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Office National des Statistiques
PRESENTATION DES
PRINCIPALES ACTIVITES DE
L’ONS
Forum Journal Liberté
-Alger, le 25 mars 2013-
Plan de la présentation
1-Le Système National d’Information Statistique
1.1 Le cadre institutionnel et légal 1.2 État des lieux 1.3 Les principaux piliers du SNIS
2- Les principales activités de l’ONS
2.1 Rappel de ses principales missions 2.2 Les activités routinières et récurrentes 2.3 Les activités structurantes 2.4 La coopération technique 2.5 l’implantation régionale de l’ONS 2.6 Politique de publication et de diffusion
Plan (suite)Plan (suite)
3. Quelques indications sur les statistiques produites par l’ONS 3.1 Nature des indicateurs statistiques de l’ONS 3.2 Les sources d’informations statistiques 3.3 Les méthodes statistiques utilisées 3.4 Les Outils utilisés 3.5 Transparence et perception du chiffre 4- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur dans le temps 5. Quelques indicateurs statistiques
5.1 Statistiques des Prix
L’indice des Prix à la Consommation
L’indice des prix à la production industrielle
L’indice des valeurs unitaires à l’importation
Plan (suite)Plan (suite)
5.2 Statistiques de la population
Quelques indicateurs sur la population
Structure de la population par âge et par sexe en 2011
5.3 Statistiques de la sphère réelle Indice de la production industrielle (public)
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB de 2011
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB Hors Hydrocarbures
Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB hors hydrocarbures de 2011
Contribution (%) des secteurs juridiques dans la valeur ajoutée réelle
Contribution (%) des secteurs juridiques dans la valeur ajoutée réelle hors hydrocarbures
Croissance annuelle (%) du PIB
Croissance annuelle (%) des secteurs d’activités
PNB per Capita
I- Le SNIS : Cadre légal et institutionnel
Loi Statistique
Il existe en Algérie une Loi Statistique (Décret Législatif 94.01 de 1994) qui a clairement identifié les organes de production et de coordination statistiques :
Le Conseil National de la Statistique
L’Institution Centrale de la Statistique
Les services statistiques des administrations et des collectivités territoriales
Les Organes publics et privés spécialisés dont les instituts de sondages statistiques.
I- Le SNIS : cadre légal et institutionnel
Décret exécutif N° 95-159 du 3 juin 1995 portant réaménagement des statuts de l’Office National des Statistiques ;
Décret exécutif N° 95-159 du 3 juin 1995 portant création du Conseil National de la Statistique.
Décret exécutif N° 97- 396 du 28 octobre 1997 relatif au numéro d’identification statistique (NIS) et portant création d’un répertoire national des agents économiques et sociaux;
Décret exécutif N° 02-282 du 3 septembre 2002 portant institution de la nomenclature algérienne des activités et des produits.
Conclusion :
Cadre institutionnel et légal complet ……… mais certains problèmes dans l’application
I- Le SNIS : État des lieux Plusieurs diagnostics sur le SNIS :
Union Européenne (1996, 2006, 2007);
MED-NA (2000);
CNS - ONS (2001);
FMI (2002, 2005);
Bureau d’études étranger (XL-Consultants 2002- 2003);
CNES (2004),
Autres : la BAD (2012), …etc.
Objectivité, convergence et similitude dans les conclusions
I- Le SNIS : État des Lieux
Forces
Existence d’un cadre légal et institutionnel structuré (décret exécutif 94.01);
Existence d’un cadre de concertation et dialogue –CNS-
Réelle volonté pour l’adoption des normes internationales
Maîtrise des outils méthodologiques
Abondance des sources administratives
Personnel expérimenté
Faiblesses
Confusion entre SNIS et ONS obligation de réponse mais parfois des non-réponses
La coordination interinstitutionnelle
mérite d’être améliorée. Harmonisation pas tout à fait au point Méthodologies disparates entre les
différents producteurs Faible utilisation des fichiers
administratifs Les moyens matériels pas toujours
adéquat
I- Le SNIS : État des lieux
Système national et systèmes sectoriels (large
panoplie avec des niveaux très disparates)
Objectif stratégique : aller vers un SNIS
cohérent et intégré qui prend en charge
effectivement les besoins des utilisateurs
et qui s’appuie sur les normes internationales
I- Le SNIS : État des lieux
Les utilisateurs :
Besoins des utilisateurs non bien appréhendés
On se trouve dans une situation d’Offre.
Internationalisation des statistiques
Aller vers les normes internationales adopter
et adapter : GFS (FMI 2001), SCN (ONU 2008),
BOP (FMI 2008), CITI rev 4 (ONU 2008), CPC rev 2.0
(ONU 2008), IAS/IFRS, ….etc.
