2

11 l'q0"\TIVIIE31=ELe gouvernement avait décidé de

;célébrer l'anniversaire de l'Arnlis-tige, Cette année IBMIX 155 éclat tfeldparticulier.

AU fend, nuise à part la eéréMOsnie de la flamme qui CoMpOrtait ledéfilé de 130 flanibeaUX de ProViaceplus céUX d'entre-Mer, plus eMIXdes pays anciens alliés, le reste des

- fêtes reaSeMbla Point par peint ailltfêtes des précédentes an/Mes.

Mêmes eXhibitions Militaristes,Mêmes Coupe de tonnerre et de Cli-ques, Meinm cliquetis de Sabre,mêM. VroMbiSSementS aériens,

.1litemeS exploSionS de challvinisme.On-MM pus manqué dans les dis-

cours écrits et parlés et même à laradio, de noces répéter que c'étaitla fête de la Victoire I

Dans l'ensemble, même protocoleque d'habitude présence de M. Le-brun, défilé, félicitations aux trou-pes, et... horernage à Georges Cle-Manceau devant le Monument ders

ChaMps-ElySérn de la part de

uses 0 amis parmi lesquels On

voyait MM. Jeanneney, présidentdu Sénat; Georges Mendel,.tee d. Colonisa; Mourim, senateur,ancien ministre ; Villegrain, ancienministre; Maringer, président ho-noraire chl Conseil d'Eilat; le gêné-rat Merdaect.

A NETILANGER

drapeaux belges et alliés, le Priace(Martes, représentant le roi Leepold,souffrant fritne atteinte de geinte,est allé se recueillir devant le tom-beau du Soldat inconnu, où il a dé-posé Une Couronne de fleurs.

D'autre part, les membres de /acolonie française Ont célébré Panai-versa.° de fArinistice par mur tra-ditiOnnel ridera/lege us tombeau dePIM... M. Hargeton, ambassade&de France, et le comte! Laurent, et-taché militaire, aSsistaient à la Céré-monie.

A LondreS, l'anniversaire de l'Ar-mistice a été célébré dans Whiteholl,autour du cénotaphe, dans le silencele plus &sok et le r.ueillement lePlus profond.

/.e roi s'est rendu au Pied du ciLlo-bulle, accompagné seulement du dmde Kent. La reine, la reine-mère etla duchesse de Kent avaient prisplace it une fenêtre du ministère del'Intérieur faisant face au Monument

Le roi terri, des mains de sonfrère une couronne de coqueligotsqu'il a déposée au pied du monumentPuis, se reculant de trois Pas, il ersetenu au garde-h-vous pendant quel-ques instants avant de retourner seplacer auprès de son frère. Les mi-nistres sont alors allés déposer descourOnnes a côté de celle du roi.

Soudain, juste au mcnnent où lagrosse horlOge de la Chambre desCommunes Sonnait II &lites, les Ca-nons en batterie sem l'esplanade dela caserne des horse-guards tonné-rent Tolites les tees s'inclinèrent etpendant deux minutes un silenice s0-lennel régna sur la multitude. Puisles clairons SOnnèrent.

Un grand &Unir monio de touteCette foule psi entonna avec fervent:le e Goa save the king 0, tandis queles canons tonnaient à nOuvem.

A Rome, une Messe a été Célébréecomme tous les ans, à VégliSe satin-nale Saint-Louis-des-Français. M. An-dré-Franceis Poncet, ambassadeurde Franoc prés le Quirinal, et M. Ri-vière, chargé d'affaires près le Saint-Siège, y assistaient, entourés du hautpersonnel des deux ambassades etdes membres de la Colonie française,tant religieuse Mie civile.

A Bruxelles pavoisée de nombreux

111111B111111111111111111111111111111/1111111111111111111111111111111111111111111111111111111111»

Les projets financ:ers

de M, Paul Begnaud

TBOIS

srllets de diseuse., dans les

du Parti racircal au Comité Na-couloirs... et ailleurs r La lettre

' nasal du .ssemblement Pope-taire, le problème colonial, 1es décrets.toi.

Les décrets-lois C Nous les remet.Mons demain, dernière limite. M. Da-huilier ne ra.ra pas le s train m Mais01 était temps

Assai bien précipite-t-on, kl et là,les ultimes entretiens M. Pommeschez hl. Paul Reynaud hlne matin ethier apMs-midi. 155. Pomaret chez M.de Monate. M. Pomaret (M. Poss.tcet très demandé on cc moment...) etSI. de Momie chez M. Daladier, aMsique &LM Rivollet, de Barret et Patate.ne, représcetants de ta ConfédérationNationale des Anciens combattan..Roarnier,"gouverneur de la Banque deP.a., chez M. Paul Reynaud, ote...

Vous le voyez, on reçoit beaucoup.E- t rés se hâte.

QUand li est sorti du cabinet du présaident du Conseil, le ministre du Tm-MM a jeté aux journalistes, - Tout va très bien

Tout va très bien t Entendez queM. Percer& doit trie satisfait d'avoiramené le ministre des Finances à ce.essore à, certaines des formatce socimles qu'il avait envisagées.

Dans sa volonté d'obtenir un effetmassif Sels « confiance r.ta.rée » (?), Mi Paul Reynaud avaittendance à frmeldr des Maltes au de-là dnaqnnilas il risquait de s'égarer.Des consMs, voire des avertissementsd'ordre politique lui ont été prodigués.Il en a .rm compte. Il a rayé de sonprogramme certains «gestes symboli-ques ». Il s'est finalement contenté depeu par rapport à ce qu'il voulaitbrats ce dont il s'est contenté est sue-ifisamment sensible par mpport à cequi est. 000

Le princepe de la loi de 40 hceresdemeure intact Mais, dans le cadre dela réforme, on procède à des assouplis-sements gui se substituent aux anciensaménagements.

Pour accroître - si possible, car iljy: faut bien d'au.. conditio. - /aProtection, on rend plus rapide it Pre-'périme d.Moi des heures suppléance-Mires. tin preav., dêsorma., suffira

La loi et I. décrets-lois intervenusdans ces derniers mois ont nuis à la.d.pceition du ministre du Travail di-vers médits d'heures suppMmentaires,utilisables dans des cas déterminée.Ces crédits vont disparaitrm Mais onosmira un crédit provIsionnel - etrenouvelable -On 20 heures par mois.Banne/ona mies ce qui concerne lesIndustries .avall/ant pour la Défensenationale, le crédit est il/natté.

La notion du e temps mort a -geste-dire le temps rie mésonm du-rant lequel octets travaille pas, letemps utilisé par les ouvriem Prim s5re.stanrer eue phase et se PréParerleur tâche - sera Introduite da. les

- prochains textes.Dans certain. industries, . temps

représente parfois nne heure, ou sneheure et demie. Eh bien, à l'avenir, ilviendra s'ajouter à la journée de tee,vaut positif accrue des heures supplé.mentairce. Pm exemple, un indus.ielqui demandera l'autorisation de fairetravailler ses ouvriers pendant 42 heu.

rr5 effectives pcerra les conserverSuas ses atellers pendant D heur. ou43 heures et dresse. Mais le « .mptmort » devra .peadmt être payé aux.vriers.

Par l'extension de cette formule àl'exploitation ans .cenins de fer,escompte, mit dit en pasmnt, obtenirlu personnel un rendement stfe,ra .reur

Mi ne...tirait de licenerer unde /a main-d'oeuvre non encore eomissionnée.

Mais, c'est l'évidence, on augmeatmrait ainsi le nombre des chômeur.&ami r.berche-t-on le moyen d'a,viterque des milliers de Mayen.. rulcontraints de s'inscrire au fond s dchômage. Ne va-t-on pas au-devant de

mort?Male, une question Que

taux de majoration des heures suppla-nter:taire. f II est .tuellement déter-Miné, en vertu des conventions collec-

tives, par un accord d.. oetnde

- peut étre inférieur à 25 p. .

escendreue Ton veuille d

parle de ra.meter. à 10 11. ses q1

ration On sait l'émotidn que son dis-cours avait créée. C'est h lui que ladécision appartient

Lars du vote des pleins pouvoirs, Ilavait pris rengagement de solliciterla collaboration de la classe ouvrière.C'est peut-être le moment de ne rienarrêter en dehors de son avis, de sonconseil 55,115pense-t-il

En tout cas, accuse smrait manquerde le donner, men. si on ne le luidemande pas... 000

Le plan .ynaud comporteraiten contre-partie de l'effort demandéaux ouvriers, un cru.. nombre demesures, dont divers. d'ordre fielid,qui s'appliqueraient aux entreprises,aux société.

Per Pa:met o. songerait &réaliserretraite Oct vieux Sentes finmce-

ment serait assuré, selon le projet delei da gouvernement, dont di.uté laCommission de PMvoyance, par 1.ressources des Asmrances sociales.

Les anciens combattante hl. PaulReynaud vendrait hies obtenir leur...

.neours ». Mais ne Mt-on pas (Me.1aMer hésite s'appMe vlsi-

bimane sur eux. Cet appui ne rusas-5-ii pas de lui faire défaut demain,s'ils sont frappés

LeS fonctionnaires 2 On amélioreraleur condition, .reme nous l'avons dé-jà indiqué. Mais dans quelle propor-son On parle de deux milliards...

Samedi soir, 20 h.res, dans l'al.locution radiodiffusée qu'il Pronsavemdu Palais du Lorme, 31. Paul Reynaudrépondra à toutes les questions Miviennent aux lèvres. Et il dira les rai-sons des 20 ou 30 décrets-Mis qu'ils'apuré. à mettre sous les yeux duprésident Subi République. Après quoi,nous apprécierons ces raisons ottextes...

Les réactformairce se frottaient lesmains, hier, en fin d'après-midi, laCha.mbre. C'est qu'ils venaient depren&e connaissance de la lettre duParti radical au Comité national deRassemblement Populaire.

- Ça y est Enfin, le Mem:able-ment Populatre est rompu

-Mais des députés radiceux interve-naient pour refroidir leur cethmsias-mens pour falre Observer que le grou-pe parlementaire valoisim aurait sonmot à dire.

Les mêmes ajoutaient que le bm.0du parti radical n'avait pas été unard-me à prendre la &daim qM réjouis-sait les droites et que la thèse de laminorité - 6 contre 13 - trmveraitun petain ache auprès du groupe.

Dans la minorité, MIL Henri Cam-nut, Desarnaulds, rame, Bluet, At-h: b dDe son cOM, le BureauputsIqne 55

Parti cmnuniste publiait un cernera-nique affirmant « malgré les attaquesdirigé. centre lui, contre la C.G.T.,contre le Parti s.ialbte » et mêmecontre certains radicaux, sa volonté derester fidèle au .memblement Popu.

C) 0Le problème colontal... Il alimentait

autant que le problème sises elle .conversations.

