle donne à fou
fi s , p 6’69. à fine.King [mg , defcripn’on de ce Mûrier , a. I0King fan, nom moderne de cette Ville, 38:.King trbing , la propofition a l’Empereur
Sain ri, 4.79. Examine’e au Confeil , elle
e11 rejette’e , A 4.80King ’te [bing ( le Mandarin de) fait faire de laPorcelainequi imite l’ancienne, 2.07.. Ml. z.
-K 1 N G T 1, Empereur, Ordonnance qu’il faitpublier fur les Jugemens criminels , 396.Autre fur l’agriculture 8: fur la vigilancea: le définterelîement recommandez aux
Magilirats , 397.K IN c v AN a , Empereur, tems defon re ne;par-rage de nouveau les terres -, loix qu” reà
nouvelle , 69Kir: [gang , Roi de Tji, ce qui lui arriva aufujet ’un cheval qu’il aimoit, 6 3 z. à faim
Kim fin , Gouverneur de l’ing la , voyez
Meunier. VKi fing , fauve la vie à l’Empereur Km: afinaux dépens de la. fienne , , 4.8 8.41.
Ki tan , quelle en cette fouverainete’ , 4.8 r . n.
Kiu, ce que c’ell, v 3m. n.Kilt in, quel efl ce degré , examen qu’il faut
fu ir pour l’obtenir; bit de ceux qui l’ont,a. i7. Pour obtenir le Doôtorat vont à l’alting;examen qu’ils y fubifl’ent 5 s’en difpenfe qui
veut , z 57. à col. z. fontca ables (lelieu-ve-mir aux charges ,0 quand i5 renoncent auDofiorat , 27 5. Ceux qui le rendent à [Mainà l’examen triennal g nombre de ceux-la.qu’on éleve au DoEtora’r , 2,7. ral. 1.
.K’iun,vce que c’efi , 4.07. ’*Kiuyaen , qualité de les poëmes , 2 851(an nimng , remier Minifire de Tthmng
yang , Roi e Tfi, 4,87
Km raki , Papier le plus en Aufage à la Chine a
4oi. ml. z. * »
KM’A T .1 ErR r5 .8.
Kong me, ce que chioit cet ancien Minimedu Royaume de Tjîn , - . 4.20
Kong quang , Miniflrede l’Empereur Ngai ri; gZpourquoi il propofe de détruire les Palais. ides ancêtres de ce Prince , 7 4.64. cal. 1.
16mg fia; bang , Minilhve-d’Etat; pourquoi ilpropofe de défendre l’ufage de l’arc , 44.4;
’Kangjn , Mémoire qu’il télenteàl’Empereut
amen ri, 449. FruitK0 zcbu , voyez Tibia.
K0 teng, voyez H04 tmg. lKami; in, Déclic célebre à la Chine a com-ment repréfentée 85 par qui invîquée , zoo l
Km: du; , quel ell ’c’et arbre; [on page 14.8.
voyez 7 dm kan. ’«Kan je , lignification de centre du Commen-
taire de Ca Mi , 318. cal. 1..
la compofition , V 2.4.3Kan m6131 , la lignification , 4.11.11.Kung bing , ce qui ell: dit de cette Princeflè
dans le Siam lm , 375Kimg mng trima, voyez Mamies. 7Kung y , endroit par lequel il le rendit fan
mon , 1.73. du ral. a.L;
ABOUREURS Chinois fort du.mez; préferez aux Artifans a; aux
Marchands , 64. Leur attention; ne lailïentaucune terre inculte , 65. Leur maniera decultiver la terre; leur. indulh’îe à arroferles campagnes , 66
14:: les plus confidérables de la. Chine , a
v 1 5 îlai tfl’ refufe les (préfets 8: les dignitez que
lui oflte le Roi e Tj’ïm , 678Lame: de labre fort recherchées à la Chine ,
.1 7 t ’ .
La me? , defcription de cet arbre , 149Langage Chinois , la diEerence , 22.8bing in pu , defcription de ce: arbre; ufage
de (on fruit , 14.8. ral. z.’Langue Mandarine, quelle elle efl , 224. ral.. a. a fort peu de mots a prefque tons compo-
pofez de monofyllables , n’y.Langue Chinoife (la) n’a rien de commun
avec les autres; a autant-de caraéieres sade figures difièrentes ue de mots , La con-formité avec celles de ’Europe , 22.4. fansaccens , Il 5. cal. z. La plus riche de toutes ,229. ne peut s’écrire en caraéteres d’Europe, 0
- z 3 oLamant: g ( Fêtes des ) quand elle commenCe 5defcription de la cérémonie de cette Fêter,
O 96. ml. 1. à Il. 97.La , Set-1e voyez F05. . ; . .Lenng (le) ou Taël , ce que c’efl, 1Lmug k: km; Miniflre d’Etats tâche d’4 ’l g
’ a.
[on difcours, 4.5: E
y
I
TABLE DESà la Cour Tihll bi 5 réponfe qu’il en reçoit ,
6 o 6Lena 71mg , beau trait de .an union avec les
fretes , rapporté dans le ’Siao [yin , 3S 3.
. cal. 2.Z3507; ( belle) que donne un Empereur aulemme Prince qu’il biffoit pour héritier ,
* I 2.66.50]. 2. &p. 1.67.Leçon: 8: Prétepre: anciens , pourquoi en
vers 8: en forme de chaulons , 1.67Lettre: Chinoifes , chacune a la lignification,
’ 227lettre: , formalitcz qu’il faut obierver en lesécrivant; [file dont on doit fe [ervir ", dillan-ce qu’il faut laifïer entre les lignes , 1 1o. Ma-
niere de les envelopper , t 1 rLettre: (les) plus efiimées à la Chine que les
I armes, 284.Lauren. ( les) raifon deleur afleéiation à lailTercroître leurs ongles au petit doigt, 80. tu].2. Defcription des honneurs extraordinairesqu’ils doivent rendre aux Legillateurs ,fur-tout à Confucius , 10;. Ce qu’ils doiventfçavoir , 216. Leur attention pour l’écriture;noms qu’ils donnent à celqu’ils employeur
pour écrire , 24.9. ral-.- 2. Emploi de ceux quiont pauvres; ce qui les eut tirer de la mi-
fere , 264.. Comment is parviennent aux
Charges , V :72Li , Mont choifi pour la fepulture del’Empe-reur CM [yangs defcription de ce [omp-
tueux monument a 4.07Lifizlz’: publiez en Efpagne Contre le Pere
VerbielÏ , V i 4.9Linntieæ &IBmhelier: Chinois , jufqu’où vaV quelquefois leur nombre , 28 5. ral. 2.Li phi , ce qu’il rapporte fur 1’! [ring , 294.
ral. z.Lié nia , fi nification de ce mot , ’ 668. n.
p Lina, m0 cliie de ce Doâeur, 34.8. ral. z.Lima Cenfeur , pourquoi mis à mon , 63 6. n.Lieu: thé , expofition qu’il fait des avantages
de la vertu ; en quoi il la fait Confifier ,p 4.72. de fili’U.
liron 12mg , forte remontrance qu’il fait à’ l’Empereur Tching ri fur les dépenfes ex-’ ’cellives , 4.53. Fruit de fou difcours fur
l’ef rit de ce Monarque , 477. Son autredi cours au même , 4.57. (al. 2. efl élevé àun emploi confidérable par ce Prince , 4.58
L115 0U P AN c , furnommé K40 ri ou K40’ tfau, ce qui en cit dit dans le mémoire de
KM y , préfenté au fils de ce Prince , 419.cal. 1. à; n. Recompenfe de celui qui ledélivra du danger où il s’elttrouvé ,
. 6 3 6. n.Lieu au huai , ce qui en refilent dans le M mg
fié? , 360. col. z.’ Liez fié, premier Minifire , inflruétîon qu’il
donnoitàfes enfans , 375. [D]. z. à" p. 376Lieu gnan , Mandarin , preuve de l’empire
Tarn: Il. * ’ "
. ,.1..
MATIÈRES. 707qu’il avoit fur luihmême , . 384.
Lieux de refuge; quels ils font; leur ufage 5comment fortifiez , au. ral; 2.
.Lij [au , premiere Cour fouveraine; les Tri-bunaux; les foné’tions , . 2. 3
Li Ici , cinquième Livre canonique du premierordre -, lignification de ce titre a Livres 8:Ouvrages qu’il contient; [ou principal Au-teur, 318. Sa matiere, 318. and. Lefiunde ceux qui furent brûlez par ordre de l’Em-pereur Tfinfln’ bang 5 pourquoi il palle pourimparfait, 518. ral. 2. à p. 319. doit êtrelû félon les Chinois avec beaucoup de cir-
confpeêtion , 3: 9. ml. z.Li ki , Concubine de Kim kang Roi de Tfin ,fait par les calomnies érir les Princes hé-ritiers , 8: place [on s fur le trône , 630.
. 6 3 tLi kidng, Mémoire qu’il préfente à l’Empe-
rent Hier: tfang , de concert avec d’autresMinilires , 52.5. Effets de ce Mémoire ,
v 5:4-Limon: 8: Cimnr fort communs à la Chine
8c de diflèrentes efpeces , 14.3. ral. 2.Lingot: , ufage de ceuxiqui font de l’argent le
plus fin , 1 1 64.Li Men trhing, nombre des bouches de cettefamille, comment elle vivoit, 1.7 3. cal. 2.
. Li fié. Ce qui l’engagea à s’appliquer avecplus d’attention à l’étude qu’il vouloit ahans
donner , 27 2. à [a]. 2.’Li pan , troilie’me Cour fouveraine; lignifica-
tion de ce mot; (es Tribunaux fubalternes ,24. La]. z. efi le Tribunal des Rits ; fa réponfeà la lettre du grand Duc de Mofcovie écrite
à l’Empereur , 9 Q. mi. z.Li fiëe , Miniiire de Tfin 511i bang , (gavant
8.: poli , 287. Sa remontrance à cet Empe-reur , 389. ml. 1. Son caraé’tere , 5 91.
cil. 1v.Lit de cendres froides où l’on enfevelit l’ -
cré nouvellement faire , fou utilité , 14.7Lits. Leurs ornemens &l’trué’ture , 87Li rfiza pi a; Ton n mari ,*Poëtes aufquels ils
peuvent être comparez , 1. glim’mtnre Chinoilc , A 234.. ce filivanter,Lin , lieu de la naiflàrice dece Lettre", Loix de
l’efpece de focieté qu’il avoit faite avec plu-
lieurs de les Concitoyens pour travailler àleur perfeétion , 377. à» ral. 2. ôp. 378.
Lin , nom d’une famille , 4.1 5. n.li un; ining , la ré onfe fut ce qu’on lui dit
que le vefiibule e la maifon qu’il falloitbâtir n’était pas affez vafle , 384.. cal. 2.
lin pan mai , Précepteur de l’Empereur Tfinrhi badflg , Auteur d’un excellent ouvrage;amateur de l’Antiquité», 286. tu]. 2. à pl
l a 8 7Livre Chinoile , divifion de fes dili’erens poids,
167. Voyez Kin. .Livre de: forts, voyez Y king.’ R r r r r r r r
708 l T B L E D E SLivre d’hiilzoires qu’on a. foin de lire aux en-
fans ; extrait de ce Livre , 1. 6 9. ei- Monter.Lime des tranimutations , appelle Y [ring ,
table de les foixaute-quatre figures , 290.
i filin.Livre clanique , compofé par Vtri 214215 ,Tcheau kang, 8c Confim’m, ce qu’il iaut faire
pour en fçavoir la doElrine , 9.93Livre: qui traînent de la Philofophie Vnaru- e
telle , d’où viennent les erreurs qui s’y trou-
vent , 2.8 5. tu]. z. Matieres des Livres Chi-nois; ceux qui [ont appellez Lima filma,286. les plus armoriiez dans l’Empire , 1. 8 6.ml. 2.. Ceux de la premiere claire g prelquefur le point d’être anéantis , 286. Commentils furent préfervez de l’incendie , 2. 87.
tu]. 2..Lin yang , belles paroles de ce Doéleur rap-
portées dans le Star lm , 3 8 zLa du: , voyez du.La ibid , voyez Ha nm.Lai qui défend de vendre une femme avant le
rems de ion deuil expiré , (cuvent négligée ,I 2. 2. Ml. z.
Loix contre les défordres 8: les injullices desMandarins 3 leur défendent de polledercette charge dans la Province de leur fa-
. mille , 38. 4o. leur interdifent la plûpartdes plaifirs ordinaires , 43. col. 1..
Long, que] cil: cet animal, 1 56. n.La men trbi , efpece de papier; les qualitez ,
14.0. Ml. 1..Zou , Royaume, patrie de Confiu’ilu; ce qu’il
cil; aujourd’hui, 3 l7. cal. 2.Lou [tu laina , defcription de ce pont , 92.Ian trhi expofe à l’Empereur les défauts du
Gouvernement; lui fournit les moyens d’yremedier, 517. é- fuiv. Sa remontrance à
la Majefié , si 9Lime , comment repréfentée par les Chinois ,z y:
[un fil , troifiéme Livre de Canflm’ur 3 (igni-ficarion de ce titre, 3:4. ml. z. Sa matiere,p.9. Précis du contenu de chaque article ,
. 32.9. cg» fiiwnter.ly, poids ; la valeur , ’ 139z] , ( la Dame) exemple qu’elle donne de l’a -
torite’ maternelle fur les enfans , 170. col. z.I] mm pé parvenu aux premieres Charges de
la Cour , il y conduit la mcre ; remontrancequ’elle lui fait, 174. col. z. â- 12. 2.7 5.
