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Prune Again - Tome 3 - ekladata.comekladata.com/WLSdgLB-qckmf-P6xwdwBxpxqO0/Prune... · Elle devine mes plans et revêt un masque d’assurance. Je lui pique sa clope au passage et

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TwinyB.

PruneAgain

Épisode3

NishaEditions

Nisha’sSecret

Copyrightcouverture:AndreyKiselevISBN978-2-37413-274-7

Rejoignez-nouspourpartagerinformations,newsetparticiperànosjeuxconcours

@NishaEditions

NishaÉditions&TwinyB.

www.nishaeditions.com&www.nishassecret.com

TABLEDESMATIERES

Présentation

Épisode3

Àparaître

Épisode3

Mevoilàdansunefiled'attenteàmelespeler.Toutcelaparcequej'aivoulusatisfairemameilleureamie.Tropconcentréesurmesexamens,jel'aiparfoisdélaissée.J'aifiniparcéderàsademandepoursortirentre filles.Lapauvre.Cesderniers temps,niveauamitié, jen'aipasassuré.D'unautrecôté,çapeut m'être bénéfique de lever le nez de mes bouquins, sinon je vais finir par me transformer enprofesseurfou,àlaEinstein.Leseulen-casquejemesuisoffertestLogan,monvoisintorride.Besoindechair fraîche ! Nos « rendez-vous » deviennent trop réguliers. J'ai besoin de mettre un frein à notrerelation.

–Donne-moidufeu,quémandeLilly.–Toi,tunepensesqu'àtespoumons,maparole!pesté-je.

Jeglissemamaindanslapochearrièredemamicrojupe.Jel'adorepourchasser,maisjevaisfinirpartombermaladetantelleestcourte.Sérieusement,dixplombesqu'onattend,qu'est-cequ'ilsfoutent?

–C'estquoi,cetrouàrat?–Zenmapatcholed'amour, il est trèsenvogueencemomentet remplidesplusbeauxmâlesde la

ville,sourit-elle,excitée.

Jelèvelesyeuxaucieletdansed'unpiedsurl'autreententantdemeréchaufferunpeu.Monattentionest attiréepar lesvoitures s'arrêtant à tourde rôledevant l'entrée.Apparemment, certainsentrent sansdifficulté.Jamaisjen'aieuàattendreainsienFrance:jecomptebienhonorermaréputation.Lavuesurma poitrine est cruciale pour ferrer le poisson. Je n’hésite pas à la mettre en avant pour entrer plusrapidement.

–Tuvaschoperlamort,çanevapas?–Lilly,tuasbienvumatête?Jenerestepasuneminutedeplusàpatienter.

Je coulisse sa fermeture Éclair et remonte son bonnet généreux. Elle devinemes plans et revêt unmasque d’assurance. Je lui pique sa clope au passage et me faufile sous la corde rouge. Roulementsensueldeshanches:jedépasselafoulecommesic'étaitunehabitude.Troisvideursgardentl'entrée.Lepremier,chauve,estàlalimitedelaretraite.Lesdeuxautresontdéjàunâgeplusraisonnable,maisn'ontpasl'airfuté–surtoutleblond.Hochementdumentonàl’intentiondemacomplicepourleluiindiquer.Moi,j'attaquelebrun.Facesàeux,nousdégainonsnotreplusbeausourire.J'aguiche,sentantlesexeàpleinnez.Vuleurattitude,nousnelambineronspaslongtemps.–Bonsoirmesdemoiselles,lancent-ilsenchœur.

Unpasverslegranddadais.Légèrecaressesurl'avant-bras.

– Salut, beau brun. Nous sommes attendues, mais j'espère que vous trouverez le temps de nousrejoindre.

Lesdeuxhommesseregardent.LeblondestvitechambouléparlesronronnementsdemaLilly.Elleestforte,trèsforte.Toutypasse:languesurlalèvre,dentsplantéesdanslachair,cambruredelacroupe...Moinsdecinqminutesetlesportesduclubnoussontouvertes.Nousleuraccordonsunpetitbaisersurlajoue.Leduosemontrerasûrementutilepouruneautresoirée.

Petit passage au vestiaire pour laisser nos vestes,mais je gardemon smartphone. Le son pulse, lamusique est entraînante et je ne peux empêcher mes fesses de remuer. Nous pénétrons dans la salleprincipaleetsommesimpressionnéespar lemondequis'y trouve.TelsdeuxagentsduFBIenmission,nousdécryptonschaqueproiecomestible.

–Ohputain,luij'enferaibienmondessert,soupiremaLilly.

Jetentedesuivresonregardmais,malgrémestalons,jesuisloinderessembleràMichaelJordan.–Àdeuxheuressurladroite,chemiseblanche.

Jescannechaquetypecorrespondantàladescriptiondanslazoneindiquée,maisrien.

–Tuasbuentraîtreouj'aibesoindelunettes,m'exclamé-je.–Ons'approcheraplustard,d'abordonpicole!

