PLAN LUMIERE DU QUARTIER DES CARMES A ... - pavillon-namur.be · Dossier Mise en lumière du quartier des Carmes à Namur- Ph II p /28 1.2 La configuration urbanistique et architecturale

PLAN LUMIERE DU QUARTIER DES CARMES A NAMUR

« Des gouttes de lumière dans un ciel Art Déco»

Rue de la Boucherie, 74000 Liège0032 (0)4 285 99 65WWW.radiance35.eu

ores.net

PHASE II

décembre 2010

Dossier Mise en lumière du quartier des Carmes à Namur- Ph II p /28

TABLE DES MATIERES

EditoArnaud Gavroy, Premier Echevin en charge de l’Urbanisme

1. ETAT DES LIEUX 1.1 L’histoire

1.2 La configuration urbanistique et architecturaleLe profil des ruesL’architectureLes détails

1.3 La situation existante de l’éclairageL’éclairage publicLes vitrines

2. PROPOSITIONS2.1 Concept général

2.2 Infographies schématiques

2.3 Localisation de l’éclairage scénographique

2.4 Liste des immmeubles concernés par l’éclairage scénographique

2.5 La venelle de la Grande-Forge : un projet spécifique

3. PHASAGEPhase 1 : Eclairage public, rue des Croisiers Eclairage scénographique, angles rue des Carmes et rue des Croisiers

Phase 2 :Eclairage public, rue des Carmes et rue Saint-Joseph Eclairage scénographique, rue des Carmes et rue Saint-Joseph

Phase 2 ou 3 :Eclairage public, rue de l’Inquiétude

Préambule

Ce rapport constitue la phase II du Plan Lumière du quartier des Carmes à Namur. Il détaille l’idée du projet et entre dans la phase concrète de mise en oeuvre, qui se fait en partenariat avec ORES.

Il permet également à chaque propriétaire concerné de se situer dans l’ensemble du projet de mise en lumière.

Le dossier rappelle, d’une part, la situation existante (au travers de l’histoire du lieu, sa configuration urbanistique et architecturale, et de l’analyse de l’éclairage actuel) et d’autre part, l’explication du projet lumière.

Il comprend également des explications plus concrètes, comme la présentation du ma-tériel d’éclairage choisi, son implantation et le calendrier de mise en oeuvre. Afin de valider la position des appareils, des essais lumière ont déjà été effectués sur certains bâtiments cet été (phase 1), et d’autres vont se faire courant 2011.

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«Des gouttes de lumière dans un ciel Art Déco»

Véritable porte d’entrée de la ville depuis la gare, le quartier Art Déco des Carmes mérite d’être remis en valeur. La ville de Namur contribuera bientôt à sa renaissance par une mise en lumière de son exceptionnel patrimoine.

Créé dans l’entre-deux-guerres pour répondre à une pénurie de logements, ce quartier offrait un nouveau lien entre la gare et les quartiers anciens. Tout en évitant la monotonie, les architectes namurois ont réussi à lui don-ner une grande cohérence. Ouvertes entre 1928 et 1931, les rues ont un tracé sinueux et les immeubles abritent une mixité de fonctions complémen-taires : appartements, commerces, banque, cinéma et passages couverts. Les formes architecturales témoignent elles aussi d’une variété étonnante : certaines façades déploient toute la richesse du style Art Déco, d’autres au contraire jouent la carte du Modernisme avec des volumes très épurés.

Outre son intérêt patrimonial et touristique, le quartier des Carmes contri-bue au dynamisme du centre-ville par ses commerces. Il convient aussi de soutenir cette activité économique en rendant l’espace public plus agréable dès la tombée de la nuit. Enfin, le quartier compte de nombreux logements, idéalement situés et qui participent au retour de l’habitat en ville.

