pennois avril.qxd 19/04/2005 09:59 Page 1 Pennois · jeudi matin de 9h à 12h au 04 91 05 54 16. Centre Social 93 avenue François Mitterrand La Gavotte.....04 91 51 08 60 ... 04

PennoisPennoisLeLeAvril 2005 | n°107 www.pennes-mirabeau.org

Vive le sport !P3

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SÉCURITÉDeux municipauxà l’honneur

VIE LOCALEChangement auConseil municipal

SOCIALAider les aidants

Vive le sport !

pennois avril.qxd 19/04/2005 09:59 Page 1

M E D E C I N S9 et 10 avril Dr LubinLa Gavotte...........................04 42 10 48 98

16 et 17 avrilDr DemetLa Gavotte...........................04 91 09 00 00

23 et 24 avrilDr BalzanoLa Gavotte...........................04 42 02 96 39

D E G A R D E30 avril et 1er maiDr GallissianLes Cadeneaux...................04 91 96 01 35

5 mai (Ascension)Dr PlantinLes Cadeneaux.....................04 91 51 69 40

7 et 8 maiDr PasqualettoLes Pennes-Mirabeau............04 42 02 77 78

Permanences mairiePERMANENCE DU MAIRESur rendez-vous à l’Hôtel de ville desPennes-Mirabeau et à la mairie annexe dela Gavotte.Hôtel de ville.....................04 42 02 24 24

ORDRE DES AVOCATSConsultations gratuites pour les moins de18 ans le mercredi de 14h30 à 16h30.Palais de justicePlace Verdun 04 42 21 72 30Aix-en-Provence................04 42 21 72 30

MEDIATEUR DE LA REPUBLIQUEM. Vincensini reçoit, à Aix-en-Provence surrendez-vous, les administrés qui s’estimentvictimes d’un dysfonctionnement desservices publics et assimilés.Mairie : 7 rue Pierre et Marie Curie......................................04 42 91 93 95MJD (lundi et mardi matin) : bât i2, 2 rue Raoul Follereau......................................04 42 20 90 32

OFFICE NOTARIALPermanence le 1er jeudi de chaque moisde 10h30 à 12h00 à l’Hôtel de Ville pourles mois impairs et à la mairie annexe de LaGavotte pour les mois pairs......................................04 42 02 24 24

CONCILIATEUR DE JUSTICEM. Maury reçoit à l’Hôtel de ville le 1er etle dernier mercredi du mois de 14h15 à18h00 sur rendez-vous......................................04 42 02 24 24

CONSULTATION JURIDIQUEPermanence assurée le mercredi 20 avril àl’Hôtel de ville, de 8h30 à 11h30 surrendez-vous ......................................04 42 02 24 24

PERMANENCE PARLEMENTAIREPhilippe Barrau, attaché parlementaire,reçoit à la mairie annexe de La Gavotte surrendez-vous le 4ème mercredi de chaquemois de 9h30 à 10h30......................................04 42 65 44 44

PERMANENCE IMPÔTS (REVENU)M. Kienlen recevra le public le 24 et 25mars à l’hôtel de ville de 8h30 à 11h et

de13h à 15h30 et le 29, 30 et 31 mars à lamairie annexe de La Gavotte aux mêmeshoraires.hôtel de ville.....................04 42 02 24 24annexe Gavotte.................04 91 09 44 11

Actions socialesCENTRE COMMUNAL D’ACTIONSOCIALE........................04 42 10 62 92Renseignements sur les mesures mises àdisposition par la commune ou ses parte-naires sociaux : Demi-tarif cantine, gratuité des transportsscolaires,chèque d’accompagnementpersonnalisé,secours d’urgence,téléassistan-ce,Allocation Personnalisée à l’Autonomie(APA), placement en maison de retraite,aide ménagère...

DELEGUE CONSEILLe délégué conseil de la Sécurité socialereçoit à la mairie annexe du chef-lieu au 15Av. Victor Hugo, les jeudis de 14h30 à15h30.

DON DE SANGL’Amicale des donneurs de sang bénévoless’associe à la grande campagne nationaleannuelle et à la réception de la flamme devie de passage dans la commune le vendre-di 27 mai. A cette occasion, les enfantsdéfileront après l’école, en présence depersonalités dont le Bureau de l’Uniondépartementale, jusqu’à la salle Tino Rossi.Une collecte de sang y sera organisée de15h à 19h30.

Emploi / logementASSEDICLes demandeurs d'emploi de la communesont accueillis à l'antenne Assédic deMarignane.Le Gabian du MoulinAvenue René Dubois BP 7713721 Marignane cedex..........................................0 811 01 01 13Accueil libre le matin de 8h30 à 12h30 dulundi au vendredi.Accueil sur rendez-vous l’après-midi : de12h30 à 15h00 du lundi au jeudi.

MISSION LOCALEMairie annexeLa Gavotte.....................04 91 51 17 70Informations sur la recherche d’emploi, laformation, le logement ou les questions desanté : accueil du public du lundi auvendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h et surrendez-vous les mercredis et vendredis avecun conseiller en insertion.

CAISSE D’ALLOCATIONS FAMILIALESLe Centre social assure une permanence dela Caisse d'Allocations Familiales tous les jeudis matin de 9h à 11h30. Reception desusagers sans rendez-vous par un agentadministratif et sur rendez-vous par uneassistante sociale. Téléphoner le mardi ou lejeudi matin de 9h à 12h au 04 91 05 54 16.Centre Social 93avenue François MitterrandLa Gavotte......................04 91 51 08 60

Téléservice sur internet pour les étudiantsavec possibilité d’effectuer une demanded’aide au logement (www. caf.fr).

ADIL L’Agence Départementale pour l’Informationsur le Logement des Bouches-du Rhôneassurera une permanence tous les 1er mardide chaque mois (excepté en août) de 9h30 à12h30 et de 13h30 à 17h00 Antenne de Vitrolles : bâtiment laGinestière (quartier des Plantiers)ADIL des Bouches-du-Rhône.......................................04 96 11 12 00

RenseignementsDECHETTERIE DU JAS DE RHODESOuverture tous les jours de 9h à 12h et de14h à 17h (dimanche de 9h à 12h). SITA Sud av. Paul Brutus.................04 91 51 02 16

Enquêtes INSEEL'Institut National de la Statistique et desEtudes Economiques effectue une enquêtepar sondage du 11 avril au 19 juillet 2005.Les ménages désignés par le sort pourrépondre au questionnaire sont avisés parlettre du passage des agents INSEE identifiéspar une carte.