Samainme tire vers la piste de danse.Au bar, elle commande des shots. Le son est plutôt bon etentêtant.J'aibesoindemadosed'alcoolpourm'évader le tempsd'unesoirée.Lillyse tourneversmoitoutsourire:mesyeuxseposentsurlesverres.

–Tequila?Sérieusement?–Vunosfinances,onnevapasjouerlesdifficiles,annonce-t-elle.

Jegrimace,carc'estloind'êtremonchoixdeprédilection.D'unautrecôté,lesfacturesvonttomberetjen'aipasnonplusenvied'appelermasorcièredegénitrice.

–Allez,Prune,justepoursemettredansl'ambiance.

Samoueboudeusearaisondemoi.Commentrefuserquelquechoseàmadépravéepréférée?Jesaisisunshotenscandant,leverrelevé:

–TÉ-QUI-LA!

Nousenenchaînonssixchacune,aveclecitronetlecoupdelanguesurlesel.Chaquegorgéenousvoledesgrimaces,monsangcrépitedivinement.L'enviededanserdevientdeplusenplusforte.Jem'emparedemonmobileoùunmessageduRosbeefvientd’apparaître.

Conrad:[Plutôtsexylebustier,Blondie.]

Immédiatement,jesurvoleleclubduregardàlarecherchedel'émetteur,rageuse.Blondie.Jedétestecesurnom.Ilvamelepayer,l’enfoiré.JemefrotteàLilly,rameutantquelquesaffamés.Lachaleurmonte,l'alcoolycontribuant.Mameilleureamieondulecontremoi,lesmainsenl'air,bercéeparletempo.Nosdéhanchements provoquants attirent quelques chieurs, que nous évitons grâce à notre arme ultime detranquillité.J'attrapeseslèvrespulpeuses,lessavoure.Salanguevients'entortillerautourdelamienne.Mêmesielleestmonamie,monexcitationseréveille.

Enfinlapaix.

Nousnousdéplaçons,acceptonsquelquesverresquinoussontofferts.Lilly, toujourspresséecontremoi,danseavecun typeplutôtpasmal.Délicieuxsandwich improvisé.Son regardbleuélectriquemefixe,tandisqu’ils'excitesurmacolocataire.Monportablevibreànouveau.J'extirpelecoupableetlislemessage,laissantmonbinômeravagerlecerveaudesavictime.

Conrad:[Appétissantetonamie,Blondie.]

C'enestassez.Ilnemelesbriserapaslongtemps,cecon!Jetapefrénétiquementuneréponse:

Prune:[Aulieudem'emmerder,dis-le-luitoi-même!Jenesuispastonmessager!]

Jereprendsladanseavecmachaudassedemeilleureamiequiembraseledancefloor.Nousdécidonsdemontersurlesénormesenceintes,maisc’estdifficileavecmasatanéemicrojupe.J'adresseunsouriredecirconstanceàungaminboutonneuxnonloindelà.Sûrementunpuceau,vulatêtequ'iltirelorsquejeluidemanded’unepetitevoixcharmeuse:

–Tupeuxm'aideràgrimper?

Levoirpresquetremblerensaisissantmataillem'amusepasmal.Unefoisenhauteur,jem'approchedemaLilly.

–Jesuissûrequ'ilestvenuquandsamainaglissésurmoncul,l'informé-je.

Nouséclatonsderireetnoustrémoussonsdemanièresensuelle.Lesvibrationsdesbassesfontpulserlesbattementsdemoncœur,commesij'étaispossédéeparlamusique.C'estagréable.Jen’imaginemêmepasl'effetlorsqu'ondoitbaiserdessus.

Unegrandemainpuissanteremontelelongdemajambe.Unfrissonmeparcourtmais,parprincipe,jelanceuncoupdetalon…intercepté.Jepivote.Unregard.LEregardquim'adéjàconquisemefixe.Jepeuxylireledésirquiassombritlevertémeraudedesesprunelles.

–JalousemaBlondie?–Vatefairefoutre,craché-je.

Luioffrantmondos,jedanseavecmameilleureamie.Puisjedécided'offrirunspectacleàcemauditAnglais.Lillyaleregardfiévreux,l'alcoollaconsumeautantquesonenviedesexe.Jefrottemajambeentrelessiennes,nosfrontsappuyésl'uncontrel'autre.Samaindroitetrouvemacuisse,lagauchesurmanuque.Un léger rictusetelledevinemonplan.Sabouchesavoure lamienneetmesdoigts longentsesformes voluptueuses. Jeu de langue assez voyant, coupd'œil :Conradm'offre un sourire à fossette. Ilaimeça,l'enfoiré!Merde!

L'arroseurarrosé.Ilaenviedevousdeux,imbécile!

J'enfoncemontalondansl'œildeDameConscience.Paslapeinedemerappelercequejesaisdéjà.Au moment où Lilly le remarque, ses yeux s'écarquillent et ses dents viennent malmener mon lobe.Murmure.

