présente OMERTÀ - offestival.com · présente OMERTÀ Un film de Luc Dionne Produit par Denise Robert et Daniel Louis Mettant en vedette Michel Côté, Patrick Huard, Rachelle Lefevre,

présente

OMERTÀ

Un film de Luc Dionne

Produit par Denise Robert et Daniel Louis

Mettant en vedette Michel Côté, Patrick Huard, Rachelle Lefevre,

Stéphane Rousseau et René Angélil

Durée : 107 min.

Sortie en salles : 11 juillet 2012

Relations de presse : Annie Tremblay (514) 878-2282 # 4979 [email protected] Gabbie Corrente (514) 878-2282 # 4962 [email protected] Sophie Bilodeau (514) 878-2282 # 6821 [email protected]

Province : Lyne Dutremble (514) 844-8864 poste 136 [email protected]

PHOTOS

www.alliancefilmsmedia.com

EPK (Bande-annonce & extraits) http://alliance-epk.mijonet.com

présentent

un film de LUC DIONNE

produit par DENISE ROBERT DANIEL LOUIS

SORTIE EN SALLES : 11 juillet 2012

OMERTÀ | DOSSIER DE PRESSE 2

SYNOPSIS Pierre Gauthier est appelé à faire enquête sur un vaste complot visant à détourner l'or qui repose dans les banques centrales nord-américaine. Victime de trahison, il sera confronté au chef de la mafia montréalaise. When a worldwide plot to divert gold which was placed in central banks all across North America is investigated, Pierre Gauthier is summoned to lead the inquiry. Gauthier however is soon betrayed, and finds himself going head to head with the "capo" of Montreal Mafia.


DISTRIBUTION

Pierre Gauthier Michel Côté

Steve Bélanger Patrick Huard

Sophie Rachelle Lefevre

Sam Cohen Stéphane Rousseau

Dominic Fagazi René Angélil

Gilbert Tanguay Michel Dumont

Tony Potenza Paolo Noël

Roxanne Gauthier Mélissa Désormeaux-Poulin

Olivier Maxime Denommée

Andrea Manzoni Andreas Apergis

Gene Smith Alan Fawcett


ÉQUIPE

Réalisateur Luc Dionne

Producteurs Denise Robert Daniel Louis

Scénariste Luc Dionne

Directeur photo Bernard Couture

Concepteur artistique Michel Proulx

Costumes Ginette Magny

Monteur Jean-François Bergeron

Musique originale Michel Cusson

Création sonore Marie-Claude Gagné

Son Philippe Scultéty Louis Gignac

Hans Laitres Distribution des rôles Lucie Robitaille 1er assistant à la réalisation Anne Sirois Directeur de production Hélène Grimard

Directeur de postproduction Pierre Thériault

Distributeur au Canada Alliance Vivafilm

Ventes internationales FunFilm Distribution

Relations de presse Alliance Vivafilm / Annexe Communications Annie Tremblay

Sophie Bilodeau Marie Routhier Lyne Dutremble


LUC DIONNE Scénariste / réalisateur Formé d’abord en musique et ensuite en administration, Luc Dionne obtient la responsabilité de dossiers importants pour le gouvernement du Québec puis entreprend une carrière d’attaché politique. Il fréquente ainsi quelques années les coulisses du pouvoir avant de se lancer dans l’écriture dramatique. Et c’est en effet une entrée fort remarquée qu’il fait dans le monde des scénaristes lorsqu’il écrit en 1996 son premier scénario, celui de la série dramatique Omertà, la loi du silence, qui lui vaut un prix Gémeaux dans la même année. Réalisée par Pierre Houle, la série qui met en scène les rapports complexes entre la mafia montréalaise, la police et le pouvoir politique, obtient un succès phénoménal. Elle est suivie d’Omertà II, la loi du silence, suite réalisée également par Pierre Houle, puis d’un troisième et dernier volet, Omertà III, le dernier des hommes d’honneur, réalisé par George Mihalka et diffusé à Radio‐Canada en 1999. L’efficacité de ses textes, sa capacité à ficeler des intrigues complexes tout en créant des situations hyperréalistes et des personnages criants de vérité contribuent au grand succès de la série.

Luc Dionne collabore ensuite au scénario de la série Tag, également réalisée par Pierre Houle, qui décrit l’univers de la jeune délinquance. Par la suite, il se lance dans une nouvelle série scénarisée en anglais et en français et diffusée conjointement par la CBC et Radio‐Canada intitulée The Last Chapter / Le Dernier Chapitre et qui traite du monde des motards criminalisés. Une première année de diffusion est aussitôt suivie par une deuxième: The Last Chapter – The revenge / Le Dernier Chapitre – La Vengeance. Il est aussi l’auteur d’une autre série télévisée, Bunker le cirque, présentée à Radio‐ Canada à l’automne 2002 et qui exploite encore un thème qu’il connaît bien, celui des dessous du monde politique.

