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ide HK ‘e a tont fi le mari le jardi L““e bon j=e. laver, |iJ ant IJouroaL ns enf^, mj p'Jisiûièi^, I Joumai. » dans riéi^e : le janfin nme faire L tlomestiqnesl I Journai. 25 a. iode place i EDMOiq lealis. fTlep à U,, dans rind [irû'Ds). t Journal. IBTAR 1 ' f^Æ JMirBsf,! eontr« lej abmêi ^LST-Wm. B U. C^). iP*troxi«p noeL »contra les 1 I tonte nsnm .| pottMWM* ( dcolierSfS priéta'res [ ce eheraax | n:oaobiies.e Hsun, b i^ d •asabfiHéa 1^11« dtt rmacieaSj pietiesA aux fa ïsjm Ydcérans» < èce 216 1 trioeo^ MAC icaiTifliri MS EdiSMj Paraissant le Jeudi ^ të Dimanche. JOURNAti: Rédacteiu* en * L o tç .â.BOxriTa:xÆ S:xi''rs c; Oiift. 6 a- 4 j>.- Astres 8 ir &A. s'aswiiib ans Buresvx dn Jcnnud et dans tons les bereaox de poste. — L'aboniiem<^ est p^aJâe d’aranee et coatinae de (Jrâi droit jns%n’à zéc^tion d^iis-ebBtzaxre. -^.r- ^re iv. It&a AbGOJifimfBt» xMtrteziS da 1* <n d s 26 lia nlmqna anoia; BüiŒAÜX, RÉDACTION & ADMINISTRA'nQN SENI.IS - ti. Place lie *4 — SEMI^lS Les mcmuserits, insérés eu non, ne sont^pas rendtu. Aàmnœva va PM i Z BBS XXTBBB-riOlXS*: tîOe-lilijae. j «M«:| Puis W^ŒSeoœeeeeeeeoeeeee Snfc t pas d*o>aMr~Ao-snaoos aii 1 n â w CWannmeest lArljwwti Ac,^ioapa^ lÈÿ ^ épfRsvfé ‘ dint~ltaûtédBs dssonrHa* ^ÊSÊÊ!^^È^m ÊÊ^ÊÊBÊÊÊB^^ Ü Ü Senlis, le 2 0:tobre. LA CHEVRE ET LE CHOU J'ai toujours dit que mon sentiment [iersonnel était que les radicaux ne souireaient pas le moins du monde à rompre avec les socialistes. Sans doute, interrogés par des confrères parisiens. certains radicaux-socialistes ont pu déclarer qu’il leur était impos sible de marcher avec les amis d’Hervé et de Jaurès ; ils pouvaient même, en apparence, être enchantés d’avoir l'occasion de manifester tout le dégoût que leur inspire l’antimihtarisme : ils annonçaient à son de grosse caisse leur intention de rompre avec ces mauvais citoyens. Il est assez com préhensible» par le fait, que devant l'indignation soulevée dans le pays par les menées et la propagande honteuse des détracteurs de l'armée, des sans- patrie, les radicaux aient jugé néces saire, dans leur propre intérêt, de répudier les ineptes et dangereuses doctrines des partisans de la « crosse en l'air ». Mais de là, croyez-le bien, à conclure que leur intention est de se brouiller avec leurs amis les socia listes, il y a tout un monde. On a d'abord fait une sélection, en disant que tous les socialistes ne sont pas antimilitaristes; ona ensuiteexposé une série de réformes de nature à sé duire les électeurs, de ces réformes dont on parle souvent et qu’on ne trouve jainais le temps et les moyens d'adopter. Qu’importe, il est si facile, si commode d’en parler et cela eoùte si peu qu’on aurait tort de s’en priver, puisqu'il est des électeurs assez naïfs pour se griser de paroles et de pro messes aussi alléchantes que trom peuses. Et puis enfin, après avoir étalé aux yeux du public un programme aux apparences séduisantes, les. radicaux ont mcidéminent déclaré que pour l’exécuter ils accepteraient le concours de tous les républicains. Nous n’avons pas besoin de deman der à nos adversaires de quels repit- blicaiiis ils utiliseront le concours. Tout le monde comprend qu’il s’agit des socialistes avec lesquels üs ne tiennent pas de tout à se séparer. Vous verrez qu’au congiès de Nancy, on manœuvrera de façon à se conser ver adroitement les bonnes grâces des alliés. Les antimilitaristes seront jetés par dessus bord, mais en haut lieu, sous la manteau de la cheminée, les chefs de file féront comprendre sans difficulté aux « 15.000francs » que s’ils ne veulent pas perdre l’assiette au beurre, il importe de ménager la chèvre et le chon, c’est-à-dire de ne pas renoncer sous quelques prétextes que ce soit à i’amitié, à l’alliance des socialistes dont les services, an moiffent des élections, leur seront des ÿua^r^eux. ' üs éviteront sans doute de se eom- I promettre avec les sans patrie et les ' partisans du <i Drapeau dans le fw- Plier », mais il sera facile par la suite, d’étJÈlBir dès ’lJtâSnctîôns subtiles et d’essayer de 'déinontrer que quantité d’antimilitaristes ne sont que des pfxi- fistes innocents, dont les théories'bn- manüaires n’tœt rien qui puisse effa- rouch» les boas patriotes. Le général André, l’mventeur dès i fiç^es, celui qm, de triste m^ooire. qui y sont attachés en sont naturelle ment la. cause. Sans doute on a des principes ou on n’en a pas. mais nos adversaires poli tiques estiment que leur intérêt per sonnel est au-dessus des principes. "Vous les verrez, au Congrès de Nancy, jeter par dessus bord les antimihta- ristes, puis, élaborer un programme bourré des prétendues réformes pra tiques sur lesquelles l’accord plus du rable que jamais se fera avec les socia listes, antimilitaristes ou non. Pour cela iis n’auront qu’à représenter une fois de plus la Répubhque en péril et le tour sera joué. Quelle écœurante comédie ! Loup BERTROZ. ^ In^^^'cbêm ins. N’ôsant dé- t sappÊôtwae, «<m «aü 8ersé?.âM t ilW imais-ISs fe’iriSfit.ç’e* »Qogar;(t«it 1réformes. déni<Kro(^Bea,^êt L Nous démmitFeroDS «B wqw , PoMfefiteP W ^ g»?: qatid* Ltmti YOBSTS tamm’conâSBh Les 15.000 Francs ! Celle affaire des quinze mille francs n’a pas dit son dernier mot. Elle vient d’étre incklem- menl soulevée très loin du Dauphioé, où M. Archimbaud en avait fail, avec le succès que i'im sait, sa plateforme éiectorale — à PoUiera^ où le Conseil ^nérai de la Vienne tenait, ces jours derniers, sa session extraordinaire. Un membre du Parlement, qui n’a pas volé les 15.000 francs TM . Ridouard), député de Loudun, avait demandé que le traitement des chefs cantonniers du départemeut fût purlé au même chiffre que celui de leurs collègues des po;jts et chaussées, — soi!, augmenté de 6 fr. par mois : une misère. La commission ne con sentait que 4 francs. Et, comme M. Ridouard insistait, il se lieurîa à l'opposilion ardente de M. Raoul Perct, député de Poitiers, un de nos plus farouches b'ocards. qui, tout de suite, parla de gaspillage et, d’une voix âpre, déclara que le Conseil avait le devoir de inéuager les deniers des eoiitribuibles. Sans autrement s'émouvoir, M. Ridouard ré- {.tOtidil que « le Conseil général s était, avec raisou, montré généreux envers d'autres fone- lionnaires qui n'étaient, ccpcndaul, pas jdus dignes d’intérêts que les cantonniers et que « dans une autre AssemHéc,, a autres s'claient augmentés eux-mêmes avec moins de discré tion et de mesure ». 11 n’y avait jias à s’y tromper, c'était une allusion directe au relèvement de l'indemnité parlementaire. Elle avait, dans la circonslanee, d’autant plus de portée, que M. Raoul Peret, lui, avait voté les 15.000 fr. Trouver dans une assemblée issue du suffrage universel un élu qui, après s'être voté à lui-même une augmen tation de 500 francs par mois» en refuse une de quarante sous aux cantonniers, c'est déjà pas mal ; mais vous allez voir mieux : au vote, la prof^ition de 6 francs fut b^tue» et, détail p quant — dans la ntajorilé qui la.«epoassa hguraientaux côtés de M. R. Peret, MM. Cibiel, Corderoy, Godet, Joyeux-Lafiuie, soit, tous les parlèmentaires du tÿuiseil, excepté M. le séna teur Poulie, qui, seul, vota avec U. Ridouard, Il est à penser qu'ou rejiarlera de cet inci dent, aux prochaines électioDS. -* ♦ ¥ Voilà que les ouvriers eux-mômes liennent à dire leur fait aux parlementaires à 15.000 fr. l'an. Les ouvriers terrassiers, puisatiers et mi neurs, employés sur des chantiers du Méîropo- lilain, demandent un relèvement de salaires et auQODcent un grantl meeting pour dimanche matin, à la Bourse du travail. Or, voici en quels tennes ils justitieut leur action : « Nos députés, diseul-ils, ne pouvant vivre avec une petite somme de 9.000 francs s’én sont adjugé 15.000, cela n’a pas. demandé 25 ans de temps (d'un seul coup de coUlcr à pot, la soupe a été trempée). « Que poorrions-nous donc dire, nous, ou vriers, ne gagnant en moyenne qu'un salaire anmiei de 1,800 tÿancs ? » S tous les corps de métier s’autorisent du geste de nos parlementaires pour exiger une augmentation de salaires, nous avons., des chances de voir, avant peu, lé prix dé la vie reocbêrir! .JLc Congrès radieal de Touleizsc* Le congrès radical de Toulouse a adojilé, avant de se séparer, un vœ-u deroandani éuer- giuîîcmenl k rupture avec les unifiés: de.mau- daût également que « le congrès de Nancy <lé- gage les oi^nisalions radicales de l’obli^tion de retirer, après le premier tour, les candidats du p ^ i devant les candidats socialistes plus favorisés ». Mort ^an SéBateor. M. Arsène êJollet, sénateur de S^e-et-Oise, est mort subitement hier, à midi, dans une salle du restaurant Aviee, boulevard Poisson nière. Celte nouvelle a causé une eerlaine émo tion dans la région et le Conseil général de Seine-el-Oise a levé sa séance en signe de deuil. La version de suidde qui avait courue on instant par^t démentie, M. Collet, maire de Manies, avait été élu sé> nateur le 17 févrierdemier, par 785voix contre 366 à M. Périllier,. radical, et 273 à H. Ferdi nand Dreyfus, républicain de gaudie, malgré la pression de radminislration. lO é s iT ^ o o m u s Le paix de PAéro-Clnb. l e course J e baHoos iB^gWBSée p ^ J ’A é ^ Chib de France, a en beu dïmauche démïer per uue plaie baUaate. Piasiems ballons sont venus atterrir dans l'Oise ; en void la liste r ' VÂusterlitx (1.6dl) m. c.), nxxiié par MH. Bat^Iard et D u t^ a-aUerri àrll b. 20 du soir FLavacqàerie (Oise), rabattu par une Iroinbe d’eau. — 93 kil. Ls BeUe-Bélène (1.600 m. e.), qui avait à ' ,]gu®»6iaurfiid^iiBtàiàHi!aiWl- ,se). L’ascension a en lieu sous une pbiie eootmne&e -,-LMrnaveutdasad. — OIMt. C^orde (1.200 m. c.), laenlée par MM. l£og Caîson et fitouard, est desgenibiieA - "Jle-Sfflnt-PieiTé, aux heùi dits les taux, It ISiôIoinètres au-delb de' Beàù, #«&, î î# dn soir. — 7< Ki. - VEseéiiaâir nM » -m- 'e.), pikÜéè 'parlL xUo* Bartbou, irère du œiiust» des travâis j jgiScs,,asUeoi« Ok. M/At srâvsèasme B)pissâÈre-to-9âagB (•nÿi^dias — SàlàL UigtOHsis (1.200,m. e^),jüoté:^? H. Ni^ à toodiè (erré à 8 kefies du soir, p m de Itérâcopit (Oise). — SOlSL' dréMNerda prixvfe’RUroCSnb est IL .OertfleMiel, eoutaet téSèHoo IfaM, cm ^tpi|bé.4ns]a.aar'da-tItord,k8Ê 30 ou jH tv , k 65 kfiom^tres devant Osteadë. té s jtéramtes aat été leeéa ilw.wg de 9 II iO. Leferélees’eat ' ' ' fàÿiers et tes ûistze- dM # e e * ^ ré leïFMerL ÿSm i^ C . ’Emile GntoovJMtDoaréekiek'eeBatws senlMcnii, seiiteeftMititeie, « fa» «at La peste à Cran. Elle a été propagée par des rais. Le gouverneur général de l’Algérie a avisé télégraphiquement le président du Conseil que 19 peste avait- été oiBeiellemeat s^aaWo le port d’Oran. L’épidémie s’est déclarée dans lapîrtie infé rieure de la ville, et l’examen bactéridlogiqne ne laisse aucun doute sur la nature du mal. Deux décès ont été jusqu’h présent enregis trés; l’un, d'un portefaix; l’autre, de la femme du chef de la gare des quais. Le chiffre des malades serail, d'après certains renseigne ments, de quatre, et de onze selon d'autres. Il semble que le foyer d'infection soit dans les hangars de la Chambre de commerce, où travaillaient des malades, et où l'on a trouvé des rats. T-« ------- Les obsèques du lieutenant Piilot mort viciiine de son dévonenient. L’enlcrrement du lieutenant Piilot a eu lieu lundi matin. Dans l'assistance, on remarquait le ministre de France, le général Drude, M. Mai- pertuy, consul de France, un officier d'ordon nance' représentant l'amiral Philibert, le com mandant espagnol Santa Ollalla, l’amiral Bien- aimé, tous les otiiciers français et espagnols. Les inondations du HidL Les nouvelles qui parviennent ces jours-ci du Gard et de l’Uéraull sont de plus en plus navrantes. On signale plusieurs victimes. A Agde, le désastre est elfravanU H. Rou- quier, voyageur d’une maison de Cette, s’est jeté dans'la vase jusqu’au cou, et, à lui seul, a opéré quatorze sauvetages ! L’aspect de la plaine est encore terrifiant Ce débordement de' rHêranll à téii^âialîa- Cèbe a pris des proportions considérâmes. La route nationale a été envahie, et le torrent a emporté les lignes des chemins de fer du Uidi et de l’Hérault, rendant toute cirenlaDon im possible. A Servian (Héraull), le désastre est complet. Cinq maisons sont complètement écroolées, et une quinzaine menacent ruine. Les habitants de ces maisons déménagent leur mobilier avec une activité fébrile, tempérée par une grande prudence, caries éboulements sont-à redouter. U. Fallières, président de la République, qui se trouvait dans ses vignobles du Lpupillon, est allé visiter la malheureuse région langue docienne. 