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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR1 /60
ARESAcadémie de Recherche et d’Enseignement supérieur
ARES - Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur Rue Royale 180 - 1000 Bruxelles Belgique www.ares-ac.be
ENSEMBLE PLAN OPÉRATIONNEL
Julien NICAISE, Administrateur
Novembre 2014
Julien NICAISE, ENSEMBLE : Plan opérationnel, Bruxelles : Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur - ARES
Éditeur responsable :Julien NICAISE
Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur - ARESRue Royale 180B-1000 BruxellesBelgiqueares-ac.be
ISBN 978-2-930819-01-3Dépôt légal D/2015/13.532/1
Achevé d’imprimer en avril 2015© ARES, avril 2015
ARESAcadémie de Recherche et d’Enseignement supérieur
ARES - Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur Rue Royale 180 - 1000 Bruxelles Belgique www.ares-ac.be
ENSEMBLE PLAN OPÉRATIONNEL
Julien NICAISE, Administrateur
Novembre 2014
SOMMAIRE
1 INTRODUCTION .................................................................................................. 7
2 DÉMARCHE D’ÉLABORATION ............................................................................ 10
2.1 Le prescrit légal ................................................................................................. 10
2.2 La réforme du paysage de l’enseignement supérieur, les entités réunies au sein de l’ARES et la mise en place de l’OIP ................................................................. 10
2.3 La participation des collaborateurs de l’ARES ....................................................... 12
2.4 La participation des parties prenantes et des partenaires privilégiés ...................... 13
2.5 Les contextes politico-institutionnel et socio-économique de la mi-2014 ................ 14 2.5.1 L’implémentation de la réforme du paysage de l’enseignement supérieur ................................................ 14 2.5.2 Le nécessaire refinancement de l’enseignement supérieur ...................................................................... 15 2.5.3 La coopération académique au développement ...................................................................................... 16
2.6 Les évolutions intervenues au sein de la composition du Conseil d’administration de l’ARES ....................................................................................... 18
2.7 Les moyens humains dévolus à l’ARES ................................................................ 19
3 LE PLAN OPÉRATIONNEL .................................................................................. 21
AXE 1 - Assurer et développer la place de chaque collaborateur au sein de l’ARES ............................................................................................................... 23
AXE 2 - Faire de l’ARES une véritable organisation plutôt qu’une addition de structures et de services ................................................................................. 31
AXE 3 - Faire de l’ARES un véritable partenaire des institutions d’enseignement supérieur ................................................................................... 41
AXE 4 - Développer et optimaliser les relations de l’ARES avec ses partenaires privilégiés ......................................................................................... 48
AXE 5 - Être acteur du développement de Bruxelles, de la Wallonie et de la Belgique dans son ensemble ........................................................................... 54
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SIGLES ET ACRONYMES
ACNG : Acteurs de la Coopération non gouvernementale (Belgique)
Actiris : Office régional bruxellois de l'Emploi
ADISIF : Association des Directions des Instituts supérieurs industriels francophones
AEF : Agence francophone pour l’Éducation et la Formation tout au long de la Vie
AEQES : Agence pour l’Évaluation de la Qualité de l’Enseignement supérieur
AGE : Administration générale de l’Enseignement, MFWB
AGI : Administration générale de l’Infrastructure, MFWB
ARES : Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur
BEI : Banque européenne d’Investissement
CA : Conseil d’administration
CAPAES : Certificat d'aptitude pédagogique approprié à l'enseignement supérieur
CAR : Commission de l’Aide à la réussite, ARES
CBS : Commission des Bibliothèques et Services académiques collectifs, ARES
CCD : Commission de la Coopération au Développement, ARES
CDD : Commission du Développement durable, ARES
CEJ : Centre d’Expertise juridique, MFWB
CEPEONS : Conseil des Pouvoirs organisateurs de l'Enseignement officiel neutre subventionné
CEPERI : Commission chargée de recevoir les plaintes des étudiants relatives à un refus d'inscription, accueillie au sein de l’ARES
CESI : Commission de l’enseignement supérieur inclusif, accueillie au sein de l’ARES
CGSLB : Centrale générale des Syndicats libéraux de Belgique
CIE : Commission de l’Information sur les Études, ARES
CIUF : Conseil interuniversitaire de la Communauté française
CoCoBa : Comité de concertation de base
CoFoC : Commission de la Formation continue et de l’Apprentissage tout au long de la Vie, ARES
CoM : Commission de la Mobilité des étudiants et du personnel, ARES
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CoQER : Commission pour la Qualité de l’Enseignement et de la Recherche, ARES
COS : Commission Observatoire et Statistiques, ARES
CoVEDAS : Commission de la Vie étudiante, Démocratisation et Affaires sociales, ARES
CoVRI : Commission de la Valorisation de la Recherche et de la Recherche interuniversitaire, ARES
CPS : Conseil de la Politique scientifique
CRI : Commission des Relations internationales, ARES
CSC : Confédération des Syndicats chrétiens
CSM : Conseil supérieur de la Mobilité étudiante
DGACA : Direction générale de l'Audit, de la Coordination et de l'Appui, MFWB
DGBF : Direction générale du Budget et des Finances, MFWB
DGD : Direction générale de la Coopération au développement et de l’Aide humanitaire, SPF Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement
DGENORS : Direction générale de l’Enseignement non obligatoire et de la Recherche scientifique, MFWB
DGPFP : Direction générale du Personnel et de la Fonction publique, MFWB
EAP : École d’Administration publique Wallonie-Bruxelles
ERP : Enterprise Resource Planning
ES : Enseignement supérieur
ETNIC : Entreprise publique des Technologies nouvelles de l'Information et de la Communication
FAMIFED : Agence fédérale pour les allocations familiales
FEF : Fédération des Étudiants francophones
FELSI : Fédération des Établissements libres subventionnés indépendants
FGTB : Fédération générale du Travail de Belgique
Forem : Office wallon de la Formation professionnelle et de l’Emploi
FRS-FNRS : Fonds de la Recherche scientifique
FWB : Fédération Wallonie-Bruxelles
GRH : Gestion des ressources humaines
IES : Institution(s) d’enseignement supérieur
IFC : Institut de la Formation en cours de Carrière
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INAMI : Institut national d’Assurance Maladie-Invalidité
LIEU : Liaison Entreprises Universités
MFWB : Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles
OES : Observatoire de l’Enseignement supérieur
OIP : Organisme d’intérêt public
ONG : Organisation(s) non gouvernementale(s)
ONSS : Office national de Sécurité sociale, Belgique
PMR : Personne(s) à mobilité réduite
SdPSP : Service des Pensions du Secteur public
SEC : Système européen des comptes nationaux et régionaux
SEGEC : Secrétariat général de l'Enseignement catholique
SEPPT : Service externe pour la Prévention et la Protection du Travail
SIPPT : Service interne de Prévention et de Protection au Travail, MFWB
SPF : Service(s) public(s) fédéral (fédéraux)
SPP : Service(s) public(s) de programmation
UCL : Université catholique de Louvain
ULB : Université libre de Bruxelles
ULg : Université de Liège
UNECOF : Union des Étudiants de la Communauté française
VLIR : Vlaamse Interuniversitaire Raad
VLIR-UOS : VLIR - Universitaire Ontwikkelingssamenwerking
VLHORA : Vlaamse Hogeschoolraad
WB Campus : Wallonie-Bruxelles Campus
WBE : Wallonie-Bruxelles Enseignement
WBI : Wallonie-Bruxelles International
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1 INTRODUCTION
Notre enseignement supérieur est de haute qualité et figure parmi les plus accessibles du monde. Sans verser dans l’angélisme, on constate qu’il parvient à allier l’organisation d’un enseignement de qualité, assurant tout à la fois une offre large, diversifiée et de proximité, et un taux élevé de diplômation à tous les cycles, le tout associé à des activités de recherche scientifique et artistique de pointe et des formations spécialisées reconnues internationalement.
