Rapport sur budget primitif - Est Ensemble · 2017. 10. 19. · 6 II. BUDGET PRINCIPAL Le vote du budget primitif fait l’objet d’une reprise anticipée du résultat de l’exercice

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Rapport sur budget primitif Présenté par Gérard Cosme

Président de l’Agglomération

et François Birbes

Vice-Président délégué aux finances

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I. TABLE DES MATIERES

I. TABLE DES MATIERES .............................................................................................................. 2

I- PREAMBULE ............................................................................................................................. 4

II- BUDGET PRINCIPAL ................................................................................................................ 6

I. LES GRANDS EQUILIBRES DU BUDGET PRIMITIF ........................................................................... 7

II. LES RECETTES RÉELLES ............................................................................................................... 9

A. Présentation d’ensemble ........................................................................................................... 9

B. Les recettes globalisées .......................................................................................................... 12

C. Les recettes sectorielles .......................................................................................................... 16

III. LES DÉPENSES RÉELLES .......................................................................................................... 31

A. Présentation d’ensemble ......................................................................................................... 31

B. Les dépenses globalisées ........................................................................................................ 31

C. Les dépenses sectorielles de fonctionnement ............................................................................ 34

D. Les dépenses réelles d’investissement...................................................................................... 54

IV. LES MOUVEMENTS D’ORDRE ................................................................................................... 69

III- LE BUDGET ANNEXE PROJETS D’AMENAGEMENT .............................................................. 70

I. LES GRANDS EQUILIBRES DU BUDGET PRIMITIF .......................................................................... 71

II. LES RECETTES RÉELLES ............................................................................................................. 72

A. Présentation d’ensemble ......................................................................................................... 72

B. Les recettes réelles hors ZAC des Lilas ..................................................................................... 73

C. Les recettes réelles hors ZAC des Lilas ..................................................................................... 74

III. LES DÉPENSES RÉELLES ......................................................................................................... 76

A. Les dépenses de fonctionnement ............................................................................................. 77

B. Les dépenses d’investissement ................................................................................................ 78

IV. LES DÉPENSES D’ORDRE ........................................................................................................ 81

3

IV- LE BUDGET ANNEXE D'ASSAINISSEMENT .......................................................................... 82

I. LES GRANDS EQUILIBRES DU BUDGET PRIMITIF .......................................................................... 83

II. LES RECETTES RÉELLES ............................................................................................................. 84

A. Les recettes d’exploitation ...................................................................................................... 84

B. Les recettes d’exploitation ...................................................................................................... 85

C. Les recettes d’investissement .................................................................................................. 87

III. LES DEPENSES REELLES .......................................................................................................... 88

A. Les dépenses d’exploitation .................................................................................................... 88

B. Les dépenses d’investissement ................................................................................................ 90

IV. LES MOUVEMENTS D’ORDRE ................................................................................................... 94

V- LES ENGAGEMENTS PLURIANNUELS ..................................................................................... 95

VI. VUE D’ENSEMBLE DU BUDGET PRINCIPAL PAR CHAPITRE ............................................. 106

VII. VUE D’ENSEMBLE DU BUDGET ANNEXE DES PROJETS D’AMENAGEMENT PAR CHAPITRE 107

VIII. VUE D’ENSEMBLE DU BUDGET ANNEXE D’ASSAINISSEMENT PAR CHAPITRE ................ 108

IX. PRESENTATION FONCTIONNELLE DES INSCRIPTIONS BUDGETAIRES BUDGET PRINCIPAL 109

X. PRESENTATION FONCTIONNELLE DES INSCRIPTIONS BUDGETAIRES BUDGET ANNEXE PROJETS D’AMENAGEMENT ....................................................................................................... 111

XI. PRESENTATION FONCTIONNELLE DES INSCRIPTIONS BUDGETAIRES BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMENT ...................................................................................................................... 112

LEXIQUE BUDGETAIRE ET FINANCIER ...................................................................................... 113

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I. PREAMBULE

Les budgets principal, assainissement et projets d’aménagements représentent un volume de dépenses consolidées de 382,6 M € en 2015 (hors résultats reportés, restes à réaliser et flux entre budgets) contre en 365.2 M € 2014, soit une augmentation de 6 %.

Après plus de 4 années d’existence, 2015 est l’occasion d’un premier bilan pour Est Ensemble. Les évaluations des charges transférées par les villes se terminent et devraient permettre d’arrêter cette année un montant définitif d’attribution de compensation. Les projets d’investissement initiés par les villes et repris par la Communauté d’agglomération sont en phase finale de travaux et des équipements nouveaux pourront être ouverts au public : nouveau cinéma Le Méliès et piscine écologique de Montreuil, conservatoire de Romainville. L’aménagement du territoire par le biais des Zones d’aménagements concertées a pris sa vitesse de croisière. L’augmentation de 20 % du financement des ZAC entre 2014 et 2015 en est une bonne illustration.

L’ensemble de ces projets permet de dynamiser le territoire de l’agglomération. Ils ne doivent pas cependant occulter les difficultés financières auxquelles est confrontée la Communauté d’agglomération. Comme l’ensemble des collectivités territoriales, celle-ci est confrontée à la baisse des dotations de l’Etat dans le cadre de la participation à l’effort de redressement des comptes publics. Pour Est Ensemble, cela représente une dimininution de 5 M €, soit 2 % de ses recettes réelles de fonctionnement.

Mais la CAEE fait face à d’autres incertitudes liées à la création de la Métropole du Grand Paris au 1er janvier 2016. 2015 représente en effet le dernier exercice budgétaire d’Est Ensemble en tant que Communauté d’agglomération. Son statut et ses compétences pourront être profondément modifiés. De plus, le fonctionnement financier de la Métropole engendrera une perte de levier fiscal pour Est Ensemble, qui ne conservera dans un premier temps que la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) et la Cotisation foncière sur les entreprises (CFE), puis à compter de 2021 uniquement la TEOM. Est Ensemble ne percevra plus de dotation globale de fonctionnement, et la compensation n’est pas assurée. Le financement de ses compétences serait alors assuré par un Fonds de compensation des charges territoriales dont le mécanisme reste à préciser.

Les incertitudes sur ses futures ressources ont poussé la collectivité à entamer un travail important de réduction de ses dépenses de fonctionnement. Ainsi, hors attribution de compensation, remboursements de fiscalité et rémunération du personnel, il a été demandé aux services de diminuer les dépenses de leurs secteurs de 6 % par rapport au budget supplémentaire 2014. La rémunération du personnel a quant à elle été stabilisée au niveau constaté en 2014, soit 42,4 M €.

Malgré ces efforts qui ont permis de diminuer les dépenses de gestion courante de 1 % (hors AC et reversements de fiscalité) par rapport au BP 2014, l’épargne brute du budget principal (recettes réelles de fonctionnement – dépenses réelles de fonctionnement) est négative en 2015, et ce pour la première fois (-2,9 M €). L’épargne nette (épargne brute – remboursement du capital de la dette) est de – 6,2 M €. Cela signifie que la communauté d’agglomération n’est pas en capacité de financer ses investissements avec des ressources propres pérennes et que son seul levier est l’emprunt, lequel génère lui-même des frais financiers venant grever la section de fonctionnement.

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Ces ratios financiers permettent de mettre en exergue deux fragilités d’Est Ensemble :

- La rigidité de ses dépenses : l’attribution de compensation, les ressources humaines, les frais financiers, les ordures ménagères et les participations aux budgets annexes représentent 93 % des dépenses de fonctionnement (288,7 M €)

- Le caractère exceptionnel de ses recettes : les recettes structurelles de fonctionnement s’élèvent à 285,8 M €. Pour parvenir à l’équilibre, deux recettes exceptionnelles ont été mobilisées : l’excédent de fonctionnement 2014 du budget principal pour 3,4 M €, et une partie de l’excédent de fonctionnement 2014 du budget assainissement pour 5,8 M €.

Au vu de ce constat, Est Ensemble a entamé un exercice de prospective afin de déterminer sa capacité de financement à venir et de fixer en conséquence les prochaines priorités du territoire.

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II. BUDGET PRINCIPAL

Le vote du budget primitif fait l’objet d’une reprise anticipée du résultat de l’exercice 2014. Cette décision permet de constater, à la fois, un excédent capitalisé de fonctionnement à hauteur de 3,43 M€ (dont 1,39 M€ sont liés au résultat des exercices antérieurs) et un excédent cumulé d’investissement de 0,515 M€.

L’excédent global 2014 s’élève donc à 3,95 M€.

Réalisé Reste à réaliser

RECETTES RÉALISÉES (Réelles et d'Ordre) 288 678 796,59 31 082 553,86 10 075 584,44

- - -DÉPENSES RÉALISÉES (Réelles et d'Ordre) 286 639 004,43 33 754 634,47 6 236 765,55

RÉSULTAT DE L'EXERCICE 2014 2 039 792,16 - 2 672 080,61 3 838 818,89

+ + +EXCÉDENT / DEFICIT 2013 REPORTÉ 1 395 507,37 - 650 761,26 -

- 3 322 841,87 3 838 818,89

EXCÉDENT DE FONCTIONNEMENT 2014 3 435 299,53 EXCÉDENT D'INVESTISSEMENT 2014 515 977,02 EXCÉDENT GLOBAL 2014 3 951 276,55

BUDGET PRINCIPAL 2014 SECTION DE

FONCTIONNEMENT

SECTION D'INVESTISSEMENT

EXCÉDENT / DEFICIT DE CLÔTURE 2014 3 435 299,53 515 977,02

+

Exceptionnellement, le budget principal bénéficie en plus en 2015 d’une partie de l’excédent d’assainissement 2014. Cette affectation de 5.8 M € respecte les règles fixées par la jurisprudence du Conseil d’Etat (CE, 1999, Bandol) : sur les 11.1 M € d’excédent dégagés par le budget assainissement, 1.6 M € doivent couvrir le déficit d’investissement 2014 du budget assainissement et 3.7 M € le besoin de financement 2015 propre à l’assainissement. Seul le solde de 5.8 M € peut être librement affecté, sous réserve que le tarif de la redevance d’assainissement n’ait pas été fixé à dessein de façon trop élevée.

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I. LES GRANDS EQUILIBRES DU BUDGET PRIMITIF

VIREMENT À LA SECTION

D'INVESTISSEMENT 1,51 M€

VIREMENT À LA SECTION

D'INVESTISSEMENT 1,51 M€

INVESTISSEM

ENT

FONCTIONNEM

ENT

CHARGES DE GESTION COURANTE

53,91 M€

CHARGES DE PERSONNEL ET ASSIMILES

46,83 M€

ATTRIBUTION DE COMPENSATION

175,81 M€

DOTATION AUX AMORTISSEMENTS

4,88 M€

REVERSEMENT DE FISCALITE 2,93M€

AUTRES CHARGES DE GESTION

COURANTE 7,25 M€

CHARGES FINANCIERES 1,98 M€

IMPÔTS ET TAXES

197,87 M€

DOTATIONS ET PARTICIPATIONS

82,53 M€

AUTRES PRODUITS 0,58 M€

VENTES DE PRODUITS ET SERVICES

4,54 M€

PRODUITS FINANCIERS 0,25 M€

AMORTISSEMENT SUBVENTIONS

REÇUES 0,10 M€

REPRISE ANTICIPEEDU RESULTAT 2014 3,43 M€

EXCEDENT DU BUDGET ANNEXE DE L'ASSAINISSEMENT 5,77 M€

DÉFICIT REPORTÉ 20143,32 M€

DEPENSES D'EQUIPEMENT

54,09 M€

CHARGE DE LA DETTE

3,31 M€

dont Restes à réaliser : 6,16 M€

PARTICIPATIONS FINANCIERES

3,57 M€

OPE. POUR CPTE DE TIERS 0,12 M€

AMORTISSEMENT SUBVENTIONS

REÇUES 0,10 M€

OPERATIONS SUR LIGNE DE TRESORERIE

7,74 M€

SUBVENTIONS D'INVESTISSEMENT11,64 M€

EMPRUNT 39,86 M€


dont Restes à réaliser :8,66 M€

DOTATION AUX AMORTISSEMENTS

4,88 M€

FCTVA 6,41 M€


OPE. POUR CPTE DE TIERS 0,12 M€

OPERATIONS SUR LIGNE DE TRESORERIE

7,74 M€

AUTRES RECETTES 0,12 M€

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Entre 2014 et 2015, les recettes réelles de fonctionnement enregistrent une hausse de 0,13% tandis que les dépenses réelles de fonctionnement augmentent de 2.3%, principalement du fait de l’attribution de compensation versée aux villes (+3.6%). Hors attribution de compensation, les dépenses réelles de fonctionnement sont globalement stables autour de 112,9M€ (contre 112,6M€ au BP 2014 soit +0,25%), marquées par la baisse sensible des dépenses de gestion courante (-4% à 53,91M€) et la progression des subventions versées en lien avec la prise en responsabilité du contrat de ville (+13%).

La réduction de la capacité d’épargne est ainsi particulièrement marquée en 2015, alors même que les dépenses d’équipement enregistrent une progression de 6% liée à la finalisation des opérations dites des « coups » partis, gérées en AP/CP.

L’épargne brute (- 2,91 M€) poursuit son recul et passe en terrain négatif. Elle traduit une évolution faible de la fiscalité et une baisse importante des dotations de l’Etat alors que les dépenses de fonctionnement (attribution de compensation, autres reversements de fiscalité et subventions) augmentent malgré une baisse de son rythme de progression.

22,53 M€

5,91 M€

14,44 M€

3,11 M€

‐2,91 M€

34,5%

5,7%

12,5%

2,7%

‐2,6% ‐5%

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

40%

‐5 M€

0 M€

5 M€

10 M€

15 M€

20 M€

25 M€

CA 2011 CA 2012 CA 2013 BP 2014 BP 2015

Epargne brute

Tx Epargne Brute hors AC

La capacité de désendettement qui mesure le nombre d’années nécessaires pour rembourser la totalité du capital de la dette en y consacrant l’intégralité de son épargne brute a été contenue sur l’exercice 2014 avec 8,6 années contre 19,7 années prévues au BP 2014.

Cette amélioration s’explique par la perception de recettes fiscales non attendues (rôles supplémentaires sur la CFE notamment) et par la consolidation d’un volume d’emprunts inférieur au montant estimé.

Il est à noter que pour le BP 2015, ce ratio ne peut pas être calculé car le montant de l’épargne brute est négatif.

