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Recueil de mes travaux (projets de paysage), jardins, dessins...
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2146(1.+1
ingénieur-paysagiste-ßXKP�%NCTG
Kévin Clare34, rue de Sévigné75004 Paristel : (33) 6 58 28 23 95e-mail : [email protected] ansPermis B
4 mois à l’agence G+C architectes et paysagistes à Paris - assistant-paysagiste
Études préliminaires pour l’insertion d’un BHNS à Angoulême.
0nze semaines de stage à l’agence Ter à Paris. Participation au projet de maîtrise d’oeuvre
des espaces publics de la ZAC Eurorennes (Phase AVP). Participation au projet d’une voirie en
centre-ville visant à redonner au piéton toute sa place, Cagnes-sur-mer.
Trois mois de stage à l’agence Itinéraire-bis à Lyon. Participation à l’analyse grand paysage
d’un sous-bassin versant de la Saône et du bassin versant de l’Aygues dans les baronnies près de
Nyons, visant à l’élaboration de contrats rivière et l’aménagement des cours d’eau.
Un mois de stage au Jardin Botanique Hanbury à Vintimille en Italie.
Deux mois de stage à Prospect Park à New York City.
Un mois de travail saisonnier dans les jardins du Château de Lorière et du Manoir du Pontgirard dans l’Orne.
Deux mois de stage dans le jardin Pukeiti Rhododendron Trust en Nouvelle Zélande.
Un mois de stage à l’agence Osty à Paris.
Deux mois de stage ouvrier à Hillier Arboretum and gardens en Angleterre.
Un mois de stage ouvrier au Jardin Botanique de Catane en Italie.
3 mois de stage en aménagement urbain au Service Urbanisme de Clichy-la-Garenne (92)
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INGÉNIEUR-PAYSAGISTE. Diplômé de l’École Nationale Supérieure de la Nature et
du Paysage de Blois (ENSNP).
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Italien - opérationnel
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7KpkWUH��GDQVH��SKRWRJUDSKLH��GHVVLQ��YLVLWHV�G¶H[SRVLWLRQV�HW�GH�MDUGLQV��conférences.
2012
2006
2004
2009
2010
2011
2012
2008
2008
2007
2007
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2005
2005
2004
Langues
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Activités
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3 4 5 6
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1 Urbanisation des délaissés agricoles en préservant les continuités
�8�Ç�O8¼����8t±�O��b�Yb´�b´�8Ob´�¼b�Y�>�Y�´�8±8�¼±b�8Á��±�o¼�de l’urbanisation. Il évident que ces sites sont soumis à une �±b´´����Á±F8��b�n�±¼bV����b´¼�Y�noO��b�Yb��b´��±c´b±Çb±¡�Leur situation dans le tissu urbain les prédestinent à être construit. La ville de Vineuil s’est établit sur un éperon calcaire, formé par la vallée de la Loire et du Cosson. Les bourgs anciens se sont installés, éloignés les uns des autres, en partie haute du côteau.Progressivement, l’extension urbaine les a réunis ne for-mant plus qu’une masse urbaine continue accompagnée de poches agricoles.Ces espaces agricoles, pour le moment préservés, constitu-ent une réserve foncière majeure pour la ville. Il convient de penser dès à présent la manière dont la ville doit con-tinuer tout en préservant des respirations indispensables à son équilibre.
�b��±��b¼�8�O��´�´¼c�>�Yco��±��b´�Y�nnc±b�¼b´�O��¼��Á�¼c´��Á±-baines, agricoles et forestières) à préserver dans le cadre de l’urbanisation. La composition de l’espace s’est organisée autour du Bois des Arbanelles. À l’ouest du bois, la ville ac-compagnée d’espaces publics généreux est privilégiée.���®b´¼V��®b´�8Ob�8t±�O��b�b´¼�O��´b±ÇcV�8o��Yb�±c���Y±b�>��8�proximité avec la ville, les grandes cultures sont remplacées par des pré-vergers et du maraîchage.Des nombreuses sentes piétonnes sillonnent le nouveau quartier, recréant ainsi de nouveaux passages.