11 est arrivé lundi à Montpci&er. Le président de la République a été reçu à sa descente de wagon par les adjoints rempla çant le maire absent; le président du conseil général, M. Laissac, NU. les sénatëiirs Nègre et Delbon, et MH. Lafferre, Pelisse, Bénezech, LeroyTBeaulieu, députés. Le Président et sa suite se sont rendus en automobiles à Agde, Mèze, Gigean, ont visi'é les pays les plus éprouvés et ont regagné Nontp^er le même jour. A si^âlef un incident ; sur la passage du président et des ministres, ^elques sifflets se sont fait enlendre, mêlés aux cris de : « A bas les 13.000 francs ! » Le président a terminé sa tournée et est rentré à la préfecture de Mont pellier où il à passé la nùH. Elections Cantonales. Voici les réspltals des électioBS cantonales qpi oij eu liedjm ten^e ... , : Chdteaur^Htigr. ^ M. Dubois-ISrésaay, conservateur, éht conseiller général du canton de Oiêteau-ijontier, par 3.400 voix, sans con current, en r e m p ^ ^ ^ m d e ^ n conseiller d’arrondissement, imr 1.419’ voix eontre 926.9 H. Rodx, maire (te RambouiBet, rédiêaL' ABiienr.peltes élections an cooseil.d’arron- disseraent ont eu lied dans (malré ,Gant(»s4e ' la Sênltee. Elles ont donné lés rérélât s sui- cond aux hiessési, avec use salie spéciale d’o- pérâliOn, et le troisième abritera les fiévreux. Un pavillon de cent cinquànle lits, iiour les coelagieux, s’élève-è-gauche, au milieu des jardins< séparé par un mur du reste de l'hêpi- tal'militmrc. Une vemilation spéciale, due an colonel Re nard, a été disposée dans (diaque salle de dor- loû. Une buanderie modèle, un pota^r, un sé choir, une chapelle, un bâtiment destiné aux sænrs iofirmières et aux soldats infirmiers, elc., etc., complètent cette installation mo dèle. Le systèaie hydrolliéiapique t ^ e par-’ tout. Cet bâpfial a colHé faiiit cent BiOe frsnes, et les travaux ont duré, près de cinq ans. La construction en a élé dirigée par le lieu tenant-colonel Borgoitz, ancien chef dn g-inie à ChâtefiSi «erémeatenr diiactedrdii géete a BelforL ^ La Guerre au Mm'oes La situation au Maroc parait s'améliorer de jour en joijr- A Rabat, jiloulej-Abd-el- Aziz a reçu -tt^ «mlfifièifiiSBf-le coiteul de Fratu». Ite son (teté liooley-Haâd semble' vouloir négoclw. * Cêpendant des lettres arrivées de Gasa- blaiica disent que les délégnés des Ouled- Harris, dont le territoire «pare le emsp français de la tribu (tes Ooled-Sa'id, sont venus prévenir le général Drude et M. bW- pertuy que les OuledJSaïd menaçtàent de traverser leur tribu pour venir atta quer Casablanca. Ils ont demandé conseil an général Drude sur l’attitude à prendre, aù cas où celte éventualité vien drait à «€ produire. En ville et au éamp, la situation detneui'e calme. Les pluies persistantes retiennent les troupes dans leurs cantonnements et suspendent forcé ment toutes les opérations de police. ' A l’Étranger. La contrefaçon des vins ftançalsf Le professeur Schwarz, de l’Université de Budapest, ayant acheté vingt-quatre bouteilles de champagae Boamery, recouimt >qa'elles étaient une grossière falsification. Sur sa plainte, des perquisitions ont été opérées chez u n juif nommé Armin Adler. Six cents bouteilles furent saisies et reconunes par anteyse, comme ne coulenmil pas'une godlle de vin. D’après l’examen de ses livres, Adler a mis dans te commerce plus .de dix mille bouteilles, falsi fiant les premières marques françaises. La répression est insuffisante, à on ne s’alla- qne pas à la cause dn mal, qui est la gande antim'illtarisle sur laquelle certains mi- nlslrcs ont systéonaliquement feruié les yeùx,. parcie qulls se Iranvaie.n prisonnieris de partis révoInlioDiiaires et proclamaient frilianee sxee les partis avancés. Tant que cette aHianee do rera, la etise aatimilitari^ s'aggravera, il faut eoqiêcber l’infiitration dn v im amjaBÜta- riste dains les vtenes de la jenaesse fianétese, dont'dépend Favénir de la France. il. Mélioe dit qq« la metUenre BiaoièM de prévpoir te guerre est de s’y préparer sans cesse'. On n’y échappe pas ea se sa<H traot, et Ifô nations iipi pe vantent plus se battre vont à la b'oucnérie*. ' L’armée , n’est pas seutement en tentes de guCTre on fe(Bpart poim le tcirrit(3iré, mms, en- (x>ie éa temps de paix, la (tonMoe d é ii pros- pérhé cofflawrciaie. Les natHos tes ptes pnis. sanies au, point de vue militnire sont celtes qm . ont pris Fessor commercial te plus ra p i^ l’Allemagne et te Japon par exem ^. L’ancien président dn causal (âte les paroles de l’ampereur d’AUemagne : « pée est la condition la plus sérieue de te ; prospréâté.des nations:»; Sans l’amiéd, te travail le plus acharné.des In^Htants des. viltes.et des pajrsans, ne saunait'à licB. 'Ge ^ iM sm e IL Itelinev c’est qee te masse de tenation est restée saine eemme l’ensemble du corps enseignanL La preuve en est dans le mouvement d’opinion formitteble qui se dresse contre l’antimilitarisme. M. Méline dit que tes éducateurs de la jeunesse ont de ^ands devoirs envers le pays: Ils n’ont pas le droitderester neutres. L’Etat doit exiger d’eux que comme Je malbe alte- maud ils enseignent l'amoui' (te la patrie, sous taules ses formes, et l’esprit de sacrifice, source des vertus militaires. On ne leàr ae- nteude pas de faire l’apologie de la guerre, monstruosité contre nature, mais dans J'étàt' des choses actuel, c’est jja fait brutal dont. 'usashé sommes pas les'm'altres. il y a trop dé po'ipts uoirs i l'horizon pour que la g d a é o ^ tién^êtqdte^ soit pas esp<teéê' k aiyÿ e ^ ^ (XireW grandes gnerres auxquell* nciu PODS être mêlés. .One les éducateurs fassent remarquer mte les grandes nations renforcent leur armee. Les socialisles allemands eux-mêmes n’oat-Bsi pas laissé entendre ({u’ils marrémot oootne nous au besoin. En terminant M. Méliay ôfi Nous n’avons rien perdn de nos vertns mili taires. Sur la terre d'Afriqne, nos soldats se L’empereur de Rassie a approuvé ladécisioa du Sraode de convoquer à Noscou le premier cohcile extraord'uiaire de l’Eglise russe. Le procès des révolutionnaires qui ont or ganise l’alleniat contre le minisiré de la guerre russe, déjoué par la police, sera jugé à la fin d I mois à Saint-Pélcrsbourg. Panni les inculpés se trouvent trois militaires qui avaient l’inten tion de faire sauter l’automobile du ministre. La Gazette de Cologne fait ressortir l’impor tance économique de la Nandcbourie et la pos sibilité d’y importée du matériel industriel o i agricole en quantités très appréciâtes. Aussi dcmauda-t-eJle an gouvernement allemand de ne pas rester en arrière de la France, dePAn- ^ctcrre et de la Russie, (pii ont à Moukdeunn eousulat générai, alors que l’Allemagne n’y a qu’nn vice cousnlat. La police fintândàise a arrêté un individu, membre de l’Union du peu(de russe, muni d’un poignard empeisonné. Cet individn a déclaré que l’Union a iteciâé l’assassinat de M. G<fio- vine, ancien président de -la Douma. ■*--------- Hogqpde. Une dépêche offiôelte de La Haye dit que tors de là prise des fortifications de B(ed(dibe- dneng (Ile de Célèbes), sept soldats ont été tués et quatorze blessés. L’enitemi a pp pent huit tués, dont onze chels.' '' 'lÆ |ytferéëâent dn ÀjSn'pfWîélte'd’cIfimK 'à Tokio une exposition, qui s’appellera la «..Grande Exposition do Japon » et revêtira un caractère nmversei uHeteramlkaiti..Joutes les invitées a y préodre part. montrent ce(pi’ilsoot l<MjoBrsété,adBiralites de courage et d’endurance. B foO. comme les vétérans en 1870 ; ils ont r è ^ d n à Fappel de la patrie ea dango', sans discuter tes-(Bbsw de la guerre, «im tBardmader Jear poncOBUs.- Eux ansm, marchent droit devant 'eux, sui vant te drapeau de laFrtmce, partout où' on le plante, lournaot sans cesse les yeux vers -lui comme vers l’image sacrée de la patrie. D’autres discours ont été très applaudis, notamment ceux- prononcésp^ le com-^ mandant Noël, te maire du Tnillot, et M. Parisot, sénateur. Puis, sur la proposition J e M. Méline, une souscription a été oigadisée paiini les membres des anciens combattants en fa veur des malheureuses populations dn Midi. ptuSsances seront i Chine. Càxton D’Albert, — MH. Heibet, libérél : iAi2 v(nx; Dnpms, radical: 1.124r dbteeur 'Bazeœan, socialiste unifié ;- 999.- ^sSôtlagé). Canton dtAekeax.M M . L d d c s ^ ' r à î B c a l : i.314 voir (él^; de MlBalse, IHlëtd.: i-SS. Cdnfo»(te'BdmarJ.—MM.'Wîniàfl,ïaé^: L452 vtex; Jorod, Bbéral.: 1.278 ; enuteiiaad, aaieialiste unifié : 730. (BaBotb^). •cémton dlBtdlencaiiTt.— ia L Taasnz,Jibé- 'réi : d.M* V(Œi (Su); Tt^ner, raailjai ("LSfii- ratDKVkJteMtefiat» te a%(ilei|eréë etde" ijlteiiMecrfltiirBMMfiflfklIiiré- MgiBUri (laiii I b j i g H a. l'd:eilMae;saeiidrartra H aestiofis H p a ite '- 'M.teKiSatre debCteerreaddiessé à lLto,. diretjteardelà Gooÿà^iîe éPOrtéa^nne tettre; dastequeMs il in entnw aa vivedalâteetiiim peer Tordre..et te pwdeoe avoejoneto se ««■t'eAetoée, sw te iéseMcdrariMi^ tes baa^iotte de troopes et de ravîtzeemeet né- (teâsités par tes manœuvres du Sed-6tesL mmncl hieltal (de qWÇiMs. Ee nouvel bdiêM itoaire de-jS^H»n mje,aui-aaa.iaiu|gnr*-tei,i iieiiÉMM etqtît 0 ,-Mé JtetfiinaiWHil.'teri ML eemieg dm'aùuM du ’^S^^Mii^m^^rapiûeipalWyAdiaseï,: tednBe,aumeeoUiue assez _ . ;lifirimpiiÉ|jfaie9 wfta ■nue galerie vanéet- lé pteaner (aaxnevvices adampstnilite; te se- du Kiang Si, un seid missionnaire a été tué, mais plusieurs mismons ont été ineeudiées et les missioanaires ont été obligés deae réfug^r au Yameu. Selon le corréspondadt du Moming Bost, à Shangai, un prétre frànçâis aété assas- maé à Kang-Chéon-Fon et te «mverneur a envoyé deutroupes pour rétAfi'rTordré; Tnto^ide, Suivant nne é^ièriie' de Cbnstântinople, tea trois couru extiéordfinûhS iastitoéès eu 1963 seront aopprietees.Ladalede définitive sera fixée psr lYaspectraC; ■dt«elm*B. Madaate. —; itàDàt, a ’eeta'vOns arrive eoeore, je serai forcée de prendre unie autre dtunesfiteue. .^eengte. — Ip te.voadraisiiieBq 3 y a dans te màisitensrét d’gnvqege pouriteiix] —— . i.i- - -'-i 'Dimanche, ao ThiUot,.aea lieatmevinar nHestaffioii p a trio ti^ laite ^ rOnipn iritienidlé ëjpalnotiqne d » amaeiis com- bMtàà&deJ^tHÇ}. . 'de ltem îréœratj''^i (îélébnit sa.^ mufle.'’, . i ’ ' - - . , ; 'A nfl^.Üt.Ddes luliné, préadréti. 'dïoBiiêiir; à p'rêsifte un banmet dans ta Ô^ctesLUasi Jt ’^ànliiAlItttriâ’&dbain'- ^ Vuptui^ ’égsuré devean aaù.^«(aa^ detejte^Eédfintioa tteMilialMié «te „. réprime aujoatd'knt [ tes actes. d’iudùKipfiue. 22 décembre',' à & éil decteur Bemally,; ihédecîiHnigiff an^Sf' li. Iteuù^ ' tcole: Officier du Mrévfe agriculteur à ^ _______ .Gbevaiias : MML Leaaüre, i Uàilleul-te-Soe; Marmn. Avjig^iy; Beau(hrt,àSt-diat-en-ebtetfife. Médatite de la Mutualité ?M.'Itebxa>; dipidmès : MM. Bontie, Duniiihuiii ;«l Dabaisel. t MécteiOes du travail : M. e lfltaa Qfidn. Médaille dlMiBBear agrioalêB: IL Màt- cier. Des (tisitoaite ont itb ouiiiiln piMnomiili par MM. SaiubDenis, inspe«MÉBE|)fla«râj wiesnèt, maire ; Meunier, -fuMufiq' te d ir ’ puté de l'arrondissementl toLeoSn'pâr M. Snjardin-BeatiiM^ On a remarqué qué; dfins son discoirs, le SotisrBecêétàire d’È t a t .^ x r av^t riveibâbt répimivé les f vé'Btes. La féte s’est teimiiiée par donué par toutes les nxaétés présentes'. ' ' , Unistte teot— m WI p dte gQlwg.; SiigesceiiUi^pp:;eSt imn,àBtmmdt Liste de rechargt mente des routes' et - chemin pendant la sem ûr; e dû 3 J s qi^- bre an 5 octobre : Subdivision de Beav-mais. — Chemm’de ^ande eommnoicàtidn a* 1 de Beanvtâs À Gonnray par Savignies, près le Ddtfbit (samedi). Subdivision de Bresles. — Route naSOr .oale u* iBt de Beanvais à Amiens, pris Tiilé (lundi àSamedi inclus). Subdivision de GrandvUHers. Che- imo vicinal ordinaire n* 1 de Darawan- conrt à Sarnois, près Dameraucourt{icn(fi àmerereffi). Chemin de grande communicati-:n n” 108 embranchement de^ Dargies à Offoy, p r ^ OBoy (samedi). . __ . 'Route nationale n» d 'de Paris i Calais, pod-’W â-dessns de Grandvilliers (mercreffi é samedi). Subdivision de Clerntont . — Routé na tionale n^ 31 de (Rennont à Gpiwi^gne, près Glermoht (lundiijnardi), prés Miûntel '(mercreffi i samedi). T' ' ■ Subdivision dé €rèü. '— Chemin.'da., grande communicatiop n* 162 de Crail i, Uouvieux, prés (jreil (toute lasémainè), Subdivision de Crevecaéùr. — de grande cotûonnnciationh* 166 deCroû^ i ïrancastel, près Viefville (lundij.. Les Recevews-Bimteilsfes. Une déUfatioB du syndicM «les reee- veurs-burahstes de l’Oise se rendak, mar- ffi, é la Préfecture et fut reçue par -M. Meunier. Elle venait demander an préfet de l'Oise de bien vouloir accepter la présidence da leur bampiet annuel. M. Meunier a accepté .aveq le plus vif empressement et nous pouvons annoncer d’ores et déjà que la cérémonie en q u es-» - , «• tions, 9fi jteo#à’,S6lte.dnnée, laÆlWBfifcfe dqçjsifefifl addte*tte, -à Gi- déLavâtii chemeat ( mardi). , Subdivision de Mouy. — Chonih .de grande communication n° 9 de La Rne- Saint-Pierre à Rémérangles, près Réqté- rangles (jeudi à samem), près Là Hué ' Saint-Pierre (mardi à jeudi), _ i Route nationale n" 31 de Paris à Beau- vais, près La Rue-Sàint-Pierre (lundi, mardi). ' Subdivision de Pont-Samte-Maxence. — Cffiemin de 'grande <tommunication,.u* 113 entre Béthisy-Saint-Piefrè et Viw- ceUes, à deux-endroits (liùidi). " chemin de grande communication nf9S de Néry à 'Vilfenéuve, prfe Néry (maicE, mercredi). Chemin de g;rande commuateation) n* lOOde YiUenenveàRbuis,près 'ViUenesTe, (mercreffi à vendredi). Route nationale n° 32 de. Paris piègne, hantddlàrtAtede Yeirbeil^si Subdivision de Trie-Chdteau. — CIiq min de grande communication h" 22 dé Gisors i La LandeUe,. p r^ la^atadiBle? (lundi, inôŒ), prèsflàvacourf raieftiwfi, r jeudi),' pirès S flit - Sulpfeié' ' (venorlSfi, ■ Membres nouveaux au 28 L'Inaugunitioa de la. Mairie de La Mwrfile-cii-Æicas. M. Dujardin-Béaumetz, sous-secrétaire à La Neoville-en-'Hez inai^rer la mmrie et l'école des garçons. la jotie pflte ville était Mviûsée »ee un godt exquis, di» arcs de tribimiietSé dressmént ça et M; les mmsàns «ment ; Renient parées de draqgeéb^ de gûr- nd^ de fleurs. Quand le train amenant le rqttésentant du gonveriiement estjariiiré eagaotb 1»: muaqne dn 51* r^jment' dlntetieiie,: déot quelques soldats,, qui^iqne de .la e , avaient Gonséati:.i retarder d'un leur iihératiiin, ét (fiiêises' sociétés . „lesont jijnêU JiCéfseiZ&iiKp-lespoin- jMrs de'IA-TOié èt ceux «Tes locâfiiés Snéfonîiiâieàit une gardé d'honni^. ' A-la'éffieceii^'ffii-'âain, le sonfr4eGré- lflèd1SàraHx:iteàjix-aTtsaété re^ bar dQL Mômià';Jraet idé X <^; 'br^toe; Ltonois, te BQlfisetHtej M de ____, tefiTîimilliaattefttettetegnet, des sapehis-pmiflérs, p i^ d flt 'cte.'TA^oflir tionfiatendfle des ptdteptera^ Frihteel sors (Eure). M. Bavard.(André), fi^ociant engrmns, à Saint-InSt^n-Chanssée. - M. (îlteron_(Panl), quincailHer, à Chmi-. ' mont-ten-'?exîn, - M. Bloqiirei-Davesne, fabrique de bon- aMâ^*âletieeeat'36asiEQ@M«6JBtB'',.e"i!«ea M. Lëtailleur-Papou, n^aâact, rue . des Jacobins, à Beany^. M*“ !>®lanqnè "A les-MéÙo^_________ ^ ' - Poar.ta S^c^o Les demandes l e midailtes t'ebcasion de la PromotioB de déceuiteuî enfavenr deê S^ms-Pompiers qui (301^ tent (30 annéaeâil’dkHkMBf-dbvM9l|fii|MPm- «Sr I la Préfecture acont le 15 octobre , extrême délai. apirte cette ■ées ea vue de te PrometiABCte 14 JniUet IMS. I. CSnot, _ étC.,«Wë. La «iAHÈMinfi daê oeois rscole D^ïteahaaqatede wéM aflïac citr;- remnitanaMtffifiéé W 15 IfH- tes «derës IniBotairedB te idi^dfiMnMix de:Sinvip,4)ite>4mara pcuviaMM0'£tire iiifi- çrire déis 4#<Ateat.. #V - ;. •--■t 'cibsitears%pn^ ése • ‘ - Le ,ârelHteideàCteraadatj-VInKls- dorf, cheTde tecberueéteCImienf, tete lté., s'adresser à M. Mmineé O iin^teaE ' .ides cours. Hd(el:daéSoiflfiUssafaietes,itlM iueSer{eide,D«itë^ ^ ‘- p V- *4-- :x—-