I- Le SNIS : État des lieux
Les principes de mise en oeuvre
Urbanisation du SNIS;
Disposer un cadre de référence;
Approche globale et vision à long termes (SNDS);
Respecter les engagements internationaux (SGDD)
I- Le SNIS : Les piliers du SNIS
Le SNIS Le SNIS L
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I- Le SNIS : Les piliers du SNIS
1- Les classifications et nomenclatures
Pas de statistiques pertinentes sans ces outils;
Outils de base de la Statistiques;
Touchent l’ensemble des domaines de la statistiques;
Liées à la normalisation;
En mutuelles évolution;
Outils très flexibles.
I- Le SNIS : Les piliers du SNIS
2- Les répertoires et fichiers
Outils de base de la Statistique;
Touchent l’ensemble des domaines de la statistique;
Liés à la normalisation;
En mutuelle évolution;
Outils très flexibles.
L’un des objectifs de la première phase du RE était justement la mise en œuvre d’un nouveau répertoire des entreprises
I- Le SNIS : Les piliers du SNIS
2- Les répertoires et fichiers
Nécessitent des opérations lourdes pour leurs mise en œuvre :
RGPH les ménages
Recensement Économique les entreprises
Nécessitent également des mises à jours régulières par :
des enquêtes statistiques
l’utilisation des sources administratives
I- Le SNIS : Les piliers du SNIS
2- Les répertoires et fichiers : cas des entreprises
Nécessité de disposer d’un identifiant statistique
Existence du NIS
Promulgation (LF 2006) du NIF
multiplicité des identifiants (ONS, DGI, CNRC, CNAS,…..) risque de confusion
deux options : Numéro d’indentification Unique
Numéro d’indentification Commun
I- Le SNIS : Les piliers du SNIS
3- La coordination inter institutionnelle
Dimension cardinale dans le SNIS
Éviter les doubles emplois (alléger le travail des entreprises et ménages, gain en qualité, réduction des coûts);
Normaliser les concepts et définitions, les modes d’évaluation, les nomenclatures,….etc
Faciliter la circulation de l’information
Pour cela :
Rôle important du CNS Établissement de conventions entre les différentes parties
II- les principales activités de l’ONS
II.1 Rappel de ses principales missions
Promouvoir le SNIS en veillant à l’élaboration, la disponibilité et à la diffusion d’informations fiables, régulières et adaptées aux besoins des agents économiques et sociaux.
Assurer dans le cadre du programme national
d’informations statistiques, la disponibilité régulière des données et analyses statistiques et études économiques nécessaires à l’élaboration et au suivi des politiques économiques et sociales des pouvoirs publics.
Élaborer et diffuser régulièrement les comptes nationaux.
II- les principales activités de l’ONS
II.1 Rappel de ses principales missions
Élaborer et proposer les règles et instruments techniques
auxquels doivent se conformer les opérateurs du SNIS, notamment en matière de normalisation et de méthodologie statistiques.
Assurer la préparation technique, la réalisation,
l’exploitation, et l’analyse des recensements généraux. Contribuer au développement de la science statistique et à
la formation, au perfectionnement des statisticiens du SNIS.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.2 Les activités routinières et récurrentesII.2 Les activités routinières et récurrentes
Ensemble des activités statistiques programmées chaque année;
Activités centrées sur le corps du métier de l’ONS;
Absorbent une grande part des moyens humains et matériels;
mobilisent l’ensemble des structures de l’ONS aussi bien au niveau central que régional et local.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.2 Les activités routinières et récurrentesII.2 Les activités routinières et récurrentes
L’Indice mensuel des Prix à la Consommation (IPC) ;
L’Indice trimestriel des Prix à la Production Industrielle (IPPI);
L’Indice trimestriel de la Production Industrielle ;
L’Indice trimestriel des Valeurs Unitaires du Commerce Extérieur ;
L’enquête trimestrielle de conjoncture (enquête d’opinion) auprès des chefs d’entreprises sur la situation et les perspectives dans l’industrie et le commerce ;
Les statistiques du Commerce Extérieur ;
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.2II.2-- Les activités routinières et récurrentesLes activités routinières et récurrentes
Les statistiques de l’Etat Civil ;
Les statistiques démographiques ;
Les statistiques du parc automobiles ;
Suivi des statistiques de l’emploi et du marché du travail
Suivi des statistiques agricoles ;
Suivi des statistiques des finances publiques;
Les travaux de nomenclatures;