Lys, ce que c’efl; combien dix font, q 53. *
M.
A lignification de ce camflere ; traitde raillerie donné au fujet de ce mot,
, 1 55Macao , préfent que cette Ville fait à l’Empe-
reur , 4.7
MATIÈRES.Maifan: ,- leur (linaire , leurs ’ornemens ;
celles des Officiers 8: des Grands-Seigneurs,
. 8Maître: d’école, oinrdeVille, deBourg, ni
de Village où i ne s’en trouve , 154.. VoyezPrqflfleur. Ce qu’ils font pour allurer leurfubfiflance ,’r6.;.. à» ml. z. Refpeé’c que les
il Chinois ont pour eux 264.. (au col. 2.. Com-bien les Sçavans Chinois releveur leuroccupation , 2.64. ml. z. à» p. 2.6 5. Incom-moditez quuelles ils font lisiers s pourquoi "la plupart ignorans ; à quoi utiles cepen-dant , 165. Ce qu’ils doivent faire , lorfqueles enfansrecitent leurs leçons , z 67
Mandarin: Lettrez ont la liberté de repre’fen-ter à l’Empereur les fautes ’il commet,r 2.. cal. 2.. On en avû que niÎËSVfupplices ni
la mort n’ont pû retenir dans le filence ,lorique les Empereurs le font écartez deleur devoirs, i3. On leur dii’tribue tous lesleurs à Paking leur néceilaire ; en route onleur fournit ce qu’ils ont befoin, 16. ml.2. aident l’Empereur à foûtenir le oidsdu Gouvernement g par-ra z en (li .erensordres; fubordinarion gar ée enrr’eux , 22.LŒIS noms , 28. 8a leurs difierentes fon-élions , 2.82.. infiniment jaloux des mat uesde leurs dignitez, 28. ml. a. Quelles ontces marques, 1.8. Ml. z. 6*- p. 2.9. Leurfacilité à ouverner les Provinces a à uoîattribuai prompte obéiiïance qu’on eurrend ; ce qui leur attire la vénération despeuples , 2.9. Cal. z. Leur pompe en public,19:50]. z. â p. 30. Ce qui fe pratiquelai-[qu’on veut leur parler hors des heuresd’audience , 33. cal. 1. En quelque manierarefponlables des vols 8c des allailînats quile font dans leurs départemens, 37. ml. 1..Voyez Loix. pailenr en revûë de tems entems g leur conduite cil examinée g’comment
fe fait cet examen , 39. Ce qui les contientle plus dans leur devoir , 42. Ce qui eiiarriverai un d’eux dépofé , 76. Leur magni-
ficence dans les voyages , 88. tu]. 2. Com-ment ils le lainent dans les ruës , Io 2.. ml. 2.Avec qui ils ne dpeuvent contraâer mariage,m. Ce que it un d’entr’eux voyant. laBibliotheque du Pere Denrrecolles ,’ 2.66.Pourquoi ils vifitent les boutiques des Li-
braires , 2.66. Ml. z;Mandarin: d’armes ou Ûflïim de guerre ,examens par lefquels ils doivent palier ;degrez où ils peuvent parvenir; lieux où ilsfubilïent l’examen , 43. Leurs Tribunaux ,47,. cal. 2.. Leur ambition; rang du premierd’entr’eux; leur train, 4.4. font faire regu-lierement l’exercice à leurs foldats, dont ilsfont la revue de teins en tems 8: vifi’rerzt les
armes , A 4.4. Ml. 2..Mari", Province on il efi fort commun ,86. Comment il faut préparer celui à broyer
TABLE DES ilt l’Encre , loriqu’on veut écrire , 2.4.9glanhnndzfn, celles que portent les Chinois* au Japon , loriqu’ils artent des Ports de la
Chine , 171. 8: u’i s en ramenent, 171.rai. 2.. à Batavie , a Manille, 172. 8: qu’ils
en emportent, 172. Ml. 2..Marchand: de bois 8: de fel, comment ils
voiturent leurs Marchandifes , x99. Voyez
Radeau. - - a IMarther vite , lorfqu’on aile devant une per-forme de difiinâtion , e une marque de ref-
peét , mMari :9: Femme , leurs devoirs , 368. â- tal. 2... ’ à" p. 369.
Manager, comment ils fe contraëtent parmile petit peuple; parmi les perfonnes de con-dition , l 19:01. 1.. à ne. ml. 2. Seconds
. Mariages en ufage , in. Cas qui les rendentnuls , 12.3. interdits aux enfans dans le temsdu deuil de leurs pere ou mere , i z 3. col. 2..
Mmfmz’n: , leur ufage à la Chine, 2.07. â-
, cal. z.Martini , ( le Pere) la defcription du fruitd’au km"; mm , 14.6. du fili’U.
M arbematiqnesæ Ajirnmmia , rincipale étu- sde des Chinois dès la fou arion de leurEmpire, 284.. ml. 2.. Ce qui a engagé cespeuples à s’y appliquer avec plus d’exaéti-
tu C , ’ . 235Maxime qui regarde les Princes , tirée d’r
king , 4.ï 5
Maxime: des Marchands Chinois, 170. Cel- ’ eles de leurs anciens Rois , z. 9 8. (a. fumant.
Maxime: en général , l 4.6 5lité , lignification de cette lettre, 14;. tel. 2.Médecin: Chinois, en quoi ils fe diliinguent
davantage , ’ 28 5Mai fan, placet qu’il préfente à l’Empereur
v Trbing ri , 4.59. Succez de cette Requête ,’ 4.69. [a]. z.
Met ba , nom d’un petit Etar , où limé , 48 lMei [in , Montagne , où fitue’e , 89Ma trbing, fujet de la lettre au Roi de au;
. 4. 3 6Melun: de difi’erentes efpeces a leurs proprietez,
r 14.3.4211. a.Mander, voyez M ëng a quitte le Royaumede Guei , 8e va dans celui de Tji, 3 3 6. sondialogue avec le Roi de (huai , 3 3 5. du fiai-tmntrr. avec Siam mmg , 3 36. col. a.à p. 337. du flânant". avec fou DifcipleKan fin flâna , 339. à filiflamttl. 3 6 I.â- uiwznm. avec Kim tf2: , Gouverneurde la Ville de Ping la , 34.2. Ml. z. avec la,un de les DiIciples, 3 4.2 . [01.1. avec le PrinceV en kans 34.1.. é- fili’uflfltfl. avec Cbinfiang , 34.4.. ml. 2.. Ses initruétions à Clinmi fi [on Difciple , 34. 5. à: firmans. Saréponfe au premier Miniflre du Royaumede Son , 34.5. étal. 2.. Ses réflexions furla con aire de quelques Primes , qui dans
MATIÈRES. 709-le Gouvernement ne fuivoienr que leur ca"
i price, 8c négligoient les anciennes Loix a l34.7. à. farinant". Sa réponfe à un de fesDjfci les, 34.8.nl.2..cl«p. 34.9. Cequ’il faitvoir ans le feeond Chapitre de la lecondePartie de ion Ouvrage , 34.9. à fiivanter.dans le troifiéme , 351. é- filiv. dans lequatrie’me , 3 52.. a» 24m. dans le (ixième ,3 56. â- fuivanm. ans le feptie’me , 359.d- fitiwntrx. Sa réponfe à Siu, un de les
. Dilciplea, 350. Ses réponfes aux difiiculttzpropofées par fou Difci le KM tfeë , 3 54..à fliunntes. Sa répon e à Kiaofrere cadetdu Roi deT au , 356. du ml. 2.. Son entrea
’ tien avec le oéleurSnng king, 356. :01. z.
’ P. 5 s7.M mg , Livre dont il cil Auteurs Ion origine,334.. Voyez ’
Mrng tfi’ë , quatriéme Livre de Canfiaria: ,publié par Mrng tfi; fa matiere , 32.1..[a]. 2.. 3 34.. ei- ml. 2.. Divifion de ce Livre,334.. ml. z. But de ce Livre , 334.. [a]. z.à p. 3 3 5. Contenu du premier Chapitre dela. premiere Partie , 335. à tel. 2. 6* p.336. à fun). du feeond , 337. à monter.du troifiéme , 3 3 9. à filiwtntzx. u quarrie-me, 34x. èfiziwnter. du cinquième , 34.1..à flinanter. dufixiéme , 34.5. éfiu’wnm.
du premier Chapitre de la feconde Partie ,347. ô- fitiwtnrex. Voyez M enfin: , du cin-uie’tne , 3 54.. àfuiwtnter. Voyez M enriur,
u huitième , 3 6 I. à fiionntes.Men MIE? kirn.Gen p: miaou, Chung [rang sa Yen
5mm; Difciples les plus célebres de la pre-miere claire de ceux de Confucius 5 à quelâge cil mort le dernier , 3 z 2
Mm: (les ) ne relient point à la Chine , 2.71.Vertu 8.: généreux défintérellement d’une
mere veuve qui fauve la vie à fou fils , 6 90.’ tu]. z. à fili’tl.
Mina , rebelle dont il cil parlé dans le Chu
bug , 3 ocMine: de charbon de pierre, defcription 8cufage que l’on en fait , l 4.4.
M ing , lignification de cette expreflion , 4.4.1. ’à -n. 596. n.
Ming rang , ce que c’ell , 4.2 2. n.MING T1 , Empereur; ourquoi 8e en miel
rems il envoye deux Am affadeurs en Occi-dent; ordre dont il les charge , 3: 3 . cal. z.Sa réponfe par écrit au Placer que lui avoirpréfente’ [on Minifire Onenynng, 4.66. Em-
loi important qu’il offre à 2’24 1mn , qui’en remercie 8: le fupplie d’en grari er un
autre , 4.7 6Minijlrrr , voyez Rai. Devoir d’un fidele ded’un fage Miniilre , 406. Ce qui caufe quel-quefois fa perte , 407. rrès-ne’cefi’aire a un
Prince qui vent bien gouVerner , 4.07. ml. z .’ Caufe de la dépofin’on d’un , 59 3
M inifln’: d’EMr , comment regardez dans les
7 I Ol premiers tems , 8: traittez par les Souverains,
616. dans la fuite 8c à prélart, 616. MI. z.Plulîeurs d’eux mis à mort iinjufiement par
les Empereurs , 617. Exemples de leur de-voir envers l’Etar , i ’61 8
Min [un rang , ce que c’efi , 27 5 tu]. z.Min [un , comment il s’acquit l’amitié de fa
belle-mere , 267. 1:01. a.M irvir d’or ou le précieux M irair, ce que c’eft,
483Miflîunnaire: , cérémonies qu’ils bferverent
dans l’audience qu’ils eurent de] Em ereur,
10. [a]. a. parcourent les matins es ruespour baptifer les enfans expofez, 74.. Com-ment ils attirent les Infidéles à la Foi , 78.Leurs peines àdîlpprendre la langue de tantde Provinces ’ erentes , z 33. [a]. z.
M aide: , difliculte’ d’en exécuter quelques-
uns en Porcelaine ,Mari , lignification de ce mot , 307. n.M a lien , delcription de cet arbre 8: des fleurs
qu’il produit , 149Manartlyi: Chinoife , Ion ancienneté 8c fan
étenduë , 1. d- [vivantesMang in, ion hifioire , x 663- Üfili’ü-M0713 y fille de flua promlfe au Prince de 77:;
Ion extrême attachement à l’oblervationexaéte des rits Pratiquez dans les mariages ,
535.:01. a. 5m12. ses.Mmofyfldées , leur aflemblage forme des dif- i
cours fuivis; cet art cil fort difficile fur-tout
en écrivant , z 1. 5. Ml. z.Manne]! qui a cours àla Chine, 16;. Ufa e
de celle de cuivre , 164. De combien efortes on en a vû dans cet Empire , 16;.Leurs difl’erenres formes , 165. col. 2.. ne lebat pas comme en Europe , 168. Certainesaulquelles on a attaché des idées fuperlii-
rieufes , . - 1625. Ml. 2..Mantagm’ d’où ferrent deux rivieres , 9;.Meulage; , les unes couvertes d’arbres de
toutes efpeces; les autres célébrés a1 leursmines , leurs fontaines minerales , feints lim-ples 8a leurs mineraux , il 4.4.
Manumem. En quoi confident ceux élevez àla gloire des Princes 8: des fçavans , 92.
.Mwmmm: de pierres , voyez Cl]: pet:Mari; , comment enfevelis , 1 2.4.. ml. 1.. Il
cit défendu de les ouvrir , d’en itirfl lesentrailles 8c le cœur pour les enterrer fepa-rément -, 8: de les inhumer dans les Villes ,
. q I 21Mot, un même mot peut être nom 8c verbe,
propofition se adverbe , z. 3 6Mou , fa lignification étant feul , 225. 263.
:0]. z. ’* 673. n. jointàd’autres mots ’, 7.1. 5
Moulins. Comment efi: conflruit celui à mou-dre le bled , 1 1 8401.1. diKerens à la Chine deceux d’Europe 8c moins embarraflans , 2.06
Mé né, principe de la Seâe qu’il forme , 346.
tu]. 2. qu
TA-BLE DES M A T I E R E S. .M «raille (la grande) uand de ar qui bâtie ,’
4.5. cal. z. Caufe de adurée cetouvragejufqu’â prêtent ; ce qu’il a de furpreuanr ,
. , 4.5Murailler. Comment font bâties celles quiforment l’enceinte des Villes , ’
Merlan, terrains pour leur culture, 205. ml.z . de deux fortes , 2.08. Maniere de les élever8: de les cultiver , 2.09. Leur bonne 8a mau-vaife efpece; comment on peut les rendremeilleurs; ceux qu’on doit relater; choixqu’il en faut faire; les meilleurs , no. Qua-lités de ceux de [au 3 art de les raleunir ,2.10. [a]. 2. Comment on peut empêcherqu’ils ne lang’uilfent; maniere de les tailler ,
211. Ufage de leurs branchages , 212. Onfeme aufli de leur graine; comment on em-pêche leur trop grande croiffanée , [2.14.
