1

Université Mohamed PremierÉcole Nationale de Commerce et de Gestion

OUJDA

Réalisé par: BOUYOUSFI Zakaria/704

HAMMOUCH Abdeililah/1208 Demandé par: Mme ALAOUI Majda

LAFQIR Fadila/752

BEL HADJ Amine/1283

EL YANDOUZI Sufiane/1282

Année Universitaire 2013-2014

2

3

« Le succès des entreprises passe aujourd’hui par leur capacité à réagir rapidement aux

changements environnementaux. L’adaptabilité n’est pas une fin en soi ; c’est la vitesse de réaction qui

compte… Jusqu’à présent, les avantages compétitifs naissaient principalement d’une association

originale de décideurs performants, de produits innovants et de circuits de distribution optimisés. Ce

n’est plus suffisant, l’entreprise moderne doit aussi être extrêmement évolutive, savoir repositionner ses

ressources, être réactive.

Cet impératif pèse au premier chef sur les systèmes d’information qui doivent intégrer très

rapidement les exigences fluctuantes des clients, des fournisseurs et des partenaires de l’entreprise.

Cela exige de disposer d’une plate-forme logicielle et technique elle même adaptable et réactive. »1

1 XVème Conférence Internationale de Management Stratégique, Annecy / Genève 13-16 Juin 2006

4

Sommaire

Introduction................................................................................................... 5

Chapitre I : Généralité sur les ERP...................................................................6

Chapitre II : L’Intérêt de l’ERP.......................................................................13

Chapitre III : Les Fonctions et Champs d’Application des ERP.........................17

Étude de cas : exemple de fonctionnement de l’ERP de la société LEAR TRIM

AUTOMOTIVE MOROCCO.............................................................................28

Problématique..............................................................................................31

Conclusion....................................................................................................34

5

Introduction

« La performance de l’entreprise ne se définit pas seulement par l’obtention des résultats

quantitatifs, mais également par l’optimisation des moyens mis en œuvre dans toutes les dimensions:

économiques, sociales, commerciales, etc. »2

De ce fait, pour être performante, l’entreprise a besoin d’un système d’information capable de

fournir aux dirigeants une vision claire sur l’entreprise ainsi que des informations efficaces au bon

moment.

L’ERP, comme étant un sous ensemble du système d’information, doit à son tour permettre aux

responsables de suivre les activités, déceler à temps les dérives éventuelles et même anticiper les

dérèglements possibles.

Afin d’essayer de cerner l’environnement de l’ERP ou PGI (Progiciel de la gestion intégrée), ce

travail se décortique en trois chapitres, une étude cas et une problématique. Un premier volet sera dédié

à définir et décrie L’ERP de façon plus détaillée et apporter un éclairage sur les objectifs et l’intérêt de

la mise en place d’un ERP au sein d’une organisation, un groupe à multiples activités. Ensuite on va

passer aux fonctions et applications des ERP pour montrer les différents processus et applications

utilisées dans les organisations afin de garantir une bonne qualité de l’information dans la recherche de

l’efficacité et l’efficience et donc de la performance. Une étude de cas sera abordée dans un dernier lieu

afin d’expliquer le fonctionnement de l’ERP.

A la fin, nous allons essayer d’accoster une problématique qui a pour objectif de mettre la lumière sur l’adaptabilité de cet outil au contexte Marocain.

2 « Contrôle de gestion, calcul et analyse des coûts »

6

Chapitre I : Généralité sur les ERP

7

Section I : Historique (historique de l’informatique entreprise)

Durant les trois dernières décennies, l’informatique de gestion a subi des bouleversements

considérables. Les avancées technologiques du traitement de l’information ont eu des conséquences

capitales sur le rôle de l’outil informatique.

Si les premières applications ont permis d’automatiser les activités opérationnelles des

organisations (gestion de production, gestion commerciale et financière, ressources humaines),

aujourd’hui les systèmes d’information prennent en charge des niveaux de gestion de plus en plus

stratégiques.

L’évolution des architectures informatiques dues aux innovations technologiques se manifeste

comme suit :

Les années 60-70 et le mainframe ( informatique d’entreprise )  : il ne s’agit à cette époque que de gérer des volumes gigantesques de données ; les applications de gestion automatisent les processus opérationnels et répétitifs ; le marché des systèmes informatiques est dominé par quelques grands constructeurs ; les gros systèmes sont propriétaires et centralisent la puissance de traitement.

Les années 80 et les mini systèmes ( informatique de département )  : le marché de l’informatique s’ouvre aux PME ; l’ère des minis permet également à un grand nombre d’utilisateurs d’accéder aux données aux travers d’applications couvrant des besoins plus spécifiques ; l’utilisateur dispose d’une interface texte pour l’interaction avec le système (terminaux passifs).

