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N°50 - FÉVRIER 2010 - www.lefildentaire.com Partageons Notre Savoir-Faire

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N°5

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QUALITÉUALITÉLa gamme Perfection de Protilab est arrivée en première place de la grande étude comparative réalisée par Que Choisir en 2009 sur les prothèses dentaires prove-nant de nombreux laboratoires français (classiques et d’importation).Cette étude a été menée à l’aveugle et a porté sur les 4 critères suivants : Fonctionnalité, Traçabilité, Esthétique, Matériaux (dont la teneur en plomb).Contactez-nous pour recevoir gratuitement un exemplaire du magazine !

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Page 5: Partageons Notre Savoir-Faire

edito invité

www.lefildentaire.com > �

Qu’y a-t-il de plus gratifiant que d’apporter la connaissance à autrui à travers diverses formes de perfectionnements et de mises à jour ?

Dans notre profession l’apport de la presse scientifique (dans son sens large) est essentiel semaine après semaine, mois après mois, pour la quantité et souvent la qualité des informations fournies.

Chaque journal, chaque revue le fait avec son style et pour un objectif particulier :améliorer les connaissances des praticiens et hausser la qualité des soins prodigués aux patients.

Pour ce 50e numéro du Fil Dentaire j’ai souhaité écrire ces quelques lignes pour mettre en lumière ce que cette publi-cation, dont le modèle économique est d’être gratuit, a pu nous apporter au quotidien.

Sa ligne éditoriale est de fournir des contenus pratiques et des informations cliniques largement illustrées par l’ima-ge ; mais aussi régulièrement des numéraux spéciaux qui font le point sur un thème précis.

J’ai eu la responsabilité de certains d’entre eux au cours de ces dernières années et je peux témoigner du professionna-lisme et de l’efficacité de cette rédaction.

En 2006, ne pouvant ignorer l’impact d’internet et les pos-sibilités qui y sont offertes, j’ai souhaité que le numéro spé-cial consacré au Numérique soit « doublé » d’images, de vidéos, d’interviews en ligne sur le site du Fil Dentaire.

Ce fut un vrai succès car internet peut être le complément idéal d’une presse écrite et non son concurrent « assas-sin ».

A cette occasion la réactivité de la rédaction m’a impres-sionné et je ne suis pas surpris aujourd’hui d’apprendre l’ouverture par elle d’un portail dentaire spécifique, bien-

tôt opérationnel : la complémentarité était évidente et le défi technologique à relever rapidement.

L’interactivité des sites internet devient l’une des nouveautés de notre époque, le témoignage d’une technologie qui se met à l’échelle humaine.

Depuis 13 ans rédacteur en chef de la revue americaine « Practical Procedu-res and Esthetic Dentistry » (PPAD), tirée chaque mois à 85 000 exemplaires et distribuée dans une cinquantaine de pays l’éditeur a choisi que la revue passe… totalement en ligne, interactive, et abandonne le support papier. Une petite révolution !

Aujourd’hui avec la vitesse de transmission des informa-tions en ligne, la mondialisation, l’arrivée des tablettes électroniques, comme l’Ipad récemment, et cette interacti-vité que nous commençons à découvrir, une autre façon de communiquer pourrait s’imposer à l’avenir.

A présent le mérite des revues qui poursuivent sur le che-min de l’impression papier est grand, compte tenu des coûts énormes que supposent cette technique, la distribution par la poste, ainsi qu’un apport publicitaire se réduisant sensi-blement avec la crise économique.

Félicitons-nous donc de la longévité de celles-ci et de leurs initiatives sur le net.

Joyeux Anniversaire au « Fil Dentaire » !Bonne chance à son portail !

Dr Bernard TOUATIVisiting Professor,

Hadassah Faculty of Dental Medicine, JerusalemRédacteur en chef de « Practical Procedures

and Aesthetic Dentistry » USAwww.bernardtouati.wordpress.com

En route vers le portail …

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Le site internet de votre cabinet

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Sur le Fil > 8 à 14 Actualités France et International Nouveaux produits – Revue de presse

Spécial 50e > 16 à 30 Image de marque et communication : les 22 points les plus importants aux yeux des patients L’image de marque du cabinet

Zoom Produit > 32 White+TMRévolutionner le blanchiment dentaire

Clinic essai > 33 Un progrès dans la pratique du blanchiment au fauteuil

Le Livre d’Or > 34 à 36

Fiche Esthétique > 39

Droit de réponse > 41 Tous les dentistes sont des voleurs…sauf le mien.

Formation Continue en Implantologie > 42 à 50 Les protocoles de forage Le juste positionnement de l’implant pour les prothèses conjointes de petites étendues Le juste positionnement

Conseil R.H > 52 et 53 « L’image de marque » du chirurgien dentiste DRH

Conseil Organisation > 54 et 55 Dossier simplification du travail au cabinet dentaire Volet III : le concept de bacs et cassettes et le travail à 4 mains

Conseil Eco > 56 et 57 La loi Scellier pour réduire ses impôts en 2010 avec ou sans BBC

Le Club Privilèges Fil Dentaire > 58 et 59

Au Fil du Temps > 60 à 64 Agenda des manifestations

Petites Annonces > 65 et 66

ours sommaire

Revue mensuelleTIRAGE 38 000 exemplaires95 rue de Boissy - 94370 Sucy-en-Brie.Tél. : 01 56 74 22 31 Fax. : 01 45 90 61 [email protected] de la publication : Patricia [email protected] publication de la société COLELSARL de presse - RCS 451 459 580ISSN 1774-9514 - Dépôt légal à parutionRédacteur en chef : Dr Norbert [email protected] commerciale : Patricia LEVIDirection artistique : [email protected]édaction : Dr Adriana AGACHI, Catherine BEL, Dr Steve BENERO, Dr Marc BERDOUGO, Dr Edmond BINHAS, Georges BLANC, Alain CARNEL, Rodolphe COCHET, Dr Roch DE VALBRAY, Dr Thomas FORTIN, Dr Angela GILET, Catherine N’GUYEN, Dr Frédéric HERSZENFIS, Dr Jean-François LASSERRE, Dr Marc MONGEOT, Dr Stéphanie PINAUD, Dr Philippe PIRNAY, Yves ROUGEAUX, Dr Jean-Jacques TRACOLConseiller spécial : Dr Bernard TOUATIComité scientifique :Dr Fabrice Baudot (endodontie, parodontologie)Dr Eric Bonnet (radiologie numérique, blanchiment)Dr Alexandre Boukhors (chirurgie, santé publique)Dr Nicolas Cohen (microbiologie, endodontie, parodontologie)De Georges Freedman (cosmétique) (Canada)Dr David Hoexter (implantologie, parodontologie) (USA)Dr Alexandre Miara (blanchiment)Dr Hervé Peyraud (dentisterie pédiatrique et prophylaxie)Dr René Serfaty (dentisterie restauratrice)Dr Raphaël Serfaty (implantologie, parodontologie)Dr Stéphane Simon (endodontie)Dr Nicolas Tordjmann (orthodontie)Dr Christophe Wierzelewski (chirurgie, implantologie)Dr François Duret (CFAO)Dr Georges Khoury (Greffes osseuses)Secrétaire de direction : Marie-Christine GELVÉ[email protected] : Savoy Offset : 4 rue des Bouvières, PAE Les Glaisins, B.P. 248, 74942 Annecy-Le-VieuxCouverture : © vege Photos : DR, FotoliaPublicité : Patricia LEVI : 06 03 53 63 98Annonceurs :Apar - Bisico - Kodak Carestream - Dental Hi Tec Denti-site - Ekler - Foxy ED - Groupe Edmond Binhas Henry Schein - Implant Discount - International Médical Implant Julie Owandy - Meodental - Praxis l’Instrumentiste Prodont -Holliger - Protilab - SC Distribution - Tecalliage - Vita Zahnfabrik Voco GmBh - www.sedation.fr - touslesbiomateriaux.comEncarts :Solident

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Accueillir et fidéliser de nouveaux patients grâce au TENEO

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Le poste de traitement TENEO. Le système d’élévation permet de ré-

gler le siège en hauteur de 370 à 820 mm : les personnes à mobilité réduite s’installent sans difficulté. Grâce au re-pose-pieds extensible, le dentiste peut adapter la longueur de l’assise aux pa-tients de grande taille.En option, le praticien peut équiper son TENEO d’un soutien lordose qui s’adapte à la courbure naturelle de la colonne vertébrale, ou le doter d’une fonction massage destinée à décontrac-ter le patient. Conjuguant confort et design moderne, le TENEO séduit les patients de tous âges. Un dentiste équipé d’un TENEO se concentre uniquement sur son patient et non sur le matériel. La manipulation est simple et intuitive, le panneau de commande EasyTouch n’affiche que les fonctions utiles au praticien au moment du traitement. Autre atout majeur en ma-tière de communication avec le patient, le dentiste a la possibilité de piloter des applications directement depuis le poste de traitement. Il peut par exemple utili-ser PowerPoint pour expliquer les soins prévus ou Media Player pour passer des vidéos divertissantes. Cette avan-cée technologique facilite l’intégration de l’information dans la démarche dia-gnostique et thérapeutique, et favorise le climat de confiance entre le dentiste et son patient. u

Sirona Dental Systems GmbHTél. : +49 (0) 180 / 188 99 00E-mail : [email protected]

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sur le fil

Ronflement, Apnées, Orthèses… Peut-être pas si simple ?

LA REvUE ODF

Depuis la prise en charge des orthèses d’avancée mandibulaire par l’assu-

rance maladie (ORM™ du laboratoire Narval, et AMO™ développée par Ortho-som), les chirurgiens-dentistes se sont vus intégrés dans l’équipe soignante du Syn-drome d’Apnées Obstructives du Sommeil (SAOS). Plus encore, les patients s’adres-sent à leur praticien pour le traitement d’un ronflement.Le rôle des chirurgiens-dentistes ne se limite pas à la réalisation technique d’orthèses. Ils ont une mission d’information, d’orienta-tion et d’accompagnement de ces patients, dont 9 sur 10 ne sont pas diagnostiqués. Ils

La revue ODFwww.revue-odf.org

Transfert vers un iPhone® ou un iPod® touch d’images générées par le logiciel SIDEXIS XG de Sirona

SIRONA

U n plug-in de RSWE assure désormais l’intégration de SIDEXIS XG dans les

appareils mobiles d’Apple, Inc. Tous les clichés stockés dans ce logiciel de radiographie pourront être transférés sans fil. Cette nouveauté permet d’afficher les images voulues sur un mobile où qu’il se trouve, dans une salle de soins ou hors d’un cabinet.Le SidexisMobilePlugin développé par RSWE assure un transfert instantané des

données via une connexion LAN sans fil (WLAN) déjà établie. L’application est ex-trêmement conviviale : l’utilisateur sélec-tionne les clichés dans SIDEXIS XG avant de déclencher la transmission automatique. Toutes les images 2D de SIDEXIS XG sont transférables, en particulier les radio-graphies intra-orales, les images vidéo intra et extra-orales, les radiographies panora-miques et céphalométriques, les clichés 2D de GALILEOS 3D DVT (tomographie volumique numérisée) ainsi que les images importées dans SIDEXIS. La navigation sur l’iPhone® ou l’iPod® touch s’effectue selon le même principe qu’avec le logiciel SIDEXIS XG. La manipulation des don-nées est donc aisée, même lorsque les vo-lumes sont importants. uwww.sidexisplugins.de/iphone_ipod (version de démonstration valable 30 jours).

jouent un rôle actif dans l’évaluation den-taire, parodontale, articulaire et orthodonti-que des candidats au traitement par orthèse. Ils la réalisent, vérifient son efficacité avec le médecin prescripteur, suivent le patient pendant des années…Le SAOS non traité a des conséquences médicales sévères qui se manifestent par des ronflements ou de la somnolence, mais dont les signes peuvent être plus subtils, no-tamment chez l’enfant… car le SAOS ne touche pas seulement les adultes obèses !La revue d’ODF a consacré un numéro spé-cial donnant les bases du diagnostic et du traitement du SAOS. Rédigé en collabora-tion avec les services d’ORL de l’Hôpital Necker, le Centre d’Évaluation des Trou-bles du Sommeil de l’Hôpital Saint-Antoine et des orthodontistes, il traite du réglage et de la prise en charge des orthèses, de leurs effets secondaires à court et long terme, des traitements alternatifs, des dispositifs or-thopédiques proposés chez l’enfant, et des protocoles chirurgicaux. u

Page 9: Partageons Notre Savoir-Faire

et l'extrême précision du VITA Easyshade Compact vous

permettent en plus de contrôler toutes les restaurations.

Vous aussi, pour vos relevés de teinte, entrez dans la moder-

nité en contactant votre distributeur VITA ou en surfant sur

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pes suffisent pour définir exactement une teinte de dent

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Page 10: Partageons Notre Savoir-Faire

sur le fil

venus Diamond Flow®: le nouveau composite fluide nano-hybride

d’un instrument, grâce à sa thixotropie. En raison de son excellente radio-opacité, le composite est clairement visible par rap-port aux tissus dentaires résiduels. La consistance fluide de Venus Diamond Flow en fait un composite multifonction, idéal pour le scellement de sillons élargis, en tant que couche intermédiaire en tech-nique sandwich, pour les obturations de classes III et V ou pour solidariser des dents mobiles. u

HERAEUS

Le composite universel Venus Diamond, version fluide présente une formula-

tion innovante à nano charges incorporées qui lui confère à la fois une résistance à la flexion et une faible contrainte de rétrac-tion, garantie de restaurations plus résis-tantes et pérennes. Venus Diamond Flow se fond à la perfection dans la teinte des tissus dentaires environnants, produisant un effet extrêmement esthétique. Grâce à ses excellentes propriétés de polissage, un beau brillantage est obtenu facilement et rapidement. Il crée une surface uniforme et lisse dans les cavités difficiles d’accès. Le design de la seringue augmente le confort de manipulation et ga-rantit une application simple et sûre. Des résultats très esthéti-ques sont obtenus en peu d’étapes. Le composite fluide possède une viscosité particulière faisant que le ma-tériau garde sa forme et sa position après application. Il se fluidifie sous la pression

SurgiGuide® - Offrir un nouveau standard pour chaque cas d’implantSAFE SurgiGuide® - utilisé avec un kit de chirurgie guidée spécifique à une marqueIl assure le guidage du forage, le position-nement implantaire guidé et un contrôle de profondeur complet. Il peut être utilisé avec des kits spécifiques à une marque : Anthogyr, AstraTech, Biomet 3i, Dentsply Friadent, Straumann®, Nobel Biocare et le système de guidage Camlog®. La meilleure solution dans les cas où la plus grande pré-cision possible est jugée nécessaire.

Universal SurgiGuide® - à utiliser avec un kit de chirurgie standard pour la pra-tique d’une chirurgie guidéeLa solution idéale si le praticien travaille avec différentes marques d’implants ou si son fournisseur d’implants ne propose pas de kit de chirurgie guidée. Un jeu de clés de forage apporte une souplesse appréciable dans le guidage durant tout le forage. Il est utilisé pour les cas complexes qui deman-dent une grande précision dans le guidage de forage.

Pilot SurgiGuide® - tirer partie du gui-dage de forage piloteSolution d’entrée de gamme offrant un gui-dage optimum pour accompagner l’exécu-tion délicate des premiers forages. Il est dis-ponible dans une large gamme de diamètres de forage pilote.

Les implants SPI®ELEMENT sont disponibles avec une plate-

forme Ø 6,0 mm. Une longueur d’implant de 6,5 mm a de plus été ajoutée pour les plates-formes avec Ø 4,0, 4,5, 5,0 mm. Ces nouvel-les tailles offrent ainsi des options supplémentaires, permettant une flexibilité encore plus élevée dans l’exécution des traitements.• SPI®ELEMENT avec longueur 6,5 mm

est idéal pour les cas avec hauteur os-seuse verticale limitée ou une anatomie nerveuse compliquée.

• La reconstruction osseuse est simpli-fiée ou devient inutile, car on obtient de bons résultats prédictibles et la durée du traitement est réduite.

• SPI®ELEMENT avec plate-forme Ø 6,0 mm convient parfaitement pour les restaurations molaires importantes.

• Procédure chirurgicale standardisée comme pour tous les implants Thom-men.

Implants SPI®ELEMENT pour indica-tions esthétiques :La hauteur du col de 1,0 mm permet un épaulement nettement plus gingival de l’implant, ce qui permet d’obtenir une esthétique élevée, particulièrement dans la zone des dents antérieures.La ligne d’implants SPI®ELEMENT offre maintenant une plus grande flexi-bilité dans la zone postérieure, avec la nouvelle plate-forme Ø 6,0 mm pour les restaurations molaires importantes ou la nouvelle longueur de 6,5 mm pour les cas avec hauteur osseuse verticale limi-tée et/ou parcours proche du nerf mandi-bulaire. u

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Chaque implant demande une approche adaptée : Materialise Dental offre différents guides de forage à appui osseux, muqueux et dentaire, mais aussi une série de types spé-ciaux : guides pour les implants zygomati-ques ou pour tenir compte de la raréfaction osseuse. u

Page 11: Partageons Notre Savoir-Faire

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sur le fil

Avec GI-web, maîtrisez la diffusion de l’information pour vos patients

différents illustrés par des technologies innovantes : web-TV, schémas en 3 D, fiches techniques sur des sujets pointus : comblement de sinus, facettes, comble-ment osseux, traitement parodontal..., la possibilité de créer votre propre contenu et vos propres fiches ou articles, l’impres-sion de ces fiches à l’image de votre site à remettre à vos patients.GI-web vous propose un véritable conte-nu créé par des professionnels du dentaire et de la communication pour que vos pa-tients comprennent et adhèrent à vos pro-positions thérapeutiques. u

GI-wEB

La communication est un enjeu majeur de la thérapeutique dentaire, et cela,

d’autant plus que le traitement est com-plexe. Le praticien doit en très peu de temps, faire comprendre un diagnostic et son pronostic afin d’obtenir le consentement du patient vis à vis d’une thérapeutique parfois onéreuse et longue. Sans une in-formation claire et une communication efficace il est très compliqué d’obtenir l’acceptation de ces plans de traitement, au cours desquels il faut parfois traiter une parodontite, régénérer de l’os avant de reconstruire un sourire.À l’issue de la consultation, de plus en plus de patients surfent sur le web pour obtenir un complément d’informations. Grâce à GI-web vous avez la possibilité d’informer vos patients de manière ciblée : créez votre propre site Internet en quel-ques clics et profitez de plus de 80 sujets

www.bruxisme.eule nouveau site qui explique le bruxisme à vos patients !Après plusieurs années d’échan-

ges fructueux avec différentes professions de santé, notamment les chirurgiens-dentistes, sur les sujets des SADAM et du bruxis-me, e-motion se lance dans la communication vers les patients. Force est de constater que les sites de santé jouent aujourd’hui un rôle majeur dans l’automédication et dans la prise de décision d’un trai-tement pour les patients.E-motion a donc souhaité met-

tre à disposition un outil supplé-mentaire pour la communication aux patients en proposant un site internet basé sur l’expérience du bruxisme tirée du contact avec les praticiens : www.bruxisme.euUne définition exhaustive du pro-blème est donc proposée, repre-nant également ses causes, ses conséquences, ses solutions de traitements de la manière douce aux traitements dentaires plus ap-profondis. u

Un dossier très documenté à propos des eaux de boisson, a été publié, il y a quelques années

(Humbert F. et Pergrale C. – Eaux minérales gazeu-ses … Que choisir, n° 417, juillet-août 2004), mais est plutôt passé inaperçu de beaucoup. C’est pour-quoi j’en fais, ici, une courte évocation.La défiance grandissante à l’égard de l’eau de robi-net et son goût plus ou moins chloré, incitent à faire appel, systématiquement, à des eaux embouteillées. De plus, l’eau du robinet est suspectée de ne pas être aussi irréprochable qu’on le dit. Pourtant sa surveillance est continue et sont effectuées au long de son parcours, de nombreuses analyses, lesquelles en font le plus contrôlé des produits alimentaires, de France. 27 eaux minérales gazeuses (21 eaux minérales naturellement gazeuses et 6 boissons aro-matisées) en provenance de grandes surfaces, ont été testées. Ces 6 dernières boissons « à base d’eau minérale gazeuse » échappent à la réglementation des eaux minérales. Elles peuvent comporter tous les ingrédients qui sont autorisés dans les « bois-sons rafraîchissantes sans alcool » (édulcorants, colorants, arômes, saccharose …). En ont été dé-terminés la minéralité totale, la teneur en calcium et en fluorures. À propos de fluorures, une enquête menée dans la Meuse a montré, il y a quelques an-nées, que 3 % des enfants en bas âge consommant une eau minérale embouteillée ayant 2,4 mg/litre de fluor, étaient atteints de fluorose dentaire, indique l’Afssa (Agence française de sécurité sanitaire). Si vous souhaitez identifier les boissons concer-nées, je vous invite à vous reporter à la publication citée en introduction. Et si vous voulez disposer de la liste des teneurs en fluor et calcium des eaux mi-nérales naturelles françaises commercialisées, vous pouvez vous adresser à l’Afssa.

Henri Lamendin

Eaux de boisson et santé bucco-dentaire

INFO

le fil Dentaire< < n°�0 < février 201012

e-motion E-mail : [email protected] - Tel : 01 60 92 41 62

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Page 13: Partageons Notre Savoir-Faire

Un double objectif pour cette gamme basée sur trois produits innovants, brevetés et fabriqués

dans le respect des bonnes pratiques de fabrication.

Objectif n°1 : bien-être non stop, maintien efficace et la sécurité en plus ! Deux produits :- une crème fixative : non hydrosoluble, perfor-mante au cours des repas ainsi qu’en cas de saliva-tion excessive, au goût neutre, cette formule sans zinc, à base d’Aloe Vera et de myrrhe, antisepti-ques, astringents et anti-inflammatoires naturels est un véritable soin apaisant pour les gencives. - des coussinets adhésifs pour prothèse inférieure : liaison solide et durable entre les gencives et la prothèse, maintien exceptionnel, isolation de la gencive vis-à-vis des particules alimentaires.