L’éclairage public sera entièrement revu et de nombreux détails architec-turaux bénéficieront d’une mise en lumière spécifique, en accord avec les propriétaires des façades concernées. Un « dimming » permettra de varier l’intensité lumineuse au gré des besoins, tout en assurant une gestion par-cimonieuse de l’énergie. Pour mener à bien ce projet, la Ville a fait appel aux services d’ORES, qui s’est adjoint l’expertise de la conceptrice-lumière Isabelle Corten, auteur du plan lumière de la ville de Liège et de la mise en lumière de la Grand-Place de Bruxelles.

Je remercie les habitants, les propriétaires et les commerçants du quartier pour leur soutien et leurs nombreux encouragements.

Arnaud GavroyPremier Echevin en charge de l’Urbanisme

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1. ETAT DES LIEUX

1.1 L’histoireLa compréhension de l’histoire du lieu et de ses construc-tions est importante; cette histoire pourra ensuite être racontée aux passants, au travers de la lumière.

Les grandes phases de construction A l’aube du XXe siècle, l’ îlot bordé par les rues Saint-Jacques et de Bruxelles, de Fer et Godefroid ainsi que par la place de la Station, contenait encore d’importantes surfaces de jardins liés à d’anciens couvents, d’ailleurs en grande partie conservés voire amplifiés pour leurs nouvelles affectations.

1627 : Fondation du Couvent des Carmes

1835 : Fondation des Hospices civils de Namur côté rue du Fer dans les restes du couvent des Carmes et occu-pant également les anciens bâtiments et l’église (Saint-Jacques) des Frères de la Miséricorde.

1840 : Fondation de l’Ecole de Bienfaisance (pénitencier des femmes puis pour jeunes délinquants), par l’Etat. Après 14-18, période de reconstruction importante :- relèvement et restructuration du quartier de la Grand-Place- élargissement du pont de Louvain- percement de la rue Golenvaux avec construction du pont de France

1928 : création d’un nouveau quartier de commerces, de bureaux d’affaires et d’habitations entre la gare et le vieux centre : l’actuel Quartier des Carmes. Le tracé des artères est confié à Adolphe Ledoux.

L’Ecole de Bienfaisance est entièrement démolie, à l’ex-ception d’une partie d’aile de la seconde moitié du XIXe siècle qui sera traversée par le passage de la Gare.

Les trois axes : histoire, urbanisme et architectureLa demande de classement comme ensemble architec-tural définit trois axes de motivation pour faire de ce quartier un quartier protégé.

« Au plan historique : il marque une étape importante du processus d’urbanisation de Namur, dans une large zone intra-muros à l’époque figée et refermée dans son affectation en institutions caritative et pénitentiaire ; après avoir été, pendant l’ancien régime « soustraite » à la vie publique en tant que propriété de diverses commu-nautés religieuses (que Joseph II jugeait « parfaitement inutiles à la religion, à l’Etat et au prochain »).

Ce phénomène de ré-appropriation aussi tardive (l’entre-deux-guerres) et aussi ample en centre ancien est relativement rare en Wallonie.L’opération témoigne clairement de la volonté des namurois de sortir du marasme des années 20-30, au niveau du logement (taudificativon, pénurie) et du chômage. Une nouvelle attrac-tivité commerciale, dans un environnement résolument mo-derne, pouvait engendrer aussi une renaissance du tourisme de la «Porte des Ardennes».

Au plan urbanistique : il est une belle réussite d’intégra-tion souple et harmonieuse dans une vieille trame urbaine. A l’inverse des théories d’un Le Corbusier, par exemple, tout tracé orthogonal a été rejeté au profit de douces sinuosités ménageant d’intéressantes perspectives, dans une volonté af-firmée de mixité des fonctions : commerces de détail ou de « grande surface », espaces-galeries, lieu récréatif (Caméo), garage automobile, bureaux (banque), cabinets médicaux, ap-partements et habitations unifamiliales.Une vraie ville moderne prolongeant, et entrainant, une ville ancienne.

