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pour /.Ut de: guc:m: - on ne peut pas leur donner tort; 11 fallll1t bien que cela finit un 1our - mais, c'est un symptôme. 1-<J gloire militlllre t't de même la gloire du héros civil est désormais historique. Encore quelques monuments et l'on n'en parleru plus que dans lt:s manuels scolwrcs.

C'est dans l'ordre des chosos, mais il y a tout de même quelques pauvrl.'s types q11'011 se ddpJche un peu trop de remiser dans l'histoire pour se déchar­ger du fardeau de la rcco11naissa11cc. Au moment de l'urmistice. durant ces qudqucs scma1111:s fati­diques où 11• sort Ju monde ~ '1•s1 décidt: dans la pagaye et l'incohérence, /1·s rnal111s se sont préci­pités à Lophem ou ailleurs, là où se <lonn.11ent les places, les manJats, les décoratwns. lis ont ruconté leurs hauts faits, leur martyre; ils ont /rut i•aloir leurs servici:s et ceux d1·s amis qui pouvaient leur renJre la pJretlle. C'est alors qu'on a /ai.t connaitre ail.X foules étonnées, le grand rJvitailleur, le grand diplom3le, le grand flrumciu, le grJnJ espion (pour la bonne cause), le grand m1niS1re.

En ce temp-IJ, on /abrl.<luilit 1.s grands hommes d la grosse, comme les bll/ets de banque. Chaque çays av.nt son usine. li n'y ai·Jit qu'à tJtre là." Vou­lt:-vous ètre commiss.ure Je l' Etal, commfss.zire ruyal, ~nauur, déput,, mlnfatre ; , " C'était le bon trmps. Les J14neurs, les orgueill/eur et les naïfs ont laissé paué les semaines. les mois el les années. Tant pis pour eux. d1ta le sage. Mais les fous qui cruitnt encore cl la 1u~tice éternelle n'enca{ssent pas certains oublis sans indigna/ion. Pour l'édification des uns et des autres, racontons·leur l'histoire de François Olyff et des Nouvelle.'> de /lfaestricht .

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1?1 Vous tous, bonnes gens, qui avez 1•écu en pays 1917; les déportations (octobre tl décembre 1916);

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la monstrueuse manœavre actwiste; la déportation de Pirenne et de Frederick, etc.· le mouvement anll­aUemanJ que ces mentes pr<n·oqu~rent; l'arresta­tion des magistrats belges, la grh·e de la magistra­ture tl du barreau belges; l'enthouSLasme provoqut tn Belgiqul!' par les offensives françaises t'I brit11n­mques: le succès des raids innombrables effectués par les aviateurs alliés en Allemagne et en Bel­gique, etc., etc.

Avouez que c'étaient là de beaux coups de 1011r­naUsme, et que le directeur d'une gazette, créée avec des moyens de fortune, qui le réussissait, devait étre un maitre. Faire de la grande information quand on dispose d'un budget de queli?ues millions, la belle affaire! QuanJ on n'a que quelques mRlitrs de franrs, c'est un toar de force.

Ce tour de force, François Olyff, fond11teur-di­recteur des Nouvelles. l'e:récatll pendant quatre ans.

m Un t)'pt, cet Olyff, un type qui commence Il deve­

nir rare, le type de ces journalistes d'autrefois, pour qui la plume est avant tout un. instrument de combat, un moyen de faire triompher une ca11se. Wallon du I imbo11r11 car on. sait qu'il y a dans le Limbourg, aux confins du pays de Uége, quelques communes cxclusfrt•mt•nt wallones - né sur l'extrême fron­b~re de 14 cultllr<' ;rariçaise, Olyff est le bon soldal t!cs marches. touioars sur le qui 1i~·e. toujours prêt Il enJoSStr le harnais de guerre; ardent patriote a1 cc cela et coniaincu que l'itllüét de la langue Jran~aisc se conjond avec l'ifllérét de la piltn't, dont elle est le ciment. Il était encore sur les bancs dt l'tcole qu'il collaborait déià pour la bonne cause aux journaux de Liêge et de Bruxelles. Mais, quand on a beaucoup de choses à dire. c'est peu de colla­borer au-c journaux des autres; tout 1ournallste ne peut avoir son ;ourn.al à soi. A vingt ans, donc en 1900, Olyff, Il la suite d'une gageure, fonde un iournal français pour le Limbourg. li donne le n.om de snn pays La VaJJœ du Geer (il est né Il Roclange­sur-Geer. le charmani pays dt la p.n1/e trt·s~e), et il y /.lit du régiolWÜSme et de la propagande fran­raise (propJgan.Je /ingilistique, s'entend).

Cc iournal, Olyfj le rédigeait à ses moments per­dus, car tl appartenait alors à l'administration des finances, direction provinciale du Limbourg.

En 1904, il est appel.é Il l'administration centrale, à Bruxelles. Et c'est une crise pour le journal, crise qu 'Olylf résoud sans hésiter l'anriée sui11ante en abandonnant l'administraüon pour reprendre, à Ha~selt, une imprimerie qui venait de faire failUte, et y imprimer lui-mime sa Vallée du Geer•

En mime temps, il se lançait dans le commerce, fondait une ùbrairie avec venie-dlpôt dts quotidiellS

belge::> et /r.inçao, un vériùlble foyer dt cultur.: jranÇillSe tn plein pays flamand.

Ce pay~ du Limbourg, d'ailleurs, qu'on. repr/. sente J'or.im<llre comme l'a11tre du jlamingantume, est, au ;o.id, le plus rarcUtiristlquement bilingue des pays belge>. li se wu1·int toujours d'iwoir appartenu à la Pnndpùutr de l.ilge, et les flamingants n y on1 été si longtemps les maitres que parce qu'on les a laissés Jaire.

C'est ce qu 'Olyf/ a t!té des premiers à compren dre. Se11leme11/, pour combattre le f/amingantism,• dans le Limbourg, il faut tenir compte des circon. stances locales, il ne faut pas manger du curé "• et il faut se résoudre à ~trc bilingue. Bienveillani, to­lérant, un peu sccpllqut, 01)'!1 n'a jlll7UlÎ5 rien tu du •c prètroph.ige "• tt il est bilingue avec rbigna­tüm. A coté de sa Vall~e du Geer. il créa donc deux hebdomadJires flamands où il b:ztailla comme dan s la Vallœ du Geer, pour les idées de tolérance ri de liberté qui lui daitnl chères.

Tout cela vn•ait, tout cela prospérai1. Olyfj, mtm bre des Amitits françaises, participa activement et brillamment au Congrès de Mons, en 1911. li a1•att arrangi! sa 1•it' quand survint la guerre.

m La gutrri: 1 Un se souvient des premier; 1ours dt

la guerre. Qut Jt chost) Jurent emportées par la bourrasqu<. L r.Jifiu J'Olyh: 1ounuwx, imprime­rie, propag:Jnde /uufll du nombre. Le Limbourg fui em·aJu d~s les premirrs jours, et force fut à Olylf de passer la fronti(re et dt St' réjugier en. Hotlande, à .'tfaestricht.

Que /1Ure ci lllaestricht, pendant la guerre~ Pen­dant les premiers 1ours de l'occupation, ayant sus­pendu ses trois 1011mau.x, il avait bien créé un or­gane clandestin: La Vedette, mais étllrn donné q1L'il ne pouvait se trou1•cr sur place, il ne put le conti­nuer. D'autres act1111tés plus uüles l'appelaiern al/. leurs. Ce qu'a /.zit Olyff pendanl ces cinquante­deux mo~ , nous Jit quelqu'un qui fut tlmoin dt. sa i.:i.e de guerre, n c'est inimaginable. , D'abord, il y a les Nou\'clles. On sait ce que c'est que dt faire un ;oumal, ~rtout quand il fiIIlL le jaire mu an jour le jour. Quand, dans U11 pays terriblemtnl

neutral " dans un pays en majorité germanophile et fouJ enlier goul·i:rné par la peur, il fauJ pol~m1-qu.er avec le Hendelsblad, le Nieuwe Rotterdam­sche Courant et autres Limburger Koerier. Mais au tour des Nou~llcs gravitaient quantité d'œuvres in· teralliées qui réclamaient autant de tact que de dé­vouement. C'était la distribution de la Guerre Il­lustrée et de toutes les brochures de propagande, dt la London General News and Book Agency, cl Rot terdam, expédüs par toute la Hollande, et de l'Of-

lice françau, pour ks Pays-Ba&, que dmgeaù:nt, a La Haye, lt général BoucabtiUt tt M. Henry As­seün; c'était le Sou\'cn1r belge, œu11re qui avait pour but d'honorer les mons dt la grande guerre rt d'en­tretenir leurs tombes: c'tta1t l'a·une dt secours aux fracués, qui a sauv~ du dé:uspJ1T des milliers dt 1ictimts dt la guerre. C'ttlllt tn{ln le sernce des renseignements.. car, ai•ec l'rngblicur rrankignoa/ tt lïnginitur Edouard LagJssr dt l.ocht, Ofyh a ;té l'dme du bureau dt Maestricht du Strl'Kt dt re~ scignements anglais. Services absolument gratuits ;t'.:zillturs, comme il cunvient quand ri est fait p.ir des gentlemen.

'm De tels servut's de guerre, as~ur,ment, en valent

bien d'autres. d aux heure' d1/ficile~ les plus hautes autorités n'onJ pas manque de dire qu'Olyff avait bien mérittl dt la p<Jtrte. Seulement, depuis que les heures difficiles sont passées, les susdites hautes au­torités l'ont complêtcmc11t oublitl. S'il avait été à Lophem, ou mtlmc à Bruxt'llt•s, 1•11 1918, il aurait pu étre sénateur, député, llaut commissaire, tout comme un autre. Mais, Il cc moment, il étau tout cl la joie de respirer l'air de la liberté (car il y a u11 artiste, un contemplal1/ dans cet homme d'action), el tout au souci de refaire son foyer de Hasselt. Le temps passa. et le votlil Gro~ jean comme devant. Des Nouvelles, il nt rrst.- qu'un magnifique sou1•t•­rur et le mémoire dt 1'1mpT1mt•ur hollandais, aug­menté par la plu~·1•Jlur des Jlonns. Pendant la guerre. on prodiguait à Olyfl les cncouragemenJs: " Allez de /'a1•ant, marche:, 1·0/re œuin est indis­pensable : on s 'arr.ingaa 111u1nurs après la dc­toirt ! "La i-ictoin· est venue, maü li: gouvtrncnunt a ch.ingé, et il ne pau ras plus que les Boches. Olyff et 5e$ amis restent avec ltur gloire tt leur dtltt. EUt a pa~sé au compte des profits et pertes patrio­tiqaes. Qu'on nous y reprenne encure "· distnJ parfois Oly/f fi ses amis. Dieu 1•tuil/(' qu'on n'ai/ plus il les y rerundre. Mais s'il /.il/ait rtcommen­ur, i•ous 1·crrie: qu'ils recommtnuraunt. Ce sonJ toujours les mrmes qui se fnnt tutr. comme dit l'autre

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1.UX SAVON EN PAILLETTES POUR TOUT LAVAGE DÉLICAT.