Les attentes que les citoyens, les pouvoirs publics et la société tout entière placent en lui sont donc grandes et légitimes.
Son rôle essentiel en matière de développement social, économique, culturel et citoyen n’est plus à démontrer : niveau de vie, de santé et de bien-être ; taux d’emploi et réduction des inégalités sociales ; relance économique, compétitivité et croissance ; recettes fiscales, sécurité sociale et état-providence ; recherche, innovations et développement ; insertion et réinsertion sociétale, etc.
Le retour sur investissement de la dépense publique dans l’enseignement supérieur et dans la recherche pour ces différentes matières est très fort.
Le développement de Bruxelles, de la Wallonie et de l’ensemble de leur population passe donc par un enseignement supérieur de qualité, fortement soutenu par les pouvoirs publics, et renforcé dans ses différentes dimensions qu’il faut préserver, à savoir les quatre piliers que sont les universités, les hautes écoles, les écoles supérieures des arts et l’enseignement supérieur de promotion sociale.
Notre enseignement supérieur est également confronté à une série de défis structurels d’envergure comme, entre autres, la poursuite de sa massification croissante, l’accès aux études et leur coût, la place et le statut des étudiants et des membres des personnels des différentes institutions, la formation continue tout au long de la vie, l’internationalisation accrue, l’indispensable soutien à la recherche, l’ouverture à la société, les synergies et les concurrences entre établissements y compris en dehors de nos frontières, l’attrait de notre système pour de nombreux étudiants non résidents et, bien entendu, le financement et la nécessaire recherche d’efficacité et d’efficience dans un périmètre budgétaire particulièrement limité.
Issue d’une large démarche participative inédite débutée fin 2009, la réforme du paysage de l’enseignement supérieur est intervenue dans ce contexte à partir de la fin de l’année 2013.
Elle consacre une nouvelle organisation académique des études, mieux harmonisée que par le passé, et renforce les collaborations et la cohérence entre les institutions en vue de pouvoir encore mieux relever les défis structurels de notre enseignement supérieur tels que visés ci-dessus. Elle doit donc également permettre d’établir des lignes de force communes dans différentes thématiques, dont certaines, quoique plus « ponctuelles », n’en demeurent pas moins de haute importance : la problématique du contingentement des études de médecine et de dentisterie, de l’accès aux professions de santé et de la qualité des soins ; les réformes ou projets de réformes couplées de la formation initiale des enseignants, des titres de capacité et des fonctions dans l’enseignement et du CAPAES ; l’avenir et l’enjeu de certaines formations du domaine paramédical (soins infirmiers et kinésithérapie notamment) ; le développement de l’alternance dans l’enseignement supérieur ; la croissance de l’offre de formations à horaire décalé ; les adultes en reprise d’études et la valorisation des acquis de l’expérience, etc.
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À partir de 2014, la réforme du paysage de l’enseignement supérieur met également en place de nouvelles entités collaboratives et structurantes dont l’Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur (ARES) fait partie avec les Pôles académiques et les Zones académiques interpôles.
L’ARES, organisme d'intérêt public, est désormais la fédération des 144 établissements d’enseignement supérieur de Wallonie et de Bruxelles.
Elle est chargée, tout en respectant et en garantissant les prérogatives des établissements en la matière, leur autonomie et leurs spécificités, de les soutenir dans l’exercice de leurs missions d’enseignement, de recherche et de service à la collectivité, et de susciter les collaborations entre l’ENSEMBLE des différents établissements et institutions : l’enseignement supérieur de promotion sociale, les écoles supérieures des arts, les hautes écoles et les universités.
FIGURE 1 - L’ARES, LA FÉDÉRATION DES ÉTABLISSEMENTS D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR
• Fédère tous les établissements d’ES de Wallonie et de Bruxelles • > 200.000 étudiants • > 22.000 membres des personnels (etp)
• Assure au secteur de l’ES en FWB une coordination globale tout en préservant l’autonomie et les spécificités
• Organise la concertation et promeut les collaborations nationales et internationales
• Vient en soutien à l’exercice des 3 missions de base : • Enseignement • Recherche • Service à la collectivité
• Renforce la visibilité et la lisibilité
C’est dans ce contexte que, sur la proposition conjointe de M. J.-M. NOLLET, Vice-président et Ministre de la Fonction publique, M. J.-C. MARCOURT, Vice-président et Ministre de l’Enseignement supérieur, et Mme M.-M. SCHYNS, Ministre de l’Enseignement obligatoire et de la Promotion sociale, et suivant en cela la proposition du Conseil d’administration de l’ARES suite à la procédure de sélection menée, le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) m’a nommé au poste d’Administrateur de l’ARES.
Ce mandat s’étend sur une durée de 60 mois, prenant cours le 1er juin 2014 et s’achevant le 31 mai 2019.
Suite à cette nomination, j’ai établi mon Plan opérationnel pour baliser l’exercice de ma fonction d’Administrateur de l’ARES, la mise en place et le développement de ce nouvel OIP, et l’ai baptisé PLAN ENSEMBLE, pour agir et innover ENSEMBLE, développer l’excellence et rechercher l’efficacité et l’efficience pour et entre toutes les institutions d’enseignement supérieur. Il résume pour moi tout l’intérêt et toute la plus-value qu’une organisation fédérative telle que l’ARES doit apporter à l’enseignement supérieur wallon et bruxellois dans les années à venir.
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Dans ce cadre, je souhaite remercier vivement toutes les personnes qui ont participé et ont continuellement nourri son élaboration.
Je pense notamment à tous les collaborateurs de l’ARES, ses parties prenantes – notamment les étudiants, les membres des personnels et leurs représentants respectifs – et ses différents partenaires tant institutionnels que non-institutionnels.
Un remerciement tout particulier va également à mes collègues Michèle L’Hermitte et Benjamin Stewart pour leur lecture attentive des différentes épreuves du présent document, ainsi qu’à Ekaterina Dibin, Laura Forrest, Marie-Pierre Nicolas et Alison Spoiden pour la relecture finale.
La démarche de construction et de mise en œuvre du Plan ENSEMBLE est présentée dans les lignes qui suivent, notamment dans ses aspects participatifs et de concertation.
Ensuite, le plan proprement dit est développé dans le détail par axes, objectifs stratégiques, objectifs opérationnels, et projets et actions successifs.
Ce Plan ENSEMBLE, outil de management et de pilotage de l’administration de l’ARES bien avant d’être seulement un outil d’évaluation, est la feuille de route servant à soutenir mon action et celle de tous les collaborateurs de l’ARES.
Il s’agit de donner une direction à suivre à l’équipe et un sens au travail quotidien de chacun, tout en mobilisant l’ensemble des collaborateurs autour d’objectifs à atteindre, communs et partagés, au bénéfice de l’enseignement supérieur en FWB en général, de tous ses étudiants et apprenants, de tous ses membres des personnels et de toutes ses institutions, en particulier.
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2 DÉMARCHE D’ÉLABORATION
Le Plan ENSEMBLE a été pour grande partie établi entre août et octobre 2014.
La démarche d’élaboration suivie a particulièrement tenu compte de différents éléments de contexte significatifs qui sont présentés ci-dessous.
2.1 LE PRESCRIT LÉGAL
Le Plan ENSEMBLE s’inscrit dans le prescrit légal de la réforme du paysage de l’enseignement supérieur et ses suites :
Le décret du 7 novembre 2013 définissant le paysage de l'enseignement supérieur et l'organisation académique des études ;
L’arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 26 juin 2003 instaurant un régime de mandats pour les Administrateurs des Universités organisées par la Communauté française ;
L’arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 19 décembre 2013 relatif au cadre et au statut administratif et pécuniaire des membres du personnel de l'Académie de Recherche et d'Enseignement supérieur ;
La Lettre de mission de l'Administrateur adoptée par le Conseil d'administration de l'ARES en sa séance du 17 janvier 2014.