Et une nouvelle manifestation venaitsouligner l'émoi provoque à la Cham-bal par le discours d'Hitler. Interpré-Interpré-tant le .limn.t «Man grand nombrego radiea., 31. Le Rail, député duFinistère, a demandé Chicheryde convoquer d'argon. le groupe par-lersen.ire valoisien.

Dans la lettre qu'il lui adres.e,il s'oppose toute cession de .rritoireet il précise r Le Parti Radical, àMarseille, a dit nettement sa melon-té. »

On attend la réponse de M. Chiche,c'est-à-dire celle de M. Daladier-

MARCEL REDOUX.

111111111111111111111111111111111111IIIIIIIIIIIII

I

Nantes, 10 sovemMe (Pm midllim.)- congrès de la Fédération Natio-ale des moyens de transport s'est ou-

Jecemd

vert ce matin 5505 55 faubourg de San-.. Le lieu où il tient sce cesises s'ampelle salle du Tourbillon r à l'ordinairegcet un dancing. Ses murs sont .cerésde peintur. pastorales du plus char.ment effet A la tribune tentures rou-tes et plantes vertes.

r

La discussion sur te rapport moralqu'a présenté Jac.nd, secrétaire géné-ral de l'organisation a vite dévié en dé-bat sur l'indépendance du syndicalismeet sur la Utmtion internationale.

C'est Déesse, d'Angers qui a acercehéle grelot sur ces deux questions. Il l'afait avec une cer.ine brutalité qui Mestpas Méo sars provoquer Ose meuve«men. divers.

- Certains sont venus à l'unité syn-dicale avec quelque arrière-pensé, a-bildéclaré. Il y a ainsi deux catégories desyndiqués ceux qui sont syndicanstesdiabord et qui pensent avt. tout aumouvement confédéral; se. qui sontcommunistes et mi répmdent des motsd'ordre préalablement r.ueillis dansleur organirntion politique.

Pour Déant certaines grêvea fomen-tées dans la région parisienne n'avaientpas un caractère professionnel maie OmitMique. Il pense que des mouvercen.

"urrXr "fe. trta"a.''1.01 Si.; provoquer une désaffection

Quant aunceorde de Munich, « ilsont évité le pire dans l'immédiat s carle jour &la marre éclaterait outre sonhorreur mnglante, ene supprêmerait les,libertés et annulerait- touten les réfor-i C,ofasson

A Jcen-Bonin, Stade Français bat StadeNantais par 12 à 9.

ILLATCIIES DE SELECTIONA DIX. - Côte Basque (A) bat Cil.

Basque (3) per 11 à O.A DIX. - Basque (C) bat Carte

Basque (D) par II à S.A AVIGNON. - Sélection Provence

bat Alpes par 10 à O.A CLERMONTFERRAND. - Centre

bat Limousin par 24 à 12.

LE Sus-D! SOCIALISTE

A Nantes, le Congrès National 1

des Moyens de Transportsa voté hier les rapports administratifs

Après un débat consacré surtout à l'indépendancedu syndicalisme et à la lutte contre la guerre, une

résolution de solidarité avec les combattantsespagnols a été votée par tous les délégués

De notre envoyé spécial DANIEL MAYEROn a aussi estén. Ivars (Algm)

Bipoll (Oran); Et., t°.'' et-tiré l'attention sur la situation en Af.que du Nord et notamment sur Pagita-son fasce. Mi rtdd,SotieEne de nonMreux eutrce militanteont d'ébattu quelques met.. pure-ment cerporativce. Pale Jaceone alun-guement répondu à tous.

Finalement son rapport a été adoptél'unanimité' moins deux voix 0 E trola

abstentions.C'est également à l'unanimité moi.

deux voix que le rapport financier deCottassontedtsou sut

m véllecare-des mandats que k:gués sont pré.

'eroset Zgeri'obe.le""'n' nC'est k l'unanimité ente qu'on a

adopté une résolution adressmt am hé-reliques combattants républicains d'Es-pagne, « le sMut syndicaliste et révo-lutionnaire » du congrès, mem a récla-mé a que soit don& au gouvernementlégat diEspagne les moyens matérielsdie:mimer rebellion s et décidé depoursuivre rcenme de solidarité entre-

Il était plus de 19 heures IMeque lescongressistes ont terminé cette journéechargée par envia d'honneur bien osé-rité offert par les organisations smart,cales des transi.. nantais et auquelassistait Pensait secrétaire de l'Union

De

de

m'n " enter on et 1'"" " dOis enicsliel.

Il rappelle que ln question du m-

LE CONGRESDE LA CONFEDERATIONDU PETIT COMMERCE

D'un avis sensiblement analogue a étéBouliet de Montpellier qui a rappelé queOs droit rie libre critique MM être totalau se. du mouvement syndical :

- Quand nasiques-uns ont critiqué la

!t'Us crratneZneQu'on 5001 éPargeo donc les injures srnous nous élevons centre la penne,extérieure du parti communiste, tilt-Iiécrié.

Bergeret (T.C.R.P.) Raymond Damon-lin (Lille) Van Omet (Roubaix) se sontaussi prononces pour l'indépendanceabsolue du mouvement syndical et lesdeux derniers de ces orateurs ont récla-mé la dissolution des cellules commu-nistes et des Amicales Social... Ilsse sont affirmés contre toutes les amer-res qu q soma

ce dernier point, Morellignon, Deminal d'Anzin, Lochard de laS.T.C.R.P. et Gareice, secrétaire fédéral .as sa& révélà. d...vis différent- [Le procès des quatre voleurs

-Nous sommes contre /a guerre, om:mais no.

somm.A.pour la

mdeer.com, de Rothschild

tre le fascisme. quoi sert luttercontr&ele fascisme intérieur si l'on ap: _ __ I

5112".:e':,sseet.r. ' .i'soi. esté- 'mo 'kri:",1.=.7%7<s°=:`,.'s710ge,..r

,,,Verec,.:erfueznel.. Meien.';Vernrnerio. lerféf=ecroUte eteuropêemes réclamée par le président Vs, acanVM.trois autres, ean LacenRoosevelt était devenue une rencontre àquatre ppm. ru, tatapcp, np,_ SaiLes

J t Anto-n Pascal, Alexandre GuiMoli, sont

pidement dans l'arbitrage hungero-Sio- Ponde/unes à de peines respectives devaque, qu'un pacte dem l'axe Rome- ..i°101,,iavnes ireere ens.et trois ans rali-

Berlin. s .200 franc, d'amende

111111111111/1111I1110111111111 ..... 1111 ..... Illllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll

TOUILNOI DES TROIS a BPOULE A. - Tarbes bat A. 5. Ba

penne par 7 à 3.

CHAMPIONNATS, REGIONAUXA GUJAN-MESTRAS. - U. S. Guios

mise et C. A. Balais font match nul. 6' 6

A BESANÇON. - Franch tée-Com beloBurgogne ,par 30 à 12. A CARCASSONNE. - Ass°<lànà.A LOURDES. - En ehm0ionnet As Sportive Cames...aise Inc Toulouse.magnac-Bigorre. le Football Club Lourdais. Olympique par points 12 essais trans-ite- le Stadoces. Tarbais cer 8 points )2 fumés, 2 bus) à 12 points 12 emais.essais, 1 huit con. 5 peints (1 esmi, dro 2b5S)

A ALBi. - R. C. An50.1lut Castres 13;ie. 47 points à 7.

Ce match d'entrani bment a é té dséen trois , cunemiennes Au p... dm Mua Prearièms.

A BEZIERS. - En matell, de chan& PRIX DE LA S. T. C. R. T. P.., 35 ana 5505101111 55, rav Wavt.. es Mes, des réuni One artistiques au

tenu hac

La première journéedu Congrès de la

Fédération de l'Enseignement......a été marquée par l'approbation du

rapport moral et un exposé de Giron

sur les rajustements des traitements

ea,r yekel'irPiree"e'XraerlUgtr'Zerevendications au moment déci-dirkee'su, Vie.,ntelerrééerr

ouvra la mance qu'il place sous ma Pré-'Mimée d'Aurlaux (inetituten.). dera l'action, action qui sera directe et

Tout d'abord, Breems, représentant rapide si les tergiversations devaientle secrétariat dé l'Internationale de continuer Etigtenlps encore. Ge butall'onseignoment Vient sellier faesoMblée. toton.faut attendre le fin du con-

Après lui, on aborde discuselon du grès de /Vantée ut lee projets réels de:rapport moml. Interviennent Houris. M. Ped Reynaud.'MM.). Petit (Rhône), Nommé (C6te. Une commssien deo résolutions estidu-Nord), Barrai (Cir..), Momie nommée ensuite pour rapporter un tex

LoMel, Courault (Nièvre), Palière (lié- essor cette Most., des ...men..mault), 55515555(Bonches-du-Rhône), Elle se remit aussitôt dans une salle

teu'rr etke7(Pu'errr nteliPes-e&-Calais).

liesur ape'ensulte la question de la réfor-'neve me de l'enseignement qu'appelle l'ordre

:PPM. du bureau, lee autivaiotler.r,unriti. 00100e. Merat, en guise de préambtde,:ment Lee problèmes tecemiquee lea le malalse causé par l'ajournement

gule, t'attitude de devant dieCussion, la aune des débats est reng

leortblèmes elinternationa., entrât voyée matin.inent également louanges et mai..

MirosAuli t& a rée Mollet le secrétaire lé-&min/dénié' monte à le tribune Pour&po... Il rappelle que le resserre-ment dee eatégori. diverses de l'en-seignement animé cause même de l'ends-terme de la fédération. Cite lai qui di.termine toute rection de la directionfédérale par une action incessante.

classement des catégories dépend sur-tout des pouvoim publies. Au passage,il déclare que el certaine lui repro-chent d'avoir signé le manifmte desci"e"'rener raTe&iscipe,res'icennarades de conceptions différer,tes comme des M versames.

Calmement l'action de la CA, 11 de.plom que la minorité ny siège pas, à

gsrelindsr 1'eM'srirriCire:merrraî'en'i.les difficultés que la direction rencon-tre. Cependant, il est faux de l'accuserde carence.

Après un court debat me. la presse0051511,rale, on vote le rapport moral, quiest adopté par 198 mandats contre 73et 87 abstentions.

La séance de l'après-midiLa séance reprend à 14 h. 30 avec

l'étude de la question des traitements.Participent à la discussion Houriès(No.), Manet (Pasde-Calats), Barr.(Gironde), Valière (Hérault), François(Ardennes), Bruneau (Charente), misse(Landes), Boirar4 (Seine), Savariat(Bas-Rhin), Vidal (VIenne) et Coupas(Nièvre).

Le rapporteur Jacquemerd leur ré.'Pond. Il a pris bonne note des critiqueset suggestle. présentées. Il estime 505

inatituteru, catégorie de base dereceeignement, 0000001 0000 leurs Mai.temen. revalorisée les premiers.