[0 . pl.Mnfi , où il le forme; de deux fortes , 154.Mdtilan’am pour crimes , 395. ne font plus en
ufage , . 594.
441? KING , Ville , débit qui s’yfait d’Encre; d’où elle le rire , 248.
Maniere dont on imprime en cette Ville ,2 se. ml. a.
Natian Chinoife 9 ion cataé’cere; ion génie ,75. â- fine).
N arion , chacune a ion énie St les manieres,398. re arde comme arbare celle qui latraitte e’même; ce qu’elle efiime cil fou-
vent méprilé dans une autre , 99Nerf: de Cerfs , mâts délicieux des Chinois a
les plus en ufage dans les fefiins des Grands ,
4 1 1 8Nez. ( couper le ) fupplice qui n’efi plus en
ufage à la Chine , 394.Ngai rang, Roi de L011 5 ce qu’il dit à lanouvelle de la mort de Confucius , 32.4:
. N c A I T 1 , Empereur; réforme la Mulique -,
pourquoi, z 4.05N 42’ yang , Roi de Gui, fait aller danse Palais de fes femmes une fi e deliinée
in: le Prince ion fils , 68 3. ml. 2.. Ce qui’oblige de la lui rendre, 684.
Ngenu yang fient! , fujet de la remontrancequ’il pré ente à l’Empereur , un. fuira.
l son. mémoire fur la difficulté de bien re-gner, Ëïl. Son difcours fur la vanité dece que le vulgaire appelle heureux augures;où cil: inféré ce difcours , g 56. à fifi). Cequ’il dit fur le tems des cinq, Dynaflies ,558. Sujet d’un difcours qu’ préfente à
l’Empereur, 559. ce [au Son difcoursfur les Eunuques 8: autres qui abufent de
la faveur du Prince , 644.’ Nid:
.T A B L E D E S.eNizl: d’oiieaux , ragoût des Chinois; de quoi
confiruits , 1 1 8Nim ngzn , la remontrance à l’Empereur
L Vnz ri , y . 1 4H).. Nina ban , uiage de cette eipecede colle ,« I I 14.7. cal. 1..
Nolln , ceux qui ont ce rang , 60’. 6 1Nallefle (la) n’elin in: héreditaire; ce qui
V y donne rang,15 . Ses dégrez, 58. ml. 1.A qui ils ion: accordez , 59. Quelles en (ont ’les principales marques; palle des enfans
, vauxperesecaux ayant, 61.00l.2.Nom, ce qu’en fait pour en déterminer le
’our, 1 zo. cal. a. Préient ne le fiancé faitnia fiancée; comment il a reçoit de les
rens , ’ 1 2. t«Noël (le Pere,) Millionnaire , a traduit en(latin les Ouvrages de Confucius , 324.
cal. 1.l Nqir 8x autres couleurs mélangées-5 maniere
v de les faire, 189. à fion.4Namlre: Chinois , leurs particules , 137.
I «1’11.l Nm: Chinois politifs, comparatifs,&idper-
latifs , a; 3î Nue; qu’on donne aux Mandarins ; commentlotit conçues , celles-qui font favorables oudeiavantageuies , 59. ml. z. EEets de ces
V notes , 4oN41.: (la) à ion entrée on ferme les portest des Villes 8e les barrieres des rues, B: onq arrête ceux qu’on y trouve , 5o. ml. 2.Nfli yuan , Tribunal ainlî appelle; ies Offi-
l ciers; leurs ronflions , a 3O.-
. B S E Q U E S. Deicription des céré-A momies qu’on y pratique , 1 z 7Ode: choilies du (Mi bug, traduction 8: titre
de la premiere, 8: de la féconde , 309. du[a]. z. de latroifiéme, 309. évial. 1. à Il.310. 311.. delaquattiéme, 311. 311. de lacinquie’me , 31;. à Ml. 2.. de la lixiéme ,514. 3151 6* pal. 2.. de la ieptiéme , 315.316. à- rnl. z. de la huitième , 316. 317.à col. z. Pourquoi on ne voudroit pas ga-rantir la traduction de la; cinquième; liile
delafixiéme, 313.11. a.on tzliing, Minilire de l’Empereur Taiitfimg,
la remontrance à ce Prince , 4.97. à fifi.vanter. Réponie qu’il en reçoit, ses. Sujet
de la féconde Lettre au même 5 Diicours’ A qu’il lui préiente, 506 *’Ofi’afer; de guerre , voyez Mandarin: d’ar-
mes. , 4 A vÇfimrr Généraux , Gouverneurs dans lesProvinces , ont d’autres Officiers fous eux;alliaires qu’ils jugent; de qui ilscreçoivent
les ordres , a7. ce]. z.A Tom: II.’ *
MATIÈRES. 713afin; iemblable au Corbeau; inflruirpourla
pêche , 14.:0 lama , uiage de cette colle , 2.4.6. ml. z. sa
compolition , 2.47Or , ion cours à la Chine; comment on l’ache-re , 163. Comment il s’y vend; tems auiquelsil y eii à bon compte , 17;. Maniere del’ap»plique: fur la Porcelaine, a: de lui rendreion lulire loriqu’il cit terni , 192.
Orange: excellentes , de plulieurs fortes , 14.30rdnnnanm’ des Empereurs, 3 3 . fervent de tex-
te aux diicours des Mandarins , 34.. a» fili’U.Celle que fit. publier un des Empereurs dela Dynaiiie Tang , 496. Ce qu’elle contenoit,
497. cal. a.Ornemen: des failles 8.: des cabinets des mai-
ions Chinoiies , et 86. cal. 1.cyme," des morts ne s’entalient pas les uns
fur les autres comme en Europe , 12.5On , lignification de ce mot , 4 3 5. n.au Royaume , 471. Le Roi de ce Royaume
envoye demander la veuve de Pekang Roide wa; réponie qu’il reçoit de cette Prin-
celie , 686. ml. 1..01mn , lignification de Ce mot, 441. * 4.50.tu . z. *
0114715 En, Minilire d’Etat; ce qu’il repré-iente à l’Empereur Ngai ri; exemples qu’il
apporte pour preuve de ce qu’il avances fe-conde remontrance qu’il fait à ce Prince ,
462. Effet de celle-ci , 4.63Onang 115471 [la , Miniiire de l’Empereur Gin
tfanga extrait de la diliertation , 564.. d-fizi’v. Sa remontrance à l’Empereur Gin
rfing, 561. âfiiry.0mng 011m , élevé aux premieres Charges; cequ’il diioit loriqu’il touchoit les appointe-
mens , :73. col. z.Onangyng , M agilirats ce qui ell: arrivé à fa
veuve, 558;:01. 2.Ouang yang min , à quelle occafion il avoitcom olé ion licours fur le filence , 654..à un): Son difcours fur la mort de Haangloir» feu pete d’un de ies Diiciples , 655..à film. Sa réponie à deux de ies Diiciples,659. Son exhortation aux mêmes , 660. Su.jet de la Lettre qu’il leur adrelie , 664.. àjuin. Sa réponie au Trln’fan , 66 g. âfiivy.
01mn lin , ion difcours contre les mauvaisiens tienne: à l’expreliion Ming , 596.
filin.0m , frere de I’Empereur Tristan s ce qui en
cit rapporté dans le iecond Paragraphe duChapitre quatrième du Siam Inn , 374. ml.
, , z. et p- 5750112i , autrefois un petit Royaume , 4.07. *0m p: yn , fa ré ortie , pleine de loumillion
8: de tendreiie a a mere , 2.70. ml. 2.. àf. 7.7!
014m bang , fameux Maître de la Province de. ,Se teintai 3 uiage qu’il introduit, 261. Ml. z.
S i i i i i i i
r-gpmçæmmrznwz) w ml. I
0mm lm"
714 ’TABLE DES011m yang , Minime de l’-Enæereur Min t1 ,
pourquoi il demande la petmillion e le
retirer de la Cour , 4.66011 beau , la réponie à l’Empereur fur ce qu’ilvouloit défendre au peuple l’uiiage de l’arc ,
444011 Menu 111w , arbre imgulier à la Chine;
ion fruit , 14.6. finir). Maniere dont ontire le iuif de ion fruit , 147. col. z.
Un king ,Livres qu’on appelle ainfi , 2 8 6Un ling , flgnificationdeceterme, 507. n.Ou 71men , enfant de huit ans; grande marque
de tendreiie qu’il donne pour ies parens ,
w 1 69. cal. 2.pu tan ehn , deicription de cet arbre lem-blab e à nos Sycomores , .1 4.9. ml. z.
Ouvrier! en Porcelaine , leur adrelie à la ma-nier s: à la mettre en caille , 196. Leursdilficulrez à exécuter certains medeles d’Eu-tope , 199. Leur talent extraordinaire à fairede Porcelaine des liai-tannais de Mufique
8: autres , zooGrainer: en [bye , où ie rendent les plus ha-biles 3 pourquoi ils ne fabriquent point desétoffes aulIi riches qu’en Europe , 2106».
t0 . 1.Ouvrier: Chinois , leur talent à coller le Pa-
pier, 14.1. cal. z. Occupation de ceux dea Manufaélure du r’habillage du Papier ;
lieu qu’ils occupent ; leurs mariions ; cequ’on y voit , 14.4.. [01.1. Leur travail , 24. 5
P. .A , quel cil; ce nom a: àqui on le donne,
650. ce]. z. n.Pagade: Où l’on en trouve en quantité; leur
niage , 4 52Pair , Symbole qu’efi ce nombre chez les
Chinois , 194.Pfllnir , ce qui fait leur beauté se leur magni-ficence chez les Chinois , 86. Leurs prin-cipaux ornemens , 86. ml. 1.. Il y en a danschaque Ville pour iervir aux Allemble’es desSçavans ; noms diflerens que leur donnentles Lettrez, 105. Celuide inéauxexamensdes Graducz; plus vailles dans les Capita-les -, deicription d’un de ces Palais , 2m.à en]. 2. Nombre et deicription de ceuxdepuis Kienaîlengjuiqu’à Yang, 4.06.:ol. 2..
Palais Imperi -, il n’eli permis à erionnede palier devant la grande porte a chevalou en chaiie , 1o. Deicription de ce (omp-tueux édifice, 17. a» fll’vdnn’l’.
(1’11 lin , nom d’une Montagne , 4.54.. ”l’an , lignification de ce terme , 4.34. *P40 liia f1 , Gouverneur de King [En 5 fait
rap orté de lui dans le S140 bio , 38 11’40 eë, uclleeli cette femme, 5 1 peul. 1. n.Z740 ta , méture de ces tours élevées dans
MATIÈRES.prefque toutes les Villes , 9;. en]. 1;
Papier, ion invention fortancicnne à laChi-ne , 139. 2.4.0. Sa linelle , 139. Sa compoli-tien , 239. 241. tel. 1. Longueur de iesfeuilles , 239. cal. 1.. 2.4.0. pal, a. Ce qui l’em-pêche de boire, 239.1:nl.1.24.;.eal.1.Son éclat;il efi blanc, doux 8e uni ; pourquoi plus facileà couper que celui d’Eur-ope ; ce qu’il faut
’ faire pour empêcher (que les vers ne s’ymettent, 2.39. (al. 1. Son avantage fur celuid’Europe; fa grande conicmmation à laChine ,’24.1. An uels Mages employé, 24.1.
al. a. Soin que "on rend pour avoir desfeuilles d’une gram eut extraordinaire ;moyen de iécher les feuilles nouvellementlevées , 24a. tu]. z . 14;. tel. 1. Arbres qu’onemploye pour le faire, 1.42. col. a. 61:. 143.Ce qu’on prend de ces arbres; comment onle prépare; celui qui eil le plus en uia e,24;. Manierei de l’aflërmir 5 de le blan ir,85 de lui donner de l’éclat , 24.3. tel. a. del’argenrer à u de frais , 24;. en]; z. 6-1).2.44. Toute otte de Papier peut s’argenter,
24-4-
I’npier fané, celui qu’on appelle ainlî , 139;
[0.2.1Papier de coton , ies qualitez , a39.cal.1. àp. 14.0. plus ropre à argenter que touteautre eipece e Papier , 144.
Papier de Chanvre, ion Auteur, 14.40. ml. 1.Papier de filaire , ia compofition; ion auteur ,
’ 1.4.0. cal. 1.’ Papier de Bambou , la durée , 241. Comment
ilie fait; la qualité , 14.1. ml. 1.Papier de la Corée , la compofition ; ion ufage
dès le VII. liécle , 241Familiale des deux courtes Dynafiies Tfin 8:
Sang , 64.8. à. filin.1’10"11 punis en certains cas avec leurs enfans
coupables , 37. Ml. 1.1711m: , chaque Province , chaque grandeVille , chaque Hien 8: même chaque grosVillage a le lien particulier , 1 3 z
l’aurore; (les) expoient louvent leurs enfansdans les rués , 73. ml. 1. engagent quelque-fois les Sages-femmes à étouffer leurs enferras,
74Paye des ioldats , celle des Fantallins; celle
des Cavaliers -, 4.4.. en]. 1.’I’ayfizns, il n’eli pas permis de les inquieter
pour leurs dettes , quand on commence â
labourer les terres , 1 5Pêcher , dilferentes manieres des Chinoispour
échet , 14.2. à en]. z.le fou fi Idem , lignification de ce terme ,
v 4.1. 5. n.Peine: ieveres contre les maris qui vendent »leurs femmes, 1 1 1.. col. a.