Au plan architectural : bâti en une dizaine d’années seule-ment, il constitue un ensemble d’une homogénéité stylistique rare, c’est un florilège de réalisations Art Déco parfois exubé-rantes, parfois au contraire teintées de modernisme, concur-rencées ça et là par quelques velléités passéistes.Homogénéité certes, mais dans une expression bigarrée : va-riété de couleurs du matériau prédominant, la brique ; spirales, ondulations ou géométrie des décors de pierre reconstituée, des menuiseries, des ferronneries et des vitraux.Homogénéité aussi dans l’animation des reliefs : bow-windows de toutes formes, batteries de lucarnes maçonnées prolon-geant les façades, porches de vitrines ou des entrées carros-sables.Un étonnant chapelet de vitrines Art Déco ou modernistes s’égrène encore au fil des rues, précieux témoins d’un nouvel art de la séduction commerciale.Enfin, on notera l’intéressante démarche que constitue la réin-sertion, dans ce contexte urbain moderne, des vestiges du couvent des Carmes : dégagé par une enfilade de boutiques basses et complété d’une aile mimétique, ce dernier, dominé par les toitures de son ancienne église, apparaît comme un point d’ancrage du nouveau quartier dans le Namur historique, un quartier décidément bien nommé… »

in « Le quartier des Carmes ou, selon l’appellation ancienne, le Quartier de l’Ecole de Bienfaisance» d’Olivier Berckmans, 2004.

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1.2 La configuration urbanistique et architecturale

Le profil des ruesLes immeubles bordant les rues du quartier des Carmes ont un gabarit variant de H+2 à H+4+T, sauf pour le tronçon de la rue des Carmes au niveau de la Banque Fortis-Paribas.

Vu la largeur réduite de la rue (de façade à façade), la présence du bâti est assez forte.

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L’architectureL’Art Déco est le style qui prévaut même si quelques exemples d’architecture éclec-tique sont présents, ou encore les prémices du modernisme (architecture cubique ou style paquebot).L’ensemble est homogène, et les matériaux aussi (briques dans différentes teintes et pierre reconstituée).«Une grande animation est apportée aussi par la prolifération de bow-windows, rectangulaires, à pans coupés ou arrondis, souvent à plusieurs niveaux et prolon-gés dans les brisis de toitures traditionnelles (concession à l’environnement histo-rique ?)»1

1. in « Le quartier des Carmes ou, selon l’appellation ancienne, le Quartier de l’Ecole de Bienfai-sance» d’Olivier Berckmans, 2004.

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Les détails«L’esthétique Art Déco s’exprime à profusion dans les registres de pierre recons-tituée, plus volontiers blanche que bleue, dans les ferronneries des portes vitrées et des balcons ainsi que dans les boiseries des corniches : ce sont vases, paniers, fleurs, feuillages et fontaines stylisées ou motifs géométriques»1

Le plan de la page suivante, également réalisé par O.Berckmans, illustre la classi-fication des qualités architecturales des bâtiments, et ce en 4 catégories :1. Immeuble digne d’un classement comme monument2. Immeuble de valeur3. Immeuble de valeur moyenne4. Immeuble de valeur médiocre

1. in « Le quartier des Carmes ou, selon l’appellation ancienne, le Quartier de l’Ecole de Bienfai-sance» d’Olivier Berckmans, 2004.

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1.3 La situation existante de l’éclairage

Les relevés et l’analyse sont réalisés sur un périmètre suffisamment large, allant de la place de la Station, jusqu’à la rue Saint-Jacques et de la rue Godefroid à la rue du Fer.

L’éclairage publicExcepté la rue de l’Inquiétude, le reste du quartier est éclairé par des luminaires en consoles équipés de lampes jaunes au sodium haute pression (NaHP), placés à +/- 10m de hauteur et noyant le quartier sous une lumière trop forte peu ave-nant et qui, du reste, aplatit toutes les nuances de l’architecture...

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Les vitrines éclairéesDe nombreuses vitrines sont éclairées la nuit, jusqu’au moins 22h30, donnant au quartier une ambiance plus conviviale.L’éclairage est, dans la majorité des cas, de qualité.

Le plan en page suivante reprend la localisa-tion :- des vitrines allumées- des vitrines éteintes- des établissements horeca ouverts

Les visites pour le relevé ont été effectuées à 22h45.