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Projet �HQFDGUDQWV���-DFTXHOLQH�2VW\���&DWKHULQH�)DUHOOH� Lieu Date
Grand paysage // Atelier 4 ENSNP // Vineuil (41) 2011
Vineuil
Tissu pavillonnaire Bourgs anciensParcellaire agricole
Boisements
Les trois poches agricoles insérées dans le tissu urbain de Vineuil sont situées sur la partie haute du côteau
Délaissé agricole présentant des frichesAgricole inséré dans le tissu urbainPaysage agricole ouvert sur les terrasses sablonneuses
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Nouvelle trame bâtie comprenant des logements individuels et des petits collectifs avec jardins insérés dans un quartier dessiné par une trame boisée réservant des jardins et espaces publics.
Mail planté : entrée principale du quartier. La voirie est minimisée, pour favoriser les modes doux.
Espace public ou jardin proposant une mise en scène et une traversée du bois. Cet espace entretient un dialogue entre la masse boisée et la nouvelle trame urbaine.
2b±tb±�~��8±Y���U�±bYco��¼����Yb��8���´�f±b��8Ç������8�±b�8ÇbO��b�F��´�Yb´�ϱF8�b��b´¡
Jardins potagers destinés à conserver la vocation agricole du site ainsi que d’établir un lien entre le maraîchage et l’urbain.
Parcelles de maraîchage. Favorsisent la continuité agricole vers les terrasses agricoles.
Les accroches végétales défnissent des seuils aux sites, ancrent le nouveau quartier dans le tissu existant
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A
A’
Bois des Arbanelles
0 40m
Mail de platanes
Place minérale plantée de Frênes
Espace public jardiné
Le quartier des Arbanelles s’appuie sur des cheminements existants. La trame plantée utilise ces tracés pour structurer l’urbanisation et les espaces publics.Le végétal oriente la ville et non pas l’inverse, ainsi l’équilibre entre le construit et les jardins apparaît.
Verger
Potagers
Chemins de modes doux accompagnés d’une trame plantée
Maraîchage
Rue plantée
Jardin en dépres-sion stockant les eaux pluviales
A A’
Îlot jardiné central : espace privé traversable
Rue transversale aux usages partagés
Jardin verger et pelouse plantée
Le mail de plantanes structure l’entrée du quartier et offre des espaces partagés aux usagers
Le sentier dans le bois des Arbanelles lie la partie bâtie au vergers et potagers
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Un parc agricole : nouvelles dynamiques pour le paysage Muidois2
3UR¿O�GX�SURMHW
Analyse
Muides-sur-Loire est un village-rue situé en bord de Loire, à proximité du domaine national de Chambord. Pour se rendre au château, les touristes doivent emprunter la ville. Seulement, depuis la sortie d’autoroute, le paysage traver-sé n’est pas très évocateur du val de Loire. L’entrée dans Muides se fait pas une départementale qui constitue une colonne vertébrale aux nombreuses nuisances.Sa largeur exagérée laisse peu de place aux piétons et en-courage les automobilistes à accélérer à l’approche du cen-tre-ville.Il est nécessaire de réduire la vitesse de cette route et d’en améliorer ses abords pour en offrir une vision plus accueil-lante pour les touristes de passage. Le traitement des abords immédiats de la route semble évident mais il faut aussi penser aux épaisseurs de cette traversée urbaine. Pour cela, je me suis alors penché sur le paysage agricole que l’on donnait à voir depuis cette départementale.Le paysage du Val de Loire n’est pas très évocateur : maïs, blés, cultures fourragères. La vigne, installée depuis fort longtemps tend à disparaître. Le territoire AOC Cheverny ne parvient pas à lutter contre cette tendance. Le peu de vigne restant est installée contre la forêt de Chambord, s’éloignant de la route départementale.