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Il nous f'·nen1, lloœ;i .,ur, qu• •oui ~\l'Z manole 1~ d<s 11 n1tn1onl< ont•1~saot• à PJrl', ou \OU• a1u U!1$lt • l.1 1 eun1011 intcrpa.rlt>01en1<11re du rommtrcr. ~OUI 1~001111 A 1·ou; JI!'\:, d'abo1d, que nous ne somme. pu rtonnh qur \'nus l'Ous SO\'t>t conduit en homme bwn N1•"'· Feu Ernma nucl llicl cr~l. aulrelots, >C ronduin• en Flw11n11d •ultltnw en p1,sa11t snr l'Arc tic triomphe l'l en tnmonanl <Cllt• t•püalrnn par troi:> rug1s.~111e11ts (ou uutrc:. b11111~ Incon l!TU>, on ne 'a11 pa~ bi1•n par ou •urlnier11 I~ bruita Ili' 1h:·•Oll' celle barb;) il JIOU~) en l'ho111wur tics lo1f!10118 g1•1 malOl'~ qm av.aient a\:aut lui, ~ouilh.• IL1 111onuml·Ht.

Il ) a tfos Oamongnn~ tuOill> 111llu1c>qu1-. tJUe 1.: l"'r• '"''"'"~e el qui Dt! crui.:nl llJ5 dc>011 11ln 111, ~,1.- lto "'''Il'.'\ et mal rmliourh("~ tout h." jour. \ hlh t·I \;.; Je c1.•Ui.•ri: \•)tt:-- u·eu He' pa) nmm.: dangftt•U\, \ou~ c·fforçant Jt\ .1.1n11re 4 c.1\1l1,.,,llon iranç•1,... tn Flandrr. d'tnfr1111fr •OIJ..,. peupk JJJb x.n lao;a-i;r runhdmtid tl, par ton· '«lu~nt. que •OU> le \Oulocz ou non, quo i.,, rr~ro< bl"!I qu'on '°"" a !aJI 1•endan1 la i;utrr~ eo1cn1 uu non fond~. \Olt5 "k' un ~gen1 de la nùhsatton - 11 on J>Clll dare -:•m1a1n .... Lomme td, t t comme ~raonnage do\\"ol, d'ua.' dn1>11on dont oOlb .-i•ons le• ::9Ü"' rt k vndanc.s, •ou• i:e 1o0u1 'I''" 1~ir<r I• d~truc110n de l'•ns, l'inccnd1r de cdk !. b'lone du lui .. tt d~ la 101t, dtonl le rire •t b frnohle 11 ,,"11 1'1 au >trtC1J\ rt a la ,,r1u i;rrmaiM.

l.n pr ~ J la rarolc dans ce congre;. •Ou' ~'" lait un N<>g>' de la t"ra.nœ parmi \Os tloge$. 11 l rn a•a1l'ftl d~ jll!'le>. qui n'\-laitot c~r!4oom1rn1 J•:l! Ica ph1a~ ri:.n­Hnllonn.Jle> ou ~ nh'lmle·lc 111,. cour10.,i• * bue d~ m~Mg~ b1tn\e1Uan1.

Cect ne OOIU e!OD!k pa~ btaUCOUfJ Don plus. l.e 0•mll1• gant embrasse 1·i>loclien1 la t rancr: llOU> ne jur<>1,. pu ljll•" r\..,1 vour rc1ranglcr, mai' ~~111 dr ea 11~n1111ganllt', 11u il rugit 1·olonlie1 s c-0mmr un roqucl rc1 hmn~. qua111I •I entend un mol de lrançai,. 11 deHent tout brutrt', 10111 nud, tout huile el 1out sucre Il l'~gard de Io ~·rant1' l'i d1·> Français. Il leur saule au cou 1•11 nrron11,.,ont er~ i:ro~= hppe:i 11srulatoircs et 11• ~·,.,, 1rou1v11l loul poi• -eu~ de celte étrcintc ~ la lois ••1squeu~1 ri agglutinont•'. Le français, né jobard, 1•n plrure1a1t \Olonl11·r, M lrn-1fr.->~. Il s"essuie un iwu 1•1 m~h· unr IJrmr à Io lulir" faction du ooi>er O•min~nt, t-t tout ~mu il dit: • Ah !

1., brai~ homme : ah ! I• bon nomi11g.i11 ! romnu; 11 1!01t

Pourquoi Pa.a?

aYoir raison ! • et ce Français - né jobard - n·a de co•e qu·11 ne soit •·tnu, en Belgique, d11~ au\ lbm1n­ganb: c \out un raison! Le lbma.nd tD tlandrit ! nom d'un chien! • et 11 tœet dti alfinnahons gauu~: c On do11 pou•o1r parltr sa langue dans •on par• 1 •· de., etc •• fl autrfe •trito que pel"SODl!i! ne contrtd1t, mai> 1u" \Oii• op~l 1·nsu1te aux Belges, iimpltmcnl l!elgo, tl non nar111n~ant•. llous 8\0DS ru un M~urru dunn~· dan .. lij panneau &\'ec une maëstria sonsallonncill'. Cl ri n'y a pue que llaurras, 11 y a tous les Français trop Jhircu• Ju « luire plaisir 11 et de conquérir dcij 1ympolh1es.

\ou• .-11•1 eu donc, lloosieur, dh voire or11vt'1• ri l'un~, l'utlltu•I<, la parole el le ghte nan11nga11!4 trad1t1unn.-I.. Un pou•art a'y attendre ... llais ou, brus<juemcnt, \W9

llH' lait tiquer lb auditeurs galamment aomnulento, c.'dt quand \OU> ;nei fa1l l'éloge du 1111. \'0111 a\tt tlt

l1nque.

\ d11'\l d'auditwr, '"otre \°Oix auil chacgo. !::lie com­porhrl ente Hbrt11on ou on teCODlt:lll que l 4mc •tlms 11ec. ICJ conits vooles; on >t regarda, 11n '" compri t ••ru mol dir.:; 11 n'y ;miit pl!b de doutt, \llUt l'C'f•>tt'1 re que \OUS d1>1ez.

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le Je quelque; bon, !bmin;;ants en t1e1T1ce. Il nous faut \01r et ~ntlrrr cr messieurs pour DDU! rendre compte de notr., 1ympa!h1t lranç~ise el en JtQ<~er m1tu1 Jt.> ral'!m•. P<'lll~tre au,..i qtt $'il n'i· a•ait pas de lbmtn­g ni•, fa J)mpalhie de la Belgique emer5 la ~ninœ -crait rnc;.ns afhnna11~e. Il ra là. pour la cinli!auon i;erurame,

une de eu maladrtt5tt ou 110111 Li r~onoais:-oo• et qui Mtru11 à l'h~b1t11de Ioula lfS cbant<s de >UCfê,. ••

So!n donc eobre en puoll'll, cerk~. llon,.reur, tl en vin. en nn aurtou1 .•• Quant 6 la b1tn oe llumch tl au ~è\"re, alltZ·l· à IQnd, si le cœur TOUS fll d11. l:t• produll» contnLucnt a la lonnahon du namlllgant 1111"­gral, que 1iou• 'ou:a 50uha11on~ d'être pour nut.n: deh ... -. talion. P. I'.

La saison d'Ostende Le Kuc;,,ial a Cati "<ln uuverlure olhcidle. Sa pann• t •I

.. )mptu...u><! et élèganle. La ~ue Je cc palatS du lu"' cl léenque. 1'11ur œ "drc 111C-Omparable de•-anl lequel d.fî-1..ra I~ <eorlège de> mondan1!h co>mopohtes, t1 lallau un tableau ::alb pareil : ulu1 qu'a compv;t cèlt.l anntt ~ nou•dle d1retll011 du ti;uru•I t:t le plus btau, le plua r-.o.re, [, mreu\ chou1 qu'on ait 1a1Mi,, \u. à Ostende.

L.,. p~1trts \edtll~ du mundt !igurenl au tabltau d"" arlt;lw qui coll1Lorer1111t au oucc.:s des grands c1111-certs ~)rnph~n1quee.

\;e wol .ll111e1 Laur< llo•rgé, Moud B1rnard, Luci ll<rth­raod, L111a Catolon, llartho t;orn~h~. Andrée Cortot, Alice Uawnas,!)utannv de l.alury, \larcelle Demeugeot,àla1 tdla Ilona, Zor:ik IJorl), 1.ily l)upn!, l::mrna Luar·t, Ger111u111v .llarlinel11, lluth..-u-l,1111, Lv1lu llegane, Yvonne Gull , l'anni l!dd), lr<flc\lh., Vu., Aire~ llorgbi-Zerm, 1';1da fran,a, et llMh: lfa1 rirulus, l.1 •etdir" canlatr1c" Np• ;noie IJU~ l'ai 1s a plac<C au l'r•111Ît1 .-~og lie:> eto1I~;

.\Lli. J .111 llourLvn, 11.-.,1rç t.harlb~). \;ouzmou, .\1.1<>~ pbe 11aman, llt11J1 llangb, G•>lon !x;,narc~, Artllur llO­camp>. ~"" o h;ibfru, Rtu/, Perret, E. Kouard. Uopold Boo. .... 11. ü.orle~ \ almoral, !Janitl \'igneau, Fernan.! An!­seau, l'~al fiant,, llarctl Journet, l'a,quale Ci1org1ni.

r ®'i lt» .rndred1i, A :.i 1 :! heur~-. -<>u~ la dtr<d1on du mae.tro hançoit fla"'" pr.m1tr chef de la mus1qu~. au­ront heu les ~r•nde concert.. c1.,.1ques pllT rorch~ue d't?lite Je 100 euculunb, prtmitr, lauréali de con.&d•a­toire> 1:1 le ronco11r11 dt· plu• tmiuents solislt'<l.

