PARADE DOSSIER PRESENTATIONlekcreations.fr/wp-content/uploads/2017/01/PARADE... · PARADE / Dossier de présentation décembre 2016 Création Sylvain Dubrunfaut et le K DESCRIPTION

PARADE / Dossier de présentation décembre 2016

Création Sylvain Dubrunfaut et le K

PARADE PROJET TRANSDISCIPLINAIRE PEINTURE, DESSIN, VIDEO ET SON

Projet soutenu par

PICTANOVO, la communauté de l’image des Hauts de France,

le Conseil Régional des Hauts de France,

La ville de Marly (Fr), Le Printemps culturel (Fr) et

La Maison de l’Art et de la Communication à Sallaumines (Fr)



PARADE PROJET TRANSDISCIPLINAIRE PEINTURE, DESSIN, VIDEO ET SON

Peintures et dessins de Sylvain Dubrunfaut

Installations vidéo de Marion Sarels et Stéphane Smogor

Image - Stéphane Smogor

Son - Marion Sarels

Lumière - Ophélie Vervacke et Jérémie Courmont

Travelling - Maxime Cazin

Assistant - Johan Albiero

Le projet Parade est produit par

Le K Créations - Images et Sons et Sylvain Dubrunfaut

et soutenu par

PICTANOVO, communauté de l'image en Hauts de France,

le Conseil Régional des Hauts de France,

la Ville de Marly,

le Printemps Culturel,

la Maison de l'Art et de la Communication de Sallaumines.

Extraits des films et de l'installation :

http://lekcreations.fr/video-parade.php

Visuels des peintures et dessins :

http://www.dubrunfaut.info/201602.php

http://www.dubrunfaut.info/201601.php



PRESENTATION

PARADE est le fruit d'une rencontre artistique et humaine entre une troupe de majorettes, l'artiste-peintre

Sylvain Dubrunfaut et les vidéastes du K Marion Sarels et Stéphane Smogor. L’exposition PARADE est une

œuvre composite se déclinant en peinture, en dessin, en vidéo et en son.

Vue de l’exposition PARADE (premier état), Marly, juin 2016

GENESE DU PROJET

A départ, il y a le souhait de la commune de Marly, près de Valenciennes (Fr), et de l’Association Le Printemps

Culturel, de s'associer à l'artiste plasticien Sylvain Dubrunfaut. Cette collaboration prend la forme d'une

résidence artistique en 2015 avec, pour finalité, une exposition restitution du travail de l'artiste.

A Marly, le regard de Sylvain Dubrunfaut se pose sur les Amaryllis, la troupe de jeunes majorettes. Elles sont

une quinzaine, entre 10 et 25 ans, "unies comme une famille", disent-elles. Chaque week-end, cette bande de

filles se glisse dans l'uniforme aux flammes vertes et noires, se coiffe et se maquille avec application et

présente sa parade chorégraphiée.

Dans une tentative de rendre compte de la beauté des gestes et des corps, l’artiste souhaite détacher le sujet

de la rue, des fêtes et carnavals, pour le transposer dans un espace-temps indéfini. La première intention est

d’éliminer les étiquettes et le folklore que l’on attache à la figure de la majorette. Reste le groupe, qui fait

corps et qui évolue en harmonie. Le groupe avec ses rites, ses valeurs, ses codes. Le groupe avec ses gestes, ses

motifs, ses couleurs. Comment alors valoriser et signifier en peinture les liens qui unissent les majorettes les

unes aux autres ? Et comment révéler la singularité de chacune d’elles et leur donner une existence propre

sans diminuer l’impact et la force du collectif ? Les relations qui lient ces filles sont à l'image des rapports de

groupes d'adolescents : complexes, entières, avec une part de mystère intriguant dans les émotions fugaces,

les rires soudains.



DESCRIPTION DU PROJET DANS SA GLOBALITE

Pour le projet Parade, Sylvain Dubrunfaut a exploré de nouvelles voies dans sa peinture, en se confrontant

notamment à de très grands formats. La dimension narrative, qui prenait jusqu’alors en partie place dans la

présentation des oeuvres en série, est au coeur même des toiles de très grand format.