Peintre: de Porcelaine , voyez H01: pei.Peking , Ce qu’on voit d’extraordinaire dans
les places publiques,1a9. Pieces de bois
. T A B L È D Ë Sde Plus estramdinâires qu’on y voit em-
ployées,1q.8. cal. a. dont et; ynnpmne , q . z o. [a . 2..Pr mac: quimefiditdms le Almgtfië,
v - p ’ 3 y8. ml. 2.j’en 85197; , leurs devoirs , 56 7. à fiait».Pl": de ’fxmillc rarissimes de la conduitei de milans se de leurs domelliques ,
go. arment des noms conformes à l’âge
de leurs enfans’, i l ’ le;Pain délènduës fous peine de lavie , 6 9 1.1’: îfing ; un des premiers Miniftres de la Cour’ de Tfin 3 ce qui le fauve du danger de périr
oùl’avoit conduit la droiture , 68 o. éfrit).
l rugie. Nourriture ordinaire du peuple Chi-’ nais , 138. cal. 1:. imite ordinairement les
vertus ou les vices du Souverain; 4.4.71’: y , fille de Sam bug, Roi de Zou, romilë
à Kan kodng , pourquoi elle refuie (lepartirdu P is de (on pore; &ne Veutpas quitterion appartement où le feu avoit pris , 68;
l’a yu , fils de Confucius; fou âge quand ilmourut; feu] héritier qu’il une , 3;.0.
’ [a . z.Philafapbn Chinois , la plupart Poètes , 18 5.
’ l tu]. z.Pitdr , leur ’tell’e d’un and. rémentparmi les Dgaemues Chinoifeî 33 à:
Pi. kan , oncle de l’Empereur Ttbeau , ce qui’ en cil: dit dans le Paragrap u Chapitre
quatrième du Sian bic , 74.. à cal. 2.l’imam en triage chez les Chinois pour écrire,
t7. ml. 7.1à zl’ing pan , la lignification; quarré-me Cour. fonveraine; les Tribunaux lubakeiçies; de
’ quoi elle cannoit, i 2.5 .PIN o VÀNG, Empereur-,fuizes de fa transe
lation de l’Ennpire en Occident , 3 50. ml. 2.Pin: en abondance dans la Chine ; quelle ell:L leur réfute, 2.14.8. tu]. a.Plate: d’armes , leur nombre , 46. cal. a.ï Voyez Ferrergfir,rincer, injet de Celui prélenté à un Empereur
A de la Dynallie Tang , 52.9Plaque: de métal tracées de caraé’teres , com
fervées aujourd’hui par les curieux de la
’ Chine , 139Pleurs sa cris ulîtez Par les Chinois aux lime-
railles , A I 27l’a , les différentes lignifications , 32.5l’api , li nification de ce Catalan-e, 3 to. il. à.l’elfe inoil’e, fou utilité 5 fan excellence ,
. i 2.8 5. à ml. 2;.Pain on de fer , voyez Stile. IPaf; de farine , pourquoi ainli nommé ’,
antité qu’on en pêche quand le tems ell:
oux,’ ’ 1;9.ral.z.PéWn frais , celui des nôtres 21qu il tellem-
bleifon prix, 139. 601.1.rufian, jaune ou H041; y, la golfeur; Ion
, ,lgoût; teins de la pêc e , .140
MATIÈRES. 7: Î
’Bnflàm fort ahoiidnns- les Rivieres gLors, En» s , Canaux, 8: même dans lesF allez prati ez argutilieu des campagnes,139. Quele celui qu’on pêche à la uatrié-
me 8: cinquième Lune; leurs Î rentesefpeces , r 3 9. ml, 1.. Quels font les gros quiviennent de la Mer ou du Fleuve jaune,
V 14.0P0117071: d’or ou Enfin": d’argent; leur defà
, cription , 14.0. cul. 2. du fiiwantet.Polir: de la Chine [oit dans les Villes foi:
dans les rands chemins, je. à fiÎ’U.Politique , e deux fortes , 61;. Ses principes
8; maximes , 624. SesrelTorts difi’erens ,62;. é- fiaivdnm.
l’ait: d’une feule arche ; voeux qui n’ont ni
arches ni ventes , 9 x. Ml. z. Manière dontP lelehinois les conllruifent, d 91.
op; ne: eut menu aux remieres i ’-’ rez l’ErIr: irePÎSL Cas ongle ne peut 5:1-
fer une econde femme pendant la vie e la
légitime , ne. cal. 1..Porcelaine, ce n’ont écrit , uclquesAuteurs fur
la maniere e la trava" er; lieu où on latravaille, 177. Compolition de la matiere;experiences qu’on en a faites , 178. â- fliv.Comment on en forme toute forte de vafes,a; par combien de mains ils paillent avantd’avoir leur erfeétion, 184. Comment lefont les grain es pieces de Porcelaine; com-ment l’on y attache les ’eces rapportées ise comment l’on y fou e les fleurs 8; lesautres ornemens, 184. [a]. z. Comment s’enfoin les moules; leur durée , 18;. Peinturequ’on y applique , 185. Ml. 1. Le noir nepeut s’y peindre, 187. L’or 8c l’argent peu-
vent s’y fouiller, 188. de plufieurs fortes ,119. à- fait). Précautions à prendre en la Atravaillant 8: en lui donnant les couleurs
l que l’on fouhaitte , 193. au fifi). Degrez dechaleur qu’il faut lui donner , 198. Quantitéde bois , que l’on confornmc à cette fabri-que , 199. Différence de la moderne 8e del’ancienne , 201. Sentiment des Chinois là-delTus , 202. Ce que deviennent les débris
8c ce des fourneaux , 1.03Paf, ceqüec’ell, 411.*rafle: dirigées parun Mandarin 3 leur diliance
s les unes des autres , 57. tel. z.Poterie fort recherchée à la Chine, 1o 7.faudra à canon , [on ufage à laChine , 47Pan lianng, fa lignification , 557. ml. 2.. *Paz f4 , Dieu de la Porcelaine; origine dex for-1 nom , ’ F r 2.01
Paqflierej (la) incommode fort les Voyageurs;précautions que l’on prend Pour s’en garum
tir , 58Prématinm lai-iles par les Loix pour 6m êCherk5 diEerem Tribunaux d’afi’oiblir ’auto-
rité Imperîale , 2;. à fifi?!-I’râæptes , voyez Infant. .
natrum. «29:1 un. le’o a. r y .
la
si
’E
fît?!" W’Æm d? W FM" n.
37 r 6
Préapmtr: Chinois , ce qll’ils doivent enfoi-gner’, pourquoi en grand nombre , 25:5. tu].a, Degré ne doive t avjr ceux desmai-fohs de qua ité, 253. ml. 1.. à p. 2.54. 8;ceux des mariions ordinaires , a j4.
freineur Mirnir , voyez M irair d’or. Vl’armure .( le Pere de ) ancien Millionnaire de la
Chine; les extraits du Livre Chu long , 298.dm filivanter. Odes du obi En; qu’il a
traduites, 308. du flivanter.frépqfiflonr, combien les Chinois en ont,
’ A r V 2.56.l’râ’mr que font les Vicerois se Mandarins
I aux Envoyez de la Cour qui pallent dansleurs Provinces, r09. Cérémonies à obier-ver quand on en reçoit , 1 10. Tems auf uelson les fait , 1 1o. tu]. 1.. En quoi conf ont8c par qui portez ceux des nôccs , .1 z 1
Prêtre: Chretiens , ceux qui vinrent à. la Chi-, ne 8c qui y eurent des Eglifes fous la Dy-
nallie T4715 , p 497. n.Prime louverait: , quelles doivent êtrefes qua-litez , 61.5. Régie la plus ellentielle qu’ildoit fuivre , 61g. cal. 2. Infimétions quilui font uécellaires, 616. Ce qui lui alieneordinairement le cœur de les Minillres a:
de les Sujets , , 617Prima (les) comparaifon de ceux qui éclai-rez reçoivent les avis linceres de leurs fi-deles Sujets , 407. tu]. z. anciennementavoient des Couleurs , 8: des perfonneschargées de leur lire les pieces fait en proie,(oit en vers qui le l’ail-oient fur le Gouver-nement 5 permettoient indifféremment des’entretenir des aflàires de l’Etat , 85 de leur
conduite , 408. Fautes. ordinaires qu’ilscommettent dans le Gouvernement , 4. 57
Prime: du Sang Imperial n’ont ni puillanceni crédit , 11. n’en peuvent même porterle nom rfans le coulentement de l’Empereur,1 1. à ml. a. Ce qui les multiplie 8: les
j avilit; la plupart vivent dans une extrêmepauvreté, 59. Femmes qu’ils peuvent avoiroutre leur légitime; leurs domeltiques , 60.
Leur occupation , 60. cal. 1.Prime: 8: Grand: d’un Royaume , en qtioi
toute leur fcience doit conflict- , 3! 5. cal. à.Ce qui doit leur être plus cher que l’or 8:
L les pierreries , ,3 61.. tu]. z.Puffin: , leur-delcription , 4 13 1Prifimnims , comment on peut leur parler ,
la.l’rzfinnz’er: , comment traînez ’, adoucilfement
que l’argent leur procure, 121. a]. z. Soinqu’on a de ceux qui tombent malades , 132.Ceux d’un certain rang en danger de mou-rir demandent en grace d’en lortir avantque d’expirer , l 132. ML 1..
Prix , voyez Rérnmpmfir.
[a
I’raædure: , leur lenteur favorable aux acculez, -
p13r
TABLE oes’MArienesb’Œrofçflmr des Ecoles de campagne s choir:
. . Ëu’on en doit faire; moyen de pourvoir à
t a fubfiliance , a 61. ml. 2.. Comment il doitV «le conduire dans les leçons , 261. ce]. d;-
fùiwnmr. La pratique d’un cil louée , 256.
’ " ce]. a.Fia-Minus, celles ui4.font dilliuguées parmile peuple , .72. CËacune a les caraÜs pro-
pres . . , .29Pramzm! , ceux des Chinois , 2. 34.PramntiasimChinoife , ceux qui ne l’ont pas
bonne ne le font entendre qu’à demi, 2.28.Pourquoi li difficile aux Européans , 2.30.Comment le prononcent 1’48: l’a final , a; o.
I cal. 1. l’i, l’a, l’a, l’n final 8: autres, 231.
tel. flirt. particuliere àqchaque Pro-
; Vince, q il 1.3:.rapqçeion &Imefure des poids Chinois ,189
rt une grande1:; Habite: (les) ont la plu4 riviere nuunlarge cana , 9. Quoiqu’abon-
darites en tout ce qui cit nécelîaire a la vie,elles ont toujours quelque choie de particulierou en plus grande quantité , 14.5. ml. z.
l Chaume autrefois étoit un Royaume diliinn
gué , 37.0. taf. 2.Parleur (la) releve beaucoup les graces natu-elles des femmes Chinoîles , 8 1. En]. z.
Pythagore contemporain de Confucius , ;19.Pourquoi 3 doârine expofée à la cenfure,
31.0
l ÜANG Halva P0 s’e,fa réponfeâ, la Déclaration de l’Empereur l’un; ri,
446. Son difcours à ce Prince ,’ 44.8. àTdn’n fin , fils 8c fucceEeur de cet Empev
rétif , . 449Q U A N G v o U , Emperehrs fa Déclarationen forme de réponfe à ceux qui lui confeil-laient de laite la guerre aux Barbares du
Nord-Ouefl , 46jQeflim , celle ordinaire à la Chine; commentelle le donne , 137. l’extraordinaire , 113 7.
i V (a . a;R:
ADEAU, comment conflruit, 159R Récmpmjèr ou Prix donnez aux Em-
liers; en quoi COBfill’ent -, quand on les
donne, . 167Réglement fait en faveur de l’agriculture , 71’
Réjoiizfl’kme; y tems des grandes , 1.67. d-. ce]. 7.. ”
Remeder, deux qui diminuent 8e mortifientle fentiment de la douleur , 137. ce). z,
ervnirnnm; reg’l’es à obfetver dans cellesqu’on.
TABLEVDES4 1 u’on faitaux Souverains g biliaires à ce
’ujet, 632. Pourquoi haïes par les Princes a, a. comment il faut s’y prendre pour les faire;
traits d’hifioire â’ ce fujet, 6.3 5. n.Repas, Regles pour ceux des Chinois , 373.
V 4 61 cal. z.VRepafizir: dans les grands chemins par qui»
l établis, ’ . ’ 51..eràlation d’une jeune veuve pour le délivrerdes importunes recherches des fes Amans,
’ V V 687. ô- fili’l’l.Reflet? filial, quel il doit être , 102. ;63. du
fliwnter. Celui qui cit dû aux Maîtres ,.102.
démuni de l’Empereur , queisils font; à quoi
’ le montent, li. Mo, enS’donI: on leet: our ayer ceux ui ont demeure ,
P P râa’vmlày. 62.16.Riche: (les) peuvent avoir plufieurs femmes;
’ ce qu’ils font loriqu’ils n’ont point d’enfans
mâles, . ne. tu]. a.Ris; culture qu’il faut lui donner , 65. au]. z.Riviera, Lac: 8: Eïdflgf, remplis de toute
forte deipoillbns , 14.1. ml. 1.. Les navi-ables en fort grand nombre , 157
R’ abifldge de Papier , lieu de cette Manu-.- faâure; fou débit, 1.4.4. à]. a;
fiai a; [on Miniflre, leurs devoirs , 368. à Acal. z.
