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NOUVELLES FANTASTIQUES Classe de 4e4 Collège Paul Bert Année 2018 2019

NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Page 1: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

NOUVELLES FANTASTIQUES

Classe de 4e4

Collège Paul Bert Année 2018 – 2019

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Tannirra Smith 49 ans, est prof de physique chimie.

Des objets qui prennent vie dans sa salle de cours : des atomes, éprouvettes,

Elle s’est endormie en corrigeant les copies : 22h, elle avait bu, comme à son habitude

quelques bouteilles.

Quand elle boit elle s’endort. Alcoolique.

Réunion d’alcooliques anonymes le 30 novembre 2002 au Havre dans un hôpital

abandonné. Aujourd’hui au programme : comment arrêter l’alcool.

Je vais raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a 10 ans, depuis ce jour j’ai arrêté de boire.

« BRAVO ! »

« Bonjour je suis Tannirra.»

« Bonjour Tannirra ! »

Comme à mes habitudes je corrige en buvant des verres de whisky quand j’ai eu des

hallucinations lorsque que je corrige la copie de Lilou Smith sa fille qui avait 13 ans.

Mon stylo à moi, les fiches des élèves, les bonnes et les mauvaises notes des élèves de la

classe 4eme4, les liquides et les éprouvettes graduées.

Tout à coup la lumière s’est éteinte et les objets ont pris vie dans la seconde qui vint.

Mon stylo m’a attaquée et s’est planté dans ma main et je l’ai cassé en mille morceaux et je

me suis évanouie de douleur.

Le lendemain matin le principal du collège m’a retrouvée au sol en tenant le stylo dans ma

main plein de sang.

Est-ce que c’est du surnaturelle ou mon hallucination ?

La suite à la prochaine réunion des alcooliques anonymes…

« AU REVOIR ! »

Clément

Page 3: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Élisa se rend à l’hôpital pour faire le ménage, elle croise un collègue.

«Coucou Elisa ça va ? Tu vas faire le ménage à l’étage des enfants? »

«Coucou, oui je vais nettoyer là-bas pourquoi? »

«Comme ça mais fais attention il se passe des choses bizarres à cet endroit. »

«Si tu essayes de me faire peur ça ne marche pas. Allez à demain ! »

«À demain mais fais attention ! »

Après cette discussion, Élisa accomplit son travail sans le moindre incident.

Elle ne dormit pas beaucoup cette nuit-là, elle rentra dans l’hôpital et ne croisa personne.

Elle se dit : « c’est mon hallucination. »

Une voix terrifiante lui dit :

« Non nous sommes réels nous sommes tous réels.»

Cela glaça le sang d’Élisa .

Élisa rentra chez elle et entendait toujours toutes ces voix. Elle décida d’aller dormir quand

même.

1 semaine plus tard…. C’était un vendredi.

Élisa n’était pas allée travailler pendant 1 semaine parce que elle était gravement malade

après tous ces évènements.

Son collègue lui rendit visite le dimanche pour prendre des nouvelles. Elle dit

« ALALA JE NE ME SENS PAS BIEN DU TOUT ! »

« Ne t’inquiète pas on peut aller chez le médecin.»

Elle alla chez le docteur puis retourna travailler. Elle alla à l’étage. Ses migraines

recommencèrent.

Sa vue devenait floue elle vit une patte. Cette énorme patte était rouge de sang. Après elle

vit un énorme nounours aux yeux rouge. Elle était terrorisée. Elle tremblait et transpirait. Le

gros nounours l’attaqua. Elle mourut d’une mort affreuse. Depuis, cet hôpital ferma pour

violence sur leur employé.

Lucie

Page 4: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Il y a 2 ans de cela, je fus adoptée par une famille d’accueil car mes parents maltraitaient

ma sœur. Jusqu’au jour où sa vie laissa place qu’à de simple souvenir.

Lorsque ma sœur, Katnisse, se fit tuer par mon père, je me trouvais dans le salon. Mon père

hurla sur Katnisse et la frappa au visage. Je voyais le corps de ma jumelle étendu au sol.

Depuis ce tragique jour, les médecins disaient que mon traumatisme pourrait me causait de

grosses comme de petites crises.

Aujourd’hui j’ai 15 ans et je vais pouvoir enfin vous raconter cette histoire, j’ai tant attendu!

Quelques jours après mon adoption et mon déménagement dans la ville du Havre, ma mère

adoptive me fit visiter les pièces de la maison.

La demeure était plutôt sombre, il y avait de vieux meubles anciens, le sol était en bois et

craquait au moindre pas. Ma chambre se trouvait à l’étage, il fallait monter de vieux

escaliers bruyants pour y parvenir.

Ma chambre n’était pas refaite, elle était vieille et sentait le renfermé. Après le repas je

m’installai confortablement dans le canapé et me mis à regarder les informations. Mon père

passait à la télévision, pour avoir commis le crime de ma sœur. Je regardai fixement mon

père, de tristesse mais aussi de colère.

Son regard se tourna vers la camera, il la regardait fixement, j’étais mal à l’aise, j’avais la

sensation d’être visée, il fit un sourire malveillant mais la télévision se coupa. Arrivée dans

ma chambre, je m’allongeai sur le lit qui grinçait, mais malgré ma peine, je me mis à

m’endormir.

Dans les alentours de minuit, je fis un énorme bond, quand je crus entendre les escaliers

craquer comme de la glace qui se brisait, je tirai ma couette jusqu’à mon cou en guettant le

moindre geste.

Le bruit s’arrêta, un gros blanc s’installa et quelques minutes après reprit. On n’aurait dit

qu’il ou elle marchait pieds nus sur le carrelage du couloir. Ma respiration s’accélérait, mon

cœur battait à plein temps, des rires se firent entendre, ils provenaient de chaque côté de la

pièce, la fenêtre s’ouvrit, la lune forma une ombre! Une ombre d’une personne qui marchait

dans la pièce. Je tentai de me cacher sous la couette, quelques instants plus tard le bruit

s’arrêta, je sortis lentement de la couette et regardai toute la pièce.

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Je me levai même si mon instinct m’indiquait le contraire. Quelque chose se cassa derrière

moi, je sursautai, regardai et me dis que c’était sûrement moi en me levant. Je marchai

seule dans la pièce, guettant les moindres faits et gestes. Je crus sentir un frôlement, je me

retournais mais ne vis rien.

Je m’approchai lentement de la porte, une ombre passa devant moi à grande vitesse. Je

sentis la peur m’envahir. Je reculai, reculai, et reculai. Jusqu’à ce que je me cogne contre

une commode et que je fis volte-face.

Dans la vitre je vis mon père, il avait toujours un sourire malveillant, j’avais énormément

peur !

Mais il mit son doigt sur sa bouche et mit son autre main sur la mienne.

Je le sentis contre moi, mon cœur s’emballa d’une vitesse immense, je me sentais devenir

blanche, mes bras devenaient mous, ma vision devenait floue, je me sentis tomber.

Lorsque je me réveillai, ma mère adoptive était à coté de moi, elle me tenait la main d’une

façon rassurante. Je lui dis:

«Que m’est-il arrivé?»

«Tu as fait une crise … Encore. Je t’ai trouvée par terre près de la fenêtre, tes parents t’ont-

ils dit que tu faisais du somnambulisme ? »

J’ignorai royalement sa question et lui fis part de ce que j’avais vu la veille.

«J’ai vu papa! Je l’ai vu!» Mes yeux devenaient humides sous le coup de l’émotion.

«Cela m’étonnerait que t.. » sans lui laisser le temps de finir je lui répétai d’une voix plus

ferme:

«JE L’AI VU!» elle ne répondit rien. D’une voix plus douce je continuais de lui parler.