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1.3 La situation existante de l’éclairage



2. PROPOSITIONS

2.1 Concept général

L’objectif du Plan Lumière du quartier des Carmes est de mettre en valeur l’architecture du quartier.Il propose une vision globale tant en matière d’éclairage public que d’il-lumination. C’est l’image de la ville en mouvement et vue au travers du regard de ses visiteurs qui doit être prise en compte ; ce sont donc les perspectives qui doivent être travaillées et ponctuées de mises en lumière complètes ou signalétiques.Comment ? En éclairant les rues tout en attirant l’attention sur la ri-chesse de l’architecture Art Déco de ce quartier, par petites touches... des gouttes de lumière dans un ciel Art Déco.

1. Eclairage scénographique de l’architecture : L’idée est d’accompagner le passage ou la promenade au travers de ce quartier en y racontant un mouvement de l’histoire de l’architecture d’entre deux guerres : l’Art Déco.

Plutôt que de travailler sur une mise en lumière globale des façades (qui poserait de toute façon problème vu l’usage d’habitation des étages), nous proposons de travailler par accents, montrant à voir aux usa-gers des détails dont ils n’avaient pas forcément conscience et qui, après, de jour comme de nuit, sont perçus autrement. La promenade est donc scandée de ces « petits détails lumineux » qui invitent à lever les yeux.

Ces détails sont :- des motifs sculptés - des allèges avec bas-reliefs.

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Schémas du rythme des mises en lumière scénographiques

rue des Carmes

rue des Carmes 1-75

rue des Carmes 2-38

rue des Carmes 38-64

rue des Croisiers 1-27





Schémas du rythme des mises en lumière scénographiques



rue Saint-Joseph 2-30

rue Saint-Joseph 1-13

Le choix de ces détails s’est opéré en tant compte de la carte des «relevés de fa-çades remarquables» (p8), et de la catégo-rie «immeuble digne d’un classement comme monument», mais aussi de l’effet lumineux à produire sur l’ensemble du quartier (variété de la séquence, rythme,…).

Le tout en étroite concertation avec Olivier Berckmans de la DGO4 du Service Public de Wallonie.

Les «motifs» illuminés scandent la rue dans un rythme relativement régulier (voir sché-mas page précédente et ci-contre)


Les techniques proposées, sont soit des mini projecteurs led’s ou des rails de le’ds (illustrations ci-contre), collés ou fixés sur les façades.

2. Noir et blanc ><Couleurs Le choix se porte ici délibérément sur la palette des blancs du chaud au froid pour la mise en valeurs des « détails architecturaux » et blanc chaud pour l’éclairage public.

3. Ambiances douces et clairs-obscursL’idée du Plan Lumière du quartier des Carmes est de scander la marche du passant de découvertes successives, là un élément sculpté sur façade, là une vitrine, là un cinéma…le tout dans une ambiance feutrée (des ni-veaux d’éclairement relativement bas).

4. Eclairage public Nous proposons de suivre les recommandations du Schéma Directeur d’Aménagement Lumière de 1998, c’est-à-dire de travailler en lumière blanche et à des hauteurs moindres (la coupe ci-contre illustre la dé-marche).Concrètement, cela signifie utiliser des sources iodures métalliques (blanc chaud) de faibles puissances (70 W), accrochées sur les façades (comme actuellement) et à des hauteurs de 6-7m, de façon à créer un éclairage intime fait de « pas de lumière ».

5. Les vitrines : de nombreuses vitrines sont actuellement allumées. Nous proposons de les laisser allumées jusqu’à 00h00, voire d’étendre cela aux autres vitrines.