La résidence artistique de Marly s’est concrétisée par une première exposition de Parade (premier état) en juin

2016. Composée de peintures, dessins, vidéos et sons, l’exposition montre un regard pluriel et fragmenté

n’ayant pas pour objet de donner une vision holistique de la troupe des majorettes mais de souligner la

singularité des approches du peintre et des vidéastes, d’en affirmer la subjectivité.

L’espace d’exposition est sombre, comme une scène de théâtre sur laquelle évoluent les personnages colorés

que sont les majorettes. Le souhait de théâtralité répond à la volonté commune de créer un univers à part

entière, de rompre le lien avec le monde extérieur, de pénétrer l’espace d’une vision artistique.

Trois projections qui s’allument en alternance prennent place parmi les grandes peintures. Surprenant le

spectateur comme un acteur qui surgirait de nulle part, ces vidéos apparaissent et disparaissent de l’espace

scénographique, créant un appel vers la suite de l’exposition, esquissant un parcours de circulation possible.

Les images projetées se juxtaposent aux toiles pour créer un espace de représentation.

Une installation sonore faite de bruits de pas, de rythmes tapés, de gestes, de rires, de dialogues, de

chuchotements (...) parachève l’entrée dans le théâtre de la majorette. Ce lieu imaginaire détaché du folklore,

déjouant les idées préconçues, donnant à voir et entendre des personnages intemporels.

Parade 3 © Sylvain Dubrunfaut 2016, Acrylique sur toile, 300 x 190 cm



DESCRIPTION DU PROJET D'INSTALLATION VIDEO

Deux registres d’images ont été réalisés avec 2 finalités distinctes.

Dans un premier temps, il a été question de créer la matière visuelle à partir de laquelle Sylvain Dubrunfaut a

travaillé en peinture. Une création lumineuse particulière pensée, une mise en scène tendant plutôt à explorer

des scènes de groupe, même si le peintre a pu par la suite extraire des gros plans issus de ces images. Ces

rushes n’ont pas eu d’autre vocation que celle de servir de matière première à la peinture. Elles ne sont et ne

seront ni montées, ni exposées, mais transposées en peinture. Comme des photogrammes sur dimensionnés

d’un film qui n’existerait pas.

Le deuxième registre d’images est consacré à l’installation vidéo à part entière. L’exposition des tableaux

s’accompagne de trois projections vidéo indépendantes. Il s’agit de films montés, épousant les codes de la

peinture par la création lumière et le cadrage, dialoguant avec les toiles. Là où ces dernières se concentrent

sur les notions de parade, de groupe, de représentation, les vidéos, elles, se focalisent sur les gestes, les

regards, les temps suspendus, l’individu isolé. Les temps des deux médiums se font face, la peinture par la force

prégnante de l’instant et l’image animée par son pouvoir de concentration/dilatation du temps.

Vue de l’exposition PARADE, Marly, juin 2016

SUITES DU PROJET, PERSPECTIVES DE DIFFUSION

La résidence à Marly constitue un premier cadre de travail durant lequel le tournage du film a notamment eu

lieu. La restitution publique, sous la forme de l’exposition de Marly en juin 2016 a permis de réaliser un premier

test sur le dispositif scénographique envisagé. Il s’agit encore à ce stade d’une étape de création du projet

global, le travail pictural et la scénographie étant appelés à se poursuivre. L’exposition se veut ainsi amenée à

voyager et à grandir, inscrivant le projet dans le temps.

Sylvain Dubrunfaut souhaite enrichir la série de peintures de nouvelles productions s’étalant à priori sur deux

ans de travail.

Une dernière installation vidéo est en cours de création : lieu de rencontre entre la peinture et la vidéo, des

images en mouvement viennent bousculer la toile pour proposer un avant et un après du moment figé par le

peintre, surimpression fugace et fulgurante de la toile par la projection vidéo. L'instant prégnant de la peinture

se prolonge alors dans le temps et par le mouvement.



Captations vidéo de PARADE, par Stéphane Smogor et Marion Sarels - le K



NOTE D’INTENTION DES REALISATEURS

Notre travail antérieur avec Sylvain Dubrunfaut nous a poussé vers de nouvelles approches filmiques. Au

service d’une production picturale, les images tournées pour donner matière au peintre ont rapidement trouvé

leur place au sein de ses expositions : à l’origine d’un travail artistique, elle se sont aussi révélées comme

contrepoint sensible à la fixité, à la plénitude et à l’apesanteur des peintures en vis-à-vis. Le mouvement

filmique permettait d’appuyer la force de concentration des images peintes tout en dévoilant tantôt les

coulisses, tantôt les rapports humains en jeu.