«Si je devenais folle … Alors comment pourrais-tu expliquer que je saigne de la bouche? Il

me tenait la bouche … Je m’en souviens!»

Elle me regardait, me prit la main plus fermement et m’expliquait alors:

«Bon, et bien je ne voulais pas te le dire dans ces conditions, mais apparemment je n’ai pas

vraiment le choix. Ton père a été exécuté… Je suis désolée ma puce» Amélie

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Le portrait

Je vais vous racontez ce qui m’est arrivé. Il s’est passé une chose si bizarre et si

inexplicable. Vers l’âge de mes 16 ans mes parents avaient divorcé et j’avais dû aller habiter

avec ma mère car mon père avait un travail qui prenait beaucoup trop de place dans sa vie.

Le mercredi 16 juillet 2009 je rentrais de l’école à pied car ma mère m’avait avertie le matin

qu’elle ne pourrait pas venir me chercher. J’ouvris la porte de ma maison, enlevai mes

chaussures et rangea mon manteau dans le placard. J’avançai vers la cuisine et je

découvris ma mère pendue. Pris de panique je partis frapper à la porte des voisins pour

demander de l’aide. Puis les voisins appelaient les pompiers, les pompiers arrivèrent alors

et j’avais donc était prise en charge par mon père qui fut prévenu de l’incident. Une semaine

après cette tragédie je décidai donc de dessiner un portrait de ma mère car elle me

manquait beaucoup et surtout pour avoir un souvenir de

son beau visage. Le portrait étant fini, je décidai de

l’encadrer et de l’accrocher dans ma petite chambre si

sombre et si étroite pour pouvoir y mettre un peu de gaieté.

Un soir d’orage, je décidai d’aller me coucher de bonne

heure car il n’y avait plus de courant dans la maison.

Cette chambre me faisait encore plus peur avec tous ces

éclairs qui faisaient refléter certaines ombres un peu

étranges.

Je réussis quand même à m’endormir quand vers 3 heures

du matin j’entendis un bruit étrange.

Je me levai pensant que c’était mon père qui était levé et je

décidai de descendre pour le rejoindre. Arrivée dans le salon, il n’y avait personne. Je

remontai donc dans ma chambre un peu apeurée. Je me recouchai et j’entendis une

nouvelle fois le bruit «touc touc touc» je commençai à m’inquiéter et là tout à coup le portrait

de ma mère se mit à bouger, je me cachai sous ma couverture noire à rayures blanches et

le portrait tomba sur le sol poussiéreux, je me levai pour regarder le portrait et le dessin que

j’avais fait avait disparu et à côté il y avait un long cheveu brun comme celui de ma mère. Je

raccrochai le cadre et je retournai dans mon lit soudain une silhouette sortit du portrait.

Ilona

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Les monstres de l’Undergroud

Dans un petit village vivait une jeune fille nommer Frisk elle vivait avec sa mère dans ce

village. Elle avait deux frères, un qui se nommait Jack, son frère jumeau Chara, et les trois

triplets, elles se nommaient Susie, Alexandra et Alice. Ce village était décoré de roses

blanches et rouges, de pommier et de buisson.

Comme tous les matins je me levais à 6h25 du matin pour aller prendre mon petit déjeuner,

comme j’étais grande pour m’occuper de moi-même je préparais mon petit déjeuner toute

seule. Après avoir pris mes bonnes tartines de Nutella avec mon jus de pomme, je vis mon

frère Jack en pleurs et je lui demandai:

« - que t’arrive-t-il petit frère ?!

-j’ai vu un monstre sous mon lit!! »

Et je le savais, mon frère avait encore rêvé d’un monstre sous son lit. Je le pris dans mes

bras et je lui donnai un baiser sur son front pour lui dire pour la 15ème fois que les

monstres n’existaient pas. Après avoir fait le déjeuner à toute ma famille, je me rendis dans

ma chambre pour me préparer pour aller à l’école. Je mis mon pull bleu avec des traits

violets, mon short marron et mes chaussures marron clair.

Je pris mon cartable, sortis de la maison, et je pris le chemin pour aller à l’école. Sur le

chemin je rencontrais mes copains de classe qui prenaient le même chemin que moi.

Arrivée à l’école je me mis dans mon rang et mon prof arriva très en colère et nous dit : « qui

a pris le cartable de Julie ce matin ? »

Très vite je compris que c’était Nathan et son gang qui avait encore prit son cartable donc

moi et mes amis dîmes: « -C’est Nathan et son gang!!!! »

Le prof furieux cria sur le jeune garçon et ses amis, toute la classe se moqua du gang qui

eux était gêné se faire réprimander en publique. Après on commença le cours par du

français (c’est une des matières que j’adore, je suis premier de la classe pour cette matière).

À la fin des cours, je rentrais chez moi, mais je m’arrêtai car j’entendis des chèvres (sauf

que dans mon village on n’avait pas de chèvres), je me rendis vers les cris des chèvres. En

regardant derrière le buisson, je vis trois chèvres debout qui portaient des vêtements

recouverts de terre, tellement j’avais peur je restais figée, et j’entendis une chèvre parler,

elle disait : « - nous revoilà chez nous, notre chez nous qui a été pris part les humains !

Jeunes monstres venez à la surface ! »

Page 8: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Et des monstres sortirent de la terre, des squelettes, une personne de feu, des oiseaux de

glace, des grenouilles et mouches qui parlaient et une araignée servante.

De peur je criai d’une voix très aigue. Une chèvre qui portait une robe violette et blanche,

s’approcha et me fit un câlin. Je ne compris pas, un monstre ça attaque normalement, non? )

et me dit:« - jeune fille comment t’appelles-tu ? »

Je répondis à voix basse: « Frisk… »

Et c’est à ce moment que je compris que ces monstres voulaient la paix avec les gens de

mon village, donc je les accompagnais à mon village, tout le monde avait peur, et moi je les

rassurais en leur disant : «ils ne veulent pas la guerre mais la paix !!!! »

Et là tous les villageois commencèrent à s’approcher des monstres, un peu méfiants. Mais

quelques minutes après les monstres et les villageois se réconcilièrent, deux nouvelles

maisons furent construites spécialement pour les monstres, un bar fut ouvert. Moi je

m’amusais avec mon meilleur ami Asriel.

Manola

Olivia Danarah, femme de 25 ans, vivait dans une ville nommée Amsterdam. J’habitais

avec sa mère et son petit frère de 15 ans. J’étais médecin secouriste dans un hôpital très

sombre et pauvre, pas beaucoup de revenus donc pas de quoi financer une maison.

Un lundi j’allai au travail avec mon amie Lova nous marchions quand je vis mon fiancé

Mayjor, Lova me demanda si je voulais bien aller à une fête avec elle.

Je le regardais.

Mayjor : « Vas avec ton amie »

Évidement je ne disais pas la vérité, mes amis et moi avions prévu d’aller visiter l’endroit

hanté près de chez moi. Cet endroit était vieux et abandonné.

Jade

Page 9: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Le fantôme du cadre

Lors d’une soirée dans une maison abandonnée,

des personnes racontaient des histoires, lorsqu’un

moment quelqu’un rentra dans cette maison et

cette personne était Guillaume Delaporte. C’était un ancien policier de 40 ans. Il s’avançait

et commençait :

« Il y a 4 ans je rentrai chez moi et j’étais fatigué, je rangeai mon pistolet et allai me coucher.