Fiche technique du produitdesign iGuzzini - Devine

Juillet 2009

Delphi Optique II - Petit système optique 150 W HST/HIT (CDO-TT)

Référence du produit:

7641

Description:

Corps éclairant carré réalisé en aluminium, traitement époxy peau d’orange, abritant le groupe optique et le câblage avec bras de raccordement au mât en aluminium extrudé, qui utilise des tirants en acier inox de 14 mm de diamètre. L’assemblage platine-diffuseur et les parties du câblage contenues dans la calotte, sont protégés par un châssis articulé sur la structure, muni de joint en caoutchouc et de verre trempé collé au néoprène. Optiques en une seule pièce, réalisées par hydromoulage, en aluminium extra-pur 99,8% (de 2mm d’épaisseur), soumises à un traitement de brillantage (alzak). Elles sont fixées à la structure par deux vis en acier inox. Toutes les vis utilisées sont en acier inox.

Installation:

Sur mât enterré ou sur mât avec plaque au moyen d’un bras. Au mur au moyen d’un bras orientable ou fixe.

Dimensions:

405x405mm H 179mm

couleur

Noir (04) ou Gris (15)

Poids

10,1 Kg

Source lumineuse:

Type: HIT (CDO-TT) Douille: E40

Puissance: 150 Watt Voltage: /

Flux lumineux: 13500 Lm Efficacité: 92 Lm/W

Température de couleur: 2800 K IRC: 85 Ra

Durée: 6000 hr

Câblage

Câblage pour lampe à vapeurs de sodium appliqué sur une plaque en acier logée dans le groupe optique.

Caractéristiques techniques:

Degré de protection: IP 66 Conforme a EN605981 et aux règlements relatives

Classe d'isolation: Classe II Conforme a EN605981 et aux règlements relatives

Résistance: 960°C

Labels de conformité:

Marque européenne unifiée IMQ

IMQ - Performance IK08

Marque F

Remarques:

/

Imax=515 cd/Klm

Nous proposons de remplacer les appareils de type autoroutier actuels par des luminaires contemporains, mais simples, afin qu’ils se fondent dans l’architec-ture Art Déco : le modèle proposé est le «Delphi», dans sa dernière version «Cutt-off» d’I Guzzini (ou similaire). L’idée est de produire une bonne lumière de nuit mais qu’ils soient presque invisibles de jour. La mise en lumière doit se centrer sur les détails architectu-raux, pas sur l’éclairage public.

Les appareils de l’éclairage scénogra-phique sont des mini-projecteurs et des rails de led’s sur mesure

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Modèle proposé pour l’éclairage public


rue des Carmes / côté numéros impairs (1)

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Les numéros de police sur les infographies et sur la liste correspondent à ceux du plan cadastral

2. PROPOSITIONS



rue des Carmes / côté numéros impairs (2)

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2. PROPOSITIONS



rue des Carmes / côté numéros pairs (1)

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2. PROPOSITIONS



rue des Carmes / côté numéros pairs (2)

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2. PROPOSITIONS



rue des Croisiers / côté numéros impairs (1)

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2. PROPOSITIONS



rue des Croisiers / côté numéros impairs (2)

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2. PROPOSITIONS



rue des Croisiers / côté numéros pairs (1)

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2. PROPOSITIONS



rue des Croisiers / côté numéros pairs (2)

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2. PROPOSITIONS



rue Saint-Joseph / côté numéros pairs

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2. PROPOSITIONS



rue Saint-Joseph/ côté numéros impairs

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2. PROPOSITIONS



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2.3 Localisation de l’éclairage scénographique


2.4 Liste des immeubles concernés par l’éclairage scénographique


La mise en lumière de la venelle de la Grande Forge.Outre les luminaires d’éclairage public en console diffusant une lumière blanche et douce (comme pour tout le reste du quartier), des projecteurs placés à la sortie de la galerie Saint-Joseph illumi-nent les deux arbres présents.Le jeu d’ombres (qui peut être colorée) des arbres projetées sur le sol et sur la façade de l’école anime le lieu.

2.5 La venelle de la Grande Forge : un projet spécifique

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3. PHASAGE

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PLAN LUMIERE DU QUARTIER DES CARMES A ... - pavillon-namur.be · Dossier Mise en lumière du quartier des Carmes à Namur- Ph II p /28 1.2 La configuration urbanistique et architecturale