Tous le~ 1001' ,\ ~ heur•·•, br1llnnl concert symphoni­que, sou• lu tlirtctwu de Il . A10~1111e Vonnesle. A 5 heu1t"'• séance d'orgue pur \t. l.~nndru Vilain. A 9 heures, grJ11il concert >i 111phu111q11e •UU• la d1recllou de li. Tou•"3rnl· De Sul!er, ~H'C amhhon tl" pî\!rmer> arllstes du chaol 1>11 mstrum~nll>t<S.

Sont rgal•ment annone~ le~ Balltts Ruo>t• de la cf!~ bre '"mpagnie de li. de IJ1~b1lt .. , qui feront senuuon.

Enfin. pour le 11101! d'ao(H. le gnnd K~nl mu111cal : Fe,tnal Q,;al' franc~. bkulton de la S!-mpboo1e en ri minettr el d~ Rfdemphon (wh, tha-ur.. el orcbe.lrt)

Tous lea sou~. oprt1 le concert, soirée dao!lnte, • ... la d1rtetioo de ll. \ ndoui; chtl d'o1Tbi!Yre, li.. G. St•· nader.

- .... - . ; •..

L'entente économique franco-belae

C'tal dans li • llUt 1111 du mois oe jwn, rt jourt-<t, qur le n/'goriallon ~conomiqu<s entre la hancr rt la Belg1~ur ,·ont rommrnrrr. Au nom de la Belgique, r'ral Il . Thruni~ lui 111~111c IJUI en prendra la direction. Elle'!> onl donc dr 11rn11drs chonccs d'aboutir.

Précuraeura du bolchevisme

Signa Ion• à l'altr111ion d•·s c.·nnaradts bold1•\lt l8 uu hJ m!lf qui pourrai& aunla~""~menl rcmrlar•r l'lnl<T· 1111tiM1JJ/,, i!l-ddtmtnl trop ré<iclionnaire.

\'oici re qu'on l chante: s..., •oUA m&11m loc• d'nn eoap SOGJ o•a.-om rira, DOU aGl'ODa IOCl ~Dl \n\ ailln DGQ.8 aa.rom: tout. Plu d'<>f'p,....•a" eu ce Rjoar : N°"' I• "'"'"' l notre loar. Nn1u aommN fort. . noUA 10m11)e. grand• ' E1<' pl.#1 "'""''· p1u• de tyrana t

Savri-vou~ clr q111 11 r~l. cet hymne sublimr 7 Dr M. !\rribr, 1lr l'Aeailolmir lrançaise, toul ~implrmr11l.

t:rlo ~o rhPnlr dnns /,r f'i·nphtlr., musique de Mryrrhrrr.

Répondre aux lettre•

. •l ur h" 'I ~ 1 lm r •lid Ut el oliligatoi1t. F.œno:ni•u TOl/t trmp1 en dictaph~1111111. La \Oit la J•lu• ropid<" ,.~ le• llail·Cbut"' "· mmo"" ·t ~- ., !!O. rue ~pm·t llru1ell,.., T. 100 .~!!.

La mode féminime en Angleterre

1:11n •• 1lliru1•• •''" 1 oui'.-.. nnnuellem• 11 ccllr ruodc. Elln r,l •ÏnRulî<rr. •·rltr ann~e. si non' rn r.roion• 1• fotin" /rrla•·, 11111. rien~ une rllmpte roodu du flrrhy ~·Y.11· ~om, ~rrit:

Lttn1ttt1tn1" av-.it l'ht1tttfl d(': h eoune. 1<' Roi. qui, cnrnm,, M11 1l{ote F1lnuArtl \' 1 l, ~11( un forvt\nt. dt"fi luHH t1irpiqu"•· H.3.it ·'Mi' f ;, f~f'•Ol11 .1t'Cfln11,..~n~ do l.\ Rfriue tt dr 1Md ]..,. tclb r0\1 r 1a J1n>rn1h•• foi1 drpui.!J la ~n~. \OU• ln ~t'tl• (>LOia do J. Lribuno "'1"1• #l&Ï<·nt M•!!.:. da h•ol d• lom10

L'tfftl produit par une reine coilî~ ·l'un luiau dr•a11 llrt bien curieu1.

Vive la France, maia ...

!ln a pu lire_ dan f._c lit~ pMblte, à la d.te du :; juin •lnruer, un curieux artrcle ml1lult\: Junappr~ et Cowr'll'lri:

Le • Bien public • n'a r-- rna ,1ovoit 1°AUOCÎcr à l'allégres.M lrun«1.b<>lge qui • lait cxrt.,.ion l• dim•n<ho 21 •olour do fa. niou• coq de Jem•ppeo co11fioq116 p~r 1 .. Docb~ pendant l'oc· Mtpnlioo, à cause de aa toneu• on cuivre tl aloriouumonl dtab!i.

Or, le journal ganloi• conlinun rn rmpninlant des con­fiMralions historiques à un rrvle&~ur de l'Université de Louvain •t en êvo<1uant Ga11J151art, \lnrit-TI!lr!~e. Albert du !loi•, l~ph 11. GodtlroiJ liurlh, llaill1·l-l~-T<>ur. Fund:­l!rtntaM •l qurlque• autres ~nonnag4'! noloirt;, à dts lÎll'l'S tlivers.

/.• Bi,.. public a une fa~on d'ttrire l'histoire d'hier. qui n"':!t pas qn' donner qudqtll! mtlianœ ror la fa~on donl il inlerorete l'Histoirt tout court.

LE rkil dê b d-.trurtion du roq a tt~ publié par quan­lil~ d" jouroau1. Il t~l connu jusque dan• !t! dêlaib. \ul n'i11nore qu'il n'a pa' Ill ronfifqul par la Bocha d rnu.r dt •a lent11r m ruit-rr, nin•1 quP I" dit /,t Bitn pu­hlir, maie qur. l'ayant nh~llot rt 1hnnmit~. l'fnntmi •n nhnndonna les dt!hris. quo I•·• ruri~u' •r pnrla)!èrenl. La rleslrut•lion du coq rut lieu Ir 2~ MOI lltU. 6 l'i!tSue de I> l"lnillr. dite de Mons, au momrnl où l'on rnlcrrait les 11101 l• rt où l'on lran~rorti1il I·· '111~"'· 1 f'< llochrs. aloro.. l1~ln• ! N'f:Ori:eaienl d• ruiHC: il! nbondnnnairnl sur tou• ,,, thamr; de b:itaille de rormiJ•blrs quantilës de douillf'S .1'11'!.us.

Pe!"'ODlll' n·ie-nort cri• el que la ~nurit de cuirre ne !Ur\'int en All~e qu'm 1!1111.

\bi• ' a-t-il d~ grn• qu'une Mmonstralion franco­rh1le g~n~ li et point qu"il! nitraient l'fvid•nre m~me. •i r:tla lffir donnait l'occa•ion o!c dim:ttr ropportunit~ "" I~ manif~talion ? rho~ rurit'u!'e: ils am,enl ~ujoun à prourtr qu·clle

,.,., in"PJl"rlunr fr• lranrorhobe' rnal r· P•'lll • nnl 111'1' finasscri~ cl drs

11..,hl.1rdisrs de diplnmRlr• t,•utnn•. 1'11rh•r rlr ln teneur rn ruivN' du r11q dr .Jemappes. c'rsl

1•11111rnr qj on 1fünil q11r Ir~ Rnd1"' n'ont l>rfll~ l'Univerait~ 1lr IJ1111 ain qur pour rarh•·r l1•s n'q11i111inn~ de papier '1''"'' \ n\'tienl rr~3lalolrm•nl ôflh~ • fr oc ~rait ra• l'lu• rid,. ule 'l'IC 11 !.1L!t' imni;inbl p3r l.t llim public, cp1'olîu<qllt' tout~ mani!,..IAtîon franrOJ'hllt.

l.ai!.<ant ioUcl l'oWh•qur commlmoranl la bataille d~

Jomippu, lt .. \ l<m.nds ni oot .unr t.mcnt •rr~che 1,• 'oq q11i r ·~mbofüait la fraoct. C'ttt ce (Gq qu'on 'Ï<'nl dt' rttlblor (~\te ~ l~neur en CUÎ\"t'C ••• ), c\'*I Ctl OUlnU ~ l'hfroîqltt' nalloo (ranc;ake qu'on 'i•nl de rêp:lrcr. •

F.n dtlruÏ:!~nt le coq de Jemappes. lt.5 Boc:he! l'ont S0\16-tn1t ~U t mttqutn•·~ querelle,; dt> p~rtis t\ l'ont jd~ dans ''Ili •tairr la \raie.

La Buick 4 et 6 cylindree

C.. Buiek vou• penntt de rouler à i O k ilom~Lreii à l'beu· rc en priae di~cte sans la moindre fatigue pour le moteur.

Premiers vert

Il a I• • ro du hanne. le premier 'olumc de \U> d'un k r i,-.in: i l t 'l ~i rarement suiTi d'un autre \Glume de \tr"I. c-.,.t le m"illeur momtnl de la \lt que cehn llU ron , < ro1t du 1:•nie. Cda dun! ~ peu. IA plupart des j~n , ~!~ dtTi<"nnenl a.-ocat•, notaire$. banquiers 'Ml •• journali le! .• Le pur parfum do ,;,rs soul!~ saa romme il n>n\Ïtnl d'eau propre bapti s~. •

'fous n~ •non~ pa• •i u premier \olumr J~ ter• de V. Rnbrrt Vivirr aura des ruiles. m•is il r•o«i·1h tn tout ra• u rharmr f•phémère des premièr~~ rlTu~ion, lyriquM ri'un jrunr homme qui a encore ~on chrmin A rhoi•ir. f,n Rnutr ihrrrtninr. tel est le titre du \'Olurnr (nux Erli1inn6 •Ir la l'it intrllrrllu//e). Joli litre, pltin d'h~•itatinn r l fi,. mod1·~tir t'l prul41Te de prome"r' \1 Rnhtrl Vh i•r n fJit la 1111.-rrr, il l'évoque •n hommr d1· f!l\')I, •nn, rm· rha~ rt "'lrtOUI pour nous dil'P aîtc unr 1lthr.at••~ thar­mantr t• qu'oltait I• parfum du pa~• na!al rt d.- la mai­Mn J» fm1tllt P"Ur t.PUX qui n,. !a\aitnt p3$ 8'tk Ir• ~'crnicnt jamai•.