Maison médicale Marseille NordConsultation située à proximité du service des Urgences de l’hôpital Nord de Marseille...............................................................................................................04 91 96 49 59Un médecin généraliste est à votre disposition du lundi au vendredi de 16h00 à 19h30, les samedis,dimanche et jours fériés de 10h00 à 20h00 et durant les vacances scolaires de14h30 à 20h00. Uneassistante sociale peut vous recevoir pour faciliter l’ouverture de vos droits sociaux.

ratiqueP

“LE PENNOIS” Reproduction partielle ou totale, autorisée avec mention de l’origine. Direction de la publication : Michel Amiel. Rédaction : Philippe Gallo, Philippe Bonhomme (04 42 02 24 24)Photographie : Fabien Mignot. Conception graphique : Célia Netter. Suivi Distribution : Michèle Aureille (04 42 02 24 10). Impression - Publicité : Horizon, 220 av Coulins 13420 GEMENOS(04 42 32 75 32) - Tirage à 8000 exemplaires distribués aux particuliers et aux entreprises de la commune.

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Ambulances Arc en ciel ......................................................................................04 42 02 82 78Ambulances Horizon ..........................................................................................04 91 51 67 36


ctualiteA

le pennois avril 2005 | 3

Nous voulons un lycéeLe mois dernier un premier rendez-vous de travail a été pris avec leConseil Régional concernant la pos-sibilité d'implanter un lycée auxPennes-Mirabeau. Le Vice-présidentde la Région Patrick Mennuci a étéattentif aux arguments qui nouspoussent à réclamer l'implantationd'un tel établissement aux Pennes-Mirabeau. Pas seulement pour lesenfants de notre commune maispour un bassin de population pluslarge englobant les communes deCabriès, Gignac, Saint-Victoret etSeptèmes où le collège implantérécemment par le Conseil généraltourne à plein régime. A la fin de cemois ce même Patrick Menucci par-ticipera aux Pennes-Mirabeau à uneréunion élargie sur ce thème. Nousespérons voir notre commune figu-rer ainsi dans le plan régional d'amé-nagement des lycées. Cette actionque nous menons a pour objectif depermettre à tous les Pennois d'accé-der dans les meilleures conditionsau service public. A cet égard, lecombat que nous avons mené pourLa Poste n'est pas terminée. Le pointposte qui s'est installé le mois der-nier ne correspond pas à notreattente. Il s'agit d'une manœuvre dela poste destinée à se soustraire àces obligations de service public.Notre ambition demeure : faire bar-rage aux dérives ultra libérales quisouhaitent privatiser le servicepublic. Pour cela nous continueronsde faire pression sur l'État.

Michel AmielMaire des Pennes-Mirabeau

Editorial

Faits divers

Deux policiersmunicipaux à l'honneur

>Samedi 19 février, 10h30, au parc desBarnouins ; les coureurs de l'Amicale

des Pennes-Mirabeau s'étirent après leurentraînement puis regagnent leur domicile.René, un solide gaillard de 49 ans, nouvelle-ment inscrit à l'Amicale court encore un peu

en solitaire sur le chemin du retour. Auniveau du Pont de Vallot, il croise alors unindividu qui court quelques mètres avec luien bredouillant des phrases incompréhensi-bles, puis l'agresse violemment. Sous l'effetde la surprise, et de la violence de l'attaque,René est blessé, mais arrive à entrer de forcedans une voiture qui passait, et à faire préve-nir la police. C'est la police municipale quiinterviendra rapidement. Alain Margaillanet Stéphane Gajean ont eu beaucoup de malà interpeller l'individu et à le ceinturer, et ilsont été blessés à leur tour au cours de la rixe.Les troubles psychiatriques de l'hommesemblant évidents, le maire a décidé avecl'aval du préfet de l'hospitalisation d'officede l'agresseur qui a été rapidement conduità l'hôpital psychiatrique de Martigues. Renéquant à lui s'est bien remis de ses contusionset participe à nouveau avec l'APM aux cour-ses pédestres de la région. Le maire a vive-ment félicité pour leur courage les deuxpoliciers Alain Margaillan et StéphaneGajean qui ont maîtrisé un dangereux indi-vidu. Preuve s'il en était besoin que les poli-ciers ne sont pas uniquement sur le terrainpour distribuer des PV !

>Le Centre Social La Gavotte Les Pennes-Mirabeau, le plus ancien centre social desBouches-du-Rhône, fêtera dignement ses 50 ans d'existence dans quelques semaines.

Un des volets de l'événement festifconsistera à faire connaître au mieuxl'histoire humaine et l'évolution duCentre Social. Pour ce faire, la directionsouhaite recueillir dès à présent lestémoignages des différentes personnesqui ont fréquenté le Centre Social surtoutes les périodes et qui peuvent prêterdes documents photo, vidéo, articles depresse, ou tout simplement qui veulenttémoigner lors d'une prochaine confé-rence. Si vous avez un témoignaged'adhérent ou d'ancien adhérent, vous

pouvez contacter le Centre Social, 93, avenue François Mitterrand (tel : 04 91 51 08 60, fax :04 91 51 75 88, e-mail : [email protected]).

Un “quinqua” qui se porte bienCentre Social


Spectacle

Loisirs

D izzy Danse club : une nouvelleassociation est née il y a quelquesmois à La Gavotte. “Dizzy en

hommage à Dizzy Gillespie, trompettisteambassadeur du be-bop, danse parce quec'est notre raison d'être, et club, parce queje tiens avant tout àpréserver le côté convi-vial et familial, et destarifs abordables” sou-ligne Denis Varoli, sonprésident. Il enseignaitla danse depuis quel-ques années notam-ment sur Vitrollesquand il dénicha enfinun charmant local au149 avenue FrançoisMitterrand, derrièrel'hôtel Monaco. “Monbut, avec PrescilliaVernet, ma partenaireen matière de be-bopqui m'assiste beaucoupdans ma tâche, c'est de développer cesdanses sur la commune, d'organiser desspectacles pour les faire bien connaître, et

otre vieV


Sous la présidence de DanielDemimieux, les Cineastes VidéoAssociés ont présenté au théâtre

Henri Martinet les 25 et 26 février dernierle 5ème festival vidéo des PennesMirabeau. Les 5 membres du jury ontévalué les 50 films en compétition et voicile palmarès :

1er prix fiction : “Le dépucelage de l'uni-vers” de Guillaume Villevieille(Toulouse),1er prix réalité : “Ombres chiliennes” deJérôme Classe (Quimper),1er prix du film d’animation :

“Cavanimox et the microwave” de l’École EESA (Orly)1er prix du film minute : “La Haie” d’André Hervé (Magny Cours),Coup de coeur du jury : “La confession de Marie Alice” d’Olivier Bardot Montezume(Fort de France),Prix du public : “Les cannes qui chantent” de Roger Herquel (Carry le Rouet).

5ème Festival Vidéo

toujours sans le moindre élitisme”. 180élèves de tout âge assistent déjà aux coursde be-bop, danse de salon, country, salsa,danse africaine, danse orientale.Retrouvez le Dizzy Danse Club sur sonsite “www.dizzydanse.net”.

