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Pierre-Louis DRUAIS
PU-MG
Président du CNGE
1 Ensemble, améliorons la qualité en santé
1958- 2008. Un chemin de 50 ans
1958, Loi Debré: création des Centres Hospitaliers Universitaires
– Dans une logique de promotion de l’excellence dans le cadre universitaire
– Oubliant le champ ambulatoire et sans vision politique pour faire évoluer cette organisation et intégrer les soins primaires et la médecine générale
La Médecine Générale devient universitaire
1. Création du DES en 2004
2. Début 2007, la discipline intègre le CNU, la filière est virtuelle
3. Fin 2007: premiers chefs de clinique de MG « associés » en ambulatoire
4. La nomination des chefs de clinique des universités en 2008…
5. La nomination des 1er titulaires universitaires en Sept. 2009
La filière universitaire: Soins, Enseignement, Recherche.
1. Soins en Médecine Générale ambulatoire
2. Enseignement contextualisé pour former des professionnels de haut niveau
3. Recherche en médecine généraleProduire des données en soins primaires utiles au système de santé
4. Filière universitaire de Médecine GénéraleCCA MG, MCA et PA, et PU MG Titulaires, sans oublier les ECA maîtres de stage
Une discipline scientifique, une discipline d’exercice
1. Soins– Un cadre politique, la loi HPST
L’article 14 identifie la fonction de premier recours.
– Un référentiel métier compétence, analyse des évolutions de la pratique
2. Formation, enseignement– Formation initiale, DES depuis 2004– Formation continue et évaluation vers le DPC
3. Recherche– Filière universitaire– Sociétés scientifiques regroupées: RSSMG
Une profession concernée
1. Dans tous ses champs d’implication– La profession,– Les sociétés scientifiques– Le secteur académique
2. Un Collège de la Médecine Générale en cours de création
3. Une réflexion politique, scientifique et une démarche d’évaluation
4. Une coopération à l’édification des soins primaires dans toutes ses missions
Titre de la table ronde6
Des éléments structurants de la discipline
1. Des ressources– Revues et publications
2. Des textes– Définition européenne WONCA 2002
– Référentiel métier médecine générale– Ecritures de recommandations
3. Des travaux collaboratifs– HAS, INCA, INPES…
4. Des lieux d’échanges et de réflexions– Congrès de la Médecine Générale France– Congrès des sociétés scientifiques
Le rôle et la place de la MG dans le système de soins
1. Répondre aux besoins et demandes des patients de manière efficace et efficiente
– multiplicité des plaintes, – démarche probabiliste, contexte de proximité– Maladies aïgues et chroniques– ressources extérieures limitées
2. Prendre une décision immédiate
3. Répondre aux besoins de santé des populations
– Education, prévention, dépistage
La Spécialité MEDECINE GENERALE : 74 % de l'ensemble des diagnostics posés.
ANGIO-PHLEBO 0,6%
CARDIOLOGUE
DERMATOLOGUE
ENDOCRINOLOGUE 0,5 %
GASTRO-ENTERO 1 %
GENERALISTE
GYNECOLOGUE
NEURO-PSYCHIATRE
O.R.L. 1,3 %
OPHTALMOLOGUE
PEDIATRE
PNEUMOLOGUE 0,5 %
RHUMATOLOGUE 1,3 %
Généralistes 73,8 %
Ophtalmo 4,8%
Psy 4,1%
Gynéco 3,9%
Pédiatrie 2,8%Dermato 2,7 %
Cardio 2,6 %
source EPPM CMA/NOV/05
Qui soigne les pathologies chroniques endocriniennes ?
3%
4%
93%
GENERALISTEAUTRES SPECIALITESENDOCRINOLOGUE
source EPPM CMA/NOV/05
Qui soigne les pathologies chroniques psychiques ?
57%
42%
1%
GENERALISTEAUTRES SPECIALITESNEURO-PSYCHIATRE
source EPPM CMA/NOV/05
Qui soigne les pathologies chroniques rhumatologiques ?
2%
12%
86% GENERALISTEAUTRES SPECIALITESRHUMATOLOGUE
source EPPM CMA/NOV/05
Qui soigne les pathologies chroniques cardio-vasculaires ?
9,2%5,7%
85,1%
GENERALISTEAUTRES SPECIALITESCARDIOLOGUE
source EPPM CMA/NOV/05
Merci de votre écoute,
Des questions?
Titre de la table ronde14