–C'estdeluidontjeteparlaisenarrivant.

Jemefigesanssavoirquerépondre.Jel'aidéjàenchasse.Engénéral,nousn'avonsjamaislamêmeproie.Jeluiexpliquequ'ilestletypeàlacapuchequejegardaisaufrais.

–Merde!Etsi...propose-t-ellesuruncoupdetête.–Tuessérieuse?

Haussement d'épaules. Je regarde l’homme torride à souhait, puis accepte l’idée de Lilly. Conradm'aideàdescendrelorsquej'approche.Commentproposeruntrucpareilàungarsquetuneconnaispas?

Putain...

Jedanseaveclui,doscontresontorse,mainsenappuisursescuissesfermes.Sonparfumdélicieux,musquéetboisé,m'envahit.Meslèvresenserrentlapailledesonverre.Jesuissurpriseduliquidequicoulebientôtdansmagorge:vodka!

–Peut-êtretropfortpourtoi,Blondie,susurre-t-il.

Jemetourneetempoignesesbijoux.Mabouchetrouvesoncou.

–Appelle-moiBlondieencoreunefoisetmacopinerentreavecmoi.

Jeplongedanslacouleurenvoûtantedesonregardetfrémisausourirequisedessinesursonvisageparfait.

–Tumontreslesgriffes?J'adore.

Lilly nous rejoint dans une danse à trois. Je repère la bosse qui déforme déjà le jean de Conrad.Appétissant.

–Onferaitmieuxd'yaller,lesfilles.

Ilposesonverrepourprendrenosmains.Jesuisétonnéedenousvoiravanceràl'opposédelasortie.Jefroncelessourcils,maisLillyesttellementbienqu'ellenecessedesourireniaisement.L’hommeouvreuneportequinousmènedansuncouloir.

C'estunpsychopathequivavoussaucissonnercommedeuxpetitescochonnes…

LargagedemissiledanslatronchedeDameConscience.Nil'heure,nil’endroitpourqu'ellel'ouvre.Celadit,ellen'apastort.J'aibuautantquemonamie,mêmesij'ail'aird'avoirlatêtesurlesépaules.Quoique.Aussitôt,jetangue,retenueinextremisparlesbraspuissantsdeConrad.

–Neteblessepasavantqu'onaitjoué,latigresse,s'amuse-il.

Jemereprendsetlerepousse.Mesyeuxanalysentlelieuoùnousnoussituons.Lumièrestamisées,pasunchat,maislesbassesquipulsenttoujours.

–Jepeuxsavoiroùonva?–Chezmoi,c'esttoutproche

Savoixestrauque,sarespirationplusgrave.Ilestexcité.Lesourirequ'ilm'offrem'embrasedeplusbel.Unhochementdetête,ilentrelacenosdoigtsetembrassemapaumeavantdereprendrenotrechemin.Lilly glousse avec lui. Je souris devant les yeux affamés qu'ellem'adresse dans son dos. J'ai une vuedirectesursonpetitculd'Anglaisengoncédanssonjean.Miam.

Nousnousengouffronsdansl’ascenseur.

–Nemedispasquetuconnaisunbaisodromespécial?

Sonrires'ajouteauxnôtres.Nousarrivonsenfinàdestination.Lagalanterieestaurendez-vous,ilnouslaissepasserdevantlui.Lillyglissesamaindanslamienne.Noussommestouteslesdeuxsubjuguéesparleslieux:unloftimmensealliantunstyleancienàuneambiancecontemporaine.J'adorelesfresquesquiornentleplafond.Leparquetfoncéagrémenteparfaitementlelogementàl'atmosphèrechaleureuse.Rarepourunhomme.L'immensitédeslieuxassociéeàlaqualitépuelefric.

–Putaindemerde!scandeLilly.

Mesdoigtsfrôlentlecuirnoirdel'immensecanapéd'angle.Unemusiquedouceenvahitlapièce,lesluminaireséclairantlestrictnécessaire.Jepivoteversl’Anglais,medemandecommentlepetitconquej'aicroisédanslaruepeutposséderunendroitpareil.

-Duvin?Vodka?propose-t-il.-Vodka!répondons-nousenchœur.

Jeresteàdistanceraisonnableetanalysecetétrangespécimennousservir.Lillysehissesurlemarbreduplandetravaildelacuisine, luivolantunbaiser langoureuxpour leremercier.Tandisqu’ilavancedansmadirectionteluntigresursaproie, jetentedeparaîtrelaplusimpassiblepossible.Jesaisisleverre et le porte àmes lèvres. La fraîcheur du liquide, suivie de près par sa brûlure, s'étend surmalangue.

–C'estréellementcheztoi?–J'aihéritéetinvesti.