La mise à jours des répertoires, …etc.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II.3.1- Le Recensement Economique
C’est l’opération statistique la plus complexe et la plus importante jamais réalisée en Algérie;
Le RE a été structuré en deux phases :
Phase I : Balayage systématique de tout le territoire national
Objectif : constitution d’un répertoire général des entités économiques;
Résultats définitifs de cette première phase ont été publié en juillet 2012 et sont disponibles sur le site web de l’ONS.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II.3.1- Le Recensement Economique
Phase II : Enquête approfondie de structure
Lancée effectivement sur le terrain hier le 24 mars 2013
La formation des enquêteurs au niveau wilaya avait débuté le samedi 16 mars 2013
Objectifs de l’enquête de structure :
L’élaboration d’une nouvelle base comptable pour la comptabilité nationale, plus particulièrement pour les comptes de branches, les Equilibres Ressources Emplois (ERE), le Tableau des Ressources et des Emplois (TRE) et le Tableau des entrées Sorties (TES) ;
L’actualisation des structures (pondérations) des différents indices, notamment l’indice des prix à la production industrielle et l’indice de la production industrielle ;
La mise à jour du répertoire général des entreprises et des établissements économiques;
La mise en œuvre des nouvelles nomenclatures des activités (NAA 2010) et des produits (NAP 2010);
Autres : études sectorielles, élaboration de nouveaux indicateurs économiques, etc.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantes Les activités structurantes
3.II.1- Le Recensement Economique
Le champ de l’enquête de structure, l’enquête sera réalisée :
Exhaustivement auprès des entreprises publiques et des entreprises privées de dix salariés et plus ;
Auprès d’un échantillon représentatif, pour les entreprises privées de moins de dix salariés.
Elle touchera une population d’environ 40.000 entreprises couvrant l’ensemble des secteurs d’activité économique (hors agriculture) et concernera plus de 600 communes à travers les 48 wilayas du pays.
L’encadrement de l’enquête sur le terrain, relève l’ONS, se fera avec le concours du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales qui aura à mobiliser les responsables des services statistiques de wilaya et les délégués communaux, et ce, en plus des cadres des directions régionales et centrales de l’Office.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantes Les activités structurantes
3.II.1- Le Recensement Economique
Le dossier technique de l’enquête approfondie de structure comporte :
Un jeu de questionnaires adapté aux différentes activités économiques,
les instructions aux enquêteurs et aux superviseurs,
Des fiches d’exploitation
les tests de cohérence,
la partie exploitation informatique,…etc.
Nous saisissons cette opportunité pour réitérer nos remerciements anticipés à l’ensemble des opérateurs économiques, qui ont toujours coopéré et répondu favorablement à l’occasion des diverses opérations statistiques.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II.3.2- Enquête Consommation et niveau de vie de ménages (2011)
Cinquième enquête du genre en Algérie depuis l’indépendance
(1967/1968, 1979/1980, 1988, 2000 et 2011)
Elle se distingue des précédentes par le volet afférent aux conditions de vie des ménages matérialisé par une batterie de questions relatives à l’éducation, la santé, les loisirs, les revenus, …etc.
Les travaux de terrain ont duré toute l’année 2011 et ont été bouclés au début de l’année 2012.
Actuellement, les travaux d’exploitation sont en cours de finalisation (codification et contrôle, saisie, apurement, extrapolation, …etc) et devront s’étaler jusqu’à la fin du premier semestre 2013
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS
II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II.3.3- Enquête communale
Champ : Enquête statistique exhaustive auprès des 1541 communes
Objectif : s’intéresse à l’ensemble des aspects socio-économiques de la commune, y compris leurs comptes financiers. Les résultats de l’enquête contribueront à la mise en place d’un Système d’Information Régional.
Le dossier méthodologique de l’enquête communale a été finalisé par l’ONS au cours de l’année 2012;
Approche participative impliquant les diverses structures de l’ONS, de l’ex Ministère de la Prospective et des Statistiques (MPS) et les services du Ministère de l’Intérieur et des Collectivités Locales (MICL).