Les années 90 et le client serveur ( informatique individuelle )  : c’est le plein essor des ordinateurs personnels, de la bureautique, et l’explosion des réseaux et des télécommunications ; le partage de l’information devient le défi majeur ; les applications bureautiques disponibles (traitement de texte et tableur) répondent à des besoins de traitement de l’information jusqu'à présent non pris en compte, les terminaux passifs sont peu à peu remplacés par des micro-ordinateurs capables de les émuler, au-delà du réseau local , les applications client-serveur donnent l’occasion de répartir les traitements entre les machines les plus adaptées : les applications bureautiques sur les postes de travail et les applications critiques (ainsi que les bases de données) sur les serveurs. La connexion entre le réseau local et le site central s’effectue par des liaisons téléinformatiques proposées par l’opérateur institutionnel, le micro-ordinateur devient nomade grâce aux portables capables ainsi de se connecter au réseau local ou à distance au système informatique de l’entreprise.

Les années 2000 et le boom de l’internet  : aujourd’hui le poste de travail, nomade ou fixe , est connecté au réseau local de l’organisation mais il est aussi ouvert sur l’extérieur grâce à l’internet, la communication entre les ordinateurs s’effectue grâce à un ensemble de protocoles normalisés ; les technologies de l’internet deviennent des normes pour la mise en place tant des systèmes informatiques d’entreprise (intranet) que des systèmes informatiques interconnectés

8

avec les partenaires ( extranet), les applications métier obéissant à un standard du web (http.html), le poste de travail équipé seulement d’un navigateur qui peut accéder par le réseau à l’ensemble des applications (client).

Années 60-70 : traitement informatisé des données de gestion. Années 80 : systèmes d’informations de gestion.Années 90-2000 : systèmes de gestion intégrés.

9

L’origine des ERP

Les ERP ou PGI ( Progiciels de gestion intégrée) sont apparus au début des années 1990 , ils répondaient à l’attente des utilisateurs des grandes entreprises qui souhaitent pouvoir disposer d’un seul et unique progiciel sur une seule plateforme informatique afin de pouvoir gérer toutes les informations dont ils avaient besoin pour être plus efficace dans leur travail et répondre plus rapidement aux différentes demandes de leur hiérarchie , des clients ou des fournisseurs.

Section II : Définitions

10

Un ERP ou Entreprise Resource planning est un progiciel3 destiné à couvrir la plus grande

partie des besoins du système d’information de gestion (ou SIG) de l’entreprise.

Robert Reix4 a définit les ERP comme « une application informatique paramétrable,

modulaire et intégrée, qui vise à fédérer et à optimiser les processus de gestion de l’entreprise en

proposant un référentiel unique et en s’appuyant sur des règles de gestion standard ».

Il est important de noter qu’il n’existe pas un consensus sur une définition unique d’un

ERP, par ailleurs, la définition proposée par Willis 2003, s’avère la plus complète «  ERP est un

système intégré qui permet à l’entreprise de standardiser son système d’information pour relier et

automatiser ses processus de base. Il fournit aux employés les informations nécessaires pour

diriger et contrôler les activités essentielles de l’entreprise le long de la chaîne logistique, de

l’approvisionnement à la production / exploitation jusqu'à la vente et à la livraison au client final.

Les employés n’entrent qu’une seule fois les informations, qui sont alors mises à la disposition de

tous les systèmes de l’entreprise ».

Tout en se basant sur les définitions des ERP, on peut synthétiser et définir l’ERP comme :

Un logiciel qui permet de gérer l’ensemble des processus de l’entreprise, il intègre l'ensemble des fonctions et outils nécessaires comme la gestion comptable et financière, GRH, la relation client,

achats, production, distribution…Un système composé de plusieurs applications partageant une même base de données, qui peut

couvrir la majorité des besoins d’affaires de l’entreprise.

En outre, selon Robert Reix (1999.2000), les systèmes d’informations sont liés à

l’organisation, un changement dans le système d’information a des répercussions au niveau

organisationnel.

Système d’information

Homogénéité Disponibilité de l’information Mode de Renseignement du système

3 Ou Produit-logiciel, mot valisé forgé en 1970 indiquant un logiciel développé pour être commercialisé en tant que produit dans de multiples entreprises .Windows est l’archétype du progiciel4 R.Reix, Systèmes d’information et management des organisations, Paris, Vuibert, 5éme éd .2004

Technologie Organisation

11

La Mise en place d’un ERP homogénéise l’information, modifie sa disponibilité et les

modes de renseignement du système, d’où proviennent les conséquences organisationnelles

(sur les modes de communication, le processus de décision, la logique de contrôle de

l’organisation…).

Section III : Caractéristiques de l’ERPLe concept d’ERP (Entreprise Resource planning) a été introduit il y a maintenant environ

une quinzaine d’années.