Contactez Denis, le président, ouDanièle, son épouse et secrétaire à cenuméro 06 25 39 66 51.

Esthetique

Chez vous aux bons soins deCorinne

Dans la familleTeichman,connaissez-vousPhilomène, lagrand-mèrephénomène (cfLe Pennoisd'octobre 2003)ou alors sa filleRose, bienconnue à

l'Amicale des Pennes-Mirabeau pourson art consommé de courir tout enparlant? Toujours est-il qu'il restait àCorinne, l'une des deux filles de Roseet Henri Teichman à se faire un pré-nom. A 33 ans, la jeune femmedéclare aimer tout à la fois le cheval,la photographie et surtout l'esthéti-que. Au point de se lancer dans labelle aventure des soins à domicile.Ainsi est née la petite société “JadeEsthétique”. “C'est une solution bienplus souple que de gérer une bouti-que, confie la jeune femme. Je peuxainsi m'occuper à 100% d'une seulepersonne à la fois, à des horaireschoisis et dans un lieu intime etconfortable, puisque c'est votredomicile.” Du shiatsu à l'aromathéra-pie, en passant par les massages,Corinne mettra à votre dispositionson savoir-faire si vous la contactezau 06 18 03 18 82.

Et bien, dansezmaintenant !

Les résultats

K-Ban aime le rock

Le 16 avril à21h, l'associa-tion K-Ban pro-pose au JasRod “we loverock'n roll”,une créationmusicale origi-nale sur l'uni-vers du rock.Etes vous plu-tôt Pink Floydou Rolling

Stones, Elvis ou Jimmy Hendrix? Durock le plus dur aux rythmes pluscommerciaux, près de 50 ans de lafolle histoire musicale nous sontcontés. Ziggy et Starac sauront-ilsvous convaincre ? La musique, lavraie en sortira à coup sûr gagnante.Renseignements et réservations :04 91 65 65 21.


Mairie

ie localeV


Mission Locale

En 2004, près de 350.000 emploissaisonniers ont été proposés en Francedans tous les secteurs. Gagner un peud'argent, mettre un pied dansl'entreprise, étoffer un CV ? Chercherun job, même saisonnier, c'est définirl'emploi que vous souhaiteriez occuper,sélectionner les entreprises, proposersa candidature. C'est aussi connaître laloi sur le travail des jeunes et lesrémunérations. C'est savoir où chercherles services pour étudiants, les agencesd'Intérim, les ANPE, les réseauxd'information jeunesse. La missionlocale vous propose d'explorer avecvous toutes ces pistes. Nous vousdonnerons également les dates desjournées d'information organisées dansdifférentes structures comme le"Forum Jobs" qui se tiendra les 8 et 9avril à l'Escale St Charles au ParcChanot, à Marseille.Pour mettre toutes les chances devotre côté, prenez rendez-vous avec laMission locale :Mairie annexe GavottePlace Victor IsnardTel : 04 91 09 44 11.

Du nouveau auConseil Municipal

LP : Pensez-vous poursuivre les actionsde Gaby Mathieu dans la même direc-tion?A.M : Bien entendu, et avec mon style per-sonnel. Je ne peux animer des soiréescomme il le faisait lui-même, avec le talentqu'on lui connaissait, mais comme lui jeveux être en contact permanent avec lespennois, à l'écoute de leurs souhaits et deleurs besoins. Si j'atteins ces objectifs, j'au-rai réussi dans ces fonctions dans les aspectstechniques comme sur le plan humain.

L.P : Avez vous un axe d'action particu-lier qui vous tienne à coeur ?A.M : C'est la lutte contre l'isolement. Ilexiste encore des Pennois qui se retrouventseuls et qui ne savent pas du tout ce qu'il sepasse dans la commune. Mais surtout, jecrois en la valeur des rencontres transgéné-rationnelles. Lorsque je rassemble dans unfoyer les enfants des écoles maternelles etdes seniors, il se passe vraiment quelquechose, et chacun s'enrichit des différences.Ce lien social est à poursuivre et d'ailleursles seniors sont très demandeurs de ces ren-contres avec les nouvelles générations.

>Le Pennois : Vous avez été chargée dereprendre la délégation qui était celle

de Gaby Mathieu qui vient de nous quit-ter. Conservez-vous également votre délé-gation précédente ?Annie Martin : Oui, car nos actions auprèsdes seniors étaient déjà très proches et com-plémentaires. D'ailleurs, je peux dire quec'est Gaby Mathieu qui m'a initiée dans cettedémarche depuis bien longtemps et jusqu'àsa disparition.

Questions à Annie Martin, conseillère municipale déléguée aux seniors,aux anciens combattants, et qui vient d'être élue adjointe déléguée àl'action sociale après le décès de Gaby Mathieu, 9ème adjoint de lamunicipalité.

Jeanne Mathieu et ses trois fillesDanièle, Michelle et Marie-

Claire remercient vivement tousles pennois qui les ont beaucoupaidés par leur gentillesse depuis ledépart de Gaby Mathieu.

>Le décès de Gabriel Mathieu a entraîné l'as-cension automatique du 29ème conseiller de

la liste élue en 2001. L'élu se nomme FabriceVega et ses 30 ans en font le plus jeune desconseillers municipaux pennois. “Je suis né sur lacommune, j'y vis, et je veux servir Les Pennes-Mirabeau de mon mieux” assure Fabrice, par ail-leurs fonctionnaire territorial.

Fabrice Vega, nouveau conseiller municipal

C.A.F.

La Caisse est sur la toile

Il y a desrendez-vous deprintempsqui sont

incontournables. Un peu après lesdéclarations de revenus pourl'imposition du même nom, chacunde nous déclare ses ressources à laCaisse d'Allocations Familiales,laquelle calcule ainsi le montant desallocations à verser.Depuis 2002, il est possibled'effectuer cette déclaration sur lesite www.caf.fr et cette démarcheest simple, rapide, efficace et sûre.Seule exception : s'il y a unchangement dans votre situation,vous devrez utiliser le traditionnelcourrier. Tout ceci est largementexplicité sur le site de la CAF. Onpeut également utiliser ce numérode téléphone 0820 25 25 25 pourconnaître toutes les prestations liéesà nos revenus.



ocieteS

Economie

S ituée au Nord-Ouest de lacommune, en bordure deVitrolles, la zone économi-

que de l'Agavon est un bassind'emploi et d'activités très impor-tant pour les Pennes-Mirabeau.Plus de 70 entreprises des sec-teurs secondaires et tertiaires s'ycôtoient. La diversité des bâti-ments et des activités confère uncachet particulier à cette zone quiétait il y a peu sous la tutelle del'EPAREB (aménagement desrives de l'étang de Berre). “Désormais la zone est dans legiron de la Communautéd'Agglomération du Pays d'Aixqui dispose de la compétence derénovation des zones d'activités,souligne Jean Coupier, premieradjoint au maire”. Un vaste pland'amélioration et de rénovationde la zone d'activités de l'Agavona été signé récemment. Il concer-ne les bandes de roulement, lestrottoirs, les avaloirs, les plu-viaux qui seront mis aux normes,mais également l'éclairage, lesplantations, la sécurisation duroulage, les parkings, les pointsd'accès, etc.Ces travaux commencerontavant la fin de l'année, et s'étale-ront sur tout 2006. Comme ilsseront effectués tranche par tran-che et secteur par secteur, ils nedevraient en rien perturber lesactivités de la zone de l'Agavon.

