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Pourquoi et comment mesurer sa
dépendance et ses impacts sur la
biodiversité ?
Organisé par :
Annabelle PRIN-COJAN – Entreprises pour l’Environnement (EpE)
Benjamin Lévêque – I Care & Consult
Mesurer pour mieux gérer
Erosion de la biodiversité liée à l’activité humaine
Préoccupation croissante des parties prenantes
Responsabilité élargie des entreprises
Motion UICN
Déroulé de l’atelier
Présentations (60 minutes) EpE : guides sur les outils Kering : EP&L Ciment Calcia : SMBio EUROVIA, SUEZ et le MNHN : IQE et IPE BASF : BiodiverID
CDC Biodiversité : Global Biodiversity Score™ I Care & Consult : Empreinte biodiversité
Echanges avec la salle (30 minutes) Réaction par rapport aux présentations
Attentes et besoins des acteurs économiques envers l’AFB
Des guides sur les outils existants
Mesurer et piloter la biodiversité, EpE, 2013
ECO4BIZ, WBCSD, 2013
Entreprises et biodiversité, quels outils pour quelles
décisions ? CDC Biodiversité, 2015
Mesurer et piloter la biodiversité
Une quarantaine d’exemples concrets des outils et indicateurs utilisés par les entreprises membres d’EpE
Une méthodologie pour définir ses indicateurs et piloter la stratégie biodiversité
ECO4BIZ Ecosystem services and biodiversity tools to support business decision-making
Echelle de l’outil : global, territoire,
produit
Qualitatif, quantitatif et cartographie
Principal intérêt de l’outil, utilisation par
qui et coût
Entreprises et biodiversité : quels outils pour quelles décisions ?
Une analyse comparative des outils
disponibles
Un arbre de décision pour
sélectionner les outils les plus
appropriés
Une application GOBIODIV+
Pourquoi ?
“Sustainable business is smart business”: Le développement Durable est un des
quatre axes stratégique de Kering.
Kering dépend très majoritairement de matières premières agricoles
Source: Stockholm Resilience; Center Steffen et al. 2015
Pourquoi ?
Comprendre ses dépendances et impacts vis-à-vis de la biodiversité
dans un contexte de forte concurrence à l’accès aux matières
premières
Construire des chaines d’approvisionnement résilientes
Saisir des opportunités business
Quel outil, comment et avec qui ?
Kering a développé l’EP&L depuis 2011 Le compte de Résultat Environnemental attribue une valeur monétaire
aux conséquences sur les populations des impacts environnementaux de nos chaines d’approvisionnement, depuis l’extraction des matières premières jusqu’aux portes de nos magasins
Méthodologie Open Source
Développée avec pwc
Quel outil, comment et avec qui ?
Changement d’utilisation des sols
comme proxi de l’impact
biodiversité
Evalué par la perte de flux annuel
de services écosystémiques due à
la conversion des terrains
Quel outil, comment et avec qui ?
Travaux en cours pour améliorer la
prise en compte de la biodiversité Meilleure compréhension de l’impact des
conversions de terrain sur la biodiversité et les
services écosystémique rendus par les terres
Evaluation spatiale plus fine
Réflexion sur un indicateur biodiversité non
valorisable financièrement (biodiversité pour
elle-même)
Quel coût, combien de temps ?
Commencée en 2011, méthode développée à partir d’une feuille blanche
Investissement très important en temps et en ressources
Partage open source de la méthodologie
Référentiels dorénavant existants
Collecter de l’information primaire dans les chaines d’approvisionnement peut être extrêmement chronophage, particulièrement en remontant jusqu’aux matières premières
Effort proportionnel à la complexité et la traçabilité des chaines d’approvisionnement
Les bénéfices et les limites
Bien meilleure compréhension de nos chaines d’approvisionnement Diagnostique précis et concret pour implémenter de bonnes pratiques
agricoles Des chaines d’approvisionnement plus résilientes De meilleures relations avec nos fournisseurs En interne: outil innovant et attractif générant une forte adhésion à la
démarche environnementale En interne: outil d’aide à la gestion des risques
Les bénéfices et les limites
Limites méthodologiques
Traçabilité des matières
Accès aux données terrain dans le monde entier
Pourquoi ?