0,9

5,2

2,4

19,7

8,6

0

5

10

15

20

25

CA 2011 CA 2012 CA 2013 BP 2014 CA 2014

en années

Capacité de désendettement

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II. LES RECETTES RÉELLES

A. Présentation d’ensemble

L’évolution des recettes réelles d’Est Ensemble, y compris reprise du résultat de l’exercice précédent et restes à réaliser (RAR)

En 2015, le montant des recettes réelles cumulées inscrit au budget primitif s’élève à 360 879 408.57€, soit une augmentation de +6% par rapport au BP2014. Cette croissance des recettes est relative puisqu’exceptionnellement le budget primitif comprend des éléments traditionnellement rajoutés lors du budget supplémentaire, une fois voté le compte administratif de l’exercice précédent :

Les inscriptions liées au résultat de l’exercice précédent et de l’exédent du budget assainissement (constituées au BP2015 de recettes de fonctionnement uniquement) pour un montant de 9 203 619.48 €

Les restes à réaliser de l’exercice 2014 (en investissement uniquement) pour un montant de 10 075 584.44€

288,27M€ 285,40M€ 288,59M€ 285,78M€

24,18M€54,95M€

16,26M€57,33M€

9,06M€ 13,35M€9,20M€10,08M€

‐ €

50,00M€

100,00M€

150,00M€

200,00M€

250,00M€

300,00M€

350,00M€

400,00M€

CA 2013 BP 2014 CA 2014 BP 2015

Evolution des recettes réelles du budget principal, y compris RAR

Restes à réaliser

Inscriptions liées au résultat de l'exerciceprécédent (I et F)

Investissement

Fonctionnement

L’évolution des recettes réelles d’Est Ensemble, hors restes à réaliser (RAR) En dehors des restes à réaliser et de la reprise du résultat de l’exercice 2014, les recettes d’investissement augmentent assez nettement (+4.3%), tandis que les recettes de fonctionnement diminuent (-0.4%) :

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CA 2013 BP 2014 CA 2014 BP 2015

Recettes réelles de fonctionnement 288 265 476,63 285 397 212,00 288 589 988,59 285 777 956,88 1 131 217,12 - -0,4%

Recettes réelles d'investissement

(hors RAR)24 182 990,77 54 949 184,50 16 255 563,76 57 334 209,77 2 385 025,27 4,3%

Total recettes réelles hors reprise

du résultat de l'exercice précédent

et hors restes à réaliser (RAR)

312 448 467,40 340 346 396,50 304 845 552,35 343 112 166,65 2 765 770,15 0,8%

Restes à réaliser (RAR) 10 075 584,44

Total recettes réelles hors reprise

du résultat de l'exercice précédent 312 448 467,40 340 346 396,50 304 845 552,35 351 675 789,09 11 329 392,59 3,3%

002 1 036 183,19 - 1 395 507,37 9 203 619,48 9 203 619,48

001 + 1068 8 021 783,85 - 11 955 068,34 -

Total recettes réelles 321 506 434,44 340 346 396,50 318 196 128,06 360 879 408,57 20 533 012,07 6,0%

RECETTES REELLES DU BUDGET PRINCIPAL Evolution BP 2014 / BP 2015

Les recettes réelles de fonctionnement diminuent essentiellement en raison de la baisse prévue des dotations de l’Etat. La loi de finances pour 2015 prévoit une diminution de -3.67 milliards d’€ sur les dotations d’Etat, ce qui devrait se traduire pour Est Ensemble par une perte de -4.97M€ sur les recettes de fonctionnement.

2013 2015

CA 2013 BP 2014 CA 2014 BP 2015 Montant Taux

d'evolution

FISCALITE 185 165 247,00 185 320 941,00 187 015 801,00 188 936 055,00 3 615 114,00 2,0%

Produit fiscal exceptionnel 3 671 148,00 3 478 909,00 4 165 435,00 - 3 478 909,00 -

Fiscalité économique 89 102 376,00 87 531 609,00 88 873 324,00 91 391 477,00 3 859 868,00 4,4%

CFE 59 050 181,00 56 524 113,00 58 295 438,00 59 286 434,00 2 762 321,00 4,9%

CVAE 26 608 476,00 27 346 773,00 27 173 596,00 28 614 294,00 1 267 521,00 4,6%

TASCOM 2 484 880,00 2 672 527,00 2 358 831,00 2 509 729,00 162 798,00 - -6,1%

IFER 958 839,00 988 196,00 1 045 459,00 981 020,00 7 176,00 - -0,7%

Fiscalité ménages 92 391 723,00 94 310 423,00 93 977 042,00 97 544 578,00 3 234 155,00 3,4%

TH 46 207 256,00 47 293 897,00 46 726 601,00 47 935 046,00 641 149,00 1,4%

TFNB + TAFNB 375 028,00 398 443,00 375 444,00 378 823,00 19 620,00 - -4,9%

TEOM 45 809 439,00 46 618 083,00 46 874 997,00 49 230 709,00 2 612 626,00 5,6%

COMPENSATIONS DE LA REFORME DE LA

TAXE PROFESSIONNELLE 11 245 215,00 11 245 215,00 11 245 215,00 11 245 215,00 - 0,0%

FNGIR 7 370 005,00 7 370 005,00 7 370 005,00 7 370 005,00 - 0,0%

DCRTP 3 875 210,00 3 875 210,00 3 875 210,00 3 875 210,00 - 0,0%

CONCOURS FINANCIERS DE L'ETAT 82 417 938,00 79 706 584,00 79 775 484,00 74 732 570,60 4 974 013,40 - -6,2%

Dotation Globale de fonctionnement 79 175 546,00 76 644 965,00 76 626 960,00 71 901 233,00 4 743 732,00 - -6,2%

Dotation d'intercommunalité 15 405 250,00 13 498 988,00 13 549 299,00 10 211 281,00 3 287 707,00 - -24,4%

Dotation de compensation 63 770 296,00 63 145 977,00 63 077 661,00 61 689 952,00 1 456 025,00 - -2,3%

Allocations compensatrices 3 242 392,00 3 061 619,00 3 148 524,00 2 831 337,60 230 281,40 - -7,5%

Compensations des dispositifs relatifs à la CET 1 051 144,00 839 793,00 899 704,00 582 517,60 257 275,40 - -30,6%

Compensations des dispositifs relatifs à la Taxe d'Habitation 2 191 248,00 2 221 826,00 2 248 820,00 2 248 820,00 26 994,00 1,2%

PEREQUATION (FPIC) 706 892,00 1 152 000,00 1 117 705,00 1 563 000,00 411 000,00 35,7%

SUBVENTIONS 2 921 970,48 2 976 168,00 2 658 817,71 3 924 205,28 948 037,28 31,9%

PRODUITS DES SERVICES 4 042 623,91 4 621 832,00 4 176 001,72 4 737 454,00 115 622,00 2,5%

PRODUITS FINANCIERS - 209 922,00 240 978,83 240 973,00 31 051,00 14,8%

AUTRES RECETTES 1 765 590,24 164 550,00 2 359 985,33 398 484,00 233 934,00 142,2%

TOTAL DES RRF 288 265 476,63 285 397 212,00 288 589 988,59 285 777 956,88 380 744,88 0,13%

Evolution BP 2014 / BP 20152014

Les recettes d’investissement augmentent essentiellement grâce aux cofinancements des partenaires institutionnels apportés aux projets d’investissement de la communauté d’agglomération et au Fonds de Compensation pour la TVA. L’évolution des recettes d’investissement traduit donc essentiellement un maintien de l’effort d’investissement de la Communauté d’agglomération, malgré la contraction de ses ressources de fonctionnement.

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2013

CA 2013 BP 2014 CA 2014 BP 2015 Restes à réaliser

(RAR) BP2015 + RAR Montant

Taux

d'evolution

FCTVA 1 330 692,00 2 967 868,00 2 146 674,00 5 722 523,50 685 218,19 6 407 741,69 2 754 655,50 92,8%

SUBVENTIONS 9 314 783,77 8 050 613,00 12 812 162,79 10 916 866,24 729 084,25 11 645 950,49 2 866 253,24 35,6%

dont cofinancements des partenaires institutionnels 931 332,77 754 426,00 5 770 191,79 8 619 104,24 729 084,25 9 348 188,49 7 864 678,24 1042,5%

dont cofinancements des Villes 8 383 451,00 7 296 187,00 7 041 971,00 2 297 762,00 - 2 297 762,00 4 998 425,00 - -68,5%

EMRPUNT 13 526 870,00 43 785 703,50 1 100 000,00 40 449 820,03 8 661 282,00 49 042 329,19 3 335 883,47 - -7,6%

AUTRES PRODUITS 10 645,00 145 000,00 196 726,97 245 000,00 - 245 000,00 - 0,0%

TOTAL DES RRI 24 182 990,77 54 949 184,50 16 255 563,76 57 334 209,77 10 075 584,44 67 341 021,37 2 385 025,27 4,3%

RECETTES REELLES D'INVESTISSEMENT (RRI) DU BUDGET PRINCIPAL (hors 1068 et 001)

2014Evolution BP 2014 / BP 2015

(hors RAR)2015

Structure des recettes réelles d’Est Ensemble

La structure des recettes d’Est Ensemble, hors emprunt, est très largement dominée par le poids des recettes fiscales qui pèsent, en 2015 comme en 2014, à hauteur de 62% sur l’ensemble des recettes d’Est Ensemble.

Secteurs : Evolution de la structure des recettes réelles (Fonctionnement et Investissement) d’Est Ensemble, hors emprunt et revolving, hors restes à réaliser (RAR) et hors inscriptions liées à la reprise du résultat de l’exercice précédent (001, 002, 1068).

185,32M€62%

93,92M€32%

1,15M€0%

11,03M€4%

4,62M€2% 0,31M€

0%

BP 2014

188,94M€62%

91,70M€30%

1,56M€1%

14,84M€5%

4,74M€2%

0,64M€0%

BP 2015, hors RAR

Fiscalité

Dotations etcompensations

Péréquation

Subventions

Produits des services

Autres recettes

Les dotations et compensations comprennent les versements effectués par l’Etat au titre des compensations de la réforme de la taxe professionnelle, des concours financiers de l’Etat en fonctionnement et du Fonds de Compensation pour la TVA (FCTVA) en investissement. La part de ces dotations dans le budget d’Est Ensemble diminue malgré le maintien d’un niveau élevé de FCTVA ; ceci s’explique par la baisse importante des dotations d’Etat et en particulier de la Dotation Globale de Fonctionnement.

Les subventions d’investissement et de fonctionnement confondues représentent une part croissante des ressources d’Est Ensemble, en raison du déploiement des projets d’Est Ensemble, élaborés avec des partenaires institutionnels.

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B. Les recettes globalisées

1. Les recettes de fonctionnement

1.1 – La fiscalité directe locale

La prévision budgétaire en matière de fiscalité est prudente puisqu’on anticipe une augmentation modérée du produit fiscal global par rapport au CA2014 (+1.0%). En effet, la loi de finances pour 2015 prévoit une revalorisation forfaitaire des bases fiscales à +0.9%.

A cette revalorisation forfaitaire, s’ajoute la dynamique spontanée des bases fiscales correspondant aux modifications physiques de locaux (constructions nouvelles, extension, démolitions).

Egalement, on prévoit une hausse de 5.0% du produit de la TEOM liée à la révision des taux de TEOM pour 2015.

Pour chaque impôt, des hypothèses d’évolution ont été retenues, tenant compte des dynamiques constatées par le passé et des évolutions anticipées sur le territoire. Les prévisions de fiscalité ont été effectuées sur la base des montants réalisés en 2014. L’évolution entre le BP2014 et le BP2015 sur certaines taxes (CFE, CVAE, TASCOM) est peu significative car la réalisation en 2014 s’est écartée de la prévision initiale.

BP 2014 CA 2014 BP 2015 Montant Taux d'evolution

Fiscalité économique 87 531 609,00 88 873 324,00 91 391 477,00 2 518 153,00 2,8%Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) 56 524 113,00 58 295 438,00 59 286 434,00 990 996,00 1,7%Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)

27 346 773,00 27 173 596,00 28 614 294,00 1 440 698,00 5,3%

Taxe sur les Surfaces Commerciales (TASCOM) 2 672 527,00 2 358 831,00 2 509 729,00 150 898,00 6,4%

Imposition Forfaitaire des Entreprises de Réseau (IFER)

988 196,00 1 045 459,00 981 020,00 64 439,00 - -6,2%

Fiscalité ménages 94 310 423,00 93 977 042,00 97 544 578,00 3 567 536,00 3,8%Taxe d'Habitation (TH) 47 293 897,00 46 726 601,00 47 935 046,00 1 208 445,00 2,6%

Taxe sur le Foncier Non Bati (TFNB) et Taxe Additionnelle sur le Foncier Non Bati (TAFNB)

398 443,00 375 444,00 378 823,00 3 379,00 0,9%

Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM)

46 618 083,00 46 874 997,00 49 230 709,00 2 355 712,00 5,0%

Produit fiscal exceptionnel 3 478 909,00 4 165 435,00 - 4 165 435,00 - -100,0%TOTAL FISCALITE 185 320 941,00 187 015 801,00 188 936 055,00 1 920 254,00 1,0%

Evolution CA2014/BP2015 FISCALITE

La Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) : la CFE est une recette qui a connu des évolutions ératiques par le passé. Pour 2015, l’hypothèse retenue est une évolution modérée (+1.7%) par rapport au produit définitif pour 2014, hors rôles supplémentaires

La Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE) : deuxième composante de la Contribution Economique Territoriale, le produit de la CVAE perçu en N est issu du rôle fiscal N-1. C’est pourquoi dès le mois de janvier 2015 les services fiscaux communiquent à la Communauté d’agglomération un produit fiscal prévisionnel sur lequel il est possible de s’appuyer pour réaliser la prévision budgétaire. Cette année, le produit prévisionnel de la CVAE est en nette augmentation (+5.3%).

La Taxe sur les Surfaces Commerciales (TASCOM) : l’évolution du produit de cette taxe sur les exercices antérieurs est assez importante (+13% en 2013). La prévision de croissance de +6.4% de TASCOM est donc en adéquation avec l’évolution sur le long terme du produit de cette taxe.

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La Taxe d’Habitation (TH) est difficilement prévisible car les campagnes déclaratives des contribuables se réalisent au mois de mai de l’année de perception. En 2014, la dynamique atteint seulement 1.1% contre une évolution de 3% auparavant. Pour 2015, la dynamique retenue est de 2.6%.

La Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) : pour 2015, la Communauté d’agglomération a décidé de poursuivre la convergence des taux de TEOM démarrée en 2011. Il s’agit d’harmoniser le régime fiscal de la TEOM sur le territoire d’Est Ensemble. La convergence ne modifie pas le produit fiscal, puisque certains taux baissent et d’autres augmentent, et ces variations se compensent. Cependant le taux cible choisi pour l’harmonisation des taux de TEOM en 2015 est désormais de 8.15%, ce qui est un peu supérieur au taux moyen pondéré de la TEOM en 2014 (7.90%). Cette augmentation du taux cible doit permettre de dégager des ressources supplémentaires et ainsi de faire face à la hausse du coût du service. A la hausse des taux de TEOM s’ajoute la dynamique des bases : pour 2015 on anticipe une dynamique spontanée de +1.8%. Ainsi, le produit de la TEOM en 2015 devrait augmenter d’environ 5.0%.

La prévision de recettes fiscales pour le BP2015 ne comporte pas de produit fiscal exceptionnel, ressource par nature volatile puisqu’il s’agit du produit des rôles supplémentaires et complémentaires de fiscalité directe locale, correspondant à des rectifications effectuées sur les rôles généraux.

1.2 – Les concours financiers de l’Etat

La contribution des collectivités territoriales à l’effort de réduction des déficits publics se traduit dans la loi de finances pour 2015 par une diminution de 3.67 milliards d’euros des concours financiers de l’Etat aux collectivités. Décidée par l’Etat, cette diminution pèse fortement sur le budget d’Est Ensemble et devrait se traduire par une diminution des recettes perçues de l’Etat à hauteur de -4.97M€ pour 2015 :

Montant Taux d'evolution Dotation Globale de Fonctionnement (DGF) 76 644 965,00 71 901 233,00 4 743 732,00 - -6,2%Dotation d'intercommunalité 13 498 988,00 10 211 281,00 3 287 707,00 - -24,4%Dotation de compensation 63 145 977,00 61 689 952,00 1 456 025,00 - -2,3%Allocations compensatrices 3 061 619,00 2 831 337,60 230 281,40 - -7,5%

Compensations des dispositifs relatifs à la CET 839 793,00 582 517,60 257 275,40 - -30,6%

Compensations des dispositifs relatifs à la Taxe d'Habitation

2 221 826,00 2 248 820,00 26 994,00 1,2%

TOTAL DOTATIONS ("variables d'ajustement") 79 706 584,00 74 732 570,60 4 974 013,40 - -6,2%Compensations de la réforme de la Taxe Professionnelle

11 245 215,00 11 245 215,00 -

FNGIR 7 370 005,00 7 370 005,00 - DCRTP 3 875 210,00 3 875 210,00 - TOTAL DOTATIONS ET COMPENSATIONS 90 951 799,00 85 977 785,60

Evolution BP 2014 / BP 2015BP 2014 BP 2015

CONCOURS FINANCIERS DE L'ETAT ET COMPENSATIONS DE LA REFORME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE

La dotation globale de fonctionnement (DGF) : C’est la dotation la plus touchée (-4.7M€) par la diminution des concours financiers de l’Etat aux collectivités territoriales :

La part intercommunalité : le calcul classique de la part intercommunalité de la DGF donne lieu à une diminution structurelle de cette dotation et devrait générer une perte de recette de 0.7M€.