Lutte contre le feu

C 'est l'évidence : pour lutter effica-cement contre le feu, les pompiersont besoin de beaucoup d'eau. Soit

elle est dans leur camion au départ de lacaserne, soit ils la trouvent sur place, leplus près possible du sinistre. Parfois ilest même nécessaire de recharger surplace la citerne du camion. Sur le terrain,il existe deux moyens de s'approvisionneren eau : le poteau rouge d'incendie, et labouche d'incendie, qui affleure à peine dusol. Elle est matérialisée par un symbolerond blanc cerclé de noir sur le mur àl'aplomb de la bouche. Un arrêté munici-pal de novembre 2003 rappelle qu'il eststrictement interdit de se garer sur unebouche à incendie ou juste devant unpoteau incendie. La négligence de quel-ques conducteurs peut avoir des consé-quences dramatiques, et les risques ne selimitent pas aux périodes d'été.

Poteau ou bouche ?

L'utilisation du poteau et de la bouche estpratiquement la même pour les pompiers.Ils disposent des tuyaux de longueur et dediamètre suffisants pour s'adapter à l'un

L'Agavon,vaste plan derénovation

Mettre l'eau

ou l'autre système. Seules les contraintesde configuration technique peuvent fairepréférer l'implantation de l'un ou l'autre.Les poteaux à incendie sont certes davan-tage utilisés, sauf en agglomération où ilpeut y avoir des contraintes sur les trot-toirs notamment pour le passage despoussettes d'enfant. Certaines entreprisesde la commune disposent de leurs proprespoteaux incendie.“Il y a plus de 400 bouches et poteauxpublics et privés sur la commune” souli-gne Eric Tagliante, personnel du SDIS 13affecté au centre de secours des Pennes-Mirabeau. Il est chargé de les vérifier unà un chaque année, au niveau de la pres-sion, du débit, de l'état général. L'eau,payée par la commune est fournie parl'un des deux réseaux SEM ou CANALDE PROVENCE, sous une pression de 1bar minimum et 17 litres seconde. Il fautsavoir que tous ces poteaux sont parfaite-ment numérotés et identifiés et que leurinstallation revient à plus de 7000 € l'uni-té. En concertation permanente avec leCCFF et les services techniques munici-paux, les sapeurs pompiers gèrent lemaillage de ces implantations.

à la bouche


Installé depuis bien longtemps surla commune, Claude Guerreroest devenu gérant il y a 4 ans du

centre presse-loto-bimbeloterie LeQuotidien, situé au cœur du CentreCommercial Les Sauges. “Nousassurons désormais une activitésupplémentaire : le Point Poste,cela représente 80% des servicesassurés par un véritable bureau dePoste”. Entendez par là essentielle-ment les ventes de timbres, envelop-pes pré-timbrées, envoi et réceptionde lettres et colis. Certainement utileaux riverains, ce Point Poste privéne correspond pas du tout à lademande la municipalité depuis detrès nombreuses années.Renseignements : 04 91 51 78 05.Ouverture en semaine de 6h30 à12h30 et de 16h à 19h ainsi que lesamedi matin.


ocieteS

moins similaires. “Consacrer environdeux heures par mois à ces rendez-vousd'aidants, c'est d'une part trouver un appui,mais en même temps préserver sa propresanté et sa qualité de vie, ajoute ElianePilloni”.

Rencontres à thèmeLes séances seront d'autre part l'occasiond'aborder avec des professionnels des thè-mes proches des préoccupations du public

concerné : aspect juridiquede la protection des per-sonnes, la santé des per-sonnes âgées, la préven-tion des chutes, l'alimenta-tion, les incidences duvieillissement ou encoreles structures d'héberge-ment existantes. En fait lesintervenants pourrontaborder tous les thèmessouhaités par le groupe.Pour aider les aidants quine pourraient se déplacer àces réunions de par lanécessité de leur présenceconstante auprès du mala-de, la CRAM prendrait àsa charge l'attributiond'une garde à domicile. “Je

suis bien entendu en liaison avec les struc-tures municipales concernées par ce pro-jet, dont le CCAS. Pour que je puisseorganiser au mieux ces séances, il estnécessaire que les aidants pennois n'hési-tent pas à me contacter” conclut l'assistan-te sociale. Rencontres, échanges, informa-tions et conseils, sont la matière de l'aideconcrète aux aidants. Mise en place immé-diate sur la commune.

Renseignements : Eliane Pilloni, assistante sociale CRAMSud-Est : 04 42 65 41 68 le lundi seule-ment, ou Annie Tarakdjian, secrétaire :04 42 65 41 67.

Marguerite s'occupe de sa mamande 85 ans, atteinte de la maladied'Alzheimer. “J'habite non loin

d'elle et je viens tous les jours voir si toutva bien et lui donner ses médicaments.J'avoue que par moments c'est difficile àvivre pour moi. Certes, je me dois de lefaire, mais maintenant, elle ne me recon-naît même plus. Je craque un peu, j'auraisparfois besoin de souffler”. CommeMarguerite, ils sont nombreux sur la com-

mune à être des aidants naturels d'unconjoint ou d'un parent âgé malade quel'on peut et veut maintenir à domicile. LaCaisse régionale d'Assurance Maladie duSud-Est s'est penchée sur leurs besoins.“Nous savons que ce soutien apporté à unproche est précieux, mais n'est pas tou-jours facile à assumer sur le long terme,confie Eliane Pilloni, assistante socialechargée de ce dossier. Pour alléger quel-que peu ce poids moral, nous allons orga-niser des rencontres d'aidants sur la com-mune”. Ces rencontres gratuites serontbien entendu l'occasion de s'exprimer,d'échanger des expériences avec des per-sonnes qui vivent des situations plus ou

Apporter présence et aide régulière à un parent malade n'est pastoujours aisé dans la durée. Partager ses préoccupations, écouterles conseils des spécialistes, et tout bonnement “souffler un peu”serait plus qu'utile aux aidants.