(Rai: à la Chine dépendoient de l’Empereur I,cependant chacun maître dans les Etats ,
32.0. Ml. z.Range, compofition de cette couleur; maniere
. de l’appliquer fur la Porcelaine , .187. à.fiimnm.
, S.d AGE , Ëccuparion d’un, 1.63. à toi. z.S Quelle doit être [ou étude? 278S4 eflè , ce qui cil: néceiîaire pour profiter
ans l’étude de cette vertu , 661. 0- filin.SKI! des fefiins . comment parée; cérémonies
qu’obferve celui qui donne le repas en y
entrant , in. ml. z.Salut. En quoi confite le (alu: ordinaire ,r02.
Sang ou, Ti fang , Mûrier ainfi appellé , 108Sang tsz king , Livre qu’on met entre les
mains des petits Chinois , loriqu’ils (çaVentleurs lettres; contenu dans ce Livre , 1 sa
,Sautereller, d’où elles proviennent , 67. rat. a.spinaux ,. leurs opinions fur l’origine Gale
commencement de l’Em ire de la Chine, 2.S041! de l’Empereur., la. efcriprion,’13. à I
rai. z. Celui des Princes ,des Vicerois , des.Mandarins ou Magifitats inférieurs , 13.ml. 2.. porté devant aux jours de cérémonies,
14. [a]. z..5ch1 (lelrere Adam) chargé dufoin de
" ’ ’ T une Il.
MATIÈRES. 715faire fondrede l’Artillerie , 4.7. ml. 1..
Science , en quoi elle confifie à la Chine , 26 5. .
I [0L]. à p. 166.Stienm des Chinois , à combien’elles le œdui-v fent , i248. Celle que ces .Peuplesrecherch en:
le plus , 284.. col. z. 28 5. Science la plus rotpre de l’homme , . 2.84.. tu . a.
Se, fignification de ce caraâere , 124°Scrhmfle (la) à quoi attribuée ar des don-
rieurs d’avis, celle furvenuë la econde année
du rague de Trianng ri. 4.66Sel, maniere dont on tire 8: perfeflionne Celui
de terre grife , 14.;s: lien triai a ier ue l’on nomme ainfi
a P a, :44Se nm bang , Ion difcours à l’Empereur Y n
iffing, 539. Son feeond au même , 54.1.fuir). Remontrance qu’il adrefle à ce Prince,
s45. (9* faimSt m4 yang , fon attache pour les livres 8:
l’étude, ’ 1.7!. ml. 2. (j- p. 27:.Sememe de Poiffonsr,.comment on la tranfporte
par tout le Royaume , 139Smtineflu , comment punis ceux qu’on trouve
endormis , 151.. [01.41.Sz’ftllthres 8e fipultflre , font de differentesfigures , 125. font hors des Villes , &lc pluslouvent fur des hauteurs, 125. ml. 1.. Ceuxdes pauvres , des gens aifez , des Grands sades Mandarins , 19.6. Celui de Conflriur,où bâti, 324. Defcription de celui de Cln’hmm , 407. 45-5. Ü- col. 1.. Lieux de ceuxde ufieurs fameux Empereurs , 4.54.401. t.
se rqumer a; f: perfefliannrr , ce que c’efl: ,
t 1.6 3Supra: d’une grandeur énorme a fort veniémeux; moyenspdes’en garantir, 154.501. r.
St trimer; , Province d’où l’on tire le-Talc,24.4.. Littemture de les premieres Colonies ,
l 29 3. Ml. à.surmoi: , de quoi ils le fervent pour écrire au
lieu de plumes , ’ 14-9Siang , frere de l’Empereur 1’40 , ce qui en en!
dit dans le M mg tfzë, 351Sang , voyez Tain.Siam bio , fignification du titre de ce Livre ,
324; ml. 2.. 365. Son auteur; quel ciliceLivre , 36;. Sa matiere , 365. ça]. a. sadivifion , 36;. 501.2. du 12. 366. Précis duContenu du Chapitre premier de la premierePartie, 366. à fili’U. du premier Paragra-
he du fecond Cha itre, 36 7. à filin. duËeCOnd, 368. à tu . 2. du troifiéme, 368.à! ml. 2. du quatrième, 575. au cal. z. dup. g69. à» filin. du cinquième,- 37°. é- ml.
a. du premier Parapraphe du Chapitre cin-quième, 371. (y- ce . z. du feeond, 37:. à;fili’ll. dutroifiéme , 375. à: un]. z. du quarrie-
me , 37 3. à ml. z. du premier Paragraphedu Chapitre quatrième , 37:. (r [un]. dufeoond , 374. é- du premier-Paragraphe
I Ttrttttt
C mm».- ’ WWÏS
z maww- arma .7 ..
.ïd’ppfl’îîcfs’l’mî me m .n .-
71,8 V TABLE DESdu Chapitre premier de la féconde Partie,575.6fici’uanres. du lecond, 377. 6* filin.
t du troifiéme, 37s. à. filin. du Paragraphepremier du fécond Chapitre , 379. a- fait).du deuxième, 380. à fiivantex.
Siaa haang uni , les remontrances à l’Empc-reur Sam ti , 452. Leur fuccès , 4.53
Sim 171p , à qui l’on donne ce nom , 254.Siam t ai , nom de ceux qui ont fait le premier
pas dans les rades; leurs habits; de quoiexempts , 25 . Examen qu’ils doivent fubirpour monter au feeond de ré , 257. Ce qu’ils
font pour un gain fordi e , 27;. (on [7L 2.
i 27 7.Sic pan , foin de ce jeune homme g trait de f0
hifioire , 308. ml, 2. àp. 38KSi: triumg, farepartie à l’âge de huit ans ,
2.71. à cal. 2lSi fang yen ching gin , explication de ces paro-
les répetées louvent par Canfim’ar, 3 2 3 . Ml. 1..
Si ban, où ils tinrent leur Cour , 14.0. n.Silence , les défauts , 654.. ml. a. â- fxl’U. Ses
fruits , 655Si ling , femme de l’Empereur Hong ri,découverte qu’on lui attribue, 205. A uoielle défibroit les plus belles pieces de Êoye
qu’elle faifoit , 203. cal. z.Siliqae Chinoife , fa forme , 24.7Sing, lignification de ce mot , 44.8. n. 59 6. n.Sia, (Paul ) Minilire d’Etat , roteéteur de
notre Religion a trait qu’il orme de (onrefpeét pour (on maure , 364 à col. 2.
Sia , réponfe qu’il reçoit de M "Mill! ion mai-
tre , 350Siam vang, Roi de Tfi, voyez MutineSiu mon, marque qu’il donne de la recon-
noilïance 8c de ion amitié pour Yang 3m ,274..cnl. z.
Société des Sçavans , voyez Acadmiz. .Surate; quand il arut, 3:9. è ml. z.Soldat: ,.nombre e ceux que l’Empereur en-
tretient 17x43. Comment on les enrôle ,4.4.. Ml. 2. Comment vêtus , armez sa en-tretenus; leur courage , 75. Leur utilité àpréfent , 43. Ml. 2. Leur admire à tirer les
Poiflons à l’arc , 141. tu]. 2.Soleil, comment repréfenté par les Chinois ,
252Sang. Motifs de fa fille pour ne point quitter
Ion mari attaqué d’une dangereufe ma adise,
- 6 5San cbé, Ion mémoire fur le Gouvernement ,s78
sa; la , huile que l’on tire de Cette plante;ufage qu’en font les Marchands de 17 slang,14.5. ml. 2. Ce que paroit cette huile , 24.7
Svumifiian envers les parens , exemple d’une
parfaite , . 26981m ngan. bang obtient de l’Imperarrice V014[mu le . rappel du Prince héritier -,. falettre à cette Princelfe , 309. à flip.
MATIÈRES..VSou a , beau trait defonhifloire, orte’
dgnçllegSian hip, 382. étal. a. 383Son finît fait le portait de Oaang argan thé, sa
l’envoye fouettement à la Cour , 36 3." è filin.
Soa ttbè, fiere de Su: thé , mémoire u’il prén
fentellà la Cour, 388. à filin. Ses ’cours,590. é- jui’U. 64.1. 64.6. ô fait). 65x.
ü- filin.
Sac «beau, voyez Nan long.San j king ahi par; , matiere de ce Livre,
14.0. tu]. 2.Soye , les différentes efpe’ees ’, comment l’on.
connoît la meilleure 8: la plus fine , 206.4Comment le ramollo celle de la Provincede Clam tu: 5 ce ui la produit , 207. Sonabondance épen de la maniere d’éleverles Vers à foye , 208. Quand on doit la tirer
des coques , 223Sfiè’, lignification de cette lettre, 301. n.Sfeë du, quels font ces Livres qu’on donne
aux enfans Chinois capables de les lire,232. Livres clafliques du fécond ordre ,
519S fifi p40 , nom des quatre chofes précieufes s a
. quoi le donnent les Luttez , 249. tu]. 2.Sfië tf5: king 1mn , pourquoi ce Livre efi ainfi
a pe lé , A 2 y:Sti e dont les Chinois le fervent en écrivant ,diflerent de celui de la converfation , 226.Celui de leurs compofirions, 127. cal. 2. ymêlent beaucoup de Semences Ba de palla-
ges , 2:8Sril: ou Painçnn de fer , anciennement en’ufage à la Chine au lieu de plume ou de
pinceau , l :39SU E N r1 , Empereur ’; demande qu’on’lui
préfente des perfonnes qlui fe foient difiin-guées par leur picté fi Talc la fa déclara-tion fur les corvées, 402. fur la difpenfe dufils de déferer ion pers , a: de la femme fanmari , 403. Propofition qu’on lui fait àl’égard des Criminels; pourquoi il la re- 1
Jette , wSam yang, Roi de Tfin , ce qui en efi ditdansleMeng rfiè’, l 353
SUEN VOU T1 , ce que prognolliquoit le’monfire qu’on lui préfenta aufli-tôt qu’il fût
monté fur le Trône , 4.77. ânfuilu. Sa décla-
ration fur le fel , 4.8 rStjm de gémir fur la négligence que l’onapporte àl’étude, déraillez , 367. col. z. de
p. 7.68.. à» (al. z.Su ma , Livre dont il cil: Auteur; éloge qu’il
q y fait de l’ouvrage de M "me: , ’ 3 34.Sang keng’, voyez Minn’nr. l ’Suptrfiitinnr que l’Idolâtrie a introduites à la
Chine , r 130. cal. 2.Supplitex , leur horreur ne diminue pas lenombre des crimes , 4 400
81m tirée des fourneaux des Verreries, fon
T A B L, E D E Sufa e le lus r0 re i’ce ne l’on ourroitfange poui) en 1ranci?l’oileurqdéfagréaîlile fans ’
"’y employer du Mule , 2.4.8. ml. a.Symbale: , leur Inventeur difficile à découvrir,
de même que leur valeur , l 66. cal. z. Cequ’il faut faire pour cela , x 67
T.AB L E , à la Chine chacun à la fienne
dans des feflins , l r r. col. 2..T451, Voyez 15mn (le)Tafaîl, ce que c’e , 395. 4* (gente efi cette
p dignité , ’ 469T4 lm , premier Livre de Confidus; lignifi-
cation de ce titre , 32.4..601. 2.. Sa matiere 5 [on
lCommentateur , 325T4 [ne , efpece de Mufique", par qui inventée;
explication de ce mot , 296. ml. 1.T’ai , Tours ou Châteaux remplis des Soldats
8: de Sentinelles, leur nombre, 4.6. ml. 1..Taifau, uelle efl cettecharge, 4.x r. ml.z.*frai bic , a lignification , 4.x t. n. 44.0.«71.Tai tfim , non commun aux conqueram pre-
miers Auteurs d’une DynaIiie , 5 9Taxi -tfvng , figniiication de ce titre , 411..
Ml. z. n.TA! TS o N G , feçond Empereur de la Dy-
. nafiie Tangs fan memoire fur la diflèrencedu bon 8c du mauvais Gouvernement , 4.8 3.ë- fait]. Ordonnance qu’il fait publier, 49 o.èfin’oSa réponfeâlalettre de à 11:41:54.9 1 .
defuiv. Auteur du Livre intitulé g La Rzglrvde: Sauwmin: 5 fommaire des Chapitresde ce Livre , 49; y ajointe une Préface qu’iladreife à [on fils; Jugement qu’on porta dlcette Préface 8a de ce Livre , 4.94. ml. z.Ordre fmgulier qu’il donne , 495. Sa ré-ponfe à la remontrance «de Hui trbin ,in s. donne le titre de V4ng à quarre de fer.fils ; difcours qu’il leur admire 8: rendpublic en forme de déclaration , 53 r. â-jkiv. marie la fille au fils de Gang kami ,
i 64.1. ml. 1..Ta En; ou grand fleurir , fes differens noms,
felon les Provinces qu’il rraverfe ; [on cours;retenu par le. reflux de la Mer; fort tran-quille â la nouvellel8: à la pleine Lune ,157. Sa largeur a la profondeur; fort poil"-fonneux; ce qu’on en dit communément ,
A, r 57. ml. z.Tel: , choix qu’il en faut faire pour argenter lepapier; Province d’où on le tiré aile meilleur 5
nom que lui donnent les Chinois , 24.4.Maniere de préparer fa poudre, 34.4.. cul. z.