Il évoque l'effort de reclassement teltpar Fédération des fonctionnaires

nilesrevendications du cartel des services'Publics qui prépare rection éventuelledo demain, car il semble MM..serer/11er à outrance et de revaloriser,imsitanement les traitements des fonc,

timnaires. Ceux-ci doivent donc se te,Mr prêts.

glieut;on p&raisdo (exercé tee talents et a aggravé le score de Temps Sac, 19 s. 2/5; 3 m. I 9s. 4/5;

Métal

Les avionsde la 355 escadresont arrivés à Tunis

Tunis,

10rvembre.

- L. vingt.ce-seecinnouit4. Îles

partir de 8 h. 10','S. destination de Tuni,s,

,..;:,11%,reter,,,feLeJ.intztkzes'est effectué comme il était prévu au.dessus di la Corsa ce de 15 0005 nord

do é,,v0000n

de la '

500 1155 tIrs Lirà11'7,0110is1eile,:leau Mar. où elle restera une dizaine ds

:

Giron11005 derifre après /ut quelques nen- =cul'. en't''cies5 leludng«r'ester5,

soigne/mets nm-Mriques sur le nombre dans te Tafilalet audese. de 15 Mal.

ET DE L'ARTISANATdes fonctionnaires, les indices de base, du Grand Atlas et des autres cm

trees desertmuce environnante,t..d. da 12 20

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a

lm.)Cannes, Lens, Rouen, 8 p.; /2. hmehror,

Belle et nèà intéresmate partie pouba, et mraebourg, 7 p. , 15. Antib 111111111111111111111M111111111111111111111IIIIIIIIIIIIIII11111111111.1111111111111111111111111tillA PARLS. - Au mde du Méno, à la ,,,,,,,,,,, 5r.

Croix-de-Ben, La rémrve du Métro mue-mit en un match ical ,iérnape premire du Tollouse-Maramengo-Chernincen-Spè-orta I Rd Star R

DEUXIEME DWISlON il.' " ()Ili ce des uvres sociales". e et eims, 19 p., 3 Remen,

L. vic.ire ``'"vm'n. «. e''''' ' i slà.; 4. Toulouse, 15 p.: 5 Ni. et CoI.A VIENNE. - Bourg bat Vienne par 3 ,... i , . t., n'était qu'une oustepoints à 0.

. p ; 7. Girondice, 14 p.; 8. Haut.

RUGBY A TREIZE Chmletill:.'1'0 r7.71°57.,,1:. ::::dwv:

à O.

Aerts, Nes& et °Bologne. /I p., 15. entreprise d'escroqueriele:miennes, 12 p.; II. Te..., 12 p.; 120 s

A BRIVE' - RadààiaLl di R''''" Ppr'217.8.C". rè2e' 19' .2171ti::' 8....,.. m....re, j-.....- c5 ..,i.,,, , ...., .s ifnPriméstba

nom.C.

A ,,,iste 0,,,, .3 tpoi.. (E,..due

.. ,m-; 7 p . 22 ,-_,uPP2 e . 2, -,,,,,;:. La...,0.,m&'Iti;,Trt;

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. enotete, au-dessus de la ru,P..6buts) à 9 s (I essai, 2 buts e '' . ' " son sociale, la mention suivante :cour. 5 P.garions isdiciames, sest e ,

Edtme, où il a une percer,Liberté - Egalité - Fraternité__cos altion dans un local servant de siège à

COURSES DE CHEVAUXA TOULOUSE

gc'e'ecOrenrit"rn=ierner-Verr'in.:e'd'escroquerie fonctionnant dem. 551)longtemps.Il avait à sa tête deux

PliqZ NotbellLe prix Nobel de littérature

Pearl Buck obtient le prbe,Nobg de

allés,épisCre'4'6'&1,'eene.r1,missionnaire prre,,,*ere 60. fer. l'Scelvaln 51m. 00500nL'enseMble de ml 100155 pouffait slintittaler Glandeurs et Misères Suis Ch,ne I. Généreuse, elle Penchée surles habitmts misérables, ertl.e Irez,cauc,t.

vent les dépassent. not. donr. unaperçu de es

quen

peuvent fan, et peu«

ngsiZreenbeteeentles2tvolutions et guerre, luttam pour rinde.Pendance de leur ...men. paye, Carte,nul de ses nouvevmme « La niét

gr.;.e".'.'granaradon, Psnet 0010 n,voici quelque Mmps igné une adressede protestation lors de l'agression jarre.salas. Mais que peuvent les voix desêtres de banne volonté Grand écri-vain, auteur de « Vent d'Est, Veutd'Ouest p de e La Mère n, « Patric-

tc:urér.'r'e' It'innetlin.:*riereertctrréception du télégramme de Stockholmlui annonçant que le prix Prole0 de litte-ettnre lut malt été décerné, a exprimeun très grand contentement Elle a sot.ligné qu'elle avait « beaucoup de diffi-celte à le croire a.

Henrico Fermi se voit attribuer.le prix Nobel de physique

L'Académie dus Sciences, qui vient de

au professeur italien Enrieo Eermi, rat

vence subgames élémentaires radio..Ume engendrées par l'irradiation deneutrons et sa découverte de réactionsdans les nimma ...tes par des

neOsa'tronemometnent lent

Le pria Nobel de chimien'est pas attribué

Le prix Nobel de chimie de 1038 a Miréservé pour etre arteMuà éventuel.Ment en M00.

LA GUERREEN ESPAGNE

est décerné à Pearl Buck

'dnérgeser'ilievaLlieevténigents qui son.

Barcelone, - Voici lerommuniqué OffigfceFRONT DE L'EST

D. combe. tMs acharnés cent,nient a se derotrier dent la zone derEbre. Nos solchlts falsmt preuve d'unmore... élevé, repoussent atta-ques violentes des forces de l'Invasion;mi subissent de grosses per.s.

Dans le secteur du Segre, l'ennemiappuyé par dee tmks et par l'aviation,a déclenché de fortes coutre-attaquescontre nos positiona de la rive droiteSu fleuve. Les combats se PoursuiventThmre do rédaction de ce communique:

L'aviation républicaine s bombarde etmitraillé les lignes rebelles. L'escadringde FM qui attaqua. nos escadrilles dabombardement, a été mise en fuite palisnos avions de chasse.FRONT OU LEVANT

rdd,elt moteur de la côte, les troupeaespagnoles ont .repoussé énergiquementpEsisurs attaques ennemies COntre nos'positions récemment conquise._

Un bébé succombeà Pabsorption

d'un' 'demi-litre de vin

compense ainsi ses travaux sur denom

Jeudi dernier, Mme C-, demeurantrue Nation., gét14150absentée peurconduire sa fillette à Piece& maternelle. Ellle avait laissé au lit son bébilJean, née le 19 février MM. En remtrent trouva lienfant en chemise,inmimé mus la .ble. Ehe se Préeinitaet le releva. A ce moment le petit vomirmi peu de vin. Le mère constata alortqu'un litre laisse demi plein mrtable MM vide. Un peu du liquide netreit mcore dans une timbale.

Elle coucha le bébé qui, toujourssans connaissance, avait les mâchoiresserrées et les yeux revu.. A

5101rentrantda mn trayait le Père +émailà Mi faine rendre un peu de vin.

Un peu Plus tard, mn état ne05510,lion&pas, le petit Sem fut transp1004

à l'hôpital Trousseau on mourut lolendemain matin.

L'autopsie a été ordonnée.

MOUVEMENTDU PORT AERIENTOULOUSE.FRANCAZAL

POUR LA JOURNEEDU 11 NOVEMBRE 1938

L'avion euclidien d'Ale France Pontl'Espagne 500e Mar., parti de Toulouse

6 33 avec 3 pamagers, 162 kir..de oce, 230 kilos de 0,00, est arrivé àCasablanca.

L'avion quotidien d'Air France venantdo Msenc 00 aEnnagne, parti matin à0h 45 de Camblanca. e-st arrivé à Tou-louse à 14 h. 10, avec 7 passager, 9,kdos de poste, 78 kilos de (réf.

SCuleMOSOODODADOCOODOOVISOCMOI

Ville de Parisreienemprlizeo.furent ceux qui se laissé:-

Les deux emrocs, organisèrent encoredprofit de rààà, prix de. Piàe Là ar'àà

au-dette. M. Daladier aven naguère

procédé

S'., . ,oacnaaa - Brocher. ',»TARBES -Ases S Lma bl ta .

nat dL edoc, lS.dLéda 2.000 francs, 2.050 mètres Cce deux individus avaient pour dom

5001011E5001011E MERIDIONALE

,onu angue e ..nais a battu I' Assovietien Sportive Bite,mise par 15 points à 8

I. NIGER euffalo) G 1155 'earniteleTeM Me:1 Zen":à Mme Pujol P 7 n trona. de hautes percennalités, en ee orgarlisate,ILeurentele °MM ses

D'IMPRESSION;é.. natmellement tges

r,vélevé.

deMais lm

A CLERMONT-FERRAND- Centre ...us une... de !cet, reserve ont 2. MS.-13hrette (Bourde.) P 10 50 Xlirdmrl hien de les mirer do singulier :aourrnalls.1,1: rtnva,le.,,nef %1Lalipeenl, er.t ,leaen

ss, *ae Roc dee 1.r.e. Tà5L'iààà. t Limousin par 24 poins 16 essais, I remis teue place, en.dralir .de nouvedes 3 Khi. 1/ (Coubied lllll P 55 Viielvear ail,. Leur ...MtTM : 300-48 drop, 1 but) à 12 points 12 pais, 1d recrues oui ont produit une excellente Origines . gagnent : Quo-Vadis et 510,1 05 .téj._ Zoapreixon. y ta. des, etc., Poir et rd souicitent nrts e's'

ren. insrei's'a.ffluè ,f.; qu. v .99 ;r,ii

Tarbaim bal Associ&tion Speellm 13ePon- aPrès la elagoantiètrie ',naira, Due1ElNt,. (distance de l

nl la pie. P...4..e), -4,,.d, nd,ed,de, mq,x .à.'-P. ......t.,41.. 2.. .;7,e%.4;:r.''''',iation portive a rque eu taée., éit 25 à 7 N. pl. ea noisiàme des dom,ce Lomba m

a errent des eivêt e au Me e e e t r

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

IL Y A

VINGT ANS L

Deux joursde novembre 1918N vingt ans, bien des souvenirs s'estompent dans

Ela mémoire des hommes.Je crois pourtant me rappeler avec assez de

précision certaines des circonstances auxquelles il m'aété donné d'assister dans les premiers jours de novem-bre 1918, au moment où fut signé l'armistice.

Deux tableaux sont particulièrement restés gravésdans ma mémoire. effle

Voici le premier.7 novembre. 8 h. 30 du soir, à La Cenelle, qui

est, comme on le sait, un petit village situé sur lagrand'route de Guise à Hirson. Les avant-postes fran-çais sent à environ 1.200 mètres au nord.

