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Par Richard Beaudet Éthologue Centre vétérinaire DMV 28-29 janvier 2014

Par Richard Beaudet Éthologue Centre vétérinaire …©tats... · Difficulté à gérer les stimuli du milieu (autos, bruits, foule, enfants, personnes) Tendance à fuir, se cacher

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Par Richard Beaudet Éthologue

Centre vétérinaire DMV

28-29 janvier 2014

Le comportement est l’ensemble de l’activité externe des individus

Début d’une séquence

Fin d’une séquence

1. Que fait le sujet avant?

2. Quel déclencheur? 3. Plusieurs unités d’action

4. Fin d’une séquence

Non-obtention de la récompense

Anticipation de la punition

Situation de conflit

Incertitude de la nouveauté

ANXIÉTÉ DYSFONCTIONNELLE

Activité de substitution

Agression

Inhibition ou immobilisation

Fuite ou évitement

Normal

Causes stade 1, 2 et 3: La génétique; la gestation; le sevrage; l’imprégnation; milieu et la dysfonction. Difficulté à gérer les stimuli du milieu (autos, bruits, foule,

enfants, personnes) Tendance à fuir, se cacher et agresser par peur Souvent associée à l’agression par irritation

(frustration, peur et douleur) Développe un hyper-attachement à son milieu Recherche le contact physique Emprunte l’identité des êtres d’attachement Beaucoup de réactions de peur Une hypersensibilité (bruit, odeur, visuel, toucher) Plusieurs signes d’exploration expectative

Plusieurs signes d’inhibition ou de substitution Comportement d’exploration sont déficitaires Les prises de nourriture sont courtes, rapides et diurnes Possibilité d’observer certaines stéréotypies Développe un hyper-attachement Emprunte l’identité des êtres d’attachement Hypersensibilité (bruit, odeur, visuel, toucher) Début de léchage – extension comportement néonatale Mâchonnement et ingestion possible (le pica) Retards de la première période de réceptivité Plusieurs signes d’exploration expectative et de retrait L’élimination s’effectue à des endroits sécuritaires Début d’énurésie Début de phobie complexe et de peur excessive

Observation d’un état dépressif dès l’adoption. Disparition du comportement exploratoire et jeux Souvent couché sans sommeil profond Prise de nourriture est nocturne Avortement de tout contact social Il a peur dans son milieu malgré son hyper-attachement L’élimination est mal contrôlée et s’effectue à des endroits de

quelques mètres Présence de phobie complexe et de peur excessive Difficulté d’observer un sommeil paradoxal et profond Absence d’une hypersensibilité ou intermittente de léchage Contact physique engendre une panique ou convulsion

Trois différences avec un PS3: Ne démontre pas un trouble de sommeil Aucun signe d’attachement Aucun lien avec ses congénères Similaire aux PS sauf absence d’un hyper-attachement Incapacité d’interagir dans son milieu (un chien sage) Balancement stéréotypie Aucune période ludique Se déplace peu et lentement (le chien marche fléchi) Toujours fléchi et poids répartis sur 4 pattes Aucune expression émotive Présence de phobie complexe et de peur excessive Mange peu et durant la nuit Absence totale de conduite sexuel

L’anxiété est une inquiétude ou une peur diffuse qui n’a souvent pas de cible en particulier. Il y a une

distorsion de la perception d’une stimulation.

C’est une peur disproportionnée qui survient sans raison apparente et qui n’a pas de sens pour

l’animal.

Généralement stable dans le temps Signes cliniques évoluent de l’anxiété intermittente en une anxiété

permanente (environ 5%) Plusieurs variantes de vocalisation, destruction et miction. Deux de ses signes pour cette anxiété. À une seule personne (attachement) Cherche à dormir avec la personne d’attachement. Recherche le contact physique et visuel avec l’être d’attachement. Si le chien est hyper vigilant et son exploration est intense Si le chien est anticipe, motricité intense et explorer son milieu.