Emploi de cenelpoudre , k I 2.4.4.742m: , leur difiërence regloit autrefois celle
des Emplois , . A 44.0. ml. z.T4715 mu; irai de la vertu de fes filles rap-
pofté dans le Sima hier, . ’ 38 5
M A T I E R. E S. 719T471 yu , Prince Tartare; demande à l’EnrA
.pereur la permiflion de lui venir rendrehommage en performe; l’obtient , 4 63
T40 fin , explication de ce mot , 3 ce. n.T40 fit , uels étoient ces Seéiairesi ce qu’on
doit pe et de la ploye qu’ils faifoient rom-
ber à propos, - 666Tartares (les) comment ils fe font emparezdel’Empire de la Chine , a. 4. Voyez Coû-
fume.Tartare (la) fan terroir; ce qu’elle fournit ,
. V ’ 14.5. ml. 2;Ta tf: , Minifire de T40 , enrichi aux dépensdu peuple , fe démet aflàfliné avec fes gens,
6 7 6
T4 tfing , quelle efi cette Province, filon les
Européens ,- ’ 4.97. n.T4 vans je , fret: de l’Empereur Cm1 hi 5
defcription de fies magnifiques filtrerai es ,r 1.8. ml. z. âp. 119
Taurina , colle flirte , Mage qu’on en peut faia
re , 24.7Ttluz hm , utilité de cet arbre; de diiïerentesfortes; fa defcription 8c celle de les fleurs ,
. l r49. ml. z.Trbang thé , déclare à l’Empereur H ion tfang
. Ion fentimem: fur la guerre qu’il vouloit
entreprendre , . V 6 o7T 51mn bina 8:, Trbang li , freres 3 preuvesqu” s donnent que la vertu force les cœursles plus feroces à l’admirer se à l’aimer , 270
îrbang fia 140 , Ouvrage de ce Sçavant ; fon
utilité , 2.6:. col. z.Trlrang li , voyez Trban bina.Tclmng trine rhz’ , fa répon e à l’Empereur Hido
«un: , 4.;Trône trhi pi , grand Mandarin , ce qu’ildit ur l’inconflancc de la fortune , 1.74.
Te une T1, Empereur , ies inflatioes au.res de l’Im eratrice la mere’, après avoir
û se relû fa réclamation , 4.67. Réponfe qu’il
en reçoit, 467. 001.2. â p. 41,8, sa 1emeau Vang de Tan ying 5 préfent qu’il lui fait,469. Ordré qu’i donne en faveur de [Gang
kë , 4.69. à» ml. 1..Tclmn , fignification de renom, 4.1 3.501. 2. *76h40 knng, où il rendoit juflice aux.Labou-’
reurs dont il écoutoit les différends, 6 9T c un o T i , fucceifeur 8a fils de l’Empereur
Vair a" , Ordonnance qu’il fait publier; écrit
à T 471g nuang , Roi «ier , 4o;Tous o VANS , Empereur , fa fait utiles
ment de T411 hi , dur aEermir à maifonfur le trône; sa r une les Princes (es voi-fmsàdépendredelui, 390
75h40 yang , Roi de Tfnu , exemple héroïquela Reine in femme donne pour Pexaâe
obiervance destIs ç. ’ 686. Ml. 1.T512! ou Se 15mg ,. deicfiption de ce Mûrier
fauva e , i 2.08Trbé , fignificatinn’deice terme , r s sa. n.
aÜwEWVÏPm J: 1 vaânmnÇ’-.etrns’n me pana y .
me: r,
.7)
li 5’ "KWÎ"Œ"
ruer-sectes
72°Trhé ing , Ion attache pour l’étude , 272.Tthe kiang , foye que fournit cette Province,
2.06
Ton a o t1 , Empereur , tyran , :9 6. 501.].Ufage que les Chinois font de fon nom; vai n-cu , 2.97. ce qui en efi ditdanslecinquiémeChapitre de a premiere Partie du Mengrfzë , 346. dans le premier Chapitre-de lafeconde Partie de cet Ouvrage , 34.8. àml. 2.. dans le troifie’me, 311. ml. 2.. dansle Paragraphe fécond du quatrième Chapi-
tre du Sial? [de , 374.. tu]. z.T 659w étang, frere de l’Empereur V01! yang ,
Ouvrage dont il cil: auteur, 2.9 I. 6- :01. 2..èp. 29 z. 318. Voyez Livre claHique, &c.[es égards pour les Minifires 8; les Sages ,6 r 7. cal. z. qu’il attiroit toujours à la Cour ,6 r 8. ce qui l’a rendu recommandable; inven-tion qu’on lui attribues préfet]: u’il fait auxAmbalïadeurs de Tang [ring 8c En: la Corbin-Mine , m7. cal. 2..,Ce qui en efi dit dans lefixiéme Chapitre de la premiere Partie du
M3713 tfëe , 34.7. tu]. 2..Trheau tfe , taffetas 5 comment les Chinois
l eut donne le lufire , :07Trbi , fignification de cette Lettre ’, de quoi
Compofée , 2 4.0T phi fou , qui on appelle ainii , 275. Quelle efl
cette dignité ; fTthi hem , fameux rebelle fous l’Empereur
Haangti , 573.11,Triai bien , à qui on donne ce titre , z t5Tchin , nom d’un petit Royaume , 4.04.. *Trln’n , homme de néant , qui fe révolte con-
tre l’Em ereur Ch haang , 4.08. n.Trbing, dé ivré de la mort aux dépens de la
vie du fils de [a Gouvernante, 6 89Tc H m G T A N G , Chefde la féconde famille
Imperiale , quand il cit monté fur le Trône gdéclare la guerre au Tyran Kié; le défait 5l’oblige à s’exiler ; en quoi il s’en: dilîingué ;
ce qu’il fit dans un tems de fierilité génetale,196. Mufique (qu’il infiituea durée du regnede fes defcen ans 1.96. [a]. z. H’aranguequi lui en; faire, 302. d» fluivunm. Ce quien efl: dit dans le Men; tfië . 305. â- 1.11.2.
A 3 5 1.. 5 6 1..Tthing tr fine , fameux Lettré de la Dynafliede Sang; ce qu’il "dit fur les déclarations deVer; ri, 39;. Ses réfiéxions fur les remon-trances faites à cet Empereur, 4. r o. n. Son ju-gement fur les difcours deTthnng dm àal’Em-péteur Van ri , 4.4.2. ml. a. Sa remontrance àHing tfang, Empereur, 510.â- fuira. Ex-trait de (on difcours à l’Empereur Li tfnng ,
v 6 r rTCHING ri , Em ereur; fou Ordonnancepour retrancher es dépenfes inutiles secontre le luxe des habits 8: des meubles ,
. - 4.04.TCHING vans, Empereur,delaDyn’afiie
TABLE pas MATIÈRES.Trbzou 3 [es Gouverneurs , 4.2 t
Tchin y, anciens Commentaires; ce qu’ilsdi ent vfur un endroit du Livre Ch: [ring ,300.71; 301. mûr le Tien, son. 1:.
TtÉlfi [me , fun mémoire à l’Empcreur Chu
tfnng , 56L éculait.Trln’n hum , Lettré célébre , accufé d’avoir
altcré le texte de l’Y [ring , * 29 z. ml. 2.Ttfiîn Æir’ dépeint fur une carte l’extrême
mifere des Peuples des Provinces qu’il avoitvifitées , 8c la fait paifer à l’Empeteur avec .un difcours qu’il y loim: , ,68. 6’9- fuira.
falun beau obtient l’Emploi de Kio miJ a:fait tantpar (es intrigues que toutes les affin-res de l’Empire pafïent par les mains a acculé .
ar les Cenfeurs , 54.7. Son difcours contre
a (e616 Foi , 550. â- fait].Te H 1 N T1 , Empereur; fur quoi ilconfulte
Ouang laid, I . 4.60Trho km Je, poiffon délicat; pourquoi ainfi
nommé , r39. [a]. z.Trlwng , lignification de ce nom ,7 327. Quell:
e11 cette vertu , 487.Ttlmng ml, fils de Hier; kong , Roi de Tfin ,ce qui l’oblige de fortir du Royaume ; rentreen poifeffion de fes Etats aprèsla mort de[on pere ,
Trhang tf2 , feconde époufe de Lin bug,de Tfi, s’o paie à ce Prince , qui vouloitélever fou fi s Yu fur leTrône au préjudice de
fan autre fils Hudng , 68 r. tu]. a. Raifonsde cette oppofition , . 6 8 3
21’ng yvng , [tacaud Livre de Cflnfiliiufi ligni-fication de ce titre , 3 2.4. cal. 2. Par quirendu public ; fa matiere; partagé en trente-trois articles ; extrait deces articles , 5 1.7.
’ â- fidwamer.T Char admirateur de Conflriw, 322.. ml. z.Tthmm , vaiffeaux Chinois , nommez par les
Portùgais Snmmt; en quoi diHérens des n64tres, H9. De quoi [ont faites leurs voiles;nullement bons voiliers; ne font point cal- Afatez avec du gaudron comme en Europe ,160. De [quoi [ont les ancres; leur deicrip-tian par les Millionnaires , 160. ml. 2.
â- filin.Trhu, [es diverfes fignifications , 2.2. 5Trlm ou K0 trhu, mage de cet arbre , 224.0.
.. 4 [a . 2.Trlm fang trhing , Îun des defcendans de 7th:hi, comment il s’explique fur cet endroitde la fixiéme Ode du (312i king .- Le pEupleaccablé de tant de maux regarde le Ciel ,&c. 314.. â- ML 2- 7L b. Ce qu’il ditpfur
Paajfeë, 315. étal. La.Trln; [Jeux , à qui l’on donne ce nom à
’ r0.Trhn bi , fujet 8a extrait du Traité de ce célébra p
Doéieur Chinois ; Dynaflie fous laquelleil floriifoit, 166. à fili’llafltfti. rand yen-Inenni des :SeEies idolâtres , 267. * Comment;
. r
6 79R01
s
J .T il: B L E D E I5511.63 lique fur cet endroit de la quatrièmeOde e obi bug : .Perlonne ne mofloit ,
L A au. à 6.0L z; n. fur ce: autre delacinquié-une ; Il n’a plus ce qu’ihpoiïedoit avant la
çhûte , &c. 3 1 3. à ml. 2.. n. b. Tems auquel. il a vécus. [à famille; eXtraitde Ion Livrer,
V 1, 3 6 5. à» filivantts. Voyez Sima in”; 5 nommé
à un emploi important dans la Province deTtbé kiang; avant Ion départ il laure quel-
,ques)me’moires à l’EmpereurÂ, 604.. ell: ap-
. «pelléà la Cour", y efi honoré de l’em loiL d’expliquer à l’Empereur les Livres appe ez, King 3, filin Ion remerciement par écrit , 8c
s’excufe Tint (on incapacité , 60 5*. écrit au
, Minifireflllgnng 1;: km , 606. d- fill’U.in]!!! ha tfiza’kn 3 ufage de ces gouliès , 24.6.
4 ,. i4, r .. W. a,-.Tdm k0 bang, teins au uelil floriifoit3ce quien cit rapporté dans’ e Sinin V212: , 379.! d-
t .4 » g , , « tu . 1,.T [lm kan, quel efi cet arbre; fonLufagej, [onfruit; lieux où il croît, 14.3. Maniere dont
. on doit l’élever , 7.4.31 à» ml. z.Iqhnngyn , Degrez où il elle parvenu; beau2 trait de Ion hifioire rapporté dans le Siaa
».l?.i05..f .. . 1. 384.501. 1.[ahan fieu), quatrîéine Livre canonique du. premier ordre, 317. 4.13. ml. z. ** 4.33.11.
44,1. * Quand mis au rang deus’ng , 317.v Difpute touchant la manque de ce Livre ,, .317. à [01.1. efiime’ des Chinois; contenu
. de ce Livre, 318. Pourquoi intitule", lePrintrm: &j’flntamne, I 3 18.4 égal, 2.Tchn je ki , lfuccès de fa harangue au Roi.4 T: yang-yang, A l 634.. âfiiv.fg: je! , ce quel’on appelle ainfi , 3:6 z. ml. z.12741519 de la reconnoifïance’, la defcription ,
- , , , 9 5Tçmkle!tufagequ’eùfonflesBÇnztsa 3&6";. élevez dans les Montagnes à des ivinitez
, fabuleufes. .Tenue: , ceux utiles à inflruire’les Peuples desMyfieres de la Foi, recueillis par les Million-
..naires, - . ’ 1 H 22.7Terre rife répanduë en Àivers cantons , cel qu’elefournit, f J. , , J. , Il .144. ml. 2.xInn: , fertilité de’cellcs de la Chine , 64. à.
. . p ’ filin. 14.3.TE TS-O N c ,Æmèpereurâ fa déclaration pour
l. le foula ement des Peuples , 5m. DéfaitlÎarmée es rebelles-gifloit fayorablement
1 les avis de (es Minîfires , 517. fait publier l’a.l .déclarationnque Inn trbé avoit drelÎe’e g
511... fie fiiez. accorde une amnifiie auxl xrebelles , 514; ordonne d’enterrer honora-
blement les Soldats morts trouvez dans lesçampagnes, 515. diminue les impôts; de-mande qu’on lui produife les gens e mérite,5.1 ç. 5011.41, Joye que cette Ordonnance
4 h , 516. cal. a. is’attribue la caufe des"troubles qui agitoient l’Empire durant les
Tome Il. .
*MATI nones. il à...remieres, années de [on regne”, : 517
T 415:, un.des [cpt Sages de la Grece -, ramsgicla 1nort,.319. Pourquoi fa doârine fut
, 5 expofée à la cenfure , . 3 2.0Thé , haillon ordinairelcles Chinois , 118.