Paraissant le Jeudi ^ të Dimanche. JOURNAtibmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_10_03_MRC.pdfassemblée issue du suffrage universel un élu qui, après s'être voté à lui-même

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Paraissant le Jeudi ^ të Dimanche. J O U R N A t i :R é d a c t e i u * e n * L o t ç

. â . B O x r i T a : x Æ S : x i ' ' r sc; Oiift.

6 a-4 j>.-

Astres 8 ir&A.

s'aswiiib ans Buresvx dn Jcnnud et dans tons les bereaox de poste. — L'aboniiem<^ est p^aJâe d’aranee et coatinae de (Jrâi droit jns%n’à zéc^tion d iis-ebBtzaxre. - .r- re iv.

It&a AbGOJifimfBt» xMtrteziS da 1* <n ds 26 lia nlmqna anoia;

BüiŒAÜX, RÉDACTION & ADMINISTRA'nQNS E N I . I S - t i . P l a c e l ie * 4 — S E M I ^ l S

Les mcmuserits, insérés eu non, ne sont^pas rendtu.

Aàmnœva va

P M i Z B B S X X T B B B - r i O l X S * :tîO e - l i l i ja e . j « M « : |

Puis W ŒSeoœeeeeeeeo eeeee Snfct pas d*o>aMr~Ao-snaoos aii 1 n â w

CW annmeest lArljwwti Ac,^ioapa lÈÿ^ épfRsvfé‘ dint~ltaûtédBs dssonrHa*

^ Ê S Ê Ê ! ^ ^ È ^ m Ê Ê ^ Ê Ê B Ê Ê Ê B ^ ^Ü ÜSenlis, le 2 0:tobre.

LA CHEVRE ET LE CHOU

J 'a i tou jours dit que m on sentim ent [iersonnel é ta it que les radicaux ne souireaient p as le m oins du m onde à rompre avec les socialistes. Sans doute, in te rrogés p a r des confrères parisiens. certa ins radicaux-socialistes ont pu d éclarer qu ’il leu r é ta it im pos­sible de m archer avec les am is d’Hervé et de Jau rès ; ils pouvaient m êm e, en apparence , ê tre en chan tés d ’avoir l'occasion de m anifester tou t le dégoût que leu r insp ire l ’antim ihtarism e : ils annonçaient à son de g ro sse caisse leur intention de rom pre avec ces m auvais citoyens. Il e st assez com­préhensible» p a r le fa it, que devant l'indignation soulevée dans le p ay s p a r les m enées e t la p ropagande honteuse des dé tracteu rs de l'a rm ée , des sans- patrie, les rad icaux a ien t ju g é néces­saire, dans leu r p ropre in té rêt, de répudier les ineptes e t dangereuses doctrines des pa rtisan s de la « crosse en l 'a ir ». Mais de là, croyez-le bien, à conclure que leu r in tention est de se brouiller avec leu rs am is les socia­listes, il y a tou t un m onde.

On a d 'abord fa it une sélection, en disant que tous les socialistes ne sont pas antim ilitaristes; o n a ensuiteexposé une série de réform es de n a tu re à sé­duire les é lecteurs, de ces réform es dont on parle souvent e t qu ’on ne trouve ja in a is le tem ps e t les m oyens d 'adopter. Qu’im porte, il e s t si facile, si com m ode d’en p a rle r e t cela eoùte si peu qu’on au rait to rt de s ’en priver, puisqu'il e s t des é lecteu rs assez naïfs pour se g r ise r de paro les e t de p ro­m esses au ssi a lléchan tes que trom ­peuses.

Et puis enfin, ap rès avoir étalé aux yeux du public un program m e aux apparences séd u isan tes, les. radicaux ont m cidém inent déclaré que pour l’exécuter ils accep teraien t le concours de tous les républicains.

Nous n ’avons p a s besoin de dem an­der à nos adversa ires de quels rep it- blicaiiis ils u tiliseron t le concours. Tout le m onde com prend qu’il s’ag it des socialistes avec lesquels ü s ne tiennent pas de tou t à se séparer. Vous verrez q u ’au co n g iès de Nancy, on m anœ uvrera d e façon à se conser­ver ad ro item ent les bonnes g râces des alliés. Les an timilita ris te s se ron t je té s par dessus bord , m ais en h a u t lieu, sous la m an teau de la chem inée, les chefs de file fé ron t com prendre sans difficulté aux « 15.000fran cs » que s’ils ne veulent p a s p e rd re l ’assie tte au beurre, il im porte de m én ag er la chèvre e t le chon , c ’est-à-d ire de ne pas ren o n cer sous quelques p ré te x te s que ce soit à i ’am itié , à l’alliance des soc ia listes dont le s serv ices, an moiffent des élections, le u r se ro n t des ÿ u a ^ r ^ e u x .

' ü s év ite ro n t sa n s doute de se eom-I prom ettre avec les sa n s p a tr ie e t le s' p a rtisa n s d u <i D rapeau dans le fw - Plier », m a is i l s e ra facile p a r la su ite, d’étJÈlBir dès ’lJtâSnctîôns sub tiles e t d’essay er de 'déinontrer que quantité d’an tim ilitaristes n e so n t que d es p fx i- fistes innocents, d o n t les th éo ries 'b n - m anüaires n ’tœ t r ien qu i pu isse effa- ro u c h » le s b o a s p a trio tes .

L e g én éra l A ndré, l’m venteur dès i fiç^es, celui qm , de tr is te m ^ooire.

qui y son t a ttachés en sont naturelle­m ent la. cause.

Sans doute on a des principes ou on n ’en a pas. m ais nos adversa ires poli­tiques estim ent que leu r in té rêt per­sonnel est au-dessus des principes. "Vous les verrez, au Congrès de Nancy, je te r p a r dessus bord les antim ihta- r istes , puis, élaborer un program m e bourré des prétendues réform es p ra ­tiques su r lesquelles l’accord plus du­rable que jam ais se fe ra avec les socia­listes, an tim ilitaristes ou non. P o u r cela iis n ’auron t qu’à rep résen ter une fois de plus la R épubhque en péril et le tour se ra joué. Quelle écœ urante com édie ! Loup BERTROZ.

I n ^ ^ ^ 'c b ê m i n s . N’ô san t dé- t sappÊôtwae, «<m « a ü 8 e rsé ? .â M t i lW

im ais-ISs f e ’i r iS f i t . ç ’e * »Qogar;(t«it1 réform es. déni<Kro(^Bea,^êt

L N o u s dém m itFeroD S « B w q w

, P o M fe fite P W ^ g » ? :

q a tid *

L tm ti

YOBSTS tam m ’conâSBh

L es 15.000 F ra n cs !Celle affaire des quinze mille francs n’a pas

dit son dernier mot. Elle vient d’étre incklem- menl soulevée très loin du Dauphioé, où M. Archimbaud en avait fail, avec le succès que i'im sait, sa plateforme éiectorale — à PoUiera où le Conseil ^nérai de la Vienne tenait, ces jours derniers, sa session extraordinaire.

Un membre du Parlement, qui n’a pas volé les 15.000 francs TM. Ridouard), député de Loudun, avait demandé que le traitement des chefs cantonniers du départemeut fût purlé au même chiffre que celui de leurs collègues des po;jts et chaussées, — soi!, augmenté de 6 fr. par mois : une misère. La commission ne con­sentait que 4 francs. Et, comme M. Ridouard insistait, il se lieurîa à l'opposilion ardente de M. Raoul Perct, député de Poitiers, un de nos plus farouches b'ocards. qui, tout de suite, parla de gaspillage et, d’une voix âpre, déclara que le Conseil avait le devoir de inéuager les deniers des eoiitribuibles.

Sans autrement s'émouvoir, M. Ridouard ré- {.tOtidil que « le Conseil généra l s était, avec raisou, montré généreux envers d'autres fone- lionnaires qui n'étaient, ccpcndaul, pas jdus dignes d’intérêts que les cantonniers et que « dans une autre AssemHéc,, a au tres s'claient augmentés eux-mêmes avec moins de discré­tion et de mesure ».

11 n’y avait jias à s’y tromper, c'était une allusion directe au relèvement de l'indemnité parlementaire. Elle avait, dans la circonslanee, d’autant plus de portée, que M. Raoul Peret, lui, avait voté les 15.000 fr. Trouver dans une assemblée issue du suffrage universel un élu qui, après s'être voté à lui-même une augmen­tation de 500 francs par mois» en refuse une de quarante sous aux cantonniers, c'est déjà pas mal ; mais vous allez voir mieux : au vote, la prof^ition de 6 francs fut b^tue» et, détail p quant — dans la ntajorilé qui la.«epoassa hguraientaux côtés de M. R. Peret, MM. Cibiel, Corderoy, Godet, Joyeux-Lafiuie, soit, tous les parlèmentaires du tÿuiseil, excepté M. le séna­teur Poulie, qui, seul, vota avec U. Ridouard,

Il est à penser qu'ou rejiarlera de cet inci­dent, aux prochaines électioDS.

-*♦ ¥Voilà que les ouvriers eux-mômes liennent à

dire leur fait aux parlementaires à 15.000 fr. l'an.

Les ouvriers terrassiers, puisatiers et mi­neurs, employés sur des chantiers du Méîropo- lilain, demandent un relèvement de salaires et auQODcent un grantl meeting pour dimanche matin, à la Bourse du travail. Or, voici en quels tennes ils justitieut leur action :

« Nos députés, diseul-ils, ne pouvant vivre avec une petite somme de 9.000 francs s’én sont adjugé 15.000, cela n’a pas. demandé 25 ans de temps (d'un seul coup de coUlcr à pot, la soupe a été trempée).

« Que poorrions-nous donc dire, nous, ou­vriers, ne gagnant en moyenne qu'un salaire anmiei de 1,800 tÿancs ? »

S tous les corps de métier s’autorisent du geste de nos parlementaires pour exiger une augmentation de salaires, nous avons., des chances de voir, avant peu, lé prix dé la vie reocbêrir!

.JLc C o n g rès r a d ie a l d e Touleizsc*Le congrès radical de Toulouse a adojilé,

avant de se séparer, un vœ-u deroandani éuer- giuîîcmenl k rupture avec les unifiés: de.mau- daût également que « le congrès de Nancy <lé- gage les oi^nisalions radicales de l’obli^tion de retirer, après le premier tour, les candidats du p ^ i devant les candidats socialistes plus favorisés ».

M ort ^ a n S éB ateo r.M. Arsène êJollet, sénateur de S^e-et-Oise,

est mort subitement hier, à midi, dans une salle du restaurant Aviee, boulevard Poisson­nière. Celte nouvelle a causé une eerlaine émo­tion dans la région et le Conseil général de Seine-el-Oise a levé sa séance en signe de deuil. La version de suidde qui avait courue on instant par^t démentie,

M. Collet, maire de Manies, avait été élu sé> nateur le 17 févrierdemier, par 785voix contre 366 à M. Périllier,. radical, et 273 à H. Ferdi­nand Dreyfus, républicain de gaudie, malgré la pression de radminislration.

lO é s iT ^ o o m u sL e p a ix d e PA éro-C lnb.

l e course J e baHoos iB gWBSée p ^ J ’A é ^ Chib de France, a en beu dïmauche démïer per uue plaie baUaate. Piasiems ballons sont venus atterrir dans l'Oise ; en void la liste r ' VÂusterlitx (1.6dl) m. c.), nxxiié par MH.

Bat^Iard et D u t^ a-aUerri à rll b. 20 du soir FLavacqàerie (Oise), rabattu par une Iroinbe d’eau. — 93 kil.

Ls BeUe-Bélène (1.600 m. e.), qui avait à ' ,]gu®»6iaurfiid^iiBtàiàHi!aiWl-

,se).L’ascension a en lieu sous une pbiie eootmne&e

-,-L M rnaveutdasad . — OIMt.C ^ o r d e (1.200 m. c.), laenlée par MM.

l£og Caîson et fitouard, est desgenibiie A - "Jle-Sfflnt-PieiTé, aux heùi dits les

taux, It ISiôIoinètres au-delb de' Beàù, #«&, î î# dn soir. — 7< Ki.

- VEseéiiaâir n M » -m- 'e.), pikÜéè 'parlL xUo* Bartbou, irère du œiiust» des travâis

j jg iS cs ,,asU eo i« Ok. M/At srâvsèasm e B)pissâÈre-to-9âagB (•nÿi^dias

— SàlàLUigtOHsis (1.200,m. e ), jüoté:^? H. Ni

à toodiè (erré à 8 kefies du soir, p m de Itérâcopit (Oise). — SOlSL'

Lé dréMNerda prixvfe’RUroCSnb est IL .O ertfleM iel, eoutaet téSèHoo IfaM, cm ^ tp i |b é .4 n s ]a .a a r 'd a - tI to rd ,k 8 Ê 30 ou jH tv , k 65 kfiom^tres devant Osteadë. té s j té ram tes aat été leeéa ilw.w g de

’ 9 I I iO. Leferélees’eat' ' ' fàÿiers et tes ûistze-

d M # e e * ^ ré leïFMerL ÿ S m i ^ C . ’Emile GntoovJMtDoaréekiek'eeBatws senlMcnii, seiiteeftMititeie, « fa » «at

L a p e s te à C ran .Elle a été propagée par des rais.

Le gouverneur général de l’Algérie a avisé télégraphiquement le président du Conseil que 19 peste avait- été oiBeiellemeat s^aaWole port d’Oran.

L’épidémie s’est déclarée dans lapîrtie infé­rieure de la ville, et l’examen bactéridlogiqne ne laisse aucun doute sur la nature du mal.

Deux décès ont été jusqu’h présent enregis­trés; l’un, d'un portefaix; l’autre, de la femme du chef de la gare des quais. Le chiffre des malades serail, d'après certains renseigne­ments, de quatre, et de onze selon d'autres.

Il semble que le foyer d'infection soit dans les hangars de la Chambre de commerce, où travaillaient des malades, et où l'on a trouvé des rats.

T-«-------L es o b sèq u es du lie u te n a n t P iilo t

m o rt v ic iiin e d e so n d év o nen ien t.L’enlcrrement du lieutenant Piilot a eu lieu

lundi matin. Dans l'assistance, on remarquait le ministre de France, le général Drude, M. Mai- pertuy, consul de France, un officier d'ordon­nance' représentant l'amiral Philibert, le com­mandant espagnol Santa Ollalla, l’amiral Bien- aimé, tous les otiiciers français et espagnols.

L es in o n d a tio n s d u HidLLes nouvelles qui parviennent ces jours-ci

du Gard et de l’Uéraull sont de plus en plus navrantes. On signale plusieurs victimes.

A Agde, le désastre est elfravanU H. Rou- quier, voyageur d’une maison de Cette, s’est jeté dans'la vase jusqu’au cou, et, à lui seul, a opéré quatorze sauvetages ! L’aspect de la plaine est encore terrifiant

Ce débordement de' rHêranll à téii^âialîa- Cèbe a pris des proportions considérâmes. La route nationale a été envahie, et le torrent a emporté les lignes des chemins de fer du Uidi et de l’Hérault, rendant toute cirenlaDon im­possible.

A Servian (Héraull), le désastre est complet. Cinq maisons sont complètement écroolées, et une quinzaine menacent ruine. Les habitants de ces maisons déménagent leur mobilier avec une activité fébrile, tempérée par une grande prudence, caries éboulements sont-à redouter.

U. Fallières, président de la République, qui se trouvait dans ses vignobles du Lpupillon, est allé visiter la malheureuse région langue­docienne. 11 est arrivé lundi à Montpci&er.

Le président de la République a été reçu à sa descente de wagon par les adjoints rempla­çant le maire absent; le président du conseil général, M. Laissac, NU. les sénatëiirs Nègre et Delbon, et MH. Lafferre, Pelisse, Bénezech, LeroyTBeaulieu, députés.

Le Président et sa suite se sont rendus en automobiles à Agde, Mèze, Gigean, ont visi'é les pays les plus éprouvés et ont regagné N ontp^er le même jour.

A si^âlef un incident ; sur la passage du président et des ministres, ^elques sifflets se sont fait enlendre, mêlés aux cris de : « A bas les 13.000 francs ! » Le président a terminé sa tournée et est rentré à la préfecture de Mont­pellier où il à passé la nùH.

E lec tio n s C an to n a les .Voici les réspltals des électioBS cantonales

qpi o ij eu lied jm ten ^e . . . , :Chdteaur^Htigr. ^ M. Dubois-ISrésaay,

conservateur, éht conseiller général du canton de Oiêteau-ijontier, par 3.400 voix, sans con­current, en re m p ^ ^ ^ m d e ^ n

conseiller d’arrondissement, imr 1.419’ voix eontre 926.9 H. Rodx, maire (te RambouiBet, rédiêaL'

ABiienr.peltes élections an cooseil.d’arron- disseraent ont eu lied dans (malré ,Gant(»s4e

' la Sênltee. Elles ont donné lés rérélât s sui-

cond aux hiessési, avec use salie spéciale d’o- pérâliOn, et le troisième abritera les fiévreux.