L’activité extractive, une activité en lien direct avec la biodiversité
Mesurer ses impacts c’est commencer à les éviter et les réduire!
Eviter et réduire nos impacts c’est pérenniser notre activité.
Etre en cohérence avec nos engagements
Quel outil, comment et avec qui ? Un Système de Management dédié à la Biodiversité qui permet :
Une Structuration nationale déclinée localement
Un pilotage politique au plus haut niveau de l’entreprise
Une Intégration très opérationnelle des enjeux de la biodiversité
Un meilleur partage d’expérience, des outils de gestion commun, une
harmonisation des pratiques.
Une Reconnaissance pour les acteurs de terrain
Un Renforcement de l’intégration territoriale des activités
Une Anticipation des politiques publiques
Un projet développé en collaboration avec notre partenaire l’UICN
France.
Quel outil, comment et avec qui ?
Quel moyens?
Une approche intégrée au SME de l’entreprise, Des acteurs internes Des partenariats locaux
Une approche totalement intégrée à l’acte de travail de nos opérateurs. Des formations régulière avec l’aide de l’UICN Un partage d’expérience permanent
Une consolidation locale et une synthèse nationale annuelle
Les bénéfices et les limites Un projet reconnu qui répond aux engagements et spécificités
de l’entreprise Une meilleure adaptation de nos projets aux enjeux biodiversité Une réelle capacité à recréer des milieux intéressants Une meilleure intégration territoriale Anticipation des politiques publiques
Les Limites Pas ou peu de reconnaissance externe pour les entreprise engagées
Ne permet pas de réduire l’impact des évolutions réglementaires
Capacité réelle à mesurer les progrès et trajectoires, quels indicateurs?
Pourquoi ?
Contexte : Manque d’indicateurs de performance de la gestion de la biodiversité
Enjeu : Evaluer la qualité écologique des sites industriels (ISD, carrières, etc.) Établir une méthodologie standardisée de diagnostic
pour évaluer l’intérêt en termes de biodiversité et définir les enjeux propres à chaque site
Evaluer la gestion de la biodiversité sur les sites
Orienter les mesures de gestion et d’aménagement
Évaluer l’efficacité des mesures mises en œuvre
Quel outil, comment et avec qui ? Partenariat entre le MNHN et des acteurs tels que Suez et Eurovia
Expertise scientifique des enjeux biodiversité Méthodologie robuste et répétabilité
Indicateur de Qualité Écologique (IQE) et Indicateur de Potentialité Écologique (IPE) – 3 grands critères : la patrimonialité (habitats et espèces) la fonctionnalité écologique la diversité des habitats et de l’avifaune
Méthodologie France métropolitaine (Corse comprise) Sites aménagés ou à aménager de 10 à 100 ha naturaliste de bon niveau et expérimenté, et ayant suivi
une formation auprès d’un utilisateur expérimenté de l’IQE
Quel coût, combien de temps ?