Objectif n°2 : nettoyer en profondeur et sans agressivité.Les comprimés nettoyants assurent un nettoyage parfait tout en respectant l’hygiène bucco-dentaire. Garantie d’une haleine fraîche par leur action net-toyante puissante et un arôme mentholé. Préven-tion de la formation de tartre et le jaunissement. Leur pH permet l’élimination des résidus non so-lubles dans l’eau de la crème fixative. La formule assure une protection performante et très douce qui contribue à garder les gencives saines et respecte les éléments métalliques présents dans les prothè-ses dentaires et les appareils orthodontiques.Une gamme qui autorise sérénité et confiance pour tous les porteurs d’appareils dentaires mobiles. u

Fitty dent® professional : une gamme dédiée au confort

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Page 14: Partageons Notre Savoir-Faire

le fil Dentaire< < n°�0 < février 201014

sur le fil

Gnathologie fonctionnellevolume 1 : occlusion et restauration prothétiquePar Jean-Daniel Orthlieb

A LIRE

Résolument pragmatique, la « gnathologie fonctionnelle » revendique de re-poser sur des concepts diagnostiques précis, des cri-

tères de décision clairs et des procédures simples, établies et validées par leur reproductibilité.Le but de ce mémento est de préciser des critères de dé-cision et de décrire des protocoles facilitant la gestion de l’occlusion en prothèse dentaire de petite et moyenne étendues (restauration prothétique). Toute prothèse fixée ou amovible, quel qu’en soit le type ou l’étendue, impose systématiquement le choix de critères de construction et de simulation de l’occlusion au laboratoire. Ce choix re-pose sur une démarche intellectuelle se voulant pertinente et engendre la mise en œuvre de techniques éprouvées. Une logique de simplicité du raisonnement et des actes à réaliser conduit à ma-jorer la fiabilité du résultat. u

Éditions CdPColl. Mémento -172 pages - Prix TTC : 49 €

Tél. : 01 76 73 35 75 - [email protected] - www.cdp.fr

Odontologie conservatrice et restauratriceTome 1 – Une approche médicale globalePar Jean-Jacques Lasfargues et Pierre Colon

Depuis la parution du livre d’A. Marmasse, il y a plus de 50 ans, traitant de ce que l’on appelait alors la dentisterie opératoire, aucun

ouvrage de référence n’avait été mis à la disposition des praticiens concernant cette discipline majeure de l’odonto-logie et que l’on désigne aujourd’hui comme l’odontologie conservatrice. Cette discipline clinique, centrée sur les soins dentaires préventifs et curatifs est, et reste toujours, le fon-dement de l’exercice du praticien.Tous les confrères qui partagent avec les auteurs cette conviction que le rôle premier du chirurgien-dentiste, son rôle le plus noble, est avant tout de préserver les dents, puis de les restaurer lorsqu’elles sont lésées, et ce plutôt que de les remplacer, tous ces confrères peuvent se réjouir de disposer enfin d’un véritable traité moderne d’odontologie conservatrice et res-tauratrice. Cet ouvrage francophone s’adresse à tous les chirurgiens-dentistes, qu’ils exercent en omnipratique ou qu’ils développent un domaine de compé-tence odontologique spécifique. Il s’adresse également à tous les étudiants en chirurgie dentaire et au corps enseignant des facultés d’odontologie. Il s’adresse enfin à tous les acteurs engagés de la formation odontologique continue. u

Éditions CdPColl. JPIO - 480 pages - Prix : 175 €

Tél. : 01 76 73 35 75 - [email protected] – www.cdp.fr

A LIRE

Cet ouvrage fournit une

excellente vue d’ensemble, dé-taillée et exhaus-tive, de la tota-lité des domaines concernant la parodontologie. Les auteurs inter-nationalement re-connus pour leurs expertises scien-

tifique et clinique, en ont fait un « master’s touch ».

Ce rare mélange de rigueur scientifique associée à une expertise clinique de trente ans en fait un livre unique qui présente un intérêt majeur parce qu’il se fonde sur les données les plus actuelles de la recherche scientifique et clinique. Pour le praticien, il contient de très nombreux cas cliniques qui le guideront vers un diagnostic étiologique précis et donc vers le traitement adapté des pathologies.

Les auteurs ont le très grand mérite d’avoir abordé les aspects médicaux de la paro-dontologie. Les rapports entre les grandes maladies de système et les pathologies du parodonte sont décrits de manière péda-gogique et rigoureuse. Le lecteur est ainsi conduit vers « une attitude médicale » qui lui permettra de collaborer avec efficacité avec ses collègues médecins dans l’intérêt des patients. u

PARODONTIE MEDICALE Innovations Cliniques-2e éditionPar Jacques Charon avec la collaboration de Marie-Ève Bezzina-Moulierac, Martine Bonnaure-Mallet, Fathia Chandad, Kathy Denys, Nathalie Dubrunfaut, Sébastien Dujardin, Sophie Hammou, Frédéric Joachim, Pierre Machtou, Michel Muron, Jean-Paul Rocca et Stéphane Simon

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L’image du cabinet est un révélateur de l’identité du praticien et de son équipe. Si ces derniers ne remarquent plus ces signaux, les patients eux les mémorisent, les analysent, les décortiquent pour se rassurer… ou s’angoisser !

L es éléments suivants ont été définis à partir d’in-terrogatoires et de questionnaires de satisfaction menés dans des cabinets de tous types et de toutes

tailles. Vous connaissez déjà vraisemblablement beaucoup de ces points. Mais le pro-blème, comme j’ai coutume de le dire, réside dans l’appli-cation. C’est la dif-férence entre savoir et appliquer. C’est souvent sur cet as-pect que le bât blesse. Les considérations suivantes ne consti-tuent pas une revue exhaustive mais des constantes qui reviennent lorsque l’on évoque la notion d’image de marque, de facteurs de différenciation qui font la valeur ajoutée d’un cabinet aux yeux des patients.

1. Considérer le patient comme une personne (plutôt que comme un « cas »)

Les patients sont sensibles aux équipes qui reconnaissent l’individualité et l’unicité de chaque patient. Connaître des détails de leur vie, montrer de l’intérêt pour leur fa-mille, leur travail, ou encore leurs passe-temps favoris aide à établir des relations solides et durables avec les patients.

2. Rester « dans le moment » (dans l’instant)

Quand vous êtes avec le patient, soyez avec le patient. Concentrez-vous sur lui durant le temps que vous restez avec lui. Immergez-vous ! La perception par le patient de la façon dont vous vous occupez de lui est infiniment liée à votre langage VERBAL (mots et expressions positifs) et non VERBAL (regard, gestes, sourire, proxémie).

3. Proposer un environnement plaisant et confortable

Créez un environnement où le patient sera à l’aise, confortable et où il trouvera des informations. Soyez

conscient que le patient porte des jugements sur la pro-preté, l’hygiène, la stérilisation. Le professionnalisme dans votre cabinet sera en grande partie jugé sur l’aspect

physique des zones où le patient est amené à se déplacer (y compris les toilet-tes, la salle d’attente et la salle de soins). Le décor a une im-portance toute parti-culière dans les ca-binets spécialisés en Esthétique. Portez la plus grande attention au confort du patient et essayez de connaî-tre leurs impressions.

4. Présenter une équipe avec des tenues parfaites

Quelle que soit l’origine socio-professionnelle des patients, ils jugent la propreté d’un cabinet sur l’aspect physique du cabinet et l’aspect physique (la tenue) de l’équipe. Les patients considèrent que l’apparence physique de chaque membre de l’équipe représente ce que le praticien trouve acceptable. Cela reflète donc, à leurs yeux, son niveau d’exigence et par extrapolation son niveau d’exigence cli-nique. Aussi, je recommande vivement pour l’équipe des tenues de travail complètes et cohérentes d’un membre à l’autre, ce qui n’exclut pas des variantes ou spécificités suivant les fonctions occupées.

5. Informer et éduquer le patient

Une demande de la part des patients se situe à ce niveau. Le patient est devenu un consommateur éclairé. L’in-formation et l’éducation représentent deux axes majeurs pour fidéliser et augmenter le nombre de patients. Toute l’équipe doit ainsi s’impliquer. Pour les patients, le den-tiste idéal est un bon ENSEIGNANT, il doit être à la fois expert et conseiller.

6. Informer sur les mesures d’hygiène et de stérilisation

Assurez-vous que chaque nouveau patient soit informé

Dr edmond Binhasn fondateur

du Groupe edmond Binhas

Image de marqueet communication :

les 22 points les plus importants aux yeux des patients

le fil Dentaire< < n°�0 < février 201016

Chirurgien-dentiste

Dr G LacotteSur rendez-vous

spécial

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Image de marqueet communication :

les 22 points les plus importants aux yeux des patients

des mesures d’hygiène et d’asepsie réalisées au cabi-net. Bien que les patients ne vous questionnent pas nécessairement, cela reste une préoccupation majeure pour eux.

7. Intégrer le patient dans le processus de décision

C’est ici tout l’enjeu du concept de Co-diagnostic. Le patient doit avoir un rôle actif dans son traitement, aussi bien dans la mise en place du plan de traitement que dans sa réalisation. Aussi, je vous invite à utiliser le « Nous », il crée automatiquement un effet d’équipe. Il transforme le traitement en un projet commun dans lequel les pa-tients jouent un rôle significatif. Cela fera une véritable différence dans vos relations avec vos patients et les im-pliquera beaucoup plus dans leur traitement. Attention, cette gymnastique intellectuelle n’est pas si facile à met-tre en application qu’elle le paraît.

8. Expliquer le traitement AvANT de le réaliser

J’ai pu constater que l’une des raisons majeures pour lesquelles les patients quittent un cabinet est de ne pas avoir été prévenus de ce qu’on allait leur faire. Ce qui est évident pour vous, ne l’est pas nécessairement pour eux. Il en résulte souvent une mauvaise préparation psy-chologique du patient. Il s’agit donc d’informer avant de soigner pour que la relation de confiance et l’implication du patient soient totales.

9. Contrôler le confort du patient durant ses séances de soins

L’idée est ici de systématiquement s’assurer que tout va bien pour le patient durant les traitements. Ce point est d’autant plus important si ses freins par rapport aux soins dentaires sont la peur ou l’anxiété. Cette attention est bien souvent l’apanage des assistantes. Dîtes-vous qu’un patient ne se plaindra jamais que vous vous occupiez trop de lui.

10. Proposer des anesthésies indolores

Tous les patients recherchent cela et je peux vous affir-mer qu’ils se souviennent du praticien qui leur a fait mal. Réaliser des anesthésies vraiment indolores peut devenir un vecteur de bouche-à-oreilles qui peut sensiblement améliorer votre image de marque.

11. Etre à la pointe du progrès et de la technologie

Il s’agit pour l’équipe de se former régulièrement, de valider des diplômes pour toujours proposer des traite-ments et des équipements efficaces et performants qui suivent les données acquises et actuelles de la science. Il sera ensuite pertinent d’en informer les patients en

leur montrant ce qui fait votre valeur ajoutée et les avantages et bénéfices qu’ils peuvent en retirer.

12. Etre une équipe soudée

Cela signifie quelque part avoir le sens de la famille au sein de l’équipe. C’est un facteur significatif qui engen-dre à la fois un sens de sécurité qui vient de la proximité avec l’équipe mais aussi un sens de bienveillance. Le fait également qu’il existe une continuité dans l’équipe est un facteur extrêmement positif et déterminant dans le capi-tal confiance que le patient accordera à l’équipe.

13. Prendre en charge rapidement les urgences

C’est le « must ». Ne pas prendre une urgence (surtout s’il existe une douleur) peut entrainer un risque majeur de laisser partir le patient et au bout du compte de le per-dre. Les patients parlent toujours en positif des cabinets qui leur viennent en aide rapidement ou les aide à trouver des solutions à leurs problèmes ou questions. Cette atti-tude de la part de l’équipe dentaire augmente automati-quement les recommandations.

14. Remercier les patients de leurs observations

Un patient qui vous fait une remarque concernant un aspect du cabinet quel qu’il soit vous rend un service majeur. Remerciez-le et encouragez-le à avoir un re-gard critique par rapport au cabinet. Par ailleurs, je vous invite vivement à régulièrement solliciter vos patients au cours de la collaboration sur ce que l’équipe pour-rait encore améliorer au niveau des soins et services offerts.

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recherché par les patients. Dix à quinze minutes de retard dans l’esprit des patients peuvent être acceptées si bien sûr cela reste un événement exceptionnel. En revanche lorsque le retard est systématique, chronique, le patient a beau être attaché à l’équipe dentaire, il n’hésitera pas à vous faire des infidélités, voire pire, à vous quitter.

20. Etre disponible et réactif face à une demande de rendez-vous

Les patients aiment avoir un rendez-vous le plus rapide-ment possible. Un délai d’une semaine reste raisonnable et accepté par les patients. En revanche, si votre agenda est totalement bloqué, au-delà de 30 jours, le risque est alors grand que les patients se découragent et aient envie de frapper à une autre porte.

21. Avoir un accès facile et des places de stationnement à proximité

C’est un élément crucial, bien sûr. Et pourtant, il n’est pas rare de voir encore certains praticiens négliger cet aspect dans leur installation. Dans le choix de son pra-ticien, le patient va prendre en compte l’environnement du cabinet. Il va juger la maison ou l’immeuble qui abrite le cabinet dentaire, après qu’il ait noté la valeur du quar-tier et l’impact de la rue, sans compter la facilité pour stationner. L’expression « No parking, no business » est bien connue.

22. Etre détendu

Détendez-vous ! C’est un message fréquemment en-tendu chez le patient. Ils aiment vous sentir à l’aise. At-tention, à l’aise ne veut pas dire relâché mais amical et accessible. Lorsque l’équipe est détendue... les patients le sont aussi.

Je viens de vous décrire les constantes qui en terme d’image de marque demandent une attention toute par-ticulière de votre part. Elles ont en effet une influence directe sur la fidélisation des patients, l’acceptation des plans de traitements et le taux de recommandation. Il n’en demeure pas moins que toute l’équipe doit rester mobilisée et créative pour toujours arriver à surprendre positivement les patients, pas seulement lors du premier rendez-vous mais bien tout au long de la collaboration. L’enjeu est de dépasser leurs attentes pour arriver à une réelle satisfaction qui en fera des patients fidèles et prêts à recommander votre cabinet auprès de leur entourage. Et comme à l’accoutumée, à vous de jouer ! u

15. Pratiquer l’écoute activeLes patients apprécient ceux qui pratiquent l’écoute active. Pour eux, une écoute active signifie une bien-veillance à leur égard. L’écoute active signifie rester « dans le moment », répondre aux demandes et attentes des patients et prendre leurs questions au sérieux. Cela est rare aujourd’hui et apprécié universellement.

16. Expliquer les honoraires et proposer des ententes financières

Un patient peut être très satisfait de votre cabinet et de vous-même, mais s’il existe un désaccord sur la façon de payer voire sur le montant des honoraires, cela peut être une raison pour aller consulter un autre cabinet. Donnez à vos patients les explications les plus préci-ses sur tous les aspects qui concernent les honoraires et surtout donnez leur un plan de traitement écrit. Les pa-tients apprécient beaucoup que l’assistante leur donne tous les détails sur les ententes financières ou sur les modalités et le montant de remboursement de leur mu-tuelle complémentaire.Voilà un service facile à offrir. Mais l’assistante doit être parfaitement formée. Souvent les patients se plaignent d’honoraires élevés quand ils n’ont pas parfaitement compris le traitement.

17. Appeler après un traitement délicat

Les appels passés aux patients à propos des soins accom-plis dans la journée ou la veille sont extrêmement impor-tants. Qu’ils soient réalisés par le praticien lui-même ou par l’assistante, ils ont un impact certain. L’objectif de ces appels est de faire preuve d’attention et de répondre aux questions éventuelles du patient. Les patients l’ap-précient et ne manquent pas d’en parler autour d’eux. C’est d’ailleurs l’une des meilleures lois du bouche-à-oreilles.

18. Proposer des horaires larges et variés

Je vous invite à avoir une véritable réflexion sur vos ho-raires de travail car bien souvent j’observe que les équi-pes ont une matinée très courte et un après-midi à rallon-ge qui n’en finit plus ! L’objectif n’est pas de travailler plus mais différemment c’est-à-dire de rééquilibrer vos deux vacations. Cela correspond beaucoup plus à notre biorythme et permet d’ouvrir de nouvelles plages horai-res susceptibles d’intéresser les patients et de dégorger les horaires du soir. La plage 12 – 14 heures est de plus en plus appréciée.

19. Etre à l’heure

Dans notre société où le temps est devenu une denrée de plus en plus rare, la ponctualité de l’équipe dentaire vis-à-vis des rendez-vous est un facteur très apprécié et

spécial

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Que ce soit pour une société, un cabinet médical ou pour son propre compte, l’image de marque se définit comme la représentation que l’on souhaite se donner vis-à-vis de ses clients, patients ou interlocuteurs, afin de transmettre une perception de soi par autrui.

L 'image de marque se met en scène et se cultive ! Ce n’est pas pour rien que certains font

appel à des coaches pour revoir ou établir une image de marque. Bien entendu dans le secteur médical, on ne parle pas de « marque », mais tout le monde entend bien que la « mar-que » c’est vous !Apple, Bang & Olufsen, Hermès et tant d’autres ont bien compris cela, il suffit de citer la marque pour avoir déjà confiance dans les produits.Nous savons très bien que le juge-ment de base que nous portons sur les autres, s’établit en général dans les trois ou quatre premières minutes d’une rencontre ou de l’entrée dans un magasin, un restaurant, une en-treprise... Il en est de même pour le patient qui franchit le seuil de votre porte.En trente-huit ans de carrière, j’ai ren-contré tellement de praticiens qui se donnaient une image de marque raffi-née au niveau personnel : habillement de marque, voiture haut de gamme rutilante, maison ou appartement aménagé avec goût et force de luxe... et qui n’avaient aucun état d’âme à travailler dans un cabinet plus ou moins miteux, et ce pour un 1/3 de leur vie !Sur les 38 000 dentistes et cabinets qui vont avec, combien se préoccu-pent de leur image de marque ? Cer-tainement pas plus de 25 %. Il suffit d’interroger les visiteurs médicaux pour s’en convaincre.Pour ceux que cela intéresse, nous allons donc parler de cette fameuse « image de marque ».

En premier lieu, c’est un tout ! Rien ne sert d’avoir un équipement à 80 000 € pour penser qu’avec ça on va en mettre plein la vue aux patients. D’ailleurs une bonne image de mar-que n’est pas ostentatoire, c’est plus vers le raffinement qu’il faut tendre. Tout comme un air de musique, une

L’image de marque du cabinet

le fil Dentaire< < n°�0 < février 201020

Georges BlanCn foxy études &

développementn www.foxy-ed.fr

spécial

image de marque ne doit pas « sonner faux ». Elle doit correspondre à votre personnalité et à vos compétences. Ce sera un fiasco si vous souhaitez en faire trop. Par exemples : • Se donner des allures de cabinet de

luxe, quand la patientèle ou le quar-tier où vous êtes installé ne corres-pond pas à ces critères.

• Tenter d’imposer des allures de « grand professeur » en n’ayant pas la technique pratique qui devrait aller avec.

• Étaler de la haute technologie (Cone Beam, CFAO, Laser,...) et ne pas s’en servir ou alors très mal.

Arrêtons ici les exemples et explorons les différents critères qui contribuent à établir une image de marque.En premier lieu, avant de parler de vous-même, les patients vous télépho-nent pour obtenir un rendez-vous. Il est donc nécessaire que ce premier contact ne soit pas dissonant avec ce que vous souhaitez construire.Si vous ne disposez pas d’une secré-taire et que votre assistante est avec vous au fauteuil, vous devez avoir recours à un secrétariat téléphonique distant, qui prendra les appels quand vous ne serez pas disponible. Appels qui vous seront retransmis par e-mail dans la minute suivante.

Si votre assistante vous assiste, elle n’a pas à répondre au téléphone ni à ouvrir la porte pendant que tous deux, vous êtes au service du patient qui se trouve sur le fauteuil. Ce qu’il peut en penser et en déduire au niveau de la considération que vous lui attribuez et des règles d’hygiène que vous lui dispensez fait aussi partie de l’image de marque du cabinet.En second lieu, c’est l’arrivée au ca-binet qui va donner « la première im-pression ». Celle qui marque le plus !

Le hall d’accueil et la salle d’attenteLe hall d’accueil (avec ou sans récep-tionniste) doit être sobre et élégant. Bannissez les bureaux ou comptoirs encombrés de tout et de rien, ne lais-sez jamais un carnet de rendez-vous ou un écran d’ordinateur allumé avec la journée de rendez-vous ou une fiche patient affichée. Un nouveau venu (patient ou futur patient, visiteur professionnel...) n’a pas à visualiser votre activité ou à savoir qui vient chez vous. Pour les écrans, utilisez un économiseur animé avec quel-que chose de beau à afficher (évitez les affreux écrans Windows). Vous pouvez obtenir un magnifique éco-nomiseur d’écran avec un aquarium et des poissons, que vous changez à

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Il vous en coûtera 9,95 $ (à quoi bon le pirater pour en avoir une version limitée ?).Après l’entrée dans vos murs, c’est en salle d’attente que vos visiteurs vont se rendre. Dans beaucoup de cabi-nets, cette salle ressemble plus à un purgatoire obligatoire, qu’à un salon d’attente où il fait bon s’asseoir pour y passer un moment.Évitez les revues chiffonnées et datant d’un autre âge, il suffit, comme chez votre coiffeur, de les incorporer dans une reliure plastique semi-rigide.Ensuite, ayez du mobilier original et confortable, choisi avec goût. Sauf si vous souhaitez donner une image de salle d’attente d’administration roumaine, ou que votre principal fournisseur pour le cabinet se nomme Emmaüs.La salle d’attente est un passage obligé pour les patients, profitez donc de ce moment où ils sont totalement disponibles pour justement véhiculer cette image de marque que vous sou-haitez établir. Installez un écran LCD de 32 ou 40’’ avec un vrai système de communica-tion derrière. Évitez de tomber dans le « je fais tout moi-même » pour ne pas atteindre les résultats escomptés.Au salon de l’ADF de novembre dernier, l’UFSBD a présenté sur son stand un système révolution-naire de communication. Il s’agit de « DenTV ».

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un serveur informatique distant, l’ac-cès à ce serveur se fera via votre ordi-nateur au cabinet, à la maison ou sur la plage (PC ou Mac).Quand vous vous connectez chez le fournisseur d’accès de DenTV, vous disposez d’une vidéothèque de sé-quences (destinées aux patients) sur les différents domaines de la dentiste-rie, de séquences de décontraction...Vous disposez également d’une liste de visualisation, comme ce qui se fait avec iTunes pour la musique.Il suffit simplement de glisser des séquences de la vidéothèque sur la liste de visualisation pour créer une boucle de communication qui sera ensuite envoyée en haute définition à l’écran de votre salle d’attente dans votre cabinet.Cerise sur le gâteau, vous disposez également d’un « composeur » pour réaliser vos propres séquences, avec vos textes, vos photos ou vidéos. Vous avez même la possibilité de choisir les moments de diffusion de telle ou telle séquence, en fonction de vos souhaits. L’utilisation de DenTV est enfantine, le résultat est impressionnant. L’adresse :www.dentistepro.fr/relation-patient/fiches-pratiques-94/communiquer-en-direct-avec-den-tv-230.html

Dans le même registre, mais avec un concept interactif pour les patients, le « concept attente » commercialisé depuis 4 ans par Foxy E & D.Composé également d’un écran LCD de 32’’ avec ordinateur incorporé, vos patients disposent de 50 séquences d’informations pédagogiques sur les différents actes de la dentisterie, sur la prévention et de séquences d’évasion et de détente.

