Onexmag_n17

éDITORIAL Tania Lehmann, diététicienne — ACTUALITé Nouvelles de la commune en bref… — éCOLes Rôles des directrices d’écoles — JeUnesse eT ACTIOn Café communautaire — pOLITIqUe L’Assemblée constituante — spORT Nouvelle directrice des Evaux — séCURITé Prévention des accidents aux sports de neige — mAnIfesTATIOn Fête d’Onex et du Sport — speCTACLes OnésIens Au programme ces prochaines semaines — DéveLOppemenT DURAbLe Onex, Ville du Goût — DéCheTs Quiz sur les déchets — AIDe AU DéveLOppemenT Ce qui lie Onex à Bradulet, commune roumaine — espACes veRTs Abattage d’arbres au parc de la Mairie — espACes veRTs eT vOIRIe Les engins motorisés — sOCIAL eT sAnTé Le guichet du Service de prévention sociale et de promotion de la santé — mObILITé Tram, tram et colégram — bâTImenTs Locations de salles à Onex — Aînés Vacances à Bandol — sOCIAL Culture et lien social – pOLITIqUe Conseil municipal d’octobre — La parole aux groupes politiques du Conseil municipal — AgenDA Novembre-Décembre 2009

n° 17 | Novembre 2009

DOSSIER / fête d’Onex et du sport en images

oneX MagazineMairie d’onex | Paraît 9 fois par an | Tirage : 9’700 exemplaires | Responsable d’édition : Pierre Olivier ( 022 879 59 59 ) [email protected] | www.onex.ch

IMPReSSUM magazine de la ville d’Onex.

mairie, chemin Charles-borgeaud 27, 1213 Onex

[email protected], www.onex.ch

n°17 – novembre 2009

Responsable d’édition : pierre Olivier, 022 879 59 59, [email protected]

graphisme : sophie neboux,

mise en page : Klouche & le floc’h

Imprimerie : sRO – Kundig / Impression sur papier 100 % recyclé / 9’700 exemplaires

prochaine parution le 3 décembre 2009

La Fête d’onex et du Sport a connu un très vif succès les 26 et 27 septembre, Place du 150ème (photo Alfred Griesen).

sOmmAIRe éDITORIAL Tania Lehmann, diététicienne page 3

ACTUALITé Nouvelles de la commune en bref pages 4 – 5

éCOLES Rôles des directrices d’écoles page 6

JEUNESSE ET ACTION Café communautaire page 7

POLITIqUE L’Assemblée constituante page 8

SPORT Nouvelle directrice des Evaux page 9

SéCURITé Prévention des accidents aux sports de neige page 10

DoSSIeR Fête d’Onex et du Sport en images pages 11 – 13

SPECTACLES ONéSIENS Au programme ces prochaines semaines pages 14 – 15

DévELOPPEMENT DURAbLE Onex, Ville du Goût pages 16 – 17

DéChETS Quiz sur les déchets page 18

AIDE AU DévELOPPEMENT Ce qui lie Onex à Bradulet, commune roumaine page 19

ESPACES vERTS Abattage d’arbres au parc de la Mairie page 20

ESPACES vERTS ET vOIRIE Les engins motorisés page 21

SOCIAL ET SANTé Le guichet du Service de prévention sociale et de promotion de la santé page 22

MObILITé Tram, tram et colégram page 23

bâTIMENTS Locations de salles à Onex page 24

AîNéS Vacances à Bandol page 25

SOCIAL Culture et lien social page 26

POLITIqUE Conseil municipal d’octobre page 27

POLITIqUE La parole aux groupes politiques du Conseil municipal page 28

POLITIqUE Parti Socialiste / Union Libérale-Radicale page 29

POLITIqUE Mouvement Citoyens Genevois / Parti Démocrate Chrétien page 30

POLITIqUE Les Verts / Union Démocratique du Centre page 31

AgENDA Novembre-Décembre 2009 page 32

Onex magazine | n°17 | novembre 2009

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« fourchette verte » et promotion de la santé

Depuis de nombreuses années, la ville d’Onex, ses représentants politiques et fourchette verte, collaborent activement pour la promotion de la santé.

« fourchette verte » se soucie d’alimentation, mais pas seulement. Le label exige une offre de boissons sans alcool à un prix favorable et un environnement respecté : hygiène, espace sans fumée et tri des déchets. Il vise la clientèle qui ne rentre pas manger à domicile à midi, près de 50 % de la population. Les restaurateurs sont aussi encouragés à cuisiner des produits locaux et de saison dans une pré-occupation constante du respect de l’environnement. Récemment, « fourchette verte » s’est alliée à espace Terroir, qui promeut une agriculture de proximité à dimension humaine, et elle collabore depuis plusieurs années avec « genève Région Terre Avenir ».

Le plat du jour « fourchette verte » contient davantage de légumes, moins de viande ou ses équivalents et moins de matières grasses. Ce plat n’est ni biologique, ni végétarien, mais a comme vocation d’aider chacun à faire le bon choix, de la petite enfance à l’âge adulte puisqu’il s’adresse à tous les âges de la vie.

Onex recense plusieurs établissements labellisés. « Le Casse-croûte », établissement permettant à de nombreuses personnes démunies de manger équilibré au moins deux fois par semaine. L’ecole d’Onex parc, premier label junior du canton, ainsi que les écoles de belle Cour et du bosson. Les crèches du foyer Arabelle et Rondin picotin, qui ont obtenu le label des tout-petits, créé pour les moins de 4 ans. D’autres dossiers sont en attente.

L’alimentation, chacun a son point de vue sur la question, surtout depuis que l’obésité augmente et inquiète. Un enfant sur 5 et un

adulte sur 3 est en surpoids en suisse. Au fil des années, les pro-fessionnels dont je fais partie se sont rendus à l’évidence qu’il était peu efficace d’aborder l’aspect nutritionnel de l’alimentation pour faire changer les habitudes de consommation. en d’autres termes, connaître le devenir des nutriments (protéines, lipides…) dans l’organisme ne garantit pas de manger selon ses besoins ou ses sensations de faim et de satiété. seule l’approche alimentaire par l’exemple, la répétition, l’offre variée, l’incitation à goûter de nouvelles préparations, notamment chez les enfants, permet d’agir sur les choix alimentaires individuels, actuels et futurs. C’est dans ce cadre que travaille fourchette verte.

manger est un plaisir, un temps pour se ressourcer. Ceci pour autant que l’on soit concentré sur l’acte alimentaire, ce qui implique de manger assis à table, sans ordinateur ou télévision perturbant l’attention.

sans ses nombreux partenaires, la République et canton de genève, les communes genevoises, dont Onex, et différents sponsors, la viabilité « financière de fourchette » verte ne pourrait être assurée.

ville du goût en septembre 2010, avec Lucerne, Onex a une magni-fique opportunité de mettre en avant non seulement les évène-ments qui valorisent le plaisir de manger et présentent les tra-ditions culinaires locales, mais aussi ceux qui allient manger et bouger. Une occasion de plus de se réjouir de la collaboration avec « fourchette verte ».

Tania Lehmann, diététicienne diplômée HES,coordinatrice Fourchette verte Genève


3 édito |

Caddie Service, livraison à domicileCaddie service est une association à but non lucratif fondée en mai 2007 grâce à un partenariat public et privé entre les communes et les commerçants et les institutions sociales du canton de genève.

Caddie service propose un service de livraison à domicile ou au bureau, en vélo électrique avec des remorques pour les achats effectués dans les petits et les grands commerces des zones desservies selon les conditions de ventes générales (40kg par remorque).

Caddie service affirme l’engagement des acteurs pour le dévelop-pement durable, pour une meilleure qualité de vie dans les quartiers, pour favoriser le lien social et économique de proximité. Un parte-nariat est en train de se tisser entre la ville d’Onex, Caddie service et la COOp, pour mettre ce service à disposition des habitants et des entreprises de la commune, sur le site de la COOp.

nuit suisse du conte à onex« Quand le monde était jeune » Depuis déjà trois ans, des centaines d’oreilles, des plus jeunes aux plus vénérables, des plus curieuses aux plus blasées, des plus sérieuses aux plus coquines, sont venues nous écouter et ne sont pas reparties déçues !

nous serons six conteuses désireuses de vous envoûter à nouveau. nous vous convions à venir tous et toutes, et à vous laisser porter par la magie des contes. Les conteuses et la ville d’Onex se réjouis-sent de marcher avec vous, main dans la main, sur le chemin des contes. Tous les spectacles sont gratuits.

La nuit suisse du Conte à Onex est organisée en partenariat avec le service Jeunesse et Action Communautaire (sJAC).Rendez-vous le vendredi 13 novembre, de 15h30 à 23h, à l’école françois-Chavaz (35, ch. françois-Chavaz). partie officielle avec entracte de 19h à 19h45.

Lucienne Stitelmann


Oui ! Les Contes reviennent à Onex ! vendredi 13 novembre 2009, à l’école françois-Chavaz, de 15 heures 30 à 23 heures.

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ACTUALITé

| Actualité | Nouvelles de la commune en bref…

Programme15h30 – 16h pourquoi ci, pourquoi ça (2-3 ans) : Odette billard et bénédicte faude branche.

16h45 – 17h45 simples histoires pour commencer (4-6ans) : hélène Assimacopoulos et Chantal manuel.

16h45 – 17h45 C’est comme ça que c’est arrivé (7-10 ans) : Adriana Conterio et Lucienne stitelmann.

16h45 – 17h15 pourquoi ci, pourquoi ça (2-3 ans) : Odette billard et bénédicte faude branche.

18h – 18h45 Au temps où les bêtes parlaient (tout public) : hélène Assimacopoulos, Adriana Conterio et bénédicte faude branche.19h – 19h45 entr’acte gourmand

20h – 20h45 sur la terre et dans le ciel (tout public) : Chantal manuel et Lucienne stitelmann.

21h – 21h45 Ils se sont rencontrés (tout public) : Odette billard et Adriana Conterio.

22h – 22h45… histoire de rire (adultes) : Toutes les conteuses.

Renseignement : www.conteursdegeneve.ch ; www.onex.ch ; www.maisononesienne.ch

L’echo d’onex au Victoria-Hall, le 14 novembre à 20h30voici un concert à ne pas rater. Il réunit l’echo d’Onex, la société Chorale des eaux-vives et les Califrenzies de Collonge-bellerive. soit 200 choristes, grâce à la fusion de 3 chœurs mixtes.

Au programme, le fameux Carmina burana, avec l’accompagne-ment d’Isabelle Longchamp et de victoria slaboszewicz aux pianos, l’ensemble de percussions de nicolas Curti, la soprano sophie graf, le contre-ténor Thierry Dagon et le baryton michel brodard.

prix des places : 35 francs (Avs et étudiants : 30 francs) ou 25 francs (Avs et étudiants : 20 francs). billetterie, dès le 19 octobre, à balexert, à la migros (rue du prince) ou encore au victo-ria-hall le jour du concert.

Cours de baby-sitting à la Croix-Rouge genevoiseen janvier 2010, Onex santé organise, en partenariat avec la Croix-Rouge genevoise, un cours de baby-sitting destiné aux jeunes dès 14 ans. La session de formation se déroule sur 5 séances de 2h30.Les inscriptions sont ouvertes dès à présent auprès du service de prévention sociale et de promotion de la santé, rue des evaux 13 (téléphone 022 879 89 11).


5 Nouvelles de la commune en bref… | Actualité |

Directrices des établissements scolaires onésiens (de gauche à droite) : nuria nicolet Aebischer, directrice de belle-Cour/Onex-village ; sandrine schuett bioluz, directrice des Racettes ; Liliane Zehnder, directrice d’Onex-parc ;

Ariane Denonfoux, directrice de Tattes/gros-Chêne ; Amina el Difrawi, directrice du bosson/UCe-bosson.

quelques lecteurs de la Tribune de Genève se sont fait l’écho récemment de leur inquiétude ou de leur satisfaction à la suite de la nomination de directeur-trice-s dans les établissements de l’école primaire du canton.

Loin de créer un échelon hiérarchique sup-plémentaire, puisque la fonction d’inspec-teur a disparu, cette réorganisation renforce les enseignants. son but est aussi d’assurer un meilleur suivi des questions qui se posent entre l’école et les différents acteurs sociaux locaux – communaux et cantonaux –, ainsi que les parents grâce notamment aux projets et aux conseils d’établissement.

fondée sur des règles de bonne gouver-nance, cette réorganisation vise à renforcer les liens et à répartir plus adéquatement les niveaux de responsabilité au sein du Département de l’instruction publique. elle valorise la fonction de proximité qu’assu-rent les directeur-trice-s d’établissement et

donne aux parents un-e interlocuteur-trice clairement identifiée. Cette réforme permet de corriger et d’améliorer un système dont les structures sont aujourd’hui identiques dans l’ensemble des établissements de l’enseignement primaire et en cohérence avec le Cycle d’orientation.