Les manifestations sont la malpropreté (56 %), la destruction (80 %) la

vocalisation (90 %), l’anxiété paroxystique (la salivation, la diarrhée et le vomissement) et même l’agressivité

Activités autour des personnes d’attachement. Recherche systématiquement du contact physique. Cherche à dormir avec des personnes. Recherche le contact physique et visuel avec tous les êtres

d’attachement. Le propriétaire doit être présent pendant les repas sinon le

chien ne mange pas. Tous les rituels de départ sont présents tels que

gémissement. Des réveils brutaux avec ou sans énurésie . Il peut avoir présence de destruction aléatoire et non tous

les jours.

Il y a des destructions dispersées. Notons une élimination induite par la peur. Quelques signes d’anxiété paroxystique tels que plaintes et

salivation. Apparition récente de léchage. Présence d’agressivité induite par la peur. Nous pourrions aussi observer de l’hypersensibilité. Comportement de déplacement: bâillement hors contexte. Le chien peut mordre dans l’eau (possible) Des périodes d’exploration aiguë

Inhibition d’exploration partielle. Des activités de substitution. Nous constaterons une dépression. Se ronge parfois ou souvent les ongles. Tourne sur lui-même ou autour d’un meuble, avec ou sans

capture de la queue, plus de 15 minutes par jour. Tendance à l’obésité, car il a tendance à être boulimique. Le chien boit sans arrêt. Vocalisation – surtout le gémissement. Un hyper sensible. L’absence ludique ou d’attachement .

Elle se perçoit lorsque l’animal change de groupe ou de

milieu. Changement de propriétaire et le chien n’obtient pas les

mêmes réponses. Agressivité induite par la peur ou de l’agressivité par

irritation (frustration-douleur). Des comportements de stéréotypies (tournis). Présence de dermatites de léchage. Mictions émotives OU le chien émet des signaux

ambivalents.

Si cette forme d’anxiété n’est pas traitée, elle peut évoluer en

une dépression. En premier, il y a des destructions de mobilier et de l’auto. Il y a aussi présence de mutilation. Le comportement social est totalement inhibé. Peur de nouveaux objets dans son milieu. Ingestion la nuit principalement. Tendance à l’agressivité si confronter aux maîtres.

MENACE

AUCUNE MENACE

ACTION DIRECTE MORSURE

ÉVALUATION SECONDAIRE

AUCUNE ÉVALUATION

ÉVALUATION PRIMAIRE

ANXIÉTÉ MDA offensif

MDP distanciation

PEUR MDP défensif

MDA dépressif

COMPORTEMENT DÉFENSIF - MDP

IGNORE LE STIMULUS

COMPORTEMENT D’APAISEMENT

SÉCURITÉ CONTRÔLE

ATTACHEMENT ÉVALUATION SECONDAIRE

Similaire à la crainte. Thérapie par le jeu. Thérapie cognitive.

Thérapie désensibilisation.

Bénéfique à 85 % 15 % seront résistant et généralisation pour

développement de phobie complexe.

Plusieurs signes de panique.

Impossibilité ou difficulté d’interagir socialement. Souvent agressif.

À ne pas confondre avec dépression.

Thérapie pharmacologique. La gestion de l’espace.

Comportementale (Assis et Relaxation).

La peur est observée suite à l’empêchement des réactions comportementales adaptées tandis que la

crainte présentera une réaction organique. Le chien ne saura plus comment réagir à une situation

de stress. Les états de préparation permettent une association

immédiate à une seule stimulation. Cette impuissance apprise développe une passivité

excessive. Le chien apprend à être impuissant

Nous pouvons identifier plusieurs niveaux de gestion de l’espace, desquels nous tirons une classification.

Nous considérons qu’il existe des espaces primaires qui sont chargés d’une signification émotive.

Personnelle Sociale Critique Territoriale Zone de fuite Zone d’aventure Les espaces secondaires couvrent des surfaces beaucoup

plus grandes, mais n’ont plus de signification émotive .

Humeur Émotions

Cognitions Perceptions Animal

Propriétaire

SÉQUENCE COMPORTEMENTALE

Contexte Déclencheurs

Conséquences

Thérapie cognitive (5)

Psychotrope (2)

Thérapie de l’environnement (4)

Désensibilisation; immersion et contre-

conditionnement émotif (3)

Interventions Mécaniques

(1)

Thérapie cognitive (5) et/ou systémique (6)

Renforcement positif; punition; extinction

contre-conditionnement opérant (3)

SYSTÉMIQUE cette thérapie humaniste permet de travailler au niveau des systèmes par exemple, le système familial. On peut alors impliquer l’animal ou l’exclure.