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Projet �HQFDGUDQWV���-HDQ�0DUF�*DXOLHU���0DUF�&ODUDPXQW� Lieu Date
Grand paysage����$WHOLHU���(1613���� � � � 0XLGHV�VXU�ORLUH������ � � ����
"HSJDVMUVSF�JOUFOTJWF �IPNPHoOF�QFV�EJWFSTJ¾nF �OµBUUSJCVBOU�QBT�EµJEFOUJUn�h�MB�DPNNVOF�
Terroir AOC Cheverny - Outil de valorisation des
UFSSFT�BHSJDPMFT��-B�WJHOF�FTU�QFV�QMBOUnF �MFT�HSBOEFT�DVMUVSFT�QSnWBMFOU�
-FT�GFSNFT�BDUVFMMFT �EnDPOOFDUnFT�EV�UJTV�VSCBJO
UN PAYSAGE DESSINÉ PAR LA PAC, OUBLIANT LE PARCELLAIRE
PATRIMOINE VITICOLE ÉFFACÉ
-F�CiUJNFOU�EF�MµBHSJµ$VMUVSF�FU�MF�QBSWJT�QMBOUn�QPVS�MB�WFOUF�FO�EJSFDU�EFT�QSPEVDUJPOT�
-FT�TFOUJFST�DIFNJOFOU�MF�MPOH�des parcelles maraîchères desti-
OnFT�h�MB�DVFJMMFUUF�
Aire de stationnement pour le
public du parc agricole
-FT�QSnT�WFSHFST �P}�MµPO�QFVU�observer les petites parcelles
agricoles aux limites de la ville
TPVT�MFT�CSBODIFT�EV�GSVJUJFST�
-FT�QSnT�WFSHFST�FU�MFT�QBSDFMMFT�NBSBtDIoSFT�GPSNFOU�VOF�SFODPOUSF�FOUSF�MB�GFSNF�FU�MFT�MPUJTTFNFOUT
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-B�NJDSPBHSJDVMUVSF�PGGSF�VOF�WBSJnUn�EµBNCJBODFT�QBZTBHoSFT�
Des techniques de production en lien avec le
QBSDFMMBJSF �QMVT�SFTQFDUVFVTFT�EV�TPM ��EF�MµFOWJSPOOFNFOU�
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-F�CiUJNFOU�EµBDDVFJM �VOF�JOUFSGBDF�FOUSF�MB�WJMMF�FU�MµBHSJDVMUVSF�
&OUSnF�EBOT�MF�QBSD�BHSJDPMF�QBS�MF�QBSWJT�QMBOUn�MF�MPOH�EFT�GSVJUJFST�FO�FTQBMJFST�
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3 Quand l’autoroute A4 devient un boulevard urbain, l’émergence d’un nouveau quartier
Quarante ans après la construction de l'autoroute, les élus sont una-nimes : le paysage urbain et naturel de la métropole doit être reconsi-déré et valorisé. Il faut penser la reconversion de cette infrastructure et la façon dont la ville pourra réinvestir ses franges. Depuis mars 2011, une déviation propose un contournement de Reims. En 2012, la portion urbaine de l'autoroute doit être déclassée en boulevard urbain, ce qui implique une réduction de la vitesse dans cette zone, de 90 à 50 km/h. Quelles conséquences pour la ville, et comment tirer parti de cette trans-formation ?Nous nous intéresserons à cette question à travers les projets de réamé-nagement de l'un des quartiers contigus de l'autoroute, qui jouit d'une situation bien particulière. Triangle formé par le canal, la voie ferrée et la Vesle, le quartier Bois d’Amour à l'ouest de Reims est la porte d'entrée jardinée de la ville, à la rencontre entre le tissu péri-urbain et le paysage agricole. Il s'agit d'une vaste zone humide : là se trouvaient autrefois les marais de Reims. Pris entre le canal et l'autoroute, le quartier donne cependant une im-pression d'enclavement. De surcroît, il est l'un de ces espaces en frange de ville induits par l'histoire industrielle, qui ne correspondent plus aux usages actuels : les terrains sont en friche et les usines en déshérence. Peu à peu, les immeubles d'habitation viennent remplacer ces vestiges d'une ère révolue, faisant de cet espace en mutation un enjeu pour la commune. Le déclassement de l'autoroute en boulevard urbain est ainsi une oppor-tunité importante pour le quartier Saint-Charles. Le déclassement de l'autoroute introduit un nouveau rapport à l'espace : Ob�±8�b�¼�´´b�b�¼�F±Á¼8����Y�ob±8��b�±bt8±Y�Yb��°8Á¼���F���´¼b�´Á±�Ob��8±-din urbain. En considérant les nuisances que autoroute, l'aménagement de cette traversée urbaine doit rendre le quartier plus agréable et relié à son contexte.Aux abords de ce nouveau boulevard, la Vesle réduite au minimum par les activités humaines pourrait retrouver son emprise plus confortable, et ainsi s’ouvrir sur les espaces urbains qu’elle traverse.