Avec ce nouveau projet, notre collaboration avec Sylvain Dubrunfaut prend un nouvel élan. Nous dialoguons

avec le peintre et ses outils pour chercher à produire des images vidéo qui ne sont plus les miroirs des tableaux

mais leurs pendants, leurs corrélats ayant leurs propres caractéristiques. Là où la peinture, le regard du peintre

et la lumière modèlent la forme et le sujet observé, la vidéo interfère, dialogue et se confronte avec ses

propres codes. La scénographie est réfléchie pour oublier qui de la peinture ou de la vidéo nourrit l’autre.

Notre ambition de vidéastes est de créer des tableaux mobiles, mouvants, faisant référence à la peinture mais

s’en affranchissant par le mouvement, la durée, le montage.

Le mot tableau est en effet moteur. En peinture, il est fixe et nourri de couches superposées, il est un cadre

et un moment. Le film travaillé ici ne nie pas ces attributs mais ouvre sur un autre sens, plus ancré dans

l’histoire de l’image animée et du théâtre : le tableau comme scène et comme partie élémentaire d’une

narration. Il y a bien des couches superposées dans ces fragments de réel, dans ces empreintes de vie

transfigurées en film : à la base, de jeunes femmes unies dans une pratique, en arrière-plan un espace où elles

se rencontrent, par dessus du maquillage et de la lumière, entre nous un écran. Pour cadre, les limites de cet

écran.

Comme un rebondissement sur un autre mot, le cadre renvoie à la rigueur d’une pratique réglée, codée, et

pourtant modernisée. Le cadre est aussi celui que nous nous imposons : garder une distance de regard,

respecter la ligne verticale des filles en filmant longitudinalement, ne prendre que le mouvement pour

expression, le décortiquer pour révéler l’essence d’un geste, l’origine d'un stress, la force de complicité qui

unit, la comparaison à l’autre.

Nous souhaitons dans ce projet affirmer et assumer son aspect expérimental : pour nous avant tout, dans

l’exercice de l’installation vidéo déjà approchée par le passé mais jamais sous cette forme, mais encore pour ce

qu’il révèle de surprise quant à la relation qu’il prendra avec le spectateur. Bien que les objectifs soient clairs et

annoncés, c’est lors des différentes étapes de la construction du projet que des choix nouveaux émergent et

révèlent des inconnus. Nous accompagnons ce projet avec un maximum de possibles, tant au tournage, au

montage ou durant la construction de l’exposition.

Notre but est de permettre au spectateur d’entrer en relation avec les objets visuels qui lui sont présentés et

c’est dans un espace théâtral qu’il pénètre. Cela constitue notre feuille de route. Nous voulons que l’image

vidéo soit surprenante et prenante, qu’elle prenne à parti et qu’elle attire l’oeil sur les faces cachées des

peintures. Le travail avec les sujets filmés est en perpétuelle construction en fonction des rythmes observés,

des postures, du travail de la lumière. Nous y explorons complicité, exhibition, précision de geste et regards

porteurs d’émotion, signes de personnalités. Le temps du filmage est temps de construction. Sur un réel nous

portons un regard de scénariste, de créateur de fiction à l’épreuve de notre relation aux jeunes femmes

filmées.

Marion Sarels et Stéphane Smogor



NOTE D’INTENTION DE SYLVAIN DUBRUNFAUT SUR LA NECESSITE DU TRAVAIL DE L’IMAGE DANS LE PROJET

Penser le travail de l’image dans mon projet artistique, au sens large, est une étape évidente car je me nourris

d’images filmées depuis le début de ma collaboration avec les vidéastes Marion Sarels et Stéphane Smogor.

Avec eux, j’ai commencé à prendre part à l’étape même de la création de ces images. Réflexion sur la lumière,

particulière selon chaque projet et de plus en plus affirmée dans une dimension d’artificialité, mise en scène

des personnages, choix des lieux de tournage... Il est question pour moi de chercher à modeler le réel selon

l’image mentale que je me fais du sujet.