A la sortie du village, vers Hirson, se trouve unepetite villa bâtie à quelques mètres de la route t lamaison Facq.

Nous sommes là cinq officiers qui avons été dési-gnés pour recevoir les parlementaires envoyés par lehaut commandement allemand pour demander l'armistsoe1

fait froid. Un brouillard épais et humide renomvos les champs elles maisons, voile la lumière des lam-pes ou des phares ; on marche dans une houe glacée.

Depuis 4 heures, nous attendons.C'est qu'il n'est pas aisé de venir jusqu'ici r en se

retirant devant les armées alliées, les Allemands ontfait sauter à coups de mine la plupart des chaussées,et les trous musés par les explosions sont le plus sou-vent tels qu'aucune voiture ne peut les franchir sansles plus extrêmes difficultés.

On peut craindre un moment que les plénipoten-tiaires ne soient complètement arrêtés par les destruc-tions provenant de leurs propres troupes.

- Enfin, les voilà I_jours autos découvertes, capotes baissées, entrentFenternent dans la cour, tous phares allumés, un fanionblanc au pare-brBe, un trompette debout sur le mar-ohmpied.

-Six hommes en descendent et se rangent côte àcôté face à la villa.

L'un d'eux, petit, assez épais, l'air d'un évêque enen, se sommes Erzberger. Puis il présente les autres:comte Oberndorfi général de Winterfold, lieutenantde ;vaisseau Vanselow, capitaines von Geiger et vonHelldorf. Nous saluons.

'Une centaine de _spectorteurs t officiers, chasseurs,chnufieurs, ordonnancm contemplent, grelottants et si-lencieux, la scène qu'éclairent difficilement les phares,des.putos braqués surie maison. Ils n'en croient pasleurs yeux et n'osent pas encore se laisser aller d lajoie: est-ce vraiment la paix ou bien ne s'agit-il qued'une feinte destinée à gagner du temps 1

Pour être venus ici, dans des conditions aussi péril.buses et aussi humiliantes, il faut que les Allemandssoient décidément bien boss on reste pourtant encoreun peu méfiant.

Les voiturez allemandes débordent de malles, vali-ses, sacoches... Qu'ont-ils bien pu enfermer là-dedans,et combien de temps pensent-ils rester 7

Sans doute se préparent-ils à discuter avec minutie,'détail par détail suivant leur habitude, les conditionsde l'armistice qu'ils demandent, et ont-ils soigneuse-ment apporté tous les documents, rapporte, statistiques,dossiers qu'ils pensent devoir leur être utiles.

Voici dont leur premier désappointement d'ordredu général Debeney, commandant de la armée, ilsdevront laisser là chauffeurs, autos et bagages ; ils nepourront emporter avec eux qu'une seule valise; cha.cun d'entre eux voyagera dans une voiture françaiseen compagnie d'un officier français.

Et les voilà qui, aidés par leurs chauffeurs, procè-dent, non sans maugréer, au difficile tri des valises età leur transfert de voiture à voiture.

Le nombre des spectateurs s'est accru s mains auxpoches, casque en tête, ils contemplent, un peu nar-quois, ce déménagement. Le photographe de l'arméequi a extraë du magnésium des fusées éclairantes,essaie de prendre des vues, mais le plus souvent l'éclai-rage rate.

Enfin, nous partons pour rejoindre à Rethondes lemaréchal Foch. Par la grâce bienveillante du généralDebeney, nos parlementaires ont été dispensés d'avoir,conformément à la coutume séculaire, les yeux bandés.

One»En route, le comte Oberndorf me déclare :cc L'armée allemande n'est pas vaincue. A notre

époque, la guerre ne se gagne que par l'écrasement

kgskti.

par René BRUNETdes armées ennemies. 11 n'y a de victoire que lorsquele moral de l'adversaire est détruit. n

Parole à méditer.

Voici une autre imageC'est la soirée du 11 novembre à Hombliéres, à

Pest de St-Quentin, quartier général de la 1" armée.Nous avons appris le matin que l'armistice venait

d'être signé et qu'il serait applicable à partir deI I heures.

Nos troupes, comme emportées par la vitesse ac-quise, ont continué leur marche jusqu'à la limite ex-trême de ce délai ; il a fallu des protestations alle-mandes et des ordres formels de Foch pour les arrêter.

La journée s'est passée sans que les hommes aient

Boioé ma forêt de Compiègne, au carrefour deRethondes, le wagon dans lequel fut signé l'ar-mistice le 11 novembre 1918. Devant le wagon,on reconnaît le maréchal Forts. A sa droite,Couina iVeyMiSs, représentant la Grande-

Bretagne,

encore pleinement conscience de leur victoire inter-rogations, doutes, anxiété... Pas encore d'enthou-simme.

C'est seulement à la fin de l'après-midi, la confir-mation venue, que la joie enfin a éclaté.

Le général Pétain demande qu'on pavoise. Certes,oui, et de grand coeur, mais avec quoi 7 Il n'y a icini drapeaux ni rien pour en faire. Alors, on a étaléà l'extérieur des maisons le camouflage intérieur desfenêtres.

Et puis, on a bu tout ce qui, dans ce village vided'habitants, pouvait se boire : c'était peu.

On a chanté ; mais les hommes qui ont vécu desmois côte à côte, qui ont couru ensemble les mêmespérils et partagé les mêmes repos, qui ont depuis silongtemps et si passionnément attendu l'heure qu'ilsont enfin atteinte, sent comme incapables maintenantde réaliser leur joie et d'en savourer pleinement lagrandeur. Il faudra que quelques journées passent,qu'ils quittent ces lieux désolés, que d'autres se mêlentà eux.

On discute: la grande préoccupation de cette pre.mière nuit de victoire est celle de savoir si l'on retour-nera bientôt en France, ou bien si on ira fêter Noël àBerlin.

Les opinions sont partagées. La majorité souhaReBerlin. La victoire, pensent-ils, ne serait pas complètesans cela.

Ils se sont précipités sur les caisses de grenades ofde fusées et ils ont lancé cette fois pour rien, pourle plaisir. les grenades inoffensives dans les champs ;et des milliers et des milliers de fusées se sont sus-pendues dans le ciel.

Ce fut notre premier feu d'artifice.

*Weituredk,:4,4euw4e l'eimMW.

RMISTICE

LAveille du jour inoublia-

bliab/e c'est un diman-manche Clemenceau

est parti carrant. Airs censure,nous avons reçu Farder d'inter-dire formellement aux journauxla moindre allusion à sa pré-sence, Si on le faisaittuer, in extremis, par une im-prudente indiscrétion !...

M. Poincaré est en Be/gigue.A Ostende, Il a eu une /ongueconversation aven le roi Albert

l'a trouvé « tout at-tristé > ses troupes devaiententrer le lendemain à Gand, etpuis à Bruxelles : « L'armisti-ce n'id/ait-il pas ltd arracherl'armistice des mains ? t> écritM. Poincaré dans ses « Mémoi-réé ta

Nous savons que le présidentde la République n'est pas trèschaud pour l'armistice i/ yvoit un piège allemand. Quel-ques jours avant, il a informéClemenceau de 9013 ferme espoire qu'on ne va pas, par un armis-tice si court soit-il couperIre jarrets de nos troupes n.Clemenceau, qui prend cela pourlui, a adressé sa démission anchef de l'Etat. Ce n'est qu'a-près de longues et pénibles ex-plications qu'il a consenti à lareprendre.

Dissentimentsentre Foch et Clemenceau

Foch, lui, est en plein accordavec le président du Conseil surle principe même de l'armistice.Il a des renseignements préciset concordants sur le désarroiprofond des armées allemandes.R sait que, sous peine de catas-trophe, elles ne peuvent paspoursuivre la lutte, et i/ est 'ré-solu d ne pue sacrifier inutik-ment un seul soldat français deplus.

Mais, dis cette époque, levnia,réchal est en lutte avec Cle-menceau sur le but même de laPaix. Il ne lui cache pas qu'ilfaut, pour la sécurité de laFrance, occuper la rive gauchedu Rhin.

a Quelles sont vos intentionslui demanded-il aVant de ré-

pondre à la demande allemandede cessation des hostilitésSur le sort définitif des terri.torr. rhénans ?

< Cela ne vous regarde pas !lui répond brutalement le prési-dent du Conseil. Votre affaire,c'est de terminer la guerre.Laissez-nous la nôtre, qui est defaire la paix !

Et, par l'intermédiaire de M.Georges Mandel, le président duConseil nous donne les recel'focs les pl. strictes

e Pour les conditions de Far-mistice, les journaux doivents'en tenir, exclusivement, à cel-les qui sont contenues dente lespropositions du président Wi/-80.... Ne /aisser passer aucuneinformation relative à de pré-tendues oppositions b la noteWilson cette consigne est for-melle, quel que soit le signatairede l'article n.

Biert entendu, le public, toutentier à sa joie de la fiecertaine maintenant du mas-saere qui dore depuis chiqua,tu-deux mois, ignore abSol,ment ces divergences. Il se de-mande pourquoi ii y a tant deblancs dans les journaux, à uneheure où, lui semble-t-il, on n'aplus rien à cacher.

Naissance du cordonsanitaire

Quant aux journaux, ils pro-testent ! Ils protestent parceque nooe leur faisons sauter,Par ordre, loutre qui nous sem-ble dépasser les candidacs duprésident Wilson, tout ergot in-digue qu'aux Eta.te-Unis même,le président Wilson rencontrede l'opposition, et que, peut-être, le Sénat américain ne ra-tifiera pas. Nous supprimonstous les vceux émis, de diverscôtés, en faveur de l'occupationde la rive gauche du Rhin.Nous < échoppons n même tou-tee les informations annonçant« le commencement de l'évacua-Mon de l'Alsace-Lorraine, lafuite de Simpératrieegne, l'Omettra/dé d'une guerrecontre la Russie, et Mirtout,tout ce qui a trait à la révolu-tion alkmande n. Là-dessusnous sommes impitoyables, carnos consignes sont impératives.

Rien sur le bolchevisme enAllemagne_ pas d'allusion à

l'anniversaire ele /a Révolutionries.ee... Rien sur les troubles deKiel, de Lubeck, de Hambourg...Rien sur les conseils d'ouvriersct ecbtats out se forment ce A7-lonagne, et mente sur le terri-tex Iratizga Ltà OMM), a.

La journée vuedes bureauxde la Censure

par Paul ALLARD Le foule serenifestant sa juin, place

Dès ce monsent-là, Clemen-ceau oppose à la Révolutionrusse son fameux cordon sani-narre

Larmes...Cependant, Foch, dans la voi-

ture-bureau de son train spé-cial, garé en forêt de Laigue, àproximité de la gare de Rethon-des, ouvre, à deao heures dumatin, le lundi 11 novembre, laa séance de l'armistice t. Ildonne lecture aux plénipoten-tiaires de ses conditions. Articlepar article, le texte est lu, dis-cuté, arrêté. A 5 heures et de-mie, les Allemands y apposentleur signature. Sur la proposi-tion de Foch, on décide d'ins-crire 5 heures de la sorte, l'ar-mistice aura effet six heuresplus tard s à onze heures (heu-re française), à 11 h. Si (heureallemande).