Coûts IQE :
6 jours de terrain
3 à 4 jours : rédaction des préconisations de gestion et échanges avec les équipes locales
IPE : 1 journée de terrain
Rapport
Formation des partenaires à la démarche/méthodologie IQE
Temps Prévoir un an pour la réalisation d’un IQE :
Passage terrain au printemps, été, automne
Prévoir un accompagnement avec le site pour l’impliquer Réunion de lancement Réunion de restitution
Animation de la démarche au niveau siège/central
Fréquence Carrières en roches massives : 5 ans Carrières en roches alluvionnaires : 3 ans Sites ISD : 1 à 4 ans
Les bénéfices et les limites Indicateur scientifique, robuste, méthode standardisée
Reproductibilité interannuelle, suivi dans le temps d’un même site mais comparaison inter-sites limitée
Responsabilisation des équipes du site à la préservation de la biodiversité
Identification et amélioration de mesures concrètes de gestion /conservation de la biodiversité
Facilité pour communiquer auprès des clients, partenaires, public
Communauté de pratique autour de l’outil http://iqe-spn.mnhn.fr/
Indicateur qui ne permet que de répondre à la question pour laquelle on l’a construit
Retour d’expérience Eurovia
Appropriation de
l’indicateur par les
équipes locales
Réalisation des
actions par les
équipes locales
Indicateur
pédagogique
partagé avec les
parties prenantes
Blignicourt (10)
Vertrieu/Porcieu (38)
Le Danger – Saint Vincent
(85)
Dompierre-sur-Helpe
(59)
Chateaupanne (49)
Solignac-sur-Loire (43) Châteauneuf-les-Martigues (13)
Oradour-sur-Glane (87)
Yville-sur-Seine (76)
Bourguenolles (50)
IQE 2016 Marcilly-sur-Vienne (37)
Muneville-le-Bongard (50)
Le Crotoy (80)
Rosnay-l’Hôpital (10)
Ecuelles (77)
Rians (83)
Cauna (40)
MNHN
Partenaires EUROVIA
Retour d’expérience SUEZ
Partenariat avec le MNHN depuis 2008 – 9 ans de réalisations !
Bilan pour 73 inventaires sur 51 sites (2015) : 4,3 espèces patrimoniales par ISD en moyenne + de 1500 espèces différentes Des espèces patrimoniales sur 83% des ISD 74% d’espaces ‘naturels’
Des IPE/IQE suivis sur plusieurs années 4 sites avec 2 points IQE 6 sites avec 3 points IPE/IQE
Poursuite du déploiement nécessaire, en particulier sur les sites sensibles
Implication des Ingénieurs environnement et des chefs de centre lors de la réalisation des IQE
Enjeu
Montrer qu’à l’échelle d’un territoire, agriculture moderne
et développement de la biodiversité sont compatibles
Passer d’une vision réglementaire nationale conflictuelle à une démarche locale pédagogique
Mode de gouvernance clair
Suivi en parallèle d’indicateurs biodiversité et socio-économiques reconnus
Améliorer et mutualiser la connaissance
Quelles interactions entre agriculture et biodiversité :
positives ou négatives ? Réseau de fermes BASF en Europe
Quel outil, comment et avec qui ?
Quel outil, comment et avec qui ?
Des indicateurs simples à mesurer Avec des protocoles adaptés au terrain Suivis par l’agriculteur après formation
Quel outil, comment et avec qui ?
Des indicateurs simples à mesurer Avec des protocoles adaptés au terrain Suivis par l’agriculteur après formation
Quel outil, comment et avec qui ?
Des indicateurs simples à mesurer Avec des protocoles adaptés au terrain Suivis par l’agriculteur après formation
Quel outil, comment et avec qui ?
Des indicateurs simples à mesurer Avec des protocoles adaptés au terrain Suivis par l’agriculteur après formation
Pertinence des aménagements biodiversité pour les populations d’oiseaux
Quel outil, comment et avec qui ?
Des indicateurs simples à mesurer Avec des protocoles adaptés au terrain Suivis par l’agriculteur après formation
Pertinence des aménagements biodiversité pour les populations d’oiseaux
Pertinence des aménagements biodiversité (jachères apicoles) pour l’alimentation des abeilles
Quel outil, comment et avec qui ?