Dans le cadre de ce projet, j’ai souhaité ouvrir largement ma palette de couleurs et intensifier la lumière

colorée dans une atmosphère presque électrique. Il y a l’idée de créer une saturation visuelle, de m’échapper

de la réalité pour laisser toute la place à la peinture. Le travail des couleurs aux correspondances de tonalités

improbables et les jeux de lumière colorée constituent le lieu principal de mes recherches picturales récentes.

La gymnaste issue de la série Sweet Generation 3 Dolan incarne cette nouvelle orientation. J’ai confié aux

vidéastes le soin de m’accompagner dans la recherche de lumière que j’ai ensuite transposé en couleurs dans

mes tableaux.

Concrètement, une fois les images tournées, je visionne l’ensemble des rushes, à la recherche d’un geste,

d’une lumière, d’une expression. Une fois l’instant saisi, j’exporte l’image figée, que je recadre ou pas, avant de

la transfigurer en peinture sur des toiles de dimensions variables. Le temps du visionnage est l’occasion de

laisser survenir de nouvelles intentions picturales, rendues possibles par l’imprévisibilité du tournage. Dans le

mot imprévu, j’entends ce que je ne peux pas voir avant, l’invisible dans le réel. Il faut le filtre de la caméra, le

hors-temps du montage pour que se révèle à moi ce que je n’ai pas pu voir au moment du tournage, ce qui m’a

échappé. C’est notamment l’intérêt de travailler sur la base de vidéo plutôt que de photo.

Au delà de l’étape première de captation vidéo comme matériau de base à mon travail plastique, la

production d’images permet d’apporter un hors-champs à mes toiles lors des expositions. Dans le cas de ce

projet précis, la création vidéo ne sera pas un appui pour mes peintures, une simple illustration ou making-off

de mon travail révélant les coulisses de la création, mais ce sera l’occasion de faire l’expérience de mon univers

plastique en mouvement, de travailler la relation images peintes/images animées, de questionner le réel à

travers mon regard d’artiste.

Les dialogues entre film et peinture, déjà présents depuis plusieurs années dans mon travail, sont une

continuité de ma recherche artistique. Ils incarnent également mon souhait de proposer un travail plastique

aux matières visuelles multiples, comme autant de possibilités de représentations d’une culture populaire

régionale.

Sylvain Dubrunfaut



Peintures extraites de la série PARADE 2016, Sylvain Dubrunfaut

1 2

3 4 1 Océane 2016, acrylique sur toile, 30 x 20 cm 2 Sarah 2016, acrylique sur toile, 30 x 20 cm

3 Sarah 2016, acrylique sur toile, 30 x 20 cm 4 Sarah 2016, acrylique sur toile, 30 x 20 cm



MOYENS TECHNIQUES

INSTALLATIONS VIDEO :

3 fichiers vidéo HD - 11'35 / 05'34 / 05'34 (en boucle)

3 vidéo projecteurs HD - 3000 Lumens et lecteurs multimédia

3 écrans de rétro projection autoportants - 110 x 190cm (surélévation de 40cm) - cadre bois noir - toile

plastique

SONORISATION :

Bande son indépendante - Fichier numérique - 5'21 (en boucle)

PEINTURES et DESSINS :

4 grands formats - Acrylique sur toile - 300 x 190cm

7 petits formats - Acrylique sur toile - 30 x 20cm

20 dessins - Acrylique et crayon de couleur sur papier, 39 x 29 cm



PRESENTATION DES ACTEURS DU PROJET

Sylvain DUBRUNFAUT

DEMARCHE ARTISTIQUE

En 1997, j’initie ma pratique de peintre pour rendre compte de scènes de vie personnelles. Marqué alors par des

expériences de vie communautaire au sein de mouvements de jeunes, la peinture est une façon pour moi de recréer

le lien qui m’unit à mes sujets. La captation de l’image d’autrui est liée au plaisir d’offrir à l’autre son image.

Connaître l’autre, pénétrer en lui par l’intérieur du visage pour mieux le comprendre. Chaque toile retrouve le

privilège de l’instantané photographique qui est de saisir l’expression d’un moment unique, en somme un arrêt sur

une seconde de vie. Ma recherche plastique tournée radicalement vers la figure humaine est née de ces expériences

croisées.