Ai heures 30, les délégationsprennent congé l'une de l'au-tre ! « On ne se serra pas lamain z, note avec amertumeErzberger.

Le jour Se lève lorsque le ma-réchal Foch quitte la forêt deRethondes, emportant dans saserviette le texte de la conven-tion d'armistice. Il arrive à Pa-ris à l'heure où la ville s'éveille.Retiré au fond de sa voitureque ne distingue aucun autresigne qu'un petit fanion (rico-lore le vainqueur de la guer-re passe inaperçu de la foule desouvriers se rendant à leur (ra-vail. Mais lorsqu'il arrive prèsde chez lui, avenue de Breteuil,c'est jour de marché. La fouleentoure sa voiture, qu'elle rem-plit de Rems.

la

Dans sa petite maison de larue Franklin, Clemenceau, de-puis longtemps, est levé. S'est-ilmême couché ?

Lorsque le générât klordatendirecteur de son cabinettaire, y arrive, il est 6 heuresdu matin; Le président est de-bout Mina sa chambre à cou-cher. Les deux hommes se re-gardent. Le général Mordacefait un signe. Alors, Clemen-ceau, se prenant la tête à deuxmains, se met à pleurer olive'

a On a dit écrit-il dans« Grandeur et misère d'une vic-toire n qu'a l'annonce de l'ar-mistice, Je oui pu retenir meslarmes. Eh bien ! oui, c'estvrai ! J'ai pleuré... Je ne m'encache pas... Le brusque passa-ge de la sombre ardeur du com-bat aux tumultes; d'espérance,subitement déchaînés, peutébranler les fondements de l'é-quilibre humain, parût-il leplus assuré z.

O M. Poincaré lui-même,« l'homme froid par excellen-ce n, note le général Mordacq,lorsque je vais le trouver, daccsa chambre à coucher, me serrelonguement les maint et, sansparler, regarde, nomme un hom-me qui rêve, ou plutôt commeun homme qui sort d'un /ongcalichentar v

Au chef d'Etat qui, pas à pas,minutes par minute, avait suiviIre phases de la terrible tragé-die, quelles visions doivent, enun instant, apparaître ?...

L'Armistice passe !Mais le peuple ne doit pas

connaître cet aspect humainde ses chefs. Il faut entretenirles légendes !... C'est une véritéde convention qu'il faut lui pré-senter !...

A la censUre, tout le mondeest sur le pont, même ceux quine sont pas de service. Notredirecteur, le cher commandantNusillard, fait sa grosse voix,sans cacher son allégresse.

Bon Dieu ! Allez-voue nouslaisser faire le boulot ?

Le boulot, aujourd'hui, c'estfaire frein. Cette jonrnée ne se-ra pas favorable à l'esprit criti-que. Quel merveilleux champd'éclosion pore les fausses nou.velles, spontanées ou provo-quées !

Mort du Kronprinz t LeKaiser assassiné ! Entrée engliome du Chili... a

Par un reste de réflexe pro-fessionnel, no. coupons ! Nouscoupons, surtout, tout . quiconfirme les progrès du Sovié-tisse en Allemagne. Mais voletquelques nouvelles vraies, quenous laissons passer l'abdicazGon de l'empereur Charles Ird'Autriche (pauvre empereur,qui voulait signer avec nous lapaix séparée, il y a un an, neméritait-il pas mieux que detomber jhste ce jour-là ?) Surordre de la présidence du Con-seil, noue ...douons aveiournaux le texte d'. S.O.S.la gtuverimment allemand augouvernement français. La po-lllslalbga CFSBMilliSke5J6r5/164493>

raine prend une attitude de plusen plus hostile envers les trou-pes allemandes. Le gouverne-ment français ne pourrait-il pasintervenir par radio ?

SI AZMais ce n'est pas cela que

nous attendons ! Les heuress'avancent. Et le Grand Qua,tier Général ne nous téléphonepas ! Est-ce que les négocia-tions seraient rompues ? Du G.Q.G., nous recevrons le tradi-tionnel commiqué officiel. Ilest d'une sobriété exaspérante:o A l'est de la forêt de Trélon,noua avons attend t /a frontièrebelge. Les troupes italiennessont entrées dans Rocroi. A lamite de durs combats, nousangers forcé les passages de laMeuse entre Vrigné et Lignes n.

e A la suite de dies com-bats... t ? On combat dont en-core ? Et durement ?

Mais voici, soudain, que laporte s'ouvre. Le commandantNusillard entre dans la piècecommune, en traînant sa jambeblessée. Un seul mot.

a L'Armistice passe...Alors, bouleversés, les lar-

mes aux yeux, sans un cri,sans un mot, nous nous donnonsl'accolade,

de la Concorde, le Il nov. 1918

Et, sur notre cahier de bord,la consigne « l'Armistice pas-se o, 1.1. novembre 1918, 11 heu-res, écrite en lettres énormes,s'enrichit d'un cadre tricolore...

« Fermé pour causede victoire »

Du G.Q.G., le commandant deCassagnac nous informe que lacensure militaire est suppri-mée...

Sur ce dernier communiqué,dont Jean de Pierrefeu vient luisoumettre le te,xte, le généralPétain a écrit, au-dessous de sasignature, e Fertné pour causede victoire ! n

Sur tout le front a retenti lasonnerie hésitante et un peuétranglée de e Cessez le

'1;e lentes les tranchéeehurlée h pleine poitrine, la

Marseillaise. Dans certains se,leurs notamment celui de laGarde prussienne des grou-pes de soldats allemands sontsortis de leurs tranchées. De-bout sur le parapet, agitantleurs casques au bout de leursfusils, ils chantent, eux aussi,l'Hymne de la Liberté, en criantjoyeusement r

« Hoch ! Hoch ! Réptiblilt ! >

Le Conseil général du Nord

adopte un voeu socialiste relatif

à la politique internationaleLa droite a éludé le débat

(De notre eerrospondant particulier)Lille, 10 novembre. Comme nous

l'avions annoncé, le Conseil général duNO. a réservé sa séance publique demercredi à la dbx.sion des voeux dit« politiquas ».

En réalité, toue les textes présentéstouchaient P. la politique internationalede notre pays.

Au début de la séance, M. L.onst,(radical) dit qu'a ne pdticipera pas auxdébats. 05, Pescara., au none de la Fdération républidine, fait une déclara-tion identique et invite ses amis à quit-ter la salle. C'est la première foie quece groupe, qui avait la /majorité avantI. élections de 1027, fuit le débat d'unefagon peu' gloele.e. C'est ce que notreami Jean Lobas, qui présidait, n'a pasmanqué de souligner.

Henri SalengroC'est le député de Lille mil ltsiMmte

au nom du cinquième bureau. Il exposelonguement le point de vue de notreParti sur 1ue problèmes internationa..

Après avoir évoqué les événements deseptembre, notre camarade a déclaré

« Quant le péril a Me écarté, quand laguerre, selon i'expression d'. .denministre, a000 aman au cran d'arrêt a,

0éTirS'teouiri=eu".2. :usesons pas s ce sou/nuement, nous ravonsrem

O O seissit vain cependant de bernerI. yeux a. réalités. Pour arriver àtette détente, // a fallu accepter delourds et douloureux sacrifices. Pourconjurer la cat.trophe, soue la menaceOs l'agression, il a faMil consentir unrecul volontaire du droit. a

Au sujet des accords de Mmtclbajoute

e Ce. qui approuvent les accords deMuni. non pour ce qu'Ils contlen-nent, ruais pour ce qu'Ils ont évité neIon coneidèrent pas comme une fin etcrznriannet une aeunlon. Oeao qui leu al'

mais pour ce qu'as contie.eid dru-dratent, eux aussi, les vole prendrs cCrd.me point de départ dune tentative derèglemed général. Tonu par conséquentsont d'accord, ne perdant pas leur tempsà une vaine et stérile controverse surle passé, pour estimer qu'Il convient d'u-tiliser la trêve, la courte tréve actuelle,afin de s'efforcer de briser le cerclemortel du surarmement que nous évo-quait dans son discours d'ouverture lepréSident de cette assemblée et de dé-terminer un statut européen équitableet durable. a

tin ample débat dengage alors au-quel prennent par Plane. (radical),Ramette et Limes, députée mmunueis-tes, Catoire, réactionnaire, Neve.,Dehé, Gillet (radica.).

La motion préeentée. le gr.. ..-.liste et qu'on va lirepasa été adoptée.Les quetques réactionnels. restée en

Béance ee sont abstenue. Les commu-nistes ont voté contre le premier Pare-gmene et pour le reste du tex..

La résolution adoptéeConseil général du No. constate

e, al les accorde de Munich, au pried'an siodoureux memgco, oun 'o.... ?éviter le née dans vinienédiat et d met-

iiot7 Cira ef=fe 'do'« ml;erer%";.it-_tion extérieure sden demeure pas moinsincertaine et preeatre.

est.. que le repu actuel doit etre

ern't Pan'er,:z,'",n1'70C ?z,°_les hases d'un reclouent g" micro«

des pro/dénies européen& ai lourde en-core de menaces pour revenir.

Relatant tonte idée ces guerre Inévi-table et fatale entre degr rhum Medi,^iques nMonnIs ici. se partances gmouds, d s,..dia.tc c.de mua. si men,mimes peur aum int des as.. «ne...a-hOO tre notre pame, une amélioration eice

du ramona mea teuton ka

natione, lorI gue ma leur régime ind-

Refeeant de fermer las gents mar dan-

gerittgliglett,ZCel,r2epour une entente équitabie

peut erre omenure per le triomphe desméthodes de force et Par la mena.=brutaie du droit international.