La maiaon V andeuutte !fi, ~ S1int.Jeao. Mt la mieu1 a...ortir en rrfr> dt l'hinp, J!tol'l!PI~. Jratts ehiftoo. lulltl , "1h1n' •I nruro

Critique littêraire

On rrpnrl• braucoup de M. Bernard !\hnw, l'Autrur flr;1-

m.1tiqur nn,lnis qui se croit l'hommt Ir plu• nrii;innl du m~ndr pan-• qu'il p!'Pnd toujours Ir contrc -pitd d• tou• '"' pr+.ju,~• anrlni<. Dan• un amu•.1nt artidr ri• l.1 Rft'u( u"i' rru//, 'I Lucim Dubecb le <M1nit jolimrnt d0 un mol : « r•t' I la varh• à Cola~ dt\"MU•' rnrar"". »

f'll()Tnt:R IPllF.S. \OU~ ne r<'p"tltercz pa• d'a\uir ach<IE ""' f{JLfJl\'f; BfRTHTQT.

Hutoire ardenna.iee

tn 11:lnM-tro!l•r s.. trouvant un '•mrdi '°" dan• un villa11;r JM'rd11 de nos Ardennes, ~prouve lt• br~oin dt $e lairr r3srr ln barbe. Un seul « barhier-rninrur 11 opênut rl~n• l'rndroit. Notre voyageur entre rlnM Io hnutique et drmandr au lii:aro villageois le prix dr ln barbiliration.

Ca M~nd 1!1• la classe. rëpond Ir bul11rr. Il ' en a rl1•ul la l rt a 0.15 et la 2de à O. 10. l 'nr barh. dr l rt ri~ •t. d1n;1 c~ us.

Le clitnt •'installe. le barbier prepar~ st• in•trumenu. Clr. maoqUAit J'uu, 5aru doute, d:ill.! le \lllag~. car riotre

barb1•r cracbr coo<cu:nc1•u~mtnt •OJr le ~•<em. 1 - Ir promt-a.r <ur la ft:!llr" du d1tnt. ~IUH'I n"en "" nt ru d'abvrd. C•ptn~ut. l'operu·

lmo tuminl>e. 11 • ha>l!rdc Il dema~d..r: -llAi~ qu (kt, don, po n' bàbe dt deazainme ria Je'

J '· '· 1111111111 r. l' d~ tlieot !

Meublee d'art Dècoralion 1t~nfr~lr, !';. flrlarl et Em. Rorghan•. reinM :

15. nie Conerirnrt, lfolin•~. Tfüphone 231.

I.e1 mêHventuree d'une com.muniate

li.li Ode.. Ji, _ • h• .. _. . ..;! mmuni-L. On -.ait que, quand un 11 .)lhndai.5 c.u une Hollandai!!' Mrl de la morale bouriieoi e. il \I jll.!qiùu bout: rirn do• plu.• rhlll!moue nu mf>nM qu'un lfollandai.;. rbimEn•JU".

T"ut comm~ \'and•'ntldt. ~ llrouc:kê~ N qurlqu<" aufn>; •mpai;non• dt' marque. rlli\ fol f'n 19~11. rlsitrr la Sal• n " eeor..-iennr. r.11. •~i·l~ à b c"nl!'1~t .. ~t à la r~·,.1,,tinn l.ol<ht:\i~t/'11 A T1nis. mai< Df> fut pa• inquii\. ''""· \u«i. '"' tar dn t.Nl1• N< 6 <'t'nnU\·~r .,1 ri-<lllut-dl~ d'all•r rnir r• qui ~ 1•a•~1it ~ ro1\,l~ntinople. \fal lui rn prit: •"Mni l ,,. mnmrnl ni1 '"~ ln~lai< de Const~nlinopl~ avaient imn~in~ dr• i11•11!i1•r lr·ru· orruontion ~n 1· Mro11 <rnnt un ro11111lnt lt11ld1~vi,f1· 1·ontre lmr nutorit•'· F.ll n rut. 110 IM·:\U t11.1tio. i'Uflil li,, llU ... :ml rlu lit 11ar la pnH1 ,,

hrit.:rnni11u,., tran•por1 ... ,,. !\nuq 11n môl d"r,plir.Jlinn .,ur un rrmorqurnr t l rw~•litt r11tr un lnt d·· R•r<>f< iul.!~ ;,. i1,\;:il'1'hlr<, A ~t~•l<1pol rn 0..l<h" :.-. tll rari;rntr ~t• a1·1'1Ü·1~ cbn· un lh r• 1-oi:mon• ( 'i l,..,inr. Il Pari•. chez Flammanont r,. pato. oi1 n'imPOrte qui ""' nk,..... <..llÎr.>mt'nt la proit d"un• adminù!M1ti~n toot,. pui«ant~ insai<ic-abl,., • t rfnrraltmtt! .-..prl_<en!tt par dt' jf'Uor., hrul"' dt di1-hui1 à \Ïn;:t an_• ..... 1 al~ el rnnu11u•. Oo!~tte l\eun, qui IÎMI ô ~~'" r • • oui lui ,..,.,., d• foi rom· mrrni•t~. nniu a«nrr 11 ,. l<• < h,.f. bo((h,.•icl• '!ODI .J, • hnmm~- remnr•prabt. ~.qui lro111illtnl di~-h11it h~o~ , ••• jour. 'ÎH•nt 1'omnu' 1l1"'l mnines et , r()lrnt à IMtr rhiml-r, : ~He- ~iouh" 'flW Il· 1u;1lh1·11r ,.,t rm·,,n nf' peut jam;1j, join­dre (~ \!f'n.c ._ttrmt•flt'•· r·~ -.f liÎNl pO<.ï~ible. ~faj.., OO !-t~ rl1•. nuinrlr rommrnt il I" 111 1 ""nir •'llf'ON' un rr•I• d1• vir dan• un pn'' ..,, rn 1ld1t1r · rl'1111r rinquantaine rl'npb!r1 ~ "'hintlrirrw' .. , pn .. nnn,· nt lr~Hnill". oi1 tcml h .. muntfr (l35"'~ ~n kmps A rourir npr1'( 1if~ pa(lÎtl'r: ,.t fi Fitir1 antidtantl>rr.

Pau'u OM!l·· li•tm l f: tl, n'n pu l'air d'a'"oir une iu· !:!eOUe bi•n •olide. mal~ 11 ,. a qurlquc chov d•' di-< hi· rant .!Jn' le cri qui lttmmr >!ln fürr: • llihtaires in· zfai• R,,kh•\ÎtL• ""..... \'1 Ill•- rit"ÎlÏ9hOn', POii•

\"3u~ •fiort• N-raiHI na1 que lt< tku~ fore~ mal tre«'" du mond. Jr.at l'miu•tir .. t-! la bnit.,litt? •

r'e-t loujoirr• & ,,... • 1<r<poir 'JU'~loOGltl l'iMa· li•m• r ur 1 intrmr· tir

??? l'iAno~ Rôni•rh. t fl. ru t !il3••att, E(V. nt. 155 2~ .

Sur la corde raide

0 fut uo trn11» ou 11 ' IJ1l 111qd• cumm~ boujOUr ,ntrn d~pult •oc1al11t~. l1a1 1111ll•J1en•able de ~ fatigut·r 1· • m.;nin2•• : lt• • ht'1·aht1' dt \ r1êre tt k baron D~Cl.lllJ') ~n~nt de au~• lion• i!OC1ali•t~ que Ocmbl•m lui-mrmt'. Le parll fltllRll pour 'ous, '1, comme on cUit toujours

·!~ l'opJ10$1llon, on r.;11a11 1t1111ou!\ rommetll un tl•'•••l •oter. Ma10, <l•J1111s •1ur I~ ~·.-11hw•:s ~<•ni rnini~trabl•• r·(~I ~ne aul!"c p;.irr de rnanrhes d le mll1tr d•• p~r!•'. mcnta1tt Aocsal~t" •t• Vl'!t1f au• d1(!1c1!e 'I''' 1 •·lui dé n'1mport• 11ucl aulr• 113rtrmenC.1itt. 1111 l'a \11 dans w d1<­cu•st<1D du budirel drs ARlÎr'I!$ l·ltlJng~rrs. l~Jucoup dt cociali•t.e:s ont !J1t I• ~rrt1 •011 coml!ll' roldat • 11<>11 comme mmll!lnl', ""' (omm• 10 .m l1•ltfl; il5 ont subi I~ • p$îChllY' dr l?UtlT" •: 11• 0111 I~ ['~triol~; 1ls e>cl d1l comme loul I• mond• · • 1_,. I• hn pai ra.• Or. voiri qt1" la dodlinl' ofliricllr du ""'"••l1•m• 111tl'n1al1onal el : • ~- bath<' ne p:1irra pas la pain<', on .-en 1 •. Soue l'œil narquoM du ramuad• Lonrir oi' il n',.t ru tr~ far1le dt' m•ltrc d'ac"ON un .-ou- nrthrnln\r •! dt:! db'.la rat;on• Ms d" ortirlrs qui lurl'lll • ~rel!. On f 0rn lire 1JUant il laul p3rl•r p>r d,... di•1in;:i1M o0 dt!! d& taro tioni hurnanilairf'_.: ~uantf il l1ut •~tu par d J ahMoo­tion•. r.~1 tmt Mrrlltn!• ~c11lc p•rlrrntnlaitt. ,..ut ... mtnt, il v a Ill' t>1>n• p~lit r~m~rn·l"' dr 13 lhiS<>n .fu p,.. ,f')t" 'l'li f't" ""•fi' l'<I'\ '""'"'•11b.

Studebaker Six

Si vo1,. dnult-r c·nrort' tl1 ~ q11.1lilt 1 rrn.1rqu;rblr• d• la ~1t11lrhnkrr Si\. nllr1 6 l'/\~ri1rr r.~11f1.1 l r Orliir. l '.ll!, 111r 1lr Trn Rn•rh. lni11• un r••ni ri vo11• •Nrl rn11r111 1•.