Il répondait notamment aux attentes des responsables financiers et logistiques des grandes

entreprises qui se trouvaient confrontés d’une part à des besoins de réactivité exprimés par leurs

directions et/ou leurs clients et d’autre part à des systèmes d’information composés de

nombreuses applications ne communiquant pas toujours entre elles et parfois installées sur des

plate-forme hétérogènes.

Présenté aux informaticiens et futurs utilisateurs comme le système unique qu’ils

attendaient, l’ERP fut pour tous une bonne nouvelle, car il allait enfin leur permettre de disposer et

de partager des informations fiables, mises à jour en temps réel et ainsi d’être plus efficace dans

leur travail.

Les ERP sont des applications dont le but est de coordonner l’ensemble des activités d’une

entreprise (activités dites verticales telles que la production, l’approvisionnement, ou bien

horizontales comme le marketing, les forces de vente, La GRH…) autour d’un même système

d’information. Ils offrent à l’entreprise, une solution globale et transversale.

Plus qu’un simple logiciel, un ERP est un véritable projet demandant une intégration totale

d’un outil logiciel au sein d’une organisation et d’une structure spécifique et donc des coûts

importants d’ingénierie. D’autre part, sa mise en place dans l’entreprise entraine des modifications

importantes des habitudes de travail d’une grande partie des employés.

Le principe fondamental d’un ERP est de construire des applications informatiques (paie,

comptabilité, gestion de stocks, des achats, des ventes…) de manière modulaire (modules

applicatifs indépendants entre eux généralement signés par le même éditeur) tout en

partageant une base de données unique et commune (Données de base).

Adopter un ERP implique plus qu’un contrat : c’est un mariage avec l’éditeur, ce mariage

comporte des obligations et il sera plus difficile d’en sortir que d’y entrer.

12

Dans la classification des logiciels, l’ERP est un package destiné, a priori, à tous les

secteurs et à toutes les fonctions des entreprises industrielles comme des services.

De ce fait, un ERP est un sous-ensemble du système d’information dont les caractéristiques sont les suivantes :

Une gestion effective de plusieurs domaines de l’organisation par des modules intégrés ou des progiciels assurant une collaboration des Processus.

L’existence d’un référentiel unique de données (le référentiel est l’ensemble des références attribuées aux données ainsi que les modifications nécessaires pour les retrouver).

Une adaptation rapide aux règles de fonctionnement (professionnelles, légales, ou résultat de l’organisation interne).

L’unicité d’administration des sous-systèmes « applicatifs ». L’uniformisation des interfaces « Homme –machine » (mêmes écrans, mêmes

boutons, mêmes familles de barre menu, mêmes touches de fonctions et de raccourci…).

L’existence d’outils de développement ou de personnalisation de compléments. L’absence de « coutures apparentes » (interface entre « applicatifs »).

Les ERP sont des logiciels qui visent à gérer l’ensemble des ressources, grâce à une

modularité qui s’insère dans une architecture « client-serveur » ou une architecture Internet.

Une image qui résume l’ensemble des caractéristiques d’un ERP

13

Chapitre II : L’Intérêt de l’ERP

14

Section I : Avantages et limites de l’ERP :Les dirigeants d’entreprises doivent réunir toute à la fois des qualités de tacticien et de

stratèges, leur efficacité s’estime en fonction de leur capacité à discerner les difficultés, à

concevoir des solutions nouvelles et rapides, à motiver les collaborateurs, à développer la

communication horizontale et verticale. Pour ce faire, ils ont besoin d’un système

d’information capable de leur fournir une vision claire sur l’entreprise ainsi que des

informations efficaces au bon moment, d’où l’importance des ERP.

I- Les Avantages :

Les ERP permet :

Aux responsables des centres de responsabilité de connaître les objectifs ainsi que leurs progressions.

L’échange d’information entraine inévitablement et en même temps un style de direction participatif qui constitue un élément essentiel de motivation des cadres à tous les niveaux.

Le gestionnaire est toujours en situation d’information imparfaite, il faut donc s’attendre à ce que les résultats effectifs aient tendance à s’écarter des résultats attendus. Pour

15

s’opposer à cette dérive inéluctable, il est nécessaire de mettre en place un système d’information permettant de détecter le plus rapidement possible les écarts entre les prévisions et les réalisations et d’induire de façon rétroactive des décisions correctrices selon un processus de régulation.Globalement, les progiciels de gestion intégrés présentent plusieurs avantages tels que :

la cohérence et l’homogénéité des informations : en effet l’information est mise à jour en temps réel dans l’ensemble des modules qui sont associés ;

l’optimisation des processus de gestion (flux économiques et financiers), l’intégrité et l’unicité du système d’information (un seul fichier article, un seul fichier

client…), la disposition d’un outil multilingue et multidevises (très intéressant pour les

multinationales), le partage du même système d’information facilitant la communication interne et externe, la minimisation des coûts, grâce à la synchronisation des traitements, la maintenance

corrective simplifiée assurée par l’éditeur, l’absence d’interface entre les modules etc., La maîtrise des coûts et des délais de mise en œuvre et de déploiement.II- Les Limites :