Conformément à la base légale, il contient une projection, sur au moins 24 mois, des prestations concrètes visant à réaliser les missions de gestion et à atteindre les objectifs stratégiques et opérationnels de la Lettre de mission de l’Administrateur en tenant compte des moyens budgétaires et des ressources humaines disponibles ou à obtenir. Il a été discuté avec le Bureau exécutif de l’ARES en ses séances du 2 décembre 2014 et du 27 janviers 2015, puis avec le Conseil d’administration de l’ARES en ses séances du 10 février et du 24 mars 2015.
2.2 LA RÉFORME DU PAYSAGE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, LES ENTITÉS RÉUNIES AU SEIN DE L’ARES ET LA MISE EN PLACE DE L’OIP
La particularité du présent plan opérationnel et de ce premier mandat d’Administrateur de l’ARES, à tout le moins pour les deux premières années de travail, consiste non pas à classiquement manager les équipes et mener à bien les tâches et missions de gestion au sein d’un organisme d’intérêt public (OIP), mais bien de créer et de littéralement « faire naître » simultanément ce nouvel OIP et ses nouvelles missions organiques de service public qui, pour partie, n’existaient pas auparavant ou étaient directement prises en charge par le pouvoir exécutif et son administration centrale dans son rôle de pouvoir régulateur. L’ARES est en effet issue de la réunion d’une demi-douzaine de structures administratives différentes désormais réunies au sein d’une seule.
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L’unification des différentes équipes sur un lieu de travail commun à déterminer, l’intégration de celles-ci dans une culture et un cadre de travail spécifiques, l’implantation du nouveau statut du personnel de l’ARES, la liquidation administrative des anciennes structures et de leur passif respectif, la mise en conformité du nouvel OIP vis-à-vis de ses obligations légales d’employeurs et de service public (ONSS, sécurité et bien-être, pension, statut, …), la première budgétisation de l’ensemble des activités, la définition des services de support, la garantie de la continuité et la qualité du service malgré de tels changements, … constituent donc des défis tout aussi originaux pour un fonctionnaire dirigeant qui débute son mandat qu’indispensables pour la bonne suite du développement de l’ARES. Il en va tout autant pour le déploiement progressif des missions organiques de l’OIP (voir ci-dessous).
Partir de l’existant, mobiliser les talents, identifier les manques, sérier les priorités et agir avec célérité et efficacité, constituent nécessairement le fil rouge des premiers mois et années de travail. Une condition sine qua non de la réussite de la réforme du paysage de l’enseignement supérieur réside également dans la fluidité et dans la souplesse du travail de l’ARES et, partant, dans la recherche constante de simplifications administratives. Le décret du 7 novembre 2013 confie en effet à l’ARES plus de vingt-cinq missions différentes qui peuvent être regroupées au sein de quelques grandes thématiques générales :
Académique ;
Recherche et développement ;
Institutionnel ;
Information ;
Coopération académique au développement ;
Relations internationales.
FIGURE 2 - MISSIONS DE L’ARES
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Le décret du 7 novembre 2013 organise également la gouvernance de l’ARES autour de plusieurs structures de décision (le Conseil d’administration, le Bureau exécutif et le Conseil de direction) ou d’avis (le Conseil d’orientation, les trois Chambres thématiques, les quatorze Commissions permanentes et les différents groupes de travail).
FIGURE 3 - GOUVERNANCE DE L’ARES
Il ne s’agirait pas que l’ampleur de la tâche et que l’enchâssement des différentes structures de gouvernance et d’avis, lors de leur mise en place et au-delà, alourdissent ou ralentissent inutilement la mise en œuvre des missions. Cela constituera une priorité de tous les instants et devra régulièrement être évalué.
2.3 LA PARTICIPATION DES COLLABORATEURS DE L’ARES
Dans les premières semaines de l’exercice de mon mandat, j’ai veillé à rencontrer personnellement l’ensemble des collaborateurs de l’ARES. Chacun d’eux a ainsi fait l’objet d’un ou plusieurs contacts et entretiens individuels et/ou en petits groupes. Ceux-ci ont logiquement perduré par la suite.
Il va de soi que ces nombreuses rencontres et les échanges de vue qu’elles ont suscités avec tous les collaborateurs ont largement contribué à nourrir le Plan ENSEMBLE.
Dans le même temps, j’ai mis en place un Conseil de direction propre à l’ARES dès l’entame de mon mandat, lequel est composé des collaborateurs exerçant une fonction de direction ou assimilée ainsi que des membres invités pour les fonctions particulières qu’ils exercent au sein des structures de gouvernance de l’ARES. Le Conseil de direction de l’ARES a également concouru à l’élaboration du plan opérationnel.
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Des éléments « provisoires » et « en projet » du Plan ENSEMBLE ont également été évoqués avec différents collaborateurs de l’ARES pour consultation alors que, dans le même temps, ceux-ci étaient invités à formuler, d’initiative, des propositions en fonction de leur domaine d’expertise. Les retours que cette initiative participative a suscités ont, à leur tour, permis d’enrichir, de compléter, et d’ajuster le plan opérationnel.
Enfin, il faut souligner combien les collaborateurs de l’ARES font preuve d’enthousiasme et d’engagement dans la mise en place du nouvel OIP et de ses missions, ceci malgré certaines incertitudes ou difficultés du passé parfois encore présentes, la surcharge de travail engendrée, la constitution de l’équipe et des conditions de travail non encore optimalisées.
2.4 LA PARTICIPATION DES PARTIES PRENANTES ET DES PARTENAIRES PRIVILÉGIÉS
Dès l’entame de mon mandat, j’ai veillé à rencontrer l’ensemble des parties prenantes et des partenaires privilégiés des missions et du travail quotidien de l’ARES.
Des rencontres, contacts et échanges réguliers ont ainsi pu être menés principalement avec :
Les établissements et institutions d’enseignement supérieur (IES) ;
Les Ministres et/ou les cabinets ministériels des Ministres fonctionnellement compétents pour les législatures 2009-2014 et 2014-2019 (J.-M. NOLLET, A. ANTOINE, J.-C. MARCOURT et M.-M. SCHYNS d’une part, J.-C. MARCOURT, A. FLAHAUT et I. SIMONIS d’autre part) ;
Des membres du Conseil d’administration, du Bureau exécutif, des Chambres thématiques et des Commissions permanentes de l’ARES ;
Les organisations représentatives communautaires des étudiants (FEF, UNECOF) ;
Les organisations représentatives des membres des personnels de l’enseignement (CSC, CGSP, CGSLB, le cas échéant dans leurs différentes centrales et composantes) ;
Les fédérations de pouvoirs organisateurs d’enseignement et apparentés (SEGEC, CEPEONS, FESLI, FWB, le cas échéant dans leurs différents secrétariats généraux et structures apparentées) ;
Des fonctionnaires généraux et des collaborateurs des entités qui composent le Ministère (AGE, AGI, DGBF, DGPFP, DGACA, DGENORS, CEJ) ou les OIP (WBI et WB Campus, ETNIC, IFC, EAP) de la FWB et les structures peu ou prou apparentées (FRS-FNRS, AEQES, LIEU, ADISIF, CSM, Commissaires et Délégués du Gouvernement, ainsi que ceux d’autres niveaux de pouvoir (ONSS, SdPSP, FAMIFED, DGD, …) étant en lien avec les tâches et missions de l’ARES. L’objectif était également de pouvoir, de cette façon, optimaliser le processus d’installation de l’ARES et son développement.
Ces contacts et échanges réguliers avec les parties prenantes ont contribué au jour le jour à l’élaboration du Plan ENSEMBLE.
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2.5 LES CONTEXTES POLITICO-INSTITUTIONNEL ET SOCIO-ÉCONOMIQUE DE LA MI-2014
Le Plan ENSEMBLE et toute sa démarche d’élaboration n’ont évidemment pas fait l’économie de considérer à leur juste mesure les influences des contextes politico-institutionnel et socio-économique de l’État belge et de la FWB à la mi-2014.