J’ai longtemps travaillé à partir de photos personnelles, avant d’exploiter progressivement des images véhiculées par

le net. Je sélectionne des photos d’individus d’origines diverses issus de flux d’images anonymes. Je les traduis dans

ce cadre plus lent et figé qu’est celui de la peinture. Habité ou attiré par certains modèles, le besoin de ne pas les

lâcher, de les cerner plus précisément me pousse à les travailler individuellement en les isolant à l’huile sur des bois

de petits formats ou à la gouache sur papier. Les personnages sont extraits de leurs environnements et de leurs

repères puis placés dans un espace pictural plus neutre, énigmatique.

Ces dernières années je me suis consacré à la représentation d’adolescents. Dans des séries où ils entrent en

relation, j’ai tenté de percer progressivement l’identité de ces êtres en devenir, pas encore eux-mêmes, en train de

faire leurs expériences qui laisseront leurs traces, leurs rides sur leurs visages encore lisses. Visage ou corps travaillé

hors contexte, sans aucun décor sécurisant, créant une inquiétude, un étrange malaise qui nous ramène à cet âge

trouble et fragile de la vie. Je me suis emparé de ces figures d’adolescents pour avancer, dans un espace absent ou

indéfinissable, une nouvelle lecture de leurs présences et de leurs apparences.

L’intime est la dynamique fondamentale de ma démarche. Le spectateur le perçoit, le ressent même parfois avec

inconfort, dans les visages notamment qui suggèrent une vie intérieure. Au fil des peintures, je construis un univers

de souvenirs, de possibles projections. Entre les multiples apparences de mes modèles dans lesquelles il est question

du genre masculin-féminin, d’identité, de beauté juvénile, de devenir, l’intime est ce qui relie toutes mes figures aux

regards qui s’y portent.



Sylvain DUBRUNFAUT

Né à Lille le 19 septembre 1979

Vit et travaille à RONCHIIN (Fr)

2010 SELECTION NORD ARTISTES, Fonds documentaire du Nord Pas de Calais

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Depuis 2009 Assistant d’enseignement artistique, Ecole municipale d’art d’Armentières

Depuis 2009 Plasticien intervenant, Académie Internationale d’été de Wallonie, Libramont (Be)

Depuis 2010 Initiateur et coordinateur du projet MAISONS FOLLES, Parcours d’art contemporain (Ronchin)

EXPOSITIONS PERSONNELLES 2016 PARADE Collège Paul Langevin, Marly (Fr)

2015 SWEET GENERATION 2 SALLAUMINES Centre Arc en Ciel, Liévin (Fr)

2014 SWEET GENERATION DOLAN Librairie Autour des Mots, Nuit des Arts, Roubaix (Fr)

2014 SWEET GENERATION 2 SALLAUMINES Ecole d’Arts Plastiques, Denain (Fr)

2014 SWEET GENERATION Maison de l’Art et de la Communication, Sallaumines (Fr)

2013 DECOUVRIR / ONTDEKKEN Musée des jeux traditionnels, Loon-Plage (Fr), Commissariat Espace 36, Saint Omer

2012 ADOS 3 Théâtre du Grand Bleu, Lille, correspondance avec le spectacle RISK de la compagnie Interlude T/O

2012 ADOS 2 Ecole Nationale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, Roubaix (Fr)

2011 ADOS Drawing Box, Tournai (Be)

2010 EST-CE QUE TU TE RAPPELLES ? Espace 36, Association d’art contemporain, Saint Omer (Fr)

2009 ELISE, PAULINE, HIPPOLITE... Block Knott Gallery, Bruxelles (Be)

2008 PORTRAITS DE FAMILLE Galerie Lasecu, Lille (Fr)

EXPOSITIONS COLLECTIVES 2014 LES PIEDS DANS LE FLAC 4 Dernières acquisitions du fonds d’art contemporain de la ville de Sallaumines, MAC Sallaumines