L’ERP a cependant de nombreux inconvénients, les plus importants sont :

le coût élevé (même s’il existe des ERP qui sont à moindre coûts concernant uniquement la formation des utilisateurs et le service)

la lourdeur et la rigidité de mise en œuvre, les difficultés d’apprentissage par le personnel, le progiciel est souvent sous-utilisé dépendance éditeur difficulté d’une vision globale remise en cause de procédures existantes (l’ERP structurant) retard, échec, blocage de l’entreprise : Le premier élément qu’il faut toujours avoir à

l’esprit c’est que Lorsque l’ERP s’arrête l’entreprise s’arrête aussi ! Nécessité de travailler ensemble

Section II : Les objectifs d’un ERP :

Le PGI permet notamment :

une très forte automatisation des tâches répétitives

une structuration complexe, multiaxes et multi-hiérarchiques de l’analyse de gestion la planification des tâches de gestion et le suivi des opérations en cours les opérations de consolidation des comptabilités dans les groupes de sociétés la gestion des procédures de contrôle des opérations (workflow) de répondre aux besoins spécifiques de chaque entreprise : module d’atelier de génie

logiciel de s’adapter à de nouveaux champs de la gestion :

la gestion de la relation clients (CRM), la gestion des compétences en relations humaines

16

la gestion de la chaîne logistique.

Les 9 points forts de la solution Microsoft Dynamics AX intégrée par TVH Consulting5 :

Maintien de la qualité dans un contexte de forte croissance ; Amélioration de la vue d’ensemble et du contrôle ; Pilotage des affaires avec des indicateurs et des vues consolidées ; Progressions de déploiement et flexibilité pour intégrer des nouvelles fonctions ; Optimisation de la gestion des affaires en prenant en compte les heures consommées, les

articles, les notes de frais et les recettes clients. Meilleur calcul du coût de revient d’une affaire ; Amélioration de l’ordonnancement de la production ; Gestion automatique des demandes d’achat grâce au Workflow intégré ; Gestion financière multi-sociétés, multi-activités avec des tableaux de bord et CA

prévisionnel.

Section III : L’utilité de la mise en place d’un ERP :

La mise en place d’un ERP génère une utilité à l’entreprise parce que :

Il est issu d’un concepteur unique. Une modification sur un module provoque une mise à jour en temps réel des autres

modules liés. Un ERP garantit l’unicité des informations, grâce à la centralisation des données dans une

base unique, accessible à tous les modules applicatifs. Un ERP facilite l’audit en cas de dysfonctionnement, permettant d’identifier facilement le

ou les modules concernés. Un ERP suffit pour couvrir la totalité des besoins de l’entreprise en termes de système

d’information (la nature modulaire de l’ERP permet également de l’implémenter progressivement, module par module, selon les besoins).

5 www.tvhconsulting.fr

17

Chapitre III : Les Fonctions et Champs d’Application des ERP

18

Section I : Principe Général

L’ERP offre une palette de fonctions qui couvre la plupart des besoins de l’entreprise, à

savoir :

Un système d’information : grâce à la technologie client-serveur, le progiciel assure la circulation et l’automatisation de l’information, ce qui donne l’exactitude, la célérité, l’exhaustivité et l’uniformité de l’information. Aussi, il répond à des besoins d’amélioration de la circulation de l’information, de l’intégration des différentes fonctions dans un même système et de la normalisation des processus de l’entreprise6 ;

Un processus organisationnel : il donne une standardisation à l’organisation par la pratique de benchmarking proposé par le logiciel.

Pour bien mener ses fonctionnalités, l’ERP se compose d’un ensemble de modules qui

répondent à deux objectifs principaux :

6 FIGUERES (2001), Quels effets organisationnels pour les ERP

19

Assurer pour chaque service ou département le ou les modules qui le convient pour permettre la réalisation des tâches de manière automatisée ;

Offrir une interface informatique qui permet la communication et la circulation de l’information entre les différents services et départements de l’entreprise.

Parmi les principaux modules du progiciel, on trouve :

MRP (Manufacturing Resource Planning) : pour la gestion des ressources, de la production, des stocks…

CRM (Customer Relationship Management) : pour la gestion des relations clients et des ventes ;

HRM (Human Resources Management) : pour la gestion des ressources humaines ; SCM (Supply Chain Management) : pour la gestion de production, des achats et

approvisionnements ; FRM (Finance Resource Management) : pour la gestion des ressources financières et

comptables.

20

On va essayer dans cette partie d’exposer chaque module par des exemples de fonctions qui lui convient sur la base de deux catégories :

Fonctions Principales : sont des fonctions qui touchent directement les activités principales de l’entreprise et qui génèrent un dispositif des tâches constituant le processus étudié.