Pendant la nuit la télé s’allumait toute seule et puis s’éteignait, ensuite les lumières

s’allumaient aussi. Vers 1 heure du matin j’entendis un grésillement de lumière, je me levai

même si j’étais fatigué. Je courais pour voir ce qui c’était passée. Une chose passait par le

cadre qui était tombé. Soudain je vis un fantôme passer une main par une main, pied par

pied et puis la tête. Cette chose ressemblait à ma femme qui était morte lorsqu’elle était

passait de l’objet, il y a 8 ans maintenant, à ce moment je pensais être fou mais non je

l’avais bien vue et elle me parla.

Mais quand elle me parlait je ressentais un frissonnement. Je n’osais pas lui parler et quand

je lui parlais elle ne comprenait pas car pour elle c’était un autre langage car elle était

d’origine allemande mais quand elle parlait elle parlait presque de l’allemand mais je ne

comprenais pas tout et j’essayai de lui répondre mais je ne comprenais pas. Donc c’était

dur de lui répondre puis elle me parlait encore et encore même si je ne lui répondais pas. À

3 heures du matin le fantôme disparut tout d’un coup comme si elle mourait. Mais elle

disparut comme ma femme mourut et puis à la même heure. Quand elle disparut je

ressentis de la tristesse et de l’inquiétude car je ne savais pas pourquoi elle était là mais

c’était bizarre. Depuis ce jour, je ne vis plus cette chose. Mais vous allez me dire que

j’hallucinais et depuis tout ce temps je ne disais à personne tout cette histoire car tout le

monde me penserait fou ou que j’aurais tout inventé mais il faut que vous me croyiez car un

jour ceci vous arrivera peut-être un jour.

Axel

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Je vais vous raconter une histoire qui date de 1964, une année ou les humains vivaient en

paix…

Jusqu’à un JOUR!

Voici mon histoire, un garçon nommé Eren Jäger et ses deux amis Mikasa et Armin.

Je vivais tranquillement avec ma mère mon père et ma sœur Mikasa. Pendant un jour banal

j’étais partis acheter du bois avec Mikasa et d’un coup j’ai vu un énorme titan mais Mikasa

ne l’avait pas vu et me dit que j’étais fou mais de la terre volait.

Dans mon village, je n’étais pas le seul mon père ma mère aussi le voyaient.

Le lendemain nous partîmes dans un autre village mais on dormait dans de la paille, on

mangeait une fois par jour et c’était seulement du pain.

Il y avait une queue car mon père travaillait car avoir un médecin dans sa ville était très rare

maintenant donc c’était normal. J’attendis le soir au moment où il arrêtait de soigner les

gens.

Suite à ça je dormais dans un lit, je me lavai et le lendemain je fêtais mes 18 ans je pourrais

enfin m’inscrire à l’armée contre ces titans fantômes mais pour l’instant je dormais à côté de

Mikasa et Armin.

Le lendemain on fêtait mon anniversaire en même temps que Mikasa et Armin.

L’anniversaire fini, on partit tous ensemble s’inscrire à l’armée avec Mikasa et Armin mais

Armin venait juste pour nous suivre mais c’était devenu un grand stratège Mikasa une

guerrière forte et moi euuhh un nul…

À la fin de l’entraînement, on nous annonça qu’on allait à la ville rose car depuis qu’on était

partis les gens étaient décédés pour une raison inconnue. Pendant la nuit, mon père

m’injecta un «virus» et me dit « protège Mikasa et Armin » mais j’ignorais les effets, dès que

le jour se leva, je ne parlais pas de ce que mon père m’avait injecté.

Nous partîmes pour le village Rose.

Arrivés au village, l’atmosphère était étrange dedans. Notre but : savoir pourquoi. Après le

briefing, nous partîmes tous de notre cotée avec notre groupe mais tout ne se passa pas

comme prévu…

On nous signala les premiers morts des soldats suite à ça le groupe où il y avait Armin et

moi-même se fit éliminer sauf Armin un autre soldat et moi-même.

Mais il se passa quelque chose d’horrible, je me fis manger mon bras et suite à la perte de

mon bras un titan m’attrapa et me mangea.

Page 11: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Armin avait assisté à la scène, il était en pleurs il venait de perdre son ami devant ses yeux

mais je compris en quoi consistait le virus que mon père m’avait injecté, et j’attendis et je

pensai à exterminer tous les titans du monde de ma main !

Et d’un coup un gros coup d’éclair tomba du ciel comme celui qui avait causé l’apparition du

titan fantôme et un titan fantôme sous l’éclair apparut, et c’était moi. Je tuai tous les titans

que je voyais tous de a à z et un moment je vis Mikasa dans une mauvaise posture j’allai la

secourir et là je tout compris, ce que m’avait dit mon père, pourquoi moi, j’avais absolument

tout compris. À la fin, tout le monde se demandait « qui

est ce titan fantôme ?! Il est gentil?» et d’un coup je

sortis du corps du titan fantôme et mon bras était de

retour je n’avais aucune blessure.

A suivre dans les aventure d’ Eren Jäger !

Allan

C’était un vendredi soir mon jour préféré ! Il s’est passé quelque chose de grave… Je vais

vous raconter ce qui m’est arrivé. J’étais avec mes copains (Guillaume Aurélien et Gabin),

nous étions en train de jouer à action et vérité. Le moment était venu, mes amis me

posèrent la question « action ou vérité ? » je répondis vérité, il me demanda quelle était ma

plus grande peur. Alors c’était mardi il y a deux semaines quand j’avais tapé l’autre là...

heuuuu... comment il s’appelle ?

Guillaume me dit que c’était Mathéo. Je me fis exclure de mon collège, maintenant tous les

jours, tous les soirs...

Maël

Page 12: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Maintenant que l’histoire est terminée, je vais pouvoir vous la raconter.

J’en tremble encore…

Tout commença le 8 mai 2003.

C’était le jour où ma mère nous annonçait :

« Les enfants, avec votre père, on a dû prendre une grande décision ».

On les a regardés, mon frère Paul, ma petite sœur Faustine, et moi, avec de grands yeux.

«Nous avons décidé de déménager ». Mon père ajouta : « J’ai eu une promotion de travail,

très importante pour moi, mais ce travail se situe à quarante-cinq kilomètres d’ici. Nous

sommes obligés de déménager. En plus, nous avons trouvé une superbe maison à la

campagne, loin de la ville, ce qui fait très plaisir à votre mère ! »

J’ai demandé : « Est-ce que je vais changer de collège ? »

Mon père me répondit que non mais que je devrais prendre le car.

Le lendemain, nous commencions à faire les cartons. J’étais un peu triste de quitter ma

chambre, mais il le fallait bien. Deux semaines après, nous mettions les cartons dans le

camion et nous quittions notre appartement. Après une heure de route, nous arrivions enfin.

Le désastre !!! Il y avait une vieille grange avec des vaches et des moutons que le

propriétaire nous avait laissés, et puis un grand jardin avec un chêne sur lequel était fixée

une balançoire. Quand nous sommes rentrés dans la maison, il faisait noir et un vieux rat

sortit de la maison à notre entrée. Bonjour les dégâts !

Ma mère ajouta : « Quelle jolie maison ! Il manque juste un peu de lumière et un coup de

chiffon dans toute la maison. » Je voyais qu’elle n’était pas si contente que ça avec son

sourire en coin. Alors, avec mon frère et ma sœur, nous nous sommes mis tous les trois à

nettoyer la maison de fond en comble pendant que mes parents déchargeaient les cartons

du camion.