SocialFavoriser l'aide

aux aidants naturelsLes Cadeneaux

La Poste :pas debureau, unPoint c'esttout !



ossierD

Dans quelques jours, le 1er maiexactement, se déroulera latraditionnelle Fête du sport desPennes-Mirabeau. Unemanifestation festive, populaireà laquelle les habitants denotre commune participentavec plaisir, eux qui sont defervents sportifs puisqu'unPennois sur cinq est licenciédans un club associatif ! Unchiffre enchanteur qui doitbeaucoup à la volonté que sefixe, depuis plusieurs années, laville des Pennes-Mirabeau defaire de l'accès aux sports, unepriorité.

C inq gymnases, sept stades(dont trois pelousés), dix ter-rains de tennis, six terrains dejeux de boule, deux aires deskate, un vélodrome, une piste

de bicross, une cinquantaine d'associa-tions, vingt-cinq disciplines pratiquées...,le sport est vraiment à l'honneur auxPennes-Mirabeau. D'autant qu'au-delà deces statistiques étourdissantes, de l'inves-tissement des clubs, les animations sporti-ves sont nombreuses et régulières. Ainsi,les CEL (contrats éducatifs locaux) quipermettent aux enfants, au sein même deleurs établissements scolaires, d'appro-cher différentes disciplines sportives pen-dant les périodes périscolaires (entre 12 et14 heures et le soir après 16h30). Demême, des stages multi-activités sontorganisés, pourles 8-14 ans, pendant lesvacances afin de leur permettre de prati-quer de nouveaux sports. Les moins jeu-nes ne sont pas oubliés puisqu'une activi-té de gymnastique à destination des per-sonnes âgées a été mise en place, en colla-boration avec le CCAS. De plus, des équi-pements sportifs de proximité et d'accès

Vive le sport !Vive le sport !


totalement libres, comme le city-stade dela Gavotte, ont été implantés permettant àchacun de pratiquer le sport qu'il veut,quand il veut, comme il veut. Enfin,parmi ces multiples animations, il y a l'in-contournable Fête du sport, le 1er mai,pendant laquelle les associations sporti-ves font découvrir, à un public nombreuxet curieux, leurs activités.

Une volonté farouche

Ce foisonnement autour du sport ne doitrien au hasard. Il est le fruit d'une volontépolitique affichée de permettre l'accès auxactivités sportives au plus grand nombre.“Situer le sport comme un vecteur socialde réussite et affirmer l'idée qu'il est uneécole de la vie résume bien la démarchede la municipalité”, dit-on du côté duService municipal des Sports. La quantitéd'installations sportives est la premièredémonstration de cette engagement. Avec35 équipements dédiés aux sports et mis àla disposition des établissements scolaireset des clubs associatifs, laville des Pennes-Mirabeauest très bien pourvue. Certes,nombre de ces installationsont plus de vingt ans d'exis-tence, mais elles demeurenten bon état, grâce à l'entre-tien soigneux assuré par leséquipes de terrain du Servicedes Sports qui travaillent encollaboration avec lesServices techniques dans lecas de certaines opérationsde maintenance. D'autantque la ville possède des équi-pements complexes à entre-tenir (stades avec des pelou-ses) ou originaux (piste debicross, terrain pour le tam-bourin, grands gymnases...).“Nous ne faisons appel à desentreprises extérieures quepour les entretiens lourds, lesrénovations ou les réhabilita-tions, comme le décompac-tage et le gazonnement desstades”, explique Cathy deBienassis, responsable duService des Sports. Rienn'est facile car l'objectif estd'offrir, au quotidien, deséquipements répondant auxbesoins de pratiques diver-ses sans oublier évidemmentd'assurer la sécurité dessportifs et du public. Surtout

que le changement des normes fédéraleset de sécurité, mais aussi des procéduresest fréquent et contraignant. Il a d'ailleursfallu optimiser la gestion des équipementset développer la formation du personnel.Autant d'évolutions etd'adaptations pourmaintenir un bon niveau qui ont un coûtpuisque la commune a consacré près de12% de son budget aux activités sporti-ves. Un investissement financier à la hau-teur d'une autre ambition pour la ville :demeurer à l'écoute des divers clubs asso-ciatifs afin d'accompagner le sport ama-teur à tous les niveaux... qui peuvent, danscertains cas, se révéler très hauts commerécemment avec l'accès en Nationale 3 del'équipe senior du PMCR (Pennes-Mirabeau Cadeneaux Rugby). Ainsi, laplupart des associations ont des locaux àleur disposition... et ceux qui n'en ont pasencore ne vont pas tarder à en possédercomme les clubs de bicross et de tambou-rin. “J'ai l'audace de croire que les asso-ciations sportives pennoises sont trèssatisfaites. Un signe qui ne trompe pas est

leur investissement de plusen plus régulier dans la viede la commune. En outre,elles savent se mobiliserpour de grandes causescomme récemment à l'occa-sion du Téléthon”, confieCatherine Sempéré, conseil-lère municipale déléguée auxassociations sportives. Bref,tout le monde se “sporte”plutôt bien aux Pennes-Mirabeau. A tel point quemalgré l'immense offre d'ins-tallations sportives, celles-cisont parfois saturées... et leService des Sports doit alorsjongler pour satisfaire lesdemandes. On appelle ça, larançon de la gloire.

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“SITUER LESPORTCOMME UNVECTEURSOCIAL DERÉUSSITE ETAFFIRMERL’IDÉE QU’ILEST UNEÉCOLE DEVIE”

Questions à ...ANDRÉ BALZANO, ADJOINT AUMAIRE DÉLÉGUÉ AUX SPORTS

Comment expliquez-vous lecaractère sportif des Pennes-Mirabeau ?Dans notre ville, la mise en avant desactivités sportives est une bonne habi-tude. Depuis la magistrature deMonsieur Mellan, les équipes munici-pales qui se sont succédées ont tou-jours placé le sport comme une priori-té. Une tradition qui n'a fait que se ren-forcer avec la municipalité actuelle quisoutient le sport de masse, mais égale-ment les sportifs de haut niveau.

Les très jeunes enfants ne man-quent-ils pas cependant de possibili-tés pour découvrir les activités spor-tives ?Je voudrais rappeler tout d'abord l'im-portance des CEL (Contrats éducatifslocaux) qui permettent aux écoliers dedécouvrir dans leurs établissementsscolaires les différents sports pratiquésaux Pennes-Mirabeau. Par ailleurs, nousespérons, dans les années à venir, déve-lopper un lieu spécifique, près duService des Sports, afin de créer unesorte d'Ecole des sports destinée aux 3-5 ans afin qu'ils puissent découvrir desactivités avant de rejoindre les clubsassociatifs.

Le choix d'installer le Service desSports dans de nouveaux locauxn'est certainement pas innocent.C'est vrai que nous recherchions unecertaine visibilité, avec la possibilité derecevoir plus facilement les associa-tions sportives et autres. Les membresdu Service des Sports effectuent untravail remarquable ; en bénéficiant deces nouveaux locaux, ils peuvent enco-re mieux s'organiser.