Un pavillon de cent cinquànle lits, iiour les coelagieux, s’élève-è-gauche, au milieu des jardins< séparé par un mur du reste de l'hêpi- tal'militmrc.

Une vemilation spéciale, due an colonel Re­nard, a été disposée dans (diaque salle de dor- loû.

Une buanderie modèle, un pota^r, un sé­choir, une chapelle, un bâtiment destiné aux sænrs iofirmières et aux soldats infirmiers, elc., etc., complètent cette installation mo­dèle. Le systèaie hydrolliéiapique t ^ e par-’ tout.

Cet bâpfial a colHé faiiit cent BiOe frsnes, et les travaux ont duré, près de cinq ans.

La construction en a élé dirigée par le lieu­tenant-colonel Borgoitz, ancien chef dn g-inie à ChâtefiSi «erémeatenr diiactedrdii géete a BelforL ^

La G uerre au Mm'oesLa situation au Maroc parait s'améliorer

de jour en joijr- A Rabat, jiloulej-Abd-el- Aziz a re çu -tt^ «mlfifièifiiSBf-le coiteul de Fratu». Ite son (teté liooley-Haâd semble' vouloir négoclw.* Cêpendant des lettres arrivées de Gasa-

blaiica disent que les délégnés des Ouled- Harris, dont le territoire « p a re le emsp français de la tribu (tes Ooled-Sa'id, sont venus prévenir le général Drude et M. bW- pertuy que les OuledJSaïd menaçtàent de traverser leur tribu pour venir atta­quer Casablanca. Ils ont demandé conseil an général Drude sur l’attitude à prendre, aù cas où celte éventualité vien­drait à «€ produire. En ville et au éamp, la situation detneui'e calme. Les pluies persistantes retiennent les troupes dans leurs cantonnements et suspendent forcé­ment toutes les opérations de police. '

A l’É tran ger.La con trefaçon d e s v in s fta n ç a lsf

Le professeur Schwarz, de l’Université de Budapest, ayant acheté vingt-quatre bouteilles de champagae Boamery, recouimt >qa'elles étaient une grossière falsification. Sur sa plainte, des perquisitions ont été opérées chez u n juif nommé Armin Adler. Six cents bouteilles furent saisies et reconunes par anteyse, comme ne coulenmil pas'une godlle de vin. D’après l’examen de ses livres, Adler a mis dans te commerce plus .de dix mille bouteilles, falsi­fiant les premières marques françaises.

La répression est insuffisante, à on ne s’alla- qne pas à la cause dn mal, qui est la gande antim'illtarisle sur laquelle certains mi- nlslrcs ont systéonaliquement feruié les yeùx,. parcie qulls se Iranvaie.n prisonnieris de partis révoInlioDiiaires et proclamaient frilianee sxee les partis avancés. Tant que cette aHianee do­rera, la etise aatimilitari^ s'aggravera, il faut eoqiêcber l’infiitration dn v im amjaBÜta- riste dains les vtenes de la jenaesse fianétese, dont'dépend Favénir de la France.

il. Mélioe dit qq« la metUenre BiaoièM de prévpoir te guerre est de s’y préparer sans cesse'. On n’y échappe pas ea se sa<H traot, et Ifô nations iipi pe vantent plus se battre vont à la b'oucnérie*. ' ■

L’armée , n’est pas seutement en tentes de guCTre on fe(Bpart poim le tcirrit(3iré, mms, en- (x>ie éa temps de paix, la (tonMoe d é ii pros- pérhé cofflawrciaie. Les natHos tes ptes pnis. sanies au, point de vue militnire sont celtes qm . ont pris Fessor commercial te plus r a p i^ l’Allemagne et te Japon par exem ^.

L’ancien président dn cau sa l (âte les paroles de l’ampereur d’AUemagne : « pée est la condition la plus sérieu e de te ; prospréâté.des nations:»; Sans l’amiéd, te travail le plus acharné.des In^Htants d es . viltes.et des pajrsans, n e s a u n a it 'à licB. 'G e ^ i M s m e IL Itelinev c’est qee te

masse de tenation est restée saine eemme l’ensemble du corps enseignanL

La preuve en est dans le mouvement d’opinion formitteble qui se dresse contre l’antimilitarisme.

M. Méline dit que tes éducateurs de la jeunesse ont de ^ a n d s devoirs envers le pays:

Ils n’ont pas le droitderester neutres. L’Etat doit exiger d’eux que comme Je malbe alte- maud ils enseignent l'amoui' (te la patrie, sous taules ses formes, et l’esprit de sacrifice, source des vertus militaires. On ne leàr ae- nteude pas de faire l’apologie de la guerre, monstruosité contre nature, mais dans J'étàt' des choses actuel, c’est jja fait brutal dont.

'usashé sommes pas les'm'altres. il y a trop dé po'ipts uoirs i l'horizon pour que lagdaéo^ tié n ^ ê tq d te ^ soit pas esp<teéê' k a iy ÿ e ^ ^ (XireW grandes gnerres auxquell* nciu PODS être mêlés.

.One les éducateurs fassent remarquer mte les grandes nations renforcent leur armee. Les socialisles allemands eux-mêmes n’oat-Bsi pas laissé entendre ({u’ils marrémot oootne nous au besoin.

En terminant M. Méliay ôfiNous n’avons rien perdn de nos vertns mili­

taires. Sur la terre d'Afriqne, nos soldats se

L’empereur de Rassie a approuvé ladécisioa du Sraode de convoquer à Noscou le premier cohcile extraord'uiaire de l’Eglise russe.

Le procès des révolutionnaires qui ont or­ganise l’alleniat contre le minisiré de la guerre russe, déjoué par la police, sera jugé à la fin d I mois à Saint-Pélcrsbourg. Panni les inculpés se trouvent trois militaires qui avaient l’inten­tion de faire sauter l’automobile du ministre.

La Gazette de Cologne fait ressortir l’impor­tance économique de la Nandcbourie et la pos­sibilité d’y importée du matériel industriel o i agricole en quantités très appréciâtes. Aussi dcmauda-t-eJle an gouvernement allemand de ne pas rester en arrière de la France, dePAn- ^ctcrre et de la Russie, (pii ont à Moukdeunn eousulat générai, alors que l’Allemagne n’y a qu’nn vice cousnlat.

La police fintândàise a arrêté un individu, membre de l’Union du peu(de russe, muni d’un poignard empeisonné. Cet individn a déclaré que l’Union a iteciâé l’assassinat de M. G<fio- vine, ancien président de -la Douma.

— ■*---------H ogqpde.

Une dépêche offiôelte de La Haye dit que tors de là prise des fortifications de B(ed(dibe- dneng (Ile de Célèbes), sept soldats ont été tués et quatorze blessés. L’enitemi a pp pent huit tués, dont onze chels.' ' '

'lÆ |ytferéëâent dn ÀjSn'pfWîélte'd’cIfimK 'à Tokio une exposition, qui s’appellera la «..Grande Exposition do Japon » et revêtira un caractère nmversei uHeteramlkaiti..Joutes les

invitées a y préodre part.

montrent ce(pi’ilsoot l<MjoBrsété,adBiralites de courage et d’endurance. B foO. comme les vétérans en 1870 ; ils ont r è ^ d n à Fappel de la patrie ea dango', sans discuter tes-(Bbsw de la guerre, «im tBardmader Jear poncOBUs.-

Eux ansm, marchent droit devant 'eux, sui­vant te drapeau de laFrtmce, partout où' on le plante, lournaot sans cesse les yeux vers -lui comme vers l’image sacrée de la patrie.

D’autres discours ont été très applaudis, notamment ceux- p ro n o n c é sp ^ le com- mandant Noël, te maire du Tnillot, et M. Parisot, sénateur.

Puis, sur la proposition J e M. Méline, une souscription a été oigadisée paiini les membres des anciens combattants en fa­veur des malheureuses populations dn Midi.

ptuSsances seront i

Chine.

Càxton D’Albert, — MH. Heibet, libérél : iAi2 v(nx; Dnpms, radical: 1.124r dbteeur 'Bazeœan, socialiste unifié ;- 999.- ^sSôtlagé).

Canton dtAekeax.— M M . L d d c s ^ ' r à î B c a l : i.314 voir (él^; de MlBalse, IHlëtd.: i-SS.■ Cdnfo»(te'BdmarJ.—MM.'Wîniàfl,ïaé^: L452 vtex; Jorod, Bbéral.: 1.278 ; enuteiiaad, aaieialiste unifié : 730. (BaBotb^).

•cémton dlBtdlencaiiTt.—ia L Taasnz,Jibé- 'r é i : d.M* V(Œi (Su); Tt^ner, raailjai ("LSfii-

ratDKVkJteMtefiat» te a%(ilei|eréë etde"ijlteiiMecrfltiirBMMfiflfklIiiré-

MgiBUri (laiii Ib jig H a. l'd:eilMae;saeiidrartra

H a e s t i o f i s H p a i t e

'- 'M.teKiSatre debCteerreaddiessé à lLto,. diretjteardelà Gooÿà^iîe éPOrtéa^nne tettre; dastequeMs il i n e n tn w aa vivedalâteetiiim peer Tordre..et te pw deoe av o e jo n e to se ««■t'eAetoée, sw te iéseMcdrariMi^ tes baa^iotte de troopes et de ravîtzeemeet né- (teâsités par tes manœuvres du Sed-6tesL

m m n cl h i e l t a l (de qWÇiMs.Ee nouvel bdiêM ito a ire de-jS^H »n mje,aui-aaa.iaiu|gnr*-tei,i iieiiÉMM etqtît

0 ,-Mé JtetfiinaiWHil.'teri ML eemieg dm'aùuM du

’ S ^^ M ii^ m ^ ^ ra p iû e ip a lW y A d ia se ï,:

tednB e,aum eeoU iue assez

_ . ;lifirimpiiÉ|jfaie9 w fta■nue galerie vanéet- lé pteaner

( aaxnevvices adampstnilite; te se-

du Kiang Si, un seid missionnaire a été tué, mais plusieurs mismons ont été ineeudiées et les missioanaires ont été obligés deae réfug^r au Yameu. Selon le corréspondadt du Moming Bost, à Shangai, un prétre frànçâis aété assas- maé à Kang-Chéon-Fon et te «mverneur a envoyé deutroupes pour rétAfi'rTordré;

Tnto^ide,Suivant nne é^ièriie' de Cbnstântinople, tea

trois couru extiéordfinûhS iastitoéès eu 1963

seront aopprietees.Ladalede définitive sera fixée psr lYaspectraC;

■ d t« e lm * B .Madaate. —; itàDàt, a ’eeta'vOns arrive

eoeore, je serai forcée de prendre unie autre dtunesfiteue.. eengte. — Ip te.voadraisiiieBq 3 y a dans

te màisitensrét d’gnvqege pouriteiix]—— . i.i- - -'-i —

'Dimanche, ao ThiUot,.aea lieatmevinar nHestaffioii p a t r i o t i ^ laite ^ rOnipn iritien id lé ëjpalnotiqne d » amaeiis com- b M tà à& d eJ^ tH Ç } . .'de ltem îré œ ra tj ''^ i (îélébnit sa.^ m ufle.'’, . i ’ ' - - ■ . ,; 'A n f l^ .Ü t .D d e s lu lin é , préadréti. 'dïoBiiêiir; à p'rêsifte un banm et dans ta Ô ^ctesL U asi

J t’ ànliiA lItttriâ’& dbain'-

Vuptui ’égsuré devean aaù.^«(aa^detejte^Eédfintioa

tteMilialMié «t e „ .réprime aujoatd'knt

[ tes actes. d’iudùKipfiue.

22 décembre',' à & éil

decteur Bemally,; ihédecîiHnigiff an^S f'

l i . Iteuù^ 'tcole:Officier du Mrévfeagriculteur à ^ _______

.Gbevaiias : MML Leaaüre,i Uàilleul-te-Soe; Marmn.Avjig^iy; Beau(hrt,àSt-diat-en-ebtetfife.

Médatite de la Mutualité ?M .'Itebxa> ; dipidmès : MM. Bontie, Duniiihuiii ;«l Dabaisel. t

MécteiOes du travail : M. e lf ltaa Qfidn.M édaille dlMiBBear agrioalêB: IL M àt-

cier.Des (tisitoaite ont itb ouiiiiln piMnomiili

par MM. SaiubDenis, inspe«MÉBE|)fla«râj wiesnèt, maire ; Meunier, -fuMufiq' t e d i r ’ puté de l'arrondissementl toLeoSn'pâr M. Snjardin-BeatiiM ^

On a remarqué qué; dfins son discoirs,le SotisrBecêétàire d’È ta t .^ x rav^t riveibâbt répimivé les f vé'Btes.

La féte s’est teimiiiée par donué par toutes les nxaétésprésentes'. ' ' ,

Unistte te o t— mW Ip d te gQlwg.;S iig e sc e iiU i^p p :;e S t im n ,à B tm m d t

Liste de rechargt mente des routes' e t - chemin pendant la sem ûr; e dû 3 J s q i ^ - bre an 5 octobre :

Subdivision de Beav-mais. — Chemm’de ^ a n d e eommnoicàtidn a* 1 de Beanvtâs À Gonnray par Savignies, près le Ddtfbit (samedi).

Subdivision de Bresles. — Route naSOr .oale u* iBt de Beanvais à Amiens, p ris Tiilé (lundi àSamedi inclus).

Subdivision de GrandvUHers. — Che-imo vicinal ordinaire n* 1 de Darawan- conrt à Sarnois, près Dameraucourt{icn(fi àmerereffi).

Chemin de grande communicati-:n n” 108 embranchement de Dargies à Offoy, p r ^ OBoy (samedi).

. __ . 'Route nationale n» d 'de Paris i Calais,pod-’W â-dessns de Grandvilliers (mercreffi é

samedi).Subdivision de Clerntont . — Routé na­

tionale n^ 31 de (Rennont à Gpiwi^gne, près Glermoht (lundii jnardi), prés Miûntel

'(mercreffi i samedi). T ' ' ■Subdivision dé € rèü . '— Chemin.'da.,

grande communicatiop n* 162 de Crail i , Uouvieux, prés (jreil (toute lasémainè),

Subdivision de Crevecaéùr. — de grande cotûonnnciationh* 166 deCroû^ i ïrancastel, près Viefville (lundij..

L e s R e c e v e w s -B im te i ls f e s .Une déUfatioB du syndicM «les reee-

veurs-burahstes de l’Oise se rendak, mar- ffi, é la Préfecture et fut reçue par -M.Meunier.

Elle venait demander an préfet de l'Oise de bien vouloir accepter la présidence da leur bampiet annuel.

M. Meunier a accepté .aveq le plus vif empressement et nous pouvons annoncerd’ores et déjà que la cérémonie en q u e s -» - , «•tions,9fi j te o # à ’,S6lte.dnnée, laÆlWBfifcfe dqçjsifefifl addte*tte, -à Gi-

déLavâtii chemeat (mardi). ,

Subdivision d e M ouy. — Chonih .de grande communication n° 9 de La Rne- Saint-Pierre à Rémérangles, près Réqté- rangles (jeudi à samem), près Là Hué ' Saint-Pierre (mardi à jeudi), _ i

Route nationale n" 31 de Paris à Beau- vais, près La Rue-Sàint-Pierre (lundi, mardi). '

Subdivision de Pont-Samte-M axence.— Cffiemin de 'grande <tommunication,.u* 113 entre Béthisy-Saint-Piefrè et Viw- ceUes, à deux-endroits (liùidi). " ■

chemin de grande communication nf9S de Néry à 'Vilfenéuve, prfe Néry (maicE, mercredi).

Chemin de g;rande commuateation) n* lOOde YiUenenveàRbuis,près 'ViUenesTe, (mercreffi à vendredi).

Route nationale n° 32 de. Paris piègne, hantddlàrtAtede Yeirbeil^si

Subdivision de Trie-Chdteau. — CIiq min de grande communication h" 22 dé Gisors i La LandeUe,. p r ^ la^ a tad iB le? (lundi, inôŒ ), prèsflàvacourf raieftiwfi, r jeudi),' pirès S f l i t - Sulpfeié' ' (venorlSfi, ■

Membres nouveaux au 28

L'Inaugunitioa de la. Mairie de La Mwrfile-cii-Æicas.