Après avoir passé trois heures à tout nettoyer, je choisis enfin ma chambre, la plus grande

évidemment, mais je découvris très vite des choses étranges. Il y avait des traces de sang

sur le mur, sur le parquet et les vitres étaient rouges. Je commençais à m’inquiéter mais ça

n’était que le début. J’ai dû donc nettoyer les traces de sang sur les murs et les vitres. Après

avoir vécu ce moment désagréable de nettoyage, nous avons décidé d’aller au restaurant

puis au cinéma. Nous passâmes une superbe soirée.

Nous sommes rentrés à la maison et le cauchemar continua. Il y avait des traces de sang

énormes sur la porte. Mes parents était terrifiés et ma mère sortait sa phrase préférée « Ce

n’est pas grave, ne vous inquiétez pas, tout va s’arranger ! Il doit y avoir une explication ».

Page 13: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Je prenais ces traces de sang comme un signe de bienvenue. Je me couchais terrifiée en

pensant à la journée du lendemain. Je passais une très mauvaise nuit à ne faire que des

cauchemars. Le matin même, mes parents m’avaient informée que le propriétaire avait

interdit à mes parents d’ouvrir trois portes car il y avait toutes ses affaires et que c’était

personnel. Moi, têtue comme je suis, j’hésitais à écouter mes parents et à ouvrir les portes.

Je décidais de faire ma têtue et d’aller voir ce qui se cachait. Je décidais d’ouvrir une

première porte. J’ouvris et je découvris un garage avec une moto, un atelier de bricolage et

une tondeuse. Je découvris que sur la tondeuse, les roues étaient rouges et qu’elles

baignaient dans le sang, à côté d’elle, il y avait des gants de chirurgien. Je sortis de la pièce

avec un petit pincement au cœur. J’ouvris la deuxième porte, et je découvris qu’il y avait

comme une salle d’opération avec un lit d’opération et tout le matériel de chirurgie. J’en

déduisais que le propriétaire était un chirurgien. J’avais froid et j’étais aussi terrifiée que la

veille. Je pris mon courage à deux mains et j’ouvris, enfin, la troisième porte.

La porte donnait sur une pièce sombre et lugubre, il s’agissait d’une sorte de cave. Il faisait

très noir et très froid. Aussi, j’allumais la lumière de mon téléphone et je descendis l’escalier.

La pièce était bleue. Je fis une horrible découverte. Je n’en croyais pas mes yeux. Là, sur

une étagère, il y avait des bocaux, je voyais des bocaux avec des cœurs humains dans un

liquide, comme du formol, pour conserver les organes en bonne état. Le soit disant

chirurgien était en fait un meurtrier. Je sortais en courant de la pièce en claquant la porte

derrière moi. Je gardai le secret pendant deux jours. Et puis, de plus en plus de choses

étaient étranges : la balançoire s’était transformée en corde, les rideaux volaient tous seuls,

les portes s’ouvraient toutes seules également et mon miroir était cassé et la tondeuse avait

disparu. Le lendemain je devais aller nourrir les vaches et les moutons, je découvris que les

vaches étaient mortes par un coup de couteau et il restait un mouton sur les six. J’étais

terrifiée. Trois semaines étaient passées avec les mêmes choses étranges et je découvris

notre voisin pendu au chêne.

Héléna

Page 14: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Je suis dans un hôpital psychiatrique depuis des mois, on pense que je suis folle, que je

délire depuis ce jour où je l’ai revue, elle, laissez-moi vous raconter ce qui m’est arrivée:

Comme tous les vendredis, après la sonnerie de l’école, j’allais acheter des roses pour les

déposer sur la tombe de ma sœur. Elle s’appelait Valentine, elle avait les yeux bleus, des

cheveux châtains et était assez grande pour son âge. Elle était décédée le jour de ses dix

ans, on n’en connaissait pas vraiment la cause, mais ce n’était pas une mort naturelle.

Arrivée au cimetière, je partis en direction de son tombeau. Je déposai donc les fleurs, puis

je commençai mes devoirs. Quand je les eus finis, je restai là pensant aux bons moments

passés ensemble.

Puis mon portable sonna, c’était ma mère, elle commençait à s’inquiéter de mon absence.

Cela ne m’étonnait pas, il était vingt-trois heures. Je me levai, mis mon sac sur mon dos

puis me dirigeai vers la sortie. Lorsqu’un petit frisson de peur m’envahit. De la brume

descendait, le vent commençait à souffler, on ne voyait plus aucun nuage dans le ciel, c’était

la pleine lune. C’était sombre, très sombre.

C’était la première fois que je restais aussi tard au cimetière.

Soudain, je vis au loin une silhouette, elle s’approchait de plus en plus de moi. J’étais

paralysée, mon sang se glaça dans mes veines, j’arrivai à peine à respirer, ma gorge se

noua, j’étais paniquée. Quand elle fut assez proche pour que je la voie, j’étais stupéfaite! Je

devais sans doute rêver, ce n’était pas possible!

Etais-je devenue folle?

L’apparition qui était là, n’était autre que ma sœur. Les mêmes yeux, la même tête, la même

Valentine, il n’y avait aucun doute, c’était ma sœur. Puis elle ouvrit la bouche, elle était

revenue pour se venger.

Elle me parla, me raconta comment sa mort s’était déroulée. Je n’en croyais pas mes yeux,

la personne qui l’avait tuée n’était autre que moi. Ce n’était pas possible !

Elle me détestait, elle m’en voulait. Je m’approchai pour la serrer dans mes bras, pensant

qu’elle me le pardonnerait, quand soudain elle me poussa brutalement en me disant de

partir loin et de ne plus revenir.

Et depuis ce jour, je la haïssais. Elle me disait, d’un air monotone, qu’à chaque fois que je

dormirais, elle pénétrera dans mes rêves pour me rendre folle. Voilà sa vengeance.

Sur le chemin du retour, j’étais terrorisée par la peur de revoir ma sœur, et complètement

perdue à cause des évènements qui venaient de se produire. Une fois rentrée, je racontai

tout à mon père et à ma mère.

Page 15: NOUVELLES FANTASTIQUES - Arsene76

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Au début ils croyaient que je rigolais, mais je me rendis rapidement compte qu’elle m’avait

griffée en me repoussant, la griffure sur mon épaule gauche était la preuve que l’apparition

de ma sœur était réelle. Comme toutes les nuits, ma sœur me hantait et comme cela durait

depuis des jours, je ne pus m’empêcher de leur raconter de nouveau ceci. Me pensant folle

ils m’envoyèrent dans un hôpital psychiatrique, et je ne vis plus jamais ma sœur. Elle avait

réussi à me piéger dans cet hôpital…

Léa

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Je n’ai jamais connu mes parents, ils me livrèrent à des scientifiques quand j’étais petite je

ne sais pas tout à fait à quel âge mais j’étais petite il m’arrive d’avoir des visions de mon

enfance quand j’étais encore heureuse avec mes parents, je grandis dans un laboratoire où

on faisait des expériences sur moi. Je ne connaissais pas mon prénom ni mon âge. Je finis

par fuir mais quand le scientifique me remarqua il me cria: «tu ne survivras pas! Les

expériences t’ont rendu folle!» J’errais dans les rues d’une petite ville pendant deux

semaines, je ne savais même pas comment elle s’appelait. Je me nourrissais en volant le

pain que le boulanger déposait tôt le matin dans les sacs de pains devant les portes des

maisons et je ne sortais que la nuit de ma cachette car le jour on pouvait me voir et je ne

voulais pas qu’on me voie, sinon les scientifiques m’auraient retrouvée et je ne voulais pas

vivre l’horreur que j’avais vécue pendant si longtemps. Un jour, je décidai de trouver mes

parents, je n’eus pas besoin de me renseigner, une vision m’avait suffi. Sur la route je me

sentais suivie, des chuchotements se répétaient sans cesse derrière moi mais je me