,. A. , [01.2.ri) fignificatiôndece mot, z . i 51- 2.93. n.Tian , cérémonie folemnelle qu’on rend aux
défunts, 12.6. [01.2.409. ** Sa durée, 116.
ê. * . . ’ 1 talai.Tien gin Æié , fa remontrance à l’Imperatrice
Van lem, A, . , V 5047Tien un fong , [on difcours à l’Empereur
Cbin fing , I 59 1.Tien ifirexplicatioh de ce titré; ,. à 44.3. n.Tien tf5: men [mg , lignification de cestermes,
5 , -. ”..157:tol.2.Tien u tfè , Miniflre dans le Royaume de sz’,in ruit 86 corrigé ar [a mere, 673. Fruitqu’il tire de les inflFruflions , 67:;
Ti mm, ce ue l’on appelle ainfi , 2. 5371’ mien , v afidarin n, la réponfe à cette
queflion; fi depuis qu’il travailloità acque-rir la vertu , il étoit arvenu à le dépouillerde toute attache 82 e touteïaffeâion parti:culiere, :383. étal. x. âp. 384.
Tian" de Un , maniere des Chinois dans ce:exercice , Î 330. à Ml. 2. n.
Tz’ 1. finçg ,.voyez Sang. A. à(«in 8a S inng , ce que l’on appelle ainfi , 2.9 zTçng [mg fi, Minillre del’Empereur Van tr”,
ortrait qu’il fait de«ce.Prince , quîil follicite
a reformer le luxe , a; auquel il en découvre
5 les moyens. , . t 1 ’ 4.4 3Tang han , ou ils tranfporterent leur Cour,
. I . - 14.0. n.Tong bien *, favori de l’Empereur Ngai ri;., 4.61.. fait périr Swing kilts, -- » . 4.63Tnng n an yl; , demande à Kim la quel.-
ques eçons importantes fur le Gouverne-g. nient; réponferqù’il cri-reçoit , 6 3 9Tçng feng,-,â qui l’on donne ce nom , 25;.A ML, a. Devant quels Mandarins ceux de
guerre fubiiTent l’examen; fur quoi ceux-ci
, ont examinez , .. ç 0 . 25671mg trhang [lm , extrait de fes réponfes à4 , l’Empereur Kan ri , . 4.40. évfin’v.Tanner"; comment repréfenté par les Chinois,
. l , v , ,. 1 zÎIMU", ceux attaqhez à la même monofyllalîe
diffinguez, naturellement par. lesChinois 5prononcez fi finement qu’en nepeut sîen ap-
hpercevoir ,1 ,7 1 , 1- .215. [01.4.Tamia? (la) defavorable augure chez les Chi-
nois, V . 4 . 557.:01.z.Tanne? de Porcelaine , voyez Candi, a ’ .Tan ,.fignification de ce caraâere , z i y. pal. 1 .anqn du , pierres les meilleures 8: les plus:
propres pour préparer l’encre 5 2.4.9.Tnudn tf2, , efpece de fatin , 207Tanigceque c’efl, A. u 2.61.tal.z .
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722 TABLE DESTour de N471 king, [a defcription , 94.. à fiiv.7 au: , POUI’ËISIOÎ bâties d’efpace en efpace
fur les grau chemins , si. Leur ulage ,I î 4-
Tnntennqne , quel cil ce métal , 1 71Tribunaux de la Chine de plulieurs fortes ,
23. à fait). Celui des Princes émbli àFrking , pour tramer leurs affaires , 2.6.
1 ’ ’ tel. 2.Tribut dû à l’Empereur; comment’s’en fait la
levée; en qpoi il coolilie; difficile à déter-miner au ju e à quoi il le monte , 14.. 601.1.
Tfiu’ , lignification de ce mot , 265. col. 2..301. n.
Tfai Min, Difciple de Ttbu lai , ell: char ’de faire un Commentaire fur le Ch» king 3ce qu’il exécute ; réface qu’il met qu’on a
infere’e aulli dans let-ecueil Imperial , 608.â fait).
Tfizi bran uni , nom d’une efpece de papier;24.0
Tfizi [un , Mandarin du Palais , forme dupapier qu’il invente 3 compolition de ce
papier , 24.0. r01. 2.Tfai nga 8: Tfnn kang, Difciples les lus céle-brcs de la leconde dalle de ceux e Confin-
un: , 5 1. z.Tjèzi rfing 8; Tfin king, Grands de l’Empi e;fujet de leur AmbalÏade en Occident; com-ment ils s’en ac uittent , 5: 3. cal. 2.
Tfizi yang, M’ ’ re fidele manque de périrfur de faux rapports contre lui, 629.501. 2.
Tfaa , ce qu’eli maintenant ce Royaume, 3 5 6. Ë
Tfna ko , lignification de ces deux termes , ce
ne c’ell 24.7T215 , lignification de ce mot , 3 34.Tfeë [Iran , premier Minillre du Royaume de
CM7: , ce qui en cfl dit dans le feeond Cha-pitre de la [econde Partie du Meng tfei ,
. , 34.9. ë- :vl. 2 .77è? lm, Difciple de confions, ce qui en elidit dans le troilie’me Chapitre de la premiere
Partie du M mg tfëe , 54.0. pal. 2..Tjèfa , Général de l’Arme’e du Roi de Tfin ,
reçoit des infimâions de la mere , 672Tfing , Difciple de Confiant , inflruélions qu’il
en reçoit fur le refpeâ filial , 36 5 . è fliwn.m. Réponfes aux quelîions qu’il fait à [on
maître, 364..è«rol. 2. âp.3(-.5Tfing 7mn fiang , comparailon qu’on fait de ce
Philofophe , 285. tu]. z.Tfi’ng fèë , Commentateur du Livre Ta lm deCanfurz’n; fou maître , 325. Commentildon-ne plus d’étenduë à la doéirine de Ion Livre,
325.501. 2. 67. 32.6.If: pi , pourquoi il meurt dans les lupplices ,
6 8 5
Tfi flac” publie le Livre de Trloang yang , de
. Confiant [on grand-pue , 317A Tfi rang , ce que c’en: , 27 5
l Tfe mu , ce qui lui mérita d’être lÎépoufe de
M A T I E R E S.Tching 7mn 1 6 39.:01. Î:
T fi (le Roi de) la jaloulie contre le Roi Ian 5üratagême qui lui réuliit , 31. 1. d- m]. 2
Tfinng, lieu ainli nommé; à quoi deliiné , .z 9
Tfùzng lehm , quelle efi cette dignité, 428i *Tfian tbin , Doâeur Chinois , acculé d’avoir
alteré l’y [ring , 2 9 2. ml. 2.Tfitn (le) ou le Ma:,ce ue c’ell:,* 189Tfi: y» , pourquoi il refu e les préfens 8c les
dignitez ne lui fait le Roi de Tfiw , 677.fonde le miment de fa femme fur ce refus, ,
677. cal. 2. 6* fait).Tfi bang, fille du Roi Tjî, époufe de filions
en! fils du Roi de T m, follicite envain [onë oux de rentrer ans les États; moyens
ont elle ule pour venir a bout de fou
’dell’ein , 675Tfin, les diflèrenres lignifications , 44.1 *Tfin 86 Han , fur quoi on écrivoit fous ces
Dynalfies , 24°Tfin , ce qu’ell maintenant ce Royaume, 3 57. f358. [a]. 2.
Tfin ( leRoi de) cequieneli ditdansleMmg
tfeë , - 353.:2]. 2.TsIN CH! neuve , premier des Souve-rains ui veut feul être refpeâe’ ; afl’eâed’humi ier les Minilites le p us en vénéra-tion jufqu’alors , 616 ml. 1. s’alie’nele cœur
de les Miniflres , 617. [En quoi il s’efi renducélebre; Livres qu’il ordonne de brûler -,fait mourir plufieurs Doéieurs , 286. ml. 2.S’il fut ennemi des Sciences , 2 8 6. tu]. 2. à:
17. 287. Ce qui le porta à publier cette Or-donnance , 287. réunit fous une même Mc-narchie les divers Royaumes qui parta- .geoient la Chine , 317. 0111.1.
77mg long , voyez Tfizi tfing.Tfin fië , Doéieurs de la Chine , loir de lettres,
loir de erre aufquels on donne ce nom ,2. 57. [a . 2. peuvent arvenir aux plus im-iportans emplois de ’Empire ; honneursqu’ils reçoivent , 257. col. e7- p. 258
Tfin Mn , lignification de ce mot de compli-
ment , 1 ozTfin je pan ouvre un College à l’an yang;- esg, lon difcours à la premiere ouverture
claires , 4.74. à fifi].Tfin , ulage de cette couleur; la préparation ,
l 109Tfang huai , Calao de l’Empereur Trlaing rang,
2.96. En]. 2.. Son difcours à cet Empereur,302. à fiiwanres.
Tfang tau, à qui l’on donne ce nom, 3o.Voyez V iL’EroiJ.
Tfin , ce qu’eli maintenant ce Royaume ,5:7: * .
Tfou , généralité de cette jeune fille, 68.Tfinang kvnang tfi , efpece de vernis , 2148.
a .12.
Tfan hit, voyez Tfnnfin. i
T’ABLE.DES.MATÎERES.. 723Tfoni qnnng , conlulté par l’Empereur Sllfll
mu ri , fur un monfire qui lui avoit été pré-fenté; interpretation qu’il en donne qui letrouve véritable, . 4.77. à filin;
Tfang knng, voyez T ai n50.Tf: tfiè’ marche fur es traces de Confiant
(on grand-pue , 320. tu . 2..Tfan yen 8a wa hit, Difciples les plus céle-
bres de la quatrième claire de ceux de Con-
flair: . 3 2 aTfit , lignification de ce terme , 374.Tfil kan , Difci le de CflnfilEÏflJ’ , performe que
doit air , . elon lui, tout homme lage ,3 3 3. rat. 2.
T fim king, Doûeur , fumom qu’on lui donna;
v fon attache à l’étude , 27 2Tfn nén , fou éloge , 3go. rol.2.fifi: 4 , pourquoi ainli nommé , 2.4.7731p anr,cequec’ell, A 155
V.
AC ANC E S des études des enfansChinois, 252. cal. 2.. 267. à. ml. 2.
Durée des grandes 3 ce qui les précede ,267. à ml. 2.
V4215 , fi ification de ce terme , 3 3 8V 411g mi , Lettre, voyez Yang rhin.V4115 215421 du , Sçavant Chinois , veut dégra-
der le Tchun qui, 317. rot. 2. â- p. 318.Van la. , lalutation Chinoife; fa lignification,
’ l O l ’Veil’: de la nuit; quand commence la pre-
miere , . 5 oVengeance , celle que les Chinois tirent de
leurs ennemis , 76Van kang , Roi de Chin; la picté envers fun
re , 1 2.4.. ml. 2.Ven Jung, ce qui ell: dit de ce Prince dans leMrngzfi’ë , 357. (al. 2. &p. 358. Étui, 2.
Voyez Mlfllillf.V en tthdng, quelle cil cettecompolition 3 fa
matiere , ’ 2. 53V1511 TI , Empereur , cultive lui-même les-terres de Ion Palais 69. a donné occafion à.la fête qui le célebre au Printems , 6 9. Ml. z.Déclaration qu’il fait publier lut une éclyple
de Soleil , 391. le premier qui ait demandéu’on l’avertlt de les défiurs ï, Loi qu’il
a to e; ordonne de déliberer furl’abroga-tion tgi’une autre, 392. Ce qu’il dit fur cette
derniere , qui enve10ppoit les parons descriminels dans leurs crimes;pourquoi il di-minue la moitié des impolitions lurles grains;ordonne de déliberer fur le changement desmutilations en d’autres peines , 393. qu’onlui cherche 8: qu’on lui Irélente les perlon-nes de mérite 81 d’une toiture à l’épreuve
pourl’aider à bien gouverner , 3 95. Ordon-
nance qu’il fait publier , 396. écrit au Roide Hui un , 4.18. Son portrait , 443. refufede faire la cérémonie nommée Tangî ordre
r qu’il fait publier à cette occalion , 481. écrit
à T4115 Roi de la Corée , 481. 482..17m 114115 , Auteur des textes de l’y king , 292..
Voyez Lime clallique, sac. le premier quirenverfe les Tables linéaires, 8; pourquoi,2.9 3. [01.2. Son fils , 509. n. Signification dece nom , 309. tu]. 2. n. Ce qui en en ditdansleMMgtfrë, 337. étal. 2.. 338.521. 2.41-12. 339. 34.8. é- r21. a. 360. 363. cal.2.dans le sa» hie , 37 5. ml. 2 .2
VrN v ANG , ce qui le rendit fameux; jul-qu’où il portoit les foins pour le Gouverne-ment, 399. recevoit volontiers les avis detout le monde 8a profitoit de ceux qui lui
panifioient bons , .Vernier Chinois , combien de tems ils ont 3comment cules connaît , 2.3 5. Commentle forment l’Optatif 8c le Préterit , 213 5.
t0 . 2.71,761.71 , (le Pere Ferdinand) Pieces d’Ar-
tillerie qu’il fait fondre par ordre de l’Em-
pereur; ce qui lui attire de la jaloufie ,48.Préfens qu’il en reçoit, 4.8. tu]. x. compofeun Traité fur la fonte 8: l’ufage des Canons ,qu’il préfente à l’Empereur ’, titre d’honneur
dont il cil honoré , 49. fixe un jour pour fairela benediûion folemnelle de ces Canons; faréponfe aux libelles de ceux qui blâmoientla conduite à cette occalion a ell approuvédu Pa e, 4.9. [a]. 2. Teneur des Patentes quil’étab ilfent Prélident du Tribunal du pre-
mier ordre , ’ 62.Van! , compolîrion de cette couleur , 189. 191.V erg", dans l’enceinte du Palais; la dolima-
tion , 2.05Vernis , pourquoi les Ouvrages de Vernis deCamnn ne font pas aulli beaux que ceux
u’on fait auJapon , au Tangleing, 8: à Nnning, 173. Quand 8c comment on le tire des
arbres 3 maniere de le préparer , 174. Pré-caution qu’il faut prendre pour le recueillir,175.Difierentes manieres de l’appliquer, 17..