Messourcilssefroncentausouvenirdelablaguestupidequ'ilm'asortilorsdenotrerencontre.Est-cevrai ? Ses parents seraient décédés ?La chaleur de son corpsme perturbe et d'autant plus quand seslèvreseffleurentmonoreille.Sonsouffleprovoqueunfrissondesplusdélicieuxlelongdemacolonnevertébrale.

–Turéfléchistrop,tigresse,viens...

Sesdoigtsserefermentsurmonpoignet,puismemèneverslecoinsalon.Ils'installesurlecuirfroidetmereluqued'unemanièreàmerendrefolle.

–Dansezpourmoi,lesfilles!ordonne-t-il.

Jem'apprête à l'envoyer chier,maismon amieme prend de court en se frottant àmoi.Mon regardassassinl'amuse,maisjejouelejeu.Nousl'avonssuivipouruneseulechose,autantmettreenpratique.

Je finis mon verre d'un trait. L'embrasement provoqué par l'alcool me réchauffe jusque dans mesextrémités.

JerouledeshancheslaissantmaLillynaviguersurmescourbes.Ellemecontourne,luilanceunregardjoueuravantdepresserseslèvrescontrelesmiennes.Cebaisergourmandmefait toutoublier.Jejoueaveclafermeturedesonhauteteffleurelerenflementdesesseins.Lorsqu'ellegémit,jesuçotesalanguepourqu'elleenperde la tête, toujoursen rythmeavec lamusique. Je remarqueque lamaindeConradcaressesabraguette:j'accentuechacundemesgestes.

–Lilly,déshabille-la!

S'il croit queme retrouver nueme dérangera, il semet le doigt dans l'œil. Sans baisser le regard,j'enfoncemesdentsdansmalèvrepourl'allumer.Nousnoustoisons.Lamouecraquantedemonamiemevoleunsourire.Elletiresurlelaçagesatinédemondécolleté,endouceur,commesinousavionsfaitçatoutenotrevie.Ledésirardentquis'emparedesesprunellesestletrophéedenotrepetitjeu.Monbustiers'ouvre,elleletireverslebaspourmeleretirer.

–Jereviens...annoncé-jeenm'éclipsant.

Le regard de notre hôte irradiemondos tandis que j’attrape la bouteille de vodka. Je profite de lapetite danse privée que lui offre Lilly pour retirer mes talons et soulager mes pauvres pieds. Je lesrejoins,legoulotauborddeslèvres.Jem'enivrepourmedonnerlaforcedepartagermonnouveaujouet.Cen'estpasdansmeshabitudes,nousnel'avonsfaitqu'uneseulefois.

Jem'approched'eux.LillycontinuedesefrottercontrelabossequidéformelepantalondeConrad.Mamainpassesursachemisepourendéfairelesboutons.Sesdoigtseffleurentmesseins;j'enfrisonne.J'aienviedelecontemplermoiaussi,alorsunefoissonhautouvert,jeluiimpose:

–Retire-la!

Il se redresse et se débarrasse du tissu blanc. J'ai une vue imprenable sur son torse parfaitementsculpté.Jenepeuxempêchermesdoigtsdepianoterdessus,commesichacundesesabdominauxétaientunetouchedepiano...Cecanapéadûenvoir,despartiesdebaises!

–Çateplaît?

Nosyeux se captent : combustion entre nous. Je dansepour lui, sesmains surmes jambes sont descaressesdivines.L'ourletdemajuperemonte,monsouffledevientplusrare.

–Vousêtessublimestouteslesdeux...

Lillys'assiedsurlatablebasseverniedeblancets'emparedelabouteille.Puisellesedévêtprèsdemoi,mevolantdetempsentempsquelquesbaisersmouillés.Jechevauchel’Anglais,saqueuepressantma fente moite. Il embrasse ma poitrine en l’empoignant fermement. J'ondule, bascule la tête poursavourerlabouchedemameilleureamie.Lemélangedesensationsmetournelatête.C'estdivin!Lillydansederrièremoi,savourelapeaudemoncou.Jesuisàlamercideleursassauts.Monsoutien-gorgedisparaît,lesdentsdeConradtorturentlapointedresséedemontétonavantqueseslèvresl'aspirentpourl'apaiser.Lesgrondementsdemonamantmeliquéfient.Lillypossèdesaboucheàsontour.Jelaguidepourqu'elleprenneplacesursesgenoux,m’éloignantquelquessecondes.

Jemeséparedemajupeinutileetcontournelecanapépourattaquerlanuquedenotreproie.Jetorturelapeaudesonépaule,malmènesonoreilleetgriffesontorse.MaLillys'attaqueàsonjeans,reculepourlaisserlabêtesortirduboxer.

–Hum...Jackpot!s'enthousiasme-t-elle.

J'admirecephallusdesplusgénéreux.Putain!Jemelanguisdéjàdelesentirenmoi.

–Ondiraitquetun'aspasqueleloftd'immense,constaté-jeamusée.–Lataillenecomptepas,lesfilles,contrairementàlafaçondontons'ensert.