MÉDICALE Stérilisation ; intervention chirurgicale; et autres.

PHARMACOLOGIQUE Médication ou molécules utilisées pour agir sur les cellules.

COMPORTEMENTALE Désensibilisation ;approximation successive; contre-conditionnement; extinction.

COGNITIVE Il s’agit de donner la possibilité à l’animal de choisir entre deux actions et tenter de favoriser l’action désirée.

PAR LE JEU on peut utiliser le jeu afin d’établir la position du meneur, pour contrôler les comportements ludiques excessifs. On peut aussi utiliser le jeu comme recours de structure.

1. Muselière 2. Laisse 3. Chaine 4. Collier 5. Clôture 6. Cage

Augmente l’adaptabilité avec les maitres

Outils suggérés pour obtenir un résultat favorable

pour le client et son chien.

La consultation d'un vétérinaire comportementaliste est une obligation. Il faut éviter l'automédication.

Une fois le médicament et l’ajustement du dosage

choisis.

Alprazolam ANXIÉTÉ Amitryptiline GÉNÉRAL Carbamazépine AGRESSIVITÉ OFFENSIVE Clomipramine ANXIÉTÉ Fluoxétine PRIVATION Fluvoxamine AGRESSIVITÉ ou SÉLÉGILINE Propranolol PEUR Sertraline ANXIÉTÉ Buspirone ANXIÉTÉ Imipramine MICTION et DÉFÉCATION Dap ANXIÉTÉ Zylkène ANXIÉTÉ Anxiétane ANXIÉTÉ et PEUR Bio Calme PEUR et ANXIÉTÉ Bracelet à ultrasons PEUR et ANXIÉTÉ

1. Séquence comportementale 2. Renforcement positif 3. Punition (interactif; distance; interactif) 4. Extinction 5. Désensibilisation 6. Contre conditionnement opérant et émotif 7. Façonnement 8. Immersion 9. Disruption

Autour des REPAS Principe Utilisation des périodes de repas pour établir un endroit éloigné, mais qui

assiste à distance. Il n’est pas en isolement. Distance requise de 8 à 10 pieds idéalement. Créer la situation en famille puis avec des visiteurs Utiliser un tapis ou un coussin comme repère visuel Stratégie ou suggestion Pas de restant de table Si le chien bouge en direction, le propriétaire doit le reconduire à sa place avec

neutralité et passivité Une fois assises et le chien bouge en direction toutes les personnes autour de la

table reconduisent le chien à sa place Faire participer tous les membres de la famille

Autour des ESPACES Principe Attendre que le chien comprenne l’exercice autour des repas Établir deux endroits par niveaux Laisser une petite cordelette de 6 pieds environ si nécessaire Éliminer les endroits susceptibles à des agressions ou aboiements comme la

porte-fenêtre; palier d’escalier; fenêtres; porte d’entrée; etc. Stratégie Toujours le surveiller au début de cette structure Si le chien sort de lui-même de cet endroit, le propriétaire doit le reconduire avec

neutralité et passivité Débuter lentement puis généraliser à d’autres endroits comme le chalet ou chez

des amis

La perception du meneur Principe Tous les chiens peuvent monter sur le divan ou le lit des propriétaires Le chien doit toujours attendre la consigne pour monter et une autre consigne

pour descendre Le chien ne doit pas monter et descendre à sa guise Laisser une petite cordelette de 6 pieds environ si nécessaire Stratégie Toujours le surveiller au début de cet exercice de structure Si le chien monte, le propriétaire doit le descendre avec neutralité et passivité Si le chien descend, le propriétaire doit le chercher avec neutralité et passivité

pour le remettre à l’endroit.

Cette méthode consiste à permettre au chien d’intégrer des informations sans agir directement sur ses comportements.

Par imitation et affirmation du maitre.

La régression sociale dirigée est un exemple.

Cette conception du chien familier qui fait partie de la famille. Un psychologue systémicien ne va pas s’intéresser à un seul

individu dans la famille, mais plutôt à un individu DANS la famille.