Il a adapté depuis, pour le cinéma, Monica La Mitraille, qui a remporté le prix de la meilleur adaptation, puis il a écrit et réalisé Aurore sorti sur les écrans du Québec en 2005. Ce film est devenu un succès critique et populaire et a fait plus de 5 millions de dollars au box‐office québécois. En 2010, Luc Dionne écrit et réalise L’enfant prodige, qui rend hommage au pianiste et compositeur classique de renommée mondiale André Mathieu, surnommé notre « Mozart Canadien ». Le film a été présenté en grande première mondiale lors de l’exposition universelle à Shanghai.


ACTEURS

MICHEL CÔTÉ Pierre Gauthier Diplômé de l’École nationale de théâtre en 1973, Michel Côté s’est produit sur les plus grandes scènes du Québec : Théâtre du Nouveau Monde, Nouvelle Compagnie Théâtrale, Théâtre de Quat’Sous, Compagnie Jean-Duceppe, etc. C’est sans compter la carrière exceptionnelle de Broue, qui tourne toujours avec la même distribution, 33 ans après sa création; un record homologué dans le Guinness. À la télé, les prestations du comédien dans les Bye Bye de Radio-Canada, de 1984 à 1986, l’inoubliable Jean-Lou de La Petite Vie et le Pierre Gauthier des téléséries Omertà I, II et III lui ont valu plusieurs prix Gémeaux. Au cinéma, l’acteur se distingue dans de nombreux films dont Au clair de la lune et Le vent du Wyoming (André Forcier), Liste noire (Jean-Marc Vallée), Dans le ventre du dragon (Yves Simoneau), T’es belle Jeanne (Robert Ménard) – qui lui vaut le Gémeaux du meilleur acteur –, La vie après l’amour (Gabriel Pelletier), Le Dernier Tunnel (Érik Canuel) – pour lequel il est en nomination aux Jutra et aux Génie – et Ma fille mon ange (Alexis Durand-Brault). Pour son rôle dans C.R.A.Z.Y. (Jean-Marc Vallée), il reçoit le titre de Meilleur acteur aux Jutra, aux Prix Génie et au Vancouver Film Critics Awards. Il coécrit avec le réalisateur Robert Ménard les scénarios de Cruising Bar et Cruising Bar 2 (qu’il coréalise), en plus d’en tenir les quatre rôles principaux. Son immense succès populaire vaut à Cruising Bar 2 le Guichet d’or, remis par Téléfim Canada, et le Billet d’or décerné par les Jutra. Sorti à l’été 2009, De père en flic (Émile Gaudreault) devient le plus grand succès de l’histoire du cinéma francophone au Canada et remporte à son tour le Guichet d’or et le Billet d’or. Depuis plusieurs années, Michel Côté a tourné un film par an. C’est ainsi qu’en 2010 on a pu l’apprécier dans le rôle dramatique du commandant Piché dans Piché : Entre ciel et terre de Sylvain Archambault, et en 2011 dans Le sens de l’humour d’Émile Gaudreault. Pour son apport au cinéma, Michel Côté a reçu en 2006 le Prix Hommage de la Bobine d’Or, remis par l’Association des propriétaires de cinémas et ciné-parcs du Québec (APCCQ).