La bonne gouvernance, faut-il le rappeler, c’est fluidifier la communication entre les différentes structures d’une entreprise et ses différents niveaux hiérarchiques. Ces niveaux ne doivent pas faire le grand écart afin de permettre aux responsables d’avoir une vue complète des problèmes.

Dans le cas de l’école, il importe en priorité que les enseignants puissent enseigner dans de bonnes conditions et soient le moins possible gênés par des questions souvent administratives qui ne sont pas en rapport avec leur mission première. Il faut donc qu’ils puissent être relayés efficacement et se référer à un niveau de coordination

supérieur pour suivre les problèmes qui ne sont pas de leur ressort direct.

C’est dans ce contexte que la réforme mise en place, il y a un an, permet de souder les équipes autour de projets communs. Relais naturels et actifs des ressources humaines en raison de leur proximité avec les ensei-gnants, les directeurs-trice-s assurent ainsi pleinement des responsabilités qui ne l’étaient qu’imparfaitement aupara-vant. Les directeur-trice-s d’établissement constituent désormais un maillon essentiel dans le fonctionnement de l’école.

pour le reste, les critiques que certains peuvent adresser à cette nouvelle organisa-tion relèvent plus de problèmes ponctuels que celle-ci doit permettre de régler, plutôt que de problèmes globaux. On peut néan- moins souhaiter que la direction générale de l’enseignement primaire y soit attentive.

Laurent Nicole


| Ecoles | Rôles des directrices d’écoles

gouvernance de l’école et esprit d’entreprise

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Le Café Communautaire est un lieu convivial que l’équipe du Service Jeunesse et Action Communautaire (SJAC) met à la disposition de la population onésienne. Situé à l’AstrOnex dans la seule partie de la Maison Onésienne qui n’est pas en rénovation actuellement (2 rue des Evaux), c’est un espace ouvert à tous et toutes, petit-e-s et grand-e-s, jeunes et moins jeunes, adolescent-e-s et adultes.

Au Café Communautaire, on privilégie l’intergénérationnel. Dans le respect réciproque, on favorise la rencontre entre des personnes d’âges et de cultures différents. .

Le Café Communautaire est à disposition de tous les habitant-e-s et de toutes les associations qui souhaitent l’utiliser pour proposer des projets d’intérêt collectif et à but non lucratif. Il suffit d’aller rencon-trer l’équipe éducative pour discuter des modalités et des possibili-tés de réalisation. Les soirées peuvent être culturelles (conférences, expositions, etc.) ou plus simplement de type animation (repas « canadiens », concerts, etc.). pas desoirées privées, mais plutôt ouvertes à tous et toutes, sur les initiatives des un-e-s et des autres. Lorsque l’on propose une idée, il faut accepter que les autres puissent y participer… selon les cas et les besoins, le sJAC peut assurer une par-ticipation et un appui logistique à la mise en place de l’événement.

Dans tous les cas, il est patent que, quand la demande vient de la population, la réussite est au rendez-vous.

si l’on est sans le sou, il n’y a pas de problème. Certaines consom-mations sont gratuites, comme le café, le thé et les sirops. On peut également passer avec son ordinateur portable et travailler à une table, grâce au réseau Wifi qui équipe les lieux.

Relais et espace d’écouteDes éducatrices et éducateurs sont disponibles et à l’écoute de chaque personne qui en manifestera le besoin. pour ce faire, l’Unité de prévention pour adolescents (UpAdos) compte 6 éducateurs (2 femmes et 4 hommes) et un responsable d’équipe.

« nous aimerions que les gens considèrent ce lieu un peu comme le leur » relève emmanuel blandenier, responsable de ce projet.

AnimationsAfin de dynamiser la fréquentation du lieu et pour répondre de manière adéquate aux goûts et affinités des un-e-s et des autres, le Café Communautaire propose un programme éclectique, avec des animations, des projections de films et de matchs de foot sur grand écran, des fêtes, des concerts et même un karaoké.

Programme du Café Communautaire durant le 1er semestrenovembrevendredi 13 nuit du conte à françois-Chavazvendredi 20 Diffusion du film « Carnets de voyage » de Walter sallesmardi 24 Diffusion des matchs de Champions Leaguemercredi 25 Diffusion des matchs de Champions League

Décembremardi 8 Diffusion des matchs de Champions Leaguemercredi 9 Diffusion des matchs de Champions Leaguevendredi 11 soirée escalade ouverte à tous et toutes

Janviervendredi 22 Dj speed et Dj backstyle pour les jeunes jusqu’à 18 ansvendredi 29 Diffusion du film « va, vis et deviens » de Radu mihaileanu

Févriervendredi 12 Concert de hyren « variété pop ».mardi 16 Diffusion des matchs de Champions Leaguemercredi 17 Diffusion des matchs de Champions Leaguevendredi 26 Tournoi de playstation (bUZZ)

Le Café Communautaire :

un lieu convivial ouvert à tous les Onésiens


Café communautaire | Jeunesse et Action |7

béatrice gisiger n’a pas attendu longtemps pour revenir activement sur la scène politique. Conseillère administrative pendant 10 années à Onex (jusqu’en mai 2007), 3 fois maire, elle a été élue le 19 octobre 2008 à l’Assemblée consti-tuante genevoise qui compte quatre-vingt personnes… mais une seule Onésienne. voici de quoi y voir plus clair sur cette « Constituante ». Propos recueillis par Pierre Olivier.

A quoi sert une Assemblée constituante ?son rôle est de réviser et surtout d’actua-liser la Constitution genevoise qui date de 1847. La Constitution d’un état est son acte fondateur. « elle est l’ensemble des textes fondamentaux qui établissent la forme d’un gouvernement, règlent les rapports entre gouvernants et gouvernés et déter-minent l’organisation des pouvoirs publics » (Larousse). sans constitution, il n’y a pas de république et donc pas de démocratie. genève étant un canton faisant partie d’une Confédération, le contenu de la Constitu-tion genevoise est induit par la Constitu-tion fédérale. Le rôle d’une Constitution étant de fixer le cadre et non pas d’entrer dans les détails de la législation.

Comment cela fonctionne-t-il ?pour permettre, dans un premier temps, de sérier les questions et de « défricher la matière », l’Assemblée constituante s’est constituée en cinq commissions théma-tiques : Dispositions générales et droits fon-damentaux. Droits politiques. Institutions. Organisation territoriale et relations exté-rieures. Rôle, tâches de l’etat et finances. béatrice gisiger fait partie de cette dernière commission. Une autre commission est dédiée à la rédaction de la nouvelle Consti-tution, sur la base des travaux de ces cinq commissions.

Les travaux des commissionsChacune des commissions est composée de 17 membres (le nombre d’élus des groupes y étant proportionnel à celui dans l’Assem-blée constituante) et se réunit une fois par semaine, pour une séance de 3 à 5 heures. Depuis avril 2009, les commissions se sont attaquées aux thèmes qui les concernent et en détaillent le contenu. Leurs travaux sont enrichis par les auditions qu’elles organisent.

Les commissions élaborent ainsi des thèses relatives aux divers sujets. pour la commission « Rôles et tâches de l’etat », thème élaboré dans le travail de sous-commission dont les thèses sont ensuite étudiées par tous les membres de la commission. Il s’agit de se posi-tionner sur les droits politiques, les rôles de la sécurité, de l’information, l’impor-tance à donner au logement, etc. pour ce faire, cette commission est composée de sous-commissions (dont une impor-tante sur les finances) où l’on effectue le travail préparatoire, ce qui permettra ensuite à la commission de discuter sur le fond du problème. La formulation des textes doit être suffisamment souple pour pouvoir y mettre les éléments de la réalité du moment qui, bien entendu, va évoluer durant ces prochaines décennies. D’où la nécessité d’anticiper cette évolution dans le cadre constitu-tionnel qui va être défini.

et après ?ensuite, les commissions vont proposer à l’Assemblée plénière des notes de synthèse, des principes formulés en termes généraux et d’autres propositions sous forme de rapports. Ceci, dès le printemps 2010. La plénière (dont les réunions sont

publiques et sont retransmises sur Léman bleu) étudiera les thèses des commissions et décidera de la forme de deux informa-tions à la population. Car, en définitive, c’est elle qui votera la nouvelle Constitu-tion en 2012.

A quels changements faut-il s’attendre ?Certains thèmes n’existent pas dans notre ancienne constitution, comme celui de l’environnement. D’autres évoluent, ce qui est le cas de l’aména-gement du territoire – aujourd’hui, on résonne en terme de région franco-val do-genevoise et non plus seulement de canton – des droits politiques (vote et éligibilité des étrangers), les droits sociaux, les éventuelles fusions entre communes, etc. Rappelons que la Consti-tution énonce les principes et valeurs fondamentaux de la République : dignité humaine, liberté, respect, sécurité, pré-vention, subsidiarité.

Pourquoi cet engagement de Béatrice Gisiger ?« Je suis d’abord très attachée à ma commune et au terrain et il me semble que mon engagement a laissé des traces à Onex, entre autres sur le plan social (actions de proximité comme le Casse-croûte et la petite maison), de l’urbanisme et du déve-loppement économique (arrivées de l’OCp et d’Implenia à Onex). Je suis ravie de pouvoir mettre mes compétences et mon expérience au service de l’intérêt public. Au sein de la Constituante, mon rôle est de relayer le terrain aux côtés de personnalité qui vivent une tout autre réalité, comme des avocats. Ce qui fait toute la richesse de cette assemblée, reflet de la multicultu-ralité et d’une multitude de compétences professionnelles et humaines ».

| Politique | L’Assemblée constituante

Constituante, mode d’emploi : les explications de notre élue, béatrice gisiger


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Nouvelle directrice des Evaux | Sport |

Sportive confirmée, Sybille bonvin a effectué l’essentiel de son parcours professionnel dans les domaines du consulting et du management. Ressentant depuis quelques temps le besoin d’avoir un projet de vie et de faire le lien entre toutes ses aspira-tions, le poste de direction du Centre sportif des Evaux lui permet de mettre au service de ce très beau site toutes ses compétences et toute son énergie.

Le sport occupe une place très importante dans la vie de sybille bonvin ; le ski, le hand-ball et le tennis sont des disciplines qu’elle aime pratiquer. mais sa passion va au-delà puisqu’elle prend le temps de s’investir à d’autres niveaux. elle est présidente du genève Tennis, et s’occupe, depuis 1999, de l’organisation du swissOpen de tennis en fauteuil roulant. elle est également vice-présidente de l’Association genevoise des sports.

A 38 ans cette jeune maman d’un petit garçon d’une année, prend donc en main, avec enthousiasme et professionnalisme, ce biotope d’activités qu’est le Centre sportif des evaux.

Comment se passe une journée de la nouvelle directrice ?sybille bonvin arrive au travail aux environs de 8h00. elle effectue tout d’abord la lecture de la « main courante », document écrit par ses collaborateurs, qui retrace les activités de la soirée de la veille. ensuite, elle prend connaissance de ce qui va se passer dans la journée, des manifestations et autres activités au programme. Une bonne partie des tâches quotidiennes est dévolue à l’administra-tion et aux activités commerciales.

mais un des moments très importants de la journée, est cette heure qu’elle consacre à un tour sur le site, qu’elle effectue en véhicule électrique. Cela lui permet d’avoir une bonne vision de l’ensemble, d’observer les aménagements, et surtout de profiter de ce moment privilégié pour discuter sur le terrain avec ses col-laborateurs.

L’équipe des evauxL’accueil de sybille bonvin a été très bon de la part des 12 personnes qui composent le personnel du Centre sportif. par ailleurs, elle se sent soutenue par le Conseil de fondation, avec qui elle partage les objectifs et la volonté de faire encore évoluer les prestations du Centre sportif des evaux.

Car, au dynamisme dont fait preuve la nouvelle directrice des evaux, il faut rajouter les indispensables qualités inhérentes à son poste :

la diplomatie, l’écoute d’une équipe dont elle se sent solidaire et qu’elle soutient.