M. Dujardin-Béaumetz, sous-secrétaire

à La Neoville-en-'Hez ina i^ rer la mmrie et l'école des garçons.

l a jotie p f lte ville était Mviûsée » e e un godt exquis, di» arcs de tribimiietSé dressmént ça et M; les mmsàns «m ent ;

Renient parées de draqgeéb^ de g û r- nd^ de fleurs.Quand le train amenant le rqttésentant

du gonveriiement estjariiiré eagaotb 1»: muaqne dn 51* r^jment' dlntetieiie,: déot quelques soldats,, qui iqne de .la

e , avaient Gonséati:.i retarder d'un leur iihératiiin, ét (fiiêises' sociétés

. „lesont jijnêU JiCéfseiZ&iiKp-lespoin- jMrs de'IA-TOié èt ceux «Tes locâfiiés Snéfonîiiâieàit une gardé d'honni^.' A-la'éffieceii^'ffii-'âain, le sonfr4eGré- lflèd1SàraHx:iteàjix-aTtsaété r e ^ bar dQL M ôm ià';Jraet idé X < ^ ;

'br^toe; Ltonois, te BQlfisetHtej M

de ____, tefiTîimilliaattefttettetegnet, dessapehis-pmiflérs, p i^ d f l t 'cte.'TA^oflir tionfiatendfle des ptdteptera^ Frihteel

sors (Eure).M. Bavard.(André), fi^ociant engrmns,

à Saint-InSt^n-Chanssée. -M. (îlteron_(Panl), quincailHer, à Chmi-. '

mont-ten-'?exîn, - M. Bloqiirei-Davesne, fabrique de bon- aMâ^*âletieeeat'36asiEQ@M«6JBtB'',.e"i!«ea M. Lëtailleur-Papou, n ^ a â a ct, rue .

des Jacobins, à B eany^.M*“ !>®lanqnè "A

les-MéÙo^_________ '

- P o a r . t a S ^ c ^ oLes demandes l e midailtes

t'ebcasion de la PromotioB de déceuiteuî enfavenr deê S^m s-Pom piers qui (301^ tent (30 annéaeâil’dkHkMBf-dbvM9l|fii|MPm- «Sr I la Préfecture acont le 15 octobre

, extrême délai.

apirte cette■ées ea vue de te PrometiABCte 14 JniUet IMS.

I .

CSnot, _ étC.,«Wë.

La «iAHÈMinfi daê oeois rsco le D^ïteahaaqatede w éM aflïac citr;- rem nitanaM tffifiéé W 15 IfH -tes «derës IniBotairedB te idi^dfiMnMix de:Sinvip,4)ite>4mara pcuviaMM0'£tire iiifi-çrire déis 4#<Ateat..

#V- ;. •--■t

'c ib s ite a rs% p n ^ ése • ‘ - Le

, ârelHteide àCteraadatj-VInKls- dorf, cheTde tecberueéteCImienf, tete

lté ., s'adresser à M. Mmineé O iin ^ tea E ' .ides cours. Hd(el:daéSoiflfiUssafaietes,itlM iu e S e r { e id e ,D « i të ^ ^ ‘- p

V- *4-- :x—-

Page 2: Paraissant le Jeudi ^ të Dimanche. JOURNAtibmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_10_03_MRC.pdfassemblée issue du suffrage universel un élu qui, après s'être voté à lui-même

u s UUUIUÜJSU DJS L UISE

IL '

S o c ié té s d o SocM Érii I t e t n c i s i f t p c s .

CoDfofiDémeBt & l'article 9 t e décret du j la^coiBBtission is f ite i^ du dé-

6t d à y d té s émis par les délé- f s o c i ( ^ de secours mutuels libres tem eâi' pour le renouvellcmeut

epréseutauts au Conseil supé- ilieH .le'3 octobre prochain, à

res e t é ^ i e , dans l'une des salles ÿeetàre.t d é f i l é s deldites associations ! de vouloir bien assister à cette

réunion.

CiHif t i t e s i s a s J e l ’ O ie e .

Présidence de M. Vasselle» Assesseurs : MM. L amiche et Roger.

Lundi s’est ouverte la troisième session des assises de l'Oise, au palais de justice de Beauvais.

Lé rOlé des affaires appelées à être jugées est, cette fois-ci, assez chargé.

•Les débats doivent durer jusque samedi. Ils intéressent onze affaires dont quatre rdatives à des coups mortels, deux à des' assassinats, déiix à des vols, un viol, un incendie et un abus de conflanoe.

Sont excusés par la cour ;1» M. Georges Gùesnet, conseiller géné­

ral, maire de La Neuville-en-Hez, gui, en sa qualitéde premier magistrat, juge sa présence nécessaire dans ce pays à la suite d'un crime commis dimanche ;

2° M. Fessart, adjoint au maire de Trie- Château, gui produit un certillcat médical qui atteste le mauvais état de sa santé.

3° M. Letailleur, maire de Loconville, malade et qui avait tout d'abord été condamné ;à 200 francs d'amende pour absence non justifiée.

A f f a i r e C a r o n (Viol).

Léopold-Clory Caron, dit « Honorât », âaê de 42 ans, manonvrier à Morangles, est accusé d'avoir violé plusieurs fois sa fille Léepoldine-Joséphine Caron, âgée de moiîis de î5 ans, étant née le 5 novembre 1892

L'inculpé est »n homme de moyenne taille, bien taillé et paraissant solide.

Il est;de teint brun,: a l«a cbeveux e t la moustache noirs comme du jais,

La-ptiysio>'0“**® exprime plutôt la bon-- homie et îa simplicité que la méchanceté e tlev iee . . , „

S a . moralité est loin d ê tre fameuse. Néanmoins sa soi-disante victime n'est pas intéressante : elle ne se présente pas à l'audience.

Cette fillette, âgée de moins de 15 ans, est tout â fait pervertie ; elle a déjà eu des relations avec un frère aîné et nombre de jeunes gens de la commune et des envi­rons,

CeUe-ci a abandonné le domicile fami­lial «t a déjà été condamnée 4 trois mois de pctson avec sursis pour vol.

Aussi la tâche de l'avocat, M‘ Gilles, est-ellé facile e t la Cour, reconnaissant la non-ÿculgabilité de l'accusé, prononce l ’acqm ttem ent de Caron.

A f f a i r e B c m p lc r r e .Coups mortels. — Les conséquences

de V w resse.— La fê te des maçons.Les débats publics de la sceoude alfaire

commepeent a 3 h. 1/4.Lcg: ampleurs des deux sexes sont assez

nombreux.Le crime reproébéàBompierreCélestin,

âgé de 27 ans, ouvrier mapon, domicilié à SainttFirmin, est dès plus stupides.

celui-ci est un'petit homme solide, san­guin et de physionomie banale.

. JJaeeutalion.Le 3 mai dernier, Bompierre, son frère

Raoul et un compagnon nommé licé, avaient copieuseinciit célébré la fête des maçons à Chaïrtilly où ils travaillaient.

Vers 11 heures du soir, les trois maçons sortaient très émus du débit Lafont.

Apercevant, à quelque distance, Jrois Anglais flui discutaient un peu vivement, les trois maçons se jetèren t sur eux sans motif. . "

Bompierre s'attaqua â William Cai ver, âgé de .50 ans, le terrassa, le frappa sur la téte aveic son soulier ou une bouleilie et avec une telle force que l'Anglais resta inanimé et q u 'il'ex p ira le lendeuùtin matin.

Q u^L aux deux autres Anglais, Jeckyle et Gaf&jfi.ils purent s'enfuirent sans avoir été attSnts. ' ' '

Leljdoçteur Cbadtbel. médécin â Chan­tilly et ' lé ,'docteur Pauibier, médecin- légista 4 Sèùlis, cjiâcgés de faire l'autopsie du c im vre cbostatéreiit dite fraeturè du crâne praduite par un gros instrument routendant, bouteille, canne ou gourdin solides. ' I

L ’interregatoire.Le président donne.des reiiseignemenls |

Bompierre qui avoue avoir frappé^ m otih, M. fServer, mais avec lé talôb 'd é ^ son soulier.

L'acoosé regrette, aujourd'hui, soid'mé- fait qu'if attribue à la boisson.

■ Les Témoignages.Le docteur Chotunel, de Chantilly, ap­

pelé â douner ses soins â la victime, a constaté que M. Carver avait une fracture â la base du crâne.

M. le docteur Pauthier, médecin-légiste â Sentis, qui fut chaîné de faire l'autopsie du cadavre, résume les constatations cu­rieuses et intéressantes qu'il a faites.

D'après lui, la fracture du crâne a été faite pai- un coup de bouteille, sur le der­rière de la tète, mais non par un coup de soulier, ainsi que le prétend l'accusé.

MM. Bompierre Raoul, le frère du pré­venu, et Hoé Alfred, son compagnon, ra­content brièvement la scène mortelle due à l'ivresse.

M. Quivarche, maréchal diS logis de gendarmerie de Chantilly, rend compte de Penquéte qu'il a faite pour découvrir le coupable.

Les dépositions des témoins Lafont et Després, débitants, sont sans importance.

Le Réquisitoire.M. Christophe, juge suppléant, prononce

un réquisitoire clair, correct et très logi­que sur cette mortelle scène de sauvagerie qui prouve que la béte humaine n'est pas encore morte.

M. Christophe établit très nettement la responsabilité entière de Bompierre qui ne peut invoquer l'excuse de l'ivresse et qui mérite une condamnation sévère, car il faut assurer la sécurité des honnêtes gens contre les ivrognes qui tuent les passants sans motifs.

La Défense.M*Joly, avocat, défend, avec chaleur

et éloquence l'accusé Bompierre qui a été amené sur les bancs de la cour d'assises par l'alcooi lequel est la plaie sociale ac­tuelle et le véritable coupable en cette affaire.

Le chaleureux défenseur démontre que son client n'est pas aussi noir que le dit le ministère public, car il n 'a jamais subi de condamnation.

H* Joly en arrive â la scène mortelle qui ne s'explique pas.

Quant à l'instrument du meurtre, peu importe sa nature, puisque les violences sont avouées. Et l'excellent défenseur tarmine sa plaidoirie par une conclusion émouvaotn dans laquelle il sollicite l'in- dnigenoB du jury pour Bompierre, qui est un bon fils et digne de bienveillance.

Le Verdict.Deux questions sont posées au jury qui

rapporte un vecdict alurmatif avec cir­constances atténuantes,

M' Joly, avocat, sollicite l'indulgence dé la Cour pour Bompierre qui est con­damné à deux ans de prison.

L'audience est levée â 5 heures.

Z r a v e r s S e n l i s

. C o n se il (l’.^ îr ièo ad 'isse iiien t. ’Le.s membres du Conseil d'arrondisse­

ment se sont réunis, lundi m atin,-à la Sous-Préfecture de Seiilis, SÔUS la prési­dence de M. Coqôatpix, présid.eiit. •

Un banquet amical, auquel assistait M. Paul Lafargue, sous-préfet, groupait eùsuitâ nos élus cantonaux autour des tables de i'bôlei des Arènes,

A s s o c i a t i o n P h i lo te c h n iq u c .La Distribution solennelle des Prix de

l'Association pliilotechriiqne sera faite le Dimanche 6 Octobre, à deux heures très précises de Tdprès-midi, dioc fa galle ^u Théâtre, avec le concours de la Société musicale.

jiUe sera présidée parM , L A F A R G U E ,

Sous-Pféi'e) Ao .ae.njis,; orfieier de rinslmeiion jwliliguê,: Onieicr U'Académie,‘ piicvalier du Mérite agricole.Assisté tie

M . L E N O B L E ,iilce-PrcsiJent de riiidoft des Associalioii^

PWIotcctiniqaes, :I oriicicf deTliistrnclion. publique.

r « ( M u ia lto B a ^ —M. Quétii dc la'Poterie, qui étart, il y a

-,)|uelques-,aBi)èOjh lieutenant au “f i ^ d s , vient de demander sa n a ise^ la/' retraite. Un sait,que M. de l a P o b ^ à ^ i

i * é gtbmu CMaaine au 4' huissaias.' A’ illcainfe;''j Æ- îiç.;.

' M.^dè Ligniyille, ancien lieutenÿâfvilT 2° Jiiêsards, qui avait été nommé câpitié^^

.au 7“ h'ussarus,. vient de passer capitaine commandant an même régiment.

Le colonel fiarrau, qui vient d'être promu général de brigade, est marié, on le sait, à Mme Jeanne Vaniékaut, de Senlis. M. le général Barrau vient d'être nommé adjoint au commandant Supérieur, de la défense des groupes d'Epinal, gouverneur d’Epinal.

« »

Par décision ministérielle, M. Demon- geot, lieutenant au 12“ d'artillerie, vient d'ètre inscrit d'ofiice au tableau pour che­valier de la Légion d'houneur, en raison de sa belle conduite à l'engagement du 8 août et au combat du 11 septembre sous Casablanca.

Ce vaillant officier est le fils de M. De- mongeot, ancien capitaine de gendarmerie à Senlis, décédé.

JP itU ee e e r r e o t i e a ^ t o f fe S a d t eAudience du SS septembre 1907.

Présidénee de-IL Paisaxt;-jMsidéat, lliniatère publié : 1|. LEBiqn siibsl^t.

• ChaiMy. -- Le 15 s e p te t^ , vffl» huit 3^' heures du amr, FoeM u (4osep^-48 «as, fit ' une observeuon au sieur Hommire), soAvoisin, uriuant l«r:h>ég d'un mur. Celâi-ei v e n u que Fontaine était ivre et le coni^tsant,.MMir un, individu violent, ne lui' répou^pas. 'f ^ a in tf étant rentré chez lui en sortft épmé, d'Uii n e ^ de bœuf et apercevant Mommftsel, il fui lança un violent coup de pied qui l'atteignit dans le bas du ventre.

bangiri Se 'voyuf découvert Au ^ in e ito n S s'appr^ait à partir avec son.btttîD,_^Boebet'8C

tm uuglenr etvStâWnr

S p o r t V é lo c lp é i l iq a e S e n l ls le n .Nos lecteurs apprendront avec plaisir

qu'une réunion de courses aura lieu di­manche prochain, â une heure et demie, au vélodrome de Senlis. Le prix des places sera réduit de moitié (0 fr. 25 aux secondes et 0 fr. 50 aux premières). Nous sommes persuadés que cette réunion obtiendra un vif ■succès si le temps lui est favorable. Nous donnerons dans notre tiuméro de samedi le programme complet des courses

L e s P r é v o y a n t s d e l ’A v e n i r .La recette mensuelle des Prévoyants de

l'Avenir (585* section, Senlis), aura lieu dimanche prochain, 6 octobre, de 1 h. 1/2 â 3 heures, chez M. .Razet, restaurateur, 46, rue Vieiile-de-Paris.

C o n s c r i ts d e S e n t is .Un de nos lecteurs nous demande pour-

quôi nous n ’avons pas publié l'affectation des conscrits de Senlis, comme nous le faisons en général chaque année, poqr certaines communes de l'arrondissement. Notre réponse est simple.

L'autorité militaire ne nous a pas encore communiqué ces renseignements ; aussitôt que nous les aurons nous nous empres­serons de les publier.

L ’a r r i v é e d e s < b l e u s >.Hier, une certaine animation régnait à

Senlis, principalement dans la soirée et aux environs de la Gare.

C’était, en effet, l'arrivée des «.bleus » qui, baluchon ou valise à la main, venaient de quitter leur famille pour entrer au 2* hussards: Nous souhaitons la bienvenue â ces jeunes soldats qui, nous n'en dou­tons pas, trouveront auprès de leurs aînés

la carrière, le meilleur accueil.

t. :

sa r râccusé qui est quereliéùr, batailteur, buveur e t violent. '

II i'nterroge sur la' 'scène dü meurtre.

Q5)FBiniABre»D0<

pnOGRA»«ELa MarseülaUe:. Bocost de'l’Isis' Par la S o c i é t é î l u t i c a l e . -

2. Discouradu Présidcal.3. Eu Liesse, allegro Tcri.ne.4. Rapport de H, CACNY.3. Rotalinde, valae.. : ....... C, Srazcss.

Par la Société Musicale.6. BisiribulioD des Prix de rAsaociation Pbilo-

teébuiqBe.' ' '■?.'jPàijSée dé Jhaiw, polka. Cobmx. 'ffXAIIoèiriioé-lie M. le Kcpréaeuiaat de f.Asso-

ciatiuii Pbiiuleubiilque do Paria,9. Jacob, paa redoublé.,.,-. ...• MzE.vz£k.

. : — . . .

Des places sermil-ttéseroécs: aux-, élèves.'

A c c id e n t d e vofti(i>e.M. Chédomme, boulanger à Senlis, avait

fait racqqisi'tiQn d'un cheval de réfgrmo du 2“ hussards.. Le soir îiième il l'attela pour l'essayer." Arrivé place du Chalet, le cheval s'emballa ; M. Chédomme tenta d'arrêter sa béte, mais les rênes cassèrent et Ig cheval fl{ un brusque écart qui pro= jeta son conducteur en. avant- fie defniér tomba sous les pieds du cheval et une l'OUB de la voiture lui passa siir les peibs. Relevé aussitôt, M, ChedouiiTie fut pamenô chez lui ; examiné par un médecin, celui- ci ne constata heureusémeiit que des contusions légères.

l* o Iss« u av R P ié ,Lundi dernier, notre Commissaire de

police a dressé procès-verbal contre un marcliaud ambulant, Alfred Calimache,

SOS)' demrupaijt rue d’Pcosse, à Paria, qui venoait du poissoB ppprpmpu. l4 kilog. de brochets, baritillons, 3 lan­goustes et SCO écrevisses ont été saisis et ppfpni.s.

D e u x q u e r e l l e u r s .A la vente des chevaux, deux marchands

de I chevaux se sont pris de querelle au snmt ds l'achat d'un cheval ; après avoir vi(^ leur vocabulaire habituel ils en sont vequs aux mains ; les personnes . pré­sentes les. ont séparés 4 temps car il y en avait un qui avait déjà reçu quelques horions.