Un ensemble d’éléments en interaction, ce qui veut dire, tout ce qui touche l’élément a une influence sur le système.

Comme une famille est envisageable comme étant un système, et comme la quasi-totalité des propriétaires de chiens dit que le chien fait partie de la famille.

Le dressage n’est pas inutile et même indispensable. Lorsqu’un chien crée un dysfonctionnement du système, ce

n’est pas l’action sur le chien, mais pour tous les gens afin de rétablir le bon fonctionnement du système.

D’abord, il est important de souligner qu’il est excessivement rare d’observer la manifestation d’un seul type d’agressivité (défensives et offensives)

En effet, le chien ou le chat manifeste généralement une combinaison de plusieurs types d’agressivité.

Les menaces et les attaques peuvent être dirigées vers un individu d’une autre espèce lorsque celui-ci est perçu comme un intrus ou une source de danger.

Comme nous devons manipuler les animaux familiers pour en faire ce que nous souhaitons, un problème d’agressivité dirigée vers un humain se pose parfois.

Cette agressivité peut avoir diverses origines, c’est-à-dire plusieurs causes ou circonstances.

APPRISE Diverses personnes

Relativement permanente Absence d’intimidation

18 mois environ 97 % à 98 %

INNÉ Gens familière

Séquence est respectée Traitement efficace

6 mois environ 2 % à 3 %

SIGNES CLINIQUES Résistance aux manipulations des propriétaires Résistance à des soins d’hygiène ou vétérinaire

Saute sur les personnes avec joie ou sans Vole de nourriture Fixation prolongée

N’aime pas se coucher ou de se soumettre Irritation rapide

Protection Aboiements excessifs

Les influences (selon la littérature)

L’hérédité Les hormones La dysfonction de la communication L’anxiété ou les irritations L’éducation par les maîtres La carence en bas âge

Les suggestions (selon la littérature)

Le détachement social L’exercice de l’orientation des comportements (sans morsures) L’insertion hiérarchique (À ta place) et meneur Le licou; la cage; d’être plus physique

Plusieurs femelles deviennent agressives après la mise bas. Ce type d’agressivité est relié à l’instinct de protection et de

conservation accentué durant cette période et est relié à l’instinct de protection.

Ne pas déranger la femelle au cours de cette période. S'il faut vendre les chiots, il est recommandé d'isoler la

femelle.

TECHNIQUE D’IMMERSION PASSIVE TECHNIQUE DÉSENSIBILISATION

OU ATTENDRE

C’est une situation d’agression lorsque le sujet est coincé dans un endroit restreint et qu’il ne peut s’en échapper.

Par exemple, tenu en laisse, toilette, coin de cour, sous le divan.

Elle se produit autant chez le mâle que chez la femelle. Elle est généralement liée à un manque de socialisation ou à

un manque de stimulation pendant une période critique de son développement.

Langage corporel observé : grognement, aboiement, brève morsure, oreilles portées basses, position accroupie, queue portée basse, nez plissé et exposition des dents.

TRAITEMENT DE L’ANXIÉTÉ SI NÉCESSAIRE UTILISATION D’UN LICOU

ÉVITER LES STRESS INUTILE GESTE D’APAISEMENT

EXERCICE DE RELAXATION STRUCTURE DE L’ENVIRONNEMENT

STRUCTURE DU MILIEU EXERCICE DE RELAXATION OU T-TOUCH

MODIFICATION DE LA DIÈTE

C’est une situation qui apparaît lorsque le chien a mal

physiquement (par exemple : présence de dysplasie, présence de mites) ou lorsqu’il a été maltraité et mal manipulé.

Dans bien des circonstances, l’analyse comportementale et

l’examen physique rendront bien évident ce type d’agressivité. On la rencontre souvent chez les vieux chiens. C’est une morsure brève suivie d’une fuite vers le lieu où le

chien se retire en cas de conflit (sous le lit). La fuite est souvent accompagnée de grondements.