D’une part, comme la plupart des pays d’Europe, entité fédérale et entités fédérées en Belgique continuent de traverser, depuis la fin de l’année 2008, une importante crise économique et financière qui se répercute notamment sur le financement des institutions et des services publics.
D’autre part, les assemblées législatives et les gouvernements fédéral et de la FWB ont été renouvelés.
Cela a, indéniablement, des répercussions importantes sur un OIP naissant comme l’ARES, sur son développement, et sur ses perspectives.
Il va de soi que ces contextes particuliers ont - et auront encore au moins à court et à moyen termes - des conséquences tant directes qu’indirectes sur le travail quotidien de l’ARES :
Nouveaux programmes et feuilles de route des gouvernements. Dans ce cadre, notamment, l’ARES se trouve citée dans une dizaine des thèmes particuliers couverts par la Déclaration de Politique communautaire 2014-2019 de la FWB, sans compter deux des grands thèmes transversaux de celle-ci que sont l’implémentation de la réforme du paysage de l’enseignement supérieur et le refinancement de l’enseignement supérieur ;
Nouvelles perspectives budgétaires ;
Perspectives en matière de relations internationales et de coopération académique au développement ;
Nouvelles obligations en qualité d’employeur et de service public.
Il s’agit là d’un ensemble d’éléments dont j’ai également voulu tenir compte lors de la définition des différents objectifs et des actions concrètes du présent plan opérationnel.
Parmi ces éléments, trois au moins nécessitent une attention particulière. Ils sont explicités ci-dessous.
2.5.1 L’implémentation de la réforme du paysage de l’enseignement supérieur
Il est essentiel d’accompagner les établissements et institutions d’enseignement supérieur dans la concrétisation des avancées prévues par la réforme, lesquelles – dont l’ARES – se mettent progressivement en place.
Les collaborations qui peuvent se nouer en la matière sont d’autant plus riches que la diversité existe entre les formes d’enseignement.
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Il faut donc, dans ce cadre, veiller à maintenir la spécificité et l’autonomie des différentes institutions d’enseignement supérieur que sont les universités, les hautes écoles, les écoles supérieures des arts et l’enseignement supérieur de promotion sociale.
Un premier diagnostic de la réforme du paysage de l’enseignement supérieur et de sa mise en application doit pouvoir être établi rapidement, presque au jour le jour, pour, le cas échéant, prendre les mesures urgentes ou moins urgentes nécessaires pour en assurer son succès au bénéfice de tous les étudiants et apprenants.
Dans ce cadre, à son niveau, l’ARES doit pouvoir soutenir les institutions d’enseignement supérieur et relayer les demandes et interrogations en la matière vers le Gouvernement et vers les autres acteurs qui composent le paysage de l’enseignement supérieur.
Dans le même temps, des recours ont été formés auprès de la Cour constitutionnelle contre des parties de la réforme par certains partenaires privilégiés ou par des citoyens à titre individuel. Une attention toute particulière sera évidemment portée à l’évolution et aux suites qui seront accordées à ceux-ci.
2.5.2 Le nécessaire refinancement de l’enseignement supérieur
La nécessité d’un réel refinancement structurel, significatif et soucieux de l’autonomie des institutions d’enseignement supérieur est désormais admise de tous1.
En effet, le mécanisme de financement dit « de l’enveloppe fermée » mis en place à la fin des années nonante, couplé au boom démographique que connait l’enseignement supérieur depuis la même période (+ 50 % d’étudiants supplémentaires en moins de 20 ans), a provoqué un définancement grave des institutions d’enseignement supérieur dans leur ensemble, et des universités en particulier.
Les conséquences de celui-ci sont nombreuses : bâtiments, salles de cours et services collectifs divers inadaptés en taille et/ou en mauvais état, taux d’encadrement des étudiants en baisse, manque de logements étudiants malgré la mobilisation des institutions d’enseignement supérieur en la matière, frein à la démocratisation des études, difficultés croissantes à faire face à la concurrence étrangère, soutien trop faible à l’innovation et à la recherche, cadre administratif et cadre logistique inadéquats, …
Tous les indicateurs montrent également qu’à politique inchangée, ce définancement et ses conséquences vont s’aggraver encore davantage dans les années qui viennent.
Dans le même temps, outre ce mécanisme de l’enveloppe fermée - qui encourage une concurrence néfaste entre établissements - l’enseignement supérieur n’a pas toujours bénéficié d’initiatives de refinancement structurelles ou ponctuelles du même ordre que celles dont les autres niveaux d’enseignement ont parfois profité ces quinze dernières années.
1 Voir sur le sujet les nombreuses publications de la Commission européenne (Eurydice), de l’OCDE (Education at a Glance), du MFWB (Les Indicateurs de l’Enseignement), de l’Académie royale de Belgique, du Conseil des Recteurs des universités francophones de Belgique, … qui parviennent toutes aux mêmes conclusions en la matière.
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Ceci amène désormais la FWB dans une situation particulièrement inédite et tout à fait paradoxale pour un système éducatif, à savoir que celle-ci accorde désormais, en moyenne annuelle, un montant plus important de financement public pour un étudiant issu de l’enseignement secondaire que pour un étudiant issu de l’enseignement supérieur2.
Les risques de diminution de la qualité générale de l’enseignement supérieur, d’aggravation des inégalités sociales et de l’échec scolaire, de détérioration des conditions de travail pour les membres des personnels et, globalement, les obstacles au redéploiement de Bruxelles et de la Wallonie qui en résultent, sont donc devenus particulièrement sérieux.
Dans les suites de la réforme du paysage de l’enseignement supérieur qui se met en place, il est nécessaire que des engagements soient pris pour le refinancement de l’enseignement supérieur au bénéfice premier de ses étudiants et apprenants, de ses membres des personnels, et de tous ses établissements et institutions.
Un refinancement doit également se concevoir en concertation avec les acteurs concernés et dans un contexte d’autonomie renforcée des institutions. En effet, certaines mesures, notamment nouvelles et bien qu’à visée sociale, pèsent encore davantage sur les budgets des établissements d’enseignement supérieur (exonération des étudiants en doctorat de tout minerval, suppression des droits d’inscription à la seconde session, …) parce qu’elles ne sont pas accompagnées d’un apport de ressources complémentaires. De nouvelles dispositions en la matière et/ou des mécanismes de financement complémentaire doivent également pouvoir être examinés à court terme.
En conclusion, une révision des règles de financement des institutions d’enseignement supérieur, telle qu’elle est attendue pour 2016, peut difficilement être envisagée sans un refinancement conséquent. Dans ce cadre, l’ARES doit pouvoir soutenir les institutions d’enseignement supérieur sur cette matière.
2.5.3 La coopération académique au développement
Depuis plusieurs d’années, les universités francophones ont développé une expertise unique dans de nombreuses thématiques liées au développement. Fédérées au sein du Conseil interuniversitaire de la Communauté française (CIUF) d’abord, et de l’ARES ensuite, elles conjuguent leurs compétences et leurs expertises spécifiques au bénéfice des partenaires universitaires du Sud et ouvrent à présent progressivement leurs initiatives en la matière à l’ensemble des institutions d’enseignement supérieur, leurs membres des personnels, leurs étudiants et apprenants.
En 2010, un accord politique relatif aux principes directeurs de la coopération universitaire et aux nouvelles modalités stratégiques de ses actions sud (à partir de 2013) est conclu. Après 18 mois de négociations, l’accord traduisait les principes de la Déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide au développement dans la mise en œuvre de la coopération universitaire au développement tout en reconnaissant ses spécificités. Des éléments essentiels de cet accord étaient notamment : un programme stratégique sud de 6 ans structuré en deux plans d’actions de 3 ans avec programmation budgétaire triennale, une garantie budgétaire pour
2 7.335 €/an pour un étudiant de l’enseignement secondaire contre 6.792 €/an pour un étudiant de l’enseignement supérieur (année 2011-2012). MFWB, Les Indicateurs de l’Enseignement 2013, Bruxelles, 2014.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 17 /60
un même plan d’actions et une augmentation annuelle de 3 % dans le cadre du premier plan, une concentration géographique sur 20 pays partenaires et l’inscription de chacune des actions dans le contexte social, politique ou académique du ou des pays concernés et une marge libre de 6 % du budget pour des initiatives novatrices ou en dehors des 20 pays de concentration.