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En plus de cet ajustement, la part intercommunalité doit supporter la contribution des collectivités à l’effort de redressement des comptes publics, que l’on évalue à -2.6M€.

La part compensation : compensation historique de la suppression par l’Etat de la part salaire de la taxe professionnelle, devrait perdre environ 1.5M€.

Les allocations compensatrices : elles sont versées par l’Etat aux collectivités territoriales pour

compenser la perte de produit fiscal local engendrée par les dispositifs d’exonération fiscale accordés par l’Etat aux contribuables. Elles constituent l’une des principales variables d’ajustement pour l’Etat, qui prévoit dans la loi de finances pour 2015 de les faire diminuer au niveau national d’environ-34%.

Le Fonds National de Garantie Individuelle des Ressources (FNGIR) et la Dotation de Compensation de la Réforme de la Taxe Professionnelle (DCRTP) sont des dispositifs de compensation par l’Etat de la perte des ressources engendrée par la réforme de la taxe professionnelle. A la suite de l’ajustement définitif du produit de Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE) de 2010, les montants de DCRTP et de FNGIR sont désormais figés dans le temps aux montants respectifs de 3 875 210€ et 7 370 005€.

1.3 – La péréquation

Le dispositif de péréquation horizontale dont bénéficie le territoire d’Est Ensemble est le Fonds de Péréquation des Ressources Intercommunales et Communales (FPIC). La Communauté d’agglomération est à la fois contributrice et bénéficiaire du FPIC ; on prévoit pour le BP2015 un solde de FPIC en très légère augmentation.

2012 2013 2014 2015FPIC (reversement) 834 056,00 706 892,00 1 117 705,00 1 563 000,00 FPIC (prélèvement) 208 224,00 598 865,00 1 032 047,00 1 471 000,00 Solde FPIC 625 832,00 108 027,00 85 658,00 92 000,00

EVOLUTION DU SOLDE DE FPIC AU BENEFICE D'EST ENSEMBLE

La loi de finances pour 2015 maintient la montée en puissance prévue du FPIC, de sorte que l’enveloppe globale, au niveau national, devrait se situer à 780M€ en 2015. Le renforcement de la péréquation favorise fortement le territoire d’Est Ensemble ; en revanche, la Communauté d’agglomération ne bénéfice que faiblement de la montée en charge du fonds de péréquation intercommunal. Le FPIC bénéficie essentiellement aux communes du territoire en raison notamment de la prise en charge par Est Ensemble du prélèvement des communes membres éligibles à la Dotation de Solidarité Urbaine (DSU) cible, à 50% pour les communes qui se situent entre le 151ème et le 250ème rang (pour Est Ensemble, c’est le cas de Romainville) et à 100% pour les communes qui se situent entre le 1er et le 150ème rang (pour Est Ensemble c’est le cas de Bobigny, Bondy, Noisy-le-Sec et Le Pré Saint Gervais).

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Communessolde 2014 (=montant

reversé - montant prélevé)

solde 2015 théorique (=montant reversé -

montant prélevé)Bagnolet 276 710,00 € 373 000,00 € Bobigny 528 306,00 € 739 000,00 € Bondy 955 303,00 € 1 336 000,00 € Les Lilas 253 940,00 € 348 000,00 € Montreuil 932 856,00 € 1 265 000,00 € Noisy le Sec 639 360,00 € 894 000,00 € Pantin 521 929,00 € 644 000,00 € Le Pré Saint Gervais 323 711,00 € 453 000,00 € Romainville 301 781,00 € 418 000,00 € Sous-total communes 4 733 896,00 € 6 469 000,00 € CAEE 85 658,00 € 92 000,00 € TOTAL 4 819 554,00 € 6 561 000,00 €

2. Les recettes d’investissement

2.1 - le Fonds de Compensation de la Vaxe sur la Valeur Ajoutée (FCTVA)

Le Fonds de Compensation de la Taxe sur la Valeur Ajoutée (FCTVA) est un fonds versé par l’Etat aux collectivités territoriales afin de compenser la dépense engendrée par le paiement de la TVA sur leurs dépenses d’investissement. Il se calcule donc par l’application d’un taux aux dépenses d’investissement éligibles.

Au BP 2015, la recette de FCTVA augmente fortement par rapport au BP 2014. Cette augmentation a plusieurs explications :

D’une part, les dépenses d’investissement augmentent dans le cadre du BP2015, ce qui génère mécaniquement une augmentation de la recette de FCTVA.

De plus, afin de soutenir l’investissement public local qui est en recul ces dernières années, la loi de finances pour 2015 est venue rehausser le taux de FCTVA qui se situe désormais à 16.404% (contre 15.761% en 2014). Cette mesure vient également majorer la recette de FCTVA de la Communauté d’agglomération.

BP 2014 BP 2015 Restes à réaliser

(RAR) BP2015 + RAR BP2015 - BP2014

Taux d'evolution

(BP2015/BP2014)

2 967 868,00 5 722 523,50 685 218,19 6 407 741,69 2 754 655,50 92,8%

RECETTES DE FCTVA

2.2 - L’emprunt d’équilibre

Au BP 2015, le montant de l’emprunt d’équilibre s’élève à 32.71 M€. En intégrant les emprunts mis en RAR en 2014 (8.66 M€), l’emprunt total s’élève à 41.37 M€.

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C. Les recettes sectorielles

1. Les recettes de fonctionnement : produits des services et subventions

2014 2015

BP 2014 BP 2015 Montant Taux d'evolution

SUBVENTIONS 2 976 168,00 3 924 205,28 948 037,28 31,9%

PRODUITS DES SERVICES 4 621 832,00 4 737 454,00 115 622,00 2,5%

AUTRES RECETTES 164 550,00 398 484,00 233 934,00 142,2%

TOTAL RECETTES SECTORIELLES 7 762 550,00 9 060 143,28 1 297 593,28 16,7%

Evolution BP 2014 / BP 2015

LES RECETTES SECTORIELLES AU SEIN DES RECETTES REELLES DE FONCTIONNEMENT

Au sein des recettes réelles de fonctionnement du budget principal, environ 9,1M€ ne proviennent pas de la fiscalité, des dotations et compensations ou du Fonds de Péréquation des Ressources Intercommunales et Communales (FPIC) mais des différentes politiques publiques menées par la Communauté d’agglomération. Il s’agit essentiellement des produits des services, qui correspondent à des redevances et loyers ; des subventions de fonctionnement versés par les partenaires institutionnels en faveur des projets d’Est Ensemble ; et enfin d’autres recettes constituées de recettes exceptionnelles.

1.1 – Les subventions de fonctionnement

Les subventions de fonctionnement représentent environ 2.1% du total des recettes de fonctionnement de la communauté d’agglomération, mais 42% des recettes de fonctionnement hors fiscalité, dotations d’Etat et Fonds de Péréquation des Ressources Intercommunales et Communales (FPIC). De plus, cette recette est en nette augmentation par rapport au BP2014 (+948 037.28€) :

Subventions de fonctionnement du budget principal BP 2014 BP 2014Etat (Emplois d'Avenir) 375 000,00 308 160,00 Etat et organismes nationaux 937 753,00 1 412 964,08 Conseil Régional d'Ile-de-France 273 215,00 371 019,51 Conseil Général de Seine-Saint-Denis 5 000,00 17 300,00 SITOM 1 025 000,00 1 279 120,00 Autres organismes 360 200,00 535 641,69

Total général 2 976 168,00 3 924 205,28

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Etat (Emplois d'Avenir)8%

Etat et organismes nationaux

36%

Conseil Régional d'Ile‐de‐France

9%

Conseil Général de Seine‐Saint‐Denis

0%

SITOM33%

Autres organismes

14%

Subventions de fonctionnement du budget principal, par type de cofinanceur

Recettes de subventions, par programme, par opération et par cofinanceur :

Administration générale :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 MASSE SALARIALE 375 000,00 308 160,00

REMUNERATION DU PERSONNEL 375 000,00 308 160,00 RECRUTEMENT FORMATION ET CONSEIL EN RH - 18 000,00

GESTION DU HANDICAP - 18 000,00 ADMINISTRATION GENERALE DE LA COLLECTIVITE 375 000,00 326 160,00

Les subventions en matière d’administration générale de la collectivité sont essentiellement constituées du dispositif de cofinancement des emplois d’avenir par l’Etat. Cette recette avait été prévue au BP2014 sur base de 35 contrats d’avenir, or finalement ce ne sont que 25 contrats d’avenir qui ont été embauché au cours de l’année 2014. En 2015, l’embauche de contrats d’avenir est stabilisée à 25 contrats, d’où un ajustement de la recette de subvention au plus près des possibilités réelles de perception.

La Communauté d’agglomération perçoit de plus des aides du Fonds d’Insertion pour les Personnes Handicapées (FIPH) qui est versé pour les actions menées en faveur du personnel en situation de handicap. A ce titre, la recette estimée est de 18 000€.

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Habitat et renouvellement urbain :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 LUTTE CONTRE HABITAT INDIGNE 487 421,00 736 373,28

ETUDE HABITAT INDIGNE BOBIGNY - 42 000,00 OPAH CD ROMAINVILLE 112 625,00 201 036,00 OPAH PRE ST GERVAIS 95 432,00 96 900,51 OPAH SECTEUR CENTRE SUD PANTIN - 12 571,00 OPAH-CD BOBIGNY 99 440,00 121 887,44 OPAH-CD NOISY 52 750,00 89 634,00 PLAN DE SAUVEGARDE COPROPRIETE LA BRUYERE

BONDY 102 424,00 139 154,25 PLAN DE SAUVEGARDE MARCEL SEMBAT MONTREUIL 33 190,08 RHI 54 RUE RAYMOND LEFEBVRE MONTREUIL 24 750,00 -

SOUTIEN OFFRE HABITAT SUR TERRITOIRE 114 628,00 56 037,00 ELABORATION ET MISE EN OEUVRE DU PLH 114 628,00 56 037,00

HABITAT ET RENOUVELLEMENT URBAIN 602 049,00 792 410,28

Les subventions versées sur l’opération « Etude Habitat Indigne Bobigny » portent en réalité sur une étude menée sur la rue Paul Eluard à Bobigny et proviennent de la Région Ile-de-France (10 000€), de la Caisse des Dépôts et Consignations (6 000€) et de l’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (26 000€).

Sur l’OPAH de Pantin, les 12 571.00€ inscrits correspondent à un remboursement de la Ville de Pantin d’une subvention perçue par la Ville après le transfert de la compétence à la Communauté d’agglomération.

Les subventions versées au bénéfice du Programme Local de l’Habitat (PLH) proviennent de l’Etablissement Public Foncier d’Ile-de-France (EPFIF) à raison de 15 2013€ et de la Région Ile-de-France à raison de 40 824€.

Les autres subventions proviennent de l’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (ANAH), la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) et la Région Ile-de-France portent sur le suivi-animation des Opérations Programmées d’Amélioration de l’Habitat (OPAH) :

Suivi-animation année 1 de l’OPAH de Romainville Suivi-animation année 1 de l’OPAH de Noisy-le-Sec Suivi-animation année 3 de l’OPAH de Bobigny Suivi-animation année 3 de l’OPAH du Pré-Saint-Gervais Suivi-animation année 5 et évaluation plan de sauvegarde de la Bruyère à Bondy Suivi-animation OPAH de Montreuil

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Aménagement :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 MOBILITE SUR LE TERRITOIRE 184 000,00 229 949,00

EXPLOITATION DES NAVETTES 129 000,00 135 000,00 PLAN LOCAL DE DEPLACEMENTS 55 000,00 94 949,00

AMENAGEMENT 184 000,00 229 949,00

Les subventions en matière d’aménagement portent sur la compétence transport. Il s’agit de la subvention du Syndicat des Transports d’Ile-de-France (STIF) en faveur du Transport Urbain Bondinois (TUB) à raison de 135 000€, ainsi que de deux subventions portant sur l’élaboration du Plan Local de Déplacements : 62 842€ prévus provenant du STIF et 32 107€ prévus provenant de la Région Ile-de-France.

Culture :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 EQUIPEMENTS CINEMATOGRAPHIQUES 213 200,00 225 500,00

CINEMA LE 104 PANTIN 62 700,00 42 300,00 CINEMA LE MELIES MONTREUIL 42 000,00 10 000,00 CINEMA LE TRIANON ROMAINVILLE-NOISY 83 500,00 95 100,00 CINEMA MALRAUX BONDY - 7 000,00 CIN'HOCHE BAGNOLET - 17 000,00 MAGIC CINEMA BOBIGNY 25 000,00 17 100,00 NOUVEAU COMPLEXE MELIES - 37 000,00

EQUIPEMENTS D'ENSEIGT MUSIQUE, ARTS PLASTIQUES 168 206,00 90 500,00 CRD MONTREUIL 89 033,00 50 000,00 CRD PANTIN 42 615,00 22 500,00 CRD ROMAINVILLE 36 558,00 18 000,00

EQUIPEMENTS DE LECTURE PUBLIQUE 12 500,00 5 000,00 BIBLI. R. DESNOS + 3 BIBLI. QUARTIER MONTREUIL 12 500,00 5 000,00

CULTURE 393 906,00 321 000,00

Le fonctionnement des équipements culturels devrait être subventionné à hauteur de 321 000€.

Les Cinémas bénéficient des subventions Arts et Essais versées par le Centre National du Cinéma (CNC) à raison de 130 400€ prévisionnels, répartis sur plusieurs équipements (Cin’Hoche de Bagnolet, « Magic Cinéma » de Bobigny, Cinéma André Malraux de Bondy et Cinéma Le Méliès de Montreuil et Cinéma Le 104 de Pantin).

Sur le Cinéma Le Trianon de Romainville, une subvention de 9000€ est versée par la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) au bénéfice d’actions en faveur des publics adolescents. Ce cinéma bénéficie également d’un important mécénat versé par BNP Paribas (70 800€), bien que cette recette soit en diminution puisqu’elle était de 151 000€ en 2013 et a été réduite à 85 000€ à partir de l’année 2014/2015. Enfin, le Trianon bénéficie d’une subvention de 3 800€ versée par le Département de la Seine-Saint-Denis.

Pour le fonctionnement des Conservatoires de Rayonnement Départemental (CRD) de Montreuil, Pantin et Romainville, la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) verse une subvention de 90 500€ en tout.

Enfin, les bibliothèques de Montreuil sont subventionnées par le Département de la Seine-Saint-Denis à raison de 5 000€.

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La collecte et le traitement des ordures ménagères :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 PRECOLLECTE ET COLLECTE DES DMA AU QUOTIDIEN 22 000,00 20 084,00

COLLECTE TRADITIONNELLE 22 000,00 20 084,00 PROSPECTIVE ET PREVENT° COLLECTE DECHETS 100 000,00 200 000,00

PROSP & PLPD 100 000,00 200 000,00 TRAITEMENT COMPETENCE DU SYCTOM VIA SITOM 93 1 025 000,00 1 279 120,00

SITOM & SYCTOM 1 025 000,00 1 279 120,00 COLLECTE ET TRAITEMENT DES ORDURES MENAGERES 1 147 000,00 1 499 204,00 L’élaboration du Plan Local de Prévention des Déchets (PLPD) est subventionnée par l’ADEME à raison de 200 000€. La valorisation des déchets est subventionnée par le Syndicat Intercommunal de Traitement des Ordures Ménagères (SITOM) qui verse à Est Ensemble des participations corrélées au nombre de tonnes collectées.