MINIMISER LES CONTRAINTES

UTILISATION D’UN LICOU TECHNIQUE DE DÉSENSIBILISATION

TECHNIQUE D’APPROXIMATION THÉRAPIE PHARMACOLOGIQUE

VOIR PROTOCOLE DE LA PEUR

Certaines races sont plus territoriales que d’autres et certains individus sont plus territoriaux que d’autres.

Nous pouvons observer un espace social et une zone personnelle. De plus, nous devons aussi tenir compte d’une distance critique qui

se situe entre la distance d’évitement (ou de fuite) et la distance personnelle.

Face à un étranger qui veut s’aventurer en deçà de cette distance critique, il y a des risques d’agression.

Généralement, elle est liée à l’infraction par un individu dans un territoire ou à proximité de son propriétaire.

Ce type d’agressivité est défensif . Le chien protégera ses biens ou les biens de ses propriétaires

comme la maison, l’auto, chalet, bateau, etc. Par contre, il n’y a jamais de manifestations agressives hors de son

territoire.

ÉVITER LES BARRIÈRES CONTRÔLE DE MICTION

STRUCTURE LE L’ENVIRONNEMENT COMMANDEMENTS À DISTANCE

UTILISATION D’UN LICOU INTERROMPRE LA SÉQUENCE

ÉTABLIR UN GESTE D’APAISEMENT EXERCICE DE RELAXATION

Ce type d’agressivité est défensif. Le chien cherche à protéger un humain ou un animal. Il ne

protège pas nécessairement tous les humains ou les animaux de la même manière.

Un signe clinique ou anthropomorphique souvent décrit par les propriétaires est la jalousie.

Le chien cherchera souvent à s’interposer entre les individus. À ne pas confondre avec un chien qui veut inviter ses maîtres

au jeu lorsqu’ils sont ensemble. Autrement dit, le chien protège un membre de la famille

contrairement à ce qui est observé lorsqu’il s’agit d’agressivité territoriale.

Le membre familial privilégié est protégé des autres stimulations.

VOIR AGRESSIVITÉ TERRITORIALE OU

VOIR AGRESSIVITÉ INDUITE PAR LA PEUR

STRUCTURE DE L’ENVIRONNEMENT

STRUCTURE DU MILIEU GESTES D’APAISEMENT

LA RELAXATION TECHNIQUE DE DÉSENSIBILISATION DE L’ESPACE

Le chien changera ses comportements pendant les périodes de jeu avec ses maîtres ou avec un autre chien.

Ce type d’agressivité est généralement offensif. La séquence comportementale comprend souvent

l’émission d’aboiements, de grondements et il y a même présence de happements au cours de l’activité ludique.

Les invitations au jeu sont normales puis se transforment graduellement en menaces pendant l’activité.

D’ailleurs, les vocalisations comme le jappement (aboiement aigu) se transforment en aboiements de menace.

ARRÊT DE PÉRIODE DE JEUX

EXERCICE DE PRENDRE ET DE DONNER EXERCICE D’APAISEMENT ASSIS

EXERCICE DE RELAXATION EXERCICE DE PUSH-UP

EXERCICE D’ORIENTATION PUNITION INTERACTIVE ET À DISTANCE

DÉTACHEMENT SOCIAL

Les tendances sociales ou pour se reproduire. Perçu à partir d’environ 18 mois. La compétition débute par un regard fixe, contact

physique, sexuel et le contrôle d’accès aux autres chiens.

Contrôle les accès de la nourriture, lit, porte et contact avec les maîtres.

Envers un animal castré, toiletter OU âgé.

OBÉISSANCE DE BASE

GESTE D’APAISEMENT ET RELAXATION STÉRILISATION ET LICOU

TRAITEMENT PHARMACOLOGIQUE CHOISIR LE CHIEN SI AGRESSIF À LA MAISON

TECHNIQUE DE LA ROUTINE JOYEUSE

Souvent, celle-ci est offensive (situation anxiogène). Elle s’observera pendant l’intervention du maître

dans une situation anxiogène. Par exemple : le chien aimerait courir après un écureuil, le maître empêche son chien en tirant sur la laisse, le chien peut très bien se retourner et le mordre.

Un autre exemple : deux chiens s’attaquent et le maître cherche à les séparer, il risquera de se faire mordre à son tour.

Il y a une multitude de situations similaires qui impliquent une tierce stimulation.