PATRICK HUARD Steve Bélanger Patrick Huard est acteur, humoriste, réalisateur, auteur, animateur, metteur en scène et producteur. Celui qui a célébré ses 20 ans de carrière et ses 40 ans récemment, a une impressionnante feuille de route. Au cinéma, il a joué dans une quinzaine de longs métrages dont La Vie après l’Amour, Nez Rouge, Sur le Seuil, Maman Last Call, Monica la Mitraille, Cadavres, Bon Cop Bad Cop (dont il a co-écrit le scénario et qui est devenu le plus grand succès de tous les temps au Box Office canadien), Funkytown et Starbuck, (le film québécois le plus populaire de l’année 2011, distribué dans plus de 20 pays). Patrick Huard adore la scène. En mars 2012, il a fait un retour très attendu sur les planches, avec son 3e One Man Show intitulé Le Bonheur, près de 12 ans après la sortie de son plus récent spectacle solo. Patrick est présentement en tournée au Québec avec ce spectacle. Rappelons qu’il a offert avec beaucoup de succès deux spectacles d’humour, 18 ans et plus et Face à Face. Toujours sur scène, il a participé, entre autres, à plusieurs Galas Juste pour rire et a joué dans la pièce Talk radio d’Eric Bogosian, ce qui lui confère environ 1 200 spectacles sur scène et des centaines de milliers de billets vendus au Québec. À la télévision, il a tenu différents rôles – des bons, des méchants et même une Drag Queen – pour des séries telles Music Hall, Cover Girl, Fortier, Au Nom de la Loi et Taxi 0-22 pour laquelle il a endossé, pendant 4 saisons, le rôle de Rogatien, son célèbre chauffeur de taxi irrévérencieux. Patrick a d’ailleurs remporté le trophée Artis 2008 et 2009 dans la catégorie Artiste d’émissions humour pour ce rôle. Le public lui a également témoigné son affection en lui décernant deux fois de suite le trophée Personnalité masculine de l’année 2009 et 2010. En 2012, en plus d’effectuer son retour sur scène, Patrick a fait partie de l’émission Star Académie, à TVA. Après avoir marqué de son empreinte l’édition 2009 avec son exceptionnelle capacité à transmettre son savoir, il a retrouvé, avec plaisir, son poste de professeur d’interprétation de la populaire émission. Patrick Huard est aussi animateur. On l’a vu à la barre de plusieurs Galas Juste pour rire, le Gala de l’ADISQ, la Soirée des Jutra, une série d’humour à Radio-Canada et plusieurs émissions quotidiennes à la radio. On retrouve aussi Patrick Huard de plus en plus fréquemment derrière la caméra. Il a produit et réalisé l’émission Taxi 0-22 (les quatre saisons ont été diffusées à TVA), en plus de réaliser des vidéoclips, des publicités, un documentaire pour le Canal D, son premier long-métrage, Les 3 P’tits Cochons (le plus grand succès du Box Office québécois en 2007) et Filière 13. De plus, en collaboration avec Vidéotron et Sid Lee, Patrick a mis sa grande créativité et sa polyvalence au service de la chaîne mobile Lib tv, dont il célèbre la première année d’existence cet été. Il en est l’ambassadeur, le directeur des programmes, le coproducteur (avec sa compagnie Jessie Films) en plus d’y travailler en tant que concepteur, réalisateur et acteur. Tribune par excellence des créateurs d’ici, Lib tv permet de repousser les limites de la création et d’expérimenter de nouveaux concepts. Depuis juin dernier, les émissions éclatées de la nouvelle chaîne ont été vues près d’un million de fois via illico mobile, illico web et illico télé.


RACHELLE LEFEVRE Sophie Rachelle Lefevre est une actrice canadienne qui a commencé sa carrière en jouant dans la télésérie pour adolescents Le loup garou du campus. Elle a fait ses débuts au cinéma dans le film de Georges Clooney Confessions of a Dangerous Mind et a également participé à plusieurs longs métrages indépendants dont Fugitive Pieces, qui a fait l’ouverture du festival international du film de Toronto en 2007. Depuis sa relocalisation à Los Angeles, Rachelle est apparue dans plusieurs émissions de télévision, dont récemment Off the Map sur ABC and A Gifted Man sur CBS. Rachelle tient sa reconnaissance internationale grâce à sa participation aux deux premiers volets de la saga Twilight. Elle y jouait Victoria, une impitoyable vampire qui cherche à se venger du personnage principal, Bella, interprétée par Kristen Stewart. Ce rôle lui a valu le prix « Meilleur méchant » au « Teen Choice Award » en 2010. Peu après, elle a participé au film Casino Jack, mettant en vedette Kevin Spacey, qui relate l’histoire du scandale impliquant le lobbyiste Jack Abramoff. Toujours en 2010, Rachelle a reçu de brillantes critiques pour son rôle dans Barney’s Version de Richard J. Lewis. Le film met également en vedette Dustin Hoffman, Minie Driver et Paul Giamatti et est une adaptation du roman de Mordecai Richler. Au printemps 2011, Rachelle est revenue dans son Montréal natal afin d’être la voix du personnage féminin principal du long métrage animé Sarila. Elle y incarne une jeune Inuit qui se lance dans une quête épique pour sauver son peuple d’un diabolique chaman. Sarila prendra l’affiche en 2013. Au grand écran, elle a récemment partagé la vedette avec Stephen Moyer (True Blood) dans le thriller The Caller. Elle y incarne Mary Kee, une jeune femme qui tente de regagner ses forces après une relation abusive et qui est tourmentée par de mystérieux appels téléphoniques. Rachelle s’implique également dans plusieurs causes, dont la défense des droits des animaux, étant la porte-parole nationale de la « Best Friends Animal Society » qui encourage la population à adopter leurs animaux. Elle est aussi impliquée dans l’organisation « School on Wheels » et la fondation Susan G. Komen.