Voue pn111 ri•r ndm1rn Ir rn•rvr1ll 1•11' loqo~dn 1!3 11 .P. 1rnit11 22.r.oo lrnnr• 1<1111 ~quipf

Roaeeriet d'al'chitecte

l..i fnrnmi' i11n mi alo d1~ 111111111111r11I• ~\Pli ll'{U do• \!, ll•l•hthn• ~ ur.r hr,.rhuro • / ,, l'lmr /111110/r tl fkuzrl/fl, oQ l"a11fN1t· 1fH1•n1l.ul IA tlitJil' 1lr• l".i1lo1JrÎ!U!rt11111I rt1•' "tr· •Îludc- n1 l11trrlor1H111~•. l"llr l'n 1rn,01I .1 l'rxnnu n .le U Pa11I °'JÎnlrll61 1111 drt frlltrlr tluulM .l'un \tril.t.lt' ln1Jil ri d'un '""" '" l11r• lr11r d' rrl'"""

l.'apprk1Atinn tl• \1 -:111tlrfln\ ~ I• n111nl' p2r c ~ I~

• l:aultt r dit <Jn'1I apparli nt à IJ f.ommi~1on ~f:~ ~rdlPnnr 1L "* tri"""' uli•llllU • dr ron 1htr M>n mand2! a•N" Ir• nhr•!llk tir 1'11turt pr""• nti-. li Il la ""' ·~ dt 11~ rtconnallrr Ju bon •• n•. lfonlroll$-lui qur nou< ru •nnc tl dnnnnfl'I A l'f't 1 l• rnnstil d• ron!.tt­r. r â IJ r.ip1talr rrl rrsrmt.lr prrltt14'< lurnl '~ni •liltn"'n' nwoumrntal •

r .. n.

Oil'B .1A OQMOTT& 13!1, nu ffa MI,, 11"'1'/I"

Le rude langaee dea campa

tin n••I , 11. 1111 h Ill 111•1lr/ ,(, l'""tttun 1mmrt: l'a' uu 11[1ort tir ,·,11af1t1111t6.1: fi ~ p1·1ttl.111f l.1 ,g111·trl'1

• l" 1;.ol1bl \ r111111 ,f. \ jn111" tl'ar1t~l 1 runn iJ\'uit ••l.ml ile f:u IÎtm fll ... , 11.m' 1111 l1r1\.111 1 ri n\. +•n 11i:11

~u.• nt, .efm 11'rn all1111111•1 11• 1111111 11 J

lh-11lunu nt n11tl11•11l11Jll"· \1111• 0111 11• Jlr Il . q111 111111< ' ~11porl1 1·1• h·\t•· 1•muH\·;,nl

LA ltAJSOS DU l'ORTE-Pl.llME. 6, b. /\d, Illat, BRUXUl..lS Toulat lea marqulll : Tmpb. 185 81

Oooto, Swan, Walt rn11Lu, ! •trtharp, tic

453

Difficultés du françai1

\, dais de n .r, :ile cliche h.h1lurl) me dt• ""'' d<rrueremcul que la )<&n::lle lninÇatR é1A1I dl'3 pl11• d1lfü .1 ... >urtout par "OD ;:rand nombre de •rtoo mtgu l!~r.!. et il r~ CJtarl commr utrnplcs: dormir, rn:ing.-_.1', s •n ail•'.:'.

'" doi- -:- tu pion= - tl roupille - it mangt tu lx_.uf(.., - si ba!Ire - 1e m•tn .-ut - tu 1'nh1:at'1 Il J •ue '• lille de l'air.

l'o,.. osriitl': tl to~''' lt1 J>rnnilrr.1, a loutu les ·~~­~ur;otion• de qutlque cbo•e ou de qutlqu'un. \'OU! n'ltt:! p:i• dan. ~e ton •i •ou• n'avn le souci d'! puallrt '"c un~ fi almdre-; EXl'.EL510R- \DE't, 1~ (fll~num du con­• 1 l d rël.<i?a[}'e.

Lu suites de l'inondation d11 Maelbtek 1

Les riverains du Maelbeek l l'occas ion de la ce ntième inondation méditent d 'offr ir l leur• édiles une bouée de sauvetare d' honneur.

Hiatoire boraine

!. , • orntes d Saml \lcle~•lll•k. 1•r• luul.111t rnlt1rl1r ,111 srulptrur d'IJa\·e1,,,.,. oie ae pr,.uo1111ncr ll.irnl\, il" M>lll

pomt J'.aw;'--i bonnt· tM11pu:--1l1JlO •Ill" 11· nur ,i;. l.o Bou• \'1'r11·

On .... 1ir tlOi: h· llOnJ J1 UtC'U t•l Il~"'' c·onuuun au nn. llflill:'•' Il e.t de~ Dieu bourf!e<>•>, ;1rl1;tP.•, m•·il1·r111~. l!I'•• Y•'ll~. J'Ol'ions. houilll'UH. ÎUg~OÎt!IU'~ (•l llll1 llU' 01j11 .. h•t1tl.

Or lt> •·ure de t.1 Rounne ;1.nuf, r11tlu u111ue~li1, IMruu 11< •nlanls qu'il pr,para1l â l.1 Jlll'IOÎ""' '""1111111nio11, 1111 J•'llllt Dir1J qui sr. prr•nomnarut Emil1• •. l.irr1i1Ît rat•·1h1 11 n1~\1H1 1·11 un l'31t~ huuu·nl" au~i tf1 (N hJ• 11x; 11 •·t.ut Ir 1lc't11ic, •lu fot et -.wlolact bien 1 111011 le d(mturer.

IJn 1our q~ la ltton de catkhismt 1mrn11I unt inter­rci,:ation sur lt Bnuduitr ' t Ir• Crlirrt, comme l'H~\"t A ion or;11oa1rt restait moel, Ir bon cur+, pt"manl l'a1-dtr, lui d ma!!da :

• ' •s r.?tio, [mile. ~ \ -Cltt mai~n, tn •r mtll~nt à lablr, qu.t'ld b roc r ~'! •en-ie, qu'r•l-<'r qu'il dit. \OI" pl'~1.

l'i l'N~•r ilr r.'pondr( : • 1 1li1 : Alta•111on• Emile Diou 1 • 1 r rur~ rut l'r•rril - l'e•pril Mini dr tt111nrr; il

no n·111M~ Jin• Ir j1•u110 Dieu, lrqurl, n1lm i ~ dnn• ln rom· flll'11in11 .i, s f1,JMt<, c•I. ma foi, dr1•rnu un lori hon rhr~· hr11.

r.alrritt

TAl'l:R\E ROrtLf. 11nnr:1.u:s 1 Traiteur

da !loi, ~~ n11phonr : ';!\'10 Trni• plat• •11r comm~ndr

l*jtuntr• tl dl:itr< à domicilr r .. nt~ ~oommlf'f

lnvenion

ll118nd IA drmi~rr ~·'nnc.r d• 1'.\raMmir roi11I~ 11~ llrl­l!Εl'•r, ~· '"" .i .. \ri· lut lrrminl,., un 1l1•s immnrl"l• rnrnt1t.1 rttt~ l1 i<1niro ~111 rsl. rroyon~·Mll~. inMilr :

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Il T '" a"t n •i unr dame R qui orrnni»il A l.na-u 'n d,.. rtrr~ n•1t ns dr p11it.s nu'1'8$:t! th#Alraia n·,., ~nt fil'- lro dt ~l""lnn•l.

1 r o i i•il aill>i, ~ Lounin, llon f'a.rqt1.alr d 1 nit Ili clan• 1 nurl il v nnil un petit r 'le dt notaire n 1'on ottril A f' 1 \foillç. 11 r'auil tlmlΕ jou~ DU lh~1-lrt ma• t'I• ÎI •i J"f'U d rho•~ IJll'i\ nr~pta. 11 inttn'l'­nnÎI •implrmr~! ·1 ns unr •rên• 1lt m.iriai:r rour pr~n­lrr Ir ro~trat nu lutu• •t lui dirt':

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111rnt in ri 11<1~ Ir< lrni< mnls rlnn• ln m~mnirr \lni• 11• 1101r 111" ln rrpre\c.rnt 1tior1. m1:inrl il cro lrn11\'n rn ~ri'nr rlrVAnt tn1l1 ro mond~ ri l.1nl dr Jorr< olr llA1 il prrdit 1.1 I·"• ri, lrnd. ni !On rapier OU futur intrrJit ;

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- A-.,.iftat, '"'"' •3 rrUon tin l•ll.ndit \'fR:" Alrnflrtt)'rl• - ~nit-ide myt4riflOX rfn 1" julY~ nau,

Sttidde m,.t,rif'OX dl'\ 1:. julv~ n ... rnh,.i rn - M~t1. oublie, avr• <l,...n11 1•11C<'f #l"'nR"t, ~n jnlf rl•nlt~

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RI ra>I.,, F.t ~I ~" ln,•it #i à n'impnrt~ 'l""ll" t"h1fl nfRrlf'll,., ''no• r•on,·rr: trl-..­

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f'nit à '.\nmur, le '{ , '. ,.

1 o Mrbrntinn, ~h•nlumrnr ~utlu·nlictnr. r•t lk?nli•~ .. r.r Ir l>1111ri~mr<lrr ri Io . ,,. M ln 1·illr V .... •rrn•t.

r,A-PA N?n:.suR-MF.ll llOTl' I mNr/\F+\ T 11. Ir m•·11/r11r

Le• :zeep cauaent - OuPiP, Ml'Pf vonA, ilil I,, hnrMnr, rrl N~. mni t'I

Su•h nn ve rnirr un fhΕ' 1n1a~r: 1111 VA All•r rit ~'<rn· nr "' lln&lri1I, 1 on vn rr11'ni 11 l'i!itcr 1' \111lo11illa1ic ... •

m lime Zrtp 1 arhclA un riano rour eu deux « r.119 • et

,·;r,formr. auprès d'nn prok~ur, du pri1 dr1 leçons. - Cc;l 6 lrant~ 11 leçnn. lladJmt. - l\ié., ~a c,t quâmlm,, chtrr ! - Ah ! ,; vo• dwioiscllt.! ptu• nt flrM!drc lturt I<·

çons chez m~i. l~ ac complrr.u que \ Ir. :.O. -- Oui ma_i•; ça je p~ _pas. ut1e !'Il! r qur Ir

' ~ "

Savon Bertin à la Cr~me de L&ooline Ous Ion.te.. I~ bout• aalo001: tr. t.M le pal• .

Orthographe extra-phonétique

t ~c• • ... i •• •Mt de la !aile 6 manger, A\ am a a 1 er « courn r rr pt! t 11 lld 'l" )hdam" n trouv~. tn rentrant du tht\.\trc fi que nous PHlnS ~n l"I' moment dtTant I~ ycux. (D~onc.lr lroidcmf'lll : on n'm· -entr pa• ce~ chr '·là !)

Madam• a p35<~ une f3r1Îr dt la nu·I ~ dt'd1ilf f'r rr b11 !,q'l1 cùl déco• 'I!~ Champ 1 n f.11 a fo 1 p.lr 1 r •

« \'oukr-~ou~ pa< m'apprlrr drmam matin, rar 1• ne • •• ""' ~'· "'' monlre ira. Mnd d"1nnrr 1>

L'Ecole Berlitz o-..,.. ·;;ne qa" lrs Langue• Vivantes

mai~ )p ... en-.P·~~ ~ 20. Pla.ce Sa1nt•Cudule ..