L’enquête sera lancée au cours du deuxième semestre de l’année 2013 en collaboration avec le MICL.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS
II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II.3.4- Enquête Nationale Emploi du Temps (ENET 2012):
Contexte : lancement en 2012 de l’ENET dans le cadre d’un partenariat entre l’Algérie et le système des Nations Unies au titre du « programme commun pour l’égalité entre les genres et l’autonomisation des femmes »,
Les objectifs de l’ENET sont :
L’amélioration des statistiques du genre
L’affinement des statistiques du marché du travail
L’affinement des statistiques à mettre à la disposition de la comptabilité nationale
L’ENET est d’une importance stratégique pour la mise à disposition des pouvoirs publics de nouveaux instruments pour asseoir les politiques économiques et sociales et permettra également d’étoffer les bases de données existantes.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II.3.5- Enquête Nationale sur les salaires auprès des entreprises :
Enquête annuelle réalisée auprès d’un échantillon représentatif d’entreprise publiques et privés hors secteur agricole;
Reprise en 2009 après une longue interruption;
Les résultats de l’enquête nationale sur les salaires auprès des entreprises-Mai 2010- ont été publiés « données statistique n° 598 » et ceux de 2011 seront publiés sous peu.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II. 3. 6- Travaux de comptabilité nationale
II.3.6.1- la base SCEA
Dans l’optique du SCEA, sont disponibles en 2011 :
Une série cohérente de comptes consolidés de la nation : 1974-2011
Une série cohérente de Tableaux Économiques d’Ensemble (TEE) :1974-2011;
Une série de Tableaux des Entrées Sorties (TES) : 1989-2011 avec un document de
méthodologie.
Remarques : les comptes de l’exercice 2012 seront disponibles en juillet
2013.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II. 3.6- Travaux de comptabilité nationale
II.3.6.2- les comptes en volume
Disponibilité d’une série sur l’évolution du PIB nominal et ses deux composantes à savoir les variations annuelles des volumes et des prix et ce, de 2000 à 2011.
Ces comptes donnent la répartition de la VA selon 22 secteurs d’activité économique ainsi que les composante du PIB selon l’optique dépenses.
Synthèse des variations des volumes conduit à l’évaluation de la croissance économique;
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS
II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II. 3.6- Travaux de comptabilité nationale
II.3.6.3- les comptes selon le SCN 93
En cours de finalisation une série de comptes cohérente et intégrée conforme aux recommandations du SCN 93. Elle porte sur la période 2001-2011, avec 2001 comme année de base. Cette base 2001 comprend les familles de comptes suivants :
La cascade des comptes des secteurs institutionnels (du compte de production au compte de capital) pour les secteurs suivants :
Les comptes de branches (compte de production et compte d’exploitation);
Les Équilibres Ressources Emplois (ERE niveau 220);
Des Tableaux des Ressources et des Emplois (TRE niveau 220)
Des Tableaux des Comptes Économiques Intégrés (TCEI).
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.3II.3-- Les activités structurantesLes activités structurantes
II.3.6- Travaux de comptabilité nationale
II.3.6.4- les comptes trimestriels
Une série sur l’évolution du PIB nominal trimestriel est disponible sur la
période allant du 1T1995 au 4T2011
Cette série est en train d’être complétée par une seconde série allant du
1T2000 au 4T2012 donnant l’évolution du PIB trimestriel réel (en volume).
Cette série qui sera finalisée à la fin du premier semestre 2013 sera calée
sur les comptes annuels en volume de 2000 à 2011.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS
II.4II.4-- La coopération internationaleLa coopération internationale
Vaste programme de coopération avec divers partenaires.
La coopération prend diverses formes qui restent complémentaires :
Formations de courtes durées : réconciliant théorie et pratique, elles sont destinées aux nouvelles recrues
Ateliers de travail (workshops) et séminaires : espaces idoines d’échanges de bonnes pratiques, ils sont destinés principalement au personnel plus expérimenté;
Mission d’Assistance Technique sur des thématiques précises;
Visite d’études : prévues lorsque le partenaire ne peut pas se déplacer ou lorsqu’il ne peut pas faire déplacer toute sa logistique de travail (base de données, fichiers, …..);
Réception de la documentation, notamment celles afférentes aux normes internationales et les méthodologies (bonne pratique);
Réception du matériel et des logiciels : exemple des scanners pour lecture optique, presse numérique, SPSS, ….etc acquis dans le cadre du programme AMECO.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.4II.4-- La coopération internationaleLa coopération internationale
1- La coopération bilatérale : concerne principalement :
L’UE : concerne principalement le Programme AMECO arrivé à terme le 31.12.2011,
l’INSEE (une convention cadre de coopération entre l’ONS et l’INSEE depuis juin 2010),
Autres partenaires : espagnols, turcs, …etc.