Jemepenchesurlui,malanguecourtdesontétonàsamâchoire,quejemordille.

–Est-ceunepromesse?–Justeuneaffirmation...

Sonpetitairinsolentauraittendanceàmetapersurlesystème,maislà...Jecomptebienlebaiser.

C'estplutôtluiquivavousbaiser!

J'enfourneunsalamidanslabouchedemaconsciencepourqu'ellefermesagrandegueule.Quoique,cen'estpeut-êtrepasdanslabouchequej'auraisdûleluimettre...

–Allonge-toi,DonJuan,indiqueLilly.

Elleledébarrassedupeudetissuquidissimulesoncorpsd'athlète.Jenesaispass’ilestlefruitdeplusieurs années de sport ou s’il est un don de mère nature, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Jem'abreuvedepoisonalcoolisélorsqu’iltendsamainversmoi.

–Viensparici!Jeveuxtegoûter.

Unregardversmacomplice:ellelorgnecetteénormequeue.Lorsqueseslèvresjouentenfinsursongland,ellemedonneenvied'ygoûteraussi.Au-dessusdelui,cuissesdechaquecôtédesatête,mafentehumidevientàlarencontredesalangue.

–Bordel,tuessacrémentexcitée,seréjouit-il.

Je bascule à quatre pattes, profitant de ce soixante-neuf pour embrasser ma Lilly. Nous plongeonstouteslesdeuxverscettehampeimpressionnante.Jelacaressesurtoutesalongueur,tandisqueLillylacajoleetjoueavecsesbourses.Ilgrognecontremachatte,écartemesfessespouravoirunmeilleuraccèsàmanymphe.Conradsouffledoucementdessus.Jefermelesyeuxpoursavourercettesensationnouvelle,salanguetaquineetpeupresséeaccentuantmonsupplice.

–Tumebouffes,bordel?soupiré-je.

Son rire silencieux accentue les vibrations contremon sexe. Ilmedévore commeon savourerait unbonbon,mélangedebaisersetdecoupsdelangue.

–Tuesdélicieuse...Ettonodeur,bonsang!

Jesourisetreplongem'occuperdelui.JejouedemalangueensynchronieavecLilly.Jegémisentredeuxsouffles,lebrasierquisommeillaitenmois'éveillesoussesattentions.Mesmusclessecontractentquandils'acharnesurmonclitorisdelaplusexquisemanière.Sesdentsserefermentdessus,illesuce,letorture.Jemeredresse,prochedeladélivrance.

–C'estçamatigresse,laisse-toialler.

Undoigtmepénètre,puisdeux,pressantcetendroitmagiquequimefaitvoirdesétoiles.J'enfoncemesonglesdanslesmusclesdesonventre,tentederemuermeshanches,maisilmemaintient.

–Oui...Là!lâché-je.

Mes cuisses tremblent,ma gorge s'assèche tellementma respiration est entrecoupée. Je gémis et labouchedeLillyfondsurlamienne,laissantdelavodkasedéverserlelongdemagorge.Laqueuedanssa main, Lilly frotte l'extrémité de son membre contre sa fente avide. J'embrasse ses seins. Noscouinementsserépondent,mélangésauxrâlesdeConradentremescuisses.

–Putain...Oui...Oh...

J'exploseautourdesesdoigts,contreseslèvresetmatêteenvoitdetouteslescouleurs.Jesensunepression surmes fesses,maisLilly, tropgourmande,dérouledéjàunpréservatif sur labête afinde lachevaucher.Unsoupirluiéchappelorsqu’elleondulefaceàmoi.Conradjure,levisagetoujourscontre

machattepalpitante.J'admirelafusiondeleurssexesaugrédesmouvementsdemaLilly.

Jemeretireetmepositionnederrièreelle,mamaindroiteempoignantl’undesesseins.J'enpincelebout,lepalpe,pendantquemamaingauches'aventureverssonclitoris.Jelacaresseetellebasculesatêtecontremonépaule.JefixeConradquiadmirelespectacle,observesesmusclesroulersoussapeau,secontracterd'unefaçonsexy.

Putain,c'estsiérotique!

–Prune,bordel...Hum…gémitLilly.–Tuaimescequeteprocuremamain,machérie?–Tamain...Saqueue...

Voirmameilleureamieànotremerciestpresqueaussiexcitantqued'êtrebaisée.Presque.Carriendemieuxquedesesentircomblée.

Mesyeuxs'aventurentdanslajunglesombreaucœurdesprunellesdenotrebelamant.Jepeuxdécelerdudésir,maiségalementautrechose.

–JevaisjouirPrune,murmureLilly.

Soncorpstremblecontremonbuste.Elleserresamâchoiresifortqu'unmuscletressautesursajoue.Jecajolesonclitoris.

–OUI!jouit-elle.