Le concept attente vous offre égale-ment 3 modules totalement personna-lisés pour présenter votre équipe, vos structures, spécialités et technologies, ainsi que d’un module complet trai-tant de l’hygiène et de la stérilisation dans votre cabinet.Le patient va lui-même chercher le sujet qui lui tient à cœur, et si aucun patient ne sélectionne une séquence, le système en passera une au hasard au bout de 2 minutes d’inactivité.foxy-ed.frReste aussi le choix de passer un DVD en boucle en salle d’attente. Cette solution ne doit pas faire florès, car les principaux protagonistes ont disparu tour à tour du paysage hexa-gonal. (Axaris, Visual Relax, Consult Pro,...)Aujourd’hui, à ma connaissance, seul QuickDental propo-se un DVD de salle d’attente. « Quic-kdental Info » qui vous offre 1 h 10’ de séquences ani-mées sous forme de clips éducatifs et de Quizz « vrai/faux ». Une partie des séquences est extraite du fameux « Quickdental Office », logiciel d’ex-plications sur les différents actes den-

taires, à utiliser au fauteuil ou dans un bureau de communi-cation.www.quickdental.fr

Pour en terminer avec la salle d’attente, il faut bannir les présentations avec une bande sonore qui perturbe la quiétu-de des patients qui souhaitent lire ou ne rien faire. Préférez la diffusion d’une musique

Ce système est basé sur Internet pour fournir les contenus, et sur un écran LCD professionnel (pouvant fonc-tionner sans problèmes en continu) équipé d’un ordinateur relié à Inter-net.Le principe est très élaboré : vous souscrivez un abonnement auprès de l’UFSBD, qui vous donnera accès à

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apaisante en fond sonore très discret.Je vous invite à faire un petit tour ici pour être en conformité avec la Sacem. Le coût annuel est de 121 € pour 1 à 2 praticiens et 204 € pour 3 à 5 praticiens : www.sacem.frRubriques : « Vous êtes utilisateur de musique » ensuite « Vous voulez dif-fuser » et pour finir « Dans une salle d’attente ».

Après le premier contact au télépho-ne et le passage par le « sas obligé » de la salle d’attente, vos patients vont vous ren-contrer !Votre tenue globale est donc la première vision humaine du cabinet qu’ils vont percevoir. C’est à ce moment qu’ils met-tront en adéquation l’image qu’ils se faisaient de vous et celle qu’ils ont en face d’eux.La tenue est nécessairement une tenue de travail ! Il n’est pas concevable de se pro-mener avec ces mêmes vête-ments à l’extérieur du cabinet,

(qu’en penseraient alors les patients qui vous croiseraient ?).Aujourd’hui, ces tenues se sont égayées et suivent de plus en plus les critères de mode du prêt-à-porter. La tendance est à l’harmonisation de la ligne entre praticiens et assistantes, mêmes couleurs ou coloris complé-mentaires.Certains prennent plusieurs tenues afin d’alterner les jours ou les semai-nes.Quelles que soient vos préférences de ligne ou de couleurs, les vêtements doivent être impeccablement propres. À vous d’y veiller ou de souscrire un contrat de nettoyage avec ramassage et livraison hebdomadaire. Pour les messieurs qui souhaitent s’orienter vers le « look décontracté » attention de ne pas trop en faire et passer pour un touriste, certes chic, mais un tou-riste !Un exemple parmi d’autres, la jeune société Cabiola propose des tenues professionnelles très « tendance ».www.cabiola.com

Si vous faites partie d’un cabinet de groupe, un badge indiquant votre nom « Dr. Prénom NOM » et la même

le fil Dentaire< < n°�0 < février 201022

chose pour uniquement le prénom de vos assistantes, sera de bon aloi.Arrive ensuite le plateau technique du cabinet.Là, il faut concilier le look, la tech-nicité, les moyens financiers, les exi-gences de performances, la facilité d’emploi.

Pour les locaux

Il est préférable de retenir pour les murs, des couleurs apaisantes, plu-tôt dans les tons pastels, un très bon éclairage mais discret. Pour ma part, je suis partisan d’utiliser des sources halogènes, c’est-à-dire dans des tons chauds, pour la partie accueil et at-tente, et des éclairages de type fluo-rescent (plus froids) pour les zones cliniques.Les sols seront de préférence en ma-tériaux plastiques de bonne qualité ou en carrelage avec des joints à minima pour les zones cliniques. Du plancher plus chaud, pour les zones de récep-tion des patients.Un peu de décoration sera aussi la bienvenue, à condition de ne pas être ostentatoire ou de mauvais goût. J’ai beaucoup vu depuis 2 ou 3 ans des gros cabinets recevant une clientèle de VIP, concevoir des cabinets d’une froideur extrême. Tout est blanc, il n’y a pas la moindre décoration ou fantaisie, cela donne l’impression d’un manque d’humanité.

La salle de stérilisation

Elle est le complément indispensa-ble de votre image de marque, tout comme le logo sur une carte de visite. Il ne faut pas la négliger, elle doit être spacieuse autant que faire se peut, lu-mineuse et cela va de soit propre et bien rangée. Éviter les plans de travail

pleins de bacs, de boîtes et de flacons en tous genres. Sans compter que les tasses à café ou ustensiles de cuisine en sont bannis.Outre ces évidences, elle doit être bien équipée, un concept de décontamina-tion, nettoyage et séchage devrait s’y trouver. Deux autoclaves ne seraient pas superflus non plus (c’est le prix de la sécurité). Des rangements hauts et bas fonctionnels, aucune poubelle et aucun papier ne doivent être appa-rents. L’idéal étant de rendre la salle de stérilisation visible aux yeux des patients, derrière une cloison vitrée. Certains systèmes de communication en salle d’attente, comme ceux que nous avons vus un peu avant, permet-tent également de montrer cette salle de stérilisation et même de voir ce qu’il s’y fait.Si vous le pouvez, penchez-vous sur le très ancien principe des « tubs and trays » qui a été rebaptisé récemment « bacs et cassettes » pour être remis au goût du jour. Ce principe de fonc-tionnement et d’organisation est très efficace et permet justement de dis-poser d’une salle de stérilisation très « clean », d’apporter en plus un réel confort de travail qui évite de faire une gymnastique quotidienne sur son tabouret pour aller ouvrir de multiples tiroirs toute la journée.

Le(s) cabinet(s)

Ou le saint des saints, cœur de l’acti-vité et du savoir. Ce lieu se doit d’être le plus accueillant possible, malgré la technologie qui occupe les lieux. Il doit être clair, si possible spacieux et ne pas ressembler à un labo d’élec-trotechnique. C’est-à-dire ne pas comporter des tuyaux, des gaines, des câbles et des pédales de commandes dans tous les coins.

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Aujourd’hui les équipements, les ma-tériels annexes (radios, éclairages, pé-riphériques,...) sont tous blancs. Cette couleur n’a pas été choisie au hasard par les fabricants, elle correspond à l’image de la propreté et de l’hygiène (idem pour les équipements sanitaires qui ont également depuis longtemps adopté cette couleur en standard).Donc les équipements avec des tuyaux annelés noirs, les meubles dans les teintes marrons, les éclairages beiges, les appareils en aluminium anodisé... ne sont plus bien vus en 2010. Si vous en avez encore, réformez-les au plus vite, cela vous permettra aussi de respirer mieux avec du matériel plus moderne.Car comme je l’ai dit à plusieurs re-prises, il y a deux raisons essentiel-les à réformer son matériel avant les 20 années de service qui étaient de mise dans les années 60.La première, c’est que les patients ju-gent leur dentiste sur des critères sub-jectifs : Il est sympa, il ne fait pas mal, chez lui c’est « clean » et moderne. Bilan un peu triste pour son amour propre, mais réalité quotidienne. Comment un patient lambda, pour-

rait-il juger des compétences d’un chirurgien-dentiste autrement que par ces critères subjectifs ?La seconde, c’est que si vous étiez chauffeur de taxi ou de bus, vous ne souhaiteriez certainement plus pas-ser vos journées au volant d’une R16 Renault ou d’une 504 Peugeot, véhi-cules qui en leur temps étaient repré-sentatifs de modernité. Votre voiture actuelle, elle date de quand ?Posséder un équipement dentaire récent apporte quelques avantages significatifs de confort, d’efficacité et vous donne une image de « dentiste moderne », au fait de la technique, d’un prati-cien qui sait évoluer avec son époque et les techniques de pointe.En dehors de l’image véhicu-lée par le changement, vous vous ferez également plaisir et gagnerez en efficacité grâce à des micro-moteurs sans char-bons (2 à 3 fois plus puissants que vos anciens micro-moteurs), des matériaux plus faciles à décontami-ner, des périphériques qui peuvent maintenant être directement intégrés à l’unit...Un patient qui va pendant 15 ou 20 ans chez son dentiste et qui voit toujours le même matériel, les mêmes meubles et la même peinture au mur, peut avoir un choc, le jour où il se rend dans un autre cabinet (par exem-ple sur le lieu de ses vacances), s’il constate un trop grand changement. Même si il n’y connaît rien en ma-tériel dentaire, il saura de lui-même comprendre qu’un plan de travail en-combré d’une multitude de flacons, boîtes et appareils a quelque chose de bizarre, qu’un matériel marron avec des cordons noirs, est passé de « mode » et il en déduira que son dentiste a oublié d’évoluer avec son temps au fil de son exercice.Le mobilier a aussi son importance, aussi bien votre bureau que les meu-bles de la zone de soins. La tendance est au plan de travail en verre teinté. Il donnera une sensation de netteté et de modernisme au cabinet.Pour ma part, j’opterais pour le Co-rian® ou matériaux similaires, moins salissants et moins fragiles dans le temps. Avec une préférence pour les

teintes claires et légèrement mouche-tées pour éviter de toujours avoir le chiffon à portée de mains.L’image de marque passe également par le confort du patient. J’entends par là, le confort physique apporté par un bon fauteuil au capitonnage moelleux ou à mémoire de forme qu’offrent certains fabricants d’équipements.Mais je pense aussi (en tant que pa-tient) au confort visuel, qui a une im-portance totalement ignorée de la très grande majorité des fabricants, distri-buteurs ou praticiens.

Quand un patient peut être reçu dans un cabinet, où en s’asseyant sur le fauteuil, il n’a pas la sensation d’être agressé par des tas de bras, de tuyaux et de tablettes avec des instruments peu sympathiques sous son nez, ça rassure un peu l’homme de la rue, qui n’est pas un homme de l’Art, lui ! (N’étant pas misogyne, cette démonstration est également valable pour la femme, si possible pas de la rue, elle.)Bien entendu, la plupart d’entre-vous avez été éduqués aux fouets (je parle de ceux des équipements de votre fac, de vos remplacements et collabora-tions). La France est ainsi équipée de plus de 70 % d’équipements à fouets. Comment se fait-il que nos voisins de Germanie ou nos cousins d’Amérique puissent travailler largement aussi bien avec des équipements à cordons pendants ? Question à se poser lors du prochain achat d’équipement.Une fois assis sur le confortable fau-teuil que vous venez d’acquérir, votre patient en prend plein les yeux, et ne sait où tourner son regard. Si le praticien est une jolie femme aux yeux verts, il n’aura pas cette question à se poser. Mais dans la majorité des cas, il fixe le scialytique et se prend la lumière du jour de l’éclairage d’am-

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biance (qui n’en a que le nom) en direct dans les yeux. Je ne compte plus le nombre d’amis à qui j’ai demandé « ton den-tiste, il a quoi comme équipement ? » et qui m’ont répondu tout de go « un Faro, cette fois j’en suis sûr, j’ai regardé ».

Faro ne faisant pas d’équipement, CQFD.Vous disposez maintenant d’éclai-rages « lumière du jour » équipés d’écran LCD, alors pourquoi ne pas en faire profiter vos patients ?Ils auront le regard et l’attention atti-rés par l’image que vous leur passerez sur cet écran qu’ils ont directement dans leur champ de vision. Images de DVD avec des vues de paysages ou de fonds marins magnifiques... Évitez de passer des films ou des concerts, vous en aurez vite marre d’entendre le son qui est nécessaire pour les suivre. Un concert sans le son c’est comme...Si vous avez pris soin de relier l’écran de cet éclairage à un câble VGA, vous pourrez en plus y envoyer une image de caméra endobuccale ou une radiographie panoramique, ou encore un examen 3D de Cone Beam.D’autre part, vous disposez aussi d’éclairages opératoires à leds équi-pés d’une caméra extrabuccale em-barquée. Caméra qui pourra à tout moment envoyer son image sous les yeux de vos patients, sur le magnifi-que écran de votre éclairage lumière du jour.Les deux principaux fabricants de ce type d’éclairage sont :EKLER : www.ekler.frZENIUM : www.zenium.fr

Le cabinet (salle de soins) est aussi le lieu où la technologie de pointe trouve sa place.Un laser chirurgical permettra outre son impact psychologique sur le pa-tient, de traiter les caries, les canaux, d’effectuer des travaux de parodon-tologie et même de résorber des tu-meurs bénignes.Mais l’investissement dans ce type de matériel n’a de sens que si vous êtes

très exigeant et vous-même convain-cu des avantages que vous procurera le laser. C’est bien de l’acheter, mais il faut s’en servir ! Et c’est possible au quotidien pour des tas de choses.Un autre appareil hautement tech-nologique peut aussi se justifier en omnipratique, c’est un équipement de CFAO (Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur).Le plus connu et le plus répandu étant le Cerec de Sirona.Le Cerec permet de fabriquer très

rapidement des inlays, des facettes et des couronnes en céramique et même de petits bridges, et ce en une seule séance, voire en deux si vous y tenez. Avec le Cerec 3, même les faces oc-clusales sont prises en charge.Un Cerec est composé de 2 éléments distinctifs. Une unité de prise d’em-preinte optique et une unité d’usinage de la céramique.En quelques secondes, vous prenez une empreinte optique à l’aide d’une caméra de mesure spécifique, ce qui évite les prises d’empreintes à l’algi-nate ou aux silicones, qui apportent leurs réflexes nauséeux. Plus besoin non plus de moulages, la fabrication de la prothèse se fera en « live ».Cet appareil peut être équipé d’une caméra intrabuccale (option) afin de montrer au patient l’état de sa bouche et de sa dentition, ce qui en fait un ter-minal de communication.La liaison avec l’unité d’usinage qui se trouve en général ailleurs que dans la salle de soins, se fait par radio (pas de câblage à prévoir).Deux unités d’usinages sont dis-ponibles. La première est desti-née aux prothèses unitaires, une seconde est prévue pour les pro-thèses de dents multiples. Cette seconde unité peut même être

capable de réaliser des calibres de perçage pour la planification d’im-plants dentaires, directement à par-tir d’examens radiologiques en 3D avec la technique « Cone Beam ». Aujourd’hui uniquement compati-ble avec le « Galileos » du même fabricant. L’unité de prise d’em-preinte optique et de traitement informatique est mobile et de ce fait peut être utilisée dans plusieurs cabinets au sein d’une même struc-ture. Au niveau de l’image de marque, qui nous intéresse dans ces colonnes, inutile de préciser l’impact de cette technologie.www.sirona.fr

La radiologie intra-orale

Le temps des pots de yaourt est ré-volu pour développer les clichés ré-troalvéolaires. Quelques combattants d’arrière-garde ne jurent encore que par l’argentique ! Voyez ce que c’est devenu dans la photographie professionnelle, où le même genre de discours a déjà eu lieu, et où l’argentique repose en paix.Joindre les performances technologi-ques, le confort de travail et l’image de marque est une démarche tout à fait rationnelle. En radiologie intra-orale, des nouveautés viennent mettre de l’eau au moulin :- Owandy vient de sortir un capteur

révolutionnaire le « Visteo ».Un capteur sans fil de très haute défi-nition (25 pl/mm), puisant son éner-gie électrique et fournissant ses infor-mations de sortie par induction avec un angulateur astucieux. Avec les capteurs CCD ou C-Mos, c’est 9 fois sur 10, que les pannes

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proviennent du câble de liaison. Avec le Visteo, le câble est lié seulement à l’angulateur qui est remplaçable très facilement et à peu de frais. D’autre part, il n’y a pas besoin de plusieurs angulateurs, puisque ce dernier est universel !www.owandy.net/fr/

- Kodak n’est pas en reste et propose de son côté un nouveau capteur, le RVG 6500, compatible Wi-Fi, permettant de le déplacer aisément d’un fauteuil à un autre, sans se pré-occuper de connexion filaire.

De plus, ce capteur Wi-Fi est compa-tible avec la plate-forme de l’iPhone d’Apple. Une application dédiée « RVG Mobile » est disponible gratuitement sur « l’App Store », la plate-forme de téléchargement d’iTunes. Côté positionnement et angulateur, Kodak propose un angu-lateur électronique qui vous guidera en balistique, pour positionner de visu sur écran, votre générateur de rayons X.http://eamer.kodakdental.com/fr-FR

- Soredex, avec son célèbre et perfor-mant Digora, a mis sur le marché un modèle beaucoup plus compact et équipé d’un mini écran LCD de

communication et de visualisation du cliché.L’écran permet-tant rapidement de savoir si l’image est correcte, ou à reprendre, avant de l’envoyer, via le réseau, dans le fichier patient.www.soredex.com/

La radiologie extra-orale

Détenir au cabinet une simple radio panoramique dentaire est un atout ex-traordinaire à tous points de vue :- Disponibilité immédiate d’examen- Confort pour le patient (évite un ren-dez-vous externe)- Qualité assurée du résultat (si vous

êtes vous-même exigeant !)- Image de professionnalisme du ca-binet- Rentabilité induite.Tout cabinet ayant la place dispo-nible se devrait d’avoir ce type de machine dans ses structures. Le prix n’étant en aucun cas un obstacle, car aujourd’hui vous trouvez chez tous les revendeurs, des radios panora-miques numériques d’occasion pour une dizaine de milliers d’Euros.Marché de l’occasion alimenté par l’immense succès rencontré par les radios 3D, dites « Cone Beam ».

Cette nouvelle génération d’imagerie numérique en 3 dimensions a suscité beaucoup d’intérêt en implantologie. Comme pour la radio panoramique, les avantages sont les mêmes, avec en plus un formidable outil d’inves-tigation diagnostique. Nous avons déjà développé cette technologie et ses atouts dans des nu-méros précédents de la revue.Bien entendu l’impact des images tridimensionnelles présentées au pa-tient pour étayer son diagnostic est très percutant. L’essor de cette tech-nologie est assuré pour une bonne décennie.

Le coin hygiène

Peu de cabinets français en sont équipés, pourtant c’est un signe très fort de considération des patients, donc de l’image de marque aussi.En permettant aux patients de se laver les dents, avant de passer sur

le fauteuil, ou aux dames de se re-pomponner avant de sortir du cabi-net, le praticien témoigne d’attention délicate envers ses visiteurs.Il n’est pas besoin de disposer d’un espace très grand pour prévoir un petit coin comportant une glace, un lavabo et un distributeur de mou-choirs en papier.

La salle de prophylaxie

Il faut le reconnaître, elle s’adres-se plutôt aux cabinets de groupe ayant une bonne surface de locaux. Ce type de pièce est fréquent chez beaucoup de nos voisins européens, c’est ce que l’on nomme « les hygié-nistes ».On peut envisager d’y pratiquer les détartrages, des contrôles de la flore gingivale à l’aide d’un microscope équipé d’une caméra et d’un écran de visualisation pour dialoguer avec le patient, et enfin de l’apprentissage du brossage des dents.Cette salle pourra être partagée entre les différents praticiens et assistantes du cabinet.

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On pourra aussi envisager d’y uti-liser un logiciel d’explication des différents travaux dentaires, tel Quick Dental Office évoqué un peu plus haut.Un simple fauteuil avec un éclai-rage opératoire à led est suffisant comme matériel pour exploiter cette pièce. L’ajout d’un détar-treur obligeant à équiper la salle d’une aspiration et d’une arrivée d’eau.

La communication externeAujourd’hui, il faut être « connec-té » pour ne pas passer pour un vieux dinosaure. Le téléphone fixe, si l’on ne peut vous y joindre, il faut pouvoir le faire sur un portable, envoyer des mails, être connecté à MSN, avoir son blog, son compte Facebook et demain se faire greffer un termi-nal dans le cerveau !C’est ce que l’on appelle vivre avec son temps (là où on en a de moins en moins). Donc tout pro-fessionnel qui se respecte, se doit de nos jours d’avoir son site In-ternet. Que vous soyez plombier, marchand de peinture ou dentiste, il faut être présent sur la toile.Les offres et les solutions ne man-quent pas, cela va du « fait mai-son » plus ou moins réussi, avec le fait « par un copain qui connaît » et qui peut peut-être faire quel-que chose de mieux, voire de très bien.Le problème majeur de ces solu-tions, en premier lieu avant même de parler de réussite du site, est le respect de la réglementation appli-cable aux sites médicaux. L’ami

informaticien n’est peut-être pas très au courant de tout ça.Je pense qu’il est toujours préfé-rable et plus rentable à long terme de s’adresser à des profession-nels pour tous les besoins pro-fessionnels. Vous n’êtes pas des bricoleurs, donc pas de raison de s’adresser à d’autres bricoleurs de sites ou de quoi que ce soit !Il faut savoir qu’il existe un orga-nisme international et non gou-vernemental d’homologation des sites médicaux. « HON ».La Fondation Health On the Net, qui est l’organisation retenue par la haute autorité de santé en Fran-ce.www.hon.ch/home1_f.html

Le Conseil National de l’Ordre des Chirurgiens-Dentistes à éga-lement publié une charte ordinale sur le sujet le 15 mars 2008. Té-léchargeable à l’adresse ci-des-sous :www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/chirurgiens-dentistes/securi-sez-votre-exercice/divers/charte-site-internet.htmlIl est vrai qu’un site Internet bien conçu est un atout pour l’image de marque d’un cabinet, mais il ne faut pas se leurrer, il y a très peu de chances que le patient qui a mal aux dents aille chercher un dentiste sur « Google ». À la rigueur sur « Pages jaunes.fr » ou son annuaire en papier. Par contre, pour le patient qui est déjà « client », ce peut être un atout supplémentaire pour s’informer sur des propositions de traitements ou de prothèses proposées par son chirurgien-dentiste.