2- la coopération multilatérale : concerne principalement :
le programme régional MEDSTAT 3 avec l’UE. Ce programme s’articule autour des sept sous programmes
le Programme d’Appui à la mise en œuvre de l’Accord d’Association Algérie – UE (P3A) avec deux principales formules : TAIEX et Jumelage. quatre actions ont été inscrites et réalisées par l’ONS jusqu’à présent.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS
II.4II.4-- La coopération internationaleLa coopération internationale
3- La coopération régionale : avec de nombreux partenaires :
la CEA,
la Banque Africaine de Développement,
l’UMA,
la Ligue des Etats Arabes, …etc.
remarque : coopération avec la BAD concerne le Programme de Comparaison Internationale (PCI-Afrique Cycle 2011) avec ses extensions sur des sous programmes liés au renforcement des capacités techniques des INS. Le Programme PCI qui vise le calcul des PPA, comporte deux sous composantes : une composante sur les prix à la consommation et une seconde composante relative à la décomposition du PIB en composantes de la dépense.
III. 4- Autre coopération :
Elle concerne essentiellement les partenaires internationaux comme l’UNSD, les FMI (consultation dans le cadre de l’article IV du FMI, le SGDD), la BM; …etc.
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS
II.5II.5-- L’implantation régionale de l’ONSL’implantation régionale de l’ONS
En 2102, l’ONS a intensifié implantation au niveau régional et local avec :
L’Antenne de Sétif opérationnelle et compte six statisticiens;
L’Antenne de Ghardaïa opérationnelle et est en cours de renforcement ;
Les Antennes de Tlemcen, Tiaret et Batna : inscription d’une opération pour l’acquisition de locaux .
IIII-- Les principales activités de l’ONSLes principales activités de l’ONS II.6II.6-- Politique de publication et de diffusionPolitique de publication et de diffusion
S’articule autour des axes suivants :
Basculement de l’ensemble des publications sur le site web afin d’aller vers une dématérialisation progressive du support papier ;
Gestion de plus en plus dynamique du site web (calendrier des publications disponible sur le site).
3. Q3. QUELQUES INDICATIONS SUR LES UELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONSSTATISTIQUES DE L’ONS
3.1 Nature des indicateurs statistiques de l’ONS
Deux grands domaines : statistiques économiques (PIB, production,….) et statistiques sociales (taux de chômage, population,…etc) ;
Diverses périodicités : mensuelle, trimestrielle, semestrielle et annuelle ;
Divers niveaux d’agrégation : micro économique (non publié), méso économique (branches) et macro économique ;
3. Q3. QUELQUES INDICATIONS SUR LES UELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONSSTATISTIQUES DE L’ONS
3.1 Nature des indicateurs statistiques de l’ONS
Des indicateurs connus et usuels (IPC, taux de chômage, le PIB,….) et des indicateurs moins connus (taux d’activité, les opinions de chefs d’entreprises, indice des valeurs unitaires,…etc);
Des indicateurs quantitatifs (IPC, IPI,…) et des indicateurs qualitatifs (opinion des chefs d’entreprises,…etc).
3. Q3. QUELQUES INDICATIONS SUR LES UELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONSSTATISTIQUES DE L’ONS
3.2 Les Sources utilisées pour produire les indicateurs statistiques
Les recensements généraux (RGPH, RGA, RE);
Les enquêtes statistiques (auprès des ménages et
auprès des entreprises) qui sont directement prises
en charge par l’ONS;
Les sources administratives (Ministère des Finances,
Ministère de l’Énergie, Ministère de la Santé,
Ministère des Transports, Banque d’Algérie,
Direction Générale des Douanes…etc)
3. Q3. QUELQUES INDICATIONS SUR LES UELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONSSTATISTIQUES DE L’ONS
3.3 Les méthodes utilisées :
Pour élaborer les différents indicateurs statistiques,
l’ONS fait référence à des méthodologies et des
pratiques saines qui sont admises universellement sur le
plan international (ONU, FMI, BIT, OCDE, OMS, …etc).
Ces méthodologies et pratiques comprennent entre
autres :
Les cadres d’enquêtes;
Les concepts et définitions;
Les nomenclatures et classifications;
Les modes d’évaluation.