Fonctions transversales : qui intègrent des opérations et tâches liées aux différents processus étudiés.

I- Principe :

Il est à noté que chaque personnel utilisateur du progiciel doit disposer d’un compte sur la plate forme qui lui permet d’accéder aux fonctions du progiciel.

Plate forme Utilisateurs7

La gestion des clients sur la base de données du progiciel, nécessite la saisie de leurs informations social et identitaire (un code, sa raison sociale,

7 Fleur-Anne Blain, Présentation générale des ERP et leur architecture modulaire (ftp://ftp-developpez.com)

21

liens comptables, catégories, adresses, téléphone, fax, conditions de paiement, échéance de paiement, devise, etc.) dans l’onglet (tiers/clients).8

L’Onglets (tiers/clients)

Aussi pour la gestion et le contrôle des stocks, des achats et des produits. Le progiciel offre un outil permettant d’identifier les articles et gérer selon le besoin et le choix de l’entreprise (par catégorie, par lot, par type…)9

8 Fleur-Anne Blain, Présentation générale des ERP et leur architecture modulaire (ftp://ftp-developpez.com)9 Fleur-Anne Blain, Présentation générale des ERP et leur architecture modulaire (ftp://ftp-developpez.com)

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Onglets Articles

Cette pratique touche aussi la gestion des documents comptables et financiers (les bons de commandes, les factures…)

Onglet gestion des commandes10

10 Fleur-Anne Blain, Présentation générale des ERP et leur architecture modulaire (ftp://ftp-developpez.com)

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(Quoi ?)Objet de Gestion

(Comment ?)Flux et Processus

(Qui ?)Unité Organisationnelle

Commandes

Clients

Factures

Articles

Achats Ventes Production

Logistique

Comptabilité Achats

(Quoi ?)Objet de Gestion

(Comment ?)Flux et Processus

(Qui ?)Unité Organisationnelle

Commandes

Clients

Factures

Articles

Achats Ventes Production

Logistique

Comptabilité Achats

Onglets gestion des factures11

II- Principe de Fonctionnement (Cube d’ERP) :

Un des moyens les plus efficaces pour appréhender l’ERP consiste à raisonner sur le cube de l’ERP, c'est-à-dire sur un espace de trois dimensions dont l’un des axes représente les unités organisationnelles, le deuxième les flux et processus et le troisième les objets de gestion.12

11 Fleur-Anne Blain, Présentation générale des ERP et leur architecture modulaire (ftp://ftp-developpez.com)12 BLONDEL François, « Bien gérer avec un ERP (Synergie entre Supply Chain, Production, Finance et RH) », édition 2007. Page : 44

24

Section II : Les fonctions de l’ERP :I- Fonctions Principales :

1- Fonction d’Achat et d’Approvisionnement :

Grâce au module MRP (Manufacturing Resource Planning) et ses sous fonctions, le progiciel ERP permet d’intégrer totalement la gestion des achats et approvisionnements dans son système d’information.

Il permet de saisir :

Les ordres d’achats ; Le suivi des factures fournisseurs ; Les écritures dans les journaux et les comptes d’achats ; Le suivi de paiement et les mouvements.13

La démarche :

Le processus de gestion des informations d’achat et approvisionnements se déroule comme suite :

Le processus de gestion des achats débute à l’expression des besoins et se termine lors de la mise à disposition des marchandises dans les magasins de l’entreprise.

Après validation par le gestionnaire. Toutes les tâches citées ci-dessus sont automatisés dans l’ERP.

13 SFAXI Laila, Docteur en Informatique à l’INSAT

25

Tous les mouvements (marchandises, produits, comptables, financiers), ainsi que tous les documents (devis, ordre, commandes, factures, journaux…) sont générés automatiquement.14

L’automatisation des fonctions impacte horizontalement et verticalement tous les services concernés.

La fonction achats et approvisionnements gérée aussi par le module SCM (Supply Chain Management), puisqu’il intègre dans sa base de données la gestion d’un ensemble de coûts entre autres le coût d’approvisionnements et d’achats.

2- La gestion Commerciale :

Le module CRM donne un ensemble des outils et techniques destinés à gérer et informatiser les relations avec les clients.

La commande client peut être saisie par le commercial ou directement par le client dans la plate forme e-commerce.

Comme pour la fonction précédente, toutes ces étapes sont gérées automatiquement dans l’ERP (consommation en stock des produits livrés, facturation, paiement, écritures comptables, financières et bancaires).15

14 NORIGEON Philip, « Cours PGI/ERP)15 NORIGEON Philip, « Cours PGI/ERP)

Section Analytique

Section d’Achats

Section Comptabilité

Section Trésorerie

Processus

Fonction

Section AnalytiqueProcessus

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3- La gestion de la production :

L’ordre de fabrication est généré par l’ERP automatiquement après la validation de la commande client et l’analyse, par le système, des ressources de l’entreprise (Stock).