Le patriarche

011• d ,,·ienn•nl ·• •T dont on n ht~oroup pari~. q111 nnt io•1~ un gr.ind r~le et qui lui •urvivtnl? 1.tnr ~~rlnir~. nu l"ur rkiznation. r L ttnu\tnl ('H1Ur lfl'tin "urcMv-11~. une !n'and• et terrihlr l•cnn rnmmr 1ll'nil un oral'lor ~ui r11r . en •on 1.•mr~, rn<nr rln• r~l~hr. q1,. Ir d1ev~linr oln \'ri1\rt'. N IPt1r r,..trnit•~ a111tu!'t~ riu tm1d1an1t~ r-.t Q'i'ni\r11 lrm•nl empreint .. d'unr pn~~ir mMnnroli1111r qui n'~I pn! ~an• grnndeur.

l'n :"mi nou~ rarnntP uni' \'ÎflÎtP qu'il :. fnih' rf.r1'm• nh·nl ~ l,1 p•lik mai•nn 11• na"'" n1'1 F.1lrnond Piranl nrhhr ,,,, ,-hrr en pluln•nph•. l'eh1i ~u'nn "l'Prln ~i lr.ngftnir•: n oulr<' n11clP n. m:'\ÎS 11u'nn r1'llf i.ttn 111nl11rr n11in11rcf'lrni n\'oc ),• re<prrl qur l'on dnit A un i:ran.l'rhr, pnrl• mnin lrrranl une œlle l•arhc hl.'!nth~. 1! I• l"mil loujour! 1·il

456

naH1ÙOJe r-nC'o1 r ~U!!. r Ir _ut lwnu. 11 n •'Il 3 , ... , nw Il~ l'air du pat11an·he re\'enu d1 tout.

f.•t·1l Hatm~nt rt\rDU 1lr tout ? Il 5~ fait l1rr - c~r ~a 1 uro a 1..-auroup l.a1«~ lout ,,. qui para li: 11 ~ lirnt u r urfint d·· lout <'t' qui ~ pau,.: Ir bokhrntune

l'am11•~ rt l'inlkv.>•1 au pli!! haut romt •t il krit un linr. Qud IÎ\rr? Il parait QUt tt n'r•t (•~• du l•JUI ).' (Î\I~

d, la •n1111t;; celui-ci a 1l~jA p•ru; • 'r•t ron/tt('f;r. Ce •111'11 • •rll <'«1 1111 parHphl•t. un" ~rt• dr •1111~ t P-n­•lznirl Il •urJIO!f' qu• IP h<rœ ,f,. \I. \kolrit..1• \3•Ï•' • bit 11n trour t'll ncteÎIJll• nu l•n·l•m~in dt l'armi•ti···: nrau •11irt l'Mr un •alÎrÎIJU" ! \'nu• f"'O•n birn IJUr I"" ern• qut n'aimwt ra• F.lftnf'nd Pirnrd rn prrnn•nt pnur l•'11r !trarl•~.

11 !Jut Pfl f, lîcit.•r I·· Mlitail't' •I• Il~•·. F:tr~ t'nrnr~ Cll· pah!.- .-l'indrwi3tion, dr rtJlhr ou d• rancunr •nr~• ,,,;. ~~ntl"-di~ •ru. ··~, la 11111• hrll• 1·rru\O off\ 1i1~Jit~ ~l J.­l•.l1ld1i~ 1111'nn rui ... d nnrr.

• Il fout 1nuinur< •r m•fi•r dr l'imp~•ion qu,.. !ont Ire •itillard•. f.rri1"1it Saintr.Jku.-. Il pr<·fl('• ·I~ Tallnr~n·I ro,.1n•·nnu•, •urtnut •'ils •nnt ~M hi"11 Hf!!\'k •t J"'li•.

f'.n '·rollin~nl 1t11311J I•• N'-.•Ïon• •ont am111 IÎt'C 11u im· puj .... ,:ml,.... •p1:in-il nn n'n plu"' a ('ommrttrr tft• "1111,.~ ou 11•4'. ~rimr•. on rt1flf"\'Îrnt '"'"· 011 nn ,.n A 1';1ir no a m~m"

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1: 0111 ~a;;!<'r ~0115 l."I/· wrhn11 rf ~v111nr. Il • thulfollr m couµ pn 11101• li l.'Louvrfr,. '" Il JI"''' rn <'J•Îgrar·h• rttl 1J \IC,.. •

ll•"ru'fou W... no "'•Ile:> Ou t rau~' in mot loroa '\ 'ntgu1d•1 ni o •ror prh C-

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.\ L l:'\TER'l!J:-'T - u n. LI u nld•

C" .. -tw d- k•nu ll&n 1 c•...t çà• Il B powùl:t CO J'll!Qrt a a (U

\" CÜD"l.\.nd..-i nt c ~·11 al"o6t l"mc,urt à duu.1

UP.\ï-.F-. \ o~, .Juta ,,,. d'\Tb t(>Ud1 avoù n'cau1\\ttc cnmC" lt.lb' Pt.N qur:i ç.,' l'.u'lu• l'I. t (L1[d) r 1 pn.UOu>

~f1, .\1110, rlJu t(115 rit n• fùMl)r de chus J;m11 \lll"'I 1d'tt•·Utd

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LE POUSSIN EN OODINETTE •11•00••· ....

Journafume oriental

l:n jou .. ,1 ou 11n1•lmtcnl ontntal n'a 1•a• la m;m allut? qu un jounul d'0o ctd• nt • \011• a1001 ~' ko •eu'I'. '" i•,urnal " l.t 1.cratJt • tlirttteur-propril!.lire Và1Üned-51rr•. b :-mnnt. [lJM wn oumfru du 21 11111 d dans ;a reni. dr la i•I'<'• .. ·• ri cllt 1 l'olaf, joumAI turc. m31< de lanCU·· lnrqUt', ·~· Ir dTorl5 oie Llovd f.COl"Ji'.C * ~no sont ain>i apprki~s :

Ahn>td EmllMo ~· '.,.,lflt•, •1>111 r.. p.....,;..., <olonne d • • \.akit "• b. petit" :,..,...rlotfll: eun::inlf': • l,n,. nuit, aa momiMlt de paiur do 1'1'60. x .•. ...idu .. n.w1,. '"' b lune ... fond ~· pu.iu: c Aie' ··~1·1 ,.al La lun"' t t tombé aa loaJ da 1;u1t.1

.. F.a.udrail qcft jf'.:...... .a....;.\., • 'ibi.Ant una f'Ol°d~ munit" J'•n ~ppiu. il b d...citad1t d•u ~ (•a:ah., oà Se f,.r :!

1accnx:ha 1 a.ne piure ai uilli• :oo,'..,...ldan~ Hod1a Un d~ loutu ,... lorœ. n fil li M... qu• ko nocht< ... dt.;.>~ brwqa•m•nl ot x ... .acm... Hodja tomba à b ,.,, ... ,.,. Il 'fit &!on i.. huw •• ~ c Ob' cfa tcbodt cboluir. • J'ai ba:icoar a pei~ e< me JUh btn..; au chef, aWo J'N UU\"t U '""° '

El _\hm~ Eman~ ~ de rtln•'I' •rnt an~l~::ic rntr lro •lfori.; dn Hodja ..t r"111 J,• Io C•>nlrrtnc~ de l:<'nl'S. Rn f'o.-~urr•nr~. la lun•• ~rait l.1 pait rurnpttnn ... r, .. , q111 ~~ -.;ont 0Ci'U('l1~-: rp~ cl•'Mllt"~ ltn1r~ à Ja:lJ\"i'·r la f11nr 1fu

puil' trouttronl, 111.1ncf 11• ln111t .. ror1! rnrnm• lt 11••11·• que la lune 'e <"J<"h1• olnrr~r~ 1111 i:ro11pe OP nua~ .... 11 .••• n'est-ce pa~ 11ur· n• joorn:1Ji .. mt~ .~ ln t11n1u•· u 11n pl'llf ~01lt '"' grnrri.t?

COGNAC BISOUIT:

Fablu expre ..

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J/orolr!é r:ht!Uodo-.

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Le Congrès de la Presse de Loxembour~ Il f ll!•'l'fll ~ '

(,._-... b1enheurtux 1ourna• l~ ., J • pari• 1ptttnl n'nu blitront p:t• de ·•lôt IM fastu• ~ r<cti•hnns 1101 leur firl'nl 1 •ille et le Gounrnomtnl A Luv11ibou111, 01!10!1 qu.- ks ~~1pal le- d<' GrMtnmarh de D1 kir,h tl dr Renudi. Tout fut parfa't. C.1nquct• 1u t kn1', •ÏM I!~ néttu" qui>tdl tn.,nnqu• Il • auit. not:im-nt, unr trrt.1Ïll1' balotinr Je poulan!~ au fhtrn don! en u pour­lk.ha (<. babin~ ~- t.'1!.-au• du C n:irl" lurt•fll ,...._ •lnil< au -tri<t mil''mum : I• dîm:m<h" malin, Ir.ut Ir mondr ~bit au p<>•lt pour d1..-ult'r 1~ •lalul dr11 jounu l1•lt'5. mai•. l'a:1rt--01idi le ri 1 tta11 •i !Mu, b t mp,i... r tore .Q lt<nitiantr. t tri Il. il l'a!'• il d • fra~ omhr e<- """ '•nt-Fonta1rnoc qur la n' >ri d • N>ni:rt" ,,.1,. n'hé<il~ttnl 113< •nlre I• di>nnr d'un 11ar.l•11 r~rt•. ol­frrl r•ar Mfn' mini•t,..,,_ A l.ux mLoor11 1 r.omlt' d.i 1 au lir<n< . •I l'iol~n'I rl• ~i~u•,.,nnc pmf•u'onn llt<, 8U\ ~nrll1 ... Jenit ··•r>•11d.11l nrr ·ln t•MI li Ir mini~lr" Fr11nrk •

\ t':rc\~f'nnt:trhrr. on vi~i1:1 1t1111: ·''"" ,Ir 1 h~rno:u!nΕ:i linn tl1J <:r:erh~n. 11 'I' rt'·:..~:til urir f111Td1r11r .l/.Jiri•·Ust". rt ,.,. tH:tblj• fip \in 111\l"•ntht1llN!f•lÏ" 11M·nicc,1il ft•ll1"'rnr111 irn•fft>n<:Ïf nur. 1ld101 ~. ~nu.:: 1111 4'nlril 1lt' Cru 11111• 1 /i.,1r.