Ellesecambre,secouéeparlavagueorgasmiquequilatraverse.Elleenfoncesesdoigtsàl'arrièredemacuisse,commesiellesesentaitpartir.J'embrassesatempeenprésentantmesdoigtsrecouvertsdesonplaisirauxbonssoinsdesalangue.ElleseretireetConradselève.Mamainsursontorsel’arrête,carnousn'enn'avonsclairementpasfini.

–Tucomptesalleroùcommeça?–T'inquiètematigresse,jeveuxmeplongerentoi.Assieds-toiaubordducanapé!m'ordonne-t-il.

Le tonqu'il emploienem'agacepas commed'habitude.Aucontraire, ilm'excite.Lillym'enivreunenouvellefoisetm'embrasse.Sesjouesrosesetsesyeuxfiévreuxtémoignentdesonétat:elleestencoretotalementbouleverséeparsonpetitaparté.

Conradempoignemeshanchesetmetirebrusquementverslui.Jedécèledanssonregardunmessage,commesinouspassionsauxchoses sérieuses.Son sexe longema fente, tourmentemonclitoris encore

gorgéd'excitation.

–NebaissepasleregardPrune,jeveuxquetumevoiestebaiser!

Hypnotisée?Captivée?Jenesaispasréellement,maisjecimentemesyeuxauxsiens.Ilmepénètreviolemmentd'uncoupderein.

–Oh!

Sespremiersmouvementssont lents,sonphallusécarte lamoindreparcelledemeschairs.Jemordsma lèvre, électrisée deme sentir possédée de cettemanière. J'ai envie de fermer les yeuxmais, parprincipe,jenelelâcheraipasduregard.

Ma meilleure amie se penche pour ravir mon clitoris. Les coups de boutoirs font claquer nosépidermes.Cesonrésonneautourdenous,marespirationsehachecommesichaqueassautmecoupaitlesouffle.

Impossibledebouger,jesuisàlamercidecesdeuxpoètesdusexe.

Conradpénètreautantmachattequemonregard,commesinousn’étionsplusquetouslesdeux.Plusrien n'a d'importance autour demoi.Une boule de feu gonfle au creux demon ventre. Les pulsationscognentcontremestempes.Jamaisdemaviejen'airessentiça.

–Là...Encore...Oui...

Seulement,ilralentit,embrasseLillyenmereluquant.Jesuissiprochedejouir!L'enviedelefrappermegagnetantjesuisfrustrée.Ilcaresseetdoigtemonamiequisetrémoussesursamain.

–Non,maissérieux?Vousvousfoutezdemoi?

Leurssouriresm'énerventd'autantplus.Commes'ilsétaientcomplices!J'essaiederemuer,maisavecunequeuedecettetailleentremespetiteslèvresetsamainlargesurmahanche…Impossible.

Jem'apprêteàleurgueuleruneflopéed'insulte,maisleretourdel’attentiondeConradm’enempêche.Sesva-et-vientreprennentendouceur.Ilveutmamort?Jeremarquetoutefoisqu'ilcontinuedestimulerLilly,quiaégalementreprislestorturessurmonclitoris.

–Mesyeux,tigresse!–Tusaisoùtu...Jet'emme...Ha!

Jedétestesonpetitsouriresatisfaitdemecouperlesiffletàchacundesescoupsdebutoir.Monregardcolériquenel'effraiepas.Ilaccentuesadanse.LalanguedivinedeLillydescendlorsqu'ilralentitpours'aventurerprèsdemabouche.

–Putain...Lilly...Conr...Oui!

Irréalisable de communiquer autrement qu'avec mon corps. Je me sens aspirée par le désir. Lillycontinuesesprouesses:jesuisàdeuxdoigtsdeperdrepied.

–Ouiii!

J'exploseenunmillierdeparticules,maisleplaisirnes'arrêtepaslà.Commentest-cepossible?Lesyeuxpresquenoirs, il jouitenquelquescoupsde reins,puisse retiresanscesserdestimulermonpointsensible.

–Lilly,empêche-ladebouger!somme-t-il.

Ellesepressecontremonbassinenmerassurant.Sansprévenir,quelquechosesedéchireenmoietjaillitdemanymphe.

–OH,MON,DIEU!m'écris-je.

Un second orgasme prend possession de moi, me dévastant. Je suis totalement à l'ouest. Conradembrasse mon corps et s'approche près de mon visage. Je n'ai plus la force de protester, maisheureusement,Lillyintervient.

–Passurlabouche,monmignon!

Ilm'embrasseauxcoinsdeslèvres,caressantmescheveux.

–Tuasétéexceptionnelle,matigresse.

Ils'envalorsquemonamiem'aideàmerelever.J'arrangeunpeumacoiffuresoussesyeuxécarquillés.

–Quoi?J'aiunboutonsurlepif?–Nonmamoute,c’estjustequejenetesavaispasfemmefontaine,semoque-t-elle.