3. Q3. QUELQUES INDICATIONS SUR LES UELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONSSTATISTIQUES DE L’ONS
3.4 Les outils utilisées :
Dans le cadre de l’exercice de ses missions; l’ONS
dispose d’un certain nombre d’outils comme :
Les fichiers et les répertoires (entreprises, ménages);
Les nomenclatures et les classifications;
Les logiciels et outils informatiques (lecture optique
RE);
Un cadre de concertation et de dialogue (CNS)
3. Q3. QUELQUES INDICATIONS SUR LES UELQUES INDICATIONS SUR LES
STATISTIQUES DE L’ONSSTATISTIQUES DE L’ONS
3.5 Transparence et perception du chiffre
Recours à des méthodologies universelles et à des normes
internationales;
Divers audits (UE, FMI, ONS, CNES, XL,…etc);
Données systématiquement accompagnées de méta données;
Un code de déontologie;
Un garant : le Conseil National de la Statistique;
Adhésion de l’Algérie au SGDD et prochainement à la NSDD;
….. Mais problème de perception du chiffre (référentiel,
interprétation, culture statistique,….etc)
Exemple : perception et mesure
Prévisions météorologiques pour Alger Conditions actuelles: Très Nuageux
La température ressentie 16 °C Pression 1005 mb Humidité 94% Visibilité 71 km Vent N/D Lever du soleil : :
14 °C Coucher du soleil : : Dernière mise à jour : 20 Mars 2013 à 07:00 (heure locale)
-10° - -5°-5° - 0°0° - 5°5° - 10°10° - 15°15° - 20°20° - 25°25° - 30°30° - 50°
44-- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
4.1- Choix d’un référentiel ou d’une année de base
Très souvent, lorsque l’indicateur économique ou social est ponctuellement et statiquement analysé, les enseignements qu’on peut tirer sont limités et parfois sans même grande signification:
En effet, quel est l’intérêt de savoir qu’en 2011 le PIB algérien est de 14 481,0 milliards de DA, que l’IPC est 142,4 points ou que la population algérienne au milieu de l’année est de 36 717 000.
En revanche, lorsqu’on dit par exemple qu’en 2011 par rapport à 2010, le PIB réel et nominal ont augmenté respectivement de 2,6% et 20,3% ces informations sont plus significatives.
De même, lorsqu’on avance que les prix à la consommation ont augmenté de 4,52% et que le taux d’accroissement annuel moyen de la population est de 2,04%. Les variations temporelles ou longitudinales nous renseignent mieux sur les progrès accomplis.
4.24.2-- Constance de la définition ou du conceptConstance de la définition ou du concept
La comparabilité d’un indicateur dans le temps n’a de sens que lorsque cet indicateur n’a conceptuellement pas changé de sens au fil du temps ou que s’il s’agit exactement du même indicateur.
Prenons quelques exemples :
L’utilisateur ne peut pas prendre l’IPC de la ville d’Alger de 2012 et le reporter à l’IPC national de 2012.
De même qu’il ne peut pas comparer le Produit Intérieur Brut de 2011 à la Production Intérieur Brute de 2011.
Comme on ne peut pas comparer la population totale de 2008 à la population résidente de 2007.
44-- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
4.34.3-- Principe de la permanence des méthodesPrincipe de la permanence des méthodes
Lorsque l’utilisateur s’est bien imprégné de la méthodologie de l’élaboration de l’indicateur, il est à même de mieux l’interpréter. Il connaît alors mieux ses forces et ses faiblesses.
L’implication de l’utilisateur dans l’élaboration de l’indicateur et les meta données peuvent concourir à la réalisation de cet objectif.
Si par ailleurs, l’utilisateur constate que l’évolution de l’indicateur dans le temps est perturbée, il est de son devoir de s’assurer que la méthodologie régissant l’élaboration de cet indicateur n’a pas changé
C’est le principe de la permanence des méthodes selon lequel l’évolution d’un indicateur dans le temps n’a de signification que si la méthodologie d’élaboration de l’indicateur n’a pas connu de changements notables. Il s’agit d’un principe qui est admis par toutes les normes internationales (SCN93, IFRS/IAS,…..etc).
44-- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
4.44.4-- Les sourcesLes sources
L’indicateur n’est comparable dans le temps et dans l’espace que s’il est produit par la même source. Cela rejoint un peu le principe de la permanence des méthodes.
On ne peut pas comparer par exemple l’évolution du taux de scolarisation calculé par l’ONS en 2008 avec celui donné par exemple par le Ministère de l’éducation nationale pour 2007.
De même, pour certaines branches de l’économie nationale, on ne peut pas comparer de manière pertinente l’indice de la production calculé par l’ONS pour l’année 2008 avec celui élaboré au niveau sectoriel pour 2007 à fortiori lorsque les méthodes de calcul sont complètement divergentes.
44-- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
4.54.5-- Le contexteLe contexte
Afin de donner à l’indicateur l’interprétation qui soit la plus objective possible, il est important de se référer à son contexte global. De même, il ne faut pas faire dire à l’indicateur ce qu’il n’est pas censé dire.
A ce titre, le rapport Stiglitz par exemple sur la mesure des performances économiques et du progrès social est très illustratif sur cette question.
Le chiffre doit être analysé dans son contexte. Par exemple lorsque notre économie est complètement extravertie ou dépendante de l’extérieur, il ne faut pas s’étonner si quelques indicateurs s’affolent suite à une turbulence de l’économie mondiale. Les exportations algériennes ont bien diminué en 2009 suite à la baisse du prix du baril.