Verre: 8: Criflanx autant ellimez à laVChinevque les Porcelaines en Europe, 2.03. Diffé-rences des unes et des autres , 2.63. Ml. 2.
Veri à love , à ui attribuer la connoilïance8: la maniera les élever , 205. 2.08. Ilfaut leur donner un logement convenable ,213. Comment il faut les traittet 8: les choi-lir , quand ils fontéclos , 2 14. ds- fait]. Ma-niere de les tramer dans leurs r as , dansleurs mues , dans leur vieillelle, ans leursmaladies, 2 1 84’? [nivdnteLTems auquelonpeut les faire éclorre , 1 222.. a [12111. .
Vertu: , combien les Chinois en comptent , 8:quelles elles font , 4.4.0. in]. 2.’
’êtement. Regles pour celui des enfans , 317 2.
v CG . 2.
"trtvwvrrrsnuwvv’m; A 2 r .. anar)
1 "se
k.
Ë.
724 -Veuve: , belles? qui ont des enfans’ abfolumentmaîtrell’es d’elles-mêmes , 222. Celles de
:condirion mediocre demeurent fous la if-. dame de leurs parens , 2.11. [01.2. Hi gire
d’une du Royaume de Lau , 672. Récom-enfe de la fidelité &pieté filialed’uue veuve
* d’un Officier del’Empereur.
Viande: dont lespouples delerChine s’accom-
dent fort, . I 38. tu]. a.Virérair ou Tfong tu: , magnificence de leurmarche quand ils paroillent en public pen- A.dan: le jour , 30. pendant la nuit , 3x. Leursdevoirs; leurs moyens de le confèrver , 3 l.
* col. z. Tems aufquels ils doivent,afiè&er der marquer leur feniibilite’ pour le.peuple ,’ 3 r.
. . - y auVieilarda de tout’tems tel ôtez ar les Em-pereurs , 4.08. ’* fervis memede eurs propres
a mains , 4 . , . 4-08. tafia.Vigilant: , celle qu’on doit avoir fur foi-même,3 7 I. é- fiziwnter. Maximes des .Aureurs
modernes fur cette vigilance , 3 78. à" fuira.u Exemplesde’cette vigilance .,* 5 8 3 . è r a]. i.
. . a ora-384Ville: bâties pour la plûpart fur des-Riviera1 navigables; les capitales [ont très-grandes;
le reflemblent fort , 8. ont de grandes toursVaux endroits les plus frequentez , 8. Ml. z.Celles de guerre ne font pas mieux fortifiéesque lesicommunes g leur lituation, 46. Cha-
- cuneeft divifée en quartiers, qui ont chacunleur chef; a une garde à fesïpones , se. 8;une grolle cloche ou un rambour d’une gran-deur extraordinaire pour marquer les veilles
i de la nuit, 50. :01. 2. Celles qui élevent un. grand nombre de Concubines dont elless ont commerce , m. Chacune fait imprimerl’Hifloire de fou difiriél , 1 77. ml. 2.
Vine, il n’en faut point boire , quand onrvarendre vifice à quelque performe de confide-ration, me. ml. 2.. de difiërentes fortes ;idiverfes façons de le faire , r i 8; ml. a.
élida.Vin ou Bierre Chinoife , dequoifait , 307.71.V in d’agneau , voyez C40 yang tçieau.
Violet, compofition decette couleur t, me.
i V à filin.Vrfim , celles qui doivent le faire le matin oul’a res-midi, ro4.rol. z. Jours qui leur fontde inez 5 doivent être laccom agnées dequelques préfens , 106. Ce qu’il) faut prati-quer dans celles qu’on rend ou qu’on reçoit ,
l oVifiteur des Provinces reçoit un fceau dz
l’Empereur; ce qui arriva à l’un d’eux qui
-aVoit perdu le fieu , 13.501. z. dur. [4.Vpifin: obligez en certains cas de le prêter la
"main les uns aux autres , 5°ValmrJ de grands chemins fort rares à la
Chine; n’ôtent prefque jamais la vie , s4. ILeur fecret pour endormir ceux qu’ils
"r- A’B’L E in. es Man sans.
, 47.V o U v A N G , tems auquel florilfoit cet Ern-
foüillent , . .. : z 778Valume , ce qui le formoit anciennement à la
. Chine , , l 32.4.0Vofim, ion jugement fur laLangue Chinoife,
2 19Vau’hrm , Imperâtricd,*«fatigue les peuples,- pour conferver 8c poufi’enplusloin’cerraines
A conquêtes,:5o7. confewe’lêgouvernementquoique le Prince héritier foirer; état degouverner , 508. le remet entre les mains
. e fou fils ; fa mon, Il A fraV00 Il , Empereur , demande Qu’on lui
donne des lumieres: ur bien: ouvemer’;qu’on lui parle avec iberté, 39 . Sa décla-
"rarion à ce’fujetw, 46:0. demande à Tang- fang fi les moyens les plus propres à refon-
mer le luxe , 44;. recommande de nouveauu’on lui donne’des’avis avec liberté , 47e.
’t élargir ceux qui lui avoient donné des
avis outrez , » i rpereur 5 moralité qu’il tiroit dela pierre M é,
2.45. ml. 1.. Chef de la troifiéme Race desEmpereurs; étoit Roi d’une partie de laPtovinde de Ohm fi 5 défait lÎEmpereui:Trlmw; Ion premier foin auŒïôlqu’il fiit
. proclamé Empereur; où’ s’étendit la libera-
ite’v; ’à uoi très-attentif !,’ 297. col. z.Sage concleil qu’il donne au Roi l’on frere,
7 » V . ,*34z6.ml.2..Voyagmrl obligez de porter leurs lits ou decoucher fur une natte , sa. ml. z. le fervent
7 de chaifes quand les chemins ne leur per-mettent pas de le fervir de chevaux, 54.
’Précautions qu’ils .prennent’pour marcher
l en fureté la nuit, si. Commoditez qu’ilstrouvent pour mnfporter leurs ballots , 5;.à :01. z . foui-lient beaucoup de la pouffiere,
57’0an (grandes) de Porcelaine de pieces tapa
portées parfaitement bien réunies , zoo. On,cn a vû. autrefois d’un grand prix , 2.01..
V 00]» l2,,7
x Y-ANG CHIN , Mandarin; fa belleré onfe au Lettre Vang mie’ , Gouver-
neur de a Ville de deng qui lui témoignoitla recomoiEauCe de ion élevatiou 5 384..
J . étal. z.Yang dm , principe de la feéte qu’il forme,
1 3.46. ml. 1..Yèhg 1144715 fient, accufation qu’il forme con-
tre les Millionnaires , 78Yang fieu ( le fameux) comment réprefentédans le livre des biliaires qu’on donne à lire
aux enfans , 171. vol. i.Yang t a km , voyez T4 kit: . v 7Yang J6! perdait charge -, :54. à cpt. z:
v A o.
r
TABLE. DES MATIÈRES.YA o ’, Empereur , fuccefi’eur qu’il le donne,
68. .295. Ce qu’il dit à Chien lui remettantl’Empire , 1.78. MI. a. Comment regardépar les Chinois; ce qui l’a rendu célebre; à
qui il donna la fille en mariage, agi. Cequi en ell dit dans le Meng tfeë, 34.3. 34.4.cal. z. 34.6. 351. autel. 2.. 333mm 1.356.
tel. z. 363.ré , Minillre de l’Empereur 1’11 , qui le nom-
me fou fuccelleur , 2.9 5. tu]. a.Yen, lignification de ce mot , 3 07. n.J’en , infimflion qu’il donnoit à les enfans ,
378. è ml. z.Yen lent , éleve de Confucius, 1.71. col. a. Son
élo e, 330. :014.yen lin , perd fou fils en allant au Royaumede Ïfi; funerailles qu’il lui fait faire , 4.54.. ,Ce qu’il dit en pleurant ,
Yen yuan , ion éloge ,Y en ynen , voyez Meng tfië bien.1’ me rang , lignification de ce nom , 3 1 5. n.Y [yin , lignification de ce mot , 263. pal. 1..Yin, Calao de l’Empereur Tebing rang , 29 6.
. , [a]. z.Y [ring , quel ell: ce Livre , 263. * 288. Cequ’il dit fur l’étude d’un Sage , 278. Pour-
quoi il ne fut point brûlé comme les autresLivres , 287. Ce que c’ell que cet Ouvrage,288. é- tal. z. Pourquoi appelle Livre de:(0115, 29 a. en]. 1. Ce qu’il faut faire pour’étudier , 19;. Ce qui lui donne une grande
autorité , 294.. à Fol. 2. Ce qui lui attireune grande veneration; ce qu’iLcontient,fuivaut quelques-uns s cit le principe 8: lafource de toutes les Sciences , 7.94. tel. 1..
de Il. 29sY li , ce qui cil dit dans ce Livre fur la céré-
monie qui le pratique , loriqu’on donne lepremier bonnet aux jeunes Chinois , 37 z.
à ml. a.Ynei , lignification de ce mot , 6 9 o. ml. z. n.YNG T8 ONG , monte fur le trône a rès la
mon de Gin tfang qui l’avoir adopt s fem-ble oublier ion bienfaiteur; reproches qu’ilreçoit de les Minifires , 536. (en fili’v. 538.
’ 1’71 3m du"; , Montagne d’agathe; fables débi-
tées à fan égard , 13.401. 1..v Yang , lignification de ce mot , 3 y 7
YU tiré de la campagne pour monter fur le
&55331. cal. a.
’ 7H
trône; fait écouler dansla mer les eaux quiinondoient les campagnes , 68. 7.9 5. Ml. z.301. 67’501. a: 8a s’en ’fert enfuite pour les
fertilifer, 68. à» fiiv. Voyez YAO. Mi-nillre de l’Empereur CIn’n auquel il fuccede,295. Réglemens qu’il fait; ce efont chezles Chinois les exemples 8c es enfeigne-umens; luccelTeur qu’il veut le donner; 0p-polition qu’il y trouve , 19;. (al. 2.. Sondialogue avec I’e y 8c l’Empereur Chan ,tiré du Chu king , 1. 9 8. é» faimnter. 8: avec(240140 , 299. à ml. z. Son éloge , 4.99.à" tu]. z. 331. Ml. 1.. ap rend avec l’a yaux hommes à manger delta chair; 8: avecH E016 tfi l’ufage des grains 6c l’agriculture ,
301. ml. a. Ce qui en ell dit dans le M mg -îfiîs,34-°- "Il. z- 547- ne. r63. Voyez
M surins.l’a thé , pierre dont on fait le fceau de l’Empe-
reur; d’où elle le tire , 13. Ml. 2.3Ynenttlzing , un des Couleurs par office pré-
fente à l’Engpeteur un difcours , 52. 7Y U. E N T 1 , Empereur, écrit au Roi de 7 072g
ping , puis à la mere de ce Prince , 4.03.Occafion de la déclaration qu’il fit publier,
4461’14 bang , Minillre de I’Empereur Ming ri,
8; frere de l’Imperatrice , remercie ce Princede les bienfaits , 8: luiexpofe les raifons pourm’accepter aucune dignité , 4.76
1’ a [en tfi trbang , refule confiamment la char-e e premier Minillre 8: les préfens queui alite le Roi de Tfau , 679
la; nié, quelle cil cette efpece d’encre ,’ 7.46
1mn [rang , voyez Canal Raja]. il’un mon Il" , lignification de ce nom , 1.4.4.Inn trin; , la remontrance à l’Empereur , 5 3 2.In fleë , quel cil cet Oflice , 59 3. ’*1m zfing , fomdifcours contre les Augures 85
les Hilloriens qui les ramalTent 8: les font
valoir , 566. à finir.Yyn , ion éloge , 35r. ml. z. Ce qui en ell rap-porté dans le Meng tfie’, 360. [a]. 2. â:- p.
361. 36 .yynn, [on inflruéiion au jeune Tai haï,
304. (je frein. Suivant quelques-uns , il aidaTibian mng à détrôner K le; fait hardi qu’on
lui picte , 304.. n.Fin de In Table des Marine: de ce ficond Volume.
Tom: Il. Xxxxxxxx
etamwwflwaw«sesaswesswumswmeaeweiuwswewou»
FAUTE-S A CORRIGER-.P dg: 4.3. ligne demiere troupas , [me troupes.Pdg. fg. Iig. 43. [a] a. falité , lxfi facilité.Tag. 57. 11;. 31. exempte, li . exc te.Pag. 24.3. 1g. 3:. 501.2. (en, lifi erre. .Pag. :61. Zig, 33. à la marge Tan , lif. T mg.Erg. 4.76.113: 2.1’nlang , lif. 1’14 enng.Png. 518. 14;. a. cal. a. pollerité , le]: profperite’.
. 1’43. 5:5. ig. u. 1’11 , Un.Pag. 4.76. hg. 33. lieuës , fifi lys..045. 4.4.7. Zig. 1. le halardent , tif hafardent; l1945. 668. dans le titre 8e dans la note Zie’ min, lif. IÏG’ niez.
4843. 6 9 3. col. a. fig. 1 6. moudre hf momdœ.