Dans une moindre mesure, le même patient peut aussi recom-mander à un tiers de consulter votre site.Plusieurs exemples :www.webdentiste.frwww.Gi-Web.frwww.denti-site.fr

Je souhaite que ce petit coup d’œil dans le miroir de l’image de mar-que puisse vous aider dans vos ré-flexions sur le sujet. u

LES 10 POINTS CLÉS D’UN SITE INTERNET RÉUSSI

Par Jacques Singer, Président des Editions Numériques de Presse Spécialisée (WEBDENTISTE)

1. Le contenu éditorial est roi 2. Le site doit être vivant :

animations, actualités… 3. Les mises à jour du contenu

éditorial sont impératives 4. Le travail de « référencement »

est permanent 5. De nouvelles fonctionnalités doivent être

proposées régulièrement aux internautes

6. Le graphisme doit évoluer chaque année 7. L’ interactivité avec les patients

internautes est obligatoire 8. L’adresse de son site doit être

communiquée à ses patients 9. Toute l’équipe du Cabinet doit être

impliquée pour « prendre la main » sur le site

10. Il faut pouvoir changer facilement les informations, visuels… du Cabinet

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Révolutionner le blanchiment

dentaire T ous les produits de blanchiment dentaire sur le marché qui

contiennent du peroxyde d’hydrogène fonctionnent sur le même mode, puisque le processus de décomposition du

peroxyde d’hydrogène s’applique à tous sur les mêmes bases. En clair, le peroxyde d’hydrogène se décompose en eau et en oxy-gène, en proportion variable, en fonction de la température, des impuretés et des stabilisants. Ce sont les métaux de transition et leurs composés qui favorisent sa décomposition. L’utilisation d’un cataly-seur vient encore accroître sa production en oxygène et il se dégage de la chaleur.White+™ est un agent actif breveté, écologique, qui obvie à ses phénomènes. Son mode opératoire est littéralement différent, et son pouvoir blanchissant en est accru, en toute sécurité.Il fonctionne sur un mode « atypique » puisque, stabilisé, son mode de décomposition est progressif et non plus volatile, comme l’est par nature le peroxyde d’hydrogène.Cela présente de nombreux avantages. Il n’est plus nécessaire de renouveler la pose du gel entre deux sessions pour réactiver l’ef-ficacité du produit qui libère l’oxygène sur une période de plus de 20 minutes.

Il ne s’oxyde pas puisqu’il comprend dans sa composition des agents chélateurs qui lui permettent de conserver sa stabilité. Il déroge ainsi à tous les processus courants, présents sur le marché puisqu’il réagit selon son propre mode opératoire. Ainsi il n’est plus nécessaire de le mettre en présence avec des métaux de transition (ex Zoom2) pour potentialiser son activité. La lumière de la lampe White+™, sans dégager de chaleur, lui permet d’activer ses propriétés blanchissan-tes, sans générer de résidus. L’agent actif White+™ comprend du Calcium à un taux optimal pour prévenir contre toute déminéralisation de la dent et alors que le peroxyde d’hydrogène va entrer en phase d’activation, il va réagir sur le Calcium, inclus dans sa composition, qui agit comme un tam-pon sur l’acidité et permet ainsi au gel de blanchiment de conserver un pH neutre.

L’exposition prolongée des dents à un gel de blanchiment provo-que un certain nombre d’effets défavorables en plus de celui de générer des sensibilités dentaires. Ceux-ci incluent : la solubilisation du calcium de la couche d’émail à un pH inférieur à 5,5 ayant pour conséquence une déminéralisation associée ; la pénétration de l’émail intact et de la dentine par les agents blanchissants afin d’atteindre la chambre pulpaire de la dent vivante risquant ainsi des dégâts au niveau des tissus pulpaires ; et la dilution du gel de blanchiment dentaire au contact de la salive avec comme résultante les risques d’ingestion pour le patient.L’association de l’agent actif stabilisé White+™ et de Calcium dans la formule, permet de libérer le maximum d’oxygène de manière constante et progressive pendant la durée de traitement. Il en résulte un pouvoir blanchissant accru et une réduction du temps de traite-ment au fauteuil pour le patient (une seule séance de 30 min. suffit pour un gain de 8 teintes). Le gel White+™, en plus de contenir du Calcium est enrichi en Nitrate de potassium, dont le rôle est d’affecter le seuil de réaction des nerfs sensitifs et ainsi soulager la douleur mais aussi en Fluorure de Sodium, qui renforce la barrière calcique émail/dentine et agit comme un désensibilisant à pouvoir anti-cariogène.Il est communément accepté que la sensibilité dentaire résulte éga-lement des mouvements de fluides au travers des tubules dentinaires vers les terminaisons nerveuses internes de la dent. Ce mouvement est encore augmenté par la présence de composants que l’on re-trouve dans les gels de blanchiment dentaire.White+™ de Meodental est un procédé unique, de pH neutre, qui répond à tous les cas cliniques, même les plus difficiles comme le traitement des dyschromies de type intrinsèque, parmi lesquelles celles liées aux antibiotiques (tétracycline) et les fluoroses. White+™ est aussi très efficace pour le traitement des dyschromies extrinsèques liées à l’âge, ou à la consommation de thé, de café, de vin, de cigarettes, etc.La formule White+™ permet de maintenir un degré optimal d’hy-dratation de la dent pendant toute la procédure de blanchiment dentaire, évitant ainsi les échanges de flux buccaux.

White+™

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cliNic essai

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Fig. 7 : contrôle à 24 h avec cette technique, les résultats sont stables.

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De gauche à droite : Dr Frédéric Herszenfis et Dr Bernard Touati

Fig. 1 : photo après nettoyage et avant blanchiment, noter le défaut de l’émail sur 22

Fig. 2 : juste après traitement (sans douleur) noter la pénétration du produit dans le défaut de 22.

Fig. 3 : teinte stabilisée à 1 semaine (patiente fumeuse). L’effet d’éclaircissement est visible sur la 22 qui nous sert ici de référence.

Fig. 4 : après nettoyage et avant éclaircissement. Teinte de base 2M 1, Teintier Vita 3D Master.

Fig. 6 : contrôle avec teinte plus claire, 1M 1 montrant l’effet de l’éclaircissement.

cas cliNique 1

cas cliNique 2

SynthèseCes deux cas cliniques révèlent que le système d’éclaircissement White+ TM de Méodental est fiable. L’équipement ergonomique est peu encombrant, la procédure est simplifiée. Il existe moins de sensibilité (surtout pendant le traitement) et les résultats sont constants.

Fig. 5 : la luminosité est visiblement augmentée. Contrôle avec teinte de base référence 2M 1.

Un progrès dans la pratiquedu blanchiment au fauteuil

www.lefildentaire.com > 33

dr Frédéric HerszeNFisn maîtrise de sciences

biologiques et médicales

n associé de la selarl touati-herszenfis

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Ma rencontre avec le Numero 1 du Fil Dentaire s’est faite par hasard, à la bibliothèque de la Faculté de Médecine de Paris. Il ne m’a plus quitté depuis. En 35 «rencontres» et «rendez-vous» réalisés, j’ai découvert des consœurs et confrères peintres, sculpteurs, cinéastes, sportifs, politiques, syndicalistes, scientifiques, navigateurs, alpinistes, romanciers, œnologue, comédiens, explorateurs... tous ont transmis à travers Le Fil Dentaire leur passion et leur attachement à la chirurgie dentaire. 50 numéros pour faire savoir le Savoir-faire, que vivent 50 prochains numéros du Fil Dentaire !

Docteur Philippe PIRNAY

En anesthésie, il y a la partie utile, qui répond à la demande du patient, et la partie inutile, qui n’apporte que des désagréments. Il en est de même pour les articles et les revues qui les publient. Un auteur qui est en contact avec le terrain, rédigera obligatoirement un article utile pour ses confrères. Ces confrères n’ont qu’une aspiration : améliorer, dans tous les domaines, la pratique quotidienne de la dentisterie. C’est la seule chose qu’ils attendent de la lecture des revues professionnelles. Ce qu’ils espèrent, c’est du simple, du concret, de l’immédiatement applicable au fauteuil, pour réaliser une dentisterie de qualité. Ils veulent être informés des dernières évolutions utiles. Les interminables bibliographies ne leurs apportent rien, c’est du temps perdu. Le Fil Dentaire fait partie de ces quelques revues utiles, car, au cours de son évolution, il a su parfaitement répondre à cette attente. Nous l’encourageons à poursuivre dans cette voie.

Dr Alain VIllette

Le Fil Dentaire constitue une revue attractive de par sa forme et son contenu. Très ciblés, les articles sont présentés de façon claire, permettant une lecture rapide et une information néanmoins très complète. C’est une revue riche car tous les sujets concernant l’exercice professionnel des praticiens y sont traités : aspects techniques professionnels, juridiques, assurantiels, environnement professionnel..., sans oublier les questions de formation, les rendez-vous professionnels à ne pas manquer et l’actualité nationale aussi bien qu’internationale. Les numéros spéciaux permettent un approfondissement des connaissances et d’être au fait de toute nouveauté. La variété et la pertinence des sujets traités en font une source d’information précieuse pour les praticiens.

Catherine NGUYeN - Predica

Le Fil Dentaire n’a de cesse de guider et d’accompagner les équipes dentaires vers l’excellence, tant du point de vue des compétences cliniques que des compétences transversales (organisation, management). Ce cinquantième numéro marque le succès jamais démenti de l’Unique revue gratuite de médecine bucco-dentaire dont l’éthique et la rigueur scientifique font honneur aux professions de soins dentaires. C’est avec beaucoup de fierté et de plaisir que j’accompagne Patricia et Norbert depuis la création de la rubrique Gestion RH que j’ai initiée dans le secteur dentaire. Courage, Fidélité, Honnêteté et Incorruptibilité sont les maîtres-mots des liens qui nous unissent.

Rodolphe CoChet, Consultant Rh dentaire

Al’occasiondenotrecinquantièmeédition,nouspublions celivred’orquiréunitlesnombreuxtémoignagesd’auteurs etd’annonceurs,fidèlespartenairesduFilDentaire.Nous sommesheureuxdecouronnerceboutdecheminparcouru avectoutesceséquipesetleuradressonsnoschaleureux remerciementspourleursoutienetleurconfiance.

Bravo au Fil Dentaire qui sous la houlette énergique et déterminée de Patricia propose un support de formation différent pour les chirurgiens-dentistes français.Ces numéros thématiques égrenés depuis deux ans offrent un espace de libre expression sur un sujet précis et donnent l’opportunité aux praticiens de compléter leurs connaissances cliniques.50 numéros c’est 50 courses contre la montre pour boucler dans les délais et être au rendez-vous dans chaque cabinet. Bravo pour vos différences.

Dr Patrick exbRAYAt

J’ai eu l’occasion à plusieurs reprises de collaborer avec Le Fil Dentaire, que ce soit pour une interview, un éditorial ou la responsabilité d’un numéro spécial.Cette collaboration s’est toujours effectuée dans un climat amical, convivial mais empreint d’un grand professionalisme.Une liberté d’expression totale règne au niveau de la rédaction et permet de développer des idées en instaurant un débat scientifique très intéressant.Le Fil Dentaire a ainsi développé un style très personnel, innovant, ce qui lui a permis de trouver une place respectée au sein des medias professionnels.

Pr Patrick MIssIkA

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«Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait» écrivait Mark Twain. Quel parcours !Les équipes du Groupe TBR se joignent à moi pour féliciter le Fil Dentaire et ses rédacteurs pour leur sérieux, leur audace et leur convivialité aujourd’hui récompensés par ce 50e numéro. Depuis 25 ans que le Groupe TBR existe, notre rencontre avec l’équipe du Fil Dentaire est un vrai plaisir personnel et professionnel.

Julien beNhAMoU, PDG du Groupe tbR

En ce numéro 50, je voulais profiter de l’occasion pour dire à quel point je suis fier d’avoir pu participer de près ou de loin à cette formidable aventure.Dès le 1er numéro, j’ai été totalement conquis par, ce qui était à l’époque, une formule totalement inédite dans la publication dentaire. Réunir, en une seule revue, des articles scientifiques de qualité, des news, des interviews sans langue de bois, des conseils pratiques sur notre quotidien et une réelle intéractivité avec les lecteurs. Et tout cela, gratuitement et à diffusion totale sur toute la France.Un merci particulier à Norbert qui m’a offert sa confiance depuis le tout début.Un grand Bravo à toute l’équipe et longue vie au Fil Dentaire !

Dr steve beNeRo

Lorsqu’avant même la création du Fil Dentaire, Norbert Cohen m’a interrogé sur la pertinence d’une revue gratuite pour les Chirurgiens-Dentistes, l’idée a immédiatement suscité mon adhésion. Depuis, après de nombreuses années de collaboration avec Le Fil Dentaire et plus particulièrement Patricia Levi, la directrice de publication, je suis fier d’avoir contribué à son développement. Les articles du Fil Dentaire ont permis d’apporter au plus grand nombre de praticiens et d’assistantes une information pratique et de qualité. Toujours professionnel et facile à lire, le Fil Dentaire est aujourd’hui devenu un incontournable de la presse dentaire. Je lui souhaite longue vie.

edmond bINhAs,Fondateur du Groupe edmond binhas

Félicitations pour cette cinquantième édition du Fil ! Devenu une référence dans la profession, toujours sur le fil de l’actualité, apprécié par les dentistes et les assistantes pour la qualité de ses articles, et une réelle valeur ajoutée pour toute personne travaillant dans le domaine dentaire.Sans oublier Patricia Levi, directrice de la publication, qui est très impliquée et cherche constamment à maintenir sa revue innovante et à la hauteur des attentes de ses clients. Nous vous souhaitons encore une longue vie... une revue qui pourra être 100tenaire !

Nadine JAeGeR, Camlog/henry schein

Longue vie au Fil Dentaire ! Magazine devenu incontournable dans la profession, et dont le contenu est à la hauteur de sa présentation. Continuez à faire bouger, toujours dans le bon sens le milieu dentaire.

séphane CoheN, www.denti-site.fr

Le Fil Dentaire fête son cinquantième numéro le mois où Protilab souffle ses 4 bougies ! Dès le début de notre activité, et même avant, notre partenariat a été solidement ancré sur une grande confiance mutuelle ainsi que sur des valeurs communes de professionalisme, innovation et intégrité. Gageons que ces valeurs, qui fondent nos deux organisations, nous permettront de continuer à planter, ensemble, de nombreux autre jalons dans l’avenir.

Frédéric sAMAMA, Protilab

Une équipe jeune et dynamique, une gentillesse et une patience sans égal. Toute l’équipe du fil dentaire se démène chaque jour pour nous apporter le maximum de satisfaction. Une rédaction de qualité, des thèmes toujours à la pointe de l’actualité et la plus forte distribution de la presse dentaire font du Fil un incontournable !Bravo pour ce pari relevé !!!!

Alexandre leVY, Implant Discount

On dit souvent que ce qui est gratuit est sans valeur, cela peut être parfois vrai. Mais si on se réfère aux multiples sens du mot valeur, Le Fil Dentaire démontre brillament qu’une publication peut être gratuite et de qualité.La presse gratuite grand public tant decriée à ses débuts a aujourd’hui des milliers voire des millions de lecteurs. Il suffit de prendre les transports en commun pour le constater (oui je les prends parfois !!!).Le Fil Dentaire avec ses numéros spéciaux, ses articles et ses infos pratiques a su trouver une place parfaitement légitime dans le paysage de la formation continue. Bravo à toute l’équipe pour toute cette énergie et pour le travail accompli.

Dr Joël ItIC

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Page 36: Partageons Notre Savoir-Faire

Qu’est-ce que le Fil Dentaire ?Le Fil Dentaire c’est avant tout une aventure humaine. Mais pas seulement ! Outre le fait que toute l’équipe rédactionnelle et commerciale soit non seulement sympathique mais aussi très professionnelle, le « Fil Dentaire » c’est aussi un contenu. Répondant exactement aux principes de la loi de proximité, la revue propose des papiers de très grande qualité scientifique aux signatures prestigieuses. Pour nous, supporter la tâche didactique et informative du « Fil Dentaire » tout au long de l’année est non seulement une évidence mais aussi une obligation. Longue vie au Fil…………….. !

Aurélie MAIN, owandy

Le Fil Dentaire s’est imposé au fil des jours comme une lecture indispensable. La ligne éditoriale, toujours dans le droit fil des attentes de la profession a séduit, puis conquit. La joie de collaborer à ce journal n’a d’égale que la gentillesse et le professionnalisme de son équipe rédactionnelle. Plus de FIL à tordre que du DENTAIRE à déguster sans modération !!!!!!!

Dr bernard PeltIeR

Merci à toute l’équipe du Fil Dentaire et à Patricia Levi en particulier de nous faire vivre chaque mois une nouvelle aventure dentaire. Merci pour le choix judicieux des intervenants et pour la qualité de la reproduction de notre iconographie toujours fidèle aux originaux. Un bonne alternance entre les différents sujets, et un choix dans les annonceurs informatif. Il est important tant pour le lecteur que pour le rédacteur que le message à faire paraître soit conforme à celui que l’on cherche à transmettre.Pour son 50 ième numéro je souhaite longue vie au Fil Dentaire et à toute son équipe.

David C. beNsoUssAN

Bonjour Mme LEVI,Ce petit exercice de style me permet de vous dire combien j’apprécie de collaborer avec votre magazine pour votre gentillesse et votre amabilité à vous et à Mr Norbert COHEN, depuis de longues années. Chaque rubrique a trouvé sa place et en parcourant le magazine, on découvre la variété des articles proposés et la mise en page colorée et gaie. En ce qui concerne ma rubrique « ECO », je suis heureux de constater que les lecteurs la suivent régulièrement et conservent les numéros, car quelque fois, ils m’interrogent sur des articles parus précédemment, ce qui est une preuve de fidélité au magazine, et cela me fait plaisir, autant pour moi que pour vous. Aussi, continuez encore longtemps pour que les 5000 numéros suivants soient réalisés avec le même enthousiasme et professionnalisme. Amitiés.

Alain CARNel

Le Fil Dentaire occupe une place de premier plan dans le panorama de la presse spécialisée dans le dentaire. Notre collaboration avec la revue a toujours été fructueuse. Suite à la parution d’articles ou de publicité concernant nos produits, nous recevons de nombreuses demandes de renseignements des lecteurs. Nous augmentons ainsi notre visibilité grâce à ces campagnes. Les sujets abordés sont variés et permettent de se tenir informé avec précision sur de nombreux domaines.

Fabrice bAlthAzAR, Prodont holliger

C’est toujours un plaisir de travailler avec Le Fil Dentaire». L’équipe a sorti de nombreux numéros de grande qualité ce qui lui permet aujourd’hui de faire partie des revues qui «comptent» dans le monde dentaire français. Le professionnalisme et la détermination de Patricia LEVI à faire avancer ce journal sont des garanties supplémentaires pour la richesse des 50 prochains numéros. Longue Vie au «Fil Dentaire» !

Delphine ChAbot, Dental hi tec

Votre écoute, votre professionnalisme et votre enthousiasme font du Fil Dentaire un de nos supports média privilégié. Nos objectifs communs de qualité et de rigueur permettent de sensibiliser le praticien aux dernières évolutions technologiques grâce à vos informations précises et concises.Le lecteur s’empare alors de l’information librement et valide ainsi votre mission.Bravo et merci pour l’efficacité de notre collaboration.

Catherine CADoRelPDG, International

Medical Implant

Le Fil Dentaire a su évoluer en s’entourant de praticiens experts qui lui confèrent une caution scientifique ce qui lui octroie une place importante dans la presse dentaire.Les contenus très pragmatiques notamment au travers des numéros spéciaux permettent aux praticiens d’acquérir des connaissances dans le respect d’une chronologie. Une revue intelligente !

sophie GAFsoU, Astra tech Dental

Une équipe dynamique à l’écoute des professionnels qui a su s’entourer d’auteurs de renom mais également ouvrir ses colonnes à de nouvelles plumes. Le Fil Dentaire propose une ligne éditoriale diversifiée et pratique qui délivre des contenus facilement exploitables par l’omnipraticien. Une revue devenue un outil de choix en complément de la formation menée sur le terrain.Bravo pour la passion que vous mettez à l’ouvrage !

Dr Antoine DIss, Génération Implant

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FondamentauxToute préparation prothétique nécessite la réalisation d’un provisoire aussi bien en terme de fonction que d’esthétique. Pour les facettes, la faible rétention (préparation une face à une face et demi de dent) et la fragilité doivent être prises en compte dans la technique qui suit. Les facettes provisoires doivent être réalisées en résine autopolymérisable ou à l’aide de matériau bicomposant à base de composites Bis GMA. Nous présentons la technique utilisant une résine polyacrylique Unifast de GC.

Etapes cliniques Instrumentation

1 / Préalable : photographies, détermination de la couleur, modèle d’étude, modèle des masques

Réalisation des coquilles : en résine sur le modèle des masques ou sur le modèle d’étude - Réalisation d’une clé en silicone - Décortication à minima sur le plâtre (0,3 mm) - Puis confection par automoulage d’une pellicule en résine

GC UNIFAST III Teinte A1Poudre : 002657Liquide : 002651

Préparation de la bouche : après préparation des facettes, combler les embrasures palatines avec une digue liquide photopolymérisable - Vaseliner les préparations à l’aide d’un pinceau

Rebasage : garnir les facettes de laboratoire une à une avec de l’Unifast LC - Enlever les excès à la sonde et photopolymériser

GC UNIFAST LCTeinte B2Poudre : 000365Liquide : 000368

Ebarbage et ajustage : décoller les facettes provisoires à l’aide d’un zerfing - Marquer les limites de préparation - Ebarber, ajuster avec des disques ajourés et des fraises de laboratoire

Disques diamantés Komet :6934.104.180982.104.220

Retouche : sculpture esthétique et fonctionnelle par soustraction ou par ajout de résine Unifast LC - Solidariser toutes les facettes ensemble, au niveau de leurs points de contact pour augmenter la rétention

Lampe à photopolymériser de Kerr910 770

Grattage et espacement : gratter l’intrados du provisoire à l’aide d’une fraise diamantée grain vert pour laisser la place au ciment - Microsablage de l’intrados pour augmenter la rétention

Polissage : de l’extrados, au banc de polissage à la pierre ponse grise et au feutre

Glaçage : avec une glasure composite photopolymérisable pour combler les microporosités

Biscover Lv de Bisico :BC 826

Assemblage : préparation du ciment provisoire verre ionomère (jamais d’eugénol) avec 1/3 de vaseline qui allie la transparence et résistance au descellement par ses propriétés adhésives- Mise en place et suppression des excès en phase caoutchouteuse- Contrôle occlusal - Prise d’empreinte pour étude morphologique au laboratoire

GC Fuji PLUS :(teinte A3)001418

Astuce & tour de main Testez-vousL’adaptateur Stoner

Référence : 4022 HPIl permet de travailler sur pièce à main, avec des fraises pour turbines, que le praticien maîtrise parfaitement.