La réalisation de la production ne pourra débuter que lorsque l’ERP aura contrôlé la disponibilité et réservé les matières nécessaires.

A la fin de la fabrication, les matières utilisées pour la réalisation sont automatiquement consommées par l’ERP dans les stocks.

Une fois la production terminée les produits finis sont transfères en stock et mis à disposition pour la livraison client.

Les livraisons dont tout les paramètres (transporteur, adresse livraison, adresse facturation, données logistique…) sont contenus dans l’ERP (modules : CRM, SCM, MRP) et utilisée automatiquement lors des mouvements produits comme de l’édition des documents (logistiques, commerciaux, comptables, financiers).

Section Vente

Section Comptabilité

Section Trésorerie

Processus

Fonction

Section Analytique

Section AchatProcess

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II- Les fonctions transversales intégrées Finance Comptabilité Gestion des ressources humaines

1- La gestion financière

La gestion financière intègre automatiquement toutes les opérations liées aux processus des ventes, de la production, des achats.

Elle produit de plus tous les états comptables et financiers réglementaires

Journaux : listes des enregistrements comptable d’un certain type (achats, ventes, stock…).

Bilan : document synthétisant à un moment donné ce que l’entreprise possède ainsi que les ressources.

compte de résultat : document synthétisant l’ensemble des charges et des produits.

comptes divers, déclaration de la TVA

La comptabilité de gestion permet de suivre en permanence les coûts, la rentabilité des différentes activités, des produits, des offres de l’entreprise.

Section Vente

Section Comptabilité

Process

Fonction

Section Production

Section Trésorerie

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Certains modules intégrés dans l’ERP permettent de gérer les investissements, les immobilisations voire des projets de manière autonome (planning, gestion des ressources, des coûts…).

Comme nous l’avons vu précédemment, tous les processus et fonctions de l’entreprise sont intégrés à la fonction finance.

La profitabilité comme la solvabilité sont sous contrôle.

Tous les éléments de coûts sont pris en compte (matières, temps, marges…).

2- La gestion des ressources humaines

Le niveau de gestion des ressources humaines dans l’ERP est à définir par l’entreprise :

Gestion administrative du personnel (présence, absence, masse salariale, paie…)

Gestion opérationnelle (rendement, performance, capacité…) Gestion des ressources humaines (formation, évaluation,

compétences, gestion de carrière…)

3- L’ERP pour une organisation intégrée

L’entreprise est une organisation hiérarchiquement définie dans l’ERP qui garantit la cohérence entre les informations à tous les niveaux de l’entreprise.

Les informations de plus haut niveau (direction) sont issues de l’agrégation automatique des informations produites par les niveaux inférieurs de l’organisation (mouvements de stock, consommations marchandises, déclarations de production, factures…).

Cette structure permet à la direction de consulter toutes les informations de l’entreprise en temps réel.

III- Fonction de communication :L’évolution récente des technologies ouvre les ERP à la

communication internet offrant des possibilités opérationnelles inédites.

Outre la communication inter organisation (entre magasins, usines, centres d’affaires…), inter entreprises (entre partenaires), l’ERP est au cœur de l’activité e-commerce.

29

Étude de cas : exemple de fonctionnement de l’ERP de la société LEAR TRIM AUTOMOTIVE MOROCCO

30

La société LEAR TRIM est une filiale du géant équipementier d’automobile Américain LEAR CORPORATION implantée au sein de la zone franche d’exportation de Tanger. Son domaine d’activité est la production des coiffes des sièges automobiles ainsi que des appuie-têtes.

Ce tableau montre tout le processus par lequel passe le bon de commande pour donner lieu à l’acte d’achat et par conséquence la facture.

En effet, au sein du service achat, la demande d’achat se transforme à un bon de commande qui sera signé par les quatre parties : le demandeur, le service achat, le département financier et la direction générale. Une fois le bon de commande est signé par toutes les parties, il est envoyé au fournisseur qui s’engage à livrer dans les délais exigés. La

31

livraison effective donne lieu à un bon de livraison qui doit être signé et cacheté par le magasinier (confirmation du bon état de la matière réceptionnée). En parallèle, le fournisseur dépose la facture au sein du service fournisseur.

Le rôle joué par l’ERP dans ce processus se résume comme suit : une fois le bon de commande est élaboré, la responsable d’achat saisit la référence ainsi que le détail sur le système, l’ERP affiche qu’un bon de commande en attente de signature est saisi. Une fois le bon de commande est signé par toutes les parties prenantes, la responsable d’achat confirme le bon sur le système et entre le délai de livraison. A la date de livraison saisie préalablement, l’ERP affiche un message d’alerte comme quoi la marchandise doit parvenir ce jour là. Après réception de la marchandise, le magasinier saisit sur le système la quantité et le détail de la marchandise livrée, l’ERP dans ce cas vérifie la conformité avec le bon de commande et affiche un message d’alerte au service comptabilité fournisseur comme quoi une entrée de stock doit être comptabilisée.