Quand on y vient, on n'en repart plus !”.Président du Tambourin club des

Pennes-Mirabeau, Philippe Gouneaud n'estplus étonné du succès de cette discipline,pourtant relativement confidentielle auniveau national. On compte seulement 5000 licenciés en France... dont 110 auxPennes-Mirabeau ! Une statistique étonnan-te que l'on doit beaucoup à la familleGouneaud puisque Philippe et son pèreJean ont “apporté” cette discipline auxPennes-Mirabeau à la fin des années 80. “Ils'agit d'un sport ancestral descendant duJeu de Paume qui a traversé les civilisationspour arriver en 1870 à sa forme moderne etprendre le nom de l'instrument utilisé pourfrapper la balle”, explique PhilippeGouneaud. Ce sport pourrait s'apparenter àun tennis collectif puisqu'il oppose deuxéquipes de 5 personnes qui échangent desballes sur un terrain de 80 mètres de long

sur 20 mètres de large. Un jeu qui demandepuissance et précision. Il existe une versionen salle, pratiquée à Jean Roure, où lesdimensions passent à 34 mètres de lon-gueur, 16 mètres de large et deux équipesde trois joueurs. “Quelle que soit la version,ce sport plaît à ceux qui font l'effort de ledécouvrir. La preuve, le nombre d'adhé-rents est en constante progression”. Lesrésultats aussi avec deux équipes enNationale 3. Un esprit de compétition quin'enlève rien à la convivialité. “Quel que soitle niveau, la plupart des matches se terminepar un repas entre adversaires du jour !”.Bref, un club heureux de vivre et qui n'est


Ecoles primairesLe sport sur mesure

Dans le jargon administratif, on lesappelle les “ETAPS”, sigle signifiant

éducateurs territoriaux des activités physi-ques et sportives. Les enfants des écoles desPennes-Mirabeau les considèrent tout sim-plement comme leurs professeurs de sport.En effet, les deux ETAPS pennoises, PascaleBrault et Sophie Duplan, accueillent, tousles jours, au sein des gymnases Jean Roureet Monaco, les élèves des sept écoles pri-maires de la commune pour des cours d'ini-tiation aux sports, individuels et collectifs :gymnastique, handball... “Chaque classe, duCP au CM2, vient ici pour une heure decours hebdomadaire durant un cycle desept semaines”, explique Sophie Duplan.Tout est bien organisé, cadré : Sophie etPascale apportent leur savoir-faire d'éduca-trices sportives diplômées et l'institutricegarde sa fonction. “Nous travaillons en har-monie avec les professeurs des écoles quinous font partde leurs desiderata, leursobjectifs. Nous sommes au service desenseignants et des enfants”. Et le succès estau rendez-vous. Les cycles de cours se mul-tiplient durant l'année scolaire et les éco-liers découvrent des sports qu'ils peuventensuite approfondir au sein des multiplesclubs sportifs de la ville. Une véritable réus-site.

L’objectif est d’of-frir, au quotidien,des équipementsrépondant auxbesoins de parati-ques diverses

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pas prêt d'arrêter de grandir. “La mise à disposi-tion d'un local par la municipalité qui est tou-jours à notre écoute va nous aider à progresser.Nous allons avoir des vestiaires, une salle deréception. C'est super !”, conclut PhilippeGouneaud.

Tambourin clubCompétition et convivialité“


En ce mercredi après-midi, le soleil inonde leStade Emmanuel Vitria, mais la température

est bien basse et le mistral s'est invité. Cependant,il en faut bien plus pour décourager les dizainesde rugbymen en herbe de l'Ecole de rugby duPMCR (Pennes-Mirabeau Cadeneaux Rugby). Quisait parmi eux se trouve peut-être un futur JulienArias qui a débuté ici et est aujourd'hui titulaireau sein de la prestigieuse équipe du StadeFrançais ? Car le PMCR n'a plus à prouver sa qua-lité, ce club est devenu une institution. Créé en1967, il continue de conjuguer ambiance familia-le et haut niveau puisque l'équipe senior joue,cette année, en Nationale 3 avec de fortes chan-ces de maintien. “C'est une récompense pourtout le club, mais aussi un exemple”, souligneEtienne Duffau, le président du PMCR. Les chif-fres parlent : 320 licenciés, 6 équipes (2 en senior,

Chance”, “privilège”, chacun choisira mais per-sonne ne pourra nier le bonheur qu'éprou-

vent les écoliers pennois à se rendre régulièrementau Poney club La Majolaine. Ici, vingt poneys ethuit chevaux attendent, quotidiennement, lesenfants des classes des CE1 à CM2 dans un cadreenchanteur pour des cours gratuits d'initiation auxsports équestres. Avec en prime des éducateurssympas et compétents (Frédérique Pau, AdrienNazarian, Patricia Cafiero et Pascale Brault) qui,durant des cours hebdomadaires d'une heures'étalant sur un trimestre, leur permettent de sefamiliariser avec la pratique équestre. Ainsi, en pré-sence de leur institutrice, les enfants commencentpar approcher les poneys, les nettoyer, les sellerpuis, au fil des semaines, ils apprennent à les teniren mains avant de les monter. Certains ont même

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BicrossLe vélo autrement

Casque sur la tête, genouillères,gants, vélo adapté, Corentin, 9 ans,

parcourt la piste Michel Colucci avecdélectation. Bosse après bosse, il avaleles obstacles et les sensations fortes.Assise sur le côté, sa mère Marie-Françoise, semble sereine. “C'estimpressionnant... mais supportable carles enfants sont très bien encadrés”.Jean-Philippe Delbert et Patrick Pfund,dirigeants de l'association, sont ravisd'entendre ces propos. “Depuis la créa-tion du club en 1987, le succès est aurendez-vous. Nous comptons plus de120 licenciés de niveaux divers, allantdu débutant à l'élite avec un pilote telPablo Gutteriez, 4ème français actuelle-ment”, expliquent-ils. Et il est vrai quelorsqu'on a goûté au bicross, on endevient accro. D'ailleurs, la piste de

bicross ne désemplit pas : quand ellen'est pas occupée par le club les mer-credis et samedis après-midi, elle estassaillie par ceux qui veulent goûter à ceparcours original d'autant que les pistesde bicross sont plutôt rares dans larégion. Le club devrait encore progres-ser puisqu'il va jouir, d'ici quelquessemaines, d'un local flambant neuf.“Nous l'attendons avec impatience.Nous allons enfin pouvoir stocker notrematériel, bénéficier de vestiaires, d'unbureau pour recevoir le public...”.L'avenir semble donc radieux d'autant-que ce sport va devenir encore pluspopulaire puisqu'il sera discipline olym-pique lors des J.O. de Pékin, en 2008.Une sacrée publicité.