2014 EN REPONSE A LA GUERRE… Commissariat Freddy Pannecocke, Château d'Hardelot (62)

2014 MAISONS FOLLES Parcours d’art contemporain à travers des maisons particulières, Ronchin

2014 SALON DU DESSIN ET DU MULTIPLE Commissariat Organisme Onirique, Le Millénaire, La Madeleine

2012 MAISONS FOLLES Parcours d’art contemporain, Ronchin

2011 PORTRAITURE Vous êtes ici, Haubourdin


2010 RETROSPECTIVE + 10 Espace 36, Saint Omer


2009 BRUISSEMENT D’AVRIL Drawing Box, Tournai (Be)

2008 30 ANS DE L’ATELIER 2 Galerie Francine Masselis, Atelier 2, Villeneuve-d’Ascq

COLLECTIONS Conseil Général du Nord

Fonds d’art contemporain de la ville de Sallaumines

Lycée La Peupleraie, Sallaumines

Ecole Nationale de Protection Judiciaire de la Jeunesse, Roubaix

L’inventaire Artothèque Nord Pas de Calais

Artothèque de la galerie LASECU, Lille

RESIDENCES 2015 L’art dans les quartiers, Printemps Culturel et Ville de Marly (59)

2014 Maison de l’Art et de la Communication, Sallaumines (62)

2009 Habiter Espace 36, Association d'art contemporain, St Omer (62)



LE K * / PRESENTATION *Marion SARELS et Stéphane SMOGOR, vidéastes

Site : www.lekcreations.fr

Créée en 2011, l'association le K a pour objectif de promouvoir la création et la diffusion de documentaires

d’auteurs. Avec le désir de prendre part au rayonnement de la vie associative et culturelle régionale, Le K

propose également une pluralité d'interventions, toujours teintées d'une tonalité documentaire (création

documentaire, installation vidéo, réalisation de films de commande, animation d’ateliers vidéo, captations

artistiques...).

REALISATIONS (Sélection) >> www.vimeo.com/lekcreations

Dis-moi où sont les hommes (En cours de production)

L’histoire d’une famille silésienne dispersée entre l’Allemagne et la France au sortir de la 2nde Guerre Mondiale.

Projet documentaire soutenu par le CRRAV-Pictanovo.

Portrait d’artistes (2014)

Film documentaire autour des artistes des Maisons Folles 2014. Laissant s'ouvrir un pan de couleurs et de formes, le

film brouille les attentes du portrait et parsème gestes, paroles, mouvement et tracés.

Un mot pour soi (2015)

8 films courts pour parler de soi, de son rapport à la société, de son rapport au travail, de ses activités

quotidiennes. Les usagers des centres sociaux de Roubaix, Hem et Wattrelos se tirent le portrait.

Société de rue, chronique d’un accompagnement (2013)

Commande de la Coordination Mobile d'Accueil et d'Orientation pour expliquer, exposer, exprimer la réalité des

métiers du Samu Social et du 115 de Lille.



Stéphane SMOGOR

Né à Roubaix le 26 janvier 1980

Vit et travaille à Lille (Fr)

Formation universitaire

2010 : Master Professionnel Diffusion des Arts et des Savoirs par l’Image (Université Lyon 2)

2009 : Master Recherche Esthétique du cinéma (Université Lille 3)

2004 : DEUG Médiation Culturelle et Communication (Université Lille 3)

Création audiovisuelle

Depuis 2009 : documentariste et vidéaste indépendant

Réalisation documentaire de création

Dis-moi où sont les hommes (2017) : co-réalisation d’un moyen-métrage documentaire (en cours de montage,

projet soutenu par Pictanovo)

Savoir faire - Faire savoir (2010) : réalisation d’un court métrage documentaire pour la chaîne Cap Canal (Lyon)

Réalisation de vidéos de commande pour divers clients institutionnels et associatifs

Compagnie du Tire-Laine (2014) : réalisation d’un teaser

Société de rue, chronique d’un accompagnement (2012) : co-réalisation d’un film sur le SAMU Social de Lille

Fivestival (2009-2012): Captations vidéos de concert et art de rue

Réalisation d’installations vidéo

Portrait d’artistes (2014) : installation vidéo présentant le portrait d’artistes exposant au Maisons Folles 2014

Sweet Generation (2013) : Installation vidéo pour l’exposition Sweet Generation de Sylvain Dubrunfaut à la

MAC de Sallaumines

Exposés (2012) : réalisation de portraits vidéo exposés lors des Maisons Folles 2012