JefroncelessourcilsalorsqueleConradrevientencaleçon,uneservietteàlamain.Sadémarchedepetit insolentsatisfaitm'énerve intérieurement,mais je restebloquéesur la révélationdeLilly.Elleserhabilleetjenetardepasàl'imiter,m'emparantauparavantd'unegorgéedevodka.Jejetteletissuéponge

ausol,unpeuhonteuse.Femmefontaine?Jamais!Comment?

Vucommeilt'abaisée,iladestalentscachés.Tudevraislegardersouslecoude.

J'enfonce la serviette souillée dans la gorgedeDameConscience afin de lui éviter deproférer desconneries.Jenedoispasrevoircemec,ilestflippant!Tropexpérimentéouayanttropledessussurmoi.Celanemeplaîtpas.

Unefoismatenueaucomplet,j'entendsLillyrireavecluidanslacuisine.J'espèrequ'ellenevapasmesortirquec'est l'hommedesavie.Clairement,ceserait lamerde.Unmecquicoucheavecdeuxnanasn'estpasencoreprêtàsecaser.

–Onyva,madinde?–Ehlatigresse,jenevousmetspasdehors.Pose-toiunpeu.

Eneffet,jesuisencoreperturbéeparcequ'ilvientdesepasser.Jamaisunhommen'aeuledessussurmoimais, lui,pourraityarriver.DANGER.Voilàceque je lisdanssesyeux.Jepique laclopedemameilleureamieetrestesilencieuse.

Conradseplantedevantmoime forçantà levermesyeux. Je lui souffle la fuméeaunez, justepourl'emmerder.

–C'étaittapremièrefois,mabelle?Tuasaimé,non?–Pourquoinier?Tum'assentijouir.Paslapeined'enfaireunplat.

MamoutedelaCôted'Azurappuiesa têtecontremonépaule.Ellesaitquejesuisperturbéeparcequ'ilvientdesepasser.

–C'étaittopConrad,maisnousallonsrentrerjepense,luiexpose-t-elle.–Auplaisirdevousrevoirlesfilles,mêmejusteauclub!

Jenepipemot,justeunpetitsourire,etnousnousdirigeonsverslasortie.Cettefois,nouspassonsparlaported'entréenousconduisantdanslaruellequibordeleclub.Lillyembrassele«danger»duboutdeslèvres.Aumomentoùjem'apprêteàlasuivre,ilmeretientparlepoignet.Saboucheeffleuremoncou,jefrissonne.

–Prune,tureviensquandtuveux,tuasmonnuméro.

Jemepermetsdeletoiser.Luiglisseunemèchedecheveuxderrièremonoreilleetpoursuit:

–Viensmevoir,seule...

Çacraint.Ilfautquejeleremetteenplace,mêmesil'enviedelepousseràl'intérieuretdeledévorermeronge.

–Écoute,c'étaitbiensympatoutça,maisjen'aipaspourhabitudedebaiserdeuxfoisdesuiteaveclemêmemec.

Unpetitsourireinsolentnaîtsurseslèvres.L'envieirrépressibledeluiclaquerlebeignetmedémangelamain.Ilmelâche,maisprononceunedernièrephrase.

-Tu peuxmontrer les crocs,ma tigresse, nous deux savons très bien que c'était beaucoup plus que«sympa».

JerejoinsLillyetglissemonbrassouslesien.Nousmarchonsensilenceet,denouveau,jeluipiqueunecigarette.Mameilleureamieseraclesagorgeaumomentoùnousrejoignonsenfinl'appartement.

–Turegrettes?T'esbizarre...

Merde!Maintenantellecroitquejeluienveuxpourleplanàtroisouunmerdierdanslestyle.

–C'étaitsuper,tuplaisantes?J'aijustetropdefiertépourledireàcecon!Ilesttropprétentieux.

SonsourireColgateréapparaîtetnousgrimponslesmarches.Dubruitprovientdechezlesvoisins,ilsdoiventfairelafête.Aumomentoùnousrentrons,laported'àcôtés’ouvreégalement.JetombenezànezavecLogan,accompagnéd'unepouffiasse.Jenesuispasjalouse,maisdesavoirqu'iltrempesonbiscuitailleursmedégoûte.

Tuviensdet'envoyerenl'airavecunquasi-inconnuettameilleureamie.Tunevaspasluichierdescoconutstoutdemême!

Je balance une pluie de noix de coco à la tronche de ma conne de conscience. Un silence pesantenveloppelepalier.MaLillyréagitenfinennemevoyantpasavancer,etcomprendtoutdesuitecequ'ilsepasse.

–Quelconnard!Çavalavie?Mameilleureamienetesuffitpas?

Jeglousseetlapousseàl'intérieur.Undernierregardversmonvoisinquigrimace:

–Poupée...Je...

– Ne te tracasse pas l'oignon Casanova, tu as le droit de baiser d'autres nanas. Seulement, je nepasseraiplusaprèscelle-là.Jesuissûrequ'elleadesMST!