' d b j e t s t r o u v é s .liiie.tïdèli'e blanche d’un militaire du 34“,

portant'li n" 0837, 12“ uompagnic.Un carnier de chasseur, contenant du gibier

et de» cartouehes.

Cet ivrogne brutal est condamné pqnr coups à 30 francs d’amende et pour ivresse à 3 francs.

Chantilly. — Dans la soirée du 3 septembre, vers minuit, Parker (Edouard), 30 ans, sujet anglais, palefranier à Chantilly, a tiré plusieurs" coups de revolver, dans le but d’efftàyer les jeunes gens qui sortaient du bal Dambreville.

Poursuivi pour port d’àrme prohibée et tapage uooturne, Parker attrape deux amendes de 10 francs et 11 francs.

Coye. — Le 25 juillet, Lamirand (Albert!, 41 ans, epicier à Coye, a outragé M. Vaasi, maire, qui lui dressait une eonfravention pour infraction à la loi.sur les débits de boissons.-

En raison des circonstances dans lesquelles les oulrages ont été proférés, le sieur Lami­rand s'en tire avec le francs d'amende seule­ment.

— Sur la plainte de la dame Bosquet, de­meurant à Paris, le sieur Bosquet (Emile), 48 ans, et la dame Lœwé (Edmée), 33 ans, de­meurant tous deux à Coye, poursuivis pour antretien de concubine et complicité, sont condamnés chacun à 25 francs d’amende avec sursis. La dame Bosquet obtient le franc de dommages-inlérêts qu’elle réclame.

Creil. — Le 7 juillet, Gosset (François), 17 ans, alors ouvrier de fei-me à Liancourt, a voyagé sans billet de l'Isle Adam à Creil.

Comme coutumier du fait il récolte 30 francs d'amende.

— Les braaonniers recommencent leurs exploits. Sont condamnés pour chasse sans permis et en temps prohibé ;

Loisel (Charles), 28 ans, â quinze jours de prison, 50 francs d'amende.

Sauvai (Eugène-Jules), 29 ans, à deux mois de prison, 50 francs d'amende.

Rœder (Jean), 22 ans, à deux mois de prison, 30 francs d'amende. <

Ragot (Eugène), 68 ans, à quinze jours de prison, 50 francs d’amende.

— Prétendant que sa voisine la femme Duriau, l'avaitinjurié etmenacé avec une bêche, Lenglet (Gaston), 36 ans, marchand de ferraille à Creil, a asséné sur latéte de la femme Duriau, '«a éoup de' bouteille, qui lui a occasionné de sérieuses blessures.

Malgré sa déplorable attitude à l'audience, où il montre son caractère emporté et violent, Lenglet n'est condamné qu'à quinze jours de prison et obtient la loi de sursis 1

— Lé 14'juillet, Loisel (Charles), 28 ans, et Dumont (Alfred), 19 ans, ont été vus en com­pagnie de deux autres individus, braconniers comme éux,'tuant à défaut de gibier, des din­donneaux à coups de bâtons dans une partie de bois destinée à l'élevage du faisan et en­tourée d’une clôture de deux mètres qu’ils ont escalader".

Reprirdê'ce fait pour vol Dumont et Loisel sont cohdatnnés chacun à six mois de prison et à dix ans d'interdiction de séjour.

— Ayant fait la bombe dans la journée du 24 septembre, Guérin (Henri), 28 ans, garçon boulanger à Oeil, ne se sentit pas capable d'aller travailler, comme il faisait habilueile- ment. Passant vers sept heures du soir devant l'étal du. sieur-Maupin, boucher, rue Gauibetta, il eût la malencontreuse idée de s'emparer de la bicyclette du boucher, qu'il- démonta entiè­rement dès'koii arrivée chez lui,

Cuériq est eondaBiné à irqis piois de prison, Sauvai (Eugèno-iuies), 29 ans, e( Bteder ' 22 ans, qui dans la nuit du 4 août der-

liier, ont été surpris capturant du poisson, dans Ic-grand canal de Chantilly, à l’aide d'un épervier, sont condamnés chacun à 2 moiscje prison et à dix ans d'interdictiçü dp spjpup.

en gare de Creil, isant demeurer .à Fu-

son billet, Ipteps' t e l

Jàéli le mi

28 ans, femme Lermilte, et Dupais (Aehillè), 23 ans, tous deux sujets Belges, demeurant ensemble à Honta- laire, s’entendent octnrter pour. complicité,-chacun 25 Irani “ sursis.

— Le lundi 26 août. Fontaine (Julien), 16 ans, dit « Barnum », et Cocu (Maxime), 3ians, se trouvaient, vers Anit heures du soif, en état complet d'ivresse rue Victor Hugo, moiipfaiit de frapper les passants. Le garde champêtre Lebrun ayant voulu appréhender Fontain.ê qui causait le plus de scandale et avait un couteau à- la main, dut sootenir une lutte avec les deux

.ivfognes,41 futMfdU fi la main par Fontaine, qu'il eut beaucoup de prane fi déænnert- -

A chacun quinze jours de prison 5-Jfaocs d'amende. ‘

Après de longs débats au cours desquels de nombreux témoins furent entendus et con­frontés. Depessemier (Joseph), âgé de 23 ans, ouvrier d'usine, demeurant a Montataire, re­connu coupable d’avoir, dans la soirée du 3 août, exercé des violences sur les sieurs Neerman et Vau Renteighem et fait usage d’une arme prohibée, est condamné à six mois de prison .avec application de là loi de sursis et à 16 francs d'amende.

Morienval. Le 31 août, vers neuf heures du soir, une querelle éclatait entre piusieurs ouvriers qui venaient de prendre part au repas de fin de moisson offert par M. Delattre, culti­vateur à la ferme de May, à ses ouvriers, Mé- laye (Ulsème), 20 ans, Dumont (Paul), 19 ans, e t Léger (Joseph), 20 ans, quelque peu surex­cités par ia boisson, reprochant au sieur Potel (Louis) son excès de zèle au cours des travaux de ia moisson, se iivrèrent sur lui â des vio­lences heureusement sans gravité.

Chacun d'eux s'entend infliger 16 francs d'a­mende avec sursis.

Mortefontaine. — Convaincu de chasse sans permis, en temps prohibé et de port d'arme prohibée, le sieur Roliet (Georges), 30 ans, comptable à Paris, est condamné à 50 francs d'amende. Le Tribunal prononce la confisca­tion de la canne-fusil dont s’est servi le sieur Rollet, qui devra la déposer au gréffis du Tri­bunal sous une astreinte de 23 francs.

Péroy-les-Gombrles. — Le 23 août, vers minuit, Tassin (François), 21 ans, et Tassin (Louis), 19 ans, ont menacé le garde-champêtre Gonnet, sur lequel ils ont ensuite exercé des violences.

Le Tribunal leur octroie à titre d’avertisse­ment, à chacun 6 jours de prison avec sursis.

Pont-Sainte-Maxence. — Bahu (Jeanne), 19 ans, domestique à Compiègne,.a quitté ses patrons le 15 septembre, prétextant la visite de parents. Ne la voyant pas revenir, la dame Marneau sa patronne conçut des soupçons, et constata la disparition d'une jupe et d’un jupon d'une vaIeur.de-50 francs. Banu (Jeanne), fut retrouvée à Pont, où elle était venue se placer, le jour môme de son départ, elle fut trouvée en possession des objets dérobés, qui furent remis à leur propriétaire.

Elle attrape 15 jours de prison avec sursis.Russy-Bémont. — Le 8 septembre, vers

neuf heures et demie du soir, Pécheux (Eu­gène), 21 ans, qui était ivre, causait du scan­dale dans la rue principale du pays. Invité par le garde-champêtre à rentrer chez ses napenU, Pécheux riposta par des OHiPftgBS,

Coût : 23 frs'ioa ol s franos u'ameude.SenUs. — Le 14 septembre, Süss (Henri),

48 ans, a été arrêté comme vag-abond à Sgiilia'il passera un mois à la maisoq (l'at-rèt.Verneuil. — Soyer (Pfiiéwon), dit «Albert»,

27 ans, ciiarrçilçn à la Rue des Bois, commune (le Vçpneull, qui le 2'2 seplembre a commis un outrage public à la pudeur, en met|ant à uu ses parties sexuelles. dçYâ.ni (a deutatsolle Coiilechy, est ççnijâfflné â 6 jflin s de p-isoe.

JU

DE M. Lehoie. — nous avtms ro "e l'infortanè fons rajpportél loncé pa r un»e ir; aujourd'hui u « É « |p » ,^ r t fnd qui a été n d s o t ^ Ê L * autre camariàe —i^e tS i S »

trop tard pour être p S 2 | ‘ :9 $ n r temps que le premier. ' ’

Mesdames,Messieurs et chers C&marades.

. Un bien triste devoir nous Jncomiu. :étiui:Miir reniiire hommage fi la morteiK de notte ca^SST L enoiî

La nouvelle de cette mort cruelle .S: nous .des plus effrayantes en pensant q K semame dernière,-fi pareil jourraaSm ïS.*enait encore avec nous notre vZez-i

camarades, exèeUent travaiUenr,èeonome ; par ses bons conseils et ses b S '«xempl^ - il avait gagné parmi no™ t S ... notre, affection et l'estune de tons caix n n ^ connaissait : ayant accompli son service mit- torey il était rentré daSs son S s “ “dAniiiG lin a n *depuis un an.

11 avait repris courageusement son travail « se mettait en devoir de se créer une comCn. et un intérêt personnel, mais une m alad K i 1 obliger fi remettre à plus tard ses ppo^ d union ; recommençant fi travailler d e S quelques jours, il était joyeiLx, se vovant m avenir heureux près de ceUe qu’il 'aimaii ■ avenir qui devait lui être fatal. '

d’amende.Crêpy-en-yalois. - - Isabel (Berllie), 29 ans.

femme Leinaire, et Lacoinbe (AlberO', .31 .ans’

ionrsuivis pour afjultèfo o( pqiqpücilé sqat* igndau)né§ lihqeiiq à âij francs d’amende.' La pn(me Lemairo l)é:ié!icie dé la loi 'dé siirsis,

O b je t p e r d u .Un mouchoir Manc maï qné.

M g g r i q e i , I ,Q (g qg^l. W ÿSuU (lllppo. iyte). Si ans, wa.nouvner fi Floiirines, qui était pris de Imisson, fut lencoutré vers dix heures et demie du soir, par le garde-champêtre. Çelui-ci l’ayant invüé à rentré chpz lui, Fri-.

Etant représenlé comme bon ouvrier, l’inso­lent ivrogiie s'en lire avec 16 francs d'amende et le sursiSj pins 5 fr, d’amende pour iyresge,

Lamrlayè, C'çst la (lèeniièiia fqis que Lecuyer’ (Louis), '53 ans, posait des eallp{s, Iqrsque le 26 août, vers neuf heures et deiulB du matin, lé garde-champêtre Hervln, l'a pincé dans le bois derrière le cimetière, retendant un collet qui avait été dérangé.

(joût : 5(1 francs d'amende qveo ssipsis, jto>totetpe,-r-Uftofauei}e(Àngél(ne), 25 ans,

femme Bonéz, a quitté sou mari, au m'ois de mars dernier, pour venir habiter Montataire en compagnie de Maillard (Ernest), âgé de 42 ans, qui lui-même a abandonné sa femme, avec la- qqslle il demeurait fi Quts,

Sur la plainte des deux époux délaissés. Maillard et la fêiiniè Bouez récoltent chacun 23 fr. d'amende.

Marché de Senlis du Hardi 1““ Ooiabre 1007 .

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Av'eiue jFarine, 1" qualité.. . . .

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PRIXJOêlil.

PRIX PO H»»,I «zl'h«ctû.

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n ü «u .7018 .. 8 65 -1817 .. 7 3(f 44»» . .

lier üt:8 Poitts et Travaux en "Fer, Bochet (llei ri), 32 ans, mangfivrier à Moiitgtsjre, conçut l'idée de; dérober des graisienps en bronze qu'il a. enlevé des moteurs se trouvant sous un

FAITS LOCAUXA p rém O B tî - r Tombé de OuEvai. —

Dn accident s’est produit sur le territoire de celte commune.

Un charretier de ferme, Cledofflir fluHot, monté siir MB deq trois chevàHX traînant, une charr-étte, est tombé de cheval, et s'est fatt â la tète et aux bras des .contusioo»- sans caractère de gebéâti.

L'accident s'est produH gnr !g chemin,plg,.... --------j .èufiifat

le rsaut ici-bas dans la doufeur celle qui avait mï» en Im tout son bonheur et toutes ses esné- rancos en comptant de lui faire son époux « dont cette cruelle destinée ne fit qu'accabler I» douleur, pleurant à la fois son frère et son fiancé.

Dors en paix. Camarade, nous garderons en toi un éternel souvenir et nous reporterons sur ta fiancée inconsolable toute la svmpathie et 1 affection que nous avions pour toi'.

De tes bons patrons qui te considéraient comme leur propre enfant, de ta fiancée éplo- rée, de tous tes camarades, reçois, cher lL noir, victime du travail, un dernier et étemel adieu ! *

— Accident. — Le 27 courant, à trois heures du soir, M. Eugène Douy, âgé de 30 ans, charretier chez M. (àievâlier • cultivateur à Vaucelles, conduisait sur là route de la Gare un tonneau d'arrosaee lorsque le cheval lui a marché sur le me<i droit ; M. le docteur Résibois lui a pres­crit un repos de quinze jours,

Boran. — Incendie. — Un imièndifl % éclaté dans la nuit de dimanctie dernier dans un bâtiment de la ferme de M Bos' seux Gustave, et appartenant à M. DtiponL maire de la commune. Le feu a pris près du lit du vacher qui, en se réveillant, vers

tas“flam m ef Il courut aussitôt averür le charreüer

ÿ ly . Celui-ci, avec une pp'ande présence ' d esprit, se mit en devoir de faire sortir les animaiix des étable et écurie, tout en poussant' des cris d'alarme.

Bientôt, aux sons de la générale et da tocsin, toute la population fut snrpied pour çoncpanr avec les sapeurs-pompiers à 1 exttnoGon tlu feu. L'incendie fut cir- oonsorlt rapidement avec les deux pompes communales,

On éyaîue à quatre mille francsles pertes éprouvées par le propriétaire et son fermier dont, le grenier situé au-dossos de la v,i- cherie contenait douze cents bottes de foin

Le tout est assuré.Une lanterne défectueuse, dit-on, serait

la cause de oe sinistre qui a mis tout le monde en émoi.

Chantilly. ~ Mout de M“ Baiézeaux.Nous avons le regret d'apprendre la

mort de M““ Henri BalézeauxVnée Julie- Adèle-Suzannejlelpire, décédée à Chan­tilly dimanche,; à l'âge de 33 ans. '^ La défur.te,quiétaitrépouse de M, Henri Ba ézeaux, notaire, et la belle-fille de M. Balézeaux, premier adjoint de la ville de Chantilly, a été enlevée à l'affection des sienspn Mut dire presqtie subitement,

Aujourd nui, i 4 onze heures du matin, au milieu dun grand concours de-popula- Uoii, ont eu lieu les obsèques de la re- grettae déf'untei. Le ceroeuil, déposé sur H".®*',®*' ^e pretpièro classe, disparaissait lilérallemesil sdus les fleurs et les cou- roRBèa, L.o service religieux a été célébré eu IVghse Notrfbûawe de Chantilly, m . le Cwé a Qhanté lâ messe, et M. le chanoine , Muller-- a donné l'absoute. Reconnu au hasai d dans le nombreux eor(ège •-

Mgr le duc de Ghartpcs, Mute tab?-,Ann» H.Rothschild, MM. Yallaa, Æ î h .n f

lajqtOïÿeuvè, Lbuibois, JJesabie, Mardelet’, ÆBglois, Gruyère, meuibre do rinstitm. «i»l

Decanville, BU| 'cou, Dccanville, 'buplàqi!el7de’' S e , * d ê mipionnière, Turquel,

etc., etc...

Le 9 septembre, travaillant près de l’ate- e» caropaÿlipi p|Jp suite de la pour' " ■ - -- ' chet qote'.QMyale fihevalcBTayé.par le bruit

que rmsaicnt plusieurs personnes ramas­sant du bois mort dans la forêt iongeanl1q rzMila C X

nÆ c® , cette doiiioureuseclrconstMce â M. Balezeau*, et â toute sa faimlle, l expression de nos plus sincères MndoIéanMs. Pm§ae»t toutes les marques de sympathies qu'ils ont reçues atténuer dans la mesure du possible la douleur que leur cause cette mort aussi cruelle qu'inat- tenduei ^

LÉ _ -ÿ! : . A m fw w i i - A P O i N T e .

-.V» fc'i. ’A. j H

i> B Ü X IÈ B ^ P À ftT lE'■ ■ ri'--*

J 'a i dû 4aussip tè tou tu fe» , ¥ ’W m ^ qjai

*wrts,J— . „

I r e F i l i p i ^ a . . .IMSil e n ,li.tBciie.& ''açes< p s s è 'r e x e cessai e 4

-CharV -4)1es« h c i t ton t e h j

Que sa.vez j ’ai v u arriver, un1. _— j-.— .. — — jeune homme de ses amis, nom mé Jac-

q 'jes-D f’ier, un fe in re , qui,, autrefois, venait assez freqnem m ent-au cbà e»u.