retournais et je ne voyais rien. Je songeais à ce que le scientifique m’avais dit, peut-être

qu’il avait raison, peut être que j’étais folle. Mais je me concentrais sur la route je voulais

retrouver mes parents. Après une journée de marche la nuit tomba, les chuchotements

recommençaient, j’avais froid et je me sentais mal. D’un coup, une lumière m’éblouit

quelque chose arrivait sur moi à toute vitesse, c’était une personne mais je ne voyais pas

son visage c’était arrivé si vite, je l’avais vu dans ma vision sa peau était blanche mais dès

qu’elle me toucha le bras elle disparut, je me retrouvais seule, terrifiée, fatiguée. Mais je ne

pouvais pas abandonner, pas maintenant. Plusieurs jours de marches passèrent, je dormais

dehors, la femme n’était pas revenue jusqu’au soir où je vis une maison inhabitée, j’avais

longuement hésité avant d’y entrer. J’essayais d’entrer dans les salles d’en bas, elles étaient

toutes fermées alors je montais à l’étage, toutes les portes étaient fermées sauf une, alors

j’y entrais. Je voulais y dormir mais mes visions m’en empêchaient, dès que je fermais les

yeux, je voyais la femme tout près de moi. Je n’en pouvais plus alors, au bout d’un moment,

je décidais de partir mais en me levant, j’entendis du bruit dans la pièce d’à côté. J’avais

peur, mais je marchais jusqu’à la prochaine pièce. J’ouvris la porte, rien. Juste quelque

chose de bizarre, pourquoi la porte était-elle ouverte? Mes idées était troublées mais je pris

mon courage à deux mains et avança, la pièce était sombre, le bois du parquet était abîmé

et la porte d’une armoire était ouverte. Curieuse, j’allais voir, l’armoire était vide, quelque

chose tomba dans mon dos, je me retournai furtivement et derrière moi, la femme, elle était

là encore une fois, j’étais figée, je ne pouvais plus bouger.

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Mais je pensais à revoir mes parents. Ҫa me donnais du courage. Alors je courais vers cette

femme en me disant «ce n’est qu’une imagination elle n’existe pas» et comme la première

fois, dès que je lui touchai la main, elle disparut. Je n’avais pas le temps de réfléchir, je

courais jusqu’à la porte je dévalais les escaliers jusqu’à la porte d’entrée. Sous la pluie, je

courais seule dans la nuit, je pleurais, j’avais peur, je voulais retrouver mes parents.

Plusieurs semaines de marche passèrent, des nuits horribles m’empêchèrent de dormir, je

dormis peu, je mangeai peu, je me perdis à plusieurs reprises, mais je gardais espoir, mes

visions m’aidaient. Un jour, je vis une maison, je savais que c’était là où étaient mes parents

j’avais vu cette maison plusieurs fois dans mes visions. J’entrais, je voyais une télé allumée,

ce qui prouvait la présence de quelqu’un. J’attendis plusieurs heures, personne n’arrivait, la

nuit tomba, je fatiguais. Je m’allongeais quand un bruit assourdissant venant de la porte

d’entrée me fit sursauter. Je me levais lorsque deux personnes entrèrent dans la maison.

Prise de panique, je montais en haut me cacher, mais les deux personnes me suivaient. Je

me retournai. Je me demandais si c’était bien mes parents. Mais mon doute s’évapora

quand je vis que la femme avait un collier que j’avais vu dans mes visions. Puis, elle parla:

«Mathilde?». Je ne savais pas quoi dire, la seule chose qui sortit de ma bouche fut : «

maman?» L’homme regarda la femme, il s’approcha de moi et me dit «je crois que nous

avons des choses à se dire, Mathilde». Le lendemain je me réveillais avec toutes les

réponses à mes questions et avec des parents, mes parents. Je n’étais plus une fille livrée à

des scientifiques par ses parents mais une fille enlevée par des scientifiques ni une fille

sans âge mais une fille de 14 ans. Ce jour-là, je passai la meilleure journée de ma vie. Le

soir, je m’endormis très vite et me sentais en sécurité. Jusqu’au moment où j’entendis des

cris venant de la chambre de mes parents. J’arrivai à toute vitesse quand je vis la femme qui

me hantait depuis mon départ du laboratoire. Mais cette fois ci je n’avais pas peur j’étais

persuadée que ce n’était que mon imagination après tout ce que j’avais vécu. Comme les

fois précédentes dès que j’eus un contact physique avec cette femme elle disparut. Plus

tard je me retrouvais allongée par terre dans le laboratoire avec le collier de ma mère dans

la main.

Mahaut

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Démoniaque

Un jour d'hiver je suis allé au restaurant avec quelques amis à la fin du repas. On parlait de

cadavre dans l'ancien hôpital de la Clusaz plus précisément d'un enfant.

Un jour, une bande d'amis et moi allions dans l'ancien hôpital de la Clusaz. Tim et moi

allions dans le funérarium, on ouvrit chaque tiroir frigorifique mais rien personne. À ce

moment, j'entendis un bruit dans le couloir et nous vîmes nos deux autres amis s'enfuir. Le

lendemain, nous n'y retournâmes pas. Je les invitai chez moi pour discuter de ce moment

étrange. Tim nous dit qu'il avait ressenti quelque chose de pas normal mais ça ce n'était que

dans le funérarium et quand il avait ouvert le tiroir frigorifique d'un enfant de 10 ans.

Julien dit : «on y retourne quand»

moi je dis : «demain si cela vous dit»

mais pendant la nuit personne n'avait pu dormir.

Le lendemain matin, nous y retournâmes tous mais un de mes trois amis ne voulait pas

venir car il avait trop peur et cette personne était Tim ce qui veut dire que moi je serais tout

seul dans le funérarium avec une sensation bizarre. Tout d'un coup j'entendis un bruit qui

venait d'une chambre j'y allais mais mes amis n'étaient pas dedans mais un enfant avec des

allures bizarres, Son langage était étrange on aurait dit du grec ancien, il me regarda et je

vis qu'il avait un œil rouge comme le sang et un œil orange comme la flamme du feu et des

ailes déchirées comme si il s’était pris dans des branches d’arbre et je me souvenais que les

démons avaient ce genre de regard. L'enfant me regarda d'un air méchant et me dit «gia na

fygete i diaforetika tha paei strava» qui signifie «partez ou cela va mal se passer j’eus un

moment de panique et je partis en courant laissant mes deux amis tout seuls. Mais avant

de sortir de l’hôpital j’aperçus l’enfant devant la porte de sortie essayant de m’empêcher de

sortir et en profita pour me donner une peluche et un bout de tissus. Le soir même Julien

m'invita chez lui avec Lucas & Tim, je leur raconta que j'avais vu un enfant de 10 ans avec

un œil rouge et un œil orange comme les démons et il me dirent qu'ils n’avaient pas vu la

même chose mais ils eurent peur et prirent la fuite. Mais avant de sortir ils avaient aperçu

l'enfant devant la porte d'entrée pour nous empêcher de sortir. Mais une scène étrange se

déroula comme si l'enfant se téléportait. «Mais il m'a donné un bout de tissus et une peluche

mais elle ressemblait étrangement à la mienne mais celle-ci était décapitée.» Deux ans plus

tard, les constructeurs avaient détruit l'hôpital et plus aucune trace du petit garçon de 10 ans

mais le bout de tissus et la peluche étaient toujours chez moi.

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Étais-je fatigué? Mais pour moi cela fut vraiment réel.

Mathéo

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C’était il y a 5 ans, je me trouvais à l’hôpital quand j’appris par un médecin que j’avais le

cancer du sein.