Un programme ambitieux pour le siteLes projets de sybille bonvin, pour ce bel espace de 55 hectares, consistent à rendre le Centre sportif toujours plus performant, en l’équipant d’installations de haut niveau.

Tout cela ne va pas sans une réelle réflexion relative au dévelop-pement durable. Le site des evaux est en effet situé au sein d’un environnement naturel dans lequel il doit s’intégrer au mieux et avec un minimum d’impacts sur la nature. Cette conscience écolo-gique est indispensable quand on sait ce que requièrent des espaces verts en termes de consommation d’eau et d’entretien des surfaces enherbées. La proximité du Rhône est à la fois une nécessité et un argument supplémentaire en faveur de cet engagement écologique.

Il y a également la question de la consommation d’énergie des bâtiments du site, qu’il s’agit de gérer de la façon la plus ration-nelle possible.

Un autre domaine préoccupe sybille bonvin, qui est celui de la gestion des déchets. Il s’agit de trouver des méthodes intelligentes pour favoriser le tri et maintenir les espaces propres.

evolution du site et de ses accèsLe site des evaux est actuellement saturé en installations sportives. Rappelons que l’on peut y pratiquer le football, le disc-golf, le beach-volley, le tennis, le ping-pong, etc. sans compter les sports ne demandant pas d’aménagements spécifiques comme le jogging.

Le plan d’occupation des sols permet de rajouter de nouvelles infrastructures dans la mesure du plan directeur. Il faut donc réfléchir à de nouvelles pratiques sportives, ce qui nécessitera notamment une réflexion en profondeur sur les accès au site, notamment pour les personnes à mobilité réduite.

De plus de manière générale quant aux accès, une réflexion est menée dans le cadre de l’arrivée du tram à Onex et dans le but de désengorger le chemin françois-Chavaz. Une des solutions est de permettre aux transports publics d’arriver aux evaux par la création d’un nouveau tronçon.

Vraiment, cette femme dynamique et souriante mérite bien le fameux surnom d’une « main de fer dans un gant de velours ».

La nouvelle directrice du Centre sportif des evaux : sybille bonvin


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Pratiqués par plus de 2 millions de personnes, le ski et le snowboard figurent parmi les sports les plus prisés dans notre pays. Chaque année, quelque 45’000 skieurs et 26’000 snowboarders sont victimes d’un accident en Suisse. La gravité de leurs blessures est telle qu’ils doivent consulter un médecin. En moyenne, toutes blessures confondue (graves et légères), ces employés sont absents de leur poste de travail pendant 18 jours ouvrables. Dans 90 pour cent des cas, les blessures sont bénignes. Mais même ces blessés légers manquent, en moyenne, 9 journées de travail. quant aux plaisirs du hors-piste et de la luge, ils ne sont pas non plus exempts de danger.

Ski, snowboard et lugeAvant le début de la saison, préparez-vous physiquement. votre équipement aussi doit être vérifié : faites contrôler vos fixations de ski par un professionnel. Ainsi, vous êtes assuré de commencer la saison de sports d’hiver en toute sécurité ! faites des exercices d’échauffement avant la première descente, après des pauses pro-longées ou lorsqu’il fait très froid. Le casque – et les protège-poi-gnets pour les snowboarders – protègent les parties du corps les plus exposées aux blessures graves. pour pratiquer les sports de neige en toute sécurité, restez sur les pistes marquées et suivez les règles de comportement de la fIs et de la sKUs.

Le réglage des fixations, votre atout pour l’hiver : faites contrôler – et attester avec la vignette de ski du bpa – vos fixations de ski par un professionnel avant la première descente. Ainsi, vous êtes assuré de commencer la saison de sports d’hiver en toute sécurité ! près de la moitié des accidentés du ski se blessent aux genoux, aux jambes ou aux pieds. nombre de ces accidents pourraient être évités par une simple précaution : faire vérifier ses fixations de ski à temps par un professionnel. Lors d’un tel contrôle, le commerçant spécialisé s’assure, à l’aide d’un appareil de réglage approprié, que les fixations de ski sont réglées correctement selon l’âge, la taille,

le poids, la longueur des semelles des chaussures et la manière de skier. Une fois les fixations correctement réglées, le professionnel colle, en guise de certification, une vignette de ski du bpa sur le ski droit et imprime un justificatif avec les données de réglage à l’in-tention du skieur. Celui-ci sert de garantie et doit être conservé.

si vous faites de la luge, il est recommandé de porter un casque, de descendre sur des pistes marquées, dépourvues d’obstacles, toujours assis et à une vitesse adaptée.

Randonnées en raquettesComment choisir ses raquettes ? De la taille et de la forme d’une raquette dépendent la portance et la facilité de la marche… plus la surface du tamis est importante, plus la portance est grande. Cela est important en particulier dans les neiges où l’on s’enfonce beaucoup. plus la raquette est large, moins il est facile de marcher normalement et sans s’emmêler les pinceaux à chaque pas… Les fabricants ont donc développé des raquettes pas trop larges mais assez longues. problème : plus la partie arrière est longue, moins la descente est agréable car la raquette « traîne »… Au final, on trouve maintenant des raquettes bien équilibrées, en taille de guêpe. Les modèles sont déclinés en plusieurs tailles (c’est surtout la longueur qui varie pour augmenter la portance). vous pouvez trouver des informations sur les sentiers balisés de raquettes à neige www.sentiers-raquettes.ch en suisse romande. Le site www.globaltrail.net propose divers itinéraires sur territoire suisse pour les randonnées en raquettes. balisés par plusieurs entreprises et protégés des avalanches, ces parcours présentent divers degrés de difficulté que distinguent les couleurs: ceux qui sont notés en bleu sont faciles, bien adaptés aux débutants et ne requièrent aucune connaissance préalable.

Source : bpa, bureau de prévention des accidents


| Sécurité | Prévention des accidents

prévention des accidents aux les sports de neige

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Pour la première fois cette année, la Fête d’Onex s’est installée sur la place du 150e, au cœur de la Cité. Le sport y était à l’honneur en compagnie d’une foison d’associations représentant la grande diversité et la richesse des engagements qui caractérisent la vivacité du tissu associatif de notre commune.

en entrant par la rue du vieux-moulin, la découverte commen-çait par un rutilant bus londonien à étage, rouge vif, venu là pour informer sur le travail des enfants. en contrepoint à ces graves questions, Lucienne et hélène, conteuses costumées, parcouraient la fête en invitant les petit-e-s à s’évader avec, dans leur Coffre à malice, plein d’histoires fantastiques peuplées d’ogres et de sorcières pour rire… venu lui aussi pour les enchanter de ses tours de magie – en compagnie de l’école de cirque les « Acro bat », et de ses ballons tournicotés – Lucien Thaon en a captivé plus d’un-e. Cela résumait bien l’esprit de cette belle fête à multiples facettes.

elle se déclinait aussi sur plusieurs lieux. Au village, deux événe-ments attiraient l’attention : le centenaire de la « mairie-école », première commande publique réalisée par le célèbre architecte maurice braillard, fêté les deux jours, par 5 visites guidées, une exposition itinérante, une brochure explicative et un aréopage de personnalités. et le dimanche à midi, dans le cadre de la semaine du goût, l’action « Le maire au fourneau » invitait les 60 bénévoles des cuisines scolaires à déguster un menu Lac-Océan concocté, aux fourneaux du manège, par le chef patrick moleins aidé du maire d’Onex, René Longet.

Gastronomie et spectaclesen ce début d’automne si doux, le centre de la place était abrité sous de grandes tentes blanches (mâtées de bambous ou tendues sur les magnifiques structures arquées de l’Association mamajah, la même qui a réalisé le pavillon de la place) ; les convives y appré-ciaient l’ombre.

Dans une ambiance détendue, ils goûtaient aux spécialités culi-naires dont les saveurs ensoleillées ou exotiques invitaient au voyage ; ailleurs, les raclettes ramenaient à nos terroirs. et pour se désaltérer, un choix de boissons bien fourni. petits et grands ont pu se régaler. Des prix très abordables permettaient ensuite à beaucoup de visiteurs de soutenir les associations, en s’enga-geant dans une participation active ou financière à leurs côtés, ou en s’offrant quelque objet parmi la diversité d’artisanats colorés exposés.

Fête sportiveTénacité, persévérance et courage sont des vertus que demande la pratique d’un sport, qu’elle soit de haut niveau ou suivie sim-plement, sans prétention, pour entretenir régulièrement santé et équilibre; il faut dire qu’à Onex il y a le choix !

C’était une belle occasion de découvrir des activités ludiques comme disc-golf, ski à roulettes, plongée subaquatique (inou-bliables les initiations – gratuites – en palmes, masques et bou-teilles dans le génial container-aquarium du CsO, qui n’a pas désempli de toute la fête), natation synchronisée, et autres mini-golf, ou pétanque, côtoyaient volley-ball, snowboard ou encore karaté, agrès ou acrobatie, aux prestations sur scène fort remar-quées. Au frais sous les arbres, on arrivait sur le terrain des Compa-gnons de l’Arc, où chacun-e pouvait tenter de viser la cible. A deux pas de là, on pouvait essayer des vélos ou scooters électriques.

Fête des enfantssi, depuis quelque temps, les élèves des écoles primaires du bosson, d’Onex-parc, d’Onex-village, des Racettes et des Tattes bricolaient ferme, c’est qu’ils avaient été chargés de la décoration des arbres et des tentes de la fête. C’était drôlement bien réussi ! Tout le site était égayé de 500 figurines ou objets multicolores évoquant les sports.

26 et 27 septembre 2009 fête d’Onex et du sport


Fête d’Onex et du Sport en images | Dossier |11

partout guignaient des silhouettes expressives, faites de papier mâché ou en fil de fer, toutes de mouvement et de caractère, ou encore des trophées en carton miroitants. Durant la fête, les enfants pouvaient réaliser des fleurs en matériel de récupération, ou se faire grimer. Au fond du terrain, une ribambelle de stands s’égrenaient à leur intention. Tenus par l’Association des parents d’élèves, les écoles de la commune, la ludothèque et autres entités vouées à l’enfance, leurs jeux étaient pris d’assaut : laby-rinthe à boules, bulles de savon xxL, jeu de l’oie géant, ou jeux de massacre.

Le dimanche, dès 13 heures, une joyeuse agitation entourait le stand « Le Respect ça change la vie » pour le lâcher de ballons aux teintes du fair-play. Le pavillon était devenu le poste de départ du rallye organisé par les associations sportives, le comité d’organisa-tion et le sRD. feuille de route à la main, une vingtaine de concur-rent-e-s se lançaient sur le parcours entre les postes tenus par plus de douze associations sportives. D’étape en étape, les participant-e-s se motivaient, s’amusaient ou s’émerveillaient en trouvant la salle de gym, transformée en forêt tropicale par les moniteurs du gO, truffée d’agrès pleins de sortilèges, ou découvraient les attraits de sports inconnus.

Un peu plus tard les gagnant-e-s étaient récompensé-e-s, suivant leurs performances ; 1 er : hawaou (12 ans), 2 e : sophie, malika et Izzane, suivies de marion et Deborah, recevaient les trois premiers paniers garnis (de produits de l’agriculture de proximité). Dix, en tout, ont été ainsi distribués.

Fête sur scènesur la place, danses, chants et musiques du monde, ou démonstra-tions sportives et initiations à diverses disciplines se succédaient. qui voulait poursuivre l’élan donné par toutes ces pirouettes trouvait, au gré des allées, un grand choix d’informations et de possibilités d’inscription à des cours de toutes sortes ; largement de quoi prolonger le souffle de ces belles énergies.

Fête de l’amitiésamedi à 18 heures 30, plusieurs orateurs exprimaient leur joie, partagée avec les Onésien-ne-s, de retrouver des partenaires de longue date. A cette occasion le maire, m. René Longet, soulignait l’importance de la fête comme facteur d’identité, de rencontres et de lien social. Le jumelage avec bandol, réalisé depuis près de

35 ans, se renforce et s’élargit à Wehr, alliée à bandol depuis plus de 40 ans et dont les représentants se déclaraient très impression-nés par la richesse des engagements onésiens.

quant à bradulet en Roumanie, Onex fêtait les 20 ans de son par-rainage et cinquante Roumain-nes s’étaient déplacé-e-s pour l’oc-casion. m. Jacques Lottaz, un de ceux qui furent de la partie tout au début, toujours fidèle, prenait la parole pour lire une lettre de m. Carlo Lamprecht rappelant l’historique de cette aventure pleine d’amitiés et d’émotions, de solidarité spontanée avec les habitants et d’estime face à leur traversée des périodes chaotiques qui ont régné sur ces régions depuis tant d’années. Tous formulaient le vœu, pour la Roumanie, pour bradulet et ses habitants : qu’ils puissent maintenant voir s’éclaircir leur avenir et vivre en paix, au sein d’une europe enfin retrouvée !

puis, après une belle prestation du groupe roumain de danses folk-loriques, s’ouvrait le bal qui, comme il se doit, a fait tourner les têtes et réjoui les cœurs.