Pour le paysagiste, il s’agit de proposer de nouvelles façons d’occuper cet intervalle urbain qu’est le marais de Reims et pour la ville de reprendre la main sur le foncier pour créer un quartier.
S'il est relativement préservé de l'urbanisation, cet intervalle urbain n'est pas « vide » pour autant : le corridor écologique de la Vesle y dessine un espace naturel à préserver, et de nombreux « jardins habités » décri-vent des usages constitutifs de l'identité du lieu. Pour accompagner au ��bÁÉ� �8�±b¦Á8��oO8¼����Yb�Ob¼�b´�8ObV� �b��8Ê´8t�´¼b�Y��¼� °́8´´Á±b±�¦Áb��b´���ÁÇb��b´�O��´¼±ÁO¼���´�Fc�coO�b±��¼�Yb´�¦Á8��¼c´��8Ê´8tf±b´�YÁ���bÁ�sans les altérer. Il doit également organiser la mutation de ses usages en s'inspirant de l'existant, dans le souci de maintenir une certaine conti-nuité avec son histoire. C'est une gageure, car le bâti du quartier s'est largement développé en dehors de tout règlement d'urbanisme et même d'autorisation légale : l'essentiel en sera donc rasé (une hypothèse ur-banistique qu’il faudra questionner). Pour recomposer le quartier, une 8O¼����´Á±�´b´�b´�8Ob´���¼b±�cY�8�±b´� °́����´b�8o��Yb�´8ÁÇbt8±Yb±�Ob±-taines bases constitutives de son identité : la trame viaire, le parcellaire, les modes de gestion, les rapports avec le canal, la rivière et les boise-ments sont autant d'éléments à prendre en compte. Il faudra également proposer des solutions pour les habitants expropriés.
Cette « couture urbaine » entre les infrastructures doit donc être l'oc-O8´����Yb�Yco��±��b�¼Ê�b�Y°8�c�8tb�b�¼´�Y��¼��8�Ç���b�8�Fb´���V�b¼�Y8�´�quelle mesure ils peuvent participer à la vie du quartier. Il convient là de faire apparaître ce morceau de ville dans la ville, des-siner de nouvelles occupations, de nouveaux usages. Par exemple, la création de nouvelles dessertes sur le site pourraient impliquer une or-ganisation différente des espaces et des usages. Conformément aux sou-haits des élus, des lieux de détente et de promenade s'intégreront ainsi au projet de coulée verte le long des berges de la Vesle. Les possibilités étant nombreuses, il s'agira d'évoquer chacune d'elles en considérant les données du site et du programme. Pour ce qui est de l'urbanisation, les nouvelles occupations d'habitat devront fortement tenir compte des aléas d'inondation qui constitue un atout fort pour le projet.
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Projet �HQFDGUDQWV���0DULH�3UXYRVW���7KLHUU\�0D\WUDXG� Lieu Date
Projet urbain����7)(�(1613���� � � � � 5HLPV������ � � � ����
Équipements publics, lieux de culteCentre historiqueFaubourg / tissu pavillonnaireActivitésMixte : maraîchage /résidentielMaraîchage
Jardins ouvriersParcs et jardinsFricheEspace naturel (ripisylve)
Autoroute A4
Rocade intermédiaire interrompue
Voie SNCFTramway
L’inondation comme lecture du vide urbain
La Vesle et le canal, l’armature verte de l’agglomération
La mobilité en projet : déclasse-ment autoroute A4, rocades, haltes ferroviaires
76.5
0
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76.5
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La Vesle
1.