Entre 2011 et 2013, dans le cadre de l’assainissement du budget de l’État, la coopération académique au développement s’est retrouvée dans une situation d’incertitude : certains responsables politiques défendaient alors l’idée selon laquelle le volet universitaire de la coopération belge était une compétence « usurpée » par le niveau fédéral qui devait être transférée aux Communautés ; à charge de ces dernières de dégager les moyens nécessaires à l’exercice de cette compétence.
Les négociations qui ont entouré ce dossier, l’incertitude ainsi que les retards dans l’obtention des budgets qui en ont découlé, ont mis un frein à la mise en œuvre de la réforme de 2010 alors qu’entretemps, une nouvelle réforme d’envergure relative aux modalités de subsidiation des acteurs de la coopération non gouvernementale (ACNG) était déjà en préparation.
FIGURE 4 - ARES - 20 PAYS DE CONCENTRATION POUR LA COOPÉRATION ACADÉMIQUE AU DÉVELOPPEMENT
Initiée au début de l’année 2012, cette nouvelle réforme a fait l’objet de concertations pendant plus d’un an. Elle vise à définir un cadre règlementaire et financier harmonisé et à encourager les synergies entre acteurs dans une optique d’efficacité de l’aide publique belge au développement. Dès 2015-2017, elle imposera aux acteurs – donc également à l’ARES – l’obtention d’un agrément en tant que partenaire de la coopération non gouvernementale. Des analyses contextuelles communes à l’ensemble des ACNG seront réalisées auxquelles chacune des interventions devra se référer. Chaque acteur sera également tenu à la concentration de ses moyens dans un nombre limité de pays.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR18 /60
La réforme vise à permettre d’obtenir plus aisément une vue d’ensemble sur les différentes interventions dans un pays, une région ou un secteur donnés et à renforcer la cohérence et l’efficacité de la coopération belge dans son ensemble. Mais elle est aussi source de travail et d’incertitudes supplémentaires et oblige les institutions d’enseignement supérieur et l’ARES – une nouvelle fois en très peu de temps – à anticiper et à s’adapter alors même que des réductions budgétaires pourraient être imposées par le Gouvernement fédéral en la matière. Elle les oblige également à se concerter, et même à négocier, avec des ONG ou d’autres partenaires de la coopération qui voient là une opportunité d’obtenir davantage de reconnaissance, voire de budget, et ce, peut-être à leur détriment.
L’ARES devra être particulièrement vigilante tant à court qu’à moyen termes. Un définancement de la coopération académique au développement et/ou un éventuel retour du débat sur les compétences dites « usurpées » pourrait en effet avoir des conséquences particulièrement négatives, voire catastrophiques.
2.6 LES ÉVOLUTIONS INTERVENUES AU SEIN DE LA COMPOSITION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’ARES
L’élaboration du Plan ENSEMBLE a également été marquée par des changements importants survenus au sein de la composition du Conseil d’administration de l’ARES.
D’une part, M. Didier VIVIERS, Recteur de l’Université libre de Bruxelles (ULB), a présidé ad interim le Conseil d’administration de l’ARES et son Bureau exécutif durant les neuf premiers mois de l’année 2014, assurant ainsi les premiers importants déploiements de l’OIP, avant de céder la place, fin septembre 2014, à M. Philippe MAYSTADT, Ministre d’État et Past Président de la Banque européenne d’Investissement (BEI). M. Didier VIVIERS demeure Vice-président du Conseil d’administration de l’ARES et Président de la Chambre des universités.
D’autre part, presque simultanément, un certain nombre de membres du Conseil d’administration ayant joué un rôle important en amont ou en en aval de l'adoption du décret du 7 novembre 2013 ont cessé leurs activités au sein de l’ARES ou ont vu celles-ci être très sensiblement modifiées. C’est notamment le cas de M. Bruno DELVAUX, Recteur de l’Université catholique de Louvain (UCL), de M. Vincent WERTZ, Vice-Recteur de l’Université catholique de Louvain (UCL), de M. Stéphane HEUGENS, Représentant du Conseil général de l’Enseignement de promotion sociale, de M. André COUDYZER, Secrétaire général de la Fédération de l'enseignement supérieur catholique (SEGEC), et de Monsieur Bernard RENTIER, Recteur de l’Université de Liège (ULg). Ces deux derniers membres avaient par ailleurs coprésidé le groupe de travail « Paysage » dans le cadre de la Table ronde de l’enseignement supérieur initiée au début de l’année 2010, lequel allait jeter les premières bases du décret du 7 novembre 2013.
Enfin, Mme Chantal KAUFMANN, Directrice générale de l'Enseignement non obligatoire et de la Recherche scientifique au Ministère de la FWB, assura la fonction d’Administrateur ad interim de l’ARES jusqu’à ma prise de fonction en juin 2014.
Un ensemble d’éléments là aussi qui – même parfois très indirectement – ont marqué les premiers mois de mon mandat et ont également été appréhendés dans le cadre de la rédaction du plan opérationnel.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 19 /60
2.7 LES MOYENS HUMAINS DÉVOLUS A L’ARES
Pour finir, l’élaboration du Plan ENSEMBLE a volontairement pris le parti que l’ARES serait en mesure, sur la base de sa dotation annuelle, notamment, de recruter en nombre suffisant le personnel qualifié nécessaire à la bonne réalisation de ses missions et à son fonctionnement optimal dans les mois et les années à venir.
En effet, d’une part, les missions dévolues à l’ARES et aux structures de gouvernance et d’avis qui la composent dépassent de très loin celles qui étaient affectées aux anciens organismes dissous et aujourd’hui intégrés dans l’ARES.
On soulignera, par exemple, que les instances de gouvernance et d’avis prévues par le décret du 7 novembre 2013 et ses suites sont au nombre de 21 et que 3 d’entre elles nécessitent régulièrement l’organisation d’un bureau préparatoire préalablement aux réunions plénières.
À ces 24 structures permanentes dont il revient à l’administration de l’ARES d’assurer un fonctionnement optimal, il faut d’ores et déjà ajouter une bonne vingtaine d’autres commissions ou groupes de travail plus spécifiques, mais tout aussi permanents ou établis sur le long terme : anciens conseils supérieurs, test d’orientation en médecine, examen d’admission, maîtrise de la langue, groupes de travail en matière de relations internationales, de coopération académique au développement, d’information sur les études, …
On notera également que l’ARES a hérité de certaines compétences de régulation anciennement dévolues au Ministère de la FWB, sans pour autant qu’un transfert de personnel ad hoc soit assuré (application de la réglementation, recours contre les refus d’inscription, habilitations, référentiels de compétences et programmes d’études, …).
Par ailleurs, si les collaborateurs issus des anciens organismes ont bien été transférés à l’ARES3 , certains des anciens conseils bénéficiaient de la prise en charge par des tiers (Ministère de la FWB, FRS-FNRS, …) de différentes fonctions de management et/ou de support qu’il faut aujourd’hui naturellement combler.
Enfin, le statut d’organisme d’intérêt public dévolu à l’ARES par le Parlement de la FWB implique qu’elle soit en mesure de répondre à ses obligations légales notamment en matière de fonction publique et de statut du personnel, de mise en concurrence et de marchés publics, ainsi que de budget, de comptabilité et de rapportage vers les autorités de tutelle. Là aussi, l’adéquate mise en œuvre de ces obligations implique de pouvoir nécessairement disposer de collaborateurs compétents en nombre suffisant pour assurer efficacement toutes les activités et fonctions de support.