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\la!h~UfCll•Oft\Nll. (' ft !'1'<prit oh< 1'"\~11''1~ 11' R f'\• •I l•'nt Ε'HI: nali4~- .\ pcoin~ ;n·.1il·il rntrr l"c tfoitf1 ""' 1f('!\

mi'f'\1'Îllt>t1SP'= tfft:ilin•""' .. rr<'rlf'c. 11ar •nn co11frhe ,Jr l.1/ir:~. qu'il r~xamiMil. l.1 •nur··~ail 1.1 n~irn11 ri. en Li r~tn111 n:rnl11 rlt\r'>U\-'rait .. ur 11· t hnt"olul I'· m1Hri1:Jh1 trt'·" nMf•\. ·' l.1 nHh·hi11P. 11'11n .... s:ran1IP rl1uf1lfl4:•J'Ï1• .t1• noir" 1·~tp1tJ1l1-. ;n·"''" un « Rr11\f1ll1•" 11 tn 1.•lfns d'un 11,illirnNl't 1li· h.111t.

J..- rrnJinr< fm 'RI <'0111fllll111•"P< h Il~ rn~ Ui1Pi111lt1• l.t f'ill" arti•mfe.

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\u '!!f"UJl•I harup t ,.fij, Î1'I •1111~ pn~·~11J:iit ~t 11• 111i11i•lr~ .rr1a1 r..nter. rhohil .tait d·· 1igu<ur. r .. u! les i•JUlll•·

458 Pourquoi P.a.e ?

li.•11'5 N.>Îrrll do11r en lrnr, ri rrrlRÏM d'rnlrc •tJ' rnn•lrl-11>! dedtlt-onuions r•pr1•rnlMtr11, 1m'( 1111 r~rl chir, I• '111·­triimr p~U\OÎr RUl•lh 1!rs nulnrrl~ 1>0Jitiq11"l! l'l 01'.S pcr­<Onna1ÏI~- indu•lriellt• du 1 lllCrnbour11. 11 ~ n•11i1 r.t.rtn· dant, A tr h.1nqu•I. un rilo)MI, le Mput/. T •• 'JUÎ f>Otl'!"' la r·~ un peu 10111 . Alol'1 IJUC lou• 1~ allllt! ttpt~n­l;tnl• •nciali•l~ qui 111nt mcmb•cs dt la l'm•r. a•airnt rru dt•oir s'lul tlll'f' c:ommP loul le monde. T wl I• -.:""11 (ll'nt>nntl d'auistu au 1 n11ur1 tn •~Ion t 1 rn lnal­ltfre r.oitt

\ou• q•ons 'I 'il r' nt l>l'.turnup A l'o~in.,l1!l ioron­!Hl1bl• dr •1 rrna~. ffi3t• drput• IJlll Trhi1ch~rine a mon­lri' 11ur, 10111 •n /.!3nl bokh•\ ique, on poutatl ronnalltt ,.._ u• ::•• dr la lw>nnt <MÎM~ le cl p I~ T nr poorrait il nou• !sir<- i:-nlrr <! ... signt• el!lriMir! dt ~,.. ron..-idion• ifkno.-ra!iqt:'"' !

POÉSIE ATHOJSE

Défiez-voua dea eifanta .\ 1n ""'fl"Nt'I .,. ,, "lt •i •'t HY.\nt ,., ,.A

J:t (,.innt 11 JAll f :\rlf'l'U, iiit l'mnt E } t'rm.,Jthraditn t; Oai ain roiri du Mf,,n. '!'nul A jm••nt ~ l'pnp .... , F.l pf'tit' cl~ l'mh•tln, f'<t j6rin• tnP tt'j~ fut~f'i Ul,

.Ar.ontoU r· ttu•r.n ru~,t

r.t l11iAu IIAtlrn dall~ (~j. /\ •'mrrr •li' •hl ll>ut cl'•uÎI~ " 'hman. mft q;uoi ~· qor r:".rrt, ne 1111,. l1t!!tmJ1rhf"O'iit_.. ,. • F..nri· drm1nd' ('t1mm' t:" t"t•ll' 1.J,..1r ,.,harrMJe rf'ln· n m,, F.l l'01l 1' titt.r d'a!f..fro •l 1 l' dit li o'n'.,l•nl • • ll•rmapt.rod1to, •m' hin (8) (" ""'' cl11• ~· • ttn-rt

l!M petit• ~ tnmmfl \ (,'Ut,

Qlli r.'nt cl l.lld' rJ belle, ('- u .., & l>eall<011p •

F.• !'<liant CO?'k1th, r...,.n ·~ ~· ~

~I• dfoa1 ~ jom aprb, •I ~•n f'U"' par U r~ ,...,. rJkn. 1 1· maaun 1 li d 1 • • Oh ' la a. 1 Q •I bt r.;!ar.t .....,. """ Ut - Pardon, i1.,.n<11 qn'•~ dit I' rll'tit•, 7,,. n' ...i. '"" !fi nne h..,,,.pbrndot• • r"rst maman qm m' r. d.11 :t

F.I maman •I l'd<>Wll o'annt'• "' 1 :! 1 ( Tnmmls rar 11• "tll \!bols )

fi) F.ttillh (2 <"I ""'r"" d• l'abbt1I ab.n'a btin_ n• K1n.i • tnllllftltt i;tnn.n qa• ,,, •• .,., 9M 'I"" -1-tn•

On lit. .. On 111 1lnn~ l.1 rf"\11~ /,,. /'"'I' l.orrnitt rt 1 f'\ht!Îl 11'11n

11\T• du J.:1rn11 r.111llnr11nr : « Rf~imrnl• nnlin11a11\ ~Es l•a\':' lln~ n :

Nnttt rtt•o•r•cllv<a 1"" lq Juin 17~7, rri" 1)" Co1hn, I~ ft•lrl mr1r~d1.11 i.ut1irhit"n

rnmt·· <1,. 1111111 11.Cfü •• 5 ' 111d t 11 1lr J'rnt.lt', i:~~·~rir. n r(' fat 11° .. iUMJn la 11rt1nil-r~ V1f ttoi,rr. rltt_, \ot rirhirn.• r11r lt-9 Pn1• .. 1rnt T:11fl fol JUi~ '" tle lit I~"' d11 •it>te dt'! P r:t«UO rt dt l't:\'&

~ul\\ion ,f,. la ]Co\1lrnf" r:1"' l.t.s t-~u!,..ru JA'I ré-s;ln1t11t au•lro· l-cl;ti dfl ~btivau llê'cn ou chaaiont du J•nn« Ferdinand dfl

Lii;me •nit e-a UDf tttndnllf' r•rh uH• rtrnf'nt h4'Mf'tGfl fot u cltanre ~vait hé r~tne4' rur on m•tni!quf' tablfl.lu au r•\ai• impenat d• ~tNln• .~oui i. r<l:im""t lut 11 honor4 d• moiti f'~ diniuctiowr n .Y ... rif'.Th"~<t! lai offnt un nou•No dnpt"Jla, ""' l"'luel eJi.. aVJUt bred~ de ...,. 1''°1'""' mal111, h """"• , c Qui 1·y fro;t.e .. , pique.. • lAlll bc.mmft f'UJ m•mN ffi.Letf't1• dom """ di.amon, ff aoonu!: de bn Glorinn lalu d'&rmH d• Collin F,n voici le refnui :

• lù.rdJI *" 1.. _,, d.. licn>, ~ noaa - do qut"' ruUom, wanoa.. Imn1111, Flamand! <1 11,..boncono ,

ll>a• le< ~ de la !Worolaùœ f,..r>çal~. w '*ttïmon!. qal ait..~ était ~.,,,, ..ml>"' "°"' i. - d<! d- clt 1.a Toar, -b..:--t,a;t f""V't'l-'re toaJOG-n ce nfn!n

Job BULL. - " C1 nt 1onl plu1 lu naolru qu'il /oui blinder, c~ son/ lu paropluiu , "

Petite correspondance 4 da ,lng/ui.•, dl's Ardnuwi • rlr1 lltn11m! ri rlr• Vnr1

ro~ .. - rous ~ll't' 1nnou1ùralil1·~ l'i lutn aunahlo· moi~ nou' ne pOU\'OOs pulilier lout~' \O' • l11•lnt11·• • Fllr• sont u-op bell•s, nous lei mtllon1 don• un lm11r qui en csl de\enu loul rouge.

En vertu du droit de réponse Il. L. D16a1ty r•pond a Il. Carton de Wiort

\<>Ile conlr .al y, du .l.1 :>1td•, a lf\6 ct111111 hcuc ~u• nvu. a• 1U11• uu p.iu•u•r a<evmmu.Jtr • la l&Ulll

l>i-r.twl•. IJ,~ .. tt) ) ••ul d• la ..iuce au mu1u1 t•rtaro tl, arrJJ< du 11l•1H Jt la 101 qu'tl maui~ a\c1; <i<KJll<r, 11uu1 •111u1c h-t J.,..umcnlll su1~anto. 1\uu. llij vuu•vna qut 1ub1r I~ 101.

Bruxefü.-a, Je l.t juu1 11J2'J. Meeiai1ur. ai.. duite Coufr-èret,

:)1 J• r.i. 1• t.uta.I cJv. han. qvo. VOU& m •ne& lll.làaLlcmcn\ cv~r .. Jc}'u~ 1•iu•lquH 11ema.uiea cl. ai J• ~ uau1~vlJ• J.aill doui1, J• croa 't"'• ~ • ÜJOl\ d• repoDN a CJ-toclu. '* dt puae pas c• q1i1•,,. &>liila Uli•r d\l • Pow-quoa Pa.a! a

».w CO n·oL pu tur t.. loi qae Jti m "appuie, )la&Wun C'1. cbc-n CciGI,.,_, C tll\ a 'tOlr. ~ n a ~oue 1.mp&l\Ulitt que je m 4d1..., \ ua Seacura uai ~ !a docb C..•nou.. Pov.r­'I""' .... i....i...._ ....... 1a clocb• Det>ut71

li.D._,ê d bootdiU vruJoo .. (a DOUl la puiphr;un 'llll dé­a1iueu\ MAI ~t:r cu11i..ta:au.) u d •f.ip.1ubîluow.. •• uu•c-Uo1: ~ J• MU.a ltl.CD IUJ\.é do N.Wt <-e:ti.a OCICqlf,,w 'iUJ ID"" obcrt. wt-t\f9 ~- <Ùota UI JIUIU\.