2. 3.
3.2.1.
Traverser le canal pour relier les deux rives
)"#*5&3�-&4�+"3%*/4UTILISER LA TRAME PAYSAGÈRE POUR ORGANISER LE QUARTIER
2. RE-LIER. S’ACCROCHER AUX QUARTIERS1. CRÉER DES ESPACES PUBLICS ET BÂTIS
Développer la ville autour de la nouvelle rocade
Franchir la voie ferrée pour réunir le canal et la VesleRejoindre les jardins ouvriers séparés par l'autoroute
Relier le nouveau quartier au centre-ville
Constituer un réseau d’espaces publics du canal jusqu’à la Vesle
3. REDONNER SA PLACE À LA VESLE
Composer les emprises bâties et espaces publics avec l'inondation
Accéder aux berges en aménageant une promenade
Profiter du risque d'inondation de la Vesle pour créer un vaste parc public modulable selon les saisons
Etirer les boisements dans le quartier
Assurer la continuité urbaine du centre-ville en profitant du foncier du canalProfiter de la nouvelle halte ferroviaire pour créer un espace public central
Urbaniser les franges de la poche agricole
1. LES TRAVERSES JARDINÉES - PARTAGER L’ESPACE ET LES CULTURES
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2. LA PROMENADE DU HALAGE. LES JARDINS SUR QUAI - ENTRER DANS LE QUARTIER DU CANAL PAR LES JARDINS
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Rue-jardins Rue-jardins5SBWFSTF�KBSEJOnFT 1BSWJT�EF�MB�IBMUF�GFSSPWJBJSF
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Les jardins habités
Le parvis de la
halte ferroviaire
Crue annuelle
Crue décennale
Crue centenale
3. LA PROMENADE DU BORD DE L’EAU-ENFIN S’APPROCHER DE LA VESLE !
4 Recomposer la ville de Roubaix en tissant un maillage dense d’espaces publics : la place Carnot.
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Roubaix est bien connue pour son passé industriel tourné vers le textile. Cette histoire se lit dans le tracé même de la ville : l’architecture de brique, les rues étroites, les maisons d’ouvriers. Repenser les places de la ville est avant tout un moyen d’intervenir sur l’espace public. Le projet questionne la place de la voiture dans la ville et son rapport au piéton. La proposition n’a pas le prétention de résoudre tous les maux de la ville du 21è siècle mais tente d’apporter quelques ouvertures.
Projet �HQFDGUDQWV���-HDQ�0DUF�*DXOLHU���0DUF�&ODUDPXQW� Lieu Date
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010
203040m
Place Carnot
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20m
SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant- Accès piéton et exposant inadapté- Organisation confuse du marché- Îlot central restreint- Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
ENJEUX :
- Élargir l’îlot central
- Traiter les accès et les seuils
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
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SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant- Accès piéton et exposant inadapté- Organisation confuse du marché- Îlot central restreint- Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
ENJEUX :
- Élargir l’îlot central
- Traiter les accès et les seuils
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SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant- Accès piéton et exposant inadapté- Organisation confuse du marché- Îlot central restreint- Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
ENJEUX :
- Élargir l’îlot central
- Traiter les accès et les seuils
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
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SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant- Accès piéton et exposant inadapté- Organisation confuse du marché- Îlot central restreint- Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
ENJEUX :
- Élargir l’îlot central
- Traiter les accès et les seuils
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
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SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant- Accès piéton et exposant inadapté- Organisation confuse du marché- Îlot central restreint- Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
ENJEUX :
- Élargir l’îlot central
- Traiter les accès et les seuils
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
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SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant- Accès piéton et exposant inadapté- Organisation confuse du marché- Îlot central restreint- Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
ENJEUX :
- Élargir l’îlot central
- Traiter les accès et les seuils
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
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SAMEDI, JOUR DE MARCHÉ
DIAGNOSTIC : - Stationnement insuffisant- Accès piéton et exposant inadapté- Organisation confuse du marché- Îlot central restreint- Revêtements et mobiliers à l’encontre de l’usage
ENJEUX :
- Élargir l’îlot central
- Traiter les accès et les seuils
- Déporter le stationnement à l’extérieur de la place pour de nouveaux usages.