Environnement et développement durable :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIALE 140 088,00 25 000,00

SOCLE COMMUN DIAGNOSTIC INSTIT. DES VILLES 140 088,00 25 000,00 PROJET TERRITORIAL DE DEVELOPPEMENT DURABLE 55 125,00 11 025,00

ELABORATION AGENDA 21 55 125,00 11 025,00 ENVIRONNEMENT ET DEVELOPPEMENT DURABLE 195 213,00 36 025,00

L’élaboration de l’Agenda 21 est subventionnée par la Région Ile-de-France à raison de 55 125€ ; cette subvention n’ayant pas été perçue dans sa totalité en 2014, le solde de la subvention est de nouveau inscrit au BP2015.

Une subvention de l’ADEME de 25 000€ est prévue au BP2015 au titre du Plan Climat Energie Territorial.

Interventions économiques :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 AIDE AUX ENTREPRISES ET DEVELOPPEMENT ECONOMIQUES - 42 457,00

OBSERVATOIRE 30 000,00 SOUTIEN AUX FILIERES ECONOMIQUES - 12 457,00

PARCOURS IMMOBILIER POUR LES ENTREPRISES - 40 000,00 MAISON REVEL PANTIN - 40 000,00

INTERVENTIONS ECONOMIQUES - 82 457,00

Cette année les actions menées dans le développement économique seront subventionnées : la Région Ile-de-France devrait verser 40 000€ à Est Ensemble au titre de l’accompagnement du Pôle des Métiers d’Art de Pantin ; la Région versera également 12 457€ au titre de la constitution et l’animation du réseau CEVIBIO. Enfin, 30 000€ seront versés par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) pour la création et la labellisation d’un Point d’Accueil à la Création d’Entreprises (PACE). Cette subvention est accordée au titre de la première année et pourra donner lieu à des subventions pour les exercices suivants.

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Cohésion sociale, emploi et insertion :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 ACCOMPAGNEMENT VERS L'EMPLOI - 57 500,00

SOUTIEN AUX PORTEURS - EMPLOI ET INSERTION - 57 500,00 ACCES AU DROIT 79 000,00 77 000,00

CO*FINANCEMENT DES PERMANENCES 79 000,00 77 000,00 CONTRAT DE VILLE - 487 000,00

ELABORATION SUIVI ET ANIMATION CONTRAT DE VILLE - 487 000,00 COHESION SOCIALE, EMPLOI, INSERTION 79 000,00 621 500,00

Le soutien aux porteurs de projet emploi insertion comporte plusieurs actions cofinancées :

La Passerelle emploi avec l’entreprise Saint Gobain : ce dispositif a pour objectif de permettre la formation d’une quinzaine de stagiaires préalablement à leur embauche sur les métiers de caristes, par l’entreprise Saint Gobain. Un des sites de l’entreprise doit ouvrir dans les prochains mois à Pantin. Cette action est cofinancée par la Région Ile-de-France (14 000€) et par le Département de la Seine-Saint-Denis (8 500€).

L’animation du Pacte pour le Développement du Territoire d’Est Ensemble est cofinancée par la Région Ile-de-France à raison de 25 000€

La Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) cofinance l’étude territoriale menée dans le cadre du Contrat de Développement Territorial (CDT) Gestion Prévisionnelle Emploi Compétences sur le territoire, à raison de 10 000€.

Les permanentes d’accès au Droit dans les Points d’accès au droit et la Maison de Justice et du Droit continuent d’être financées par l’Agence Nationale pour la Cohésion Sociale et l’Egalité des Chances (ACSE) à raison de 77 000€.

De plus, cette année Est Ensemble élabore et anime en propre le Contrat de Ville. C’est une nouvelle compétence, la Communauté d’agglomération prenant en effet le relais des villes membres pour le co-financement d’actions programmées dans le cadre de l’appel à projet annuel du contrat de ville. Dans le cadre de ce transfert de compétences, les Villes membres participent au financement des actions pour un montant cumulé de 487 000€. L’évaluation de ce transfert de charges doit être actée par la CLECT au cours de l’année 2015.

Sport :

PROG. / ACTION BP 2014 BP 2015 QUALITE DES EQUIPEMENTS SPORTIFS - 15 500,00

ACTIONS SPORTIVES TRANSVERSALES - 15 500,00 SPORTS - SERVICES COMMUNS - 15 500,00 La Région Ile-de-France cofinance la réalisation du schéma directeur communautaire d’intervention sur les équipements aquatiques 2014-2026, autrement appelé « Plan Piscine », à raison de 15 500€.

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1.2 - Les produits des services

Les produits des services sont constitués essentiellement de redevance et du produit de la location de biens.

Cinémas32%

Bibliotèques0%

Conservatoires de musique et de danse

27%

Restaurant Inter‐Entreprises (Quadrium)

6%

Pépinière d'entreprises de

Montreuil4%

Plan Climat Energie Territorial

2%

Précollecte et collecte des déchets

ménagers8%

Equipements sportifs21%

Produits des services sur le budget principal, par programme

Administration générale :

FONCTION / OPERATION BP 2014 BP 2015

LOYERS ET CHARGES 284 000,00 285 000,00

ADMINISTRATION GENERALE DE LA COLLECTIVITE Les produits des loyers et charges en administration générale correspondent aux loyers du Restaurant Interentreprises installé au sein du Bâtiment Quadrium.

Bibliothèques : Les bibliothèques d’Est Ensemble sont gérée en régie directement par la Communauté d’agglomération. Leurs recettes correspondent, à titre d’exemple en fonction des délibérations tarifaires en vigueur sur chaque équipement, à des droits d’inscription de personnes résidant à l’extérieur de la Communauté d’agglomération, des remplacements de cartes d’abonnement, ou des pénalités pour livres perdus. Pour 2015, les recettes prévisionnelles d’élèvent à 100.00€.

Cinémas :


CINEMA LE 104 PANTIN 268 305,00 252 500,00

CINEMA LE MELIES MONTREUIL 484 836,00 142 090,00

CINEMA LE TRIANON ROMAINVILLE-NOISY 250 883,00 263 000,00

CINEMA MALRAUX BONDY 34 882,00 60 000,00

CIN'HOCHE BAGNOLET 69 454,00 99 000,00

MAGIC CINEMA BOBIGNY 114 152,00 113 000,00

NOUVEAU COMPLEXE MELIES - 568 364,00

CINEMAS ET AUTRES SALLES DE SPECTACLES 1 222 512,00 1 497 954,00

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Les recettes des Cinémas d’Est Ensemble correspondent aux droits d’entrée des Cinémas, à recettes publicitaires ou à la vente de produits (confiseries) :

Cette année, une partie des recettes du Méliès sera perçus sur l’ancien complexe, puis l’essentiel de la recette annuelle sera perçu au sein du nouveau complexe cinématographique comprenant six salles, ce qui explique la croissance des recettes sur cet équipement.

Le Cinéma André Malraux a réalisé un peu plus de recettes en 2014 que ce qui était prévu lors du BP2014, ce qui explique une augmentation des recettes inscrites au BP2015

Le Cin’Hoche de Bagnolet, lui, a perçu nettement plus de recettes que ce qui était budgété lors du BP2014, ce qui explique là aussi une augmentation des recettes prévues dans le cadre du BP2015

Prévention et valorisation des déchets :


COLLECTE TRADITIONNELLE 449 320,00 396 000,00

COLLECTE ET TRAITEMENT DES ORDURES MENAGERES 449 320,00 396 000,00

Les produits associés à la collecte traditionnelle sont composés principalement de la Redevance Spéciale appliquée aux entreprises en contrepartie du service d’enlèvement des ordures ménagères. L’institution de cette redevance est une obligation pour les collectivités et permet de financer l’élimination des déchets assimilés à des ordures ménagères mais produits par le commerce, l’artisanat et d’autres activités tertiaires.

Sur Pantin et Bagnolet, ce service est géré directement par Est Ensemble et doit générer 320 000€ de recettes environ. Sur Montreuil et Noisy-le-Sec, la gestion de ce service est déléguée à un prestataire et la recette est reversée par le délégataire à hauteur de 75 000€ de recettes prévisionnelles dans le cadre du BP2015.

Environnement et écologie urbaine :


SOCLE COMMUN DIAGNOSTIC INSTITUTIONNEL DES VILLES - 90 000,00

ENVIRONNEMENT - SERVICES COMMUNS - 90 000,00 Une recette de 90 000€ est perçue par la Communauté d’agglomération au titre du reversement par les Villes membre de leur participation à une commande groupée passée par Est Ensemble pour la réalisation de l’étude du Plan Climat Energie Territorial (PCET).

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Conservatoires de musique et de danse :


CRD MONTREUIL 360 000,00 350 000,00

CRD PANTIN 274 000,00 274 000,00

CRD ROMAINVILLE 136 000,00 136 000,00

CRM BONDY 75 000,00 75 000,00

CRM DE DANSE DE BAGNOLET 47 000,00 47 000,00

CRM LES LILAS 133 000,00 133 000,00

CRM MUSIQUE BAGNOLET 92 000,00 92 000,00

CRM NOISY 150 000,00 150 000,00

ECOLE DE MUSIQUE DU PRE ST GERVAIS - 40 000,00

EXPRESSION MUSICALE, LYRIQUE ET CHOREGRAPHIQUE 1 267 000,00 1 297 000,00 Les recettes des conservatoires correspondent aux droits d’inscriptions des usagers aux cours de musique et de danse, ainsi qu’aux locations d’instruments de musique. Ces recettes sont gérées et reversées par les villes à Est Ensemble. Néanmoins, à partir de la rentrée 2015/2016, la Communauté d’agglomération reprendra en régie directe la gestion de l’école de musique et de danse du Pré-Saint-Gervais qui était antérieurement gérée par une association.

Action économique :


PEPINIERE ATRIUM MONTREUIL 240 000,00 192 000,00

INTERVENTIONS ECONOMIQUES 240 000,00 192 000,00

Les recettes de la pépinière d’entreprises Atrium de Montreuil sont constituées des loyers payés par les entreprises locataires pour l’occupation de bureaux, ainsi que de certains services accordés aux entreprises, tels que par exemple l’accès au parking, le secrétariat (photocopies, affranchissement du courrier, etc.).

Equipements sportifs : les piscines


CENTRE NAUTIQUE JACQUES BREL BOBIGNY 430 000,00 225 000,00

PISCINE LECLERC PANTIN 45 000,00 55 000,00

PISCINE MICHEL BEAUFORT BONDY 97 000,00 85 400,00

PISCINE EDOUARD HERRIOT NOISY 45 000,00 92 000,00

PISCINE FERNAND BLANLUET PRE ST GERVAIS 45 000,00 45 000,00

PISCINE JEAN GUIMIER ROMAINVILLE 35 000,00 35 000,00

PISCINE LES MALASSIS BAGNOLET 30 000,00 32 000,00

PISCINE RAYMOND MULINGHAUSEN LES LILAS 30 000,00 30 000,00

STADE NAUTIQUE MAURICE THOREZ MONTREUIL 400 000,00 380 000,00

PISCINES 1 157 000,00 979 400,00

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Parmi les piscines transférées à la Communauté d’agglomération, seul le Centre Nautique Jacques Brel de Bobigny est géré en régie par la Communauté d’agglomération. Celui-ci n’a réalisé en 2014 que 215 163.35€ de recettes, ce qui est en deçà de la prévision effectuée lors du BP2014 et qui explique la diminution de recettes prévues dans le cadre du BP2015 sur cet équipement. Les autres piscines communautaires sont gérées en régie par les Villes membres qui reversent à Est Ensemble le produit perçu. Les produits des piscines sont constitués des droits d’entrée des usagers et des locations de la piscine par les associations sportives notamment.

1.3 - Les autres recettes sectorielles


ADMINISTRATION GENERALE DE LA COLLECTIVITE 130 200,00 125 000,00

LOYERS ET CHARGES 65 000,00 65 000,00

REMUNERATION DU PERSONNEL 65 200,00 60 000,00

EAU ET ASSAINISSEMENT 19 000,00 267 134,00

ACTION SOCIALE 18 621,00

PARTICIPATION AU BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMENT 19 000,00 70 000,00

REMUNERATION DU PERSONNEL 167 000,00

SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL 11 513,00

Total Autres Recettes 164 550,00 398 484,00

Les autres recettes sont constituées principalement:

Sur la fonction administration générale : Des remboursements sur rémunération du personnel (indemnités journalières versées par

l’assurance maladie en cas de congé maladie d’un agent, remboursement de salaire par un agent en cas de trop versé, etc.)

Sur la fonction eau et assainissement, les inscriptions correspondent à des remboursements du budget annexe assainissement au budget principal de dépenses effectuées par le budget principal au bénéfice de la compétence assainissement.

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2. Les recettes d’investissement : cofinancements des villes et des partenaires institutionnels

Les recettes d’investissement, en dehors des recettes globalisées, sont essentiellement constituées des cofinancements des Villes et des partenaires institutionnels. On constate que les cofinancements des partenaires institutionnels au BP2015 augmentent très fortement par rapport au BP2014 mais aussi par rapport au CA2014.

Ceci s’explique :

par le cycle de perception des subventions qui induit un décalage entre exécution des dépenses et perception de la recette.

par la montée en puissance des projets d’investissement générant des dépenses soutenues par les partenaires institutionnels

par une amélioration de la gestion des subventions au sein de la Communauté d’agglomération, qui se traduit notamment par une mobilisation des services en matière d’appels de fonds.

BP 2014 CA 2014 BP 2015

dont cofinancements des partenaires institutionnels 754 426,00 5 770 191,79 8 619 104,24 dont cofinancements des Villes 7 296 187,00 7 041 971,00 2 297 762,00 SUBVENTIONS 8 050 613,00 12 812 162,79 10 916 866,24

RECETTES DE SUBVENTIONS D'INVESTISSEMENT

Alors que l’Etat est le principal contributeur des subventions de fonctionnement d’Est Ensemble, c’est la Région Ile-de-France qui participe le plus au financement de l’investissement de la Communauté d’agglomération, avec 7 828 882.60€ de recettes prévues au BP2015, hors restes à réaliser (RAR) :

Etat et établissements nationaux

4%

Région Ile‐de‐France72%

Département de la Seine‐Saint‐Denis

3%

Communes membres d'Est

Ensemble21%

Autres0%

Subventions d'investissement inscrites au BP 2015 (hors RAR), par cofinanceurs

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Administration générale

PROG. ACTION BP 2014 BP 2015

BATIMENT "QUADRIUM" (0091201001) - 221 034,03

BATIMENTS DE L'ADMINISTRATION GENERALE (0091201) - 221 034,03

INFORMATIQUE ET RESEAUX (0101201002) - 120 000,00

SYSTEMES D'INFORMATION (0101201) - 120 000,00

- 341 034,03

Sur la fonction d’administration générale de la collectivité, le solde de la subvention de la Région Ile-de-France pour le financement des travaux effectués sur l’Hôtel d’agglomération, doit être appelé en 2015. Par ailleurs, une recette de 120 000€ versée au titre d’opérations effectuées pour compte de Tiers dans le cadre des travaux de réalisation du réseau de fibre optique.