STÉPHANE ROUSSEAU Sam Cohen Découvert pour la première fois au Festival Juste pour rire en 1988, Stéphane Rousseau se lance dès 1991 dans l’écriture de son premier one-man show : Rousseau. C’est lors de ce spectacle que l’humoriste accouche de son célèbre personnage de Madame Jigger. Rousseau vaut à son auteur le Félix du Meilleur spectacle d’humour au gala de l’ADISQ en 1993. En 1995, Stéphane Rousseau reprend la route du Québec et présente au public québécois son deuxième spectacle solo, intitulé Drôle. Applaudi par près de 200 000 spectateurs, l’humoriste à l’énergie inépuisable se retrouve sur la scène du Centre Bell aux côtés de Céline Dion pour célébrer le Jour de l’An. Cet événement insuffle une motivation nouvelle à l’humoriste et le pousse vers la création d’un troisième one-man show. Ce dernier est récompensé en 2001 au gala des Olivier et obtient le trophée dans la catégorie « Performance scénique de l’année ». Désormais, l’histoire de Stéphane Rousseau se déroule des deux côtés de l’Atlantique. Se liant d’amitié avec Franck Dubosc, il coanimera de 2002 à 2006 le gala des Français à l’occasion du Festival Juste pour rire. Ce duo provoquera les éclats de rire chez les Québécois et les Français, cumulant année après année un vrai succès.

2002 est le début de l’aventure cinématographique de Stéphane Rousseau. L’artiste aux multiples talents tient la vedette du film Les Dangereux en compagnie de Véronique Cloutier. En 2003, il est approché par Denys Arcand afin d’interpréter le rôle de Sébastien dans le film Les invasions barbares. Véritable succès sur la scène nationale et internationale, l’œuvre remporte en 2004 l’Oscar du meilleur étranger. Au Canada, Rousseau obtient le prix Génie pour la « Meilleure performance masculine dans un rôle de soutien ». La même année, il est la tête d’affiche de la distribution parisienne de la comédie musicale Chicago. Entre temps, il tient aussi le rôle de Bo Bellingsworthhh pour la série télé Le Cœur a ses raisons. En 2008, Rousseau est de retour au cinéma en tenant l’affiche de deux films français, Modern Love et Astérix aux Jeux Olympiques. Dans ce dernier film, il campe un Alafolix croustillant d’humour. En 2005, Stéphane Rousseau lance son quatrième acte solo qui franchit l’océan en moins de temps qu’il n’en faut pour récolter l’Olivier de la « Meilleure mise en scène » (2006). Après une pause bien méritée, Rousseau est de retour sur les planches en 2010, alors qu’il présente Les confessions de Stéphane Rousseau en France. Récoltant un accueil plus que favorable du public et des critiques, le spectacle est présenté pour la première fois au Québec en juillet 2011. À travers ce spectacle, il signe d’ailleurs sa toute première mise en scène, pour laquelle il remporte d’ailleurs le prestigieux Olivier de la « Meilleure mise en scène » en 2012. L’année 2011 est fort chargée pour Rousseau. Il profite de son passage au Cirque Royal de Bruxelles pour capter Les Confessions de Rousseau, dont le DVD sort en février 2012. De retour au Québec, il se produit 11 soirs au Théâtre Saint-Denis en supplémentaires. S’ensuit une tournée des FNAC afin de rencontrer son public français et un retour dans les Zénith en mars 2012.