Faute d’espace de travail disponible dans ses locaux, l’ARES n’a pu que peu avancer en cette matière durant l’année 2014 et a dû compter sur un engagement exceptionnel de ses équipes actuelles pour mener son développement progressif ainsi que les différents projets à bien.
Le déménagement prévu durant le premier semestre 2015 permettra de pallier cette importante difficulté logistique, de recruter plus avant et de mettre progressivement et sereinement en œuvre le Plan ENSEMBLE dans sa globalité.
3 Ce n’est toutefois pas le cas ni pour l’Observatoire de l’Enseignement supérieur (OES), ni pour le Bureau permanent de l'enseignement supérieur de promotion sociale.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR20 /60
De manière générale, anticiper les répercussions éventuelles de la réforme de l’enseignement supérieur et des autres normes sur le développement de l’ARES, sur ses missions et sur le travail de ses collaborateurs est, et demeurera, une priorité de tous les instants, en particulier durant les premiers mois de la mise en place de l’OIP. Les tâches seront priorisées au fur et à mesure et le degré de faisabilité des changements ou éléments nouveaux demandés évalués systématiquement. Le cas échéant, le Conseil d’administration et le Bureau exécutif seront saisis autant que nécessaire des difficultés possibles en la matière.
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3 LE PLAN OPÉRATIONNEL Le Plan ENSEMBLE comprend 5 axes stratégiques, lesquels sont déclinés en 15 objectifs stratégiques.
Ces 15 objectifs stratégiques sont décomposés en 75 objectifs opérationnels et, in fine, en un peu plus de 150 différents projets et actions concrètes.
Le tout est présenté dans le détail dans les pages qui suivent, accompagné des indicateurs de résultat ou de réalisation ad hoc.
Principalement fondé sur le décret du 7 novembre 2013 et la Lettre de mission de l’Administrateur, l’ensemble est mis en œuvre à partir du 1er septembre 2014 et jusqu’au 31 août 2016 au moins. La priorité durant cette période sera d’abord portée sur la « mise en place » de l’OIP en tant que telle : définition d’un lieu de travail commun, optimalisation des conditions de travail des collaborateurs, liquidation des anciennes structures, obligations légales initiées et assurées, installation et support aux différentes structures de l’ARES, etc. Ensuite, et même si ces actions se chevauchent nécessairement pour bonne part, ce seront le développement des missions organiques de l’OIP et la recherche d’efficacité et de qualité dans les différents actes posés qui prendront progressivement le pas sur la mise en place en tant que telle (voir point 2.2. ci-dessus).
L’objectif est d’aller au plus loin, dans le courant de ces 24 premiers mois de mandat et au-delà, dans la réalisation des prestations concrètes visant à réaliser les missions de gestion et à atteindre les objectifs stratégiques et opérationnels déterminés, entre autres, dans la Lettre de mission de l’Administrateur et dans le décret du 7 novembre 2013.
Les moyens budgétaires et les ressources humaines disponibles de l’ARES seront mobilisés à cet effet.
Nul doute qu’il s’agit également par là de préparer concomitamment les bases du travail et de l’action pour 2017 et au-delà.
Comme tout plan opérationnel, qui plus est dans le présent cas pour un organisme d’intérêt public nouveau, en plein développement, et bénéficiant de peu de recul quant à ses activités, des changements en cours de route – souhaités ou subis – dans les priorités, dans les échéanciers, voire même dans les missions, les budgets et les bases légales qui fondent l’ARES ne sont pas du tout à exclure. Le retard dans certains projets, voire même leur abandon, comme dans tout processus de gestion, ne le sont pas non plus.
L’ARES, à l’instar de toute nouvelle organisation humaine quelle qu’elle soit, connaîtra inévitablement un certain nombre de « maladies de jeunesse » et d’initiatives non-abouties. Le cas échéant, cela sera examiné avec les instances décisionnelles de l’ARES que sont son Bureau exécutif et son Conseil d’administration, des choix seront opérés et justifiés, entre autres au travers du rapport d’évaluation de l’Administrateur.
Plan ENSEMBLE 5 AXES - 15 OBJECTIFS STRATEGIQUES - 75 OBJECTIFS OPERATIONNELS
1. ASSURER ET DEVELOPPER LA PLACE DE CHAQUE COLLABORATEUR AU SEIN DE L’ARES
1.1. Fournir aux collaborateurs de l’ARES des conditions optimales et motivantes pour la réalisation de leur travail
1.2. Optimaliser les ressources humaines de l’ARES et développer une gestion stratégique et prévisionnelle de celles-ci
1.3. Garantir, diffuser et amplifier l’expertise de l’ARES et de ses collaborateurs
2. FAIRE DE L’ARES UNE VERITABLE ORGANISATION PLUTOT QU’UNE ADDITION DE STRUCTURES ET DE SERVICES
2.1. Développer l’ARES en tant que nouvel organisme d’intérêt public
2.2. Déployer et adapter la structuration de l’ARES à ses (nouvelles) missions
2.3. Inscrire le management de l’administration de l’ARES dans une dynamique participative, transversale et responsabilisante
2.4. Généraliser les principes de la simplification administrative au sein de l’ARES
3. FAIRE DE L’ARES UN VERITABLE PARTENAIRE DES INSTITUTIONS D’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
3.1. Mettre l’expertise de l’administration de l’ARES au service de la reforme du paysage de l’enseignement supérieur
3.2. Positionner l’administration de l’ARES comme un partenaire proactif des institutions d’enseignement supérieur pour l’exécution de leurs missions et la défense de leurs intérêts
4. DÉVELOPPER ET OPTIMALISER LES RELATIONS DE L’ARES AVEC SES PARTENAIRES PRIVILEGIES
4.1. Développer et optimaliser les relations de l’ARES avec ses stakeholders
4.2. Développer et optimaliser les relations de l’ARES avec le Gouvernement
4.3. Développer et optimaliser les relations de l’ARES avec ses autres partenaires
5. ÊTRE ACTEUR DU DEVELOPPEMENT DE BRUXELLES, DE LA WALLONIE ET DE LA BELGIQUE DANS SON ENSEMBLE
5.1. Participer au redressement socio-économique de Bruxelles, de la Wallonie et de la Belgique dans son ensemble
5.2. Participer au rayonnement international de Bruxelles, de la Wallonie et de la Belgique dans son ensemble
5.3. Assurer une gestion durable et citoyenne des activités de l’ARES
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t ap
port
ées.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 25 /60
choi
sir
entr
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1.1.
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1.1.
6. D
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M
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ts d
e co
nviv
ialit
é or
gani
sés.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR26 /60
1.1.
7. D
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s et
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rt-t
ype.
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ilité
et
tu
rn-o
ver
des
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bora
teur
s.
1.1.
8. D
ével
oppe
r la
m
otiv
atio
n de
s co
llabo
rate
urs
de l’
AR
ES p
ar la
va
lori
sati
on
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utai
re,
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inis
trat
ive
et
pécu
niai
re.
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s à
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omin
atio
n,
etc.
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Cont
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r à
la
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tion
des
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s co
llabo
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urs
de
l’ARE
S lo
rsqu
e ce
la
est
poss
ible
et
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stifi
é (a
ssur
ance
hos
pita
lisat
ion,
etc
.).
Cont
ribue
r à
la
reva
loris
atio
n de
s st
atut
s de
s co
llabo
rate
urs
de
l’ARE
S lo
rsqu
e ce
la
est
poss
ible
et
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é (p
rom
otio
ns,
inci
tatio
n à
la
part
icip
atio
n au
x co
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’acc
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t au
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s ad
ho
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etc
.).
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dre,
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t,
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mes
ures
co
ntre
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s co
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inad
équa
ts e
t le
ur r
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ition
(no
n-re
spec
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lem
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de t
rava
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N
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e de
pr
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gatio
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nues
pa
r no
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e de
pr
olon
gatio
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souh
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es.