1- Les prothèses provisoires : l A. doivent être réglées en sous occlusion l B. doivent respecter les règles de calage, centrage, guidage l C. ont une usure occlusale rapide2- Les prothèses provisoires : l A. doivent être prises en empreinte pour le laboratoire l B. sont des moyens de contrôle d’épaisseur de préparation l C. ont un rôle de protection des dents vitales3- Les prothèses provisoires l A. sont scellées avec des ciments sans eugénate l B. ne sont jamais espacées par grattage de l’intrados l C. sont tarifiées en tant qu’acte hors nomenclature

Facette provisoirePar le Dr JF Lasserre groupe Symbiose

Répo

nses

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2

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3

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step By step esthétiqueLes fiches de Stéphanie Pineau

Opaldam de Bisico : UP 324

Poudre d’oxyde d’alumine : RV 016

Microsableuse de Bisico : RV 012

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Ces derniers mois la profession a fait l’objet dans les médias ( « Capital », « Notre Temps », « Antenne 2 », « France Inter ») d’une attaque en règle de nature totalement diffamatoire. La coïncidence de ces attaques n’est en réalité que le fruit de puissants lobbys tels que certaines compagnies d’assurances (Santéclair en particulier) et d’un syndicat de prothésistes l’UNPPD.

L ecteur de longue date de « Capi-tal », j’ai été surpris de l’article rédigé par Sandrine Trouvelot

à propos du prix des prothèses den-taires. En tant que chirurgien-dentiste et consultant dans le domaine den-taire, je constate que cet article reflète une méconnaissance de l’activité de chirurgien-dentiste et jette l’opprobre sur toute une profession médicale par une généralisation simplificatrice (les dentistes se frottent les mains !!!). Par ailleurs, il se fait l’écho grossier de lobbys bien connus dont les intérêts sont convergents contre la profession dentaire.

1. Sous-entendre que la réalisation d’un acte médical tel qu’une prothèse dentaire peut se réduire à une presta-tion de vente est une simplification dangereuse dénotant une ignorance des risques et de la complexité de la situation clinique. Doit-on rappeler que les études dentaires durent 6 ans après le Bac. avec des matières aussi complexes que la biochimie, l’ana-tomie, la physiologie, etc. Contraire-ment aux verres de lunettes dont la confection est automatisée et parfai-tement maîtrisée, la réalisation d’une couronne exige le respect de 24 éta-pes cliniques. En l’occurrence, le travail effectué par le chirurgien-den-tiste s’apparente à celui de l’ophtal-mologiste pas à celui de l’opticien. La réalisation au laboratoire ne constitue qu’une seule de ces 24 étapes. C’est comme estimer la valeur du prix d’un

Tous les dentistes sont des voleurs… sauf le mien

numéro de «Capital» en considérant le seul prix du papier et de l’encre, ou encore la seule prestation de l’impri-meur sans tenir compte du travail de toute l’équipe de rédaction... C’est pourquoi certains chirurgiens-dentis-tes sont réticents à afficher les tarifs de laboratoire. Cela reviendrait à ac-créditer la thèse que leur travail est un acte de vente. Que diraient les jour-nalistes si on devait les contraindre à afficher le prix du papier ?

2. A qui peut-on faire croire qu’il est possible sans conséquences né-fastes de brader les honoraires ? Dé-sormais, les hautes technologies sont employées pour réaliser un travail de qualité et les mesures d’asepsie élevées sont nécessaires pour éviter les infections nosocomiales. Il faut avoir l’honnêteté de dire que lorsque les honoraires sont bradés, il devient quasiment impossible de respecter les données actuelles de la science dentaire pour le plus grand danger des patients. Ces derniers aujourd’hui comprennent parfaitement cela. Vou-loir contraindre les chirurgiens-den-tistes à réduire leurs honoraires et en même temps à élever le niveau de qualité c’est les soumettre à une dou-ble contrainte. Cette dernière ne sert que les seuls intérêts des organismes de remboursement tels que Santéclair dont les cotisations ne sont pourtant pas données. Il est d’ailleurs étonnant de voir Santéclair exiger une baisse des honoraires et en même temps re-

procher à certains chirurgiens-dentis-tes de chercher à réduire les coûts qui leur permettent justement de conser-ver des honoraires raisonnables.

3. Concernant l’UNPPD dont le dis-cours éculé tel un serpent de mer re-vient régulièrement, il serait préférable qu’il se demande si la baisse d’activité de certains de ses laboratoi-res n’est pas liée plutôt à l’insuffisance de leur niveau de qualité et d’hygiène. Le fait d’être prothésiste syn-diqué à l’UNPPD n’est en aucun cas une garantie ni de qualité ni d’hygiène. A ce titre, il serait dan-gereux pour les patients que de près ou de loin il soit envisageable qu’un jour ces pro-thésistes aient la possibilité de réaliser les prothèses en bouche. Il ne manque pas en France de prothésistes sérieux qui travaillent tous les jours main dans la main avec les chirurgiens-dentistes pour la plus grande santé des patients.

C’est l’objectif final de l’immense majorité des chirurgiens-dentistes. L’exercice de la profession de chirur-gien-dentiste, contrairement aux appa-rences, est très difficile et extrêmement anxiogène. Le taux élevé de burn-out en est la preuve. Aussi, désigner cette profession comme bouc émissaire à la vindicte de vos lecteurs n’est ni sérieux ni éthique. Heureusement, les patients lucides ne sont plus dupes. u

L es efforts convergents de ces 2 lobbys ont réussi à convain-cre certains médias de publier

des articles ou de réaliser des émis-sions de nature à porter atteinte direc-tement ou indirectement à l’ensemble de la profession. Aussi, ai-je pris l’ini-

tiative personnelle, en tant que chirur-gien-dentiste et consultant dans le do-maine dentaire d’adresser la réponse suivante à l’article de « Capital ». Le Fil Dentaire et moi-même avons besoin de votre soutien par l’obten-tion d’un maximum de signatures de

praticiens en vue de soutenir cette ré-ponse. N’hésitez pas à nous faire part de votre accord (e-mail, fax ou cour-rier) pour l’envoi de ce courrier. Ainsi, plus le nombre de signatures sera important plus cette réponse atteindra l’effet souhaité.

Réponse adressée par le Dr Edmond Binhas à la revue : « Capital »

DR

droit De réPonse

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le fil Dentaire< < n°�0 < février 201042

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FormatioN imPlantoloGie

Les protocoles de forage

antérieur maxillaire)Classe IV : os cortical fin entourant un os spongieux peu dense (région postérieure maxillaire).

Forage standard

Dans les os de type II et III, et lorsque la densité et le volume osseux sont normaux, le protocole de forage est dit standard. Il s’agit alors de suivre les recommandations d’utilisation du système implantaire choisi.La séquence de forets, utilisés sous irrigation entre 1 000 et 1 500 tours par minute (variable selon les systèmes) est la suivante :Pour un implant standard cylindrique de 4 mm de diamètre (Fig. 1a à d).l Foret pointeur (forme de boule ou de pointe) : permet de positionner la future émergence implantaire et de ne pas glisser sur le sommet de la crête avec le foret pilote (Fig 1b)l Foret pilote (cylindrique, diamètre 1,8 à 2,2 mm de diamètre) : détermine la profondeur et l’axe implantaire. Le forage s’effectue en une à trois pressions, jusqu’à la longueur donnée, en fonction de la densité osseuse. Plus l’os est dense, plus il doit être irrigué et plus les copeaux doivent être éliminés afin de ne pas échauffer le site. C’est à cette étape que la majeure partie des informations to-pographiques concernant l’implant sont données. Afin d’être le plus précis possible lors de cette étape cruciale, un guide chirurgical peut être utilisé (Fig 1c).l Foret(s) intermédiaire(s) : au nombre de un ou deux, ces forets permettent d’élargir le diamètre du forage endo-osseux, sans modifier les paramètres positionnels. Dans certains systèmes dont les forets sont cylindriques, ce sont des forets dont l’embout est au diamètre du foret précédent, arrondi et non travaillant et dont le corps est du diamètre supérieur (Fig. 1a). Ce dernier type de foret pré-sente l’avantage de permettre l’élargissement de l’alvéole implantaire tout en étant guidé par le forage précédent. Cependant, lorsque la densité osseuse est trop faible, il est facultatif.

Principaux objectifs de la phase chirurgicale1. Ne pas nuire : éviter les éléments anatomiques nobles (nerf alvéolaire inférieur, sinus maxillaire, racine d’une dent adjacente, branches des artères linguale ou submen-tale…).2. Obtenir une bonne stabilité primaire : bien que nous manquions de données scientifiques sur les rapports entre la stabilité primaire des implants et le taux de survie implantaire (Quirynen et Lekholm, 2008), il est communément admis que l’implant doit être immobilisé dans son alvéole en fin d’intervention. L’obtention de ce « blocage » dépend du design implantaire, de la densité osseuse et peut être modifiée par le protocole de forage.3. Positionner l’implant en fonction de la future prothè-se : l’implant doit être le prolongement apical de la future prothèse. Pour répondre à cet objectif, il s’agit de respec-ter la distance dent-implant, la distance implant-implant, l’émergence implantaire et l’axe implantaire qui ont été détaillés dans un précédent article.4. Respecter l’environnement muco-gingival péri-im-plantaire : la pérennité de l’implant dépend également de la qualité de l’environnement muco-gingival. Il est communément admis que la présence d’un bandeau péri-implantaire de gencive kératinisée de 2 mm améliore le contrôle de plaque et limite l’infiltration bactérienne.

Classification osseuse de Lekholm et Zarb (1985)Cette classification de la qualité osseuse distingue qua-tre classes d’os en fonction de la proportion d’os cortical (très dense) par rapport à l’os trabéculaire :Classe I : constituée presqu’exclusivement d’os cortical (région symphysaire mandibulaire)Classe II : os cortical épais entourant un cœur spongieux à trabéculations denses (secteur prémolaire maxillaire)Classe III : os cortical fin entourant un cœur spongieux à trabéculations denses (secteur postérieur mandibulaire et

dr marc BerdouGon formateur

Génération implant, lyon

La chirurgie implantaire représente l’aboutissement de la préparation implantaire et à ce titre est souvent une source de stress pour le praticien débutant en implantologie. En effet, la précision de positionnement de l’implant en fin de chirurgie conditionnera le succès du traitement. L’objet de cet article est de détailler les protocoles de forage implantaires en fonction des différentes situations cliniques.

Fig. 1 :

a : Séquence de forets pour un implant cy lindrique (système Astra Tech)

b : Foret pointeur

c : Foret initial

d : Vissage de l’implant

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dr roch de ValBrayn formateur Génération

implant, lyon

dr thomas FortiNn mCu-Ph, lyon

1a 1b 1c 1d

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Dans les systèmes où les forets sont coniques, il y a un auto-guidage d’un foret à l’autre.l Forêt terminal : (cylindrique de diamètre 3,7 mm) : il finalise la préparation de l’alvéole implantaire. A ce stade, il est important de ne pas ovaliser celle-ci, ce qui perturberait la stabilité et la position de l’implant. Ce foret doit être passé en un seul mouvement.Pour un implant cylindro-conique de 4,5 mm de dia-mètre (Fig. 2).On utilise alors comme foret terminal un foret conique permettant d’accueillir la partie coronaire de l’implant.

Forage en os très cortical

Dans un certain nombre de cas rares, lorsque la densité osseuse est très importante (os de type 1), le passage d’un foret supplémentaire en fin de préparation peut être nécessaire pour ne pas mettre en place l’implant avec un couple de serrage trop fort, risquant d’entraîner un échauffement de l’os. Ces deux forets permettent ainsi une insertion plus douce de l’implant.l Foret cortical : de diamètre 3,85 mm pour un implant de 4 mm de diamètre, il permet d’élargir légèrement le diamètre du dernier forage (Fig. 3). l Le taraud permet de préparer le pas de vis implantaire dans l’alvéole.

Pose d’implant et abord sinusien simultanéLa région sous-sinusienne présente deux caractéristi-ques : l’os y est peu abondant et de très faible densité (Fig. 5a). De nombreuses techniques ont été décrites pour permettre la pose d’implants dans cette région. Cel-les-ci impliquent toutes une modification du protocole de forage. Nous décrirons rapidement les deux principales : la technique de Summers et le comblement sinusien par voie latérale.Technique de Summers :Lorsque la hauteur d’os résiduelle est de 5 à 8 mm et que

l’on souhaite poser un implant de 8 à 12 mm de long, il est possible de refouler le plancher sinusien et la mem-brane par voie crestale à l’aide d’ostéotomes coniques à extrémité concave (Fig. 4a). Ces ostéotomes travaillent dans le sens axial mais également tangentiellement et ont donc un effet vertical dans le sens corono-apical mais également un effet de compactage et de densification osseuse latéral.L’utilisation de ces instruments permet ainsi la mise en place d’implants dans des conditions de stabilité primaire excellente (Fig. 4b).Le protocole de forage dans cette indication se limite à l’utilisation du foret pointeur, initial et intermédiaire jusqu’à 2 mm de la paroi sinusienne puis le passage sé-quentiel d’ostéotomes calibrés en fonction du diamètre du futur implant.On peut observer sur les figures 4c et 4d l’ossification du caillot sanguin autour de l’apex de l’implant deux mois après la chirurgie. Cette technique est une alternative à l’utilisation des im-plants courts sous sinusiens nécessitant le sous dimen-sionnement du forage initial pour accroitre la stabilité primaire.Comblement sinusien par voie latérale :Lorsque la hauteur osseuse sous sinusienne est trop fai-ble (de 2 à 5 mm) et ne permet donc pas l’utilisation de la technique de Summers, un abord latéral du sinus est indiqué.Celui-ci est l’abord classique de Caldwel-Luc et consis-te en un accès à la membrane sinusienne par trépanation osseuse latérale (Fig. 5b) permettant le refoulement de celle-ci et le comblement du bas-fond sinusien à l’aide d’un biomatériau (Fig. 5c). Dans de nombreux cas, après élévation de la membrane, l’utilisation combinée d’un protocole de forage adapté (sous forage) et d’un implant cylindro-conique doté d’un micro-filetage coronaire permet de garantir la stabilité primaire de celui-ci et donc la réalisation d’une seule intervention pour augmenter le volume osseux et poser d’implant (Fig. 5d et e).

Fig. 2 :

a : Séquence de forets pour implant cylindro-conique

b : Foret conique

Fig. 3 : Foret pour os dense

2a 2b 3

4a 4b 4c 4d Fig. 4 :

a : Ostéotome

b : Insertion manuelle de l’implant

c : Radiographie de fin de chirurgie

d : Radiographie à 2 mois post-opératoires

Page 44: Partageons Notre Savoir-Faire

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de serrage de 25 à 40 Ncm permet d’obtenir une bonne stabilité primaire de l’implant.

Conclusion

Il existe différents protocoles de forage implantaire qui dé-pendent de chaque situation clinique. Dans tous les cas la plus grande rigueur est nécessaire à la bonne réalisation de cette étape fondamentale du traitement. Ces protocoles tendent à garantir la stabilité primaire de l’implant en évi-tant de multiplier les forets et en maintenant d’un foret à l’autre les informations positionnelles du forage initial. Ces techniques permettent ainsi de réaliser dans la très grande majorité des cas des procédures en un temps chirurgical et de réduire les délais d’intervention et de traitement. u

Mise en place de l’implantQuel que soit le type de préparation osseuse choisie, le protocole de mise en place de l’implant est le même. Il consiste à insérer, à la main (avec ou sans clef dyna-mométrique) ou au contre-angle, l’implant dans son al-véole.Ceci s’effectue sans pression excessive, jusqu’à obtenir un blocage de l’implant.Lorsque l’on pose l’implant au contre-angle réducteur, la vitesse de rotation est de 20 à 40 tours par minute, sans irrigation afin de permettre une bonne colonisation de la surface implantaire par le sang du patient. Il est possible de régler le couple de débrayage du contre-angle afin de ne pas trop serrer l’implant. En règle générale, un couple

5a 5b 5c 5e5d

Fig. 5 :

a : Situation initiale

b : Réalisation de la fenêtre

c : Vissage de l’implant après élévation de la membrane et début de comblement

d : Comblement sinusien terminé

e : Situation finale

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FormatioN imPlantoloGie

Le juste positionnementde l’implant pour les prothèsesconjointes de petites étendues

Règle n° 2

À chaque fois que c’est possible on préférera réaliser un bridge implanto-porté plutôt que de remplacer chaque racine par un implant.Par exemple pour le remplacement des 4 incisives maxillaires, nous obtiendrons un meilleur résultat esthétique en plaçant des implants à la place des la-térales uniquement plutôt que de mettre un implant par incisive.

La hauteur de la papille entre une dent et un im-plant dépend de la position de l’os sur la dent et non de la position de l’os sur l’implant. De l’im-plant à la dent, l’os décrit un arc de cercle dont le sommet est sur la dent. Si la distance entre la dent et l’implant reste supérieur à 1,5 mm, la position de l’os contre la dent restera stable. Si l’on rappro-che l’implant de la dent alors l’os migrera apicale-ment provoquant un risque de perte de hauteur de la papille pour respecter la règle de prédictibilité des 4,5 mm.

C ommençons par les papilles. Sa hauteur dépend de l’os alvéolaire inter-proximal. Toutes les études radiologiques montrent

que cette hauteur varie entre deux implants, entre une dent et un implant ou entre un implant et un pontique. Entre deux implants, on peut espérer de manière certaine avoir au moins 3,5 mm de gen-cive au dessus de l’os crestal. Ceci signifie que si l’on veut avoir une papille qui remplit totalement l’embrasure entre deux implants, il faut placer le point de contact 3,5 mm au dessus de la crête os-seuse. Entre une dent et un implant on peut espérer 4,5 mm d’épaisseur de gencive au-dessus de l’os de manière certaine. Plus de 4,5 mm c’est aléa-toire. Et entre un implant et un pontique on peut espérer 5,5 mm. Au-delà c’est aléatoire.

Règle n° 1 ou règle de prédictibilitéLa hauteur de la papille est fonction de l’os sous-jacent. Elle varie selon le type de racine, natu-relle ou artificielle (Fig. 1).

Ceci signifie qu’il est plus facile d’obtenir une papille entre un implant et un pontique qu’entre un implant et une dent. Le plus difficile à obtenir est la papille entre deux implants. De cette pre-mière règle sur l’ob-tention des papilles on tire la conclusion suivante :

1 2

Nos patients viennent nous voir pour avoir des dents. Lorsque l’on parle de prothèses conjointes de petites étendues, le critères de succès est le résultat esthétique. Il dépend tout autant de la qualité de la céramique que de l’environnement gingival, obtention des papilles et alignement des collets conditionné par le volume osseux.

le fil Dentaire< < n°�0 < février 201046

dr thomas FortiNn mCu-Ph, lyon

Fig. 1 : pour être certain d’obtenir une papille entre une dent et un implant, il faut que la distance entre le sommet de l’os au contact de la racine naturelle et le point de contact soit de l’ordre de 5 mm.

Fig. 2 : pour éviter la migration apicale de l’os au contact de la dent adjacente il faut préserver un minimum de 1,5 mm d’os entre l’implant et la dent.

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www.lefildentaire.com > 4�www.lefildentaire.com > 4�

Règle n°3L’espace entre le col de l’implant et la dent adjacen-te doit être supérieur à 1,5 mm (Fig. 2 et 3).Ainsi pour remplacer une incisive centrale par un im-plant de 4,1 mm de diamètre, il faudra entre les deux incisives résiduelles 1,5 + 4,1 + 1,5 soit 7,1 mm pour espérer avoir des papilles.

Règle n°4

L’espace entre deux implants doit être supérieur à 3 mm. Ainsi pour remplacer deux prémolaires par des implants de 3,5 mm de diamètre il faut prévoir 1,5 + 3,5 + 3,0 + 3,5 + 1,5 soit 13 mm entre la canine et la molaire.

Pour l’alignement des collets la position vestibulo-pala-tine/linguale est l’élément déterminant.

Règle n° 5

Le rebord vestibulaire du col de l’implant doit être aligné avec la ligne imaginaire passant par les re-bords incisifs des dents adjacentes pour les secteurs antérieurs et les cuspides vestibulaires pour les sec-teurs prémolaires et molaires.Si le rebord du col est trop vestibulé, il y aura amincis-sement de l’os et un risque majeur de récession gingi-vale (figure n° 4). L’idéal est de pouvoir préserver une épaisseur d’os de 2 mm en vestibulaire de l’implant. S’il est trop palatin le profil d’émergence sera disgra-cieux, avec difficulté de maintenance. Il faut tout de même mentionner qu’il est moins dangereux d’être lé-gèrement trop palatin que trop vestibulaire.Dans le cas de grandes étendues où il est impossible de se repérer par rapport aux dents adjacentes, c’est le guide chirurgical qui est l’instrument le plus efficace en respectant la règle suivante :

Règle n° 6L’axe de l’implant doit passer par le milieu de l’in-trado de la dent et le rebord incisif pour les dents antérieures ou par le cingulum selon que l’on fait une prothèse scellée ou une prothèse vissée. Pour les dents cuspidées, l’axe doit passer par le milieu des faces occlusales.Le profil d’émergence est dépendant de la qualité des papilles, de la position des collets mais également de l’enfoncement coronoapical de l’implant. Idéalement le col de l’implant doit être positionné 1 mm au-dessous de la jonction amélo-cémentaire des dents adjacentes, si le patient ne présente pas de perte osseuse verticale. Dans ce cas, ou s’il n’y a pas de dent adjacente, on place le col de l’implant 2 mm au-dessous du sommet de la gencive libre. Un enfoncement trop important de l’implant peut provoquer une résorption osseuse puis gingivale. A contrario, un enfoncement insuffisant peut laisser apparent le col. Dans les deux cas il sera difficile d’obtenir un profil d’émergence esthétique.