RENÉ ANGÉLIL Dominic Fagazi René Angélil est l’homme d’affaires pour qui le monde du showbiz n’a pratiquement plus de secrets. Il ne fait aucun doute que l’imprésario aura été l’un des plus grands promoteurs du talent québécois à l’échelle internationale. Fidèle à ses convictions, il a toujours su croire en ses projets et a pris des risques souvent assez audacieux. Depuis le début des années 60, René Angélil a grandement contribué à faire avancer l’industrie québécoise du disque et du spectacle. D’abord chanteur au sein du groupe mythique Les Baronets, de 1962 à 1972, cet artiste a quitté la scène pour devenir producteur de spectacles et assez rapidement un gérant d’artistes respecté partout à travers le monde. De 1973 à 1976, René contribue largement au développement de la carrière de René Simard. C’est à cette époque qu’il crée les premiers liens permanents du milieu québécois du disque et du spectacle avec les États-Unis et le Japon. En 1977, il fonde sa propre compagnie de production et gère la carrière de Ginette Reno. Avec cette dernière, il réalise l’album le plus vendu, à l’époque, de l’histoire du disque canadien. Il met également en place un important réseau de contacts avec l’industrie française. En 1981, alors qu’il songe à tout laisser tomber, il fait la rencontre d’une petite fille de 12 ans prénommée Céline Dion. Épaté par la maturité et le talent de la jeune chanteuse, il signe un contrat avec sa mère et hypothèque sa maison pour produire un premier album. La suite est maintenant légendaire dans l’industrie de la musique. Il planifie et gère la carrière planétaire de Céline Dion et en fait la plus populaire chanteuse au monde. En 1994, il épouse Céline Dion à la Basilique Notre-Dame de Montréal. De cette union naît trois enfants : René-Charles (2001) et les jumeaux Nelson et Eddy (2010). Père de famille exemplaire, René Angélil a également eu trois autres enfants avant de rencontrer Céline : Patrick, Jean-Pierre et son unique fille Anne-Marie Angélil. Il fonde CDA en 1999, une entreprise de gestion et de production qui met à la disposition de ses artistes le réseau qu’il a créé. Après avoir reçu à deux reprises le Félix du gérant de l’année en 1987 et en 1988, il reçoit, en 1996, le Grand prix de l’ADISQ pour « l’ensemble de son œuvre, pour ses talents de stratège et pour avoir créé et mis en place l’un des plus puissants réseaux de distribution du show-business international ». En 2009, René est fait officier de l’Ordre National du Québec, la plus prestigieuse distinction de l’État québécois. René Angélil a toujours été très fier de promouvoir à l’étranger son attachement envers le Québec. René Angélil continue de faire connaître les artistes d’ici, prodiguant ses conseils aux plus jeunes, tout en respectant la personnalité et le style de chacun. On connaît sa rigueur, son approche très humaine, son indéfectible passion et son amour inconditionnel du métier. Pour toutes ces raisons il a accepté à deux reprises, en 2009 et en 2012, d’être le directeur de l’Académie pour l’incomparable émission Star Académie. René partage maintenant son temps entre la Floride et Las Vegas, où Céline pendant les prochaines années présentera 70 spectacles par année sur la scène du Colosseum du Caesars Palace.


PRODUCTEURS DENISE ROBERT

« Je produis des longs‐métrages afin de servir l’imagination de grands créateurs et de faire un bout de chemin

avec eux, au moins le temps d’un film. »

Tout au long de sa carrière, Denise Robert a produit plus d’une trentaine de films primés mondialement, notamment Les Invasions barbares de Denys Arcand, qui a été couronné de l’Oscar du Meilleur film en langue étrangère, de trois César dont celui du Meilleur film, et plus de quarante prix à l’échelle mondiale. Parmi ses autres productions, on retrouve Le Confessionnal de Robert Lepage, film d’ouverture de la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes et lauréat de nombreux prix prestigieux; La Veuve de St‐Pierre de Patrice Leconte (en coproduction avec Frédéric Brillion et Gilles Legrand), nominé aux Gloden Globes comme Meilleur film en langue étrangère; Maurice Richard de Charles Binamé, encensé par la critique et récipiendaire de neuf prix Génie au Canada et de multiples prix internationaux; Mambo Italiano d’Émile Gaudreault, vendu dans le monde entier.

Ses collaborations sont diverses et nombreuses et elle a travaillé avec, entre autres, Denise Filiatrault, Louis Bélanger, Paul Arcand, Claude Millaire, Léa Pool, Atom Egoyan, Patricia Rozema et Éric-Emmanuel Schmitt. Plus récemment, elle a produit le tout dernier documentaire de Paul Arcand Dérapages, Route 132 de Louis Bélanger (en coproduction avec Fabienne Larouche), L’Enfant prodige de Luc Dionne, sur la vie du compositeur André Mathieu et dont la musique est interprétée par Alain Lefèvre; Le Sens de l’humour et De Père en flic d’Émile Gaudreault, qui est devenu numéro un au box‐office québécois et canadien des films francophones de tous les temps. Elle a aussi produit Le grand départ de Claude Meunier et coproduit Oscar et la dame rose d’Éric‐Emmanuel Schmitt.

Denise Robert est membre de l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences (AMPAS/États-Unis); de l’Académie Britannique du Film et de la Télévision (BAFTA/Royaume-Uni) et de l’Académie des Arts et Techniques du Cinéma (France). Elle a également reçu le grade de Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres par le ministre de la Culture (France).