N
ombr
e de
re
valo
risat
ions
ob
tenu
es
par
nom
bre
de
reva
loris
atio
ns
souh
aité
es.
N
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e d’
inte
rven
tions
co
ntre
le
s co
mpo
rtem
ents
in
adéq
uats
et
su
ppre
ssio
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ceu
x-ci
.
Nom
bre,
pro
port
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et m
otiv
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n de
s dé
part
s vo
lont
aire
s et
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lont
aire
s de
l’A
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Anci
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té
moy
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s co
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St
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té
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turn
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r de
s co
llabo
rate
urs.
Cham
bre
de r
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rs in
stitu
ée.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 27 /60
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1.2.
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P
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ELLE
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ELLE
S -C
I.
1.2.
1. D
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RES
d’
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t d’
un
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tion
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l de
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tion(
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ARES
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ch
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t pu
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de
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WB.
Logi
ciel
de
G
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impl
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té
le
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ant.
Solu
tion
de l
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s sa
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e.
Pr
ise
en c
harg
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fect
ive
par
le S
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soci
al d
e la
FW
B.
1.2.
2. A
ntic
iper
les
beso
ins
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pers
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ls d
e l’A
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, dé
velo
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un
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mat
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.
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s en
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Ac
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G
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les
prio
rités
de
l’ARE
S.
Co
ntin
uité
du
serv
ice
assu
rée.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR28 /60
1.2.
3. D
ével
oppe
r le
m
iddl
e-m
anag
emen
t de
l’A
RES
et
la
fonc
tion
de
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l d’
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ent.
Com
bler
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s su
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Cons
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uenc
e.
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les
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Sout
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fect
ués.
Cons
eil d
e D
irect
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gi.
Ca
dast
re d
es d
élég
atio
ns a
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é.
1.2.
4. O
ptim
alis
er le
te
mps
de
trav
ail
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colla
bora
teur
s de
l’A
RES
.
Sout
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pa
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tâch
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cela
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t po
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N
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR34 /60
2.2.
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 35 /60
2.2.
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2.2.
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR36 /60
2.2.
8. É
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 37 /60
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ratio
nnel
.
Co
nsei
ller
et
acco
mpa
gner
le
s co
llabo
rate
urs
dans
la
ge
stio
n et
l’ap
plic
atio
n de
s pr
oces
sus
liés
aux
obje
ctifs
de
l’ARE
S.
D
egré
de
m
ise
en
œuv
re
du
plan
op
érat
ionn
el.
N
ivea
u d’
atte
inte
des
obj
ectif
s fix
és.
Ap
prop
riatio
n du
pla
n op
érat
ionn
el p
ar
les
colla
bora
teur
s.
2.3.
2. M
ettr
e en
pla
ce
un C
onse
il de
di
rect
ion
de
l’AR
ES a
ssum
ant
collé
gial
emen
t sa
ges
tion
tr
ansv
ersa
le.
Inst
alle
r le
Con
seil
de d
irect
ion
de l’
ARES
.
As
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par
ticip
atio
n ac
tive
et r
égul
ière
des
diff
éren
ts
resp
onsa
bles
de
l’ARE
S au
Con
seil
de d
irect
ion
de l’
ARES
.
D
ével
oppe
r un
e m
étho
dolo
gie
de
suiv
i de
s dé
cisi
ons
adop
tées
.
D
ével
oppe
r un
cad
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e de
s dé
léga
tions
.
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la
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otio
n du
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ion
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ffus
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ns e
t dé
cisi
ons
pris
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once
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t le
s co
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tion
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.
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ctio
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stal
lé.
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e de
ré
unio
ns
du
Cons
eil
de
dire
ctio
n et
deg
ré d
’ass
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té.
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des
déci
sion
s pr
ises
et
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s ac
tivité
s dé
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ées
dans
ce
cadr
e.
Ca
dast
re d
es d
élég
atio
ns é
tabl
i.
Initi
ativ
es
pris
es
pour
di
ffus
er
les
info
rmat
ions
et
déci
sion
s.
2.3.
3. F
onde
r pr
ogre
ssiv
emen
t le
pilo
tage
de
l’adm
inis
trat
ion
de l’
AR
ES s
ur
des
prog
ram
mes
d’
acti
vité
s à
acco
mpl
ir, d
es
obje
ctif
s à
atte
indr
e et
un
cont
rôle
des
ré
sult
ats
obte
nus.
Cons
titue
r pr
ogre
ssiv
emen
t le
s pr
ogra
mm
es
d’ac
tivité
s de
s di
ffér
ente
s en
tités
de
l’ARE
S.
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l’opp
ortu
nité
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ir un
ou
des
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de
bord
pr
ospe
ctifs
pou
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nsem
ble
de l
’ARE
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d’
indi
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M
ettr
e en
pla
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es o
utils
de
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i de
l'e
xécu
tion
des
déci
sion
s pr
ises
.
Co
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les
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s de
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sur
l’int
érêt
d’
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itorin
g.
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egré
de
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re
du
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g de
l’A
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et
de
ses
activ
ités.
Deg
ré d
e ré
alis
atio
n de
s ac
tivité
s et
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d’a
ttei
nte
des
obje
ctifs
fix
és.
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tivité
s ac
com
plie
s et
, à
défa
ut,
mes
ures
ad
hoc
pris
es.
Ap
prop
riatio
n du
m
onito
ring
par
les
colla
bora
teur
s.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR38 /60
2.3.
4. I
mpl
émen
ter
prog
ress
ivem
ent
une
dém
arch
e qu
alit
é, u
ne
dém
arch
e de
co
ntrô
le in
tern
e et
ass
urer
le
suiv
i des
re
com
man
da-
tion
s ai
nsi
déve
lopp
ées.
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d’un
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de
plus
ieur
s dé
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che(
s) q
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ir (p
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exem
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le
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n de
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im
plém
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r pr
ogre
ssiv
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celle
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e l’A
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sure
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des
mes
ures
ai
nsi
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nues
po
ur
l’am
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ratio
n de
l’AR
ES.
Iden
tifie
r et
éva
luer
les
ris
ques
enc
ouru
s et
la
pert
inen
ce
des
cont
rôle
s in
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es a
ctue
llem
ent
mis
en
œuv
re.
Met
tre
en p
lace
, su
r ce
tte
base
, un
con
trôl
e in
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e pl
us
perf
orm
ant,
le c
as é
chéa
nt.
Faire
un
rapp
ort
régu
lier
aux
orga
nes
de l
’ARE
S qu
ant
à l’a
ccom
plis
sem
ent
des
mis
sion
s de
con
trôl
e in
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e.
D
émar
che(
s) q
ualit
é dé
velo
ppée
(s).
Suiv
i de
s m
esur
es
rete
nues
po
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l’am
élio
ratio
n de
la
qual
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e l’A
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rôle
s ré
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és.
N
ombr
e de
pro
cess
us m
odifi
és,
le c
as
éché
ant,
et
ampl
eur
des
mod
ifica
tions
.
Rapp
orts
ad
hoc
étab
lis.
2.3.
5. P
ours
uivr
e et
in
tens
ifie
r l’i
nscr
ipti
on
perm
anen
te d
e l’A
RES
dan
s le
s st
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ures
tr
ansv
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es
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de
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et
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rer
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et
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O
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o
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;
o Co
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l d’a
dmin
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atio
n de
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NIC
;
o Co
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de
sect
eur
XVII
;
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les
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et
déci
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so
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de
l’ARE
S.
Co
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ts
et
coor
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net
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e de
la
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s fo
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nnai
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géné
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Min
istè
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s au
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l’ARE
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es e
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conc
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grat
ion
perm
anen
te
de
l’ARE
S da
ns le
s st
ruct
ures
tra
nsve
rsal
es.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 39 /60
OBJ
ECTI
FS
STRA
TÉG
IQU
ES
OBJ
ECTI
FS
OPÉ
RATI
ON
NEL
S PR
OJE
TS/A
CTIO
NS
IND
ICAT
EURS
2.4.