Fête solidaireIci comme dans le monde, la solidarité se confirmait comme une valeur forte pour Onex. C’était, sur ce plan-là aussi une réussite par la qualité des nombreux échanges entre le public et les membres des associations d’aide au développement, qui toutes témoi-gnaient du soutien fidèle de la commune d’Onex.

elles présentaient une grande variété de projets fort bien docu-mentés – microcrédits et développement durable, souvent sous l’égide de la fédération genevoise de Coopération. par exemple peu-La Tibet qui œuvre au maintien de l’enseignement de la médecine traditionnelle dans cette région. Ou, pour l’Afrique, Ong hope International, Utopie nord-sud, ou graine de baobab – qui ne perd pas l’espoir de financer des puits au burkina faso; et bien d’autres encore.

Pas de fête sans eux !vendredi, la voirie et les bénévoles du comité d’organisation se chargeaient du montage de toutes les installations, merci encore à eux. entre-temps le nouveau pavillon de la place s’était transformé en ruche. Les organisateurs y avaient établi leur base, et de là rayon-naient les bénévoles attaché-e-s au bon déroulement des festi-vités. Les jours suivants, mme frédérique haessig, coresponsable


| Dossier | Fête d’Onex et du Sport en images 12

du service organisateur et cheville ouvrière de la manifesta-tion, pouvait dire sa satisfaction en dressant un bilan positif : « C’était bien réussi. en premier lieu grâce aux différents groupes de bénévoles qui n’ont compté ni leurs heures ni leurs forces ; que ce soit pour l’entretien du terrain, des tables ou l’intendance. 45 bénévoles en tout s’en sont chargé-e-s du début à la fin. ».

L’aspect fonctionnel était cohérent de bout en bout : stands mis à disposition par la mairie, vaisselle compostable (financée pour moitié par la ville, en soutien aux associations), verres consignés et réutilisables, poubelles pour le tri et toilettes sèches ; protection de l’environnement et gestion responsable des déchets étaient aussi à l’honneur. et puis, il fallait bien admettre que l’exemple donné par « Dusty » était très convaincant.

Ce sympathique chien chocolat et blanc, de race springer anglais, âgé de 7 ans, se faisait un plaisir de nous montrer la simplicité du

tri. Il distinguait sans problème trois matières – peT, aluminium et papier – ramassait les objets/déchets posés au sol et les portait dans une des trois boîtes de tri par matière, sans erreur. grande surprise chez les sceptiques pensant encore que trier ses déchets « c’est trop compliqué »… Chapeau à m. gérald margueron pour cette démonstration originale et ce bel exemple de collaboration humain – chien pratiquée par son association (Club d’éducation canine bellevue).

quelle belle fête ! On nous demande déjà qu’elle se tienne chaque année !

encore un mot : la fameuse courge, dont la fondation Cléopâtre proposait de deviner le poids, pesait 19,950 kg ; à 50 grammes près c’est m. philippe Kaiser qui l’a emportée.

Caroline Gaulis


Fête d’Onex et du Sport en images | Dossier |13

speCTACLes OnésIensAu programme ces prochaines semaines


| Spectacles Onésiens | Au programme ces prochaines semaines

« KRUNK ! » — Marionnettes et chant

Description du spectacleUn petit poussin croit soudain qu’il lui faut une armée pour faire la guerre, lorsqu’il découvre qu’il est un « manchot-empereur » ! ses amis, Lucien le chien et les autres habitants de la ferme vont-ils le laisser faire ? Une histoire amusante, réalisée avec des marionnettes très soignées, agrémentée de plaisantes chansons.

Le Manège, espace culturel, Dimanche 22 et Mercredi 25 novembre à 14h30 Prix des places : adultes, 12.- ; enfants, 8.– ; réduction 4.– par billet avec le Pass-Futé

ChRistophe AlévêqUe — Humour

« Super Rebelle, enfin ce qu’il en reste »L’humour c’est comme les essuie-glaces, ça n’arrête pas la pluie mais ça permet d’avancer…Ours mal léché au grand cœur, Christophe Alévêque provoque et râle souvent à bon escient, mettant des coups de pieds dans la fourmilière avec beaucoup de talent et pas mal de culot. Atteint de colère chronique, jamais à court d’indignation, cet électron libre assume son rôle « super Rebel » et tape là où ça fait mal. Il pratique un humour engagé sans pour autant donner des leçons, mais use et abuse avec délectation des modes d’expression qu’il affectionne : la musique, le cinéma, les livres, la radio et la télévision pour jeter un peu de poil à gratter au nez du politiquement correct. vous voilà avertis !

Salle communale, Jeudi 19 novembre, 20h30Prix des places : 38.– ; AvS, AI, chômeurs : 33.– ; jeunes de moins de 20 ans, étudiants et apprentis (jusqu’à 30 ans) : 20.– ; carte « 20 ans, 20 francs » : 20.–

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Renseignements : 022 879 59 99 l’après-midi / www.spectaclesonesiens.chChéquiers culturels acceptés

CoNCeRtUs sAisoNNUs — Suites de Bach / François Guye, violoncelle

monuments du répertoire, ces suites pour violoncelle seul seront jouées par un musicien exceptionnel : le premier violoncelle de l’OsR qui en fait une interprétation d’une rare musicalité. Un grand moment de musique à ne rater sous aucun prétexte ! www.concertus.ch

Le Manège, espace culturel, Dimanche 15 novembre à 17h Prix des places : 20.– ; AvS, AI, chômeurs, étudiants : 15.–

DiCK ANNegARN — Chanson

Artiste discret, baroudeur solitaire et inclassable, Dick Annegarn fait partie de ces personnali-tés qui font l’unanimité, sans jamais s’être intégrées à la moindre coterie.son premier album « sacré géranium » sort en 73 : des compositions trempées dans le blues avec le fameux « Ubu », en hommage à Alfred Jarry, ou la mythique « bruxelles », qui lui valut d’être nommé citoyen d’honneur de la ville. Depuis, il trace sa route sans compromis, préférant sa péniche au cirque du show-biz… mais, absent ou présent de la scène musicale, le public lui est fidèle.A l’été 2008, Dick part à new York enregistrer le magnifique «soleil du soir», avec freddy Koella (guitariste de bob Dylan), Yaël naïm, David Donatien ou encore Joseph Racaille. Le tout est en boîte en cinq jours à peine. Agrémenté de notes de banjo et de guitares qui se répondent, truffé de références à brel, van gogh ou à perec, ce disque assez sobre rappelle ceux de ses débuts. Il fait aussitôt l’unanimité de la presse et du public ! virtuose de la guitare et du verbe, variant les registres à l’envi avec une écriture un peu surréaliste, c’est cette façon unique de faire sonner les sons qui séduit avant tout.

Salle communale, vendredi 27 novembre, 20h30Prix des places : 38.– ; AvS, AI, chômeurs : 33.– ; jeunes de moins de 20 ans, étudiants et apprentis (jusqu’à 30 ans) : 23.– ; carte « 20 ans, 20 francs » : 20.–


Au programme ces prochaines semaines | Spectacles Onésiens |15

pour une collectivité, l’alimentation peut être abordée sous divers axes : • L’intégration et l’aspect culturel : par

les nourritures du monde, on s’appré-cie, on fait connaissance, c’est comme la musique : convivial et positif.

• L’apprentissage de la responsabilité citoyenne : le rappel d’où vient notre ali-mentation a un aspect didactique de prise de conscience du fonctionnement de notre société. Dans la réalité urbaine, bien des enfants croient que le lait pousse dans un berlingot, la pomme à la Coop ou à la migros… Achète-t-on par routine chips, cacahouètes, jus d’orange et coca, participant au fast-food et à l’industrialisation de l’alimentation, ou devient-on un consomma’cteur respon-sable, partenaire de producteurs eux aussi responsables ?

• La promotion de la santé : l’alimentation est un des déterminants majeurs de la santé, nous nous re-constituons chaque jour à travers ce que nous mangeons. Or nous mangeons trop carné, sucré, raffiné, salé, gras, salé… et l’épidémie d’obésité est très souvent corrélée avec

bas revenu, mauvaise information et faible intégration sociale.

• La politique énergétique : une alimenta-tion davantage de proximité, c’est moins d’énergie dépensée.

• La politique économique et sociale : l’agriculture, des emplois de proximité, un prix rémunérateur, le commerce équitable pour les produits d’ici et d’ailleurs sont un élément important du développement durable.

• La politique de l’environnement : une production respectueuse de l’environ-nement réduit fortement les atteintes à l’environnement et à la biodiversité, et augmente la qualité des aliments.

La trilogie gagnante : santé-proximité-goûtDepuis 1991, à travers « Onex-santé », Onex a rejoint les collectivités engagées en matière de promotion de la santé, à travers le réseau des villes-santé de l’Oms. Ce concept, validé par la Charte d’Ottawa en 1988, se traduit par des actions notamment en matière de mobilité, d’habitat et d’ali-mentation sains. en 2004, l’Oms publie

une déclaration sur la santé et l’alimen-tation qui a entraîné de nombreux pro-grammes et actions nationales. en suisse, balance-suisse, entre autres, travaille à sensibiliser à la nécessité de manger plus de fruits et de légumes.

La promotion du sport offre des liens avec l’alimentation saine – deux façons de pro-mouvoir la santé. par ailleurs, Onex a adhéré à l’association « cités de l’énergie ». Or, il y a une forte composante énergétique dans les choix alimentaires (provenance et modes de production sont plus ou moins énergivores). enfin, depuis 2004 Onex a un Agenda 21, soit un programme de développement durable. Trois axes prioritaires y ont été retenus : bio-diversité, mobilité et alimentation.

en 2001, la ville d’Onex a renoué avec son passé viticole en plantant 1’050 m2 de vigne historique (la vigne avait disparu à Onex dans les années 60), ce qui donne entre 300 et 600 bouteilles par an… La vigne est affermée à un viticulteur connu, et qui fait en personne le « lien entre ville et campagne ». Clin d’œil à notre passé agricole.

| Développement durable | Onex, Ville du goût

Alimentation, la ville d’Onex vous invite à l’action


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Des actions concrètes ʺ Deux services sont principalement en action, le service de pré-

vention sociale et de promotion de la santé (spps), en particu-lier par ses engagements en matière de santé, et le service des relations communales, de la communication et du développe-ment durable (sRD), pour les autres aspects.

ʺ Les actions développées sont les suivantes :• sensibilisation à travers les médias communaux, y compris la

télévision locale (sRD).• Certification « fourchette verte » pour les cuisines scolaires

(sRD), « le Casse-croûte » et les crèches (spps). • valorisation du verger communal et du potager des aînés

(spps).• Ateliers enfants avec les écoles et liens à travers la « petite

maison » entre enfants, aînés et personnes précarisées, four-niture de cornets alimentaires par l’organisation d’agriculture contractuelle Tournerêve (spps).

• soutien à l’action Onex se bouge des enseignants de sport (pomme du lundi, pomme d’une sorte rustique et de Tour-nerêve) ; distribution de chocolat équitable aux élèves par-ticipant à des manifestations sportives (cross scolaire) et à d’autres manifestations sportives (sant’e’scalade) (sRD).

• Journées « mobilité et alimentation » et semaine du goût (2008), sensibilisation à la production de proximité (sRD).

• propositions de menus sAnTé eT pROxImITé aux sociétés sportives lors de leurs manifestations ; reprise de cette formule dans les contrats de prestations de ces entités (sRD).

en 2010 onex, Ville du GoûtChaque année une ville de suisse est nommée ville du goût. Il s’agit d’une manifestation phare à visibilité nationale, du moins régionale. A ce jour, cette distinction a été attribuée à des villes à vocation touristique ou au patrimoine architectural ancien. Ce sera la première fois, en septembre 2010, qu’une tranche d’aggloméra-tion, représentative de la réalité dans laquelle vivent la majorité des suisses, aura cette responsabilité. Autant dire que l’année sera particulièrement consacrée au sujet fédérateur de l’alimentation, à travers ses différentes dimensions, culturelles, sociales, éco-nomiques, environnementales, avant de déboucher sur un grand événement à l’automne 2010.