DANIEL LOUIS

« Trouver des solutions pratiques à des défis artistiques, c’est ce qui me passionne dans la production. C’est à la fois la synthèse de la création et des affaires ».

Daniel Louis se retrouve dans cette citation. Ce récipiendaire d’un prestigieux Oscar et d’un Emmy Award a plus de trente-quatre ans d’expérience dans le domaine du cinéma et il a collaboré sur plus d’une soixantaine de productions. Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres du Ministre de la Culture de la République française, il fonde, en 1988, la maison de production Cinémaginaire avec Denise Robert et à ce jour, ils comptent plus d’une trentaine de productions à leur actif.

« Ce qui m’intéresse avant tout, c’est de tirer le maximum du côté créateur du projet tout en ayant une gestion efficace. »

Daniel Louis, homme d’organisation, est en fait fasciné par l’humain, stimulé par l’originalité et la création artistique.


ÉQUIPE BERNARD COUTURE Directeur de la photographie Avec 20 longs-métrages, cinq téléséries, deux téléfims, 75 vidéoclips, 200 films publicitaires et sept documentaires ou séries documentaires, Bernard Couture est ce qu’on appelle un directeur photo tout-terrain. Avec cinq prix prestigieux et douze nominations, il est aussi un créateur de talent, connu et reconnu. Aussi à l’aise avec l’approche artistique des films d’auteurs qu’avec l’angle efficace des grosses productions, il sait capter l’instant et lui donner une lumière tour à tour dramatique, humoristique, intime ou mystérieuse. Au cinéma, il collabore régulièrement avec Podz, Patrick Huard et Érik Canuel, participant activement à l’émergence du cinéma québécois nouvelle génération. On lui doit ainsi la direction photo d’un grand nombre de succès, de Filière 13 à 10 ½ et des 7 jours du Talion à Cadavres, en passant par Les 3 p’tits cochons, Le Dernier Tunnel ou Nez rouge. Pour autant, Bernard Couture ne nie pas son plaisir d’œuvrer sur des plateaux américains, que ce soit pour la MGM (Picture This en 2007), New Line Cinema (Journey to the Center of the Earth en IMAX 3D) ou la 20th Century Fox (Art of War). À l’estime des producteurs et du grand public s’ajoute la reconnaissance de ses pairs : Bernard Couture a été honoré à trois reprises par la Canadian Society of Cinematographers (CSC), qui a couronné la direction photo du Survenant et de deux courts-métrages qui ont lancé sa carrière, Triangle et La Forêt et le Bûcheron. Plusieurs autres de ses œuvres ont aussi été mises en nomination aux prix Génie ou aux Jutra. Des plateaux de cinéma aux studios de télé, il n’y a qu’un pas que Bernard Couture a franchi allègrement en signant la direction photo de séries et documentaires diffusés à TVA, Radio-Canada, M6, Showtime, Télé-Québec, Discovery Channel ou CNN. On lui doit notamment la série mythique The Hunger (10 épisodes signés Tony Scott et une nomination aux CSC Awards), ainsi que Largo Winch, Last Casino (lauréate du Gemini Award 2005 de la meilleure direction photo), Au nom de la loi et les trois saisons de Taxi 0-22 (30 épisodes au total et deux nominations aux Prix Gémeaux pour la meilleure direction photo – dramatique). En 2010, Bernard Couture met en images Lance et compte de Frédérik D’Amours, puis enchaîne avec Le sens de l'humour d’Émile Gaudreault qui lui a valu une nomination aux Jutra, ainsi que Barrymore réalisé par Érik Canuel et mettant en vedette Christopher Plummer. En 2011, il signe la direction photo de L'Affaire Dumont, un drame basé sur une histoire vraie réalisé par Podz et plus tôt en 2012, Les Pee-wee 3D, le dernier long-métrage d’Éric Tessier.


MICHEL PROULX Concepteur artistique Michel Proulx contribue à l’attrait visuel de longs métrages et de productions télévisuelles depuis plus de trente ans. Parmi ses collaborations au cinéma, mentionnons le succès Maurice Richard de Charles Binamé, pour lequel il a d’ailleurs remporté le prix Génie pour la Meilleure Direction Artistique; Aurore, de Luc Dionne ; Monica la Mitraille, de Pierre Houle ; L’Odyssée d’Alice Tremblay, de Denise Filiatrault ; Le Collectionneur, de Jean Beaudin ; et Karmina 2, de Gabriel Pelletier.