: Q iian t â C|iariétte,.elile tra-vai'le comme -par le pa.ssé, et ce q o j le prouve, c'est -que l 'ayan t su iv ie,.je j 'a i vue e n tre r -, hez-un fobricant d'éventails m ais elle n e sort,piita seule ; sa nàèreoù M. Didier rdzçom pagiqeni S e trouvez -vous' pas,

'b«»inieu.-moi;:.qae: io a te s -c e s choses,: ajaittéea2rdà4i8paritn$h dés dovze. cent :'iri|l]e fcaacaet à ce (te« ac te-d e Rofoert-- 'B éri laissée à la p lm e 'd é s biHeis de ;^ w b q e , sont pour le m uinsh ien singu»

Xa disparition dés douze cent milia: .c«)-abui,-.-rfipoDâit f ëcsle, 6 <r- elle

T ejif t<v-j iu rs-m y rté r ie i^ -l> auép'tis

% j é ^ ^ f t p a r |* a l^ a n )e a t

— Je vouâ'disais. i! n 'y à qu 'un ns t . n t qii'iR’y i vâiV du ; nouveau chez ConstadaeV«édfër/'Voîci cê'qtie jé sais: Donstataca aç tô u ù A eoup, reconquis

,,4iae.sérénité, u n c i(ine sui sont ahsplu-' ÿmpqt a .ét'^Ô rd.n 'fres après la ^ a d d e -dcîa>eiiir(iu’'ellé;ayàit’lais^é vo ir ; it n 'y a.plRs'-iiii éBe hi abattem ent nirtristesse.

le 'c rœ e à Ml “ 'h nae'fi'çr' 'ce c hang é in ê lé tASji-''

■vant pàs,'j’èn tiè- JTijquiètttde.B iié se-pfiwf q>a4 Soff- diéjà

w na'-ie'ddeuf:-dé ■'cette, ,témme,.,..

i m

- elle.:

fA lw é ^ ta M o ite e S ^ é À rse rà 4 Très certainement Paul, (R obert..

[ curaâ 'm ére p o ss^a ie lit h h è ’seCoade' f âtiê 'éû#* teirt yaâavaücdih doute; i is '

a m ,F â Belle’'.h w re . is9» iif’ 'R hèrt(;j^ éi.it'.le,

■ j i^ i té 4“e;c«nc,ier^

iél8tieSf.ja coteWn-^ison d«k lèt; M éfifS é tém eu b ie s’owyraft: "Le c-èf:-eiié"pitoyâhhr côniédie (hi-.

• rente. Ainsi s'explique rapp.!ri' d^iï hdrame coifféd «B e f inyànt acpte-^du parc,

Ç ^ j t Paul Bobgit , t o » testa jjB Instant tout méditatif.

fSanihté! ,dit-il enfin- . t^ n c , reprit . eécfle, aucun" d 'nger â

craindre/ poiir'-’e moment du- ttô'ns. '^j^uilefbis,:jé^suis dg vitre avis g n . ce

katfejfÿg ta satisfaCii >n;â,donner à

doits d tavoirréalisé e n 'a fg ê u t la suc cession de Robert-Bey.:Ce i-e sera pas long : c'est dem ain ta x'éhte. — Après cela, tenezTOur certain qu’il ne nous sera pas dnnCile'de nous em parer de la personnede Charlotte, m algré la vigi­lancede sa mère et de ses gardièns.

-Max àv t iin soupir de Joie.— p a n s h u it jourp, conc.lut Cécile, les

tro is miIlions,i.prix des immeubles lais- .sés p a r ' Rolbert-Bey,, seroiü dans nos m am s, ef V -h ^ :q u a tre heures après

-CharzOtte'sèra a vpitaLi.Lès tro is milllODs,était.;ce pôqBiJblei..,

:■ Q uant à.CbaTiotte,.s^iéhneùàis dose;..doOiaient gUèfe d è la pfdfe'çüôn, à’ la fokuntelliger1e,-ja'foüsé'étThquiètë;'qiï^

'y e tlla it s.pr.^j)gjidte ffUé!- - ; . r

. -ail

", el>atrthre deS:Do,ta;i'as, o ù -sa rfh n t iddé;te,inj)cdis; les eehtès volontaires •de hidns m jmeohies, est ù n /Û tim e n t

én M n ->iôuB!é s u r ta niaiÿ r ^ iy ^ â te le t , ^po>4e. je nF ,:12 de': I .dèhorsr rien dé 'm o d u jR e d ^ -■ t o de' gfandèh’sa i ^ sanstcaraetère, :

C 'est là que nous aliouis conduire la.leTgur, ..... ■.---sïï-' ' f-' .'.Les . û d i ^ ^ i o n s s o t# anodncées- potir to ta -o n ne commença qo'ô u n e haurg, -:a^-c*â»t -taBtemapt â una heHte-toiDS^ u # quart ô u ta r r ty i^ l l l l f , lisi fi'é*t ip9» d e : # j e ‘ BUm onda oa to tftv ee '^ u i a u m 'position 'officiel e , se miiqué' entant, dn- -imblic qii’â .Paris. '■

____... —.... ,, P a ' s l’’aiitichamheè.ae t4ttaBéii^.dmiz.1 Bfà liB'siiiprj à çh f|Jù e .^ i ‘p rd e o L Jp p o rtf

d e la salle des ventes, et que Ton nom ­me là, noiis ne savons pourquoi, dès commissaires. A côté d’eux se tient un personnage, tout de n o ir habillé — une tête de sénateur rom ain avec Tofgare lourd e t pâteux que l'histoire attribue à T hère

p è s q u è L'a notaires font lewr appa ritiou-ce personnage sé lève e t, s’ad-es- san t au public, dit ,

— Q ûi'a déinaudé H . 'R obin?.,, qui veut p a rle r â M. Auquont ! '

-Alors îes clients dq ceuioci sonf^admis .dans pi(e salle r g s t ^ â : jqùi' précède Je i to te i i ç é t qm y. com m unique pa r deiut t a r ^ p o r t e s v . . ; . 4

_ t 'è p ié tra re o B salle des' 'ventés rés-r ■femfata^.Bii'M ltefia'; c’est une gràndé p^iècè-HSteaabt un carré long.-r. à'Cec'

, .tiennent .succeesi vé .in^t' - taf B tfiw es vantes, ù n :

tê te d e néna- to r f rb m a in , .dauttitainiissioBcat t o r d e s feux ; un peu .p los-has, une

plaèè fe s^ ^ a m e a ^ ^ llr im e u rs j:p u is"u n e> ah « to d e> »

Tiofe ^ % « / 't a q u e t J e e r t i^ a d i to i :^ : vulgaire |mhi!(t.r:yles/eBrteax. r

A u n e t>c>H$..préinsérl('iiairâ“a ’d ^ héritiers R obert ^ y irM e è f p f t riape an “

NifiBi*: el u t fé g sM a é ou eHéttr,:.

" k “ ®n»rWiW8tiél3el ' " '

è lé k d é p tn f to d f i i r

j ^ 5 L ’ ® principales con-d i n m H £ t connaître que les tro is lots, • ^ ^ ^ • e p a r é m e n t seraient réun is en

"5t et rem is de nou veau au x en- riières s il se présentait acquéreur pour le tou t. Les immeubles é tan t lOurcs d hypoHiè(iues, le p rix devait en être so ld ed an s le s hu it jou rs.

O n commença p a r le château des P e- ™ s ^ o g ^ « i r l a m ise â p r ix de quatre '

L ’hom m e des feux plaçai au ichande- .lier à.deux brancbes.qu’ii avait devant

^ « U u m d S i . ô : - e t oont la. duree est . « .nmna. dr, seconda, e t de sa v o ix iO u to i u

— Premier feu ! - ■

^ i l a r n v a u B o te M n t è « l é t o n y » ^

i« M 4 rsàS fe ftn cs l:«é* jtMWidachéscnajt le

SOUS d pour nouvcML

tlà è m

sonsur.:U e S é N e N tto a

H

, se pron 1, e t Jej

niawitis Jerrouuays,

| r t se rendit I I Jeanne Pa^ I fious de l'oeil] I pied de c h e ir I La version 1 Amédée, el ijgiossche, â | Ijfffférente.I «Selon lu i, ,Iffles de m onl I ne jusqu'à I r 1 . j U ^ e t t e i ^ vi^Ianoe l I II ne s 'apej «u'il était tri?

Le docteu -déclare que |*orte d’une 1

__ BaELA»^■jefnier, le frères Boude! r in g ^ n e d'a d'existence, ( don pour vaj

C r a m o ta Mercredi der de Mlle CléB dart, bouchei Bubuisson, i d'offrir nos ■ BOS meilleur époux.

C r e i l . — - C'est avec u f fidèles des rexcellente , donné rendea U superbe s u fer, et certesj iprès midi, m Marcher su ri eonfréres p a r te ce petit cta

i »nsacré par j d'en louer sa» Isrprétation, J lé té cette f(« y ierre Lefrad te maestria r accuse énoro. te mari de pa

an sérieu de résista tenaire iT

„»3.tle ingén te teav een ea- IL Henriot ( J | typique pris • k M. Oural ( reste de la t i i hsaucoup d e l S iifle sq u e lsl

avait J trèsT

m en raison l du beau lem i i to T iin m e q taiii .-qu'il u'] to é r , quan r é e gui se , tatives d il assu ^s de rivaliser aves c’est du resU ■ surs de noL

matinées 1 pâê

Terminons annonçant : -wivie d'unej MOUS Bxeron

r , : . . - .

." f:*

Page 3: Paraissant le Jeudi ^ të Dimanche. JOURNAtibmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_10_03_MRC.pdfassemblée issue du suffrage universel un élu qui, après s'être voté à lui-même

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— TmEE«i(m. — rutfr -suçD ^ sst ^wrte 'ômÈP? üa. 'ûsniyiaaîit TMtouût. =0® airacÊ ju c lt i mn- ûf-sfs 'BIBê-raÔES- ifiemiisgîîi*- §>Hiygiiia>tfr jtfuir -su TOgTîTtf mjjç iitm iiTtairw? OUf UiflSï *anÇDS& •Bnrii

— VuL. — Ciaai^atiit i(ot*f4c 5S.. 'üaDJSi—r m . èhss iæ 2ife- £ 3 » ^ atïiaa^_la jiiiTiajiB‘§iiL‘ünïuiii'^-. sii sittüôssnat-- h. jüiffl üuii 3*fiT >i ‘AUiü&t SI ;t xiii^.liŒtf «àtnmt itf ft'îiè» 5r. Coif- 'flUOD4te SK 4a—■wHTîi? amer .rfCrun' fHT '!“'aiifeur -lie 'W îîarfâa

3j2? 7T3U«r*$LS- — ITiJt l'iilETîEWtniBilLiiiiir srassi- t fût ra ia»» inacrt ?aiiiut- M r^ 'U S - nü; îi«iDS._ BU t f'J- <i îh- ■s-i rî3 2 3 LL ■ganwjÏ! -s-ir.. c"u;tii™?r "iü iiiûî a i ïâiiaa- . . -

Zt? amBSBjiiin œniaudiis. isitir tiiuüiti _____ «»’n*!!”eM»n;nnr a*4iir rxr?;M3t fc a*i*?-

?î>f :L .Sriant*- U 1 -fUr? fv)Œni”'ir SïUfiiÜiî Sl; ïiE-'J jMiff—Ira-es: niï-. S-S ’i*- 5 — ru*- 'fit ‘it

u .- t s -ri- fàtfxsL -sf- la r i ’( femâiâciri-.. fit fia is -affût: .L iricr-f- ?*iJTics ji^ üaLi ! TLÎiasfuïcs- t it -t-jizOTir- ri*? «BcnuiiaE î. ; i-;ik -aiTiiBio' a ''-biït- - * 'la "th* -ct Swt-

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~ ' ^ — 1 " ^ a » f i* r } - r « i « - iK " n m ü f T t S I S I f e O i t i s f i l t iO I I Q O U S t^

f Î T - f Î i b ï s i b s t a n a e s î i w i e s k s - ^ w D » s f « - - ; : r 2 - - a ’ ■- ^ - a . - t u - . j u a t â * r w r i s r ' r u i s ' a i n i a - i œ S i i a r o e

- a f 1» i ' i s a j i i t ï Ê i * i L - i .o n s H i t t u e s . T n a s ^a rra.--.! a i -Jîifc-«iir. X . i igf iÆara^ÔI ÔEwffifflir « t e

l r . . i i t - a ^ t u a ^ ^ ^ i ^ j u a Æ i T H r s ' - ÿ 2 i C a i u t I T u i i T a f i f - 51 S i S i K -

; : - : i ü f . I ^ a a a - j f c E t i Œ L j - S a - I— ; . 1 ^ „ . t t ? w . - t i w i i - i s . a i i i m ü ï r j m a i E i e f e n f a r .

« . * r , i » - u w « a i r . . - B a r s É m i î S t f a m s a t

^ . a .’ t . - i u r H C a a î a i i i n ; e l t ; >! ; „ g E œ g „ ^ j . t ^ a r a s * t * 7 . - « -

I — i l T - w ^ r - C i t c r - — ^ u 5 ™ a p ® în s 1 k T i ; r i r f c T H t t W .!i£QlffiïFwSI-. 3 C .. $ - 3 t o -

T E E t s u r ; i a i i i B u â s f ü ü i ô k â a s a i T i i i r a i ç -

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S i f M W a w t e ' a t e s Æ a a a 1 1 . « m b û h u s æ ü . l e- . - _•__ - •«•-r-,TïT- .TturmrvaikC 1»Mlî «r7r >£.UsBMlUJSr aUur

t;i,ii i. , .a r xTtrtettüBniga .g " BriSESniK...

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te» - - rf-ng. ~ ;im iî JLEàwas- sHSsaten: «lau -gEàffi-«æs ■ftn a m a g ifeteB r oaas I sLESrie sa te te ; * a E ï -te «M ina; Jk

■ s :!3 rs!S._ i s l aH! T « isnr•■■■ -mitf 5îi«a i flBtPîgineaiteîns ^isi it-aiar iai- ite te te tes t e dus aranuis

jiarsiBBS. * t t e è b s te umsigni:r ^ute'teHWŒawKf . a w » k te p g jg g

«fflisa:r?*s-'k--fin£'«s;-oïiE teacs tegpsc Kaj i^aur5Eik jii(‘-£aa srfisitataate

t t f l i H i i ï t iT a f f î u i f f

tüsa : - Æ te S t» «MCfflip t e a s t e j t e i i - 31- gic--'- * SŒ5P' M e t ■■■BJaÿT o i i i i r t e t e î f l t e « a t e a w ^f-is i- iOBa-SKasBii: t e teitfte 'tens aS p t e ia niü-1 te sarate. 'teai tek i g y

mite .eft if i» - üf a i . AîZasB t e t e * ■esmise'

r à b u ë * S te e ïâa ip tekgouâiffiteuf « jeSî' f l â âffiaFte S te

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iknmiHte» ate ffieiift;gWHt Tgfy I _<c f i ü a u g t f t g f f a n n î t e - ■•» i à » t ^ n f i s o t t a , t o i i i Æ H r « B e i i g ; i ^ 3a a t t fa> M i m êt. y n w f r . y a f l i ^

as^s^eoit Æt y im, in i • —rW»Utff*i ry .rilMii8»4g*aB _ig&ttiferIlg WH BllliH ‘Ooe’w>ssÔfitifiB'OBÊiaœ^lîffiap* irtiiit -fiii iîl'ryin'sM*-- -H ■«nt .tiiîiP 'flî "tout>*mii&-JÜi2UîîraBi#tivîtBU®rri£ss^6®6 «i*• t i^ ë i r< 4® < -fiaite 3«ie ■Ti auaâf' tri

3W.ffiartHE ûinir imiii ifr =î»ïtiiL ffi fit :u îji^ f

'Sit iWi »3 3ie ik Tiimfignet •enïeafc'- fTfu ütfüil Se priSi^ :'TituùrJinaii^!ir^.