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Le marché s’aligne sur les bosquets du jardin humide
Sur la place Carnot, l’enjeu majeur est d’attribuer de nou-veaux usages à cet espace. Le marché hebdomadaire, néces-site une surface d’exposition convenable, accopagné d’accès pour les véhicules et les piétons. La place offre deux espaces : le parvis minéral du maché et le �8±Y���|Á��Yb�Yb´¼��c�>��8�q:�b±�b¡
Noue enherbée au pied des im-meubles
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4bis Recomposer la ville de Roubaix en tissant un maillage dense d’espaces publics : les places Amiens et Roussel.
Ces deux places sont proches l’unes de l’autres, seul un îlot les séparent. Cet îlot destructuré présente un jardin entouré d’immeubles HLM. La recomposition de cet ensemble permet d’élar-gir le périmètre d’étude et de connecter les places ±b¦Á8��ocb´��8±�Ob��8±Y���intérieur. Intégrer l’espace
privé des immeubles nécessite Á�b�Yco��¼����o�b�YÁ�´bÁ���public/privé pour une lisibi-lité de l’espace public.Ce premier scénario favorise la traversée piétonné par l’in-térieur de l’îlot en question.
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Bandes de graminées dans le jardin intérieur
Scénario 2 : le jardin privé des résidents, liaison des places par le boulevard planté
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B’
B
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Projet �HQFDGUDQWV���-HDQ�0DUF�*DXOLHU���0DUF�&ODUDPXQW� Lieu Date
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5 Redonner une unité à deux places dissociées
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Les parvis des deux écoles dessinent un espace peu lisible. Les esplanades ont été pensées séparément, de ce fait ne fonctionnent pas ensemble. Il faut alors trouver un moyen de les associer, pour que l’espace ne fasse plus qu’un et que le traitement du sol, du végétal soit davantage unitaire.Les colones de briques de la façade de l’école du paysage im-posent un rythme au revêtement de sol. Des bandes pavées se calent sur ces verticales. Elles permettent l’installation de grands bacs plantés de Koelreuteria paniculata.La continuité entre les deux places se fait par un alignement de deux arbres guidant le piéton d’un espace à l’autre. Des bandes de graminées accentuent cet effet d’ouverture.
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Projet �HQFDGUDQWV���'RPLQLTXH�&DLUH���0LFKHO�%RXOFRXUW� Lieu Date
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École du paysage
École des Ingénieurs
1 Urbanisation de délaissés agricoles en préservant les continuités
10
6 Réaménagement des berges des biefs de la centrale
La centrale nucléaire de Saint Laurent des Eaux est située
GDQV�OD�YDOOpH�GH�OD�/RLUH�VXU�XQH�vOH�DUWL¿FLHOOH��VRQ�LPSODQ-
WDWLRQ�HVW�VWUDWpJLTXH��/¶HDX�GH�/D�/RLUH�HVW�XWLOLVpH�SRXU�OH�UHIURLGLVVHPHQW�GHV�LQVWDOODWLRQV�WHFKQLTXHV��Le site présente 3 biefs accueillant les eaux. Depuis
TXHOTXHV�DQQpHV�� OHV�EHUJHV�GH�FHV�EDVVLQV�FRQQDLVVHQW�de graves dégradations. Le projet de paysage vise alors à
stabiliser ces pentes érodées à l’aide du génie végétal. La
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tions paysagères.
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Projet Lieu Date
Grand paysage // Atelier 4 ENSNP // Vineuil (41) 2011
10
Projet �HQFDGUDQWV���'RPLQLTXH�&DLUH���0LFKHO�%RXOFRXUW� Lieu Date
Atelier 2 ENSNP// St-Laurent-des-eaux (41) 2008
Des branches de
saules (Salix purpu-
rea, Salix viminalis)
sont allongées sur le
sol et maintenues par
des pieux en acacia.
Bandes d’hélophytes
HQ� ERUGXUH� G¶HDX��¿[DQW�OH�SLHG�GH�EHUJH�et limitant le marnage.
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