ÉVALUATION DU CONTEXTE PROTOCOLE DE L’AGRESSIVITÉ TERRITORIALE

PROTOCOLE DE L’AGRESSIVITÉ DE PROTECTION INTERROMPRE LA SÉQUENCE COMPORTEMENTALE

UTILISATION D’UN LICOU OBÉISSANCE SANS LA LAISSE

RAPPORT D’OBJET MASSAGE OU SESSION DE BROSSAGE

Il y a aussi présence d’irritation. Elle s’observe assez bien, car elle est en étroite relation avec

le bol de nourriture. Le chien démontre une intimidation structurée et à distance

(similaire à un comportement de distanciation) par des grondements lorsqu’il mange ou le chien se retournera brusquement et aboiera en direction de la stimulation.

Cette stratégie de distanciation peut se solder par un échec. S’il y a lieu, le chien se retournera pour mordre sans atteindre

son but puis retournera à son bol avec des grondements. Tout cela s’effectuera très rapidement. Lorsqu’il retourne à son bol, il ne mangera pas immédiatement

et continuera ses menaces : il doit s’assurer que la stimulation s’éloignera de lui.

LIÉE À L’AGRESSIVITÉ PAR IRRITATION (Douleur; peur; frustration)

STRUCTURE DE L’ENVIRONNEMENT GESTE D’APAISEMENT

OU DE RELAXATION NOURRIR À LA CUILLÈRE

EXERCICE DE PREND ET DONNE TECHNIQUE DE DÉSENSIBILISATION

Souvent, le chien vole des objets appartenant à son propriétaire.

Lorsque celui-ci cherche à lui enlever, le chien deviendra agressif. Initialement, c’est perçu comme un jeu par le chien.

Il utilisera ce comportement lorsque le maître ne lui donne pas d’attention ou lorsqu’il se prépare à partir.

Mais ce comportement évoluera, passant d’un jeu à des grondements de plus en plus importants.

Le chien pourra se réfugier sous un meuble, ce qui lui donnera un avantage sur son maître, ou encore, le chien ramènera l’objet au pied de son propriétaire, mais le reprendra dès que ce dernier cherchera à le récupérer.

ÉTABLIR LA RELATION

STRUCTURE DE L’ENVIRONNEMENT STRUCTURE DU MILIEU

EXPLICATION DE LA DYSFONCTION RÉCOMPENSE ALIMENTAIRE

EXERCICE DE PREND ET DONNE TECHNIQUE DE DÉSENSIBILISATION

C’est une altération du comportement naturel de prédation.

Ce type d’agressivité est stimulé par un autre animal agressif et/ou la présence du maître.

Lorsque le chien aboie, c’est de l’agression territoriale; s’il est silencieux et accroupi, c’est de l’agression prédatrice.

EXERCICE DE POURSUITE

SIMULATION DE L’EXPLORATION STRUCTURE DE L’ENVIRONNEMENT EXPLICATION DE LA DYSFONCTION TRAITEMENT PHARMACOLOGIQUE

GESTE D’APAISEMENT RELAXATION

TRAITEMENT PHARMACOLOGIQUE GESTE D’APAISEMENT

RELAXATION

VOIR AGRESSIVITÉ DE PROTECTION

VOIR TERRITORIALE VOIR LA DOMINANCE

C’est une modification de tous les autres types ou suite à un cours de dressage qui favorise une image mémorielle négative ou par l’utilisation de renforcements non intentionnels (exemple : c’est qui ça?).

Ou par son propre apprentissage en utilisant la peur (tendance à faire peur avant d’avoir peur) ou par sa grosseur (souvent les gens reculent si un gros chien aboie).

Il n’y a pas vraiment de contexte spécifique comme pour les autres types de manifestations agressives.

Cette catégorie est alors une catégorie à part. Elle ne sera pas associée à d’autres types

d’agressivité. Elle s’intensifiera lorsque mal diagnostiquée. Les circonstances et les contextes sont très variables

d’une fois à l’autre. Il est très difficile d’obtenir une corrélation. Cependant, l’intimidation et l’apaisement sont

absents de la séquence comportementale et la morsure est sévère, forte et spontanée.