1 en junior, 1 en cadet, 1 féminine et 1 en vété-ran) sans oublier cette Ecole pour les 7/15 ans quicompte près de 120 élèves qui suivent l'enseigne-ment de 13 éducateurs qui, comme les cinqautres entraîneurs des plus grands, apportentleurs compétences pour maintenir le PMCR là oùil est arrivé, c'est-à-dire très haut. Une excellencequi a cependant ses contraintes : en 3ème divi-sion, la compétition est gérée par la Fédérationfrançaise de rugby et les déplacements s'effec-tuent sur toute la région PACA jusqu'en Corse,avec en outre des arbitres à rémunérer par lesclubs. “Sincèrement, sans le soutien de la munici-palité, nous n'aurions pas pu disputer ce cham-pionnat. Et c'est bien dommage, car nous jouonsdésormais dans la cour des grands !”, ajoute, avecun large sourire, Etienne Duffau.

le temps d'aborder la marche au pas, voire le trot.“Notre pédagogie est basée sur le jeu et respecteimpérativement les règles de sécurité”, intervientFrédérique Pau. Les enfants sont évidemmentravis, les instits aussi. D'ailleurs, certains prolongentle plaisir en participant aux cours individuels lesmercredis après-midi. Car le Poney club accueilleaussi le public quand les écoles sont fermées. Ainsi,de nombreux adultes et adolescents se retrouventrespectivement les samedis matin et après-midipour profiter d'un centre équestre chaleureux,agréable... et à deux pas de chez eux. Alors, chan-ce ou privilège ?

Pennes-Mirabeau Cadeneaux RugbyQuand l'ovale tourne rond !

Poney clubSuccès garanti

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La rédaction d’un billet le 8 mars, Journée de la Femme, ne s’envisagepas sans adresser un salut fraternel à nos collègues et amies siégeant auConseil Municipal, ainsi qu’à toutes les Pennoises qui font de notre com-mune un lieu privilégié.La Direction Départementale de la Poste ne peut pas en dire autant, elle,dont les responsables nous avaient annoncé comme une question dequelques mois (il s’agissait alors du mois d’octobre 2004), l’installation,aux Cadeneaux, d’une structure postale digne de ce nom. Nous avonsappris il y a quelques semaines l’ouverture d’un simple Point Poste dansun commerce des Cadeneaux qui pourra traiter un minimum de deman-des. Loin de nous l’idée de critiquer l’attitude du commerçant qui a eva-lué les avantages financier et commercial qu’allaient engendrer cettesituation : c’est le sens même de son activité. Mais que doivent penserles habitants du “village” des Cadeneaux , si ce n’est qu’ils sont considé-rés par la Poste comme des citoyens de deuxième ordre et, qu’aux yeuxdes dirigeants de notre service public, ils n’ont pas droit à toutes lesattentions.Notre groupe a mené de nombreuses actions, afin que les propos tenuspar M. Bailly, président de La Poste, soient suivis d’effet sur le terrain .Ce terrain nous vous demandons aujourd’hui de l’occuper pleinementen faisant remonter votre mécontentement en écrivant au groupePennes Avenir en Mairie des Pennes Mirabeau, afin d’exercer une pres-sion telle, que la décision d’implanter un bureau de plein exercice auxCadeneaux ne pourra être repoussée aux calendes grecques.

Il y a peu nous avons tous perdu un ami cher. Sans nous en aver-tir, Gaby nous a laissés. Il va nous manquer ; il nous manque

déjà.

Par habitude, un mouvement politique s'est lancée dans une campagnevisant à faire croire qu'il est le seul à se mobiliser pour que notre com-mune obtienne des équipements publics de l'État ou d'autres organisa-tions. Après le commissariat, la Poste, le nouveau terrain de polémiquede ce mouvement est le lycée. En essayant de récupérer les combatsmenées par la municipalité, ce parti brouille le message des Pennes-Mirabeau pour assurer sa propre existence. Pour tout un chacun, il estlogique qu'une action concertée et menée dans la solidarité de toutesles forces vives d'une commune soit plus forte qu'une cacophonie géné-rée par une logique politicienne. Ce n'est pas le choix fait par ce mou-vement, nous le déplorons. Dans les semaines à venir, nous l'entendronsencore expliquer qu'il est à l'origine de telle ou telle action, que le méri-te de tout ce qui pourra être arraché lui revient, etc... Si cela est plusimportant que ce qui est obtenu ou pas, c'est dommageable.En attendant, la municipalité travaille notamment sur le projet de lycée.Réclamée depuis de nombreuses années, nous aurons en fin de moisune réunion avec le représentant du Conseil Régional où toutes les par-ties prenantes de ce dossier pourront s'exprimer et seront invitées. Nousespérons bien que l'étude menée par la Région dans le plan d'implan-tation des lycées englobera notre commune. C'est le premier pas d'unedémarche qui prendra du temps. Plutôt que de tirer la couverture à soi,les hommes de bonne volonté devraient plutôt conjuguer leurs efforts.

pinionsO

Groupe pour les Pennes-Mirabeau Groupe Pennes Avenir

UMP DROITE NATIONALE

Pour les Pennes-Mirabeau Les Pennes Avenir

Texte non communiqué.Cet emplacement est mis à la disposition des divers groupes politiquesreprésentés au conseil municipal de notre commune. C’est la raisonpour laquelle je m’attache surtout à évoquer des problèmes quiconcernent directement nos concitoyens. Certains sont irrités par mescritiques, et pourtant mes interventions prouvent le grand intérêt queje porte à la gestion communale. Je participe en toute objectivité etavec assiduité à de nombreuses commissions. Enfin, parmi les dizainesde décisions prises tous les mois par la majorité municipale, et portéesà ma connaissance, mes critiques ne portent que sur quelques-unes. Ilne faut pas crier au loup trop vite. Etant donc désireux de coller à laréalité de la gestion quotidienne de notre commune et compte tenu dunombre restreint de spectateurs assistant aux divers conseils, je faisrégulièrement référence à leurs délibérations. Prenons par exemple leconseil du 17/02/05. Liste des décisions : celle-ci en comportait 3 dont2 concernant la désignation d’un avocat. Là aussi, c’est rituel… Il estintéressant de noter qu’une des affaires consistait en un référé experti-se pour l’Arlésienne : la piscine du Jas De Rhodes. Le feuilleton conti-nue. Le maire s’était pourtant engagé pendant un précédent conseil àtrouver un arrangement amiable pour que cette affaire voie enfin unaboutissement que tout le monde attend avec impatience : l’ouvertu-re de cette piscine au public. Faudra t il attendre encore quelques…années ? Une fois de plus le maire n’a pas tenu un de ses engagementspublics. Il a quand même admis que dans cette affaire, la mairie avaitcommis des erreurs. Certains élus de la majorité se sentent visés. Suivezmon regard…Tous ces points sont longuement développés surmon site Internet. J’ai changé d’adresse : composer mainte-nant : www.maignan.info

Michel Maignan


Lyonel Joubeaux


L'école municipale de musique organise le vendredi 29 avril un grand concert de musi-que traditionnelle cubaine à 20h45 dans la salle des musiques actuelles (Jas Rod).L'événement est exceptionnel à plus d'un titre. Tout d'abord, il y aura plus de 100 cho-ristes sur scène, accompagnés par un orchestre de 6 musiciens. Ils interpréteront destitres du repertoire original cubain, sous la direction générale de Jean Namias. Les cho-rales en présence seront LIBRE VOCE, de Cabriès, dirigée par Joêl Davin, PELI-CHANTE, de Pélissanne, et A PIACERE d'Eguilles, toutes deux dirigées par PatrickBion. L'orchestre SONORO est placé sous la direction de Jean Namias, lui même auxpercussions. Renseignements Ecole de Musique : 04 42 02 68 40.