Culture


CINEMA 6 SALLES MONTREUIL (9081203001) 1 936 702,00 2 835 874,00

EQUIPEMENTS CINÉMATOGRAPHIQUES (9081203) 1 936 702,00 2 835 874,00

AUDITORIUM DE BONDY (9081204010) 803 424,00 2 145 341,47

POLE CULTUREL DE BAGNOLET (9081204011) - -

NOUVEAU CONSERVATOIRE DE NOISY (9081204012) 1 351 640,00 1 351 640,00

NOUVEAU CRD DE ROMAINVILLE (9081204013) 880 366,00 -

NOUVEAU CRD PANTIN (9081204014) - -

ENSEIGEMENT MUSIQUE ET ARTS PLASTIQUES (9081204) 3 035 430,00 3 496 981,47

BIBLIOTHEQUE DES COURTILLIERES - PANTIN (9081301001) 212 368,00 -

EQUIPEMENTS LECTURE PUBLIQUE (9081301) 212 368,00 -

5 184 500,00 6 332 855,47

En investissement, les équipements culturels sont essentiellement subventionnés :

‐ Par le Centre National du Cinéma au titre de la numérisation des équipements culturels ‐ Par la Région Ile-de-France pour la construction d’équipements (Auditorium de Bondy et Nouveau

Complexe cinématographique du Méliès à Montreuil) ‐ Par le Département de la Seine-Saint-Denis également en ce qui concerne la construction de

l’auditorium de Bondy et l’acquisition de Pianos pour cet équipement ‐ Par les communes membres d’Est Ensemble

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Habitat et renouvellement urbain


PLAN DE SAUVEGARDE COPROPRIETE LA BRUYERE BONDY (0021201002) - 100 000,00

RHI 54 RUE RAYMOND LEFEBVRE MONTREUIL (0021201006) 8 000,00 87 022,64

ETUDE HABITAT INDIGNE FAUBOURGS (0021201021) - 25 500,00

LUTTE CONTRE HABITAT INDIGNE (0021201) 8 000,00 212 522,64

OPAH RU MONTREUIL (PNRQAD) (9021501001) - 31 250,10

RHI PANTIN 54 RUE DU PRE SAINT-GERVAIS (9021501016) - 103 423,00

RHI DU PRE SAINT-GERVAIS (9021501017) 287 921,00 338 316,00

LUTTE CONTRE L'HABITAT INDIGNE (9021201) 287 921,00 472 989,10

295 921,00 685 511,74

100 000€ de recettes d’investissement sont prévus sur le Plan de Sauvegarde des copropriétés de La Bruyère à Bondy, au titre du remboursement d’une avance de trésorerie. Les autres recettes en matière d’Habitat et le Renouvellement Urbain sont constituées de subventions versées par l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH), la Région Ile de France et les Villes membres d’Est Ensemble.

Sports


PISCINE ECOLOGIQUE HAUT-MONTREUIL (9031201008) 1 830 377,00 3 598 899,00

PISCINE LECLERC PANTIN (9031201010) 92 244,00 -

QUALITE DES EQUIPEMENTS SPORTIFS (9031201) 1 922 621,00 3 598 899,00

1 922 621,00 3 598 899,00

La piscine écologie des Hauts de Montreuil, dont les travaux doivent s’achever en 2015, a fait l’objet de nombreuses dépenses d’investissement en 2014. Ces dépenses étant soutenues par la Région Ile-de-France de nombreuses recettes d’investissement sont à prévoir en 2015 sur cette opération :

‐ 879 789€ devraient être versés au titre du solde de la subvention accordée dans le cadre du dispositif du Conseil Régionale portant sur le soutien au développement des piscines en Ile-de-France

‐ 2 663 810€ seront versés au titre du contrat « Grands Projets 3 – GP3 » entre la Région Ile-de-France et Est Ensemble : il s’agira également d’appeler le solde de cette subvention

‐ 55 300€ sont accordés par la Région Ile-de-France pour le cofinancement plus spécifiquement la toiture végétalisée de la piscine

La définition du projet et la programmation de la Piscine Leclerc de Pantin n’ayant pas encore été arrêtées, la recette de subvention d’un montant de 92 244€ qui devait être versée par la Ville de Pantin et qui avait été prévue au budget 2014, n’a pas été réalisée et n’est pas reconduite en 2015.

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Environnement et espaces verts


ELABORATION PLAN PREVENT DU BRUIT ENVIRONT (0041202001) - 12 546,00

ETUDES NQU PROTOTYPE (0041202004) - 121 500,00

SOUTIEN DEVELOPT MAITRISE DE L' ENERGIE (0041202005) - 3 420,00

ACTIONS ENVIRONNEMENTALES (0041202) - 137 466,00

PARC DES GUILLAUMES NOISY LE SEC (9041201006) 625 571,00 -

ESPACES VERTS TRAMES ECOLOGIQUES CAEE (9041201) 625 571,00 -

625 571,00 137 466,00

Quatre subventions du Conseil Régional d’Ile-de-France doivent être versées en 2015, l’une au bénéfice de l’élaboration du plan de prévention du bruit et les trois autre au titre des études menées dans le cadre des Nouveaux Quartiers Urbains.

De plus, dans le cadre des dispositifs des certificats d’économies d’énergie visant à valoriser les travaux d’économiques d’énergies réalisés sur le patrimoine de la Communauté d’agglomération, Est Ensemble a passé une convention avec le Syndicat Intercommunal de la Périphérie de Paris pour l'Electricité et les Réseaux de Communication (SIPPEREC) et perçoit à ce titre une compensation financière de 3 420€.

Prévention et valorisation des déchets


PROSP & PLPD (0161205002) 35 000,00 15 000,00

PROSPECTIVE ET PREVENT° COLLECTE DECHETS (0161205) 35 000,00 15 000,00

35 000,00 15 000,00

En matière de prévention et de valorisation des déchets, la recette d’investissement est constituée des cautions encaissées suite au prêt de composteurs à des particuliers dans le cadre des actions de prévention et de valorisation des déchets.

Aménagement urbain et environnement


ETUDES LIGNE 11 PROLONGEE (0011202007) 22 000,00 -

PROLONGEMENT TRAM T1 (0011202008) - 16 100,00

EXPERTISE ENJEUX DE DEVELOPPEMENT URBAIN (0011202) 22 000,00 16 100,00

22 000,00 16 100,00

En matière d’aménagement, l’étude du Plan Guide pour le prolongement du Tramway 1 donne lieu au versement d’une subvention de 16 100€ par le Département de la Seine-Saint-Denis.

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Action économique


PROJET PEPINIERE PANTIN (0051201002) - 25 000,00

PEPINIERE ATRIUM MONTREUIL (0051201003) 10 000,00 10 000,00

PARCOURS IMMOBILIER POUR LES ENTREPRISES (0051201) 10 000,00 35 000,00

10 000,00 35 000,00 La réalisation d’une étude économique sur l’éco quartier de Patin donne lieu au versement d’une subvention de la région Ile-de-France d’un montant de 25 000€ ; sur la pépinière Atrium de Montreuil, les recettes d’investissement sont constituées des cautions encaissées suite à l’installation d’un nouveau locataire au sein de la pépinière.

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III. LES DÉPENSES RÉELLES


Le total des dépenses réelles inscrites s’élève à 360,86 M€ (351,32 M€ hors restes à réaliser et reprise du résultat 2014 à rapporter au 340,35 M€ au BP 2014).

La progression apparente des dépenses de fonctionnement (+2,3%) entre le BP 2014 et le BP 2015 doit être relativisée et car elle repose essentiellement sur l’évolution de l’attribution de compensation (+4%) et des dépenses fiscales. Les subventions font également l’objet d’une importante augmentation qui témoignent de la dynamique des politiques publiques en matière de cohésion sociale, d’emploi et d’insertion, de contrat de ville ou encore d’habitat. La croissance des charges financières (+23%) est quant à elle plus structurelle et est liée au recours à l’endettement pour financer les opérations d’investissement 2014. Cela illustre la faiblesse des marges de manœuvre de l’Agglomération pour le financement de son investissement.

Cette situation est d’autant plus préoccupante que les efforts dégagés en 2015 ne pourront être prolongés en 2016 et que les dépenses réelles d’investissement connaissent une progression remarquable pour atteindre 68,84 M€ (62,6 M€ hors restes à réaliser à comparer aux 58,06M€ inscrits au BP 2014). Elle soulève la question de la soutenabilité budgétaire des projets d’investissements en cours et du véritable niveau des ambitions que la Communauté d’agglomération pourraient être en mesure de porter à l’avenir.

B. Les dépenses globalisées

1. L’attribution de compensation

Au cours de l’année 2014, la CLECT s’est réunie à plusieurs reprises afin d’examiner l’évaluation des charges nettes transférées qui restaient encore à évaluer. Lors des séances du 10 décembre 2014 et du 28 janvier 2015, la CLECT a arrêté les évaluations pour les compétences et postes de charges suivants :

‐ Personnel sur l’accès au droit

‐ Personnel non permanent

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‐ Fonctions ressources hors masse salariale

‐ Communication

‐ Entretien / nettoyage / gardiennage

‐ Régularisation des charges du Garde Chasse

‐ Habitat privé

‐ Espaces verts

‐ Certaines régularisations ou compléments d’évaluation sur les compétences « développement économique » et « aménagement »

Lors du Conseil communautaire du 10 février 2015, une attribution de compensation 2015 tenant compte de ces nouvelles évaluations a été approuvée. Elle s’élève au total à 175,8M€. Pour rappel, en 2014, l’Attribution de compensation provisoire s’élevait à 164,0M€.

L’attribution de compensation provisoire 2015 se décline par ville comme suit :

En 2015, la CLECT poursuivra son travail avec comme objectif de finaliser complètement l’évaluation des charges transférées et ainsi de déterminer une attribution de compensation définitive. Les charges qui restent à évaluer en 2015 sont les suivantes :

- Charges sur la compétence environnement

- Charges liées au nouveau transfert sur les « contrats de ville »

- Une éventuelle révision de l’évaluation des charges sur les déchets comme évoqué lors de la CLECT de janvier 2014

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2. Les reversements de fiscalité

Exonération des Auto-Entreprises

Le code général des Impôts1 prévoyait jusqu’au 31 décembre 2013 d’exonérer de Cotisation Foncière des Entreprises les auto-entreprises pendant les deux premières années suivant leur création. Ce dispositif est supprimé par la loi de finances pour 20142 de sorte qu’à partir du 1er janvier 2014, ce dispositif n’existe plus pour les auto-entreprises nouvellement créées. Toutefois, les contribuables ayant bénéficié d’une première exonération au titre de 2013 bénéficient également d’une exonération au titre de 2014 qui pèsera donc sur la CAEE en 2015. En 2014, Est Ensemble a supporté une dépense fiscale à hauteur de 443 960€ pour ce dispositif. En 2015, la dépense est estimée à 480 000€.

Plafonnement sur la Valeur Ajoutée des entreprises (PVA) ou Ticket modérateur

La Contribution Economique Territoriale, qui a remplacé la Taxe Professionnelle, est plafonnée en fonction de la valeur ajoutée de l’entreprise imposée : si elle excède 3,5% de la valeur ajoutée de l’entreprise3, cette dernière peut réclamer un écrêtement de sa CET. A compter de 2013, ce dégrèvement devait être en partie mis à la charge des collectivités territoriales4. Pour 2015, une enveloppe dédiée à ce dispositif est prévue, pour un montant identique à l’enveloppe de 2014, soit 682 550€.

3. La gestion active de la dette et de la trésorerie

L’encours de dette sur le budget principal de la CAEE s’élève au 1er janvier 2015 à 32 220 173 €.

La quote-part de cet encours à taux variable augmente de 3% par rapport à l’exercice précédent. Au regard de la tendance de la courbe des taux et de leur niveau historiquement bas, cette évolution est bénéfique à la CAEE.

Structure de la dette du budget principal

12,3M€(36%)

13,4M€(40%)

8,2M€(24%)

Au 1er janvier 2014

Fixe Variable Livret A

10,8M€(34%)

13,7M€(43%)

7,7M€(24%)

Au 1er janvier 2015

Fixe Variable Livret A

Ainsi le montant de l’encours à taux indexés s’élève à 21 383 435 €, soit 66% de l’encours. Au sein des emprunts indexés, on distingue les emprunts à taux variable (encours de 13 721 434 € soit 43% de l’encours) et les emprunts à taux révisable sur le Livret A (encours de 7 662 010 € soit 24% de l’encours). Le montant de l’encours à taux fixe sur ce budget s’élève à 10 836 738 €, soit 34% de l’encours.

1 1464K du Code Général des Impôts. 2 Article 76 de la loi n° 2013-1278 du 29 décembre 2013 de finances pour 2014 3 1647 B sexies du Code Général des Impôts 4 1647-0 B septies –I du Code Général des Impôts

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Annuité de la dette du budget principal

2,7M€3,3M€

1,1M€

1,4M€

0,0M€

0,5M€

1,0M€

1,5M€

2,0M€

2,5M€

3,0M€

3,5M€

4,0M€

4,5M€

5,0M€

2014 2015

Intérêts

Capital

L’annuité de la dette sur le budget principal de 2015 représentera 4 735 196 €, en hausse de 23,68% par rapport à 2014, correspondant pour 3 287 184 € au remboursement de capital et pour 1 448 012 € au paiement des intérêts. Cette dette est contractée pour soutenir les investissements de l’agglomération.

C. Les dépenses sectorielles de fonctionnement

Les dépenses réelles de gestion courante (hors attribution de compensation et reversement de fiscalité) s’élèvent à 108 M€ contre 109,11 M€ en 2014 soit une baisse de 1% masse salariale comprise (-2,1% sur les dépenses sectorielles5).

Ces dépenses restent dominées par les crédits relatifs à la fonction 0 « Services généraux » qui porte l’intégralité de la masse salariale (hors secteur de l’assainissement) et toutes les dépenses de gestion courante de l’assemblée communautaire et de son administration. Les autres dépenses se répartissent entre la prévention et à la valorisation des déchets (41,6M€), la culture (3,99M€) et les sports (3,06 M€)6. Cette décomposition est représentative de la rigidité structurelle des dépenses de la section de fonctionnement.

5 Les dépenses sectorielles correspondent aux dépenses réelles de fonctionnement ventilées sur les différentes fonctions prévues par l’instruction budgétaire M14 à l’exclusion des dépenses sur chapitres globalisées (attribution de compensation, reversement de fiscalité et charges financières).

6 Toutes ces dépenses comprennent les coûts de fonctionnement, entretien et maintenance des bâtiments communautaires.

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Culture 3,990 M€

Services généraux 53,301 M€

Habitat 1,051 M€

Aménagement urbain 2,008 M€

Prévention et valorisation des déchets 41,599 M€

Eau et assainissement 0,005 M€

Environnement et espaces verts 0,619 M€

Action économique 0,366 M€

Emploi, insertion et formation -Cohésion sociale 1,924 M€

Sports 3,062 M€

0 M€ 10 M€ 20 M€ 30 M€ 40 M€ 50 M€ 60 M€

1. Les services généraux

Personnel et ressources humaines


SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL (0181201001) 372 400,00 504 992,00

ACTION SOCIALE (0181201003) 622 000,00 816 732,00

ACTION SOCIALE ET SANTE AU TRAVAIL (0181201) 994 400,00 1 321 724,00

ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL (0181203001) 30 000,00 34 650,00

FORMATION (0181203002) 302 819,00 176 500,00

ADHESION (0181203005) 4 530,00 1 500,00

FRAIS DE MISSION (0181203006) 3 000,00 1 000,00

GESTION DES RECRUTEMENTS (0181203007) 57 000,00 39 000,00

GESTION DU HANDICAP (0181203008) 40 716,00 183 374,34

RECRUTEMENT FORMATION ET CONSEIL EN RH (0181203) 438 065,00 436 024,34

REMUNERATION DU PERSONNEL (0181204001) 43 818 863,00 42 835 221,50

REMUNERATION PERSONNEL EXTERIEUR (0181204002) 390 200,00 246 000,00

MASSE SALARIALE (0181204) 44 209 063,00 43 081 221,50

45 641 528,00 44 838 969,84

Compte tenu des contraintes budgétaires auxquelles doit faire face Est Ensemble, un objectif de maîtrise de la Rémunération du personnel a été fixé, revenant à en stabiliser l’inscription budgétaire au niveau du réalisé de l’année 2014 (42,41M€).

L’exercice doit être réalisé alors même que des effets mécaniques orientent naturellement la dépense à la hausse : glissement vieillesse technicité, primes de titularisations en application du plan de titularisation, augmentation des charges employeurs, reclassement indiciaire des agents de catégorie C ou encore fonds de compensation du SFT.