Aussi 00010e-,5 te gouvernement aprends,' les initiatives hardies va s'in>posent, u resserrer tee liena qui 'roule-enfle eue dietree dustbne paeifiques, dveiller a to sémite 0000e fronderee etde sen communicatione mtales en obte-nant mue retard le règlement du drame

r110etro.?; iersa mec0000

acombattent encore dam la pegmmedet,retrait mine lequel ne peut être cumeaccVedras dea droits de belligérance al'Espagne nationaliste.

dinei est trouveront réunico les condi-dein d'une détente rée. permettant

.d'aborder lm grandes negoetati.e quetoue attendent et dont dépend pour deteigne, années la Paie au Pflurope et

du mon..,e.Esn ,dietre, soulignant due la

Francec,ioéooumne.,Lzz;

.. .rre:.rz=-z 0 e£2 ,los sujets de la France extra-européennefut un des fac.tere déoisifs do notrevictoire,

regere pmvoir compter me te gonsversement pour intensifier notre efiortlamie/nique, cultivroil, technique et anwegiene dame ces provinces lointaines,soume encore trop immIllsammem e«-//boitée de matidrea premières et de pro-duits de consommation et réserverlimité d'hommes attachée d la Franceet ...eues O sa sécurité pro' la ready-noèse.. même de la sécurité qu'elle»Arne kur meure demi. Ma Mutedenridnecht

L'arrêt Frogisera renduà huitaine

Le chambre criminelle de la cour decassation, appelée â se prononcer me lePourvoi de l'intendant Georges Fronndevait dé/Ibérer hierdur ce cas épineux.A1.3 heures, lorsque s'ouvrirent les por-tes, o président Calas annonça cepe,dant, comme chaque jour, que Padien-ce était reprise, et les conseillers se robrent, comme el de rien n'était, à axa.-ner une foule de dossiers Inconnue, Onsuce., toutefois, que la délibérationPrêVue lieu sprue io. suePeneill0d'audience, vers 15 heur.-

Cor la cour suprême cobol qu'oopeut attendre avec impatience l'une deses sentences. Le temps, pour elle, necompte pas. Au milieu de l'après-midi,l'audience était néanmoins stlepandlle etIn cour commençait à hule-clos ses la-borieux débats. Jusqu'à le h. 7, on at-tendit sans rien deviner, sans den per-cevoir, 01 1,5 magistrats, â ce moment,

mir nonchalamment leurs peti-

- Me Morillot, prononça More le pré-sident Caous, en s'adreesant au défen-ruhru,tetisé, la your rendra sa/1 antt

En faubil déduise que l'unanimité sefait aussi facilement â la camationqu'au ministère P. nécessairement.Ces remises, mem frêquentes daimdomaine 01,11y/en du dittu pur, n'auto-risent à préjuger de rien.

CAMARADES, AU TRAVAIL

FAITES DES ABONNES !!!

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

peu, depuis 30 ans, et,. put obte-nir certaines shbventions syndic :ris,du ganverannent de Front Populaire(dont la &talion de 500.000 francs à raidéfinitivement na.fmmee sous la ores.alun do Sénat en une ridicule subven-tion de 18.000 francs pour une cerrticde cette Mporteme). Comme local cndisposait de deux petites Pièges maléclairées, imam/sales qu'il fallut bienvite abandonner sous l'affile, sans cessecroissant des élève. Certm ceux-ci n'as-rainurent pas en foule le premier jouret Smille Letr.o en profite pour désirerer aux fliturs professeurs toulousainsque leur amour-propre ne doit pas êtreblessé si le nombre d'inscrits du débutleur parait peu en rapport rwm leureffort. N'y aurait-il qu'un seul inscritdériase-t-elle, vous n'euses pas le droitde refuser de le faire bénéficier de vo-tre enseignement; celui qui veut alt.prendre a droit au plus grand respect.

Les collègre du travall, sont ,autrechom que des salles on on distribue desle çons. Ce sont des foyers de cainarasderie. Cem-lé imnt bien compris qui àParis ont transformé ms quelques adhé-

du début en 1,000 inscriptio. M-gulieres réparti. en E cours. Ils vi-vant présentement dans une atmos-phère morale parfaitement srine qui nemurait subir l'emprise du mysticismede pays totalitaires.

Dans l'enseignement ouvrier, on forgeune âme à la jeunesse; on évite de lalaisser sombrer dans le découragementdangereux pour fermoir de la nation.Oa s'efforce d'y tr.sformer le désird'apprendre en volonté d'apprendre. 11no s'agit pas de revenir a. l'école et defaire subir n des hemmm miles les hu-miliations d'amour-propre difficilemmtacceptables même quand on est un en-fant. On ne veut pas non plus faire eclustroment des intellectuels. Et auimul les manuels sont-ils aussi éloignés

isitellecturis que certains se plai.'affirmer? Allons donc... En

'Dritd des intellect.%est modestes et II ne faut

O à plus de deux généra-avoir me les grandsMagentsrt de nos actue/s professe.

hosiap'ollt,,%:,.'icnla tpeurrveoir dmdes

va M. g demeuré célèbre un intellec-tuel Ibo I Rivet, venir modestementmettre sa grande science, sa formidablevaleur Mtellectuene au servies de laclasse ouvrière car it sentait nettement.11 y aurait un réel danger â genPeres.

Ce que l'on veut éviter dans les coi-lèges du travail, c'est l'Immense déper-dition de forces que doivent employerles travailleurs quand ils veulent s'ire- A 21 h. 45, pendant le Mie trimestretrane. On veut oralement préserver la Pros.. et nations d'Emme parjeunesse contre le dangereux état d'en- PLANDE, professeur agrégé de l'Univers.prit qui /a pousse b s'isoler au sein de site.la nature en dédaignant l'étude des JULES BLANC.

nô. _

A la Fraternelle ne faut pas désespérer de l'avenirde notre pays, man ies A. Q. dm-

deS minimesCo.. tous les ans à pareille da-

te, l'Association d'anciens combat-tants affiliée à l'Union Fédérale,,groupant les anciens poilus descomm.es du canton Nord de Tou-louse, a tenu son coup% et sonbanquet annuel.

L'un et l'autre Ont eu dell cetteannée el.s la petite communs deSaint-Alban, administrée par no-tre camarade 01I01er,

Celui-pi, Membre de l'Association,a sourmité une cordiale bienvenue àsas- camarades et a Présidé le com-be

Congrès rapide, courtois où /esancietE soldats et les jeunes qu'ilsencadrent ont après l'adoption una-nime des rapports moral et titan-nier, adopté une série de vceuuayant trait 1. la défense de leursdroits et ceux des jeunes PURIllea.

Les congressistes ont ensuite en-tendu M. Feyranne, leur avocat-conseil, qui a fait im exposé de lasituation actuelle des combattantset se sont enesuite rendus au mo-nument aux morts de la communeoù ils ont déposé une gerbe auxEx/leurs de PU. F.

LE BANQUETIl était présidé par le Docteur Pa-

ges, Vice-préSident de PU. F. de laHaute-Garonne, entouré de notrecari/argile Berlia, député, conlieinurgénéral du canton et adjoint aumaire de Touanuse ; de M.M. Servie-ress trésorier de l'U. Dusse], pré-sident de la Fraternelle des Mini-mes ; Feyranne, avocat conseilBlanchard, des jeunes de l'U. F. etde nos amis Olivier, maire de lacommune; Olive, maire de Fenouil-

Au dessert, /e camarade Olivier STOCK PERMANENT DE VOIHMESe , nues,

se déclara heureux de recevoir les I D'OCCASION DE MIRES RADOM IMembres de la Fraternelle, cerner- o Paix mregunSSANTsria. les personnalités présentes et am

flétrit en termes vigoureux les ac-cords de Mericis.

Dusse/ président de la Frater-nelle, parla dans le même sens etBlanchard, au nom des jeunes dePU. F., dit quels sont les désirs etles aspirations des descendants deceux qui sont morts.

Un de nos confrères porta le La Flamme du monument des al-tos.. de la presie et la parole fut lé.. Alphonse-Peyrat sera raniméedonnée à notre and Berlin. pcue /a dernière fois ce soir t 18

Celui-ci aurait voulu participerces agapes en tant que simplemembre de l'association, mais notreami Ellen-Prévot, retenu par ail-leurs, lui a délégué ses pouvoirs et I/en usera simplement pour assurerles A. C. qu'ils trouveront toujoursauprès de la Municipalité toulou-saine le même concours qu'elle n'ajamais cessé de leur accorder

Faisant allusion aux récents dan-gers de guerre ayant a.gité notrepays, Berlia pense que tant qu'il yaura de par le monde un importantnoyau d'anciens combattants, les

dangers de guerre pourront êtreécartés Les historrens de l'avenir

combattants, victimes de lemle-girérs¢et pupilles de la Nation.

T*4

Il est rappelé que le Fla.mbeaublâmeront peut-etre la tu e Enté hier la Flamme du Tombeaunotre pays dans les conjonctures du Soldat Incomm sera reçu solen-présentes. Ils n'auraient sans doute neHement a son retour de la Papi-pas agi autrement s'ils avaient vé- brie loue l'Armée, les Anciens nom-nu hnotre époque, et c'est une rai- battants et les Autorités, demaiàson sUffigante mur cil-ou ne blâme matin dimanche 13 novembre à 10

ava-ent en Mains ms destmees detint e PaYa

N tre ami ne fait pas de nanti-que dans une assenante° de poilus,mai il met ces derrilers en gardecon ce Panclustre qu'un homme jet-te outre une fraction importantede républicains a us moment oùl'Union de Mus est Indispensable. Il

problèmes contemporains. I/ ne s'agitPas de la détourner de la nature maéde lui montrer les dangers d'une cul-turc purement unilatérale, et de la re-cherche du bonheur « sol tout seul ».

La dirmtrice du centre confédérald'éducation ouvrière, termine son ex.posé par un a.ppel aux femmes dent lamajorité a sa place marquée dans lescollèges du travail. ne s'agit Pas évi-demment de donner un surcroit de

Insognela mère de famille ou l'ou-acière laborieuse rentrant chez elle ha»rossée en ayant encore beaucoup de ira,val/ a accomplir, mais d'amener lesfemmes pouvant disposer d'une heureou deux de 1010m par semaine.

Notre amie termine son en.. endéclarant que si l'éducation ouvrièren'est pas menée dès présent avm in-telligence, fermeté 'et dévouement lestravafileurs se réservent de cruels len-

ann.inaUne grande ovation salue la conféren-

cière quand celle-ci r.agne sa place.

Julien rosettes é'X'O.e les camaradesFolcueci, Trentin et Cnmneuve, retenuecar

Leurs remercie les deux orateurset lève la séance.

Pou le moment les cours définitive-ment prévus, sont 1. suivants

Tous les mardis à to h. so Marné-

fGARAGE METROPOLEte, somevard de Strass., EMMEDISTRIBUTEUR MATFORD

La flamme symbolique

à Toulouse

ad'es10Crpane2Lrameesd, de le l'AretronToulousaine des Amputés, de l'Ami-cale Trépanas, de la PAC (As-(cotation des Prêtres anciens von-battants) et de la DRAC (Défensedes Religieux anciens combattants).

Cette cérémonie aura lieu en pré-sence de M. le Préfet de la Haute-Garonne, de M. le Maire et de lase, deiiultpéna

eetlsteoltn mde...Me lot,

trop vigoureusement ceux qui heures, à sa sortie de la Gare ma-

Rassemblement général de toutesles délégations à la. rtcre t 9 h. 30précims.

Accompagné par un cortège com-posé de sociétés de gymnastique, desscouts, de la préparation militaire,des enfants des écoles, dm associa-tions d'anciens combattants et des

autorités civiles et militaires, le LES TROIS VELOS

nument des Allées Alphonse-Peyratoù aura lieu une dernière cérémonieà 11 heures.