À la télévision, Michel Proulx a signé la conception visuelle de séries populaires telles Les Lavigueur, la vraie histoire qui se mérita, entre autres, le Gémeau pour la meilleure série dramatique en 2008, Largo Winch, Tag, The Hunger, Omertà, Détect inc. Il a également collaboré à la populaire série anglophone Stick and Stones et les deux dernières saisons de la série acadienne Belle-Baie.

GINETTE MAGNY Costumes

Ginette Magny assure la conception des costumes pour des projets au cinéma et à la télévision depuis plusieurs années. Elle a notamment collaboré aux populaires séries Urgence et Bunker, le cirque. Sa créativité l’a amené à travailler au Canada, en France, en Argentine, et aux États Unis sur des productions comme A Walk on the Moon, Au plus près du paradis, The Last Sign, C.R.A.Z.Y., Les Boys IV, Le Secret de ma mère, Comment survivre à ma mère, Le banquet, Les doigts croches, De père en flic, Bon Voyage (Box. TV, Londres). Elle a aussi œuvré sur le film Café de flore de Jean-Marc Vallée et plus récemment, Mauvais Karma III.

Le travail de Ginette Magny a été reconnu plusieurs fois, ayant été en lice pour le prix Jutra des meilleurs costumes pour les films Les Boys IV, Le banquet, Les doigts croches, Surviving my mother et Le secret de ma mère. Elle a aussi remporté les prix Jutra et Génie pour C.R.A.Z.Y. Dans ses temps libres, elle perfectionne le croquis en plus de préparer des «moodboards».


JEAN-FRANÇOIS BERGERON Montage image Jean-François Bergeron est un monteur qui a débuté sa carrière en 1988 en faisant du montage de vidéo-clips et de publicités. En 1995, il collabore sur Peter Gabriel’s Secret World Live réalisé par François Girard. Deux ans plus tard, il s’investit auprès du réalisateur Robert Lepage dans le film Le Polygraphe. En 1998, Franco Dragone fait appel à son talent pour le montage du film basé sur le spectacle Allegria du Cirque du Soleil. Son talent a été souligné notamment aux Prix Génie en 2000, où le film était en nomination pour Meilleur Montage. Parmi ses plus populaires réalisations à titre de monteur, on compte notamment La Loi du Cochon (2001) d’Érik Canuel, La Mystérieuse Mademoiselle C (2002) de Richard Ciupka, nominé dans la catégorie Meilleur Montage au Jutra 2003, et Nez Rouge (2003) du réalisateur Érik Canuel.

En 2004, il entreprend le montage du film Le Dernier Tunnel d’Érik Canuel qui se voit nominé dans la catégorie meilleur montage aux Jutra ainsi qu’aux Prix Génie. La même année, Jean-François travaille sur le long métrage Nouvelle-France, de Jean Beaudin. En 2005, il se consacre au film Le survenant d’Érik Canuel, Sans Elle de Jean Beaudin, Les filles du Botaniste, de Dai Sijie ainsi que les succès Bon Cop, Bad Cop d’Érik Canuel, et Les Trois petits cochons de Patrick Huard, deux films qui lui ont valu plusieurs prix et nominations. Il a aussi travaillé sur La Rivière aux Castors (2007) de Philippe Calderon et Cadavres une sixième collaboration avec Érik Canuel.

En 2007, Jean-François Bergeron s’est consacré au film Le grand départ de Claude Meunier, tandis qu’en 2008 il collaborait à Nothing Really Matters de Jean-Marc Piché. En 2009, il a contribué au succès retentissant de De père en flic d’Émile Gaudreault. Par la suite, il a collaboré à Filière 13, le dernier long métrage de Patrick Huard et The Year Dolly Parton Was My Mom de Tara Johns. En 2011, il travaille avec Érik Canuel sur Barrymore mettant en vedette Christopher Plummer et avec Paul Arcand sur le documentaire Dérapages.

En 2012, Jean-François Bergeron conçoit et réalise toutes les projections du nouveau spectacle de Patrick Huard Le bonheur. Enfin, il travail présentement sur la nouvelle série de Claude Meunier Adam et Ève.