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En miroir, la proposition de budget propose donc des mesures d’économie ponctuelles avec la suppression de l’indemnité de compensation de la CSG versés aux agents titularisées avant 1998, la mise sous enveloppe des heures supplémentaires, la réduction du nombre de stagiaires indemnisés et des emplois saisonniers.

Plus largement un effort structurel de régulation des effectifs est engagé qui devra s’appuyer sur l’adaptation des organisations en place, la recherche d’une plus grande mutualisation des ressources en particulier avec les villes, une réflexion lors de chaque remplacement et la juste adéquation des besoins aux objectifs du service.

L’augmentation du programme « Action sociale et santé au travail » est en lien avec la progression des effectifs en 2014. L’essentiel des crédits correspond au frais liés à la restauration (581K€), aux cotisations d’assurance du personnel (380K€) et aux prestations du CNAS (224 K€). Elle porte également les actions poursuivis en matière de prévention des risques psychosociaux.

L’enveloppe « Recrutement et conseil en RH » est marquée par une baisse sensible de l’ensemble de ces postes à l’exception de celui relatif à la gestion du handicap qui correspond à la cotisation à verser au fonds, proportionnelle aux effectifs en situation de handicap accueillis au 1er janvier.

Conventions de mise à disposition


PERSONNEL MISE A DISPOSITION-MAD (0181206001) 3 947 832,00 3 166 821,05

CONVENTION MAD (0181206) 3 947 832,00 3 166 821,05

3 947 832,00 3 166 821,05

Les conventions de mise à disposition, qui courent jusqu’au 31 décembre 2015, permettent de mutualiser les dépenses liées au petit entretien des bâtiments et à la maintenance des systèmes informatiques pour 0,87 M €. Cependant, la gestion des systèmes informatiques est reprise progressivement par la Communauté d’agglomération. Par ailleurs, certains agents continuent d’être mis à disposition par leurs villes : il s’agit principalement du personnel des Espaces verts de Montreuil et de Bondy, des personnels du cinéma le Méliès à Montreuil et des personnel de l’espace culturel Anglemont des Lilas. Les mises à disposition de personnels représentent 2,3 M €.

Les supports et moyens techniques généraux


BATIMENT "QUADRIUM" (0091201001) 627 000,00 369 589,61

UNITE TECHNIQUE MONTREUIL (0091201003) 50 000,00 33 208,44

UNITE TECHNIQUE BOBIGNY (0091201004) 60 500,00 24 627,64

FLUIDES (0091201005) - -

DECHETERIE BONDY (0091201007) 12 500,00 4 200,00

DECHETERIE MONTREUIL (0091201008) 12 500,00 10 800,00

BATIMENTS DE L'ADMINISTRATION GENERALE (0091201) 762 500,00 442 425,69

762 500,00 442 425,69

Le programme « Bâtiments de l’administration générale » rassemble l’ensemble des crédits de fonctionnement nécessaires à l’entretien, à la maintenance et au règlement des énergies et fluides sur des équipements généraux de l’administration communautaire. La diminution est très significative (-40%) sur le Quadrium suite à la dénonciation du contrat de maintenance existant remplacé par de nouveaux marchés de maintenance à bons de commande beaucoup plus avantageux. Ils ont permis une rationalisation des coûts que l’on retrouve dans une moindre mesure sur les quatre autres équipements concernés : les deux unités techniques de Bobigny et Montreuil et les deux déchetteries de Montreuil et Bondy.

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TELECOMMUNICATION (0101201001) 145 500,00 196 200,00

INFORMATIQUE ET RESEAUX (0101201002) 452 500,00 529 500,00

SYSTEMES D'INFORMATION (0101201) 598 000,00 725 700,00

FOURNITURES ET PRESTATIONS DE SERVICES (0101202002) 1 087 715,00 1 108 055,00

VEHICULES (0101202003) 170 000,00 40 000,00

LOYERS ET CHARGES (0101202004) 946 300,00 864 838,00

PRESTIONS RELATIVES AUX AFFAIRES IMMOBILIERES (0101202006) 56 500,00 -

MOYENS LOGISTIQUES (0101202) 2 260 515,00 2 012 893,00

2 858 515,00 2 738 593,00

En ce qui concerne les « Systèmes d’information », la reprise en gestion directe par l’administration communautaire de 21 sites supplémentaires courant 2014 se traduit mécaniquement par une augmentation de l’enveloppe budgétaire. Ce changement de périmètre introduit corrélativement la maintenance d’un plus grand nombre d’équipements informatiques, l’abonnement et la formation à de nouveaux logiciels ainsi que des frais de télécommunication plus élevés en lien avec le personnel intégré. Pour atténuer cette hausse des crédits, des efforts particuliers ont été faits sur l’ensemble des autres postes (fournitures, études, achat de données et prestations de service). Il a par ailleurs été décidé d’internaliser à mi-année le système de messagerie ce qui devrait générer une économie évaluée à 35K€.

Selon la même logique l’enveloppe consacrée aux « Moyens logistiques » augmente sur certaines natures de dépense. Elle comprend notamment les frais de nettoyage (hors cinémas traités plus loin) qui progressent en lien avec la prise en charge de nouveaux sites à Bondy et Pantin notamment. Ces crédits financent également les dépenses liées au gardiennage et à la sécurité des bâtiments communautaires (Quadrium, déchetteries) qui seront revues à la baisse avec l’arrêt en cours d’année du gardiennage de nuit sur le Quadrium à l’issue du marché actuel, soit au 1er septembre 2015. Ce programme porte également les crédits de fournitures administratives, les divers contrats de locations mobilières, les frais de réceptions. Sur toutes ces lignes, seuls les besoins connus et récurrents ont été pris en compte afin de respecter l’objectif demandé de réduction des dépenses.

Les crédits d’entretien et de réparations des véhicules légers et de paiement du carburant sont fortement contenus (40K€) en lien avec la réduction de la flotte de véhicule (les chiffres présentés pour 2015 s’entendent hors véhicules spécifiques liées à la collecte des déchets présentés plus loin sous la thématique dédiée ; au total l’enveloppe est de 181K€ contre 170K€ en 2014).

Le programme « Loyers et charges » intègre les prévisions de dépenses établies sur le parc des locaux dont les baux sont gérés à ce jour par l’administration communautaire (661,4K€). Elles incluent également le règlement des différentes taxes foncières et autres impôts locaux dues sur les bureaux et sur les terrains acquis par l’Agglomération (171,43K€).

Supports juridiques et financiers


FONCTIONNEMENT DES ASSEMBLEES (0121201001) 5 000,00 2 500,00

COMMANDE PUBLIQUE (0121201002) 68 000,00 60 000,00

CONSEIL JURIDIQUE ET CONTENTIEUX (0121201003) 97 200,00 47 500,00

PROTECTION DES BIENS ET DES PERSONNES (0121201004) 190 000,00 196 000,00

AFFAIRES JURIDIQUES,ASSEMBLEE,CDE PUBLIQUE (0121201) 360 200,00 306 000,00

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HONORAIRES POUR CONSEILS FISCAUX ET AUTRES (0111208002) 89 000,00 87 380,00

COMMUNICATION (0111208003) 20 000,00 15 000,00

SUBVENTION AUX ASSOCIATIONS (0111208004) 1 500,00 1 500,00

RELATIONS PARTENARIALES (0111208) 110 500,00 103 880,00

470 700,00 409 880,00

Le programme « Affaires juridiques, assemblée et commande publique » diminue très sensiblement entre 2014 et 2015 suite à l’absence de contentieux en cours qui pourraient motiver la constitution d’une provision. Les inscriptions doivent permettre de satisfaire, dans le cadre de la commande publique, les besoins d’insertion dans les journaux d’annonces légales via l’achat de packs de publication sur internet (60K€), l’édition des actes de l’assemblée (2,5K€), les frais d’avocats et de représentation juridique notamment ceux liés aux opérations d’expropriation du secteur habitat (47,5K€). Enfin les contrats d’assurance pour la protection des biens et des personnes ont fait l’objet d’un nouveau marché permetttant une augmentation mesurée des tarifs malgré un taux d’accidentologie croissant qu’il convient de maîtriser (196K€). Les crédits du programme « Relations partenariales » financent les prestations d’assistance financière et fiscale effectuées par un cabinet de conseil en finances, désormais étendu à des missions de conseil en gestion de la dette et d’accès à un logiciel de suivi spécifique (87,38K€). Il comprend également l’impression des différents supports d’information budgétaire pour laquelle des solutions de mutualisation et d’économies avec les Villes devraient rapidement être mises en œuvre (15K€). Enfin, il porte la subvention à l’association des Directeurs Généraux de Services du 93 (1,5K€).

Partenariats extérieurs


FETES ET CEREMONIES (0141201001) 19 900,00 18 000,00

RELATIONS PUBLIQUES (0141201) 19 900,00 18 000,00

FONCTIONNEMENT DU CONSEIL DE DEVELOPPEMENT (0131201001) 32 500,00 15 000,00

FONCTIONNEMENT DU CONSEIL DEVELOPPEMENT (0131201) 32 500,00 15 000,00

CONTRAT DE DEVELOPPEMENT TERRITORIAL (0201201005) 46 500,00 20 000,00

PROJET DE TERRITOIRE (0201201007) 20 000,00 90 000,00

CP ASSOCIATIONS ELUS (0201201008) 85 000,00 77 400,00

PARTICIPATION AU GIP (0201201009) 3 000,00 -

ACTION EUROPEENNE (0201201010) 6 500,00 5 000,00

ACTION COOPERATION ET STRATEGIE TERRITORIALE (0201201) 161 000,00 192 400,00

ACCOMPAGNEMENT DES TRANSFERTS (0201202001) 71 000,00 -

ACTION ACCOMPAGNEMENT ET SUIVI DES TRANSFERTS (0201202) 71 000,00 -

284 400,00 225 400,00

Le programme « Relations publiques » (18K€) finance les manifestations institutionnelles, notamment la cérémonie des vœux réalisée en janvier dernier et satisfait à l’exercice attendu de baisse des dépenses de fonctionnement. De même, les crédits de « fonctionnement du Conseil de développement » sont réduits en l’attente d’une nouvelle définition des missions de cette instance de concertation suite au renouvellement de l’assemblée communautaire (15K€).

L’enveloppe du programme « Action coopération et stratégie internationale » favorise l’inscription d’Est Ensemble dans les réseaux territoriaux via l’adhésion aux principales associations de collectivités : assemblée des communautés de France, Paris Métropole, Association des maires des grandes villes de France (77,4K€). Elle porte également les moyens d’un approfondissement du projet de territoire d’Est Ensemble avec la mise en œuvre de la « Fabrique », atelier de projet qui doit assurer un rôle pivot dans le

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rapprochement des différentes démarches sectorielles et l’organisation d’un forum « regards croisés » (20K€) ainsi que la volonté de consolidation des compétences communautaires et d’élaboration d’un schéma de mutualisation en anticipant l’entrée dans la future Métropole (90K€). Parallèlement, une provision est inscrite au titre de l’action européenne pour accompagner la candidature d’Est Ensemble aux investissements territoriaux intégrés ou à d’autres dispositifs de coopération européenne (5K€).

Fonctionnement des instances communautaires


FRAIS DE REPRESENTATION (0141202001) 10 100,00 9 094,00

FRAIS DE REPRESENTATION (0141202) 10 100,00 9 094,00

REMUNERATION DES ELUS (0181202003) 906 072,00 801 000,01

FORMATION DES ELUS (0181202004) 128 160,00 58 160,00

FRAIS DE MISSION DES ELUS (0181202006) - -

REMUNERATION ET FORMATION ELUS (0181202) 1 034 232,00 859 160,01

REMUNERATION COLLABORATEUR DE GROUPE (0181204004) 192 360,00 190 000,00

MASSE SALARIALE (0181204) 192 360,00 190 000,00

1 236 692,00 1 058 254,01

Cet ensemble regroupe les crédits relatifs au fonctionnement de l’Assemblée communautaire (code fonctionnel 021 de l’instruction budgétaire M14). Conformément à la décision de l’exécutif, les indemnités de rémunération des élus sont ajustées à la baisse (–10 %) afin de contribuer à l’effort budgétaire demandé à la collectivité pour le bouclage de ce budget. Parallèlement, les dépenses de formation sont calibrées sur la base de l’exécution des crédits constatée en 2014.

Communication institutionnelle


INFORMATION, COMMUNICATION, PUBLICITE 280 850,00 137 066,00

COMMUNICATION HORS MEDIA (0151202) 280 850,00 137 066,00


AE COMMUNICATION MAGAZINE (8151201) 382 000,00 254 000,00

662 850,00 391 066,00

Le programme « Communication hors média » rassemble les dépenses de communication institutionnelle inscrites sur la fonction « 023 » information, communication et publicité. Pour 2015, il comprend le coût de conception et d’édition de l'ensemble des documents et des campagnes institutionnelles hors supports périodiques (87,8K€) : accompagnement La Fabrique et projet de territoire, rapport d'activité 2014, vœux 2016, routage des newsletters.

L’enveloppe finance également les frais de reportages photo dont les droits d’exploitation dans un souci d’économie et de mutualisation, seront étendus aux 9 villes à mi-année (33K€), une provision pour l’achat de matériel mobile et d’objets promotionnels divers accompagnent les manifestations portées par l’Agglomération, les frais d’hébergement des sites web et de la photothèque (6K€) ainsi que la réédition de la plaquette de présentation d’Est Ensemble (6,2K€).

Les dépenses liées au magazine communautaire « Est Ensemble Le Mag’ » sont isolées sur le programme « Communication magazine » dans le cadre d’une autorisation d’engagement (AE). En 2015, l’agenda culturel « Temps libre » changera de format et de support pour passer à une édition dématérialisée en ligne disponible à la rentrée de septembre, ce qui devrait générer une économie en année pleine estimée à 190K€.

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LA MAINTENANCE ET L’EXPLOITATION TECHNIQUE DES BÂTIMENTS COMMUNAUTAIRES

La maintenance est nécessaire au maintien de la qualité des lieux et des diverses fonctionnalités des bâtiments publics communautaires. Tout manque ou toute défaillance dans l’entretien peut avoir de graves conséquences au niveau de l’utilisation du bâtiment, de sa capacité à continuer à assurer les fonctions qui lui sont assignées. Certaines prestations de maintenance présentent un caractère obligatoire, principalement au titre de la sécurité des personnes et du Code du Travail. Ces réglementations portent sur les dispositifs bâtis et les équipements de sécurité et imposent des obligations d’entretien et de contrôles réguliers. Il est rappelé que les commissions de sécurité passent régulièrement dans les bâtiments à un rythme prévu par la règlementation . Chaque fois, il est nécessaire d’avoir un avis positif pour continuer à ouvrir l’équipement au public.

La maintenance se définit comme l’ensemble des activités destinées à maintenir ou à rétablir un bien dans un état ou dans des conditions données de sûreté de fonctionnement, pour accomplir une fonction requise. On distingue la maintenance préventive qui a pour objet de réduire la probabilité de défaillance ou de dégradation d’un bien ou d’un service rendu de la maintenance corrective intervenant après la défaillance du bien ou la dégradation de sa fonction.

Le terme exploitation en bâtiment recouvre les différentes dépenses et interventions destinées "à faire fonctionner" le bâtiment pour l'usage qui lui est affecté. Dans leur acception large, les charges d'exploitation désignent toutes les dépenses attachées directement au bâtiment : nettoyage, énergies et fluides (eau, électricité, gaz, etc.), nettoyage et gardiennage. Ces dernières prestations ne relèvant pas de la Direction des bâtiments ne sont pas reprises dans les graphiques ci-après.

Le patrimoine communautaire couvre aujourd’hui 46 équipements représentant une surface de 63.926 m² répartie sur les 9 communes membres de l’agglomération.

Ventilation des dépenses de maintenance et de fluides des bâtiments communautaires par ville, fonction d’équipement et nature de depénse.