Après avoir reçu la commande du client, le planificateur de la production saisit la quantité commandée sur le système. Dans ce cas, l’ERP communique au responsable la matière première nécessaire pour produire –selon une nomenclature bien déterminée apriori-, sa disponibilité en stock, la capacité théorique de production, la disponibilité des ressources humaines ainsi que la disponibilité du produit fini en stock.

32

Problématique

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« Les PME Marocaines, sont-elles prêtes à adopter un outil (ERP) qui nécessite des investissements colossaux et qui impacte leurs systèmes organisationnels? »

L’origine de la problématique :

L’état des lieux des PME Marocaines   :

En effet, les PME Marocaines sont caractérisées par une centralisation des décisions, du fait que la quasi-totalité des décisions sont prises par le dirigeant, par une rigidité au changement, un manque des ressources financières et une asymétrie de l’information.

En contrepartie on constate que les ERP apportent une amélioration de la circulation de l’information et nécessitent des financements colossaux.

PME Marocaines

-Centralisation de la décision

-Rigidité au changement

-Manque de financement

-Asymétrie de l’information

34

I- Une standardisation des Processus :

La mise en place d’ERP peut être considérée comme un changement dans le système d’information et un changement dans le pilotage du processus du fait qu’elle s’accompagne d’une standardisation des processus pouvant s’appuyer sur un Benchmarking proposé par le logiciel.

En effet, la mise en place d’ERP nécessite l’intervention d’un intégrateur, cabinet de conseil, qui accompagne l’organisation dans les choix d’implantation d’ERP et qui propose sa propre méthodologie d’implantation du système (issue des meilleurs pratiques d’entreprises), raison pour laquelle les ERP sont considérés comme des approches génériques auxquels l’entreprise choisit toujours d’adapter ses processus.

En outre, cela peut fragiliser des sources essentielles d’avantage concurrentiel qui sont la capacité de différenciation des unités et de personnalisation des processus. Ce qui paraît défavorable pour les PME Marocaines vu le taux élevé de Mortalité.

II- Impacts organisationnels :

L’implantation de l’ERP entraîne un changement de la structure de l’entreprise, de sa culture, du comportement de ses acteurs, du processus de contrôle et la coordination des activités par la réorganisation des processus.

En effet, les dirigeants peuvent transformer leurs processus de prise de décision parce qu’ils disposent de plus d’informations sur la performance des produits et le portefeuille client.

En outre, le fournisseur de l’information devient responsable de son intégration dans le système et donc de sa fiabilité et sa rapidité de saisie. Cette disponibilité de l’information donne à tous les acteurs la possibilité de suivre les activités de leur collègue et leur résultat, qui peuvent conduire à une diminution de l’autonomie des acteurs.

Les ERP

Amélioration de la circulation des informations

Nécessitent des investissements

colossaux

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Conclusion Les changements de l’organisation du travail qui accompagnent

l’implantation d’un système de gestion intégré dans une entreprise varient d’une part en fonction de la structure des entreprises et des modes d’organisation du travail préexistant et, d’autre part, en fonction des stratégies de réorganisation poursuivies par la direction à travers le nouvel outil. Le changement est autant la marque du contexte que des caractéristiques de l’outil mis en place.

Si le défi organisationnel que constitue l’implantation d’un ERP est important dans le cas d’une PME dont les différents départements travaillent de manière très cloisonnée et qui se voit obligée, pour la première fois, d’identifier clairement ses processus et de les redéfinir selon la logique de cet outil.

ERP outils d’aide à la prise de décision : grâce aux outils de l’ERP, son fonctionnement permet à l’entreprise de disposer d’un ensemble des informations quantitatives et qualitatives qui permet aux décideurs de l’entreprise de prendre les décisions adéquates aux informations explorés ;

ERP outils pour l’audit et contrôle de gestion : selon la démarche de fonctionnement des modules de l’ERP, on a constaté que chaque processus exécuté est saisi dans l’ensemble des modules et fonctions du progiciel, ce qui facilite de juger sur la normalisation des dispositif des tâches pour le contrôle interne et pour la pratique de l’audit. De l’autre côté vue le développement des outils de contrôle de gestion qui se base sur la séparation des centres d’analyse aux activités et processus tel que la méthode ABC et ABM, l’ERP est considéré comme un système permettant de définir l’ensemble des activités introduit dans le cycle de production de biens et services ce qui permet de bien déterminer les coûts supportés ;

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Même si ces progiciels de gestion intégrés donnent plus ou moins une optimisation dans la gestion de l’entreprise et d’aboutir à une performance, mais Il est indéniable que les ERP renforcent une certaine taylorisation du travail qui continue à exister dans les entreprises et qui, parfois même, connaît un regain à travers l’informatisation et la rationalisation des procédures.