Il est prévu en particulier des actions telles que :

ʺ Implication des distributeurs dans la promotion d’une alimen-tation saine et de saison: marchés, grands distributeurs, res-taurants, élaboration d’une charte sAnTé-pROxImITé-gOÛT.

ʺ Actions avec les écoles, interculturelles et intergénération-nelles.

ʺ Concours de recette etc.

Une belle façon de nouer la gerbe des actions déjà engagées, d’« enfoncer le clou » de la souveraineté alimentaire personnelle et collective. Il s’agit aussi de diffuser un savoir-faire alimentaire souvent perdu et d’illustrer par là que manger sain, avec goût et de proximité n’est pas forcément plus difficile ni forcément plus cher.

René Longet Maire et conseiller administratif délégué

Onex, Ville du goût | Développement durable |


Un message clairLe message alimentaire peut être résumé comme suit :

ʺ manger plus de fruits et de légumes. ʺ sains, frais, de saison, de proximité. ʺ Issus de modes de production proches de la nature. ʺ Respectueux de la diversité (sortes anciennes, traditions

locales, goûts). ʺ privilégiant le commerce équitable.

La directive alimentaireDébut 2007 le Conseil administratif a adopté une directive concernant les achats alimentaires de l’administration. en voici le texte :

ʺ « Dans ses réceptions et ses achats de fournitures alimentaires, l’administration vise une alimentation saine et de proximité. ʺ si des produits de provenance lointaine sont acquis, on aura recours aux produits du commerce équitable. ʺ Une liste de fournisseurs recommandés pourra être établie. ʺ Lors de réceptions organisées par l’administration, de tout service quel qu’il soit, la préférence sera donnée à des fruits et

légumes de saison, de production respectueuse de la nature, aux produits du terroir, aux fromages et produits carnés du terroir. ʺ On donnera de même la préférence au pain complet. Les produits de l’alimentation industrielle, riches en graisse et sucres

cachés, seront évités (chips, etc.) ʺ Les boissons sucrées industrielles seront remplacées par des jus de fruits de saison provenant de produits de proximité, de thé

froid, de sirop, etc. maison (avec du sucre de canne si possible) et de l’eau, en parallèle à des boissons alcoolisées. ʺ Ces dernières seront des vins et de la bière de producteurs de proximité. ʺ Les repas servis sous l’égide de la ville d’Onex par ses soins (spps, sJAC, service Loisirs et culture) respecteront au moins les

exigences du label « fourchette verte », et se tiendront aux règles prévues pour les réceptions. ʺ Les restaurants exploités dans des locaux propriétés de la ville d’Onex seront encouragés à respecter au moins les exigences

du label « fourchette verte ». ʺ Cette directive a été souvent citée en exemple et encore tout récemment par l’Office fédéral du développement territorial.

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QuestionsA. Le Point vert 1. Le point vert m’aide à trier mes déchets. 2. Le point vert, moi, j’en ai rien à faire !

b. Les plastiques 1. super trieur, je trie tous les plastiques marqués des flèches du recyclage. 2. Trieur-de-choix, je ne trie que le polyéthylène téréphtalate…

C. Déchets verts 1. Composter, ça éclaire…eurêka ! 2. Composter, ça pue…beurk !

D. Produits toxiques 1. Je jette mes produits toxiques à la poubelle car ils ne se recyclent pas. 2. ma poubelle est une bombe à retardement. boum !

E. Le bon trieur 1. Je trie tous les déchets qui se recyclent. Logique, non ? 2. Je trie tous les déchets qui se collectent. normal, non ?

F. Les piles 1. Ouf ! brûlées, les piles rechargeables restent « vertes ». 2. Oups !... brûlées, les piles rechargeables polluent comme les autres…

g. L’électroménager 1. Je jette mon électroménager sur le trottoir le « bon jour » des encombrants à Onex. bravo ! 2. malin, je paie pour mieux éliminer mon électronique et j’en profite !

h. Les encombrants 1. Je jette tous les jours mes encombrants à la déchèterie cantonale, route de bernex – Aire-la-ville. Yesss ! 2. Je jette tous les jours mes encombrants sur les trottoirs d’Onex. badaboum…

Réponses :A – 2 Le Point vertLe point vert garantit que l’industriel a payé une taxe de recyclage mais il ne dit rien des matières qui composent l’emballage. Il ne m’indique donc pas si le produit est recyclable ou recyclé.

b – 2 Les plastiquesLes 3 flèches des plastiques informent sur leur catégorie chimique de 1 à 8; mais en suisse, seul le peT, nº 1, est recyclable par les familles et il est le seul que les communes récupèrent.

C – 1 Les déchets vertsLes déchets verts et les déchets de cuisine produisent du compost et du biogaz par méthanisation. Ce biogaz est converti en électri-cité. Un bon mélange de déchets verts et de déchets de cuisine dans son composteur de jardin, évite les mauvaises odeurs.

D – 2 Les produits toxiquesLes produits toxiques ne se recyclent pas mais ils doivent être éli-minés en toute sécurité avec les déchets spéciaux et non avec la poubelle des ordures ménagères.

E – 2 Le bon trieurIl faut trier les déchets qui se collectent dans sa commune en fonc-tion des filières de recyclage mises en place. pas de benne corres-pondante, pas de collecte et pas de recyclage.

F – 2 Les pilesRechargeables ou pas, toutes les piles contiennent des métaux lourds. elles doivent être éliminées ou recyclées en toute sécurité et il est interdit de les jeter à la poubelle pour protéger notre santé.

g – 2 L’électroniqueA l’achat de l’électronique, l’électroménager, la bureautique, vous avez déjà payé une taxe de recyclage. Il faut les ramener chez un revendeur, même si vous n’avez pas acheté ces produits dans ce magasin.

h – 1 Les encombrantsIl n’y a qu’à la déchèterie cantonale qu’on peut déposer tous les jours ses encombrants. et en plus c’est facile et c’est gratuit !

| Déchets | Quiz sur les déchets

petit quiz pour tester ses connaissances sur les déchetsCes informations ont montré le chemin dans le « Labyrinthe-Déchets » installé sur la place du 150ème à l’occasion du Mois de la propreté 2009. A vous de tester vos connaissances et de choisir entre ces deux possibilités, l’une fausse, l’autre vraie… Alors quel est le bon geste-déchet ?

Flora Madic


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bradulet, commune roumaine, parrainée depuis 20 ans par Onex

La route qui mène à bradulet, Roumanie, traverse l’Autriche et la hongrie. Ce village de 2’500 habitants est composé de trois hameaux : bradulet, gales et bradet. A vocation principalement agricole, il est situé à environ 200 km à l’ouest de bucarest.

C’est dans le cadre de l’ « Opération villages roumains », menée contre la destruction de villages décidée par le régime en place, en 1989, que ce village a été attribué à Onex. en effet, le Conseil municipal de l’époque s’était prononcé en faveur de l’adoption d’un village par le vote d’une motion.

situé au bout d’une vallée, il abrite un hôpital de rééducation, trois belles églises orthodoxes dont l’une est classée au patrimoine de l’Unesco ainsi qu’un musée de la vie locale. si toutes les habita-tions bénéficient de l’électricité, nombreuses sont celles qui ont encore un puits au fond du jardin, d’où l’eau courante est pompée. Des liens chaleureux se sont établis au fil des ans avec les instances politiques du village, les responsables des écoles, le pope ainsi que des membres du groupe folklorique. L’un deux, Tica, sculpteur sur bois, a réalisé les deux portails, sis dans le parc brot, offerts en 2006 lors de la fête au village par bradulet à la commune d’Onex en remerciement de l’aide apportée.

De 1989 à 2004, les actions de parrainage ont été conduites par le Conseil administratif seul. ses membres se sont rendus sur place à quelques reprises. Dès 2001, la commune a fait un appel à la population onésienne pour trouver des personnes désireuses de

s’impliquer dans ces échanges. C’est ainsi qu’en 2004, l’associa-tion Onex-bradulet a été fondée afin de donner une assise plus large à ce partenariat.

2009 marque les vingt ans de cette amitié. A cette occasion, des membres de l’association, accompagnés par monsieur René Longet, maire, ainsi que par une journaliste de CanalOnex ont fait le déplacement en juin. Deux anciennes maires, mesdames g. Keller et b. gisiger (membre du comité), témoins et acteurs des engage-ments des années précédentes, étaient également du voyage. Ces trois jours furent jalonnés de moments d’intense émotion à l’évo-cation du premier convoi de l’hiver 1989 et de l’aide apportée par la ville d’Onex depuis lors. La visite des écoles de bradulet, en partie rénovées, ainsi que du chantier de la nouvelle mairie ont permis de constater que les choses bougent et que les demandes d’aide financière auprès des instances provinciales ont abouti. Lors de la partie officielle, Onex a souligné la pérennité de son engagement né dans l’urgence, et désormais inscrit dans un partenariat durable.

Au moment du retour vers Onex, rendez-vous a été donné à nos amis Roumains pour la fête d’Onex et du sport, au cours de laquelle le groupe folklorique composé de près d’une cinquantaine de personnes s’est produit par trois fois à la grande satisfaction du public.

Denise Moissoglou, Présidente de l’association Onex-Bradulet


Ce qui lie Onex à Bradulet, commune roumaine | Aide au développement |19

Un arbre est tombé durant le mois d’avril, heureusement pas sur la route et ne blessant personne. Suite à cet incident, un expert a été mandaté, par le Service des infrastructures publiques et de l’environnement, pour faire un état de la situation. Il a découvert que l’arbre en question était atteint d’une maladie.

Ceci étant, on encourait le risque que les autres arbres, de la haie que forme cette frondaison le long de la route du grand-Lancy, soient également contaminés. Une demande d’abattage a donc été faite au service nature et paysage du Département du terri-toire. Résultat de l’analyse de l’expert : 20 arbres à abattre (tilleuls, érables et frênes). Ces travaux sont indispensables pour sécuriser le parc et la route du grand-Lancy.

La commune a proposé de compenser cet élagage rendu indispen-sable par la replantage de trois arbres adultes (érables champêtres) et de 50 jeunes arbres : 10 tilleuls, 10 chênes, 10 merisiers, 10 char-milles et 10 érables planes. Le tout constituera un cordon boisé.

Un recours qui a retardé les travauxL’abattage a été effectué les 15 et 16 octobre. pourquoi tout ce temps entre l’autorisation donnée le 17 avril 2009 – ainsi que l’accord sur proposition de replantage – et l’abattage ?

D’abord parce qu’il y a un délai de recours. L’information paraît dans la feuille d’Avis Officiel, après quoi il faut attendre 30 jours, fin du délai de recours, pour aller de l’avant.

Or, la commission cantonale de recours en matière administrative, a été interpellée le 16 mai par une personne prétendant que les arbres à abattre étaient sains.

Après ces atermoiements, la décision définitive d’abattage des arbres est finalement tombée le 17 août, tout autre nouveau recours étant désormais irrecevable.

Politique de la commune en matière de plantationsIl s’agit d’avantager la flore et les végétaux acclimatés et indigènes, car cela a un impact positif sur la faune.

par exemple, dans un sureau indigène, environ 40 différents oiseaux viennent se nourrir de baies, alors que c’est le cas de seulement trois d’entre eux dans un laurelle.

Cette démarche résulte d’une prise de conscience, dans le cadre de notre Agenda 21 communal, et suite à une étude faite sur les bio-indicateurs, en 2006, consistant en un recensement et au comptage des oiseaux dans les différentes zones de la commune (étude accessible sur www.onex.ch).

en ce qui concerne la gestion des haies, il vaut mieux planter des haies mixtes qu’un seul arbre pour préserver cette biodiversité.

Gestion de la biodiversité des espaces vertsen concertation avec des associations spécialisées, un document sur la gestion de la biodiversité des espaces verts a été élaboré en 2008. Relevons qu’il a été écrit par le secteur des espaces verts et que la mise en page et les photos ont été réalisées par le sRD (service des relations communales, de la communication et du développement durable). Ce document est le fil conducteur des activités du secteur des espaces verts.

Citons enfin que le secteur des espaces verts a été récompensé par le premier prix genevois des villes fleuries, en 2007.

| Espaces verts | Abattage d’arbres au parc de la Mairie

Abattage d’arbres du parc de la mairie, au bord de la route du grand-Lancy


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Chaque jour, nos jardiniers déploient leurs efforts dans les espaces verts de la commune pour entretenir les attraits des parcs, massifs fleuris, surface enherbées et autres cimetière, bermes centrales, etc. Tout cela ne serait pas possible sans l’apport de divers engins motorisés, tels que tron-çonneuses, souffleuses, tondeuses, etc.