Point d'accueil PNRQAD Montreuil

3,7 K€Bibliothèques

213,8 K€Cinémas303,5 K€

Conservatoires et centre des

arts plastiques170,1 K€

Pépinières, maison des métiers d'art

22,7 K€Maisons de

l'emploi, guichets uniques51,0 K€

Points d'accès au droit20,7 K€

Piscines2 678,1 K€

Eau867,2 K€

Electricité743,1 K€Gaz

930,4 K€

Chauffage98,0 K€

Entretien et réparations246,6 K€

Maintenance578,3 K€

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2. La culture

L’expression musicale, lyrique et chorégraphique


CRM MUSIQUE BAGNOLET (0081204001) 32 245,00 36 694,44

CRM BONDY (0081204002) 71 061,00 75 924,56

CRM LES LILAS (0081204003) 50 197,75 65 110,64

CRM NOISY (0081204004) 45 610,00 34 862,80

CRD MONTREUIL (0081204005) 145 795,75 132 148,04

CRD PANTIN (0081204006) 114 700,00 79 100,00

CRD ROMAINVILLE (0081204007) 53 853,50 41 700,00

ECOLE DE MUSIQUE DU PRE ST GERVAIS (0081204008) 305 700,00 168 000,00

LE PAVILLON PANTIN (0081204009) 45 373,00 43 574,64

AUDITORIUM DE BONDY (0081204010) 47 000,00 46 400,00

CRM DE DANSE DE BAGNOLET (0081204012) 15 500,00 14 950,00

EQUIPEMENTS D'ENSEIGT MUSIQUE, ARTS PLASTIQUES (0081204) 927 036,00 738 465,12

927 036,00 738 465,12 Les inscriptions proposées sur le programme « Equipements d’enseignement musical et d’arts plastiques » doivent notamment permettre d’assurer le fonctionnement régulier des bâtiments communautaires, les conservatoires de musique ou de danse à Bagnolet, Bondy, Les Lilas, Montreuil, Noisy-le-Sec et Pantin, le Pavillon des arts plastiques à Pantin, l’auditiorium à Bondy et désormais, à compter de juillet 2015, l’école de musique du Pré Saint-Gervais. Les coûts d’entretien et de maintenance courante, le règlement des énergies et des fluides sont estimés à 170,11K€. La part de l’enveloppe liée à l’activité proprement dite est globalement reconduite. Elle comprend notamment les crédits permettant de signer les contrats de cession de spectacles (166,8K€), la location des partitions (34,6K€), la réparation des instruments de musique (64K€), l’achat des consommables nécessaires ou encore le paiement des taxes et droits divers (SACEM). Elle intègre encore sur une durée de 6 mois la subvention accordée à l’association qui historiquement assurait la gestion de l’école de musique du Pré Saint-Gervais (159K€).

Les cinémas communautaires


CIN'HOCHE BAGNOLET (0081202001) 94 306,00 143 340,00

MAGIC CINEMA BOBIGNY (0081202002) 179 986,50 169 077,20

CINEMA MALRAUX BONDY (0081202003) 158 724,00 187 663,84

CINEMA LE MELIES MONTREUIL (0081202005) 376 549,00 118 960,00

CINEMA LE 104 PANTIN (0081202006) 241 009,00 278 480,20

CINEMA LE TRIANON ROMAINVILLE-NOISY (0081202007) 258 047,00 250 564,83

NOUVEAU COMPLEXE MELIES (0081202008) - 421 230,00

EQUIPEMENTS CINEMATOGRAPHIQUES (0081202) 1 308 621,50 1 569 316,07

FOURNITURES ET PRESTATIONS DE SERVICES (0101202002) 62 730,00 227 715,00

LOYERS ET CHARGES (0101202004° 189 700,00 160 000,00

EQUIPEMENTS CINEMATOGRAPHIQUES (0081202) 252 430,00 387 715,00

1 561 051,50 1 957 031,07

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Le programme « Equipements cinématographiques » porte les crédits liés au fonctionnement et à l’exploitation (hors personnel) des six cinémas communautaires. Il s’agit, pour partie, des dépenses liées à l’entretien courant, à la maintenance et au règlement des énergies et fluides des bâtiments (303,5K€). L’essentiel de l’enveloppe budgétaire demeure liée à la politique de diffusion cinématographique proprement dite afin de maintenir une offre riche, diversifiée et de qualité sur l’ensemble du territoire (687,8K€ sur le poste location de films) avec pour corollaire l’acquittement des différentes taxes de diffusion dûes à la SACEM, au CNC et autres organismes collecteurs (176,4K€). Il convient à ce propos de noter les premiers coûts d’exploitation du Méliès évalués à mi-année (421,2K€). Par ailleurs il est proposé de développer à mi-année le transport des films sur support numérique afin d’en diminuer de moitié le coût en tirant profit des travaux de fibre optique réalisés sur le territoire.

Des crédits sont isolés sur le programme « Moyens logistiques » piloté par la Direction des moyens généraux pour régler les frais de nettoyage des locaux comme certains contrats de locations de matériels ou plus spécifiquement les loyers et charges locatives du Magic cinéma à Bobigny ; l’augmentation de l’enveloppe résulte d’un changement de périmètre avec la prise en charge directe du cinéma André Malraux à Bondy et du Ciné 104 à Pantin.

Les équipements de lecture publique


BIBLIOTHEQUE DENIS DIDEROT BONDY (0081201001) 164 498,00 175 054,31

BIBLIOTHEQUE ANDRE MALRAUX LES LILAS (0081201002) 83 951,00 92 042,31

BIBLIOTHEQUE F. MITTERRAND LE PRE ST-GERVAIS (0081201003) 72 735,00 77 602,40

BIBLI. R. DESNOS + 3 BIBLI. QUARTIER MONTREUIL (0081201004) 301 035,00 320 639,51

BIBLIOTHEQUE ELSA TRIOLET ET 2 ANNEXES PANTIN (0081201005) 252 666,00 262 420,84

EQUIPEMENTS DE LECTURE PUBLIQUE (0081201) 874 885,00 927 759,37

874 885,00 927 759,37

Les inscriptions proposées sur le programme « Equipements de lecture publique » doivent permettre d’assurer le fonctionnement régulier des bâtiments (les coûts d’entretien et de maintenance courante, le règlement des énergies et fluides représentent 213,8K€ de l’enveloppe proposée) ainsi que l’amélioration des services proposés à la population au sein des différents équipements communautaires.

Le budget propose notamment des mesures correctives de rattrapage d’une offre globalement déficitaire au regard des recommandations des instances nationales, mais aussi déséquilibrée sur le territoire (c’est particulièrement le cas de la bibliothèque Diderot à Bondy mais aussi de la bibliothèque Malraux aux Lilas). L’enveloppe consacrée à l’acquisition de livres et CD détériorés, à la couverture et l’étiquetage de ces ouvrages s’élève à 521K€.

Les autres actions culturelles


MANIF. CULTURELLES RAYONNEMENT COMMUNAUTAIRE (0081205001) 150 000,00 50 000,00

MANIF. CULTURELLES RAYONNEMENT COMMUNAUTAIRE (0081205) 150 000,00 50 000,00

ACTIONS CULTURELLES TRANSVERSALES (0081206002) 80 000,00 203 900,00

DIRECTION DE LA CULTURE (0081206) 80 000,00 203 900,00

COMMUNICATION HORS MAGAZINE (0151202001) 147 400,00 118 400,00


377 400,00 372 300,00

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La relative stabilité des crédits consacrés aux actions culturelles transversales résulte d’un changement de périmètre puisqu’il a été décidé, pour en faciliter la gestion de rattacher à cette enveloppe, sous pilotage de la Direction de la culture, les dépenses associées aux personnels extérieurs (200K€) gérés par convention avec le Guichet unique du spectacle occasionnel (GUSO). Elles étaient auparavant fléchées sur l’enveloppe des ressources humaines.

A contrario les crédits précédemment consacrés au soutien des « Manifestations culturelles à rayonnement communautaire » sont supprimés pour faire face aux contraintes budgétaires s’imposant à l’Agglomération ; seule subsiste la subvention au Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil votée le 16 décembre 2014 (30K€) et une enveloppe de 20 K € dédiée à des actions transversales.

Des crédits sont isolés pour financer les cotisations mutualisées aux associations professionnelles des bibliothèques (3,9K€).

Les crédits de « Communication » correspondent à des provisions en vue des inaugurations programmées du CRD de Romainville et du nouveau Méliès à Montreuil (9K€), à l’édition des plaquettes rappelant les horaires d’ouverture des bibliothèques (2K€), à l’impression des supports d’information du Magic Cinéma à Bobigny (15K€) et du Trianon dont la communication est internalisée (72,4K€) ainsi qu’à une nouvelle édition de l’opération estivale « Reprises » à l’affiche de l’ensemble des cinémas communautaires (20K€).

3. Les sports


PISCINE LES MALASSIS BAGNOLET (0031201001) 168 566,50 189 591,24

CENTRE NAUTIQUE JACQUES BREL BOBIGNY (0031201002) 531 116,00 494 174,00

PISCINE MICHEL BEAUFORT BONDY (0031201003) 175 811,00 232 637,68

PISCINE TOURNESOL BONDY (0031201004) 97 822,00 136 399,28

PISCINE RAYMOND MULINGHAUSEN LES LILAS (0031201005) 75 524,00 174 044,40

PISCINE FERNAND BLANLUET PRE ST GERVAIS (0031201006) 226 071,00 223 228,48

STADE NAUTIQUE MAURICE THOREZ MONTREUIL (0031201007) 420 104,00 631 051,43

PISCINE EDOUARD HERRIOT NOISY (0031201009) 287 933,00 263 718,84

PISCINE LECLERC PANTIN (0031201010) 408 621,00 290 797,16

BASSIN MAURICE BECQUET PANTIN (0031201011) 75 245,12

PISCINE JEAN GUIMIER ROMAINVILLE (0031201012) 184 365,00 190 234,00

ACTIONS SPORTIVES TRANSVERSALES (0031201015) 35 000,00 94 000,00


MANIFESTATIONS SPORTIVES (0031202001) 120 000,00 -

MANIF. SPORTIVES RAYONNEMENT COMMUNAUTAIRE (0031202) 120 000,00 -

FOURNITURES ET PRESTATIONS DE SERVICES (0101202002) - 50 000,00

MOYENS LOGISTIQUES (0101202) - 50 000,00



2 737 933,50 3 061 621,63

L’enveloppe du programme « Qualité des équipements sportifs » comprend principalement l’ensemble des crédits nécessaires au fonctionnement quotidien des piscines communautaires : maintenance, entretien courant, énergies et fluides (2,68 M€). L’augmentation faciale de BP à BP doit être relativisée et appréciée en lien avec la diminution concomitante des frais de mise à disposition suite à la reprise en gestion directe par Est Ensemble de la plupart des contrats courant 2014.

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L’enveloppe budgétaire couvre également sur les dépenses liées aux produits de traitement chlorés (111K€) dont le montant a fortement diminué sous l’effet conjoint d’un achat groupé sur marché communautaire et d’un meilleur entretien des différentes installations techniques de traitement de l’eau. Elle intègre aussi les prestations et coût des pièces de réparation des machines spécifiques (monobrosse, filtres, autolaveuse).

La ligne « Actions sportives transversales » assure le financement des prestations de contrôle de l’eau et de déchloraminateur (26K€), l’achat des équipements de protection individuelle et de travail des maîtres-nageurs (27K€), les frais associés au pass’agglo (10K€) ainsi que le solde de l’étude de définition du schéma directeur des piscines communautaires (21K€).

Le programme « Moyens logistiques » porte les crédits nécessaires à l’acquisition des produits d’entretien courant dont la commande et le suivi est assurée par la Direction des moyens généraux (50K€). Les crédits de « Communication » (16,5K€) doivent quant à eux permettre l’édition des supports info usagers (plaquette horaires, affichettes proximité..).

Il convient de noter, compte tenu des efforts de gestion demandés pour l’élaboration de ce budget primitif, l’impossibilité de reconduire en 2015 l’enveloppe jusqu’alors consacrée au soutien aux manifestations sportives à rayonnement communautaire.

4. Emploi, formation, insertion et cohésion sociale

L’accès au droit et la cohésion sociale


KIOSQUE LES LILAS (0071201001) 150,00 -

POINT D'ACCES AU DROIT LE PRE ST GERVAIS (0071201002) 900,00 -

POINT D'ACCES AU DROIT MONTREUIL (0071201003) 1 510,00 6 080,80

POINT D'ACCES AU DROIT NOISY (0071201004) 343,00 2 961,60

MAISON DE LA JUSTICE ET DU DROIT PANTIN (0071201005) 10 166,00 11 669,60

PARTICIPATION AU CDAD (0071201007) 22 500,00 20 000,00

AIDE AUX VICTIMES (0071201011) 17 900,00 16 900,00

AVOCAT GENERALISTE (0071201012) 51 600,00 51 000,00

DROIT DE LA CONSOMMATION ET DU SURENDETTEMENT (0071201013) 10 600,00 8 900,00

DROITS DES ETRANGERS (0071201014) 16 900,00 12 000,00

DROIT DES FEMMES ET DES FAMILLES (0071201015) 21 800,00 18 400,00

DROIT DU LOGEMENT (0071201016) 31 000,00 34 000,00

DROIT DU TRAVAIL (0071201017) 13 900,00 18 700,00

ECRIVAIN PUBLIC (0071201018) 11 300,00 10 700,00

MEDIATION FAMILIALE (0071201019) 33 400,00 21 500,00

ACTIONS COLLECTIVES (0071201020) 6 000,00 2 900,00

ACCES AU DROIT (0071201) 249 969,00 235 712,00

ELABORATION SUIVI ET ANIMATION CONTRAT DE VILLE (0071203001) 90 000,00 507 000,00

CONTRAT DE VILLE (0071203) 90 000,00 507 000,00



358 969,00 752 912,00

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Le programme « Accès au droit » correspond pour l’essentiel au financement des permanences d’aide à l’accès au droit dans les Points d’accès au droit et la Maison de Justice et du Droit, tenues par des prestataires sélectionnés, écrivain public, médiateur ou avocat.

En 2014, 990 permanences ont été financées par Est Ensemble. Les ajustements proposés sur l’enveloppe de crédits (192,1K€) reposent sur un ajustement du nombre de permanence sur chacune des thématiques proposées en fonction de la demande des habitants : réduction de celles consacrées à la médiation familiale, augmentation en revanche des sessions relatives au droit des femmes et des familles, au droit du logement ou encore au droit du travail. Au total le nombre de permanences financées en 2015 serait de 983, soit une relative stabilité par rapport à 2014.

Les inscriptions budgétaires couvrent par ailleurs la participation d’Est Ensemble au Comité départemental de l’accès au droit – CDAD (20K€), le financement d’actions collectives d’accès au droit (interventions de professionnels lors de journées des partenaires et des professionnels, actions collectives d’information sur certaines thématiques pour 2,9K€) ainsi que le coût d’entretien, de maintenance et des énergies et fluides nécessaires au bon fonctionnement des équipements communautaires (20,7K€).

L’enveloppe du programme « Elaboration et suivi du contrat de ville » marque la nouvelle compétence communautaire en matière de politique de la ville issue de la loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 21 février 2014. Elle correspond, pour l’essentiel, au cofinancement des actions qui pourront être retenues dans le tableau de programmation du contrat de ville, évaluées sur la base des subventions effectivement accordées par les villes sur la période 2012-2014 en dehors de toutes dépenses de valorisation de l’action communale (487K€). Il faut lui ajouter les moyens d’une assistance à la mise en place du nouveau contrat de ville adopté en février 2015: conseils citoyens, pacte financier et fiscal (20K€).

Les crédits de « Communication » (10,2K€) correspondent au solde de l’opération « Parlons quartiers » et aux frais d’édition de la synthèse du contrat de ville.