Je claque la porte avant qu'il neme réponde quoi que ce soit.Mes chaussures abandonnées, jemelaissetombersurlecanapé.J'entendsuneengueuladedanslecouloiretcelamesatisfait.Lillys'écrouleàmescôtésetsepelotonnecontremoi.

–Quelenfoiré...bougonne-t-elle.–Çava,mamoute,jem'entape.–Quandmême,qu'ilnelefassepasdevanttoi!Enattendant,tuasbienfoutulamerde,pouffe-t-elle.

Nous rigolons en chœur, lorsquemon smartphone sonne. Je rampe jusqu'à mon fourre-tout etl'extirpe.

Conrad:[Jevaism'endormirencompagniedetonodeurenvoûtante...Bonnenuitmatigresse.]

Je frissonne. Une grimace déforme mes traits lorsque je présente le message à mon amie. Elle seredresseetboudecommeunegamine.Jeglissemesjambessousmesfessespourlacâliner.

–Qu'est-cequ'ilya,masaucisse?–Ilneparlemêmepasdemoi,pourtantjepensaisqu'uneconnexions’étaitétablie.

Jelacajoleenriantsilencieusement.SacréeLilly!Pourquoine-suisjepasétonnéedesavoirqu'ellevoyait en lui un prince potentiel ? Il a le château, le compte en banque et la gueule,mais cela cachesouventuntruc.DANGER.Legenredemecque,personnellement,j'évitederevoir.

–Prendssonnumérosituveux,jetelelaisse,larassuré-je.–Non,c'estluiquimeledonnera.Enplus,ilauntalentsûr.Quellequeue!–J'avouequec'étaitbon.–Allez,jevaismedoucheretaudodo.Jet'aime,mamoutefontaine...

Jefrappesonbrasetnousgloussonscommedespintades.Ellesedandineensedéshabillantjusqu'àlasalledebain.Monmobilevibreencore.

Logan:[Onpeutparlers'ilteplaît,poupée?]

Je soupire.Qu'est-ce qu'il veut ?C'était clair entre nous et puis, ça devenait trop bizarre. Ilméritequandmêmeuneréponse.

Prune:[YarienàdireCasanova.Laissetomber.]

Toc!Toc!Toc!

Jebasculelatêtesurledossierdudivan.Jesaispertinemmentquec'estluidel'autrecôtédelaporte.Jemetraînepresquejusqu'àl'entrée.J'ouvresursonvisagemarquéd'unemainrougie.Jeportelamienneàmabouchesansarriveràcachermesricanements.

–Enfait,jet'aisauvéd'unebellenévrosée,déclaré-je.–Cen'estpascequetucrois...–Netejustifiesurtoutpas,bordel,tueslibredefairecequetuveux.Mêmeavecunecagolepareille!–Unequoi?–Laisse,c'estFrançais.Unesalope,situpréfères.

Ilsoupireenpassantunemainsursanuque.Sesdoigtsentourentmonpoignetetmetirentverslui.

–Cellequetunecessesdetraiterdesalopeouautre...C'estmasœur!

Quellecruched'anthologiejesuis,putain!Jecachemonvisagemaislasituationesttrophilarantepournepasenrire.C'esttellementcommunicatifqu'ilsejointàmoi.

–Jesuisdésolée,maiselleneteressemblepas...–C'estlefruitdel'infidélitédemonpère,maisçarestemasœur.–Waouh!Lapauvre...ris-je.

Adosséecontrelemur,jemesensmald'avoircrachémonvenin.Nousdevonstoutdemêmemettreleschosesauclairentrenous.

–Jen'avaispasàfairelagarce.Onnes'estrienpromis.–Prune...

Il caresse mon visage. Je suis humaine, alors je fonds. Avec une belle gueule comme la sienne,impossibledelutter.Samaindescendsurmoncou,puisils'arrêteetdégagemescheveuxbrusquement.

–Eneffet,onnes'estrienpromis...Tudevraisallertecoucher,tudoisêtrefatiguée,poupée.

Le tonemployén'estplusdu toutdouxouexcitant.Plutôt…dégoûté.Mesyeux lesuivent jusqu'àcequ'ildisparaissedanssonappartement.

Nonmaisc'étaitquoi,ça?

Jerentre.L'effluvedugeldouchedeLillyembaumel'appartement.J'ensuislechemin,désireusedemerelaxermoiaussi.PourquoiLoganat-ilréagicommeça?Jecroisemonrefletdanslemiroiretremarqueunetachedansmoncou.Jem'approchedeplusprèset...

–Putaindemerde!L'enfoiré!craché-je.

Mesdoigtseffleurentl'énormesuçonquiornemapeau.Jedétesteça.Commesinousétionsdubétailmarqué!Jevaisletuer!

Retrouvezl’épisode4dèsle6juillet!

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Auteur:TwinyB.

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NishaEditions

Cognac-la-Forêt

N°Siret51078346700044

N°ISSN2493-2450