Les limitations de l’usage de tels engins font l’objet d’un règlement cantonal, valable pour tous, y compris les privés. La mairie respecte scrupuleusement ce règlement et, si un habitant entend une souffleuse au mois d’avril, ce n’est certainement pas le service des infrastructures publiques et de l’envi-ronnement (sIpe) qui est en cause, mais des privés, ou peut-être les services de l’etat.

genève est le seul canton qui impose des restrictions saisonnières. Celles-ci ne concernent pas les souffleuses électriques.

Tous les engins de notre voirie sont soumis et répondent aux normes fédérales.

Des consignes ont déjà été données de longue date pour que les employés de la voirie n’abusent pas de l’emploi des engins motorisés.

et comme on utilise maintenant un carburant beaucoup plus écologique que précédemment (essence alkylée), et que l’on se préoccupe beaucoup de développe-ments durables à Onex, il est peu probable que les employés municipaux laissent tourner les moteurs inutilement. De plus, dans le cadre de ses engagements pour un développement durable, la ville d’Onex a spécifié qu’elle achète des véhicules classe A et b, et favorise les énergies alternatives.

L’usage des souffleuses dans les préaux ne se fait que le mercredi pour ne pas

perturber les cours, mais cela peut donner l’impression à certains enseignants que la voirie ne s’occupe pas assez de leurs cours de récréation.

Le travail au râteau ou au balai est réel-lement beaucoup moins rapide qu’avec des engins motorisés et l’effectif sIpe est insuffisant pour n’utiliser exclusivement que ce matériel-là.

quant à la balayeuse City Cat, il n’y en a qu’une seule à la commune. elle est utilisée pour nettoyer les trottoirs, les chaussées et les préaux. Certains aime-raient la voir circuler plus souvent et d’autre la trouvent trop bruyante. Difficile de contenter tout le monde. Relevons que cette balayeuse est stationnée au Centre Intercommunal de la voirie, à bernex, ce qui tend à augmenter le nombre de ses déplacements.

Les engins motorisés, nécessaires aux travaux des jardiniers

Les engins motorisés | Espaces verts et voirie |


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nichée au rez-de-chaussée d’une ancienne école, au 13 rue des evaux, la réception du service de prévention sociale et de promotion de la santé (spps), pourrait tromper son monde et laisser penser à un lieu calme et paisible… nous avons posé la question à sarah Zeneli, en charge de l’accueil et du secrétariat de cette réception. quelles demandes et questions pouvaient lui être adressées. force est de constater que ce lieu est un carrefour, parfois agité, où des questions quelquefois inattendues, souvent teintées de gravité, sont posées. quelques morceaux choisis illustrent ici leur diversité.

Il y a pour exemple les personnes qui demandent à la réceptionniste de les vacciner ou, dans le même domaine, de peser leur bébé ! problème ici évident d’ai-guillage. Ces prestations sont en effet bien fournies dans le bâtiment, mais en l’occur-rence par les voisins de la fondation d’aide et de soins à domicile (fsAsDs). Il y a aussi les mamans qui souhaitent confier à sarah la garde de leur bébé, « juste le temps de monter à l’étage », dans les bureaux de l’hospice général.

pour ce qui est des excursions organisées pour les aînés de la commune, le challenge de la réceptionniste réside ici à tenter de satisfaire les demandes relatives à la réser-vation d’emplacements particuliers dans les cars, les places à l’avant du car étant régulièrement prises d’assaut !

Il y a aussi les questions d’ordre personnel, parfois graves, auxquelles il s’agit de répondre de façon adéquate, à l’instar de cette demande de renseignements pour pouvoir déloger une parenté non autorisée

à squatter une maison familiale. question qui a pu ici et par exemple, être prise en charge par la permanence juridique, qui se charge également des demandes relatives au droit de la famille, du travail, de la suc-cession, etc. Un problème de voisinage où il était question de citrons et de divers légumes qui étaient jetés par la fenêtre a quant à lui pu être réglé par l’entremise de l’Antenne médiation.

La réception doit aussi orienter les personnes qui se présentent en urgence, comme cette maman qui est venue expliquer qu’elle commençait à travailler le jour-même et qu’elle avait immédiatement besoin d’un moyen de garde ! Une orien-tation vers Onex-familles a, dans ce cas, permis une issue satisfaisante à terme en proposant une famille d’accueil (maman de jour). Onex-familles renseigne également sur les autres moyens de gardes.

Il s’agit aussi de pouvoir répondre aux demandes de personnes devant faire face, ponctuellement, à une situation finan-cière difficile et qui demandent à voir leur situation évoluer positivement, le plus rapi-dement possible. Après avoir ici bien cerné le problème, il est proposé un entretien avec une assistante sociale pour évaluer précisément la situation et prodiguer alors des conseils et un soutien au niveau admi-nistratif, voire financier. Dans les cas qui le nécessitent, l’accès à La petite maison, lieu de distribution d’aliments pour personnes précarisées, peut aussi être proposé.

Des personnes, parfois en proie à de vives émotions, viennent aussi confier leur problème personnel au guichet de la réception. pas prévu à cet effet, ce lieu

n’offrant en effet que peu d’intimité, les demandes sont alors orientées vers le lieu d’écoute où une psychologue reçoit sur ren-dez-vous, sans frais, les consultants pour une orientation personnelle.

Des parents soucieux du bien-être de leur enfant se présentent aussi régulièrement à la réception pour obtenir des rensei-gnements, par exemple, en lien avec des problèmes de surpoids et à la recherche de conseils alimentaires. Ces mamans ou papas sont alors aiguillés auprès de l’antenne Onex-santé qui relaie notamment les campagnes nationales et cantonales de prévention santé, sur le terrain communal et organise des ateliers, toujours en lien avec la promotion de la santé.

Ce ne sont là que quelques cas de figure qui illustrent la diversité des demandes qui sont adressées au guichet du spps et aux-quelles il s’agit de répondre en aiguillant correctement sur les différentes presta-tions à disposition. Le spps est en effet un service qui offre une large palette de pres-tations sociales* dans le domaine de la prévention et de la promotion de la santé, s’adressant à un public allant des tout-petits aux aînés du 4ème âge.

Un challenge qui est relevé au quotidien, avec sourire et compétence, pour répondre au mieux aux demandes que tout Onésien est susceptible d’adresser à ce service multi-prestataire.

*Les prestations du sps : l’aide sociale individuelle, le Casse-Crôute, la petite-maison, le bureau des Aînés, Onex-santé, Onex-familles, la petite Découverte, la permanence juridique, le Lieu d’écoute et l’Antenne médiation.

Carine Papp, administratrice du SPPS

| Social et santé | Le guichet du Service de prévention sociale et de promotion de la santé

effervescence à la réception du spps


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Julien : Tu as raison, il faut que ça cesse, toutes ces chicanes, ces travaux, ces embouteillages aux heures de pointe… C’est l’enfer !

Amandine : en plus les travaux n’avancent pas vite. As-tu remarqué qu’il y a moins d’ouvriers sur le chantier ?

Julien : moins d’ouvriers ? Ils ont peut-être des difficultés de tré-sorerie !

Amandine : Tu plaisantes, c’est quand même un chantier d’état !

Julien : Oh ! Tu sais, par les temps qui courent… mais, ma jolie, quand le tram sera là, la route de Chancy deviendra un boulevard urbain beaucoup plus agréable…

Amandine : Avec moins de voitures… les gens prendront le tram, ce sera plus pratique. et puis, qui dit moins de voitures dit moins de pollution !

Julien : Tu pourras refaire du vélo à l’abri du trafic puisqu’il y aura des pistes cyclables. Tiens, on achètera un petit siège pour Clément et tu pourras pédaler jusqu’à chez ta mère sans problème.

Amandine : en prenant le tram, on mettra beaucoup moins de temps pour aller en ville, ce sera magnifique ! Tu sais, dans les embouteillages, le matin, moi je bous. Dans le tram, je pourrai lire, discuter, rêver…

Julien : n’exagère pas, le voyage ne va pas durer six heures !

Amandine : Tu crois qu’on mettra combien de temps en tram de la salle communale à la Jonction ?

Julien : Je ne sais pas moi, dix minutes un quart d’heure, contre plus d’une demi-heure en voiture aujourd’hui !

Amandine : Le rêve quoi !

Julien : moins de voitures, moins de pollution, des pistes cyclables, une plus grande facilité pour se rendre en ville…

Amandine : moins de bruit près de chez nous… ma mère à dix minutes.

Julien : Ça c’est moins drôle !

Amandine : Arrête ! si maman t’entendait…

Julien : Tu ne crois pas que ça vaut le coup d’être patiente ?

Amandine : Je suis d’accord… mais tout de même, ces travaux devant chez nous c’est l’enfer !

Julien : Toujours en train de rouspéter, hein Amandine !!!!

Danielle Meynet

Tramcasseries Onésiennes Chez les perrotin, 3 rue de bandol

Tram, tram et colégram | Mobilité |


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Entre prix abordables et conditions viables des bâtiments, le Service des bâtiments et locations (SbEL) de la ville d’Onex répond à une très grande quantité de demandes de locations. Malheureu-sement, la commune ne peut pas toutes les satisfaire.

La crise économique frappe tous les secteurs, mais celui des locations de salles dans les bâtiments communaux reste épargné, car les prix de locations étant relativement bas, les utilisateurs paient presque tous sans problème. en 2008, les locations annuelles ont rapporté 130’000 francs et, pour les locations occasionnelles, la collectivité a encaissé un montant de 119’000 francs. Ce sont des rentrées, certes intéressantes, mais bien en deçà de la valeur des immeubles. « Les bâtiments nous coûtent bien plus qu’ils ne nous rapportent, mais nous ne somme pas là pour faire de l’argent, car nous sommes un service public » nous dit le responsable du sbeL, m. michel Cuttat.

Locataires correctsCasses, tapages nocturnes, salissures, sont les principaux maux qui font entorse à un contrat de location. mais, en général, les loca-taires d’Onex respectent leurs contrats. Toutefois, les problèmes ne manquent pas. « Dans 90% des cas, tout se passe bien », nous rassure m. michel Cuttat, qui précise quand même qu’il y a parfois des problèmes avec le voisinage. « Il arrive que des gens nous écrivent pour nous demander d’arrêter de louer ou pour que nous cherchions des solutions aux nuisances ». pour éviter ces problèmes, la commune travaille avec deux entreprises chargées de l’entretien et de la sécurité.

Types de locationsIl existe deux types de locations : les locations annuelles et les locations occasionnelles. Les locations annuelles concernent les salles de gymnastique et les salles de rythmique, ainsi que certains locaux spécifiques pour le judo, le ping-pong, la musique et même le tir au petit calibre. Les sociétés onésiennes profitent aussi de nos locaux pour y installer leurs secrétariats ou des dépôts de matériel. malheureusement, le nombre restreint de locaux et les heures de location ne nous permettent pas de répondre à toutes les demandes.

Les locations occasionnelles, quant à elles, mettent à disposi-tion six lieux pour des réunions privées, principalement sur le week-end, ainsi que la salle communale dont le régime est plus particulier. « Les restaurants scolaires du bosson et d’Onex-parc, la salle du Coin-des-bois sont des endroits que l’on peut louer pour des besoins privés ». L’aula de l’école du bosson et le cinéma-théâtre de l’école d’Onex-parc sont plus spécifiques, puisqu’ils ont des gradins et que l’on peut y faire des représentations. pour les locations occasionnelles, les salles sont disponibles exclusivement pour les Onésiens ou pour les associations à but non lucratif ayant leur siège à genève. si l’année dernière la ville d’Onex a fait de bonnes recettes, l’année 2009 tend à être aussi intéressante, au vu du carnet de commandes déjà bien rempli jusqu’en décembre.

Anderson Makedi

| bâtiments | Locations de salles à Onex

A Onex, les locations vont bon train


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Pétillante comme un verre de ce bon vin, Claire Laurent, dite Clairette-de-Die pour les intimes, s’en revient de bandol où elle a passé quatorze jours de vacances avec les aînés de la commune. Nous lui avons demandé ses impressions, elle nous dépeint la Provence qu’elle a visitée. Interview de Carine Papp, responsable administrative du Service de prévention sociale et de promotion de la santé (SPPS).

onex Magazine (oM) : vous habitez la commune depuis 50 ans, vous êtes retraitée depuis 11 ans, mais c’est la première fois que vous participez à une activité organisée par le bureau des aînés de la ville d’Onex, comment cela se fait-il ?