Règle n° 7

L’enfoncement de l’implant est fonction de la ligne de jonction amélo-cémentaire ou du sommet de la crête gingivale.Si le volume d’os ne permet pas le respect de ces règles, alors il faut avoir recours à des techniques de chirur-gies additionnelles en gardant à l’esprit qu’il est plus facile d’épaissir une crête que d’augmenter sa hauteur. La stabilité du résultat esthétique dépend de ce juste positionnement mais également du volume osseux ver-tical et horizontal sous-jacent. À chaque fois qu’un dé-ficit existe, un aménagement des tissus mous et osseux s’impose. Si les chirurgies additionnelles ne sont pas possibles, en particulier dans les secteurs antérieurs, il est préférable de ne pas poser l’indication d’une recons-truction implantaire. u

3 4

Fig. 3 : avant le forage osseux nous mesurons au pied à coulisse la distance qui doit séparer le centre du futur implant et la dent adjacente pour préserver les 1,5 mm d’os entre la dent et l’implant. Le forage initial se fera à cette position.

Fig. 4 : une position trop vestibulaire de l’implant provoque une récession gingivale.

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FormatioN imPlantoloGie

Le juste positionnementdes implants

n Au niveau de l’implant lui-même, il est nécessaire de savoir quel type d’implant est utilisé, soit des implants spécifiques pour une pose en un temps opératoire, soit des implants conçus pour être uti-lisés en deux temps opératoires. Dans le 1er cas, la hauteur du col lisse influe sur le positionnement vertical de l’implant. Les risques d’exposition du col sont majorés et deux alternatives s’offrent au praticien (Fig. 1a et 1b) : n soit positionner l’implant plus profondément (plus api-

calement) soit utiliser des cols lisses plus courts.n dans le cas d’implants conçus pour une pose en

deux temps opératoires, le positionnement dépen-dra lui aussi du design du col :

l soit traditionnellement l’implant possède un col lisse (la tendance actuelle est à la réduction de hau-teur de la partie usinée), l’implant sera alors posi-tionné de sorte que l’interface entre corps rugueux et col lisse se situe au ras de l’os (Fig. 2a et 2b).

l un nouveau concept, le platform switching, émerge des constatations empiriques d’Her-mann (4). La réduction du diamètre du pilier prothétique par rapport au diamètre de l’im-plant, associée à la réduction de la hauteur du col lisse implantaire tend à limiter les pertes osseuses périphériques horizontales et vertica-les de 0,4 mm à 0,6 mm (5) (Fig. 3a et 3b).

l il en résulte que le positionnement de l’im-plant sera différent. Ces implants pourront être plus proches les uns des autres et enfouis davantage sans trop affecter la stabilité du ni-veau osseux de la crête inter implantaire ou dentaire et en conséquence la hauteur de la papille gingivale (5).

Ce concept de platform switching fait actuellement l’objet de nombreuses recherches et applications cli-niques : il est de ce fait proposé par de nombreuses sociétés (7) (Fig. 4 et 5).

L es trois orientations à observer sont horizontale, sagittale et verticale. Elles doivent suivre des règles bien établies et communément admises,

leur non respect se traduit par un échec esthétique et affecte la santé du parodonte et à terme la survie de l’implant.Le positionnement va dépendre de plusieurs paramè-tres, le site receveur, l’implant lui-même, enfin des paramètres prothétiques.Il va de soi que l’état général du patient autorise ou non, la pose des implants.n Au niveau du site receveur : il va falloir estimer la

quantité osseuse disponible, la typologie parodon-tale (parodonte mince et festonné ou épais et plat) et envisager le cas où la dent est présente, à extraire ou absente de l’arcade.

En effet les situations sont différentes car :n la résorption osseuse post extractionnelle est d’abord : l horizontale et centripète, de 25 à 40 % la pre-

mière année. Ces variations étant directement liées aux paramètres généraux (par exemple le diabète, certaines maladies osseuses, le ta-bagisme etc.) et des facteurs purement locaux (qualité, volume de l’os et de la gencive, pré-sence ou non de pathologie infectieuse chroni-que ou aiguë, perte tissulaire, conséquences des extractions difficiles) (1).

l la résorption verticale commence plus tardive-ment.

Alors que faut-il faire (2), extraire et implanter ? Greffer et attendre ? Ou bien implanter et greffer si-multanément ? L’implantation immédiate a pour objectif essentiel non pas de supprimer mais de limiter ces pertes tis-sulaires (3).Il résulte de ce questionnement que le positionnement des implants pourra donc être directement influencé par la technique retenue.

dr marc moNGeotn ex assistant

université Paris �n exercice privé à

antony (92 160)

1a

Positionner de façon adéquate l’implant est facteur de stabilité des tissus péri implantaires, c’est-à-dire du parodonte superficiel, la gencive et du parodonte profond, l’os.

le fil Dentaire< < n°�0 < février 201048

dr Jean-Jacques tracoln ex-attaché Parodontologie

Paris vii, ex attaché implantologie hôpital de Provins

n exercice privé à Paris (�� 116)

1b 2a 2b 3a 3b

Fig. 1a : implant en un temps, secteur postérieur

Fig.1b. : implant en un temps, col réduit, secteur antérieur

Fig. 2a : camlog col lisse

Fig. 2b : camlog : col texturé

Fig. 3a : perte osseuse et pilier classique (6)

Fig. 3b : switching platform (6)

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www.lefildentaire.com > 49www.lefildentaire.com > 49

Le positionnement au niveau osseux dans le sens vertical est directement dépendant du type d’im-plant (1 ou 2 temps opératoires), du type de col, lisse ou rugueux, de son design, du col classique ou switché.Ce positionnement est dépendant aussi de la techni-que chirurgicale car dans les implantations immé-diates le positionnement du col sera plus apical que lorsqu’on implante dans un site cicatrisé et stable.Mais une règle biologique au regard des tissus mous doit aussi être prise en considération. L’enfouisse-ment gingival de l’implant ne devra pas dépasser 3 à 4 mm (Fig. 6).Lors du désenfouissement l’attache mucogingivale migre de 2 à 3 mm au-delà du hiatus (microgap) sé-parant le plateau de l’implant du pilier prothétique. Après cicatrisation, l’attache gingivale se trouve à une profondeur de 5 à 6 mm c’est-à-dire que nous nous retrouvons dans le cas d’une poche parodontale (Fig. 7a et 7b).Dans le sens sagittal, il est important de positionner l’implant de sorte que son émergence soit dans le couloir prothétique. L’idéal est donc de réaliser un wax-up au laboratoire et à partir de ce travail un guide chirurgical de posi-tionnement.L’implant, alors en bonne position, permet une re-constitution prothétique idéale.Au maxillaire, la dent est naturellement parallèle à la corticale dans le secteur antérieur. L’implant devant se rapprocher au maximum de cet impératif, une épaisseur

minimale de 2 mm d’os est nécessaire à la survie du tissu osseux périphérique (Fig. 8a, 8b et 8c). Le risque de résorption ou de perforation des cortica-les, conduit le clinicien à orienter plus palatinement les implants. Cette légère angulation est particulière-ment importante, elle permet de maintenir ou recréer les papilles interdentaires (Fig. 9a et 9b).Outre les règles de positionnement vertical de l’im-plant et les règles prothétiques décrites par Tarnow (8) et de nombreux auteurs, la distance de l’implant par rapport aux dents adjacentes sera au minimum de 1,5 mm et au minimum de 3 mm entre les im-plants. Cette règle s’applique aux implants à col lisse.Ainsi le positionnement des implants obéit-il à des règles simples mais qui ne peuvent être transgres-sées sans le risque quasi immédiat d’inflammation ou de résorption du tissu osseux et gingival. La perte des implants à court ou moyen terme est l’issue la plus certaine avec pour conséquence la gestion souvent difficile de grosses pertes tissulai-res (Fig. 10a et 10b). Transgresser ces règles conduit à des problèmes d’esthétique prothétique et de santé parodontale.Un sur-contour vestibulaire entraîne des difficul-tés de maintenance, des péri-implantites d’abord inflammatoires puis osseuses. Une orientation trop palatine entraîne une angulation exagérée des piliers avec des consé-quences biomécaniques non négligeables (Fig. 11a et 11b).

4 5 6 7a 7b

8a 8b 8c

9a 9b 10a 10b 11a 11b

Fig. 4 : switching platform, micro gap

Fig. 5 : bone level : switching

Fig. 6 : schéma de Tarnow modifié

Fig. 7 : a : sur enfouissement b : positionnement

Fig. 8 : a : situation pré implantaire b : règle du positionnement sagittal et horizontal c : à bonne position, bonne réaction tissulaire

Fig. 9 : a : position classique de la dent b : implant : inclinaison palatine

Fig. 10 : a : trop palatin b : trop vestibulé

Fig. 11 a et 11b : inflammation, péri-implantite par positionnement incorrect

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1 2

le fil Dentaire< < n°�0 < février 2010�0

FormatioN imPlantoloGie

avec des précisions de 0,5 mm et 0,1° d’angle (Fig. 14).Dans ces cas, la chirurgie se réduit au forage et la pose des implants sans lambeaux d’accès. Elle permet de diminuer les résorptions osseuses inhérentes à toute chirurgie, de réduire le risque chirurgical et enfin d’obtenir un grand confort pour le patient, par une di-minution quasi totale de la douleur. u

Bibliographie1. Araujo MG,Lindhe J. Dimensional ridge alterations following tooth extraction.

An experimental study in the dog.J Clin periodontol 2005.;32 212-2182 Mongeot M, Tracol JJ. Esthétique : Gestion implantaire de l’édentement unitaire

antérieur.2 approches cliniques.letre de la stomatologie.2009-09.43:28-363. Sclar G. Strategies for management of single-tooth extraction sites in aesthetic

implant . Therapy. J Oral Max Fac Surg 2005;63:158-1644. Hermann F, Lerner H,Palti A. Paramètres esthétiques (1° partie). Stratégies pro-

thétiques.2007 (06). 7.3 ; 221-2305. Rodriguez-Ciurana X, Velat-Nebot X, Segala-Torres M, Calvo-Guirado

JL,Cambra J, Méndez-Blanco V, Tarnow Dennis P. Effet de la distance entre deux implants platform-switched sur la hauteur de la crête osseuse inter implan-taire. PDR 2009 ; 29(2) : 141-15

6. Davaparnah M, Szmukler-Moncler, Khoury P.M. Le concept de platform swit-ching et ses implications. 2008 ; Implant(14)3:185-198

7. BeckerJ,Ferrari D. Horten M, kirsch A, Schaer A, Schwartz F. Influence of plat-form switching on crestal bone changes at non submerged titanium implant.2007,J Clin Periodontogy; Dec-34(12):1089-10961

8. Tarnow DP,, Cho S, Wallace ST. The effect of inter implant distance on the height of inter implant bone crest.J of Periodontol. 2000;71:546-549

ConclusionCette approche clinique raisonnée du positionnement peut être sécurisée par un repérage radiographique des épaisseurs osseuses (scanner) et de la position des dents adjacentes (radiographie).Dans ces cas le recours à des guides radiologiques et des guides chirurgicaux directement issus du repérage radiologique et de la réalisation au laboratoire d’un wax-up permet de sécuriser la pose (Fig. 12 et 13). Plus récemment des guides réalisés à partir d’image-rie scanner (SIMPLANT, NOBEL GUIDE) ou de la navigation (ROBODENT) permettent une sécurité de pose à la fois sur le plan osseux et prothétique.Enfin des systèmes plus récents basés sur la métro-logie ultrasonique associée à l’imagerie 3D (PILOT SURGERY) permettent de positionner les implants

le fil Dentaire< < n°�0 < février 2010�0

Type d’implant Typologie gingivale

Positionnement de l’implant

sens horizontalPositionnement

de l’implant sens sagittalPositionnement du

plateau de l’implant, sens vertical

Influence sur le Parodonte péri implantaire

ImPlanT en 1 TemPs

TyPe d’ImPlanT

Gencive fine

Implant à :1,5 à 2 mm des dents

adjacentes 3 mm

des implants adjacents

Ne pas suivre la direction de l’alvéole,

Orientation plus palatine. 10° par rapport à la verticale

1,5 à 2 mm d’os en périphérieSecteur antérieur : plateau

de l’implant en retrait de 2 mm par rapport à la ligne

des collets des dents adjacentes

3 mm en deçà

du rebord gingival

Prévenir la récession gingivale

en enfouissant davantage le col

Chirurgie muco gingivale

Gencive épaisse Idem idem 2 mm en deçà

du rebord gingival

Sur enfouissement inutile => réduction de

la perte osseuse verticale

ImPlanT en deUX TemPs

PILIER

NON SWITCHE

Col usiné lisse de hauteur

1,2 à 1,6 mm Corps texturé

Gencive fine idem Idem

3 mm en deçà

du rebord gingival

Prévenir la récession gingivale en enfouissant

davantage le col. Chirurgie muco

gingivale

Gencive épaisse idem idem

2 à 3 mm en deçà

du rebord gingival

Trop enfouir est néfaste, formation

d’une poche péri implantaire

PILIERSWITCHE

Col usiné lissede hauteur

0,4 à 0,6 mm Corps texturé

Gencive mince

Implant entre 2 ou 3 mm des

implants adjacentsIdem Enfouir le col lisse

court de 0,5 mm

Muco gingivale en pré ou per implantaire

Gencive épaisse idem Idem

Arrêt à la jonction corps texturé, col lisse court

Ne pas trop enfouir

12

13 14

Fig. 12 : guide radiologique et chirurgical

Fig. 13 : pose guidée

Fig. 14 : navigation assistée par scanner et relevé métrologique

Le positionnement des implants : synopsis par Mongeot M., Tracol J.J.

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spécial

rodolphe CoChetn Consultant

en management odontologique

n Chargé de cours magistral à l’ufr d’odontologie de Paris vii

n Chargé de cours magistral aux facultés de médecine dentaire de Casablanca et rabat

L’image que vous renvoyez à vos assistantes en tant que professionnel, clinicien et Manager, est capitale afin de motiver et fidéliser votre personnel. Vos performances managériales au même titre que vos performances cliniques détermineront ou non la réussite de votre exercice professionnel. Plus encore, la perception par vos patients et par vos correspondants de vos talents de Manager contribuera au faire-valoir et au faire-savoir de la Qualité des services généraux de votre cabinet dentaire.

votre « image de marque » de dentiste employeurVotre notoriété ne saurait se limiter à la percep-tion qu’ont les patients de votre cabinet. L’image que vous représentez auprès de la population des candidats à un emploi est primordiale puisque ce sont vos assistantes qui seront toujours en première ligne, en accueil physique ou téléphonique, et don-neront de votre cabinet la première impression, fa-vorable ou non. Avant même de déployer tous vos efforts pour que la Qualité de vos services clini-ques et administratifs puisse refléter votre niveau de compétences techniques, vous devez impérati-vement prendre soin de l’image que vous renvoyez en tant qu’employeur potentiel aux candidats à un emploi éventuel au sein de votre cabinet : assistan-tes dentaires débutantes ou qualifiées, prothésistes, assistantes de direction, hygiénistes (pays autori-sés), dentistes collaborateurs. On parle alors dans le jargon des Ressources Humaines de « Marketing RH »1 : il s’agit ici de se démarquer en toute trans-parence et avec honnêteté en attirant et fidélisant les meilleurs candidats et collaborateurs au sein de son cabinet dentaire. La pénurie de main-d’œuvre (particulièrement disparate selon les régions) et plus spécialement la rotation élevée et inquiétante du personnel dentaire (l’Ile-de-France, les régions PACA et Rhône-Alpes présentent un turnover plus important pour les aides et assistantes dentaires que les autres régions. Etude OMPL 2008) obli-gent les chirurgiens-dentistes à professionnaliser leurs fonctions RH. Un chirurgien-dentiste ne peut désormais plus se contenter de n’être qu’un simple amateur en gestion d’équipe.

1. Publier une offre d’emploi dans la presse dentaire

Afin d’inspirer confiance aux candidats à un em-ploi dentaire, il est nécessaire que vous diffusiez vos offres sur des supports professionnels de no-toriété, de grande audience et adaptés à votre cœur de cible, telles que les revues dentaires profession-

nelles (ex. : Information Dentaire, Le Fil Dentai-re,…) qui vous permettent de publier une offre qui sera consultée en cabinet dentaire par le personnel. Néanmoins, ces supports ne concernent que les of-fres d’emploi destinées aux personnels dentaires qualifiés. Il est également fortement recommandé de ne pas lésiner sur le nombre de lignes de texte : plus votre offre sera précise en termes de condi-tions de travail, de définition de poste, d’avantages sociaux et salariaux, plus vous obtiendrez des can-didatures de valeur.

2. Publier une offre d’emploi sur les sites Emploi

Il faut savoir que près de 95 % des candidats à un emploi dentaire n’adressent désormais leur cv et lettre de motivation que par voie électronique. Il est donc capital de ne jamais négliger les médias Internet, en particulier les sites Emploi profes-sionnels généralistes, tels que www.pole-emploi.fr, ou plus spécialement pour le secteur dentaire, www.dentalemploi.com, qui permet non seulement au praticien-gérant de donner un maximum d’in-formations sur la configuration de son cabinet et le profil du poste, de télécharger une photo de son cabinet ou de sa salle de soins, mais encore d’ac-céder à la plus grande cvthèque de personnels den-taires, sans même avoir besoin de publier une offre d’emploi.

votre « image de marque » de dentiste Manager

1. La politique du cabinetEn tant que chirurgien-dentiste Manager, votre « image de marque », ce sont toutes les règles que vous avez édictées ou que vous édicterez afin que votre cabinet fonctionne correctement et surtout durablement. Toute astuce ou recette est donc pros-crite. Pour le personnel, l’image de marque du cabi-net est fortement représentée par la valeur du poste

L’« image de marque »du chirurgien-dentiste DRH

le fil Dentaire< < n°�0 < février 2010�2

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L’« image de marque »du chirurgien-dentiste DRH de travail : degré d’autonomie, responsabilités,

tolérance à l’erreur, politique salariale, formation continue. Le règlement intérieur2, même s’il n’est obligatoire que dans les structures de plus de vingt salariés, ne dispense aucun cabinet dentaire de l’af-fichage dit obligatoire3 : il permet aussi de préciser les règles générales et permanentes relatives à la discipline et notamment la nature et l’échelle des sanctions que peut prendre le praticien employeur.

2. L’éthique du praticien

La notion d’éthique, quant à elle, est l’outil de fidélisation qui a le plus d’impact sur les perfor-mances, l’implication et la responsabilisation du personnel dentaire. Un praticien gérant qui laisse entendre à son personnel qu’un cabinet dentaire est une simple entreprise, que ses patients ne sont pour lui que de simples clients, et qu’un devis de soins est assimilable à n’importe quel autre devis ob-tiendra de son assistante dentaire en particulier un moindre investissement et une fidélité entamée par un défaut de confiance notable dans la représen-tation qu’elle se fait couramment des Professions de Santé. De manière plus flagrante, l’assistante dentaire véhiculera plus ou moins consciemment auprès des patients, contre son gré, l’image d’un cabinet médical mercantile impliquant également de la part des patients une tendance accrue à la né-gociation ainsi qu’une opposition quasiment natu-relle aux préconisations thérapeutiques.

3. L’esprit d’équipe

L’équipe d’un cabinet dentaire détermine l’ima-ge de marque fondamentale du cabinet dentaire auprès des patients, des correspondants du cabinet, des fournisseurs et autres prestataires de services. Cet esprit d’équipe n’est certainement pas exclusi-vement lié à la bonne ambiance ou à la bonne en-tente des acteurs du cabinet. Il est perceptible dans le sentiment du patient d’être entre les mains de professionnels aguerris qui, chacun à son niveau (statut, poste, compétences), contribuera à la qua-lité des prestations cliniques du praticien. L’image de marque du chirurgien-dentiste Manager est per-çue de manière positive par le patient lorsqu’il voit l’assistante dentaire travailler au fauteuil en vérita-ble binôme avec son praticien, dotée d’un sens aigu de la coordination et de l’anticipation, sans stress apparent, sinon celui ayant trait à la complexité de l’acte. Lorsqu’un patient est satisfait des services rendus par l’une des assistantes, aide-opératoire ou secrétaire de direction, c’est très souvent le prati-cien lui-même qui en sera félicité parce qu’il aura

su faire la preuve de son professionnalisme. L’esprit d’équipe est aussi perceptible dans le soin qu’ap-portent les praticiens-Managers à certains détails représentatifs et symboliques de cette cohésion : la tenue vestimentaire (il est souhaitable de différen-cier la blouse clinique de son assistante dentaire de la tenue tout aussi professionnelle de l’assistante de direction qui sera plutôt en tailleur, sans négli-ger un badge nominatif avec l’intitulé du poste), la création d’un cadre-photo qui sera posé sur la borne d’accueil et également représenté en salle d’attente (photo du praticien et de ses assistantes, avec une légende définissant l’intitulé du poste, et éventuellement, les responsabilités au sein du cabi-net) seront entre autres, autant d’éléments consti-tutifs de la singularité et de l’identité de l’équipe. Si tous les praticiens français n’ont pas encore pris la mesure du rôle éminemment managérial4 qu’ils doivent assumer au sein de leur cabinet dentaire, auprès de leur équipe, les patients eux-mêmes, par-ticulièrement avisés, ne manqueront pas de le leur rappeler… u

1 L’expression « Marketing RH » ne s’applique bien entendu qu’aux candi-dats à un emploi : il s’agit de management interne exclusivement.2 Les cabinets dentaires de moins de vingt salariés qui souhaitent établir un règlement intérieur doivent cependant respecter les conditions d’élabora-tion prévues par les articles L. 1321-1 et suivants du Code du travail.3 Le Fil Dentaire, numéro 38, décembre 2008, « l’affichage obligatoire en cabinet dentaire », par Rodolphe Cochet.4 Par opposition à « commercial ». Le « Mesnagement » à la française n’a rien à voir avec du commerce ou du Marketing. « Toute la Vérité sur le Management », Information Dentaire numéro 14, 8 avril 2009, par Ro-dolphe Cochet.

rodolphe cochetConseil en management odontologique- Développement et accompagnement managérial- Conférences, formations et ateliers pratiques � rue nicolas houel – ��00� Paristél. : 01 43 31 12 6� - email : [email protected] : www.rh-dentaire.com et www.dentalemploi.com

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coNseil orGanisation

Le dernier volet de notre dossier sur la simplification du travail dans la pratique dentaire quotidienne concerne le concept des bacs et cassettes et les enjeux du travail à quatre mains.A travers ces deux derniers aspects, l’objectif est d’optimiser le travail au fauteuil, en améliorant la synchronisation avec l’assistante, et ce dans un souci de confort pour chacun.