Des indicateurs simples à mesurer Avec des protocoles adaptés au terrain Suivis par l’agriculteur après formation
Pertinence des aménagements biodiversité pour les populations d’oiseaux
Pertinence des aménagements biodiversité (jachères apicoles) pour l’alimentation des abeilles
Quel coût, combien de temps ? Moyens humains investis depuis 2011 :
1 apprenti depuis 2011 pour l’animation du programme, le suivi/relances des agriculteurs, la synthèse et la mise en forme des données
Apport d’expertise agronomique BASF au niveau national (experte abeilles) et à l’échelle régionale (4 Ingénieurs Conseil Environnement)
Moyens budgétaires : (au-delà des ressources humaines citées précédemment)
Env. 20 k€/an (financement suivis ornithologiques / faune sauvage, analyses pollen, matériel pour échantillonnage…)
Les bénéfices et les limites
1er bilan : Besoin de pédagogie afin que les bénéfices d’une telle démarche soit clairement perçus
(importance de rattacher des indicateurs socio-économiques aux indicateurs environnementaux)
Nécessite de constituer des outils de partage d’informations
A permis d’établir des itinéraires techniques agro-écologiques vertueux
Bénéfices : Dialogue avec les parties prenantes / experts locaux
Démarche efficace où « chacun est à sa place »
Limites : Demande du temps, de la pédagogie (formation à la reconnaissance des insectes…)
50 fermes…
Enjeu
Montrer qu’à l’échelle d’un territoire, agriculture moderne
et développement de la biodiversité sont compatibles
Passer d’une vision réglementaire nationale conflictuelle à une démarche locale pédagogique
Mode de gouvernance clair
Suivi en parallèle d’indicateurs biodiversité et socio-économiques reconnus
Améliorer et mutualiser la connaissance
Quelles interactions entre agriculture et biodiversité :
positives ou négatives ? Réseau de fermes BASF en Europe
Quel outil, comment et avec qui ?
Des indicateurs simples à mesurer Avec des protocoles adaptés au terrain Suivis par l’agriculteur après formation
Pertinence des aménagements biodiversité pour les populations d’oiseaux
Pertinence des aménagements biodiversité (jachères apicoles) pour l’alimentation des abeilles
Quel coût, combien de temps ? Moyens humains investis depuis 2011 :
1 apprenti depuis 2011 pour l’animation du programme, le suivi/relances des agriculteurs, la synthèse et la mise en forme des données
Apport d’expertise agronomique BASF au niveau national (experte abeilles) et à l’échelle régionale (4 Ingénieurs Conseil Environnement)
Moyens budgétaires : (au-delà des ressources humaines citées précédemment)
Env. 20 k€/an (financement suivis ornithologiques / faune sauvage, analyses pollen, matériel pour échantillonnage…)
Les bénéfices et les limites
1er bilan : Besoin de pédagogie afin que les bénéfices d’une telle démarche soit clairement perçus
(importance de rattacher des indicateurs socio-économiques aux indicateurs environnementaux)
Nécessite de constituer des outils de partage d’informations
A permis d’établir des itinéraires techniques agro-écologiques vertueux
Bénéfices : Dialogue avec les parties prenantes / experts locaux
Démarche efficace où « chacun est à sa place »
Limites : Demande du temps, de la pédagogie (formation à la reconnaissance des insectes…)
50 fermes…
56 membres et 250 experts français
Un Groupe de travail entreprises et biodiversité
7 partenariats
Comité français de l’Union internationale pour la conservation de la nature
Conférence des NU sur le DD (2012)
Loi Grenelle II en France et son décret d’application (2012)
COP 12 de la CDB (2014)
Dernier Congrès mondial de la nature (2016) : 217 états et agences gouvernementales et + de 1000 ONG
Société civile
Des attentes renouvelées de la part de
l’ensemble des acteurs
Ses impacts Ses dépendances Son engagement et sa gouvernance Ses sites prioritaires
Ses actions réglementaires Ses actions volontaires Les résultats obtenus
Les recommandations de l’UICN France
2 recommandations méthodologiques 7 recommandations thématiques ; reporter sur :
Focus sur le thème des impacts Identifier et quantifier sa contribution aux causes d’érosion de la biodiversité
Exemples pour la contribution à l’artificialisation des milieux :
Surface totale des sites (Surfaces imperméabilisées/Surfaces modifiées mais non imperméabilisées/Surfaces sur lesquelles l’entreprise n’exerce aujourd’hui aucune activité)
Exemple pour l’introduction d’EEE :
Nombre de sites sur lesquels au moins une EEE non présente avant l’exploitation a été identifiée
Exemple pour la contribution à la surexploitation des ressources naturelle
Quantité d’espèces sauvages exploitées à des fins commerciales (espèces menacée ? Annexe CITES ?)