Claire LAURenT (CI.L.) : vieillir n’est pas toujours drôle ! Ce n’est pas une réjouis-sance en soi que de se dire : « Chouette, maintenant avec mes cheveux blancs, je vais pouvoir rejoindre le Club des aînés ! ». Je le dis volontiers, j’étais réticente. Il y a des préjugés et le fait que l’on n’y connaisse personne est un frein évident.

oM : Comment avez-vous été mise au courant de l’organisation de ce voyage ?

Cl.L. : La parente d’un ancien élève m’en avait parlé. Trente années d’enseignement à Onex, ça crée forcément des liens… J’ai en effet commencé à enseigner à l’époque où nous devions sonner nous-mêmes la cloche de récréation pour faire entrer les élèves en classe ! vous imaginez donc le nombre

de petits Onésiens que j’ai fréquentés. Je reçois aussi régulièrement le programme des activités des aînés dans ma boîte aux lettres.

oM : si vous ne deviez retenir qu’une image de ces vacances ?

Cl.L : Les rochers rouge flamboyant plongeant dans l’eau bleu outremer sur l’île de bandor. Ou peut-être Les baux-de-provence et leur cathédrale d’images. Ou encore le château d’If qui m’a fait revisiter le célèbre roman Le Compte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas. pour résumer, ce n’était que du positif ! Le pont du gard. marseille. Aix-en-provence. Le Castellet… c’était magnifique. Je me suis même baignée dans la méditerranée, à quelques pas de l’hôtel, tant les températures étaient encore clémentes.

oM : Certains aînés pensent ne pas pouvoir participer à ce type de voyage de peur de ne pouvoir être physiquement à la hauteur, est-ce une crainte justifiée ?

Cl.L. : Je ne le pense vraiment pas. Tout d’abord, aucune excursion prévue sur place n’est obligatoire. On peut tout à fait rester à bandol ou sur la terrasse de l’hôtel. De plus, le programme prévoit un jour de repos entre chaque activité de sorte que l’on peut se reposer. parmi les 18 participants, il y en avait d’ailleurs plusieurs qui s’aidaient d’une canne et il y avait aussi une personne malvoyante. Il

faut bien avoir à l’esprit que nous sommes encadrés et qu’evelyne grillet, la coordina-trice du bureau des aînés, était toujours là, souriante, pour nous aider et organiser les activités de sorte que nous n’avions aucun souci à nous faire.

oM : vous êtes partie sans connaître personne. vous revenez avec un carnet d’adresses étoffé ?

Cl.L. : Oui. personnellement, je vais revoir Odette, au prochain Club de midi. nous ne nous connaissions pas mais une complicité très sympathique est née entre nous. Au point que nous avons tout partagé durant ces deux semaines ; séance chez le coiffeur et messe du dimanche comprises ! De plus, pour l’anecdote, nous étions parfaitement compatibles pour partager notre chambre d’hôtel, car bien que je ronfle assez bruyam-ment, Odette n’a nullement été dérangée; elle est malentendante ! nous en avons bien ri. Il faut dire que l’ambiance entre nous était particulièrement chaleureuse et tous les participants dotés d’une extrême gentillesse.

Je ne peux que recommander cette expé-rience à toutes personnes désirant un peu de dépaysement en excellente compagnie !

Si vous ne recevez pas encore le programme du bureau des aînés onésiens à votre domicile et que vous êtes intéressé, contactez le Service de prévention sociale et promotion santé au 022 879 89 11.

Rencontre : Clairette-de-Die à bandol

Vacances à Bandol | Aînés |


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face à l’intensification des problèmes sociaux, il apparaît que le principe de démocratisation culturelle prend aujourd’hui toute sa place dans les politiques de lutte contre l’exclusion et en faveur de la réhabilitation de la personne. Il faut donc promouvoir l’ex-pression et la création, sous toutes ses formes, comme l’un des modes privilégiés de lutte contre l’exclusion et comme moyen de jeter des ponts entre le milieu culturel et le milieu social dans une dynamique de réseau.

L’art et la culture vivante contribuent au renforcement de la cohésion sociale. L’implication de la culture dans le champ social n’est pas un fait nouveau. Il n’y a qu’à voir l’impact des actions culturelles dans la lutte contre les exclusions. Dans ce contexte, la culture est productrice de liens.

Cela nous rappelle l’exigence démocratique de rendre la culture accessible au plus grand nombre et notamment à cette frange de la population qui reste encore aujourd’hui à l’écart, éloignée des réseaux et des pratiques artistiques et culturelles pour des raisons financières ou du fait d’un handicap (physique, psychique, social…).

Dans ce contexte, l’amélioration de la connaissance des publics de la culture, mais aussi de ceux qui en restent éloignés, semble centrale. Des projets artistiques et culturels portant cette préoc-cupation se développent. Ils établissent de nouveaux et autres rapports entre populations, art et territoires et construisent, aux niveaux local et national, des collaborations durables et globales entre les différents champs.

La culture a plusieurs définitions : retenons celle de développement personnel, d’enrichissement, voire d’ornement de l’esprit par la fré-

quentation des lettres, des sciences et des arts. La culture d’un individu commence avec l’éducation, l’instruction et l’ensemble des connaissances apportées par le milieu familial, social, scolaire ; avec une fonction de mémoire patrimoniale importante.

Une culture des cités a pu sembler se développer contre l’exclu-sion. Devant la montée en puissance, ces dernières années, des « problèmes » dans les cités sensibles — et leur médiatisation —, l’art et la culture, entre autres outils, sont davantage mobilisés. en france, des municipalités invitent des artistes à animer des ateliers au pied des hLm, rouvrent des cinémas de quartier ou aménagent des studios pour des rappeurs. Des artistes se tournent vers les périphéries des villes, à la recherche des « énergies paradoxales » de ces « quartiers jeunes ». Toutes les politiques sociales comportent désormais un volet culturel dont l’importance grandit.

fin 1998, Jérôme savary mettra le prestigieux Théâtre national de Chaillot à disposition de trente personnes sans domicile fixe qui viennent y interpréter (très brillamment) « Les bas-fonds » de gorki. Après un atelier d’écriture, des chômeurs roubaisiens devien-nent scénaristes d’un film. Au Théâtre de la manufacture de nancy, l’écrivain françois bon initie des expériences d’écriture avec des marginaux ; sous le pseudonyme de Kelt, quatorze Lorientais sans emploi signent un roman noir.

Une autre façon de contribuer au lien social et de lutter contre l’ex-clusion est de démocratiser la culture en la rendant accessible à des populations qui n’y ont pas forcément accès. C’est ce que l’on tente de faire à Onex, avec une programmation résolument tournée vers les familles et des séances les après-midi, réservées aux élèves des écoles et aux aînés.

| Social | Culture et lien social

Art, culture et lien social


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Audit énergétique de sept bâtiments communaux Le but de l’audit est de pouvoir conduire des actions ciblées et rentables à bon retour sur investissement, pour diminuer les consommations énergétiques de 7 bâtiments de la commune, ceci notamment pour répondre au label « Cité de l’énergie ».

en ce qui concerne la thermographie de la ville d’Onex, les résultats des communes de meyrin et vernier ne sont pas encore connus, mais l’étude par thermographie coûterait environ 150’000 francs. pour Onex, le coût serait de 50’000 francs. mais la thermographie est plutôt un choix politique pour sensibiliser les propriétaires aux économies potentielles de leur bâtiment. C’est davantage un outil de communication qu’un outil de diagnostic. Des mesures impor-tantes d’accompagnement par des experts doivent être associées à cette démarche ; pour interpréter les images, et pour assurer un suivi avec les propriétaires.

La commune s’est déjà engagée dans des mesures concrètes pour des économies d’énergie : dans le passé avec la rénovation de l’école d’Onex-parc, et maintenant avec la maison Onésienne qui sera mise aux normes minergie.

Avec les résultats de l’audit on pourra agir concrètement sur les bâtiments qui appartiennent à la commune et selon le plan financier. L’audit ciblera les travaux techniques à faire en les chiffrant, avec une estimation du retour sur investissement, pour atteindre le standard minergie.

Les quatre étapes des prestations demandées aux entreprises sont :

1) L’établissement des schémas de principe des sept bâtiments

2) L’audit préliminaire, avec récolte des données énergétiques, et l’identification des mesures à prendre

3) La hiérarchisation des mesures et le choix de 4 bâtiments prioritaires

4) L’audit détaillé sur les bâtiments sélectionnés, avec la liste d’actions prévues.

Le budget de cet audit se monte à 170’000 francs. Le « fond de l’énergie des collectivités publiques » le subventionnera à hauteur de 100’000 francs. Le temps nécessaire pour l’ensemble de ces étapes est estimé à une année. Le projet de délibération est accepté par 20 oui et 6 abstentions.

Budget 2010Le budget 2010 est présenté dans le détail par philippe Rochat, Conseiller administratif délégué aux finances. Il est renvoyé dans les différentes commissions thématiques et sera voté lors de la prochaine réunion du Conseil municipal, le mardi 10 novembre 2009.

Dérogation de densité, chemin François-ChavazIl s’agit d’une dérogation de densité pour la construction de quatre villas contiguës au chemin françois-Chavaz 47. Un premier projet sur ce même terrain avait été refusé par le Conseil municipal, fin 2008, notamment pour des raisons de mauvaise intégration archi-tecturale dans le quartier et en regard de la difficulté d’accès dans le secteur.

Un nouveau projet a été présenté. Il ressemble désormais plus à des villas contiguës qu’à un petit immeuble. La densité (surface habitable par rapport à la surface du terrain) a été ramenée de 43,87 % à 39,6 %. Le Conseil administratif fait la remarque que ce projet répond aux critères du plan directeur communal 2002.

Après débat, ce projet est renvoyé en commission d’urbanisme.

Conseil municipal du 6 octobre

Conseil municipal d’octobre | Politique |


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Lors de sa réunion du 3 février, le Conseil municipal, sur proposition de sa commission ad hoc communication, a demandé au Conseil administratif, par 20 oui et 7 abstentions, de prévoir, dans chaque publication d’Onex magazine, une moitié de page pour chacun des groupes représentés au Conseil municipal, pour qu’ils puissent librement s’exprimer sur des sujets traités par ce Conseil, pour autant qu’ils aient fourni dans les délais impartis un matériel res-pectant l’espace et le format prévus.

Désormais, Onex Magazine ouvre donc ses pages aux six groupes politiques de la ville d’Onex, soit, dans l’ordre du nombre de sièges obtenus aux dernières élections municipales :• parti socialiste : 10• Union Libérale-Radicale : 6• mouvement Citoyens genevois : 5• parti Démocrate Chrétien : 3• Les verts : 3• Union Démocratique du Centre : 2

Les trois pages qui suivent sont sous la responsabilité de leurs auteurs et n’engagent nullement celle de la ville d’Onex.

| Politique | La parole aux groupes politiques du Conseil municipal

La parole aux groupes politiques de la ville d’Onex


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Parti Socialiste | Union Libérale-Radicale | Politique |

La discussion sur les parkings à Onex est récurrente ! Le moment est venu de définir une politique communale en la matière. Le groupe socialiste a présenté une motion lors de la séance du Conseil municipal du 6 octobre dernier, qui a été renvoyée en com-mission pour étude. grâce à une excellente analyse de la situation du stationnement à Onex, réalisée par le service de la sécurité de notre ville en 2008, nous pourrons mener sereinement nos réflexions sur la base de données chiffrées.

selon le groupe socialiste, la future politique de stationnement doit se focaliser sur 3 principes :

– l’accès facilité à des parkings pour les habitants d’Onex

– l’accueil de nos visiteurs de courte durée

– l’impossibilité du stationnement de longue durée pour les non-résidents.