L es cabinets dentaires varient considérablement dans leur conception, leur style et l’emplacement des équi-pements. Cependant, les concepts de base nécessaires

pour pratiquer, de façon efficace et confortable, le concept de bacs et cassettes et l’art dentaire à 4 mains (voire à 6 mains) peuvent être appliqués à n’importe quel environnement den-taire. Attachons nous tout d’abord au concept de bacs et cas-settes. Il a été prouvé en omnipratique que, dans plus de 95 % des cas, ce sont toujours les mêmes instruments et produits qui sont toujours utilisés pour pratiquer un acte donné. Et pourtant, au lieu de mettre en place des systèmes de travail rationnels, je constate dans les cabinets, que la plupart trouvent normal de se tourner de nombreuses fois dans la journée pour atteindre tel ou tel tiroir et y prendre un instrument ou un produit. Alors, pourquoi ne pas rationaliser vos actes et vos mouvements ? L’énergie et le temps gagnés pourraient être considérables !

Zoom sur le système des bacs et cassettes

Avantages d’un système de bacs et cassettes : Le système des bacs et cassettes réduit la confusion, améliore la vitesse et l’efficacité (le « travail devient plus facile et est donc accom-pli en un temps réduit » (Kilpatrick, 1979), réduit la fatigue visuelle, les efforts et le stress et il permet d’élever la qualité des traitements.Gain de temps et de sécurité : Comparé au travail antérieur de l’assistante, il y aura un net gain de temps, plus de mani-pulations dangereuses et répétées des instruments souillés. En effet, toutes les étapes du cycle de stérilisation sont réalisées sans contact avec les instruments.Le praticien trouve devant lui sa séquence instrumentale dans l’ordre de la procédure. Il ne perd pas de temps à chercher et travaille plus confortablement. Principes : Il est très simple : d’un côté regrouper dans la cas-sette tous les instruments nécessaires à un acte opératoire, de l’autre regrouper dans le bac tout le consommable nécessaire au même acte. La cassette et le bac correspondant à l’acte sont placés sur les plans de travail. Tout le matériel se retrouve dans ces 2 conteneurs, évitant au praticien et à l’assistante de re-chercher des instruments dans les tiroirs.PlanificationL’organisation des cassettes et le choix des instruments à y inclure doivent être définis selon l’ordre chronologique d’uti-lisation des instruments pour chaque acte. Un tel ordre dépen-dra de la préférence personnelle de chaque praticien. Les cassettesLes cassettes sur le marché existent en métal ou en plastique autoclavable. Elles sont perforées ou ajourées pour permettre

la stérilisation à l’autoclave. Elles contiennent tous les instru-ments et accessoires pour un traitement. Une cassette doit être assez grande pour contenir le nombre d’instruments nécessaires à un acte et d’une taille qui permette son insertion dans l’autoclave.n Les supports d’instruments doivent être souples pour ne pas

érafler les instruments et éviter le bruit. Ils maintiennent fer-mement les instruments même si la cassette est secouée en position fermée. Les supports colorés en silicone permettent d’organiser votre cabinet selon le traitement et l’opérateur. Les supports métalliques peuvent provoquer des fissures prématurées des manches des instruments.

n La résistance à la corrosion. Les cassettes en acier inoxyda-ble poli par électrolyse offrent une plus grande résistance à la corrosion. Elles s’identifient par leur aspect brillant. C’est elles que nous recommandons. Les cassettes en aluminium anodisé nécessitent des soins particuliers et se corrodent prématurément en présence de détergents non compatibles. Nous déconseillons leur utilisation dans ce concept.

Le système complet bacs et cassettesn Il s’agit d’une amélioration du système de cassettes utilisées

seules. Comme déjà indiqué, le bac, complément indispen-sable de la cassette est un conteneur de couleur en plastique ou en métal et qui regroupe tout le consommable nécessaire à un acte. Il comprend : les matériaux appropriés, les blocs de mélange et les rouleaux de coton. Il n’est pas nécessaire de stériliser le bac puisqu’il ne comprend aucun instrument.

Les codes-couleurs L’identification des instruments par un système de code-cou-leur diminue le temps de recherche et de remise en place des instruments, réduisant ainsi le parcours instrumental. n Les cassettes doivent être identifiables à l’aide d’un code-

couleurs. Chaque type d’acte ayant un code couleur spéci-fique.

n Une première bague de couleur identique à celle de la cas-sette doit permettre d’identifier la cassette dans laquelle doit être placé chaque instrument. Ces bagues insérables autour du col des instruments sont rétractables à la chaleur. Une deuxième bague d’une couleur différente est également insérée. Elle a pour objectif d’indiquer l’emplacement de l’instrument dans la cassette même. Ces dernières bagues doivent former une diagonale pour que l’instrument soit re-pérable.

Instruments rotatifs et d’endodontieDes séquenceurs et des clips porte-fraises avec indicateurs de couleur en téflon de la même couleur que celle de la cassette sont recommandés pour les fraises et les instruments d’en-dodontie.

Dr edmond Binhasn fondateur

du Groupe edmond Binhas

le fil Dentaire< < n°�0 < février 2010�4

Dossier simplification du travailau cabinet dentaire

Volet III : Le concept de bacs et cassettes et le travail à 4 mains

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Zoom sur le travail à 4 mainsNous abordons là le dernier aspect de notre dossier sur la sim-plification du travail au cabinet dentaire : le travail à 4 mains. L’objectif est de permettre d’augmenter autant le confort du patient que la qualité des traitements, en réduisant non seule-ment le temps au fauteuil pour la plupart des traitements mais aussi le stress et la fatigue provoqués en exécutant les procé-dures dentaires compliquées.Durant la phase de traitement, l’assistante est chargée d’effec-tuer avec habileté et efficacité les tâches suivantes : 1. Maintenir un champ opératoire clair par la rétraction des lè-

vres, langue et joues en maintenant le miroir efficace pour l’opérateur (pas de buée), en utilisant l’aspiration chirur-gicale à haut débit (AHD) pour enlever la salive, le sang, l’eau, et les débris de la bouche du patient (qui est en posi-tion en supination).

2. Transférer efficacement les instruments et les matériaux selon les besoins du praticien.

Pour satisfaire à ce double objectif, la meilleure (et déjà an-cienne) méthode d’identification des positions fonctionnelles de l’équipement, du praticien et de l’assistante est celle dite « horaire ». Il suffit de visualiser un cercle au-dessus du fauteuil dentaire avec le visage du patient en son centre. Le cercle, tel le cadran d’une montre, est divisé en 12 heures. Le sommet du crâne du patient indique la position à 12 heures (midi). Le cadran est divisé en quatre zones :n la zone de l’opérateur est celle où le praticien s’assoit. Pour

un praticien droitier cette zone s’étend de 7 h à 12 h. (Cela signifie que c’est dans cette zone qu’il se déplace selon la partie de la bouche traitée.)

n la zone de transfert (de 4 à 7 h) est le secteur où les ins-truments et les matériaux dentaires sont échangés. (Pour les équipements trans-thoraciques, l’unit est placé dans cette zone de façon à être à portée de main du chirurgien-dentiste et/ou de l’assistante.)

n la zone de l’assistante (de 2 à 4 h) est une zone fixe conçue de façon à permettre à l’assistante d’être opérationnelle in-dépendamment du type d’unit utilisé et de la façon de tra-vailler du praticien. L’assistante dentaire reste dans la même position indépendamment de la position de l’opérateur.

n la zone statique (12 à 2 h) est l’endroit où un unit arrière ou tout équipement non intégré à un unit peut être installé (détartreur, lampe à polymériser, etc.)

Les zones varient selon que l’opérateur est droitier ou gau-cher.

Transfert d’instruments et de matériaux

Un transfert d’instruments et de matériaux souple et efficace est un effort d’équipe qui exige de la coordination, une bonne communication et une certaine pratique entre le chirurgien-dentiste et l’assistante dentaire.Aussi bien le patient que toute l’équipe dentaire tirent avan-tage d’une séquence opératoire standardisée et normalisée. Le patient apprécie la diminution du temps passé sur le fauteuil. L’équipe dentaire améliore sa productivité avec moins de fa-tigue et d’effort.Les techniques discutées ci-dessous sont celles d’un chirur-gien-dentiste et d’une assistante droitiers.La façon dont un instrument est tenu dans la main du chirur-

gien-dentiste dépend du type d’instrument, de son usage et de l’arcade traitée. Une bonne compréhension de ces différentes prises d’instru-ment est un préalable essentiel à tout transfert d’instrument fluide. Les trois prises de base sont : 3 la prise stylo, dans laquelle l’instrument est tenu de la

même manière qu’un stylo 3 la prise paume, dans laquelle l’instrument est tenu solide-

ment dans la paume de la main (dite également prise mar-teau)

3 la prise paume-pouce, dans laquelle l’instrument est tenu dans la paume de la main. Le pouce est employé pour sta-biliser et guider l’instrument.

Le transfert d’instruments (désigné également sous le nom d’échange d’instruments), a lieu, comme son nom l’indique, dans la zone de transfert. Les principes suivants doivent être respectés afin d’obtenir la méthode de transfert d’instruments la plus efficace :n l’assistante doit connaître la chronologie de la séquence opé-

ratoire et prévoir à quel moment un transfert d’instruments sera exigé.

n le transfert d’instruments doit être accompli avec un mini-mum de mouvements. Ceux-ci ne doivent impliquer que les doigts, le poignet, et le coude (mouvements de Classe I, II et III de la classification de Gylbreth.)

n les instruments doivent être passés directement de façon à être prêts pour l’utilisation. De la sorte le chirurgien-dentiste n’a pas besoin de décaler l’instrument dans sa main avant de l’employer. Sur un plan pratique, cela signifie que l’ex-trémité fonctionnelle de l’instrument soit dirigée vers le bas pour les secteurs mandibulaires et vers le haut pour les sec-teurs maxillaires.)

n les instruments avec une prise stylo sont transférés de façon que le chirurgien-dentiste puisse les recevoir sans déplacer la main du point d’appui. (Rappelons que le point d’appui sert à stabiliser le poignet et le bras de l’opérateur pendant l’utilisation d’un instrument.)

n l’instrument transféré doit être placé de telle sorte que le chirurgien-dentiste puisse le recevoir sans déplacer ses yeux du champ opératoire.

n l’assistante emploie généralement seulement la main gau-che pour transférer des instruments.

Concernant la présentation des matériaux dentaires, ils sont généralement donnés au chirurgien-dentiste dans la zone de transfert près du menton du patient. C’est souvent une ques-tion de préférence de la part du chirurgien-dentiste. C’est celui des 2 qui peut le plus commodément voir et atteindre la préparation qui devrait placer le matériau directement dans la cavité. Cela, de ce fait, élimine des transferts inutiles.Sans prétendre faire une revue exhaustive du travail à 4 mains, l’objectif était de vous donner les principales composantes d’une interaction souple et efficace d’équipe entre le chirur-gien-dentiste et l’assistante dentaire au fauteuil. A vous de jouer ! u

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Volet III : Le concept de bacs et cassettes et le travail à 4 mains

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Bonne nouvelle, la loi de finances 2010 a confirmé le maintien intégral pour 2010 des avantages proposés par la loi Scellier. Et c’est tant mieux, car c’est le moment d’investir sachant que vous pouvez encore emprunter avec des taux d’intérêt réellement très bas et que l’immobilier présente les atouts d’un actif réel.

Loi Scellier : avantages fiscaux confirmés sous certaines conditions

Les taux de la réduction d’impôt en ScellierA compter de 2010, il convient de distinguer selon que les biens considérés ont le label « Bâtiments Basse Consommation d’Energie » ou non.Si les logements n’ont pas le label BBC, les taux de réduction sont les suivants :2010 = 25 %, 2011 = 15 % et 2012 = 10 %.Si les logements ont le label BBC, les taux de ré-duction sont les suivants :2010 = 25 %, 2011 = 25 % et 2012 = 20 %.C’est la signature de l’acte notarié qui déterminera si l’on se situe dans un régime ou dans un autre.

Les taux de la réduction d’impôt en Scellier intermédiaireA compter de 2010, si la location se poursuit sur 15 ans aux mêmes conditions de loyer et de ressour-ces que le BORLOO POPULAIRE,si les logements n’ont pas le label BBC, les taux de réduction sont les suivants :2010 = 37 %, 2011 = 27 % et 2012 = 22 %. Si les logements ont le label BBC, les taux de ré-duction sont les suivants :2010 = 37 %, 2011 = 37 % et 2012 = 32 %Dans ce cadre, vous bénéficierez en outre comme auparavant de l’abattement de 30 % sur les reve-nus fonciers tirés de la location de ce même loge-ment à condition que le locataire ne soit pas l’un de vos ascendants ou de vos descendants.

Exemple :Le Docteur T. souhaite profiter de la loi Scellier avec le taux de réduction d’impôts de 37 %. Il achète donc en 2010 un 3 pièces en l’état futur d’achève-ment à Maisons Alfort (94), au prix très compétitif de 322 330 €. Pour optimiser, car il a des revenus fonciers bénéficiaires, il opte pour un crédit in fine sur 15 ans et pour la loi Scellier intermédiaire. Ses économies d’impôts sont estimées à 115 640 €. L’appartement ne lui coûte que 141 927 €.

Mais qu’est ce que le LABEL BBC ?Qu’est-ce que ça va changer ? Le prix de revient des appartements va malheureusement augmenter, dans un premier temps, mais nous allons voir que ce n’est pas surprenant car c’est un mal pour un bien à terme. En effet, ces nouveaux logements vont vraiment être très différents et pour leurs occupants comme pour la planète les économies énergétiques vont être très importantes.Les textes vont paraître mi 2010 avec application au 1/1/2013.

Tout d’abord qu’est-ce qu’un Label ?Un label est défini par l’Etat, lequel désigne les orga-nismes habilités à le décerner.Qu’est-ce que le Label BBC ? Il définit un objectif de consommation maximale en énergie primaire (c’est l’énergie réellement consom-mée telle qu’elle est disponible dans la nature) fixé à 50 kWh/m2 par an, à moduler selon les régions et l’altitude. Les consommations d’énergie concernées sont le chauffage, le refroidissement, la ventilation, la production d’eau chaude sanitaire, l’éclairage des locaux et les auxiliaires. Pour information, les constructions actuelles répondent à la norme RT 2005. Les maisons notamment, consom-ment en moyenne entre 91 et 150 kWh/m2. Comme on le constate, le chemin à parcourir est énorme …

Concrètement, ces nouvelles normes se traduisent notamment par : n Une nouvelle conception du bâtiment. L’archi-

tecte devra concevoir le bâtiment dans un souci d’économie d’énergie notamment au niveau de sa forme, de sa compacité (plus économique thermi-quement), de son orientation (pour rechercher les apports solaires gratuits), du positionnement des baies, des protections face aux vents. Ainsi, dès la conception, on envisagera d’intégrer les apports solaires, de préserver le confort d’été, de favori-ser l’éclairage naturel, d’intégrer les équipements d’énergie renouvelable, …cela s’appelle l’aptitude bioclimatique du bâtiment.

n Une isolation et des vitrages très performants – L’isolation extérieure est préférable mais plus

La loi Scellier pour réduire ses impôts en 2010 avec ou sans BBC ?

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La loi Scellier pour réduire ses impôts en 2010 avec ou sans BBC ?

catherine BelPatrimoine PremierCif réf.sous n°a043000 par la CiP assoc. agréée par l’amf32 av. de friedland, ��008 Paristél. : 01 4� �4 01 0� - fax : 01 4� �4 01 1�email : [email protected]

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longue à mettre en œuvre que l’isolation intérieure. Toutefois, sa performance est nettement meilleure en supprimant les fuites d’énergie. De plus, elle permet de récupérer les apports solaires en hiver et limiter l’in-confort l’été. On privilégiera plutôt de gran-des ouvertures sur le sud pour chauffer en hiver et pour limiter l’éclairage artificiel. Il faudra tenir compte du taux de vitrage pour maîtriser l’échauffement l’été

n Une enveloppe extérieure étanche à l’air – L’étanchéité à l’air et la gestion maîtrisée de la vapeur d’eau de l’ensemble du bâti sont essentiels. Pour l’obtention du label BBC Effinergie, un cer-tain niveau (chiffré) de perméabilité ne devra pas être dépassé. Pour être à haute performance énergétique, le bâti-ment devra limiter au maximum les pertes induites par les fuites d’air au niveau des raccordements des murs, des caissons de volets roulants,... L’impact énergétique de l’étanchéité à l’air sera donc particu-lièrement important dans un climat froid et venté.

n Des ouvertures au soleil qui devront présenter des protections contre le soleil – Ainsi, des volets battants ou roulants amélioreront la performance thermique et le confort d’été. Pour obtenir le label BBC Effinergie, les vitres devront répondre à cer-taines caractéristiques et prendre en compte un fac-teur solaire (capter la chaleur) et un facteur lumière (capter la lumière).

n Une ventilation optimisée en terme de coût et d’efficacité solaire afin d’éviter notamment une climatisation consommatrice d’énergie. Ce type de ventilation profitera particulièrement aux régions du sud.

n Un chauffage performant – Chauffage au gaz in-dividuel ou collectif avec chaudières à condensa-tion basse consommation permettant d’obtenir un niveau de performance technique compatible avec les exigences de la réglementation BBC. Seront à privilégier les pompes à chaleur (répondant à cer-taines normes), les chaudières à bois si associées à un autre système, le chauffage solaire conjointe-ment là aussi à un autre système, le raccordement à un réseau de chaleur utilisant des énergies renou-velables et/ou un système de cogénération.

n L’utilisation d’énergies renouvelables, telle que les panneaux solaires photovoltaïques permettent de fournir de l’électricité dont le surplus sera re-vendu à EDF. Dans le cadre des calculs réglemen-taires exigés pour l’obtention du label BBC, l’utili-sation d’énergies conventionnelles est pénalisée au profit des énergies renouvelables.

n La production d’eau chaude sanitaire solai-re. D’autres solutions peuvent être envisagées telles que l’eau chaude fournie par une pompe à chaleur spécialement optimisée pour ce type d’usage là aussi en répondant à certains critères chiffrés.

n La limitation de la consommation d’électricité pour l’éclairage en favorisant l’éclairage naturel et en utilisant les lampes à basse consommation.

n Enfin, des règles de bon sens devront être impéra-tivement respectées à l’instar des minuteries pour les locaux utilisés de façon brève, des détecteurs de présence dans les couloirs de l’immeuble, …

Conclusion

À travers tous ces points techniques, on comprend que les bâtiments répondant à ces nouvelles normes aient un prix de revient plus élevé. C’est particulièrement justi-fié. On comprend aussi que le neuf, sans être BBC, soit (norme RT 2005) plus cher que l’ancien car il répond à quantité de normes que le bâtiment ancien ne prend pas en compte (conceptions et équipements différents). Toutefois, si l’ancien semble moins coûteux que le neuf au départ, à l’usage et à la revente, le propriétaire sera rattrapé par les coûts. En effet, dans le temps et pro-gressivement les bâtiments anciens devront se mettre également aux normes et tant qu’ils ne le seront pas, ils auront plus de difficultés à être loués que du neuf car ils seront plus coûteux pour l’occupant. Face à ces normes écologiques, quelle est l’atti-tude à adopter ?Opter pour la loi Scellier à 25 % en 2010 sans contraintes écologiques mais avec des prestations de grande qualité, sauf si vous avez l’opportunité d’ac-quérir un bien BBC Effiniergie dès 2010, à un prix raisonnable. Dans ce cas, n’hésitez pas. En revanche, à compter de 2011, opter pour les bâtiments BBC Ef-finergie, ce qui aura laissé peut être suffisamment de temps aux promoteurs pour voir comment réduire l’impact de ces nouveautés sur le prix du bien. u

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18 mars 2010 à RueilSTAGE CLINIQUE DE CHIRURGIE - INTRODUCTION A LA CHIRURGIE GUIDEE PAR FACILITATEDrs Pierre CAILLON, Jean-Sébastien RENAUD25 et 26 mars 2010 à Rueil et ParisSTAGE CLINIQUE DE CHIRURGIE AVANCEE - MISE EN CHARGE IMMEDIATE POST-EXTRACTIONNELLEDr Rémy TANIMURAaSTRa TECH dENTaLÉlodie Mosseri - 7 rue Eugène et Armand Peugeot - 92563 Rueil-Malmaison cedexTél : 01 41 39 22 30 - Fax : 01 41 39 97 42Email : [email protected] Site Internet : www.astratechdental.fr____ 9 mars au 13 octobre 2010 à MontpellierDr Luc MANHES19 avril au 19 novembre 2010 à MarseilleDr Olivier HENRY-SAVAJOL22 avril au 30 septembre 2010 à NiceDrs Thierry BRINCAT, Antoine DISS

FORMATION IMPLANTOLOGIE Frais d’inscription : 2 600 €gENERaTION IMPLaNTCentre de formation Villa La Tour 134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 04 92 00 77 17 Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 11 mars 2010 à LyonFORMATION PRATIQUE DE PROTHESE TOTALE SUR IMPLANTSDrs P. EXBRAYAT, B. DELCOMBEL, F. TRIOLLIERFrais d’inscription : 190 €STudy CLuB dENTaIRE ET IMPLaNTaIRE ET ZIMMER dENTaL68 avenue des Frères Lumière - 69008 LyonTél : 04 72 78 58 64 - Fax : 04 72 78 58 66Email : [email protected] Site Internet : www.scdi.asso.fr____ 11 mars 2010 à RennesHôtel MercureLE TRAITEMENT PARODONTAL EN 2010 ET LA PLACE DE L’IMPLANTOLOGIEPr OUHAYOUNSFPIO REgION BRETagNEDr Guillou Tél : 02 99 36 04 54 ____ 11 et 12 mars 2010 à NiceCHIRURGIE IMPLANTAIRE - MODULE 2Drs C. BOILEAU, J. P. BRUNFrais d’inscription : 800 €dEFI : dENTISTERIE ESTHETIQuE ET FONCTIONNELLE EN IMPLaNTOLOgIE20 boulevard Jean Jaurès - 06300 NiceTél : 04 92 47 70 67 - Fax : 04 93 80 38 66Email : [email protected] Site Internet : www.defi-implant.com