Là, la Flamme qui brille depuis leler novembre et qui aura, éte étçin-On avant l'arrivée du cortège, serarallumée au feu de la Flamme Sa-crée transportée par le Flambeau.

Après la cérémonie, une garded'honneur assurée à tour de rôlepar les Associations d'a.nciens com-battants, montera la faction au-tour de la Flamme, jusqu'à ce quecelle-ci soit éteinte définitivementdans la nuit.

Les anciens combattants désignésPar leur association pour la garded'honneur de la Flamme sont priésde venir autant que possible coif-fés d'un béret.

Flambeau s rends 1Bayard,d'Alsace et de Mets au mo-e a Par es rues

C'est à la Coopérativel'EVEIL DES COIFFEURS

r 3. sus Rieds, que l'oe trouve' Hmaiene Confort

matiques, par MARTIN (instituteur).A 21 h. 48, pendant le or almées

Philosophie par CAEGUILITEM, Profes-seur agrégé de l'Université, et FAL.GUECI, professeur a.grégé de iliniver-sag,

A D h, 45, pendent le Dm trimestre'.CERCLE LAIQUE

quelques aspects de la civilisation aile. DOCTEUR BACH amande par ( FAUCHER, professeur rila Faculté des Lettres et BOXER, pro- Souscription tombolafesseur au Lyeée, chargé 05 cminiTglii Le Cercle labos lance sa tombolaces à la Faculté des Lettreh annuelle au profit de ses oeuvres se-

Tous les mercredis à te h. 30 i Gran, rial,maire et lecture de textes Par TER- Principaux lots I Chambre à cou-DIER (instituteur). cher, cuisinière en fonte émaillée,

A se 9. 45 pendant E ler trimestre I bicyclette, poste de T. S. F., servicesurgis (myrtes et .suranceS sociales Par .de table, carnet de dixièmes de la

Loterie Nationale, etc...ROED/ERE, avo.t à la .CounA es h. 45, pendent le 2rne trimestre o Pour l'entretien de la Nelson du

ePOPODDie pontife., finances par SIL- cercle, gardartaa, 1m mnlinesVIO TRENTIN ancien pane.rcn de scolaires, les cours d'enseignementl'Université de Turin technique, dessin industriel et mu-Te.jehg, h se h. ho ; Conpmi. ture, bibliothèque, cours de chant et

fion et élocution par CHAUBET (insE de solfège; section artistique, cho-tuteurl, rale des matinées enfantines du jeu-

di de Toulouse-Pyrénées, cinémaA 21 h. se, pendant le Ber trimestreLittérature et Humanisme, par NAVES, éducatif, organisait°5 des loisirs,profesmur O te Faculté des Lettres. Préparation militaire, sports et ter-

rain de jeux en faveur de la jeu-nesse.

Les uvres---- algues

venet se refuser absolument à en-trer daon une lutte Idéologique.

Après lui, le Docteur Pages pré-sente /es excuses de notre camara-de Richard et de mu. Portes etMasson. Lui aussi adresse quelquesremerciements et cède la paro/eM. Perlières.

Quelques remerciements liminai-res à la Municipalité toulo.ainePour le concours qu'elle .0 apporté àPorganisation des f et. du Dir an-niversaire de PU. F., et M. Servi.mévoque aussitôt fort adroitementl'émotion qui s'est emperée d'unepartie d'A. C. lors de la déclarationPichet. 11 parait que les sentimentsrépublicains de ce dernier sont so-lidement ancrés en lui, qu'il a pro-c/ami un état de fait, mais qu'ils'est trompé dans les moyens. Com-me l'orateur annoncera tout àl'heure que dans le courant du moisprochain PU. F. de la Haute-Ga-Panne entendra deux mandatairesde 'M. Menet ou M. Piana lui-Mê-me nous, fie souligner°. pas /a-vantage le passage ayant trait u cdermes, miaulant respecter Pinde-/endorme des A. C bien que nous LA priARM5616 DU SOLEIL, 11, placesschions que majorité d'entre n'ET, c, mem/tiens, suc, sera ouverteeux, n'approuve pas les dértlararions demain dimanche, jusqu'à 23 heure.de Pactuei président de ID F

M, Servièret poursuit son exposeno rettant l'angoisse qui a étreint lepays avant les accords de Munichet la détentr qui les noir,, /1 con-clut en faisant appel à l'union detous les A. C. autour de ID. F.

La cérémonie prend fin à BI heu-re.

CERCLE LAIQUEPREDERIC ESTEBE

Assemblée généraleLe conseil d'administration infor-

me les membres du cercle que l'as-semblée générale statutaire aura lieumercredi 16 courant, salle du Marchéaux Cochons, b 21 heures.

Ordre du jour1. Compte rendu moral, par le sc.

crétaire;2. Compte rend.0 financier, par le

trésorier;a. Compte, rendu de la commission

de contrôle;4. Etc.nn de la moitié du Conseil

O tare pour deux ans.Cours du jeudi

Le conseil d'administration rap-pelle aux parents .des élèves qui n'ap-partiendraient pas encore au cerclegin est de leur Manet d adhérer,sans retard, afin de profiter des nomhreux avantages offerts ;

Cours et garderies du jeudi (gar-çons et filles).

Garderies de l'Ecole maternelle.Cours de natation.Préparation au brevet sportif po

pulaire.Colonies de vacances.

Pour les danseurs-- -

AUX JACMNINS

Ce soir et demain à 21 heures,grand bal dans la salle des Jaco-bins, 69, rue Pargaminières, avec lePingottb-Jang.

Piste cirée. Salie chauffée.Concours de danses.

r" PLATS Dul3INES an nimANCHE.Les meilleurs, Mag.. rue Lafayette,

CA REPRENDM. Jean-Marie Arneu, 55 ans,

électricien, 98, rue ues Trente-Six-Ponts, a porté plainte contre in-connu pour Vel de sa bicyclette,commis entre 20 h. 30 Mer soir et11 heures ce matin, devant sort ha-bitation.

EST-CE UNE VENGEANCE Ô'M. Paul Ring, 31 ans, adjudant

aviateur, 33, rue Théodore-Rivière,Poplaints castre un MCOnint

eltri, hier, entre 20 n. 3t) et minuit,a crevé de plusieurs Coups de cou-teau le pneu arrière droit de sonautomobile qu'il avait laissée enstationnement place Wilton,con-tre le trottoir du jardin

ON N'A PAS SONNÉAu cours de la mur, des malfai-

teurs se sont introduits par et-tracéton dans la vi/la de M.

MgaiT'85,

P50 Pradal. En l'abSence de M. mg.gail, son gendre, M. Moine, logé-nie-or aux usines Latécoère, a portéplainte, mais Il n'a Pu faire con-

Y 500dm eu Val,POLIR SE DIVERTIR

M. Maurice Robert, garçon d'hô-tel domicilié I, rue Boulbonne, a.porté plainte contre inconnu pourvol d'une somme de 500 francs etd'un foulard qui se trouvaient danssa chambre à coucher.

M. Jean Bord., eraploYéP0', domicilié 9, rue Franç..-Mem'. a porté plainte pour vol desa bicyclette qu'il avait placée de-vant le café Plumer, rue des Ami.donniers. Le vol a été commis vers17 h. 30.

M. Jean Laffont, 5, impasseFrancisque-Saney, a Pnêlé plainte

ee'en eteyoletts3,,? naps'lees couloir/S. duméen 4 de la rue Viguier. OU 11

l'avait député,M. Daniel Saint-Martin, ao-

midlié 1, place Riquet, a portéplainte contre baconnu pour vol desa bicyclette commis ve. 19 h. 55,dans le garage de bicyclettm del'hôtel dm postes, rue de la Poste.

CAMBRIOLAGEHier, entre 19 le. 10 et 20 h. 15

on s'est introduit par effractiondans l'appartement de M. LouisMouret, voyageur en automobil.,86, rue Riquet.

Une somme de 500 franru et unemontre d'une valeur de 250 franesont été volé..

M. Mouret a porté plainte.

BRASSERIE PstReE. LÉON

Chevert toute Fuméele place Esqèlrel. Tétée. 220-39

UNE EXPOSITION DE SOUVENIRSDE JEAN ARLAUD

AU PREMIER SALON DU SKIComme nous l'avons déjà annonce

c'est aujourd'hui samedi, à 15 heu-res, qu'aura lieu le vernissage dupremier salon du ski au Palais desArts, quai de la Daurade,

Rappelons que cette exposition réu-nit entre autres envois les toiles deIn emiété des Peintres de Montagne,plusieurs centaines de gravures ro-mantiques inspirées par /es Pyrénéeset les quarante-trois maquettes ori-ginales qui participeront au concoursde la plus belle affiche pour les pro-chains championnats de France,

lgous apprenons aujourd'huiqu'une salle nouvelle doit s'ouvrirau public. Elle est consacrée à lamémoire da Docteur Jean Arland,ancien président de la FédérationPyrénéenne de Ski, dont la récentedisparition tragique en montagne amis en deuil le Ski Pyrénéen tout

Des portraits, photos autogaphes,matériel de montagne du disparu ontété pieusement réunis dans cette sallepar quelques-uns de ses camaradesde montagne. Pendant quelques joursdans use atmosphère émouvante, vi-vra le souvenir de ces objets qui luiétaient familiers, le souvenir de ce-lui qui pendant plus de vingt anstravailla à la propagande dem lesPvren.ees.

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A Vit

GROUPE SOCIALISTE '

Le groupe socialiste de la S. T. C. 14.T., réuni en assemblée générne le ven.dredi 4 novembre, ému d'un article Parudans le a Réveil du Tram a, joumal coruoratif.

Proteste mime les a.u.tions Piondeoenvers notre camarade L. Dee., man'bre de notre étoupe.

S'Insurge +avec form contre ces pro.dés, à la veille de Panction au poste dedélémé national,

Les camandes contrôleurs, bur.ucretes,ouvriers ateliers et chantiers, membres denotre groupe au nomMe de 147, renomvelleM au .marade Deilhas tette leuraympaehie et leur amitié.

La secrétaire Lapine.D H

Amis de l'EnfanceOuvrière

'GROUPE ETIENNEGILLIERESRéunion des Faucons Reimea et Pion.

aises, demain dimanche, à 8 h, 30, aaYDS do People, mur la répétition da lafête.

L'aprèsming, rendenvous de tomes leséquipes 13.3 F., F. R., P. RI h 1 h., Mrtce Esquirol

Apporter t / fr. 50.Asniiié,

PARURES DE MARIEESR. COSTES.15. rue da Rennaat,

-ere-

/:ile'S:141e7.14'.

UNION DES SYNDICATS. Réunion du conseil d'administmtion aidonsd'Eui mmedi, à 18 h. 30, 0 la Mans duTravail.

La ITTIT`gg da Saurerai des Electricienert spécialement convirtnléi

OUVRIERS SEuRtuNERS ET CHARPENT1ERS EN FER DE 'TOULOUSE.Conmil syndical acjore 12 novembre,18 heures.