La commune peut agir avec quelques mesures (zones bleues et/ou parcomètres) qui sont complémentaires entre elles et adaptables selon les besoins. Définir main-tenant une politique de stationnement permet d’anticiper les problèmes qui vont se présenter prochainement avec l’arrivée du tram, ainsi qu’avec le transfert des voitures sur Onex, dû à la future mise en zone bleue de Lancy.

suite à la démission du chef du service « Jeunesse et Actions Communautaires » de la ville d’Onex, par ailleurs également directeur de la maison Onésienne, une procédure d’engagement d’un remplaçant a été mise en place par mise au concours publique. en complément à une solide formation dans le social, le profil du poste de ce cadre exige compétences et expériences.La mairie d’Onex nous annonce que le poste est repris par l’actuelle secrétaire générale du parti socialiste genevois ! Deux années seulement après avoir pris le pouvoir à Onex, les socialistes ont déjà réussi à mettre en place leur « politique des petits copains ». en effet, comment expliquer qu’une personne qui n’a pas d’ex-périence dans le social et aucune formation de management ait été préférée à 86 autres candidats, dont beaucoup avaient

un diplôme de la haute ecole d’etudes sociales de genève ?Le parti socialiste est majoritairement représenté au Conseil administratif de la ville d’Onex par monsieur René Longet et par madame Carole-Anne Kast, cette dernière étant responsable du dicastère social, dont fait partie le service jeunesse et la maison Onésienne. Il faut alors préciser, et c’est là que l’affaire devient choquante, que m. Longet est président du parti socia-liste genevois et que mme Kast est vice-présidente de ce même parti.qui plus est, cette personne est d’abord engagée à temps partiel, histoire de continuer son travail pour le parti à la rose pendant les prochaines élections canto-nales. Un ingénieux stratagème qui permet au président Longet d’avoir sa secrétaire générale à ses côtés.

Dans de telles conditions on peut douter que les valeurs d’équité et d’égalité de traitement auxquelles avaient droit les 86 candidats écartés et éconduits aient été respectées. Ce choix est blessant et choquant pour toutes ces personnes.L’expérience d’un exécutif majoritairement socialiste s’avère aujourd’hui désastreuse et mérite d’être portée à l’attention de la popu-lation. en pleine crise économique, alors que nous devons tous nous serrer la ceinture, les socialistes placent leurs petits copains !

Claude Léchenne

Daniel Fino, conseiller municipal

PARTI SOCIALISTE

UNION LIbéRALE-RADICALE

Pour la définition d’une politique de stationnement des véhicules à onex

Simplement scandaleux


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en campagne électorale pour le conseil municipal de notre ville en 2007, le mCg mettait en avant l’envie de créer une structure d’accueil pour les personnes en recherche ou en reprise d’emploi. en déposant un projet de motion en urgence s’intitulant « bureau Onésien pour la promotion de l’emploi » lors de la première séance plénière de la législature, notre groupe a remporté un large soutien des autres partis. Le projet a été renvoyé en commission afin d’être débattu en long et en large pour enfin être représenté au conseil municipal sous la dénomination de « Onex solidaire ». Aujourd’hui après une année, cette structure d’accueil présente un bilan bien plus que positif puisque elle répond à une réelle attente des onésiens.

Une équipe de professionnels propose des coachings personnalisés, répond à vos demandes diverses face au marché du travail actuel et offre surtout un soutien dans vos démarches administratives. Le conseil administratif aurait même souhaité augmenter cette prestation en favorisant les jeunes qui sont désarmés face à la dureté du monde du travail actuel.

Il est plus qu’évident qu’Onex devait se munir d’une structure de cette envergure et c’est chose faite grâce au mCg !

| Politique | Mouvement Citoyens Genevois | Parti Démocrate Chrétien

MOUvEMENT CITOyENS gENEvOIS

PARTI DéMOCRATE ChRéTIEN

MOUVEMENT CITOYENS GENEVOIS

La commune d’Onex possède un patri-moine important tant en bâtiments, qu’en routes, parcs et infrastructures. Le privilège est constitué par la valeur de ces biens et le fait de les contrôler. mais, l’envers de la médaille nous oblige à entretenir tous ces objets communaux et le cas échéant à les reconstruire.Le parti Démocrate Chrétien est conscient de cette responsabilité et de l’impor-tance de cette mission, pour le bien de chaque citoyen. en effet, si nous laissons nos bâtiments se dégrader, il est certain qu’à terme, les travaux de réfection, voir une démolition-reconstruction coûtera beaucoup plus cher à la collectivité. pour nous il s’agit donc d’une priorité afin de ne pas laisser aux générations futures la facture de nos erreurs. Cela doit être fait

d’une façon régulière pour que nos budgets annuels puissent couvrir ces dépenses, selon une règle de priorité. nous savons que notre personnel communal fait très bien ce plan d’entretien. vous pouvez compter sur les Conseillers municipaux Démocrate-Chrétien pour être constamment attentif à cette question et respecter à la fois un budget raisonnable, sans luxe inutile, mais en faisant toujours bien les choses et complètement afin de ne pas devoir recommencer plus tard, ce qui coûte toujours plus cher. Là aussi le pDC est le parti de la raison et de la réflexion pour servir nos citoyens.

Eric Oulevey Conseiller municipal

Pour le PDC : Richard Mérier

Le PDC et l’entretien du patrimoine


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Onex compte peu de commerces : certains se découvrent au fil des balades entre les immeubles de la Cité, d’autres sont regroupés. Or, avec la disparition progres-sive de lieux ou d’occasions d’échanges sociaux (banques, tournées des facteurs, paiements par internet, etc.), les commerces de proximité ont un rôle de plus en plus important à jouer. La place du marché, quant à elle, n’est pas seulement entourée de divers commerces, elle tient également lieu d’espace de rencontre et d’échange, en particulier les jours de marché (les mercredi et samedi). mais les étals des marchands, et l’accueil des commercants ne sont pas les seuls à contribuer à l’ani-mation et au rôle social du site : le chalet vendant glaces ou marrons en fonction des saisons y contribue également.

si elle a un rôle social, qui certes pourrait encore être amélioré par un cadre plus attrayant et une meilleure visibilité, la place tient également un rôle dans notre prise de conscience environnementale. en effet, les containers enterrés pour y déposer multiples emballages ou papiers à qui nous donnons une chance de vivre une seconde vie, sont bien présents au milieu de la place, rappelant à chacun(e) son rôle potentiel de recycleur ou recycleuse !

C’était le deuxième volet de notre série sur les « places » onésiennes, les Verts d’Onex vous invitent à les utiliser et les faire vivre !

Comme chaque année le mois d’octobre est le moment de penser au budget de l’an à venir. Cette année, deux éléments excep-tionnels sont venus modifier la donne : la nouvelle péréquation (répartition d’un fonds entre les différentes communes du canton) et la loi sur l’imposition des personnes physiques qui a bien heureusement été acceptée par le peuple le 27 septembre dernier. Autant le premier a une influence positive sur les finances de la commune qui du coup bénéficie de quelques millions de plus, autant le second vient réduire partiel-lement cette avance, mais pour la bonne cause puisque c’est vous, citoyens, qui garderez cet argent dans vos poches.

grâce au bénéfice restant, le Conseil Admi-nistratif a pu, malgré la crise qui nous

frappe, présenter un budget équilibré pour 2010 ; cependant une partie de ce bénéfice est malheureusement engloutie par les coûts induits par l’énorme dette (supé-rieure au budget annuel) que la commune s’est mise sur le dos ces dernières années. Au total ce ne sont pas moins de 724’000 francs qui partent en fumée entre les intérêts et les amortissements, soit 16 % du budget total de la commune… Le groupe UDC a donc rendu le Conseil Admi-nistratif attentif au fait que l’endettement coûte cher à la commune ! Cette considéra-tion ne semble pas inquiéter nos autorités outre mesure si on en juge à la facilité avec laquelle ils contractent des crédits.

Comme nous l’avons fait pour la maison Onésienne, le groupe UDC continuera à

veiller à ce qu’aucune dépense démesurée ne soit entreprise ; c’est seulement ainsi qu’Onex retrouvera une situation financière saine, seule garante d’une réelle qualité de vie pour les citoyens.

Françoise Bourgoin & Ruth Bänziger, Conseillères municipales, Les Verts Onex

D. Vuagnat

La place du Marché : un lieu d’échange social et commercial

Un pas vers une situation plus saine.

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LES vERTS

UNION DéMOCRATIqUE DU CENTRE


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| AgENDA | Novembre — Décembre 2009

Date Catégorie evénement Lieu Horaire Renseignements

Le 6 novembre Les CRéATIves GRACe (pop-folk, USA) salle communale 20h 022 879 59 99 / www.spectaclesonesiens.ch

Le 8 novembre fête Vente et fête de paroisse salle communale Dimanche : 9h-19h m. pierre-Alain vuagniaux / Tél. 022 792 72 89 et 022 792 15 88

Le 10 novembre politique Conseil municipal salle du Conseil municipal

19h00 mme Jeannette sanchis / 022 879 59 59

Le 13 novembre Culture nuit du Conte ecole françois-Chavaz

15h30-23h service Jeunesse et Action Communautaire / 022 879 80 20

Le 14 novembre fête Soirée Sabor Latino salle communale 20h-02h m. Carlos Cervanter / Tél. 022 733 83 63

Le 15 novembre fête Loto du Chœur mixte Le Moléson

salle communale 13h-19h30 mme Cathy venturi / Tél. 022 347 83 37

Le 17 novembre Culture Ciné Kid : Mia et le migou Collège de saussure 16h45 Collège de saussure / Tél. 022 388 43 66

Les 19 novembre

spectacles Onésiens

CHRISToPHe ALÉVÊQUe (humour, France)

salle communale 20h30 022 879 59 99 / www.spectaclesonesiens.ch

Le 20 novembre fête Soirée de l'amitié de l'as-sociation sportive des Schtroumpfs

salle communale 19h-24h m. Daniel pinget / Tél. 079 624 59 56

Le 20 novembre Culture Diffusion du film « Carnet de Voyage » de Walter Salles

Café Communautaire

soirée maison Onésienne / Tél. 022 879 80 20

Le 21 novembre sport Trans'onésienne Rendez-vous à la salle communale

9h-02h m. Daniel Cattani / Tél. 022 793 06 48

Le 22 novembre sport Tournoi de foot en salle organisé par Gym-Hommes onex

ecole d'Onex-parc 8h-19h m. Raymond galéa / 076 544 65 79

Les 22 et 25 novembre

RéCRés- speCTACLes

LeS BAMBoCHeS (marionnettes et chants)

Le manège, espace culturel

14h30 022 879 59 99 / www.spectaclesonesiens.ch

Les 24 et 25 novembre

Animation Diffusion des matchs de Champions League

Café Communautaire


Le 27 novembre spectacles Onésiens

DICK AnneGARn (chanson française)


Le 1er décembre Culture Ciné Kid : Le Caméraman Collège de saussure 16h45 Collège de saussure / Tél. 022 388 43 66

Les 1er et 2 décembre

spectacles Onésiens

FeLLAG (humour, France) salle communale 20h30 022 879 59 99 / www.spectaclesonesiens.ch

Le 4 décembre fête noël de l'ondine Genevoise salle communale 18h30-22h30 mme monique von Rohr / 022 320 05 07

Le 5 décembre spectacles Onésiens

TUnISIAno (rap, France) – ouverture : Aurélie'Gee (Genève) / effet13pecial (Bernex) / l'1krédul (onex)

salle communale 18h 022 879 59 99 / www.spectaclesonesiens.ch

Le 5 décembre fête Téléthon 2009 place du marché et COOp d'Onex

place du marché : 8h-12h – COOp : 8h-17h

Le 6 décembre fête Arbre de noël de Pro Ticino salle communale 9h-24h m. giuliano Castelli / Tél. 022 318 77 22

Le 8 décembre politique Conseil municipal salle du Conseil municipal

19h00 mme Jeannette sanchis / 022 879 59 59

Les 8 et 9 décembre

Animation Diffusion des matchs de Champions League

Café Communautaire


Le 10 décembre spectacles Onésiens TRIo MADeIRA & GABRIeLe MIRABASSI (Brésil et Italie)


Le 11 décembre fête Soirée l’escalade, ouverte à tous

Café Communautaire


Le 12 décembre fête Soirée Sabor Latino salle communale 20h-02h m. Carlos Cervantès / Tél. 022 733 83 63

Le 15 décembre Culture Ciné Kid : La Véritable histoire du Chat Botté

Collège de saussure 16h45 Collège de saussure / Tél. 022 388 43 66

Le 19 décembre fête noël des Aînés salle communale 12h-17h mme evelyne grillet / Tél. 022 879 89 24

Le 21 décembre fête noël des Cuisines scolaires salle communale 11h30-13h30 mme gabrielle Keller / Tél. 022 792 00 36

Le 22 décembre fête noël de la crèche du Foyer Arabelle

salle communale Journée mme sylviane beaud / Tél. 022 792 70 84

Documents

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