GÉN
ÉRA
LISE
R
LES
PR
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D
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MP
LIFI
CA
TIO
N
AD
MIN
ISTR
ATI
VE
AU
SEI
N D
E L ’
AR
ES.
2.4.
1. S
impl
ifie
r et
am
élio
rer
la
régl
emen
tati
on.
Faire
des
pro
posi
tions
d’in
itiat
ive
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urea
u et
au
CA e
t, à
tr
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x, a
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ouve
rnem
ent.
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des
prop
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ons
en
répo
nse
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s du
G
ouve
rnem
ent
via
le B
urea
u et
le C
A.
Tend
re v
ers
et p
ropo
ser
l’ajo
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e no
rmes
man
quan
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dans
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situ
atio
ns é
voqu
ées
ci-d
essu
s.
Dan
s le
s si
tuat
ions
évo
quée
s ci
-des
sus,
ten
dre
vers
et
prop
oser
la
mod
ifica
tion
voire
la
supp
ress
ion
de n
orm
es
obso
lète
s.
Assu
rer
un
reco
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aux
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es
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et
aux
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ns a
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c en
la
mat
ière
pou
r le
s co
llabo
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urs
conc
erné
s.
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opos
ition
s d’
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ativ
e dé
posé
es.
Pr
opos
ition
s en
rép
onse
dép
osée
s.
N
ombr
e et
im
port
ance
de
s no
rmes
(o
bsol
ètes
) m
odifi
ées
ou s
oum
ises
à
mod
ifica
tion.
Nom
bre
et
impo
rtan
ce
des
norm
es
(man
quan
tes)
ajo
utée
s.
2.4.
2. S
impl
ifie
r et
ha
rmon
iser
les
proc
essu
s.
Impl
émen
ter
une
harm
onis
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n de
s pr
atiq
ues
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ein
de
l’ARE
S :
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indi
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r en
tran
t et
sor
tant
. o
Uni
form
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les
docu
men
ts (
note
s, a
vis,
etc
.).
o U
nifo
rmis
er le
cou
rrie
r et
le p
apie
r à
en-t
ête.
o
Uni
form
iser
les
num
éros
de
télé
phon
e et
les
adre
sses
de
cou
rrie
r él
ectr
oniq
ue.
Assu
rer
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perm
anen
ce t
élép
honi
que
et d
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ueil.
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alis
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’util
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ion
de l
’acc
usé
de r
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tion
et d
e la
ré
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e au
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atiq
ue a
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cher
cher
et
pr
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voir
tout
es
les
proc
édur
es
– no
tam
men
t él
ectr
oniq
ues
– su
scep
tible
s de
ré
duire
le
s dé
lais
de
répo
nse
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ein
de l’
ARES
.
O
ptim
alis
er la
val
idat
ion,
la c
ohér
ence
et
la r
espo
nsab
ilité
de
s pr
opos
ition
s et
avi
s re
ndus
par
l’AR
ES.
Assu
rer
l’int
égra
tion
de
la
notio
n de
si
mpl
ifica
tion
adm
inis
trat
ive
dans
la g
estio
n qu
otid
ienn
e de
s do
ssie
rs.
D
ocum
ents
uni
form
isés
.
Accu
sés
de r
écep
tion
émis
.
Reco
urs
aux
proc
édur
es é
lect
roni
ques
gé
néra
lisé
lors
que
cela
est
per
tinen
t et
ad
équa
t.
In
dica
tage
et
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abili
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ient
s.
N
umér
os d
e té
léph
one
unifo
rmis
és e
t di
ffus
és.
Ad
ress
es
de
cour
rier
élec
tron
ique
un
iform
isée
s et
diff
usée
s.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR40 /60
2.4.
3. D
émat
éria
liser
le
s pr
oces
sus.
Dév
elop
per
le r
ecou
rs à
la s
igna
ture
éle
ctro
niqu
e.
Appl
ique
r la
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ion
des
circ
uits
él
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oniq
ues
d’éc
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tion
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cour
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e /
prop
ortio
n de
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sign
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N
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cour
s au
x ci
rcui
ts é
lect
roni
ques
pou
r le
s de
man
des
urge
ntes
.
2.4.
4. T
endr
e ve
rs u
n ar
chiv
age
opti
mal
des
do
ssie
rs.
Déf
inir
et p
rom
ouvo
ir un
e po
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’arc
hiva
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un in
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hive
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s su
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tral
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.
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inve
ntai
re.
G
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d’es
pace
et
en
viro
nnem
ent
de
trav
ail p
lus
optim
al.
G
ain
de t
emps
.
2.4.
5. C
ontr
ibu
er à
l’é
valu
atio
n du
fo
ncti
onne
men
t de
s in
stan
ces
de
l’AR
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perm
anen
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uer
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s pr
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G
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Pr
opos
ition
s d’
initi
ativ
e dé
posé
es.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 41 /60
AX
E 3
- Fa
ire
de l’
AR
ES
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tabl
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3.1.
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L ’A
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DU
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E D
E L ’
ENSE
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E-M
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SUP
ÉRIE
UR
.
3.1.
1. S
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la m
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uvre
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m
issi
ons
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itut
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elle
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l’A
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issi
ons
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S et
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voir
les
colla
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tions
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rt. 2
1, 6
°].
Rem
ettr
e de
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is e
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s pr
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s au
Gou
vern
emen
t su
r to
ute
mat
ière
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l’ens
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t su
périe
ur
[art
. 21,
1°]
.
Pr
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Gou
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emen
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. 20,
7°]
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les
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la
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ion
[art
. 21,
14°
].
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[art
. 97]
.
Ac
cuei
llir
et a
ssur
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istr
atif
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issi
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art.
24,
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/14]
.
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.
Com
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et
su
ppor
t as
suré
.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR42 /60
3.1.
2. S
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la m
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m
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art.
21,
5°]
.
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1, 1
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supé
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1, 1
5° e
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11].
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. 21,
16°
].
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les
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agog
ique
aux
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ants
, et
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art.
21,
20°
].
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[art
. 21,
25°
].
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enir
le
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es.
Ré
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ntie
ls d
e co
mpé
tenc
es d
éfin
is.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 43 /60
3.1.
3. S
oute
nir
la m
ise
en œ
uvre
des
m
issi
ons
de
l’AR
ES e
n m
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. 21,
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.
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1, 9
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1, 1
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us.
3.1.
4. S
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nir
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1, 1
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.
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i.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR44 /60
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1, 1
8°].
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1, 2
2°]
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. 21,
23°
].
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art.
21,
24°
].
3.1.
5. S
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1, 1
9°].
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 45 /60
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3.2.
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR46 /60
3.2.
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 47 /60
3.2.
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 49 /60
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR50 /60
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 51 /60
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.
4.3.
2. D
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.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR52 /60
4.3.
3. D
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4.3.
4. D
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4.3.
5. D
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obt
enus
.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 53 /60
4.3.
6. D
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.
4.3.
7. D
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.
4.3.
8. D
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Cou
r de
s co
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le p
roce
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.
In
itiat
ives
pris
es e
n ce
sen
s.
Re
latio
ns o
ptim
alis
ées.
Résu
ltats
obt
enus
.
4.3.
9. D
ével
oppe
r et
op
tim
alis
er le
s re
lati
ons
de
l’AR
ES a
vec
ses
autr
es
part
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res
des
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es n
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ir.
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s re
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ives
pris
es e
n ce
sen
s.
Re
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ns o
ptim
alis
ées.
Résu
ltats
obt
enus
.
ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR54 /60
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acte
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5.1.
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nove
mbr
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13.
Serv
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des
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2. A
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men
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 55 /60
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR56 /60
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 57 /60
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ENSEMBLE - Plan opérationnel - Novembre 2014ARES - ACADÉMIE DE RECHERCHE ET D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR 59 /60
5.3.
3. P
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