PI...Dente !te

ARTISTES LYRIQUES ET DRAMA-TIQUES. Lundi 14 novembre, à 21 h.à h Boers. du Travail.

Nomination d'un ohmrvineur sompétentpour assister à l'audition des ardu05

vu. inscrits post le concoure de a Tou-louse-Pyrénéce1TRAVAILLEURS DE L ETAT. Le,'

d'Artillerie, Aviation. Marhumana des Syndicats de l'Arsenal. 01N. A., Parc d'Aras. admini.atifs, Centre d'appareil-lage, Aéronautique, Poudrerie, sont priésde se réunir aujourd'hui, à 17 heures, àla Bourse du Travail.

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UNION DES ANCIENS MOBILI-

SES DE FRANCE ET D'OUTRE-MERPermanence habituelle de 10 10,30

dOomThidié..,,timeaniche 13 novembre, Cale

Tous les r.P'sieicgenodroueCnatrkSelegontdonnés aux anciens mobilmes..elusde la carte du combattant mn Pour-ront s'inscrire pour adhérer a notregrotumment.

UNION DES MUTILES ET RE-FORMES DE LA. 17e REGION.Permanence channe samedi, de 15 h.30 à 17 h. 30, au siège, 3, place duCapitole, Toulouse.

Renseignements sur /a révision despensions et toutes les questions in-téressant les victimes de la ,guerrC.

Sa munir de documents necessan

ASSOCIATION DES MUSICIENSDE TOULOUSE. Versement coti-salions novembre et décembre &-manche 13 novembre, de 10 h. 3011 h, 30 du matin, au siège, Maisondo la Mutualité, rue de Mets, 3 (rem-de-chaussée).

AMICALE DES ENFANTS DUGERS. réunind générale men-suelle aura lieu samedi 12 novembreà 21 heures, au siège social.

L'ordre du jour comporte le re-nouvellement du bureau, du conseild'administration et des diverses com-missions.

Les membres de l'Amicale auronth coeur de venir nombreux à cetteréunion pour armorier un aPPoistimportant de suffrages b leurs man-dataires déoco.05 auxquels sera con-fiée la mission de conduire l'Ami-cale vers une .prospérité toujoursplus grandissante.

TMANON BOULISTE PELA JUN-CASSE. Assemblée générale de lasociété le dimanche 13 novembre, 116 h. 30, au siège, Café Sentis.

Ordre du jour important r Renon-vie,l1teillet du bureau; adhésions; co-

iPrésence indispensable.LE BARBELATOU DE PERIOLO

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DANTS, Les réunions hebdoma-daires sont fixées le vendredi,21 heures, au ange somal, Proie La-kanal, place de la Dammde,

Lot commissions ont déjia reprisleurs travaux.

Les séances de modèle vivant àl'Atelier Occitan reprendront le di-manche 13 novembre 1938.

Les artistes qui désirent adhérernotre groppernent sont assumés

d'avance de la plus cordiale bienve-

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leur mère, belle-mère, grandanère, sceurbelle-.eus, tante, décédée à l'âge de64 ans et vous prient de vouloir liesassister à ms obsèques qui aiment lieule samedi 12 novernbre 1950, O 15 O.en l'église N. D. de La Daurade.

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Agrès l'entraînement, rémilon. Forma, yakawa et Michiko Tanaka.don del'équips, pour les championantsQuestons cheersea,

ETOILE ROUGEBender-vous dimanche des bas-

kektteurs à la rue du Midi Man-gueil),

A 13 h. 30, équipes 3 et 2; à 14 h. 10équipe 1.

L'OEILLET ROUGIEAssociation. Rerider-vons des

joueurs demain, b 13 h. 45. terrainde PO. 0. S. C. (champ du Loup),match contre les Sept-Deniers, encoupe fédérale.

Baskett. Render-vous de tousles joueurs demain, à 13 h. 30, CaféTrinquié, rue Valade, match contreValade en tournoi du C. R. M., surleur terrain de la Place Saint-Pierre.

Boul.. A 14 heures, au siège,Partie amicale contre les Amis de

Commission des fête. Les mem- ront fennées pendant toute la boumisbres dont les noms suivent : Riba,1 du lundi.Altman, Hubert, Ileuillet, Ravel,BaScouer, Piquemal mnt Priés delse trouver ce soir, à 7 h, 45, Halle s Avis, Tong leh membres de idaux Grams.

Les membres actifs détenteurs decarnets de tombsda sont priés de lesrapportes d'urgence au trésorier, letirage devant avoir lieu ce soir amcours de la soirée dansante. Passece délai, ils r.teront acquis ma dé'testeurs.1110.'0111111111111111111111111111111111111111111

A VIEPORTIVERUGBY A QUINZE

:MUR AU T. 0, E. C.L'équipe catalane mmoncée au grand

complet notn est garantie d'une belle eteincém expli.tim sur la pelo.e du Parcdes Sports. Elle a battu Narbonne par 14à 0 ri Valence par /3 à 0,

Elle se présenmra dans /a formation sui.

A'rriire r Piaule;THOiScOni Rets, Carie, Panama.

amis Panargres, eau,Avants Portal, Cime, Carrère, Ba.

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Co, d'envoi /4 IL 30.Lever &rideau . Janiors du T. O. E.

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Populaires 4 francs.

FOOTBALL-CLUB TOULOUSAIN

Rendez-vone ior.urs pour lesmamhes de dimanche 13 courant.

Equipe 1, dépl.ement d'Albi: Rendez-

. ei

VOICI LA NUIT DE LITIVER.Voici vexa les journées courtes, lespluies, I. vents. Les nuits sont lon-gues; les veillées Lommencent tôt.Coasse II serait agréable, la campa-gne, d'avoir rêlectricité à domicile. Unbouton tourné, une lumière suffisanteéclaire toute /a pièce, l'étable, l'écurie,le chai. Propreté; plus de casa »ment, charbonnant; sécurité, plus de

ne, ougle, de Imterne risquant'moi srege, . 12 Lentes piecves, de mettre le feu à la paille, au foin Ug, , la grange, a la litière de l'étable:Rendez vous S.d. de la Poudrerie à 15 8Drés Prennère déPOPHO

dilsetallarion, les frais d'éclairage sont.. 30 ersea.

.cePrés et exactitude recommandés àsua

RUGBY A TREIZE

IDEMAIN,

an STADE DES MINIMES

Toulouse-plutoniumcontre ALBI. 11111

POLO VELOFINALE DE LA COUPE

DU SUD-OUEST

Brudiml.a.Paris.Club bat Toulouse-Po/0-Vélo Club p. 7 buts 4 sans

Supériorité manifeste des bordelaie:insuffisance d'entrantement du côté to.lousain, ou seule la virtnesité du malLandes empadha un score plus 1005d,

CO»

COURSES DE CHEVAUXGRA.ND PRIX D'AUTOMNE

La S.iété d. cours. de Teklo.eLea b.ketteureo Imakeneusea et Sanies toussaerniera pap,Pariés do Groupe Sportif Etienne-BD- ,,,pgpcha payeaga.Dem, sant ceromoluée nionsEeme et Av. le Grand Prix d'Automne demémo terrain. 18.210 francs, e/le clôturera la série d.Les bon/nies sont ...voguée samedi 121pr/g province offerts par lis Sociétécourant, à 14 herim, au aièm pom en- d'Encouragement aux plus Importantestroluemem. Le secrétaire

Après les derniers forfaits, douze che-vaux restent engagés dans cette eépreuv

,1 s amarnennent aux cen-Ores d'entraînements de Bordeaux, de

L'Amicale qui a son KEA,. café Louis, I Marseille, de Montode-Marsan, de Tarplace Lafourcade, quartier Saint-Miche/ '13es et de 511010055-donnera bonus Chaque année sa B1ue Le Grand Prix d'Automne donneraannue 0lle la mule du Cinéma Alcazar, lieu au concours de pronostins réservé

aux dam., doté de nombreux prix esmg.ise par I. Grands Magasi. duBon Marché de Paris-Touleme

Cette importante épreuve sera mea.ehée par un prix reclasser et unecourse de haies avec de nombreux par.tants.

La réunion qui aura commence parune course au trot se mrminera par leHandicap d'adieu

(InternationalatI

trot monté ou attelé) on une vingtainede partants se rangeront sous I. ordr.do starter.

Coup de cloche pour la Première à13 h. 30 précise.

1111111111111111111111111111111111111111111111111111

,m11.411/1AerVAIIONNE

SOCIETE DE SECOURS MU-TUELS e LA HX.INT-MARTIN

Par suite de l'indisponibilité dolCoq Revélois le dimanche iS no-vembre, la fête de la société Saint-Martin qui devait avoir lieu cejour-là, est remise au dimanche 27O ovembre.

Les inscriptions pour le banquetqui aura lieu à midi à l'hôtel duCentre sont reçues chez le secré-taire et le trésorisT.

CIRQUE MENAGERIE VER.DRENNE. Pour la première foisà Revel l'on nous signale le

portageducirque ménagerie Vandrensedonnera une représentation dim.-che 13 novembre, à 20 h. 30.

FERMETURE DES HOIX7rIERTES.Le moere de P.vel a l'honneur de potrter la connaissance de ses MM..taie0 que par arrête préfectoral en date

sociêté sont priés de se rendre di-m.. 13 novembre, a 10 h. 30, aumonument aux morts de la grandeguerre où une gerbe sera déposée.

CUGNAUXSYNDICAT AGRICOLE. Les mem-

bres du Syndicat réunis au siège ontdécide que les commandca de toute ne-t no ma t I' mince 1938-38

I kre présenté0s a la prochaineon qui ama lieu le mardi 6 dé-

cembre prochain ou inscrites ctieg le se-crétaire, avant cette datte. Passé ce dé-lai, les demandes ne pomront plus êtreamante..

L'ISLEEN-DODON.ALLOCATIONS FAMILIALES AGRI-

001.6. 00 000reblo1 de l'été demaises étendu D bénéfice des allocationsfamilialm aux natayers, fermiers, pro-priétaires, chargés de famille.

Elles seront payées b pa.mtir duler janvier 1969. Le siège est à Tou-louse, 10, boulevard Carnot. Les inté-ressés doivmt donc se faire inscrire lePlus tôt possible pour éviter tente pertege temps dans le paiement de lemsallocation.

LAGARDELLE

e rs au coan du pé-trole, des bougies, des ranch., des lam-pes; agrément, hygiène, si on travailleOU qu'on ltre, on ne anbîme pas lesYeuX.

Il ne parait pas que cette électrifica-tion va se faire bimtôt. On voit lofesde temps en temps quelque réunion dusyndical d'électrification; mais pasd'ouvriers m.me ne viennent chm nousdans notre .nton déshérité. Purtnau-rens (pourtant bien votant et près desdieux D, 500105 Mauvesin, Montrer-nard, attendent comme les mécréantsUs Martessene, Moles, Saint-Frajou et

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