J p•r• •iU• \'U• 1Ul4:Ut'1 ,,. •"w pL.indn~lll. fNllll ll""••n1 • lo. Uuu llcbllt)'.

BnueJle., le 'J 1uio 19'.tJ MN11tu1• h:• Mou•t1q1u1uw_,

f~~. lkiL.ltt)', JMrco qv'il ei;rl~ et pruuHi1 t;O qut, A u oon• ~. Ju, uiiJ1u.a 1ttu<.1tiJ1tt - iaW • L"livnzor.a • • DO du..u. ~ i.ouL c.ur Hoa.et, p;uce qu ù •ppeWi: r.w. chlt, i.ui da\, t:t ".ar\QA tki \\Mft., un papau" dlocik? ~'- J"a.cttrtti, ff.(..ut'I,

Je auu. Jt.oAci, JCI r~taJ .\'fCCI 1 eal'(U' q?Jê la 1 .. urw::1 brtl.ga 1 ll'VU'fHODt b1 COIDple.

OômuqDN t.. J.u ÙJC' .. >, J""'f lJ&. Je. id'lla &IU pW'd. d 0

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i•J.. 11vla, t. k01plo clébt.1é, .iz.-r ...... tQÇO dto ''""" et AH rl&.Wult.H del t.alrmla AUœl•l1S, n"ewt-09 ........ l WJ\o ...

wuit• da '"-niiqo•f La micue? J::.t. celle de mn confr~rd? l,M Wu.t~ l•UA ~1u1 J>OIHJUA déai.nk.tCllellltm\. ~\ aUKln".

- Kodunh,mL ,,Jo, &• diJt'&-"-'l>u.t.

- (luo 1100 pu 1 - ~iU• do htw.n• c..ù 1e Urilleront. les pygmf.t11 '

Noua Y•U~li. bien. Eu LO ut caa, il oou. 't'llt'u Io 1J1Ur1Lo J'..vofr w6 .•• 1'.:L •i, i1uolctud Jour, no\ll joochon1 Io 1<>l Ju. nolht ca1>ilot.u.do1 ttn m"'"'• ltm1)1 quu nos dêbna luinnnl•, li. p~lln du roeeoyour t"Ul'4Jl\el1• l-. tr1paHlea de queJ,1uto1 11a.1utJou1lle4 l'i. d• qu~lc1u• UU)'Ul'!tOUfl.

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l• J1an1 mun 11 Kuqu\!Lu aur l'A.c:&düm.ie det L.1t1'N Lclti'• (l!ÀI ùu ln • 'l'en• \\ "Uouno •• Charleroi 19'll}, j'11i n•ruvi.JulL d•u• p• ... i• .. do b'IAub.,.L (• Ll Légende do"""' Julh•u l'll•HI• p11Alin , ) "' dt J .. nno :)<;huit. (< L.. neu••wo de Cul•lh• •) qut M, Io rowl• Utnry 0.1l4n do Wiar• ~ a1iuél d•1 .. """ pro mltr rvœau , La Cit.6 ardente • ~L C&rl4il do Il 1a<1. uo aouUle moi. d• t e. •• colodde:AC*..

')o Duo 1t mh>• , KD<i"""' , (pp. 168-193), j'.l dMoontr4

459

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I• J 'IU =macé <\ prou>Ô - p>rtieU.-m - qU• !"-. de ll. <.arton de \\ s.>rt .,,, lt pn1><1' et. u..,. ( • Lo lhçi\ ~ I• J0W o, chap. 3 twl WL •

s) lie b..cx commum c\ de Lou..-l!u...,.; b) IJ ttttuN Ullplltab .. À .\1 c.n.,,. do \\ uui;

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111 ~tAI, par 00~1.,..rit l::t. ml•mo do 11?aci...t.a tlouL!rm~nt l'cl•h•• ht'n.11blea1 c.ar li. l.arton .Jo \\ Hut rtrui\. (Jlta•1uu LQPJuun lU111 r•yo1a qu'il dén>.,._

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l'hampilt-ory, pl\,,1' !1ti • Il tl•'\'11\. rt>pré$e.J1l('r h , .. le. ~t L, de\.a.t)(•ht-, uon JMi l'l\ ll1J,ruth , rn1 1t graud pein\t r anglllu. t'l'I\ on ptt·di<'!Htt ;1

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lk brn 1rt ltt l 11/irgc11mad11n ..

L• p1lotr, 111Rtl11cli'""'"nt, tauon i11d1 "n'lt·rncnl, 111~11 tfgardP f•M·duuu~ l'~p;nil1· cil' son illuslre rompa~non rl1• \O)Q8t', d 8\111 IU.

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C'eH ainsi qu'il t'ntrn tl lu 7'111 • r111 noynlt. llah il avait ù peint• 1!111 cl1·11\ po• rlHll' l'c1111l1li•"·111•11t.

1pJ'un m~ilrè 11'ht\tl'I ..... pn·rquta1t ,, .. ,, 1t 1wonh 1. !'I I•• prt•o:1nl famil1crt>'m~·nl P•" lP tir tl!4 •

\11n~ n(.lrl. mvn ami. 1~'" tft u11u1111u" 1c. 1 ! Et r001me le ··a1•ita1no' I~ fougb csaiaal dr •'t\plaquer,

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l'JUHe! IWIJlle:> ! ?T?

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! l ,\h ! m ... zur. alo~ ! 11?

IJ., f.11 f ln mire labéralr du 3 juin : m:ci:;.:; DU OO .\[Il

,J<)t ph1ne l'a.lyn, \'OU\'O J. lJo l!lt~'l• O. f, .i() ""n nit od'Ca.h:dtiho bfb b~lol) ku••1-i!Jldlu

li 1 agit uns Jo :e de l'e1lLUS1011 de la .. u~ d' Gand •lu cô1~ de l:i rue du C::ure. lhh ou 1 .. ut-1! tn.-oy'r sa C.lll~ de \ltlle • p. c •• ?

m l'our !aire lace à IO!b lh 1mp61:>, Et nnar au bout de •os mau1, Ytmploy(r pour 1·otre cuisine U11c lJrabant1a, la Jlarr1arin~.

' ' 1 hn de l'nrhcle 'lue .Il. lieorg,~ Hency consacre, dans l.'lndipcndar1rr btl11e du i juin, à I' • lla>lO•re Jes lellre• lrança1•e! rn llelgaque •· de .Il. ll3uric~ Gauchn:

Co •lund•ol qu'on au~ur moina prêpari no11J donne w> Oii• wr•z• pha aubounu•I, plus rama.ué, pha philooopblquo tur le ml>rot l\l)d. il " .. t paa doateu qac I' c ll11to11e • do Al Oauchn e1t •1·~ l l'<"Udre au s-uLbc Jo 1 r .. riels OGI\ lceo

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??? \ propos du championnat de llelgique t)daste indf·

pc danh, Le Pcu1h &"occupt de 1port. On 111 dam son num~ro du ;, courant : Aa ~:l" toar, l'annn dt llepauw Ml de 1 mUiute ~ occcndn;

tl "iêtôl d"d!Kta"r C9 tour t:.D 12 tece!ldes.

I.e tour comporte ;, klm. ïOO. 5 klm. illO tn I:! 5e­ronoks '/ lltpau" i-1011 ce11a111,111cr.t r-11 a11on au 2~ • 10111 !

1 .... , llo fü•n11 Grl:\llle ;

On •nlcindit la enfa.nta remettre IN c!auff J'11.plornb .wf<.'I l•nL Jt prbaLioo.t, que le& qg,.tr. 1•iedo Je <h•ru110 t.ourL< .. nt lt J>a"l••I l'W>o aprM l'autN.

l:~sarez. lttleur ! ???

De L'Ertnl.Oil de dimanche pa-'>e - 1:~nè Uon Sou. !,'U<Del:

Da .-.Ill i;r•<• émlnnt un b,....,,. btoa o0 oo .,. ...,,.p:.....,l cr• q:wit:<.q~ mou • .Amc:n • et c Alle!aia •

l'n>bable que li. Uon Souguentl ne comprend que l'hébreu.

m D:ios le m~nte juurnal, pJge ;;, on parle d Alb<rt, e11

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1:.11~ oou. parle de l"op,rtttc L"l•IHrgt T1tho1-Bt.hai, d< lt: Rcllaiau de /~ llut NJaW{ue d'.\oatol~ Fraoct, d" lam.iu • P.at-4 plan • de La Fille d1< Rtg1111cn1, de rœu· ne d'Uctl1t llani, de la Tlauo1~•1t Je Iltruo•rl 1l'Aug011è "'= llue.:i., de /4 Guirland<' dc6 Darnu de \'erh.treo, H de b1•n d'aulrt, cboab encore!

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Ypres, le 7 janvier 1915, è. 4 heures du. matin

TÉLÉGRAMME DU GÉNÉRAL VON KLUCK A GUlLLAUME II.

A l'Yser :

Durant la journée, notre armee a eu plusieurs fois l'occasion

de remporter de brillantes victoires et nos enn~m1s ont été forcés

de battre en retraite devant les canonnades et les charges il. la baïonnette.

Nous avons pris plusieurs positions importantes et pouvons dire que

les soldats français, à qui rien au monde ne pouvait résister,

disait on, sont maintenant démoralisés. Les nôtres au contraire

s'avançaient en chantant et culbutaient les rêgimen~s qui

s'opposaient a leur passage. Art.illeurs, fantassins et cavaliers

fuyaient devant eux, a certain moment même ce fut la panique ;

Nous pouvons annoncer à Vo~re Majesté avec certitude que malgré

l'élan magnifique des soldaus français, anglais et belges,

rien désormais, quoi qu'en dise la presse anglaise, ne

parviendra a briser no~re front de résistance et

du reste le général Joffre doit savoir à present que

pour éviter une déroute lamentable, la retraite s'impose.

!llu rrçu de ce télégramme, /'&mpertur a montre 10 $alisfacllon on donnonl l'ordre d~ /'!llitl• rouge au ginliro~ von ::Xlut:k 1t puis ,.,,, mis 0 relire unr 10.condt 1011 "" •autant choqu• loi-s o't1n1 liane... Fait•• tn autan/.

Cu ditrtrlili•menl& innoci'nf& r'conlortoienl a/or& lu 2Jp/g1& qui t1iuai1nl JOUI Io bo/11.