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18 mars 2010 à NancyCOMPRENDRE ET APPRENDRE L’IMPLANTOLOGIE AU QUOTIDIEN, MAIS QUAND ET COMMENT ? ET ETRE IMPLANTOCONSCIENTLE-CIEL : COLLEgE d’IMPLaNTOLOgIE ORaLE ET ESTHETIQuE dE LORRaINEDr Pesin ou Sabrina 2 place du Monument - 54710 Fléville-devant-NancyTél : 03 83 26 32 91 Email : [email protected] Site Internet : www.le-ciel.fr____ 18 et 19 mars, 22 et 23 avril, 20 et 21 mai, 10 et 11 juin,1er et 2 juil. 2010 à aubagneATTESTATION D’IMPLANTOLOGIE ORALEDr CHANAVAZ, Dr JEANNENOT, Dr SICARD, Dr CANGEMI, Dr DABERNAT, ...Frais d’inscription : 4 600 €INSTITuT OROFaCE33 boulevard des Farigoules - 13400 AubagneTél : 06 16 35 13 02 Email : [email protected] Site Internet : www.institutoroface.com____ 19 mars 2010 à PontivySOIREE DECOUVERTE IMPLANTOLOGIEDr François FURICgENERaTION IMPLaNTCentre de Formation Villa La Tour 134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 (0,12 cents la minute) Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 19 et 20 mars 2010 à BordeauxLA CHIRURGIE MUCO-GINGIVALE - L’ANATOMIE EN PARODONTOLOGIECERCLE d’ETudE d’IMPLaNTOLOgIE ORaLE ET dE PaROdONTOLOgIE - CEIOP16 rue du Bocage - 33200 BordeauxTél : 06 26 80 46 43 Email : [email protected] Site Internet : www.ceiop.com____ 19 et 20 mars 2010 à Cannes Le CannetFORMATION COMPLETE DE CHIRURGIE ET PROTHESE IMPLANTAIREPr Paul MARIANI, Dr Franck BONNETFrais d’inscription : 1 050 €FIdE28 boulevard Gambetta - 06110 Cannes le CannetTél : 04 93 99 72 81 - Fax : 04 92 98 823 3Email : [email protected] Site Internet : www.fide.fr____ 19 et 20 mars 2010 à LyonCYCLE D’IMPLANTOLOGIE 1ER DEGRE : LA PROTHESE IMPLANTAIRE - LE PLAN DE TRAITEMENT IMPLANTAIRECLINIC-aLL32 quai Charles de Gaulle - 69006 LyonTél : 06 01 42 64 09 Email : [email protected] Site Internet : www.clinic-all.fr

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19 et 20 mars, 28 et 29 mai, 18 et 19 juin, 24 et 25 septembre 2010 + sessions de chirurgie à grenoble et LyonDEMARREZ CONCRETEMENT EN IMPLANTOLOGIE ET REALISEZ VOS PREMIERS CAS DE CHIRURGIE SOUS 6 MOIS - STRAIGHFORWARD NIVEAU 1Hervé BUATOIS, Franck SAYACFrais d’inscription : 4 850 €CaMPuS ITISéverine Delmas - 5 rue Dupont des Loges - 75007 ParisTél : 01 64 17 30 16 Email : [email protected] Site Internet : www.iti.org/france____ 25 et 26 mars 2010 à Chessy - Marne la ValléeLES VOLUMES OSSEUX INSUFFISANTS : LES SOLUTIONS POUR LE MAXILLAIRE POSTERIEUR - AVANCE NIVEAU 2D. AUBAZAC, P. ROUSSEAU, F. SAYACFrais d’inscription : 420 €CaMPuS ITISéverine Delmas - 5 rue Dupont des Loges - 75007 ParisTél : 01 64 17 30 16 Email : [email protected] Site Internet : www.iti.org/france____ 25 et 26 mars 2010 à Sallanches3EME CONGRES INTERNATIONAL EUROTEKNIKA «RENCONTRES INDUSTRIE/CLINIQUE» Prs J.-P. OUHAYOUN, R. M’BAREK, Drs R. NOSSINTCHOUK, J.-F. MICHEL, G. MARTI, L.-C. SIMONE, P. DRÉAN, E. COHEN, J.-R. SERCKI, P. FISCHER, E. BLOM, K. HOVDENFrais d’inscription : gratuitEuROTEKNIKa726 rue du Général De Gaulle - 74700 SallanchesTél : 04 50 91 49 21 - Fax : 04 50 91 98 66Email : [email protected] Site Internet : www.congres2010.euroteknika.com____ 27 mars 2010 à deauvilleLE TRAITEMENT PARODONTAL DE NOS JOURS : SIMPLICITE ET EFFICACITEFrais d’inscription : Non mb : 155 € - mb : 95 € SFPIO NORMaNdIEDr Michel Benouaiche - 25 place Charles de Gaulle - 76600 Le HavreTél : 02 35 22 90 40Email : [email protected] Site Internet : www.sfpio-normandie.com____ 27 mars 2010 à ParisRENCONTRE ANNUELLE FRANCO-CANADIENNE DE PARASITOLOGIE PARODONTALEDr Mark BONNER, l’Institut Pasteur...Frais d’inscription : mb : 285 € (comprenant cotisation 2010 de 50 €), non mb : 295 € - 85€ pour les assistantes et étudiantsaSSOCIaTION a.M.I.B. (aSSOCIaTION MEdICaLE CONTRE LES INFECTIONS BuCCaLES)455 promenade des Anglais - 06200 NiceTél : 04 93 71 40 65 - Fax : 04 93 71 40 32Email : [email protected] Site Internet : www.amib.fr____ 30 mars 2010 à LyonLE ROLE DE L’ASSISTANTE DENTAIRE EN IMPLANTOLOGIE

Study Club Dentaire et Implantaire et Zimmer DentalFrais d’inscription : 195 €STudy CLuB dENTaIRE ET IMPLaNTaIRE68 avenue des Frères Lumière 69008 LyonTél : 04 72 78 58 64 - Fax : 04 72 78 58 66Email : [email protected] Site Internet : www.scdi.asso.fr____ 1er avril 2010 à ParisOS AUTOGENE VERSUS OS ALLOGENIQUEDr Michel JABBOURFrais d’inscription : Mb : gratuit - Non mb : 75 € - Assistante, étudiant : 40 €CFLIP - CERCLE FRaNCO-LIBaNaIS d’IMPLaNTOLOgIE ET dE PaROdONTOLOgIE32 avenue Pierre 1er de Serbie - 75008 ParisTél : 01 40 70 16 22 - Fax : 01 47 20 08 49Email : [email protected] ____ 8 avril 2010 à LyonFORMATION ASSISTANTE - ASEPSIE ET CHIRURGIEH.HADJINLIAN, V.BAUDFrais d’inscription : 320 €INSTITuT OROFaCEClinique La Casamance - 33 boulevard des Farigoules - 13400 AubagneTél : 06 16 35 13 02 Email : [email protected] Site Internet : www.institutoroface.com____ 14 avril 2010 à ParisIMPLANTO EUROTEKNIKAFrais d’inscription : 500 € - Non mb : 600 €aFOS - aSSOCIaTION dE FORMaTION OdONTO-STOMaTOLOgIQuE12 bis rue du Cadran - 94220 CharentonTél : 09 75 24 99 24 Email : [email protected] ____ 16 et 17 avril 2010 à BordeauxLA PROTHESE IMPLANTAIRECERCLE d’ETudE d’IMPLaNTOLOgIE ORaLE ET dE PaROdONTOLOgIE - CEIOP16 rue du Bocage - 33200 BordeauxTél : 06 26 80 46 43Email : [email protected] Site Internet : www.ceiop.com

ESTHÉTIQUE 25 mars 2010 à Paris«MAITRISER LES INLAYS/ONLAYS ESTHETIQUES» 26 mars 2010 à ParisCYCLE DE PERFECTIONNEMENT EN ESTHÉTIQUE: « LES CRITERES ESTHÉTIQUES DU SOURIRE»Drs Gil TIRLET, Jean-Pierre ATTALgROuPE RaPHaËL FORMaTION4 rue Boileau - 92120 MontrougeTél : 01 49 85 95 54 Email : [email protected] Site Internet : www.formationgrf.com____ 29 avril 2010 à CassisMEDECINE ET DENTISTERIE ESTHETIQUEDrs F. BRACCINI, J. PARIS, L. JEANNENOT, P. CHANAVAZ, P. FERGANIFrais d’inscription : 170 €INSTITuT OROFaCE

Clinique La Casamance - 33 boulevard des Farigoules - 13400 AubagneTél : 06 16 35 13 02 Email : [email protected] Site Internet : www.institutoroface.com

ENDODONTIE11 mars 2010 à Clermont-FerrandREUSSIR SON ENDODONTIEDr D. ROUXFrais d’inscription : 250 €uFR d’OdONTOLOgIE - SERVICE dE FORMaTION CONTINuE11 boulevard Charles de Gaulle - 63000 Clermont-FerrandTél : 04 73 17 73 35 - Fax : 04 73 17 73 79Email : [email protected] Site Internet : http://webodonto.u-clermont1.fr - Professionnel____ 12 mars 2010 à NiceREUSSIR LE TRAITEMENT ENDODONTIQUE : DE L’ACCES A L’OBTURATIONPr Pierre MACHTOUFrais d’inscription : 350 € l’année conférence + 150 € TP du 12/03/10CERCLE d’ÉTudES dENTaIRES ET STOMaTOLOgIQuES dE La COTE d’aZuRDr Charles Rodriguez 9 boulevard Albert 1er - 06600 antibesTél : 04 93 34 33 94Email : [email protected] ____ 25 mars 2010 à ParisHôtel MercureLA DIGUE EST UNE AMIE QUI VOUS VEUT DU BIEN.Richard KALEKAFrais d’inscription : non mb : 50 € - mb : gratuitLa dELEgaTION PaRISIENNE dE La SOCIETE FRaNÇaISE d’ENdOdONTIE.37 rue René-Clair - 92100 Boulogne-BillancourtTél : 01 40 76 08 63 Email : [email protected]

OMNIPRATIQUE4 et 5 mars, 25 et 26 mars 2010 à Toulouse9 et 10 mars, 29 et 30 avril 2010 à Lyon11 et 12 mars, 1er et 2 avril 2010 à Paris18 et 19 mars, 4 et 5 mai 2010 à Bordeaux22 et 23 avril, 6 et 7 mai 2010 à StrasbourgFORMATION A LA PERSONNE COMPETENTE EN RADIOPROTECTION PCR CABINET DENTAIRE Dr Philippe ROCHERFrais d’inscription : 1 800 € (mb : 1 500 €)uFSBd7 rue Mariotte - 75017 ParisTél : 01 44 90 93 94 - Fax : 01 44 90 97 82Email : [email protected] Site Internet : www.dentistepro.fr____ 11 mars 2010 à Montpellier18 mars 2010 à Bruxelles1er avril 2010 à Lyon22 avril 2010 à NiceFORMATION EN ANESTHESIE OSTEOCENTRALEaFPad : aSSOCIaTION FRaNÇaISE POuR LE PERFECTIONNEMENT dE L’aNESTHESIE dENTaIRE66 avenue des Marronniers - BP 20521 - 49300 Cholet cedex

Tél : 02 41 56 05 53 - Fax : 02 41 56 41 25Email : [email protected] Site Internet : www.afpad.com____ 11 mars 2010 à ParisPATIENTS À RISQUE : MODE D’EMPLOIDrs L. BEN SLAMA, P. CASAMAJOR, B. LUNG, B. PHILIPPE, Y. ROCHE, H. TARRAGANOFrais d’inscription : Mb : 220 ou 260 €- Non mb : 280 ou 320 €SOCIÉTÉ OdONTOLOgIQuE dE PaRIS6 rue Jean Hugues - 75116 ParisTél : 01 42 09 29 13 - Fax : 01 42 09 29 08Email : [email protected] Site Internet : www.sop.asso.fr____ 11 mars 2010 à ToulouseLA PROTHESE TOTALE EST TOUJOURS D’ACTUALITE !A. LEONARDFrais d’inscription : Mb : 210 € - Non mb : 250 € - Assistantes : 210 €uJCd14 rue Étex - 75018 ParisTél : 01 42 28 99 10 - Fax : 01 44 85 51 32Email : [email protected] Site Internet : http://conferences.ujcd.com____ 13 mars 2010 à ParisRADIOPROTECTION DES PATIENTS Dr Philippe ROCHERFrais d’inscription : 250 € ( tarif préférentiel pour les premiers inscrits)uFSBd7 rue Mariotte - 75017 ParisTél : 01 44 90 93 94 - Fax : 01 44 90 97 82Email : [email protected] Site Internet : www.dentistepro.fr____ 18 mars 2010 à Clermont-Ferrand22 avril 2010 à StrasbourgJ.-C. FRICAIN25 mars 2010 à NancyR. MONTEIL

DERMATOLOGIE BUCCALEFrais d’inscription : Mb : 210 € - Non mb : 250 € - Assistantes : 210 €uJCd14 rue Étex - 75018 ParisTél : 01 42 28 99 10 - Fax : 01 44 85 51 32Email : [email protected] Site Internet : http://conferences.ujcd.com

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18 mars 2010 à NantesLES COURONNES CERAMO-CERAMIQUESP. AUROYFrais d’inscription : Mb : 210 € - Non mb : 250 € - Assistantes : 210 €uJCd14 rue Étex - 75018 ParisTél : 01 42 28 99 10 - Fax : 01 44 85 51 32Email : [email protected] Site Internet : http://conferences.ujcd.com____ 18 mars 2010 à Paris1er avril 2010 à NiceG. JOURDA25 mars 2010 à Montpellier15 avril 2010 à VersaillesO. LAVIOLE

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ORTHODONTIE4 au 7 mars 2010 à ParisLES DYSFONCTIONS CRANIO-MANDIBULO-POSTURALES - STAGE 2Frais d’inscription : 1 900 €18 au 21 mars 2010 aux antillesLES DYSFONCTIONS CRANIO-MANDIBULO-POSTURALESDr PATTIRMO EuROPERue Geiler de Kaysersberg - 67400 IllkirschTél : 03 88 40 67 35 - Fax : 03 88 67 96 95Email : [email protected] Site Internet : www.rmoeurope.com____ 7 mars 2010 à Clermont-ferrandLIBERTY BIELLEDrs F. MARIE-CATHERINE, É. MARIE-CATHERINEFrais d’inscription : 490 €RMO EuROPERue Geiler de Kaysersberg - 67400 IllkirchTél : 03 88 40 67 40 - Fax : 03 88 67 96 95Email : [email protected] Site Internet : www.rmoeurope.com____ 7 et 8 mars 2010 à Marne la ValléeDisneylandCOURS EXCEPTIONNEL EQUIVALENT A NIVEAU 3 MAIS ACCESSIBLE A TOUS : MOYENS PRATIQUES D’UN REGARD DIAGNOSTIQUE ELARGI EN THERAPEUTIQUE FONCTIONNELLECRRNODr Patrick Ampen - 38 rue Aristide Briand - 77100 MeauxTél : 01 60 23 29 33 Email : [email protected] Site Internet : www.i-ortho.net____ 12 et 13 mars 2010 à ParisLINGUAL COURSEPr MACCHIRMO EuROPERue Geiler de Kaysersberg - 67400 IllkirschTél : 03 88 40 67 35 - Fax : 03 88 67 96 95Email : [email protected] Site Internet : www.rmoeurope.com____ 25 mars 2010 à ParisHôtel Concorde St LazareTRAITEMENT DE L’ADULTE : PRISE EN CHARGE PLURIDISCIPLINAIREPr Pierre BOULETREAU, Drs Raphael FILIPPI, Pierre-Emmanuel HAGER, Nicolas GOUNOTFrais d’inscription : 400 € INSTITuT OROFaCEClinique La Casamance - 33 boulevard des Farigoules - 13400 AubagneTél : 06 16 35 31 02 Email : [email protected] Site Internet : www.institutoroface.com____ 29 mars 2010 à ParisBRACKET ABCDr Rémy MATHISFrais d’inscription : 290 €

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PÉDODONTIE 18 mars 2010 à ParisLES TRAITEMENTS ORTHODONTIQUES EN DENTURE TEMPORAIRE - APPROCHE CLINIQUE EN 6 SEMINAIRESDr Patrick FELLUSDr Patrick Fellus - 18 rue de Condé - 75006 ParisTél : 01 43 26 08 86

ERGONOMIE8 et 9 avril 2010 à ParisBACS ET CASSETTES - TRAVAIL A 4 MAINS - GAGNEZ 20 % DE TEMPS, REDUISEZ VOTRE STRESSDr Edmond BINHASgROuPE EdMONd BINHaSLes Estroublans BP 20057, 5 rue de Copenhague - 13742 Vitrolles CedexTél : 0800 521 764 - Fax : 04 42 34 15 04Email : [email protected]

ORGANISATION18 mars 2010 à ToulouseLES CLEFS DE L’ORGANISATION DU CABINET DENTAIREChristophe DANIEL, Christophe BARRALFrais d’inscription : Praticien : 275 €, Assistante : 175 €RdCL - RESEau dE dEVELOPPEMENT dES CaBINETS LIBERaux215 rue Jean-Jacques Rousseau - 92136 Issy-Les-Moulineaux CedexTél : 09 51 39 29 28 - Fax : 09 56 39 29 28Email : [email protected] Site Internet : www.rdcl.fr____ 18 et 19 mars 2010 à RennesGARDEZ LE CONTROLE DE VOTRE CABINET QUELLE QUE SOIT LA SITUATION ECONOMIQUE25 et 26 mars 2010 à ParisGARDEZ LE CONTROLE DE VOTRE CABINET D’ORTHODONTIE QUELLE QUE SOIT LA SITUATION ECONOMIQUEDr Edmond BINHASgROuPE EdMONd BINHaS5 rue de Copenhague - 13742 Vitrolles cedexTél : 0800 521 764 - Fax : 04 42 34 15 04Email : [email protected]

COMMUNICATION11 mars 2010 à Bordeaux8 avril 2010 à ParisBIEN PRATIQUER LA COMMUNICATION ET LA COORDINATION AVEC LABORATOIRE DE PROTHESEStéphanie ONILLONFrais d’inscription : 300 €aB SuRgERy10 rue de la Paix - 75002 ParisTél : 06 31 94 40 68 - Fax : 01 40 20 98 98Email : [email protected] Site Internet : http://www.absurgery.fr

18 mars 2010 à Tours1er avril 2010 à LyonBIEN PRATIQUER L’ACCUEIL ET LA GESTION DES PATIENTSStéphanie ONILLONFrais d’inscription : 250 €aB SuRgERy10 rue de la Paix - 75002 ParisTél : 06 31 94 40 68 Email : [email protected] Site Internet : http://www.absurgery.fr____ 15 avril 2010 à ParisLA RELATION CABINET-LABORATOIRE - COMPRENDRE ET EVITER LES ECUEILSDr Pascal ZYMAN, Richard ABULIUSCOEFI3 avenue Alphand - 75116 ParisTél : 06 09 04 65 06 - Fax : 01 42 35 26 57Site Internet : www.coefi.fr

DIvERS11 mars 2010 à Vigneux de BretagneBrit HôtelRONFLEMENTS ET APNEES DU SOMMEILDrs PETIT, HUETFrais d’inscription : 200 €aOBO16 rue Beethoven - 44300 NantesTél : 02 51 89 02 28 - Fax : 02 51 89 02 28Email : [email protected] Site Internet : aobo.fr____ 15 et 16 mars 2010 à Metz/Nancy9 et 10 avril 2010 à Pont-à-MoussonFORMATION ASSISTANTE DENTAIREMartine JACQUARTFrais d’inscription : 570 €gENERaTION IMPLaNTCentre de Formation Villa La Tour 134 avenue des Arènes de Cimiez - 06000 NiceTél : 0820 620 017 (0,12 cents la minute) Email : [email protected] Site Internet : www.generation-implant.com____ 25 au 27 mars 2010 à Villetrun INITIATION A L’OSTÉOPATHIE AU CABINET DENTAIREPaule LEMOINEFrais d’inscription : 550 € repas et hébergement inclusOdENTH205 avenue de Versailles - 75016 ParisTél : 01 46 51 43 59 Email : [email protected] Site Internet : www.odenth.com____ 22 avril 2010 à aix-en-ProvenceLE SYNDROME D’APNEE OBSTRUCTIVE DU SOMMEILB. MANTOUTFrais d’inscription : Mb : 210 € - Non mb : 250 € - Assistantes : 210 €uJCd14 rue Étex - 75018 ParisTél : 01 42 28 99 10 - Fax : 01 44 85 51 32Email : [email protected] Site Internet : http://conferences.ujcd.com

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Février 2010

Cabinet DentaireVentes

06 - NICE OUESTVends cause retraite dans cabinet SCM 2 praticiens Écrire au journal qui transmettraN°10/50/CA/976

Offres d’EmploiDivers

BRETAGNE et EST de la FRANCE Fabricant implants dentaires depuis 1987 recherche agents commerciaux région Bretagne et est de la France. Grosse commission. Contacter Monsieur Gérard. Tél. : 06 14 36 76 74 N°10/50/OFD/983

38 - GRENOBLE cède cabinet centre Grenoble. CA 2008 680K€. 4 jours et demi, 9 mois et demi. 2 postes + bloc op. État impeccable. Parfait pour 2 praticiens. Implanto nécessaire présentation 6 mois. Prix 170K€. Tél. : 06 13 63 37 86 ou 04 76 52 03 19 N°10/50/CA/973

Vends PETIT MATÉRIEL Prix sacrifié. Lot important petite instrumentation, petite fourniture. Jamais servi ou TBE. 3000€. Tél. : 06 83 56 90 02 N°10/50/MA/985

74 - ANNECY Vue retraite prochaine cède cabinet 2 postes soins + bloc chirurgie CA moyen 330 KE conviendrait à couple. Patientèle fidélisée Tél. : 06 63 52 67 95N°10/50/CA/981

MatérielSpécialisé

71 - LE CREUSOT BOURGOGNE DU SUD À 1h20 Paris, 30mn Lyon. Cède dans SCM, cabinet très bon potentiel. Matériel récent.Tél. : 06 14 27 03 94N°10/50/CA/960

21 - Centre DIJON Vends cabinet 2 postes. Bon matériel récent. Bon chiffre. Bonne patientèle. Tél. : 06 13 73 81 21 ou 06 07 75 43 75 après 20 hN°10/50/CA/967

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Offres d’EmploiRemplacement

05 - BRIANÇON Cherche remplaçant(e) pour congés maternité à partir du 15 mai.Tél. : 04 92 21 14 20 N°10/50/OFR/990

56 Bord du GOLFE DU MORBIHAN Dans SCM 200m². Centre médical très récent. Patientèle motivée. CA important; Tél. : 06 13 79 37 18 N°10/50/CA/988

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