44-- Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur Cadre méthodologique pour la comparaison d’un indicateur
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
1- Statistiques des Prix 1.1 Indices des Prix à la Consommation
INDICES ANNUELS
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Indice Général 101,43 105,75 109,95 111,47 114,05 118,24 123,98 131,1 136,23 142,39 155,05
Variations (%) 1,43 4,26 3,97 1,38 2,31 3,67 4,85 5,74 3,91 4,52 8,89
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
5,0
6,0
7,0
8,0
9,0
10,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variations annuelles (%) de l'Indice des Prix à la Consommation
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
1- Statistiques des Prix 1.2 Indices des Prix à la production industrielle (Public)
Variations annuelles (%) des indices des prix à la production industrielle (public)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Industries hors
hydrocarbures 1,6 4,2 4,8 4,5 2,7 4,2 5,7 3,4 3,1 2,2 2,6
Industries
manufacturières 1,4 4,2 4,7 4,4 2,3 4,2 4,8 3,0 4,3 1,0 1,1
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
5,0
6,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variations annuelles (%) de l'indice des prix à la production industrielle (public)
Industries hors hydrocarbures Industries manufacturières
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
1- Statistiques des Prix 1.3 Indices des Prix à la production industrielle (Privé)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variation (%)
indice Général -0,5 0,6 1,4 2,2 1,9 2,0 1,5 1,3 1,5 1,0 2,9
-1
-0,5
0
0,5
1
1,5
2
2,5
3
3,5
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variaion (%) de l'indice des prix à la production indusrielle (privé)
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
1- Statistiques des Prix 1.4 Indices des valeurs unitaires à l’importation
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variation (%) IVU 0,3 3,7 9,1 7,1 4,2 8,9 14,6 -2,5 1,2 23,5 -2,8
-5,0
0,0
5,0
10,0
15,0
20,0
25,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variation (%) de l'indice des valeurs Unitaires à l'importation
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
2 Statistiques de la population 2.1 Quelques indicateurs sur la population
31 000
32 000
33 000
34 000
35 000
36 000
37 000
38 000
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Evolution de la population résidente totale (en milliers)
72
73
74
75
76
77
2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Evolution de l'espérence de vie à la naissance (en années)
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES 2 Statistiques de la population 2.2 Structure de la population par âge et par sexe en 2011
Groupes d’âges Sexe
Ensemble Masculin Féminin
00-04 ans 565 530 1095
05-09 ans 435 413 848
10-14 ans 422 404 826
15-19 ans 484 466 950
20-24 ans 522 509 1031
25-29 ans 512 504 1016
30-34 ans 439 430 869
35-39 ans 351 350 701
40-44 ans 303 306 609
45-49 ans 255 256 511
50-54 ans 207 205 412
55-59 ans 172 166 338
60-64 ans 125 121 246
65-69 ans 86 89 175
70-74 ans 75 78 153
75-79 ans 54 58 112
80 ans & 53 55 108
TOTAL 5060 4940 10000
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.1 indice de la production industrielle (public)
Variations annuelles (%) des indices de la production industrielle (public)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 Indice Général 1,1 1,1 0,4 6,5 -3,4 0,3 1,9 0 ,4 -2,5 0,4 1,6 Industries hors hydroc. 0,0 -1,5 0,1 4,3 -4,8 -0,3 4,3 3,6 -2,7 2,4 5,4 Ind. manufacturières -1,5 -3,5 -2,3 -3,3 -9,3 -3,9 1,9 1,6 -5,4 -1,2 -0,1
-10,0
-8,0
-6,0
-4,0
-2,0
0,0
2,0
4,0
6,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Variations (%) de l'indice de la production industrielle (public)
Indice Général Industries hors hydrocarbures Industries manufacturières
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.2 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Agriculture 10,1 10,6 10,2 8,2 8,0 8,0 7,0 10,0 9,0 8,6
Hydrocarbures 35,6 38,5 40,7 47,4 48,4 46,3 47,9 33,5 37,0 38,3