Je ne me sentais pas bien, angoissée, fatiguée, comme paralysée par la peur de mourir.

Mes parents étaient là, eux aussi.

Ils me regardaient silencieusement, ils ne pouvaient pas comprendre. Ils ne comprenaient

pas. La nuit était tombée, mes parents étaient partis. Cela faisait maintenant 1h que

j’essayais de dormir mais j’en étais incapable, j’étais toujours aussi paralysée par cette peur,

je commençais à m’endormir quand j’eus une envie de vomir. Je me précipitai dans la salle

de bain, la tête au-dessus des toilettes. Je vomis quelques secondes plus tard mon repas du

soir. En me relevant, j’observais cette salle de bain très étrange. Elle était sombre et sale,

surtout le miroir au-dessus du robinet. Il était sale, il y avait des traces. Je m’approchai du

robinet et j’entendis un bruit, je regardai autour de moi, je ne vis rien. Je rinçai ma bouche

qui avait le goût de vomi puis j’entendis une voix. Je me relevai d’une telle vitesse que je ne

vis même pas mon reflet dans le miroir. Il n’y avait rien. Ni dans la chambre, ni dans la salle

de bain, juste moi en train de me poser des questions sur moi-même : Suis-je folle ?

Puis en me regardant, je vis nettement mon reflet dans le miroir, mais ce n’était pas

totalement moi. C’était le reflet de mon cancer, je n’avais plus de cheveux, plus de force,

plus aucun courage, le cancer m’avait envahi. Soudain une peur insurmontable s’accrocha à

mon corps, j’étais paralysée par cette ombre. Tout à coup, cette chose sortit du miroir et

m’attrapa. Elle avait de si longs ongles qu’elle me griffa. Elle me tirait de toutes ses forces.

Elle ne réussissait pas car j’étais tellement paralysée que j’étais maintenant une sorte de

glaçon impossible à déplacer. Je me réveillai brusquement de cette paralysie que je crus

avoir rêvée depuis le début, mais en revoyant mon ombre je retins mon souffle, m’évanouis

soudainement et tombai par terre. Quand je me réveillai, mes parents étaient ici, je me

trouvais dans mon lit. Les médecins m’avaient sûrement déplacée mais j’étais tellement

sous le choc que je ne m’étais pas rendue compte.

En me voyant ouvrir les yeux, mes parents bondirent sur moi : « Ma chérie, tout va bien ?

Les médecins t’ont retrouvée par terre très tôt ce matin dans la salle de bain, que s’est-il

passé ? » J’hésitai quelques secondes à leur dire la vérité, cette étrange et épouvantable

vérité, mais j’eus peur de leur réaction alors je répondis avoir glissé et m’être évanouie

après le choc.

Mes parents étant partis chercher du café, j’étais seule dans ma chambre. Je décidais donc

avec peur et inquiétude de retourner dans la salle de bain.

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Je m’approchai du miroir en tremblant et me vis moi, toute pâle. Je ne sais comment et

pourquoi je lâchais un étrange sourire sûrement pour me détendre.

Mon sourire se baissa vite quand j’aperçus des traces de doigts et des griffures. Les

griffures que cette ombre de moi-même m’avait laissées sur le bras. Tout à coup, mon

souffle se coupa, mes doigts tremblèrent, une sueur épouvantable inonda mon visage. Je

réalisais que ce que j’avais vécu la nuit dernière était réel, que cette chose m’avait vraiment

attaquée. Que le cancer m’avait attaqué.

Sasha

Un soir tard d’hiver, je rentrais du collège chez moi en empruntant la route du cimetière de

Fécamp. Il avait neigé tout l’après-midi et la nuit commençait à tomber petit à petit. En

descendant la côte j’entendis quelque chose. C’était un cri d’homme, je pouvais y ressentir

toute sa souffrance. Mais il ne pouvait y avoir aucun homme ou femme à cette heure-ci à

part le garde du cimetière. Effrayé par celui-ci, mes jambes commençaient à partir toutes

seules à une allure plus que rapide. Je ralentis tout doucement car je commençais à faiblir

et j’avais un énorme point de côté. D'un coup, l’impression d’être suivi me hanta, j’entendis

des pas juste derrière moi et quand je tournai la tête il y avait mes propres traces de pas et

en regardant bien, je pus distinguer d'autres traces. Elles étaient plus grandes que les

miennes. Je finis par rentrer et je me lassai rapidement de cette peur qui m’avait envahi

pendant au moins 10 minutes. Je compris finalement que j’étais seul à la maison et que mes

parents étaient partis chercher le dîner chez des amis. Mais je me sentais bien dans ma

peau. Je finis par m’asseoir sur le canapé niché sous une couverture chaude et fluo. À

minuit, mes parents n’étaient toujours pas rentrés et je commençai à me sentir mal à l’aise.

Mais je ne voulais pas les appeler au cas où ils penseraient que je ne pouvais pas me

garder tout seul à la maison. La télévision était dans le coin de la pièce juste à côté de la

grande baie vitrée de la maison. Je regardais l’un de mes films d'horreur préférés c'est-à-

dire le film Annabelle 2. Quand tout à coup du coin de l'œil, je vis quelque chose bouger

dans la baie vitrée. Dans l’obscurité et avec la neige qui tombait, je distinguai la silhouette

d’un homme qui marchait vers la fenêtre, à mesure qu’il se rapprochait, je pus distinguer son

visage et cela me remplit d’horreur. Le visage de cet homme était cicatrisé et ses yeux

étaient blancs et fous. Ces vêtements étaient déchirés et sales, remplis de terre.

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Effrayé je tirais la couverture chaude sur ma tête et je tentais de me cacher. À ce moment-là

je ne pouvais à peine bouger. Lentement je tirais la couverture de mon côté juste assez pour

regarder du coin de l’œil.

L’homme était toujours là et me regardait directement alors que la neige tombait juste

derrière lui. Il mit la main dans son manteau. Sur celui-ci il y avait marqué « Sécurité ». De

sa poche il sortit quelque chose. C’était un long couteau, terrifié, je ramenai la couverture

sur ma tête en espérant que le fou penserait que c’était juste un tas de couverture assis sur

le canapé. Je réussis à déplacer ma main dans ma poche et je sortis mon téléphone

portable, en panique je composai le 911, quand l’opérateur demanda : « Quelle est votre

urgence ? » Je plaçai le téléphone devant mon visage et je murmurai : « il y a un homme

derrière ma fenêtre ! Il a un couteau ! S’il vous plaît venez vite ! » Je restai immobile sous la

couverture, finalement j’entendis des sirènes à l’extérieur de la maison, je me précipitai vers

la porte d’entrée et je laissai entrer les deux officiers ! En vérifiant l’extérieur de la maison la

policière me déclara à haute voix : « il n’y a aucune trace de personne à l’extérieur de la

maison. »

Je leur murmurai : « il était juste là et me regardait droit dans les yeux, je le vis de mes

deux yeux. »

Le policier me prit par l’épaule et me dis à voix basse :« Ce n’est pas possible la neige est

complètement tranquille s'il y avait eu quelqu'un là-bas il y aurait eu des traces de pas.

Romain tu as sûrement regardé trop de film d’horreur ; à force tes yeux peuvent te jouer des

tours. »

Les officiers se retournèrent pour partir quand soudain la policière s’arrêta NET. Elle tira le

canapé sur lequel j’étais assis, sa mâchoire tombait et ses yeux s’écarquillèrent sous le

choc; moi et le policier eûmes le souffle coupé à ce moment-là. Sur le tapis derrière le

canapé il y avait eu des traînées de traces de pas mouillés et un couteau jeté. Le policier

déclara : « Tu ne regardais pas l’homme par la fenêtre, tu regardais juste son reflet, depuis

le début il se tenait juste derrière toi. »

Romain

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La voiture folle

Je m’appelle Hamirez Scar je vais vous vous raconter mon histoire. Il faisait nuit, très nuit,

trop nuit, en réalité on n’y voyait rien. Cette nuit-là je devais rentrer chez moi.