MARIE-CLAUDE GAGNÉ Création sonore Marie-Claude Gagné débute comme assistante monteuse sonore en 1985, travaillant à des films comme Le Matou de Jean Beaudin (1985) et Pouvoir intime de Yves Simoneau (1986). Dès l’année suivante, elle prend en charge le montage sonore de quelques films. Son talent est rapidement reconnu, de sorte qu’elle devient une conceptrice sonore en demande. Ses plus populaires réalisations à titre de conceptrice sonore incluent Joyeux Calvaire de Denys Arcand (1996), Mystère B de Philippe Baylaucq (1997), When the Day Breaks de Amanda Forbis et Wendy Tilby (1999), Le ring intérieur de Dan Bigras (2002), Mambo Italiano d’Émile Gaudreault (2003) et Les invasions barbares de Denys Arcand (2003). En 2005, elle remporte le Jutra du meilleur son pour Ma vie en cinémascope et également en 2007 pour Un dimanche à Kigali de Robert Favreau. Durant la même année, elle remporte le Gémeau et le Gemini du meilleur son pour le documentaire La Grande traversée de la série Mission Arctique. En 2007-2008, en plus de réaliser la trame sonore d’Idole instantanée d’Yves Desgagnés, Marie-Claude se consacre aux productions Surviving my Mother d’Émile Gaudreault, L’Âge des ténèbres de Denys Arcand. En 2009, elle a travaillé sur les films De père en flic d’Émile Gaudreault, Oscar et la dame rose d’Éric-Emmanuel Schmitt. En 2010, elle participe à L’enfant prodige de Luc Dionne, la web série Assassin’s creed Lineage d’Yves Simoneau, Route 132 de Louis Bélanger, Thorne : Sleepyhead de Stephen Hopkins, Gerry d’Alain Desrosiers, Le Sens de l’humour d’Émile Gaudreault et Une vie meilleure de Cédric Kahn. Elle signe, en 2011, la création sonore du dernier documentaire de Paul Arcand, Dérapages. Partout où elle va, Marie-Claude Gagné sait créer une ambiance!


MICHEL CUSSON Musique originale Michel Cusson est un musicien reconnu mondialement, un directeur musical et un compositeur de musique de films dont les mérites sont encensés par la critique. D’abord formé aux prestigieux départements de musique de l’Université McGill à Montréal et du Berklee College of Music de Boston en tant que guitariste jazz-rock, il est le fondateur du groupe Uzeb. Cusson a évolué vers la composition de musique de films au début des années 1990. Les trames sonores de téléséries, de films et de films IMAX 3D reconnus et récompensés au Canada et au Québec font partie de son œuvre extraordinaire et prolifique, dont Aurore (Luc Dionne), Maurice Richard et Séraphin – Un Homme et son Péché (Charles Binamé), Riopelle Sans Titre (Pierre Houle), et les films IMAX Rocky Mountain Express, Rescue, Legends of Flight, Ultimate Wave Tahiti, Fighter Pilot: Operation Red Flag, Volcanoes of the Deep Sea (Stephen Low), Dinosaurs Alive (David Clark et Bayley Silleck), et Wolves (David Douglas). Michel Cusson s’est aussi associé à plusieurs films internationaux tels que Père et fils (Michel Boujenah), de France et Metallic Blues (Danny Verete), d’Israël. À la télévision, il se démarque avec la musique originale de la télésérie historique renommée Napoleon de A & E, (Yves Simoneau) et d’Omertà, une série dramatique culte sur la mafia se classant au deuxième rang des séries les plus populaires de l’histoire de la télévision québécoise. En 2003, l’Académie canadienne du cinéma et de la télévision lui remet l’une des récompenses les plus prestigieuses, le Prix des Immortels de la télé, pour la bande sonore de cette télésérie primée à plusieurs reprises. Il a aussi écrit la musique de plusieurs épisodes télé des méga-show du Cirque du Soleil. Cusson a composé aussi la musique de plusieurs méga-spectacles. Deux spectacles équestres : Cavalia tourne mondialement depuis plus de 8 ans, et Odysseo une toute nouvelle création tourne en Amérique du Nord. Ulalena ( (1999-) (Hawaii, U.S.A) et enfin, Era (2005-) et Kaleido (2010-) (Shanghai, Chine, musique composée avec des instruments chinois à la fois modernes et anciens) sont à l’affiche depuis de plusieurs années. Son œuvre extraordinaire est honorée par 14 Félix, 7 prix SOCAN, 1 Jutra, 6 Gémeaux et 1 Gemini. En 2006, il se voit décerner la distinction de Chevalier de la Pléiade, qui souligne les mérites des personnalités marquantes véhiculant les valeurs de coopération et d’amitié au sein de la Francophonie. L’étendue et la qualité des contributions musicales de Michel Cusson (26 films, 11 mega-spectacles et 19 téléséries) ainsi que sa polyvalence font de lui un des compositeurs les plus demandés au monde.


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présente OMERTÀ - offestival.com · présente OMERTÀ Un film de Luc Dionne Produit par Denise Robert et Daniel Louis Mettant en vedette Michel Côté, Patrick Huard, Rachelle Lefevre,