ô L ' s i i s r a S I iijeii aiaiîifii tîiuirraiiL. -f'tsîsfiriritini^-fens*fie

îiioiubiiü î . A ^ïriionasa^ aiioffîniiîç*;^ji-ffî? -Diit ■nüitaiüri'tSj? t f iS i ârjn sfe-^b .ri i /iVKLmf- Eftife 'fit Iflüles- Si'Çff£ iTEPi£if* . t e ü f e ‘tse insaâfe'CaattiTÆiiiG^^ fiss rssyàfiisriit Ciîiftifi?* imrilHniritîit 'fimfiü- uitant £ jri3't?xîür iifîs; sifiinfi? -fff ÜJîS-rto -isimime Kw^fisnaaeot. lT®?ite ;fe? Bülris 3i5S5wût ïattt'aiasæ riiiÊanaâiri' fi« rsESaiii? fist 'fisiis: stîst;? ife t -'à

_ t .ïi3l*iïïî: -t ü."«EL. — a> iriîf!?Tio: Tiritsuis- ‘fit 3ft> ‘Çfiu tg^'aillg •afiSBfïiwnïSil X îfcafiùiaar-»- tS :çii ■'iKcmi '.'i?)cjt^ fiifls ücîtee -æisï 'Çfft iiitiif rrîgiai ;ifiys Jt itl» 'ûsnuiHr.. -Kt Sîins lâlr 'ttsszfflmrim: gtiui'Siüxi 3*ïnir -fif <fi«5iL jahsi .pB*® 3T€Slfi3£r 'Üt ir-«Ii«|arite liUJWBr»* '» S^iîl i a r 3t. te iù#fflmiiffiff3?>® -fif* jriS ISSUES, 'fit insnfutiiSL iCsfinHS! 3K3ii 'Si effet^tîami IjisçjexCeSIi .ssitoaaiit >ue bulkttt -fit SteEua: à. làunPïîiriiK.

tG$lVCTX.'ï33CTiX»-— ICiiri- :ti£^-:ic«aïliiiiiii. 'ftijuililri- UiBfîeC îiDvîiSff-iiiin^âisr- piEX-rjnrairi' ff'îHr xa^ tei?w?ù«ifif

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iffxIirrfP-îft3i» h3SÉs~— ‘flistttein-^grïgssinii ;e tfô? x icia ie 3E~ Cuûnmt-. gm ;e ® Isrmné x -fJïü»'. -te ‘t’ pTran- iis? VaiuJÊt^.{Ü15Z 3 t. ■■ ■ — - -S t A l ÿ M t t *rfftifiz 3 t ® H t t e 6 5 5 S l ( Ç ( Ç l ! ! ^

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Biuiite- 2 î i&- 3*. * ,.- Î ^ T B B T i t e f '«tecteai iÿ5«*œaiaiite'tete

■nanK ÎBîiïis-.;:= ^tiztsFatitnfîTi- — H&aîtr s s f l i auniiati'

t e riiiSE E * J3JJ- # .lîinfinHMS -te CiteBu-- rEüiii-,. i jfliaiunw ne '#»te,, aîir.iim».. ttewinsur t e ifïa ia* » ««iœ 'te j£tev#-iîr. Mite- teSsinaaiiiitE 'fiss aiuîsaKilf-36... ia s w te a:T«®É iranuite x auau ii B Ê s i c f t e i t e

— ik .» lE fæ iiSŒ K E . —y * a < » ^ ^ s u ü S i a B r x . S f e i s H i E a t i ! ® - 3 * p n r x n

.fit iàiPriaHÇ aiçrijififSàiT MHunri* lË J[,. ütoutiifi- îiûâ&cid0v ft

•ter^an^ |.^lfisU3infi «c ;u i^ p im iiaf

.i|ji! « Hîiflrrninii.mt ■*.. ^ iteîP“3M ^ 'ÿàaiftB- fa Siflrite *te t&nfiŒOïHÏSêt g > '£■ ‘* f f iT’s i H j i f i r i i H i i r i a i : - f i t

Jîte£*Tîg3ït 3.- !6 b b » tsnoBêitteiL 36- 'BMidî- ■W_ 36- ai>nÏMtmi* i n i s m »

te 31- lLi.^5te ananitee' .leae.. :ÿ ' t e a.iimnte 6puc»ii--^ei^iBlL

_ g^vppFTCiE-. gatargafe.gii-— lOEBBiiitetet X « S 8 H ? ® i ' â ' B ï S teg m atr

‘lauiEte mfrœsiroiffl! t e a s à acygisBas & ËBÿ^- i î'ate ksnes ismffitees ifA - TOiwi ' 31. iffirpg ^ ysttinuniË i Ciim!-

" ■"■t a E S f g B s s - — 3 6 . l i K i t i i f

LM S..li»ntiur, -wiftc'îwflÿ i 3&üæj:.tei iïiaw iffll.lk'x iSte II. 2 t giBi^ksti.

'Spf mÉKainiç; se sBflE .anutes IX 'fute- s-Jtsæsfwgjfis;^ .â œ steC ’ms.jriSnfima'

i^ iiiiietelj^ iB iE -ite^S S«t it lany l^tetantiife* iraft. C d _Tiilffll 6 fTTT^iWnr'"" nfcknc

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V A R I E T E S

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L E S V A R K i E S

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j i t e . teSHiiobteiitr t e te,aitiikte*te ateiiaK»'-'S- ‘faustiSi. iJiBitfiHbs t e iim w ^ t e r - satei a s itemk.'Eteimte teiEfflUfeat ■'«ai igiBEX natewiit aUHsrmis. H teîflnyteiœ lm testeiiteS'i^te'teâlia & - iiflsittH B ' t e TEiE'rîbaü&. i t e aiëkliws. iiaiixiiiiite' iS te ■te iBlffiatettu» iffiroBses.

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I t t e v a g e . — «teanutxüiii'x.— l>3iiiümrI iix w'XimnillTg l6 «ÿC'.îtirtiS'' S s ^I gipiKëûia f e ifiinianîte 63 'Betotee S S IK I à I « a m t e s iB!i||£ i ÿ à i w a s e i t i r a s R t e '^ ' r »

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[ ! i u s itetfiiasiaiÎE ^ t e t e l k . ^ ----------------te iriH»» t e aiiÈ t e 3üsiffiY A t e teraë

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i-ü^BÉteSi 1 l l « k ^M inry gnn^Br

^ i l S Ï ? ï S Î ® S ? =a ^ M i « i ^ > " iii4 yi5iSiWi jiâli_te

I stnilirîlIlÊ «Tartiin» ggg»BBatt®_3ai»attfa^I m f i « f in « f i ^ r i l t S a i t i b i û h ï * Os m u n i s

f a i u a e s ^ g r T O f f i i K â n a j l i ÿ i i i i i « f iB i f iM o n i f f lP H f ie'i' f a gneaBÉÉflitt“f a pgniçntt spcsn®^

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ft» TwiMBiw teteraoÿt t e jadt t e inmBiitieBîgsite® t e t e n s . Ite ten aoiftes

I " m £ Ë l t e B q 6 i$ . t e i ÿ l t e t e t e Ik ia ï^S .i6««ü<Hi ï s f f r a teTO^te‘■'P^^çeteitB8B'i)-| ü id ü te t e 3 1 -k P8ite«t-

I — mi ni me oECktengEir-— $ 4 ^u 'Bspa iWMPWte 31 î a 'gEt e t e » B iayë k

in te ite >i«S Siiiiiitete<£teiDa<«te- aitei-

xiisifteSUfe nâ'UfftBÎte (te te 'ip !* t e g t e iy e .;31 æa iumigK t e aiai a t e ® k 'im tetee t e liuite' ll**te t e i ii>> 'P~ t e l s Itmnirateteani '!;bt''teiiite^^tefejMlgiis.ifflite'^^ini ^uis migiHMinte 'k te t e p t e lÉ s Hana e t»aflik ?iwg •aijx .|pÿ|jegmmi«BMBi;>" C'satiffffltefe.attS'BBÏBBteiBiB'^^® (ÉBte x iiu iB u ib e â teBiB;, â 'iHimmUie « œ p m t e . liii 'tu te k r æ 'ite t e <RBiii t e â m e ( ü iBESiaH^ilk ;!aii 'itui!}iiteteEpgt.te 'ebk mteBHijiHs t e j . w w t e k ' t e a n t e t e k i ù s i t i t e x t e a t e lEü jmiL iqm j i t e te k s i te a , am g s te i i^ i

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HuBt 'flfci lEBX. .«as sUHUllte. ijlBH» lis ïfflte» 'tei t e i ^ te a s iu ^ t e mifunë t e ttesaiis,iqflteteaite a itff lEoiya, a n t e B Û s teSKBBisa'-TIH9X <«i Wiuk lin aanme t e UiRilUiiMiHiasaa. ne ItesakiwifttesuiteRlkfep j a a e ^ l te x'-Buaite J»Wlti4 '«î«ë tSte « 1 ^ l a â ^ ^ » ; «Banne BMite»' ‘nui IBtejji^' a miteljiiœ» nâaiwteffiate, t e Oj^lte üpnüliuwR 'ângite t e a o w i u n DUBautsx. « u te !!iËiiaB^ne <yn1* ? a t e ijihk'iate'. ----------" ■■ ““

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(CsBitss BB nlgakgnieien^k, t e naenaitew âaiiliœ flik lix temrtwp sa^Bgsüiii .rf idiiaw tb^nnsi tec 'S gianiE aanÉn- i t i t e x llauûuiË. a fin 'RiffiBgiHins.. m liiæMBr; a<tenrateiHiiii ™ Xjihrtt le i amuk t e m e ,:ÿlBi»niis numam- teIftasi, (Bïüilite fa iitemE'RBiliiiii'‘«ns. ik BsiiS.<»3sen- fa innimt' iiittiiï^te;ax. fa ilirate^x.

(iiSBfc'^abi 'gni nginii 'ïtek itefaë■■ " ' its ukila*, ü&giBSBiÿ^

aÉstikuiaE. g«K geennlte' — Biiaë.. famtBpa® ^

tel 'TiiiteiBu gge t e E fafate(X t e fas-

tUfæ'.BDxraÎRSfaueBS xnSu 'innil&nwn. ;iat- anügs tgte 3liiisirfâingtu^i8ï'3i lus- laBiiliHùii'mB nnpffaEiailte t e iS^igiteitete tte t e iwkninr gns-

t e i ite ^ .itent liragf laii ittifantee xl'ânaui-fa faraSit- t e nteteiinteSl ans Ifii#. te- gfflteœepHHBer ntte au<R«dite gy* t e » fa irmii» . t e .néwrie l«MlgTttaiMW.;MBMnr wnkBÜMB« jBitefaM te. t e t e « te te . t e wéwtee« eg j^ tenE.a%aia.

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ito"pas 'îani'BBnfa!.3Bnisaa«:* ikjiiîiW l

jlHDSiaiufsite niHur.

^ f A3B îïwnr iffwmfie«iaL;9iiinttiiiiK.tt ■.l a a s t f l i L î t B H i n w jjMwfitOTiMif i g n ^ __ içi f ^ ifiin»-.finiiirtiTit iaiiiL;a t ttrfa'iir-

*...» tt,fanf-gkk'kmi. luik ÜiipHlta t e miig^aui'(uuinuf*. 'UunmagtfiiiEuiE x St. naiwiPBi teifa- uÉUüÿites te M k loii nmuS.'temt4 tiç te i i* * k '* fa ''®’» '™ TEüJte ttraiys itiuaiEuil iffune ÜBÇWrtSaian gimaïf t e X teîr- p a r s i i i t e t e n w n o e t i i n n i i B H i i i i . ' a a à : « a a n i k

S'e s a ] « t e HîWiJtte ^MT. à afaiiffifa, « t a % 9 B -ë E i a n s » a n * n r , b m

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F M i m l T

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Page 4: Paraissant le Jeudi ^ të Dimanche. JOURNAtibmsenlis.com/data/pdf/js/1907/bms_js_1907_10_03_MRC.pdfassemblée issue du suffrage universel un élu qui, après s'être voté à lui-même

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■ f --■'•• -V' - V ' • -•■-'Èa* •-.'•• ■• '.''i.'-

L E ^ À i a B R l B E K Ô i S È

ÉUKiea (t6 (taw ar SAVABY,avoitô i ïenlis,

et dé # B M l DESABIE,notûre à Creil.

I D I T EPAR ADJUDICATION

g iü e n d è r e s poDUqnei,D’UNE

MAISONs lto é e ft Montatalre«~

rue de la Gare, ci-devant rue de la Scierie, n° 43.

L’adjudication aura lieu le DlinaBcUc" 6 O cto b re 1907»

■ à une heure de l'uprès-inidi,en - la mairie de montataire

et par le ministère de M' Lksabie, notaire è Creil,

S'adresser peur les renseigne­ments :

A M® Oscai* SAV’ARY, avoué A Sentis, poursuivant la vcuto ;

2» A M' ESCAVY, avoué Senlis, présent à la vente ;

3® Et à M« DESABIE, notaire Creil, dépositaire du cahier des charges.

Jtudes de M' L ouis ESCAVY,avoué à Ser.lis,

7, rue de Vilkvert, et de AI® DESABIE, notaire

à Creil.

v e n t e s u r u c t t a t i o n

entre majeurs et mineurs,DE

U n e M a is o nCiTCOistaitces et dépendances

sise A APRE.MOAT,place du Touche,

A V E C a A R O I Nsitué en face de la maison,

ET3 Pièces de Boissises terroir d’APBElHOAT

(Oise).L’adjudication aura lien le

D im an c h e 2 0 O c to b re 1907. à deux heures de relevée,

• n la aolle d» la «alplo d a la ccm m una d’Appemont (Oisa),

et par le ministère de M® Desabie,. notaire à Creil,

^adresser pour les renseignements A M® L ouis ESCAVY, avoué à

Sentis, poursuivant la vente ;Et à M® DESABIE, notaire

Creil, dépositaire du cahier des charges.

Étude de ^’ . - o v i i s E S G A V Y

avoué à Senlis,7, t B6 de V illevert.

t e n u s c r l i c i t a t io m

' DE : i-?>E

P R tP R S Ê T

3® BT UNEUre âe iiem àisitéiée A F u la ten e ,

commune de Itareuii-sur-Ourçqp lieu (lit le Jieu de Battoir,

d’une contenance de t hectares 0 2 ares 2 2 centiares

BN CINQ LOTS avec faculté dé réunion partielle

ou totale.L’adjudication aura lieu le

D im anche 6 O cto b re 1 0 0 7 ,à deux heures de relevée,

an la Malpla da Mapsull-aup-Oupoq.par le ministère de M® Mézièbe,

notaire à Betz, commis à cet effet.

S’adresser pour les renseigne­ments :

1® A M® Geoi-ges MORAIVD,avoué h Senlis, poursuivant la vente

2® A M® SAINTE-BEUVE, avoué Senlis, présent à là vente;

3” A M» MÉZIÉRE, notaire Betz, l'édacteur et dépositaire du cahier des charges ;

4“ Et pour visiter, à M. PETEL, à Mareuii-sur-Ourcq.

Étude de M® G aston LOIR,licencié en droit, avoué à Senlis,

29, rue deda République, successeur de M® Delaporte,

et de -W® MELLOTTÉE, notaire à Melio.

' /E N T E S U R U C I T A T I O Ne u ving^t lots»

D’UNE

M A I S O Ns ise a S a in t-V aast-le s-lle llo ,

en la rue d’En-Haut, près l’Eglise,

ET DE

19 Pièces èe TerreJa rd in , Aulnale e t Bols

sis terroir de Saint-V^aast-les-M eUo,

L’adjudication aura lieu le D im anche 13 O c to b re 19 0 7 ,

à trois heures de relevée,•R ta Milpla dé St-VaaU-lcs-Mallo,

par le ministère de M® Mellottée, notaire à Mello.

T o ta l d e s m ises a pri.T ................. 1,043 îr.S’adresser pour les renseignements

1° AII® G aston LOIR, avoué Senlis, 29, rue de la République, poursuivant la vente ;

2® A M® O sca r SAVARY. avoué à Senlis, présent à la vente ;■ -3® A M' MELLOTTÉE, notaire à Mello, dépositaire du cahier des charges et chargé de la vente.

a SENLIS,rue de Villevert, numéro 4-,

et,rue aux Fiageards ;

Xj r i J A R D I N; s is a SENiUS,

hors la Porte Saint-Rieui, au Tour-de-Vi!le ;

U n « HNilStllI's i s é ifc'A TM Ottï > -f'-m é de Compiègne ;

UNE MAISONs is e ft ATTICHY,

en la riie de TÉquipée;

U N E N C L O Ss is a ATTICHY,

lieu dit le Pléssis ou la TreiHe ;

11 Pièces de Terre. I e t B o i s

•Isdîs A A tticb y e t U ltry,S

L’adjudication aura lien le h a r T O T m OCTOBBG 1907,

,î heure de midi,en T’anSenoe des criées du Tribunal-

c i v i l Çe Senlft, séant au Palaisrae Justièe, à Sentis, rue de la Répu-bliqiÂi.

des mil p r ix ..^

ital 53.009S'adreÈier poussés renseignements

A H ^4H ^.;£S C A V Y , avoué Senlis, l^ rau iran t la ventèq

A M® jilSIilIîfck,V, notaire à, Senlis'^; Et à il® i Sqnlis,'

fenrtc® -----lieenme- ehvdrôit,' avoué à Senlis,

rpe-SaMt-Silaire, n® 10, wecesseop.de. )H. Lsvwii ;

et de I f f NfflÊZKÈRE» ' X}0ttiip6 à Betz.

T EN T E S S R LICITATIONI» USE-

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Êtades de M* RICHARD, notoire ! k Poot-Sainte-Maxence ;et de M* GUICHARD, notaire

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Études de M* LOMBOIS, notaire k rrécy-sur-Oise^

et de M MELLOTTÉE, notaire k Mello.

A vendty par adjudipation publique et volontaire, .Q aatre M aisons» sises commune de Saint-Vaast-les-Mello, sur la roUte de Mello k Gilocourt, le Di­manche 13 Octobre. 1^7, à deux heures de.relevée, k 8amt-Vaast-iès-Mel1o. en l'une des salles de la Mairie, parle miris’ére de M** Lomboîs et Mellottée, notaires.

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