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CONCOURS DES VILLES ET VILLAGESFLEURISComme tous les ans, le Comité Départementaldu Tourisme organise ce concours réservé auxcollectivités, particuliers, commerces, entrepri-ses, dans les catégories suivantes : balcons, ter-rasses, fenêtres, murs, jardins, le décor devantêtre visible de la rue.Les Lauréats sont récompensés par un prixdépartemental avec possibilité de sélectionrégionale, et nationale.Le Jury officiel visite les communes participantesen juin, la remise des prix ayant lieu en fin d’an-née à l’Hôtel de Région. Renseignements au Syndicat d’Initiative.

FOIRE AUX PLANTESPremière foire aux plantes le 23 Avril 2005, squa-re 1962 (face parking Tino Rossi) de 9h00 à18h00.Entrée libre.

VIDE GRENIERVotre tri est fait, prêt à vendre votre vélo, vosCD, vos jeux vidéo, articles de puériculture etautres… inscrivez vous immédiatement, et ren-dez vous le 28 Mai parking Tino Rossi.Exclusivement réservé aux habitants de laCommune munis d’un justificatif de domicile etcarte d’Identité. La participation est de 10 €. Lesemplacement sont limités à 60.

BILLETTERIENouveauté : nous devenons un point de ventepour MAGICLAND à tarifs réduits.Adultes : 11 €Enfants : 8 €, gratuit pour les moins d’1 mètre.

Renseignements :35 bis, avenue Victor HugoTel : 04 42 02 55 14 - Fax : 04 42 02 94 66Site web : syndicatdinitiative.cjb.netMail : [email protected]

Syndicat d’InitiativeSyndicat d’Initiative

Jas Rod : vibrations cubaines

La 6ème édition du festivalPROG'SUD est annoncée

pour les 5, 6 ,7 maiprochains à la salle

Jas'Rod. Ce festival de rockprogressif, convivial autant

qu'éclectique est uniquedans le Sud Est. Il devient

au fil des éditions unrendez-vous incontournable

dans le circuit progressifmondial. Sont programmés

à ce jour : Caravan(Angleterre), Tryo (Chili),

Cabezas De Cera(Mexique), Ken’s Novel

(Belgique), Mats &Morgan (Suède), Biocide et

Eclat (France)...L'association ProgSud

Organisation a concocté unsubtil équilibre de noms

connus et de talentsnouveaux à découvrir. Une

guitare électrique LAG –Roxane RX200 est à

gagner ! Renseignementsau 04 91 63 16 43 et sur le

sitewww.progsud2005.fr.fm

FestivalInternationalde RockProgressif

Vous avez entre 17 et 24 ans, on vous dit jolie etagréable. Pourquoi ne pas tenter votre chance dedevenir un soir et pour toute une année la MissPennes Mirabeau ? La Jeunesse Sportive des PennesMirabeau organise la grande soirée des Miss le 23avril à la salle Tino Rossi à partir de 21h. Les futurescandidates doivent contacter dès à présent Karine au06 23 88 81 69. Pour se renseigner sur cette grandesoirée d'élection, contactez sans tarder le secrétariatde la JSPM au 04 91 65 81 90.

Ce soir je serai la plus belle...

Thérésine Delys : lauréate 2004


ATTENTION !Le spectacle C’est pas pour direde la Cie Le Temps de Dire prévuinitialement à la Capelane les 08 et09 avril est reporté au vendredi 17juin 2005 dans ce même lieu.Paul Fructus nous parlera de lacinquantaine, pour se demander sice n’est pas le début de la mise enquarantaine… Jeux de mots, jeux demaux, je de mâle du pays de

A VENIR :Les 20 et 21 mai, La guerre desboutons, la nouvelle création deLa Cie Attention fragile (Cf. Le

Tour Complet du cœur).Unspectacle original pour toute la

famille, composé d’une fanfare declowns, parce que chez le clownl’innocence côtoie la cruauté, unpeu comme dans cette histoire,

en réalité trop grave pour ne pasêtre traitée avec légèreté.

ThomasSnout

capture lesnuits à mainnue : C’est unechose difficileet salissante carl’obscurité estnoire et laissedes traces. C’est aussi unechose dangereuse parce queles peurs habitent la nuit. Mais

Y’A UN LAPIN DANS LA LUNECie Vélo Théâtre– théâtre de 4 à 7 ans

MARDI 26 AVRIL À 19HET MERCREDI 27 À 15H

Au Théâtre FontblancheJeune Public de 4 à 7 ansTarif B Adulte 8 €/Cart’Opèn 6 €Enfant 5 €/Cart’Opèn 3 €

Thomas Snout a collectionnéau moins 3 845 nuits, petiteset grandes, avec ou sans lune,des nuits à lui, celle des autres,ainsi que quelques exemplairesqu’on lui a prêtés.Thomas Snout vous invite dansson atelier pour vous montrercette fabuleuse collection.

Un spectacle délicieux sur lapeur du noir et les petitesangoisses nocturnes…

l’enfance: “C’est pas pour dire,j’aurais dû apprendre à lacer meschaussures. Je me suis pencherpour lacer mes chaussures avantd’aller à l’école, j’ai refait les gansesun nombre incalculable de fois etquand je me suis relevé, je me suisvu dans la glace: j’avais cinquanteans. J’aurais dû garder mespantoufles !”.

Fin mai et début juin, commeà leur habitude en fin d’année,les ateliers théâtre du CDCmonteront sur scène au Mini-théâtre des Pennes-mirabeau. 3spectacles pour 3 ateliersannuels : 2 adultes et unadolescent dirigés par CarolineGiacalone de la Cie Bleu MarineSpectacle.



Documents

pennois avril.qxd 19/04/2005 09:59 Page 1 Pennois · jeudi matin de 9h à 12h au 04 91 05 54 16. Centre Social 93 avenue François Mitterrand La Gavotte.....04 91 51 08 60 ... 04