Industrie 8,1 7,3 6,8 5,9 5,6 5,4 5,0 6,2 5,5 4,9
BTPH 9,9 9,2 8,9 8,0 8,4 9,3 9,2 11,8 11,1 9,8
Services Marchands 24,2 22,9 22,9 21,5 21,2 21,9 20,6 25,6 23,3 21,1
Services Non Marchands 12,0 11,4 10,6 8,9 8,4 9,0 10,3 12,9 14,1 17,3
Le PIB 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.3 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB de 2011
8,60%
38,30%
4,90% 9,80%
21,10%
17,30%
Agriculture Hydrocarbures Industrie
BTPH Services Marchands Services Non Marchands
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.4 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB
Hors Hydrocarbures
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Agriculture 15,6 17,3 17,2 15,7 15,5 14,9 13,4 15,1 14,3 13,9
Industrie 12,7 11,9 11,5 11,3 10,9 10,1 9,6 9,3 8,7 7,9
BTPH 15,4 14,9 15,0 15,2 16,3 17,4 17,6 17,7 17,7 15,8
Services Marchands 37,6 37,3 38,5 40,9 41,0 40,7 39,6 38,5 37,0 34,3
Services Non Marchands 18,7 18,5 17,8 17,0 16,4 16,8 19,8 19,4 22,3 28,1
Le PIB hors hydrocarbures 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.5 Contribution (%) des secteurs d’activité dans le PIB hors
hydrocarbures de 2011
13,9%
7,9%
15,8%
34,3%
28,1%
Agriculture Industrie BTPH Services Marchands Services Non Marchands
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.6 Contribution (%) des secteurs juridiques dans la
valeur ajoutée réelle
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Public 50,7 52,5 53,5 57,3 57,2 57,2 58,6 45,3 48,5 51,8
Privé 49,3 47,5 46,5 42,7 42,8 42,8 41,4 54,7 51,5 48,2 Valeur Ajoutée réelle 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
35,0
40,0
45,0
50,0
55,0
60,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Public Privé
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.7 Contribution (%) des secteurs juridiques dans la
valeur ajoutée réelle hors hydrocarbures
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Public 22,1 22,1 21,5 21,1 19,5 19,0 17,5 16,4 15,5 15,2
Privé 77,9 77,9 78,5 78,9 80,5 81,0 82,5 83,6 84,5 84,8
VA réelle Hors Hydroc 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
10,0
20,0
30,0
40,0
50,0
60,0
70,0
80,0
90,0
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Public Privé
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.8 Croissance annuelle (%) du PIB
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
La PIB 4,1 3,1 5,8 7,7 4,5 6,4 1,5 3,4 1,6 1,0 3,3 2,1
Le PIB 3,8 3,0 5,6 7,2 4,3 5,9 1,7 3,4 2,0 1,7 3,6 2,6
Le PIB
Hors Hydroc. 3,8 6,2 6,5 6,6 5,0 6,0 5,4 7,0 6,1 9,6 6,3 5,7
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
5,0
6,0
7,0
8,0
9,0
10,0
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
Po
urc
en
tage
Evolution du taux de croissance du PIB en volume
Le PIB Le PIB Hors Hydrocarbures (HH) Le PIB Hors Agriculture (HA) Le PIB HH et HA
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.9 Croissance annuelle (%) des secteurs d’activités et
croissance globale
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Agriculture -1,2 19,5 5,4 2,3 8,1 2,5 -3,8 21,1 4,9 10,3
Industrie 3,9 8,5 3,0 5,7 -3 -0,9 -3,2 -8,0 -2,2 -3,3
Hydrocarbures 4,7 2,4 2,8 3,4 3,5 3 4,4 6,1 2,5 3,8
BTPH (y c services pétroliers) 10,3 5,6 9,4 9,8 13 8,9 8,7 8,5 8,9 5,5
Services Marchands 6,8 5,2 6,4 9,7 6,4 10,1 7,5 8,1 7,1 6,9
Services Non Marchands 3,9 2,9 2,2 1,6 3,2 3,6 6,4 7,4 5,7 5,4
Le PIB 5,6 7,2 4,3 5,9 1,7 3,4 2,0 1,7 3,6 2,6
Le PIB Hors Hydrocarbures (HH) 6,5 6,6 5,0 6,0 5,4 7,0 6,1 9,6 6,3 5,7
Le PIB Hors Agriculture (HA) 6,3 6,0 4,2 6,3 1,1 3,5 2,5 0,3 3,5 1,9
Le PIB HH & HA 7,8 4,5 5,0 6,7 5,0 7,7 7,6 8,0 6,5 5,0
5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS ST5. LES PRINCIPAUX INDICATEURS STATISTIQUES ATISTIQUES
3 Statistiques de la sphère réelle 3.10 PNB per Capita
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
PNB per capital (en US $) 1740,2 2053,8 2528,1 2993,3 3368,7 3907,5 4921,0 3871,9 4496,2 5325,9
1 000
1 500
2 000
2 500
3 000
3 500
4 000
4 500
5 000
5 500
6 000
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Evolution du PNB per Capita (en US $)
Je vous remercie
pour votre aimable
attention