Dans cette rue noire et sombre avec des maisons en briques effritées et des poubelles en

fer il faisait froid.

Après avoir fini de tourner l’émission « Pimp My Ride » avec toute l’équipe et on avait bien

arrosé la soirée après, je rentrai à pied car ma Mustang avait un problème de moteur. Dans

la rue je pensais à des pains aux chocolats, des bons pains au chocolat tout gras et huilé.

Dans la pénombre je vis une voiture à l’arrêt plein phare, tout d’un coup elle démarra le

moteur et fonça sur moi. Alors au dernier moment je sautai vers la droite et l’esquiva au

dernier moment. Mais la voiture ne s’arrêta pas et continua à rouler tout droit et percuta

quelqu'un. C’était effroyable ! Mais quelque chose de plus effroyable m’avait encore plus

choqué, il n’y avait pas de conducteur! Et je repartis chez moi en pensant que j’avais déliré

car il était tard et que j’étais fatigué. Le lendemain matin je partis chercher le journal (même

si plus personne ne va chercher le journal) et je vis les gros titres : « UN HOMME

PERCUTÉ PAR UNE VOITURE FOLLE ! » je me mis à trembler, j’étais en sueur j’avais très

froid, j’étais tétanisé! Alors je partis au poste de police, encore fébrile et disant au policier :

« je suis témoin du meurtre d’hier ! » Tout médusés, les policiers étaient sidérés. Ils me

conduisirent dans la salle d’interrogation et ils me posèrent plein de questions auxquelles je

répondis justement et honnêtement. Ils me croyaient tous sauf sur un point, la voiture sans

conducteur. Ils disaient que je devais rentrer chez moi, je ne devais pas m’inquiéter et qu’ils

faisaient de leur mieux pour arrêter le coupable. Après 9 mois je me disais que tout cela

n’était qu’une illusion qu’il était tard.

Mais un soir longtemps après la voiture folle avait recommençait. Elle recommença comme

avant: elle alluma ses phares à l’arrêt et avança sur moi à 100 km h. Je ne vis la voiture, et

cette fois ci elle ne me rata pas. Elle me percuta et m’envoya à 7 mètres au loin en me

faisant ricocher contre un lampadaire en me cassant le bras. 5 minutes après quelqu'un qui

m’avait vu appela une ambulance, 37 minutes après je mourus. Pourtant la police fit son

rapport et fit cette conclusion : « aucune trace digitale a été découverte sur le volant, la

voiture n’a pas de plaque d’immatriculation, et n’a pas de numéros de série, d’ailleurs la

voiture n’est même pas homologuée. Après être examinée par les scientifiques, ils

déclarèrent que la voiture n’avait jamais eu de conducteur.

William

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Le château de Vienne

J’étais avec ma sœur Jazz et ma meilleure amie Loïs. Nous faisions une soirée pyjama et

nous nous racontions des histoires qui faisaient peur et au moment où elle me passa la

peluche c’était à moi d’en raconter une, alors je parlai : « c’était il y a 2 ans et c’était un soir

très agité, nous étions en vacances en Nouvelle-Aquitaine à Vienne avec notre amie de

vacances. Elle s’appelait Élia, elle nous amena dans un château. Elle entra avec nous et

tout à coup elle courut à droite du château et nous la perdîmes de vue. Nous nous trouvions

devant un immense château sombre et seuls. La porte d’entrée menait à un grand escalier

blanc vieilli par le temps. Aux deux extrémités, la chambre gothique et la salle de réunion de

spiritisme. Nous marchions stressés par ce qui pouvait arriver comme un surgissement ou

une apparition. Mes jambes tremblaient de plus en plus, à chaque pas que je faisais, j’avais

de plus en plus de frissons. Nous entrâmes dans le château et nous répétions « bonjour » à

travers tout le couloir mais aucun bruit. Un petit bruit pas effrayant répondit à notre

salutation, une voix féminine. On se dit « c’est peut-être notre écho ?» nous avancions pour

découvrir ce sombre et mystérieux château. Au moment de partir, une ombre noire traversa

les deux pièces laissant une traînée noire glisser sur le sol. Nous étions effrayés et nous

allâmes voir dans la salle de réunion de spiritisme mais la seule chose que nous vîmes

c’était un tas de poussière noire sur le pas de la porte. Sans autre inquiétude nous allâmes

nous coucher.

Le lendemain matin, tandis que Jazz dormait, je descendis déjeuner dans la salle et je vis

une femme debout sur le côté de la cheminée, vêtue d’une longue robe jaunâtre. Sans m’en

rendre compte, je criai et la femme partit dans le mur, Jazz descendit en courant dans les

escaliers et me demanda « pourquoi cries-tu comme ça ?» «j’ai vu une dame avec cette

robe bleue jaunâtre et…»» je ne puis avoir le temps de finir ma phrase que ma mère nous

appela pour manger, après avoir fini de manger je continuais mon histoire « … et elle avait

une brosse bleue à la main.» Nous décidions de faire une séance de spiritisme et de trouver

qui était ce fameux esprit. On alla dans la salle de spiritisme et commençâmes par la table

de ouija et un homme répondit, il se nommait Félix et nous lui demandâmes si nous

pouvions contacter cette dame alors il nous répondit « oui », et parla avec nous, elle

s’appelait Alice et elle était morte d’une maladie je lui dis que je l’avais vue se matin à côté

de la cheminé, il dit que c’était elle et qu’elle ne voulait pas me faire peur, nous lui

demandâmes si elle pouvait me toucher et je la sentis me caresser le bras. Nous la

remercions et nous la laissions.

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Avant de partir je retournais à l’endroit où je l’avais vue et j’aperçus un bout de tissus de sa

robe, je le gardai précieusement dans une boîte qui était dans la chambre d’Alice.

Nous avions décidés de partir de ce château et sur le retour je croisai Élia et je partis la voir

énervée, je lui dis que ce qu’elle avait fait n’était pas très sympa et qu’elle ne vienne plus

nous parler. Après être rentrée ma mère nous demanda où nous étions passées je lui

répondis : «nous étions chez Élia dormir. » Notre mère avait essayé de nous appeler mais

nos téléphones étaient restés dans notre maison de vacances, alors elle avait appelé Élia et

lui avait dit qu’on était chez elle donc elle avait préparé un coup monté et nous nous en

étions pas rendus compte, comment avions-nous fait pour être aussi stupides pfff !

Donc voilà mon histoire je passais l’ours en peluche à Jazz et elle commença à raconter

son histoire mais Loïs l’arrêta et me regarda, elle me dit « alors si cette histoire est vraie

peux-tu me montrer la boîte ?» alors je lui montrai et je sortis le bout de tissus et me mis à

pleurer.

1 mois après Loïs vint me voir et me dit : « tiens ! » Elle me tendait une enveloppe, je

l’ouvris et il y avait un mot : je t’invite en vacances avec moi pendant une semaine le

02/07/19 (le jour de ton anniversaire) au château de Fougerais. Je me mis à pleurer et la

remerciai, hâte d’être à mon anniversaire !

Emma

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La fumée blanche

C’était un matin, très tôt je me rendais à mon arrêt de car en passant par un bois caché

avec un château abandonné. Je passais par-là pour me raccourcir le chemin. Mais un jour

quand je passai par là le château semblait habité car de la fumée sortait de la cheminée.