Animation d’ateliers de création documentaire

Cultivons nos différences (2014) : réalisation d’un clip vidéo pour le SIRA

Un mot pour soi (2014) : atelier vidéo en partenariat avec l’Action Insertion et Culture et le Centre Social

Moulin Potennerie de Roubaix

Comme une idée du temps (2013) : atelier vidéo en partenariat avec le centre social de la Maison du Grand Cerf

de Ronchin

Derrière le souvenir (2013) : atelier vidéo en partenariat avec le Lycée du Nordoover de Grande-Synthe

Activités réalisées dans le cadre de l’Association Le K

>> www.lekcreations.fr

Assistanat (réalisation - production audiovisuelle)

2007 - 2011 : Assistant réalisateur

Version française de Maya Da-Rin (2011 - Production Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains)

Augusta Amiel Lapieski de Franck Renaud (2011 - Production Les Anthropofilms)

L’objet précieux de Floriane Charles (2007 - Production Lumières du Nord)

2010 : Assistant de production (stage - Productions Chromatiques, Lyon)

Enseignement

2012 - 2016 : Professeur documentaliste (Lycée Gambetta à Tourcoing, Lycée Baudelaire à Roubaix, Lycée Léo

Lagrange à Bully-les-mines)

2005 à 2007 : Documentaliste (Lycée Yves Kernanec à Marcq-en-Baroeul)



Marion SARELS

Née à Lille le 25 octobre 1983

Vit et travaille à Lille (Fr)

Formation universitaire

2010 : Master 2 Réalisation Documentaire de création de Lussas (Université Grenoble 3 / Ardèche image)

2008 : Master 1 Communication - Information des Entreprises (IUP Infocom - Université Lille 3)

2003 : DEUG 1 Médiation culturelle et communication (Université Lille 3)

Création audiovisuelle

Depuis 2009 : documentariste et vidéaste indépendante

Réalisation documentaire de création

Dis-moi où sont les hommes (2017) : co-réalisation d’un moyen-métrage documentaire (en cours de montage,

projet soutenu par Pictanovo)

Un grand champ vert ? (2008) : Co-réalisation d'un documentaire (Buenos Aires - Argentine)

Réalisation de vidéos de commande pour divers clients institutionnels et associatifs

Compagnie du Tire-Laine (2014) : réalisation d’un teaser

Société de rue, chronique d’un accompagnement (2012) : co-réalisation d’un film sur le SAMU Social de Lille

Fivestival (2009-2012): Captations vidéos de concert et art de rue

Réalisation d’installations vidéo

Portrait d’artistes (2014) : installation vidéo présentant le portrait d’artistes exposant au Maisons Folles 2014

Exposés (2012) : réalisation de portraits vidéo exposés lors des Maisons Folles 2012

Animation d’ateliers de création documentaire

Un mot pour soi (2014) : atelier vidéo en partenariat avec l’Action Insertion et Culture et le Centre Social

Moulin Potennerie de Roubaix

Comme une idée du temps (2013) : atelier vidéo en partenariat avec le centre social de la Maison du Grand Cerf

de Ronchin

Derrière le souvenir (2013) : atelier vidéo en partenariat avec le Lycée du Nordoover de Grande-Synthe

Activités réalisées dans le cadre de l’Association Le K

>> www.lekcreations.fr

Communication

2014 : Chargée de communication (Centre de formation Amigraf - Lille)

2007 : Assistante communication (stage - LAAC : Lieu d’Art et d’Action Culturelle de Dunkerque)



Tournage de PARADE, juillet 2015, Maison de l’Art et de la Communication, Sallaumines (Fr) - Photos : Bertrand Sion





CONTACT

Association Le K Créations - Images et Sons Maxime Cazin, Président

72-74 rue Royale

59000 Lille

Mél : [email protected]


Référents du projet Parade :

Peinture : Sylvain DUBRUNFAUT

Plasticien inscrit à la Maison des Artistes (Fr)

06 63 62 69 10


Site : www.dubrunfaut.info

Vidéo : Stéphane SMOGOR et Marion Sarels

Vidéastes

06 59 99 07 56 / 06 59 99 28 49



Parade 2 © Sylvain Dubrunfaut 2016, Acrylique sur toile, 300 x 190 cm

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