Focus sur le thème des dépendances Identifier et quantifier ses dépendances à la biodiversité et aux SES
Exemple pour la dépendance à des services d’approvisionnement
Quantité de matières premières naturelles/transformées utilisées
Exemple pour la dépendance à des services de régulation
Nombre de procédés de production qui nécessitent d’être situés à proximité d’un milieu fournissant un service écologique (exemple : une centrale à proximité d’une source d’eau de bonne qualité)
Exemple pour la dépendance à des services culturels
Caractéristiques de milieux ou écosystèmes utilisés à des fins commerciales (exemples : une forêt riche en biodiversité pour l’éco-tourisme ou une eau de bonne qualité pour le nautisme)
Quelles tendances ? Evolutions entre
2012 et 2015
Dépendances : peu de progrès ; un sujet peu ou pas abordé
Impacts : des progrès mais des informations qui restent lacunaires
Comment renforcer le contenu des documents de reporting ? Une analyse des enjeux à réaliser par toute entreprise
Intégrer sa chaîne de valeur
Mieux valoriser son engagement en distinguant volontaire/réglementaire
Quantifier pour mesurer ses progrès
Reporter sur les résultats obtenus
S’appuyer sur l’ensemble des supports de communication
Etre transparent pour renforcer sa crédibilité
Présentation de deux outils en cours
de développement
Outil CDC Biodiversité (1) principes
Vers une méthodologie d’empreinte biodiversité pour les entreprises: le Global Biodiversity Score™
Notre cahier des charges
Quantitatif
Global/ mondial
Multisectoriel
Transparent
Consensuel
Un principe d’assemblage
de connaissances
Outil CDC Biodiversité (2) le projet
Une démarche opérationnelle: le Club B4B+
Vers des outils adaptés aux
contraintes et besoins du monde de
l’entreprise
Un travail mené en partenariat avec
les entreprises pour cibler et résoudre
les problèmes de la mise en œuvre
opérationnelle
Outil Empreinte Biodiversité Produit (2) principes
Biodiversité Produit
3
5 pressions sur la biodiversité
1
espèces
écosystèmes 4
Indicateurs Endpoint
Indicateurs Midpoint
Transformation
Transports
Utilisation Fin de vie
Production
2
Cadre d’analyse de l’ACV
Flux entrants
Flux sortants
2
5
Pratiques
Outil Empreinte Biodiversité Produit (2) le projet
Les acteurs impliqués
Biodiversité ACV et éco-conception
Comité de pilotage
Comité scientifique
MEEM / DEB
UNEP –SETAC
MNHN
AgroParisTech
SCORE LCA
ADEME
CGDD
JRC
Conservation International
Natural Capital Project
CDC Biodiversité FAO
Végépolys
Natural Capital Protocol
Groupe d’experts collaboratif
BiodivERsA
EpE Orée
Outil Empreinte Biodiversité Produit (2) le projet
Calendrier
2016 2017 2018
Phase 1: Cadrage
Phase 2: Développement et test de l’EBP
Phase 3: Finalisation des travaux
Cadrage scientifique
Test sur les produits
Développement des indicateurs
Développement de la base de données
Formalisation méthode
Evaluation par les tiers
Développement du logiciel
Sept Oct Nov Déc Jan Fév Mars Avr Mai Juin Juill Août Sept Oct Nov Déc Jan Fév
CS1 CS2
CP2
CS3
CP3
Note de cadrage Méthode v1
Logiciel v1 BDD V1
Rapport indicateurs Rapport données
Etapes
Comités
Livrables
GT1 GT2
GT1 GT2
Lancement CP1
GT1 GT2
Echanges avec la salle
• Réaction par rapport aux interventions
• Vos besoins par rapport à l’AFB, aux
pouvoirs publics
Les Objectifs de développement durable
ODD 14 : Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable
ODD 15 : Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres, en veillant à les exploiter de façon durable, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des sols et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité
Entreprises et biodiversité Gérer les impacts sur la chaîne de valeur
Table ronde le 1er déc à 17h30 à Neuilly
Avec le PDG de Sequana, BASF France,
Deloitte Développement Durable, Kering
et Michelin
Inscription obligatoire
http://evenement-biodiversite.epe-asso.org/
Merci à tous pour votre participation !