Par curiosité je m’approchai et je rentrai et j’arrivai dans une grande salle. Tout de suite la

porte se ferma j’avais froid. Je sentis un frôlement passer près de moi puis j’entendis un

petit chuchotement. Au bout de la pièce un petit feu de cheminée brûlait, ça me rappelait

l’incendie de ma maison avant de déménager. Mais une chose bizarre m’échappa, il y avait

comme des personnages qui sortaient du feu puis les chuchotements revenaient on me

disait : « je vais te tuer ». Au loin j’apercevais un roi et une reine ils habitaient sûrement là

avant. Soudain on m’enleva mon collier que mon père m’avait offert avant sa mort dans

l’incendie. Je me précipitai en courant dans l’escalier je rentrai dans la première pièce, ça

me sembla être une chambre d’enfant. Il y avait un enfant dans le berceau qui me disait

dans l’oreille soit de le sauver ou de me tuer. Je sautai par la fenêtre et j’atterris dans un

buisson.

Le lendemain j’avais rêvé de ne plus avoir mon collier autour du cou je me réveillai en

sursaut, je vérifiai et je ne l’avais plus.

Zoé

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Les gardes de la salle de sport

C’était à Fécamp, un homme d’à peu près trente ans, qui vivait dans un petit appartement

sur le port, était passionné de handball et se rendait tous les soirs au stade Coubertin. Le

problème de Samuel était qu’il fumait un peu(Cannabis). Alors ce jour-là, il fuma plus sa

drogue avant d’aller au stade. Enfin bref il raconte mieux son histoire que moi.

J’étais chez moi et je m’apprêtais à partir au stade. J’avais un peu fumé donc je n’étais pas

au max de ma forme. J’arrivais au stade et il n’y avait personne. Je me préparais pour

m’entrainer mais je me sentais très mal et j’avais très mal à la tête. Je galérais à descendre

les marches pour arriver sur le terrain. Je n’arrivais pas m’entrainer alors je décidai de

repartir chez moi pour me reposer mais quand j’arrivai devant la porte de sortie, elle était

fermée. Je me rendis compte que j’étais enfermé ici et je commençais à déprimer.

J’entendis des bruits provenant du local à ballon. Je pris mon courage à deux mains et je

me dirigeai vers le local. Du premier regard je ne vis aucun changement par rapport à

d’habitude mais en y regardant de plus près, des ballons étaient sortis du chariot. Sans me

poser de question je les remis à leur place et je sortis du local. Je ne savais toujours pas

comment sortir du stade et cela me rendais dingue. Je me dis que je pouvais sortir par les

fenêtres mais elles étaient beaucoup trop hautes pour les atteindre. J’aurais pu sortir par les

égouts comme une petite souris mais pas sûr de sortir de l’autre côté ! Je n’avais plus

aucune solution, j’allais devoir tenir jusqu’à demain matin. Je me sentais si mal, il faut dire

que la drogue ne m’aidait pas trop. Je tournais en rond pendant de longues minutes, je

devenais presque fou. Soudain le bruit qui provenait du local, il y a de cela 2H, se

reproduisit mais cette fois on entendait beaucoup plus de ballons tomber au sol. Vu que je

n’avais rien d’autre à faire et que je déprimais j’y allai, je me disais « Quitte à mourir ici,

mieux vaut mourir en se battant contre quelqu’un ». Je retournai donc dans le local et cette

fois, tous les ballons étaient au sol. Il y avait une atmosphère plus lourde que la dernière fois.

D’un coup, un ballon se mit à tourner sur lui-même très rapidement suivi des autres. Je ne

comprenais rien de ce qui se passait et soudain les ballons se mirent à parler tous en même

temps. Ils ont tous dit la même phrase «Sors de cette salle immédiatement». Une terreur

incroyable s’empara de moi et je me mis à courir vers la porte pourtant fermée à clefs. Je ne

sais pas par quelle miracle j’avais réussi à ouvrir la porte mais je l’avais bien ouverte et je

partis le plus vite possible. Le lendemain, quand le garde arriva à la salle, la porte était

ouverte (forcément puisque j’étais sorti) et les ballons n’étaient plus dans la salle.

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Depuis ce jour, j’ai arrêté la drogue mais j’ai toujours peur que les ballons soient tous près

de moi…

M’ont-ils suivi…?

Lucas

LE MIROIR

Ce soir, moi Lilou Smith, 13 ans je vais vous raconter mon histoire.

L’année dernière j’allais chez mes amis en pleine nuit pour une soirée Ouija. Cette soirée se

déroulait parfaitement quand soudain je me sentis mal. Je ressentis d’horribles frissons. Je

décidai donc de quitter la pièce pour me passer de l’eau sur le visage. Je remarquai un

détail étrange, le miroir était fissuré. Mes amis virent que je ne revenais pas, ils décidèrent

donc de venir dans la salle de bain. Ils me retrouvèrent au sol avec la joue coupée. Naomie

remarqua que le miroir était brisé. Elle s’approcha et vit mon reflet debout dans le miroir qui

la fixait. Elle le dit à Julie et Noanne qui virent la même chose. Elles se retournèrent toutes

en même temps pour fuir la salle de bain et tout à coup, la porte claqua, mon reflet sortit du

miroir et la lumière s’éteignit. Le lendemain, je me réveillai, et une fois debout, je me

regardai dans le miroir et je vis ma joue blessée et le miroir en morceau. A cet instant, je

compris ce qu’il c’était passé et que ma vie allait changer.

Flora

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Nouvelle élève

Quand j’étais petite, j’avais eu une enfance heureuse avec ma sœur et ma mère mais j’avais

beaucoup d’anxiété. L’année dernière une nouvelle élève arriva dans ma classe. Quand je

repense à elle j’ai des frissons. Elle était petite, la peau très

pâle, ses cheveux étaient noirs toujours tressés, elle ne parlait

jamais, ces habits étaient noirs et ses cernes lui donnaient une

image de fille possédée comme dans les films d’horreur. Elle

écrivait souvent sur sa table des mots comme suicide, mort,

etc...

Personne ne la remarquait à part moi et ses yeux étaient d’un

gris clair. Je n’avais jamais entendu sa voix jusqu’à ce jour-là.

J’allais à la cantine quand elle passa à côté de moi et me dit :

« -Tu vas voir on va bien s’amuser !

-Euhhh...on se connaît ? »

Pas de bruit, aucun son ne sortit de sa bouche.

Le lendemain je faisais mes devoirs dans ma chambre quand j’entendis toquer à la porte. Je

descendis très vite et je la vis elle était là. Elle me regardait avec insistance.

« - Tu...tu es dans ma classe ?

- Tu vas me répondre ?

-Tu t’appelle Anna ? »

Son sourire devenait malveillant au fil des secondes.

Je finis par perdre mon sang froid et je lui fermai la porte au nez. Je retournai dans ma

chambre, je découvris un bout de papier sur lequel était inscrit un numéro de téléphone. Je

compris très vite qui s’agissait numéro de cette fille. Je descendis montrer le bout de papier

à ma sœur et lui expliquer l’histoire.

Elle me regardait et me dit d’un air surpris :

« -On a frappé ? »

J’étais étonnée de sa question, sa chambre était près de la porte d’entrée.

« -Oui. Tu n’as rien entendu ?

-Non pourtant je ne faisais pas de bruit. »

On entendit des bruits qui provenaient de la chambre de ma sœur. On alla voir ce qui se

passaient et on la vis elle était là. Elle fonça droit sur moi et…

Bali