Tout d’abord, les ERP instaurent une standardisation des procédures et des données : c’est ainsi par exemple que les multinationales souhaitent imposer, à travers les ERP, la même façon de réaliser, opération par opération, tel ou tel processus opérationnel, à travers toutes leurs filiales.

Ensuite, ils prescrivent et enchaînent automatiquement les tâches de beaucoup de travailleurs qui, dès lors, ne peuvent s’écarter de la marche à suivre et différer une opération dans le temps, même si un événement imprévu surgit ou s’ils constatent qu’une autre façon de faire est plus efficiente.

Enfin, ils permettent un contrôle accru du travail de chacun et mettent en avant des critères de performances très partiels du travail tel que le nombre d’opérations de telle nature réalisées dans un certain laps de temps.

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Bibliographie   : Les ouvrages :Reix Robert (2000) : Systèmes d’information et management des

organisations, Vuibert, collection Gestion, 3ème édition, Paris

R.Reix, Systèmes d’information et management des organisations, Paris, Vuibert, 5éme  édition .2004

Le contrôle de gestion (organisation, outils et pratiques) DUNOD, 3éme Edition

BLONDEL François, « Bien gérer avec un ERP (Synergie entre Supply Chain, Production, Finance et RH) », édition 2007.

Le meilleur du DCG 1, « contrôle de gestion », 2eme édition, Sup Foucher.

Hélène Loning et al. « le contrôle de gestion, organisation et mise en œuvre », 2eme édition, DUNOD.

Articles et thèses :Articles et thèses :

COAPTIS, Cabinet de conseil français, « Les PME face aux ERP, Quels sont les principaux enjeux des projets ERP dans les PME ? ».

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Amel CHAABOUNI, Doctorante en système d’information, « implantation d’un ERP: antécédents et conséquences », Université de Savoie.

FIGUERES (2001), Quels effets organisationnels pour les ERP, Marie-Léandre GOMEZ, E.S.S.E.C. – ESADE.

Fleur-Anne Blain, Présentation générale des ERP et leur architecture modulaire

SFAXI Laila, Docteur en Informatique à l’INSAT

NORIGEON Philip, « Cours PGI/ERP »

Sites internet :www.ftp-developpez.com

www.tvhconsulting.fr

Table des Matières   : Sommaire----------------------------------------------------------------------------------------------------------- 4

Introduction-------------------------------------------------------------------------------------------------------- 5

Chapitre I : Généralité sur les ERP----------------------------------------------------------------------------6

Section I : Historique (historique de l’informatique entreprise)----------------------------------------------7

Section II : Définitions----------------------------------------------------------------------------------------------------9

Section III : Caractéristiques de l’ERP-------------------------------------------------------------------------------11

Chapitre II : L’Intérêt de l’ERP-------------------------------------------------------------------------------13

Section I : Avantages et limites de l’ERP :-------------------------------------------------------------------------14I- Les Avantages :--------------------------------------------------------------------------------------------------------------14II- Les Limites :------------------------------------------------------------------------------------------------------------------14

Section II : Les objectifs d’un ERP :----------------------------------------------------------------------------------15

Section III : L’utilité de la mise en place d’un ERP :-------------------------------------------------------------15

Chapitre III : Les Fonctions et Champs d’Application des ERP---------------------------------------17

Section I : Principe Général--------------------------------------------------------------------------------------------18I- Principe :----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------19II- Principe de Fonctionnement (Cube d’ERP) :-------------------------------------------------------------------------22

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Section II : Les fonctions de l’ERP :----------------------------------------------------------------------------------23I- Fonctions Principales :-----------------------------------------------------------------------------------------------------23

1- Fonction d’Achat et d’Approvisionnement :---------------------------------------------------------------------232- La gestion Commerciale :---------------------------------------------------------------------------------------------243- La gestion de la production :-----------------------------------------------------------------------------------------25

II- Les fonctions transversales intégrées---------------------------------------------------------------------------------261- La gestion financière---------------------------------------------------------------------------------------------------262- La gestion des ressources humaines-------------------------------------------------------------------------------273- L’ERP pour une organisation intégrée-----------------------------------------------------------------------------27

III- Fonction de communication :-------------------------------------------------------------------------------------------27

Étude de cas : exemple de fonctionnement de l’ERP de la société LEAR TRIM AUTOMOTIVE MOROCCO-------------------------------------------------------------------------------------------------------- 28

Problématique--------------------------------------------------------------------------------------------------- 31

L’origine de la problématique :--------------------------------------------------------------------------------------32I- Une standardisation des Processus :-----------------------------------------------------------------------------------32II- Impacts organisationnels :-----------------------------------------------------------------------------------------------33

Conclusion-------------------------------------------------------------------------------------------------------- 34

Bibliographie :--------------------------------------------------------------------------------------------------- 36

Table des Matières :-------------------------------------------------------------------------------------------- 37