L’emploi et l’insertion


MAISON DE L'EMPLOI BAGNOLET (0061201001) 9 630,00 3 761,60

MAISON DE L'EMPLOI NOISY (0061201002) 7 756,00 8 807,20

MAISON DE L'EMPLOI PANTIN (0061201003) 21 432,00 38 448,67

MAISONS DE L'EMPLOI ET GUICHETS UNIQUES (0061201) 38 818,00 51 017,47

SOUTIEN AUX PORTEURS - EMPLOI ET INSERTION (0061202016) 865 000,00 1 053 500,00

SOUTIEN - ADHESION AUX TETES DE RÉSEAU (0061202017) 12 000,00 12 000,00

ETUDES ET PRESTATIONS INTELLECTUELLES (0061202018) 63 100,00 34 500,00

EVENEMENTIELS (0061202019) 26 000,00 11 000,00

ACCOMPAGNEMENT VERS L'EMPLOI (0061202) 966 100,00 1 111 000,00



1 016 418,00 1 171 417,47

Le programme « Maison de l’emploi et guichets uniques » porte les crédits de maintenance et de fonctionnement (entretien courant, fluides, énergie, vérifications périodiques, etc.) sur les trois structures communautaires d’accueil du public (51K€).

La politique communautaire en faveur de l’emploi, de la formation et de l’insertion est plus spécifiquement déclinée au sein du programme « Accompagnement vers l’emploi », à travers notamment le soutien aux porteurs de projet dans ce domaine.

Parmi ces actions figurent le financement du « volet emploi » des contrats urbains de cohésion sociale

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(CUCS) dont l’inscription 2015 a été alignée sur le montant retenu en CLECT (266K€), les crédits nécessaires à l’appel à initiatives lancé annuellement par Est Ensemble pour accompagner les propositions d’actions encourageant l’emploi, l’insertion et la formation au bénéfice des habitants du territoire (100K€) ainsi que le soutien au dispositif d’accompagnement des créateurs d’entreprises DUCA porté par l’association Mode d’Emploi (5K€).

Des subventions seront également accordées à deux projets, la Passerelle emploi conduit avec l’entreprise Saint Gobain qui a pour objectif de permettre la formation d’une quinzaine de stagiaires préalablement à leur embauche par l’entreprise sur les métiers de caristes (22,5K€) et le projet mobilité des jeunes dans le cadre du dispositif européen Initiative pour l’Emploi des Jeunes (IEJ) éligible au FSE qui doit permettre à 40 jeunes de partir à l’étranger tout en les mobilisant sur la découverte de filières d’activité prioritaires : éco construction, artisanat d’art, hôtellerie, services aux personnes (60K€).

L’augmentation de l’enveloppe 2015 résulte cependant pour l’essentiel de la subvention versée au nouveau PLIE communautaire et à son support, l’association « Ensemble Pour l’emploi » (600K€), lieu de coordination et d’articulation des politiques en matière d’emploi menées sur notre territoire conformément à la délibération votée le 16 décembre 2014.

Par ailleurs, les crédits inscrits sur ce programme doivent permettre, d’une part, de maintenir l’adhésion d’Est Ensemble à l’Association Nos Quartiers ont des Talents (12K€) qui accompagne spécifiquement les jeunes diplômés et, d’autre part, d’organiser divers événements tels « la journée des acteurs » (6,5K€) ou encore les forums de l’emploi qui touchent, pour chacun d’entre eux 400 à 500 personnes, avec la participation active de 150 entreprises du territoire, des organismes de formation (11K€).

Enfin, dans le cadre du Pacte pour le développement du territoire signé avec la Région Ile-de-France, il est proposé d’engager une étude sur la territorialisation des actions emploi dans le cadre du travail sur les Maisons de l’Emploi et la Gestion Prévisionnelle des Emploi et des Compétences Territoriales (28K€).

Les crédits de « Communication » (9,4K€) doivent assurer le financement des campagnes proximité des forums de l'emploi (3 éditions) et matins de l'emploi (18 éditions).

5. Habitat


OPAH RU MONTREUIL (PNRQAD) (0021201001) 431 600,00 5 650,00

PLAN DE SAUVEGARDE COPROPRIETE LA BRUYERE BONDY (0021201002) 221 000,00 122 307,00

PROGRAMME MULTI-SITES MONTREUIL BAGNOLET (0021201003) 10 000,00 -

OPAH SECTEUR CENTRE SUD PANTIN (0021201008) 14 515,00 -

OPAH PRE ST GERVAIS (0021201009) 127 818,00 20 634,00

OPAH-CD BOBIGNY (0021201011) 126 000,00 40 928,50

OPAH-CD NOISY (0021201013) 94 634,00 20 480,88

OPAH CD ROMAINVILLE (0021201018) 202 050,00 51 875,32

RHI DES 7 ARPENTS PANTIN (0021201019) 26 976,00 37 852,00

FORMATION ACTION SYNDICS BENEVOLES (0021201020) 3 000,00 -

ETUDE HABITAT INDIGNE FAUBOURGS (0021201021) 30 000,00 -

ETUDE HABITAT INDIGNE BOBIGNY (0021201022) 40 000,00 15 342,00

MISSION POST OPAH PANTIN 4 CHEMINS SUD (0021201025) 18 000,00 18 000,00

REPRESENTATION JURIDIQUE POUR EXPROPRIATION (0021201026) 10 000,00 -

OPAH RU BAGNOLET (PNRQAD) (0021201027) - 1 000,00

LUTTE CONTRE HABITAT INDIGNE (0021201) 1 355 593,00 334 069,70

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2ND PLAN DE SAUVEGARDE COPRO LA BRUYERE BONDY (8021501002) - 90 000,00

PROGRAMME MULTI-SITES MONTREUIL BAGNOLET (8021501003) - 60 000,00

OPAH PRE SAINT-GERVAIS (8021501009) - 100 024,00

OPAH-CD BOBIGNY (8021501011) - 157 043,50

OPAH-CD NOISY-LE-SEC (8021501013) - 67 748,12

OPAH-CD ROMAINVILLE (8021501018) - 160 383,68

AE LUTTE CONTRE HABITAT INDIGNE (8021501) - 635 199,30

ELABORATION ET MISE EN OEUVRE DU PLH (0021202001) 125 000,00 42 080,00

DONNEES DOCUMENTATION ANNONCES LEGALES (0021202003) 5 000,00 3 000,00

POLE ETUDES (0021202006) 23 200,00 2 000,00

SOUTIEN OFFRE HABITAT SUR TERRITOIRE (0021202) 153 200,00 47 080,00

RENOUVELLEMENT URBAIN (0021204002) 150 000,00 18 000,00

RENOUVELLEMENT URBAIN (0021204) 150 000,00 18 000,00



1 666 193,00 1 050 849,00

Le programme « Lutte contre l’habitat indigne » porte les crédits des actions conduites par Est Ensemble au titre de l’équilibre social de l’habitat et plus globalement l’amélioration du parc immobilier bâti sur le territoire communautaire. La baisse apparente de l’enveloppe entre les budgets primitifs 2014 et 2015 résulte du passage en section d’investissement des crédits consacrés à l’OPAH-RU de Montreuil confiée par mandat à la SOREQA. L’enveloppe budgétaire finance essentiellement la poursuite des missions de suivi-animation lancées depuis fin 2012 dans le cadre d’opérations programmées d’amélioration de l’habitat (OPAH) au Pré Saint-Gervais, à Bobigny, à Noisy-le-Sec ou encore à Romainville y compris les éventuels frais d’hébergement associés (0,632M€). Le caractère pluriannuel de ces engagements se traduisant par des marchés d’une durée de 5 ans et la volonté de proposer une vision consolidée de cette politique publique permettant de déterminer le socle des dépenses à venir ont déterminé leur passage à une gestion en autorisations d’engagement (AE) et crédits de paiement, pendant en fonctionnement des AP/CP. Cette situation nouvelle à l’occasion de l’adoption du budget primitif 2015 en avril explique l’apparente et transitoire complexité de la structure budgétaire présentée ; les dépenses courant de janvier à mars ayant été réglées sur l’ancienne nomenclature. Le schéma en AE/CP ne s’applique pas aux opérations en voie d’achèvement telles le solde du suivi-animation et de la mission d’évaluation du premier plan de sauvegarde de la copropriété La Bruyère ainsi que le financement de l’ingénierie de portage confiée à Osica (122,3K€). Il n’a également pas été retenu sur les dépenses de fonctionnement associées à l’opération de résorption d’habitat insalubre (RHI) des 7 arpents à Pantin (37,85K€) : frais d’assistance juridique, de déménagement, d’hébergement ou encore de taxes foncières et charges de copropriétés liées aux acquisitions. De même les crédits liés études pré-opérationnelles demeurent gérés en annuel. Il s’agit du solde de l’étude conduite sur la copropriété Paul Eluard à Bobigny (15,34K€), de la la poursuite de la mission post-OPAH sur les deux secteurs centre sud et 4 chemins à Pantin afin de garantir la fin d’exécution des travaux engagés et le versement des subventions notifiées (18K€). A noter enfin que l’inscription de crédits de maintenance et d’entretien du local accueillant l’équipe en charge du programme d’OPAH-Renouvellement urbain à Montreuil dans le cadre du périmètre PNRQAD.

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Les inscriptions sur le programme « Soutien à l’offre d’habitat sur territoire » doivent permettre de finaliser l’élaboration du programme local de l’habitat (PLH) avec le solde du marché engagé en 2014 (42K€), l’adhésion à l’association nationale des collectivités pour l’habitat participatif (2K€) ainsi qu’une provision pour les frais de publication des annonces légales (3K€).

Enfin les crédits inscrits sur le programme « Renouvellement urbain » (18K€) doivent permettre d’initier la démarche liée au protocole de préfiguration des nouvelles conventions de renouvellement urbain à venir avec l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU).

L’enveloppe du programme transversal « Communication hors magazine » (16,5K€) doit assurer l’édition du support synthèse du PLH ainsi que le financement des différents outils d’information de proximité sur toutes les opérations d’habitat portées par Est Ensemble (affichettes annonces réunions publiques, dépliants "guide des aides et interlocuteurs").

6. L’aménagement urbain, les espaces verts et l’environnement

L’aménagement et les déplacements


PROJET URBAIN (0011202001) 2 500,00 -

PRESTATIONS LIEES AUX OPERATIONS D'AMENAGEMENT (0011202002) 70 000,00 58 500,00

ANNONCES LEGALES (0011202006) 15 000,00 8 000,00

EXPERTISE ENJEUX DE DEVELOPPEMENT URBAIN (0011202) 37 500,00 66 500,00

PROLONGEMENT METRO LIGNE 11 (0011203001) 5 000,00 5 000,00

PLAN LOCAL DE DEPLACEMENTS (0011203003) 154 000,00 105 620,00

EXPLOITATION DES NAVETTES (0011203005) 585 207,00 589 000,00

MOBILITE SUR LE TERRITOIRE (0011203) 744 207,00 699 620,00

PARTICIPATION AU BUDGET ANNEXE ZAC (0111210002) 487 264,00 1 237 792,00

FLUX ENTRE BUD PRINCIPAL-BUD ANNEXE (0111210) 487 264,00 1 237 792,00



1 278 971,00 2 007 912,00

Le programme « Expertise enjeux de développement urbain» regroupe les crédits d’études en matière d’écologie urbaine (45K€) liés aux projets d’aménagement portés par l’agglomération (études pollution, diagnostics énergétiques,…), la subvention accordée au Comité départemental du tourisme dans le cadre des activités autour du Canal de l’Ourcq (10K€), les frais liés à l’organisation du Forum des projets urbains (3,5K€) ainsi qu’une provision pour le règlement des annonces légales en matière d’aménagement et d’urbanisme (8K€). L’inscription budgétaire relative aux charges d’exploitation des navettes de proximité qu’Est Ensemble assume en sa qualité d’autorité organisatrice de proximité (AOP) est globalement stable ; Il s’agit du financement des services réguliers locaux mis en place à Bondy (TUB : 280 K€), au Pré Saint-Gervais (P’tit Bus du Pré : 175 K€) et aux Lilas (Till’Bus : 134 K€) pour répondre aux besoins des populations locales. L’enveloppe du programme « Mobilité sur le territoire » finance également le processus d’élaboration du plan local de déplacement (PLD) qui doit s’achever courant 2015 (101,6K€) ainsi qu’une étude portée par le Département de Seine Saint-Denis sur le transport fluvial des déchets des chantiers aux abords du Canal de l’Ourcq (4K€). Elle permet enfin le règlement de la cotisation à l’association de prolongement de la ligne 11 (5K€). Le flux de « participation du budget principal au budget annexe » des projets d’aménagement isole les crédits nécessaires à l’équilibre de sa section de fonctionnement. L’augmentation sensible de son

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montant (1,24M€) est liée à la nécessité de compenser l’effet de l’amortissement des participations versées aux villes et aux aménageurs. Enfin les dépenses de « communication » (4K€) correspondent à l’édition d’un support de synthèse du Plan local déplacement ainsi qu’à la mise à jour du dépliant d’information sur les navettes de proximité.

Les espaces verts


BOIS DE BONDY (0041201002) 30 000,00 15 000,00

BASE LOISIRS DE LA CORNICHE DES FORTS (0041201007) 100 000,00 100 000,00

PARC DES GUILLAUMES NOISY (0041201009) 180 000,00 5 000,00

ENTRETIEN DES ESPACES VERTS (0041201010) - 200 000,00

ESPACES VERTS FUTURES TRAMES ECOLOGIQUES (0041201) 310 000,00 320 000,00

310 000,00 320 000,00

Les crédits du programme « Espaces verts – futures trames écologiques » doivent permettre de financer la maintenance d’entretien des espaces verts de plus de 5 hectares transférés à l’Agglomération, prestations courantes de propreté et de sécurisation (taille) assurées par le biais d’un marché attribué courant 2014 (200K€). Les montants isolés sur le Bois de Bondy correspondent à la location, la propreté et les dépenses de fluides des sanitaires du bâtiment démontable remplaçant l’ancien chalet des éco-gardes (15K€) et aux fluides sur le Parc des Guillaumes à Noisy-le-Sec (5K€).

L’enveloppe assure également le règlement de la participation au Syndicat mixte d’études et de gestion de la Base régionale de plein air et de loisirs (BPAL) de la Corniche des forts (97 250 €).

L’environnement


PARTICIPATION A DES ASSOCIATIONS (0041202002) 53 000,00 15 000,00

SOUTIEN DEVELOPT MAITRISE DE L' ENERGIE (0041202005) 40 000,00 45 000,00

ETUDES SUPPORTS (0041202010) 55 000,00 -

ACTIONS ENVIRONNEMENTALES (0041202) 148 000,00 60 000,00

CONCERTATION MOBILISATION DU PCET (0171201002) 200 000,00 160 000,00

PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIALE (0171201) 200 000,00 160 000,00



ELABORATION AGENDA 21 (0171202003) 100 000,00 65 124,00

PROJET TERRITORIAL DE DEVELOPPEMENT DURABLE (0171202) 100 000,00 65 124,00

469 700,00 299 124,00

Le programme « Actions environnementales » porte les crédits liés à l’adhésion d’Est Ensemble aux principaux acteurs de l’environnement en Ile-de-France dont les moyens et l’expertise viennent enrichir la réflexion poursuivie par notre collectivité en ce domaine : Naturparif, Bruitparif ou encore Amorce. Cependant l’étendue de ces partenariats a dû être sévèrement revue à la baisse (14K€) de même que la subvention à l’association Jardins des colibris (1K€).

En matière de soutien au développement de la maîtrise de l’énergie, l’action communautaire peut compter sur la reconduction du partenariat avec l’Agence locale de l’Energie MVE (40K€) et sur les premiers crédits associés à la mise en place d’une Plateforme Locale de la Rénovation Energétique (PLRE) dont l’objectif est d’accompagner le particulier dans le projet de rénovation de son logement en proposant des parcours de services coordonnés et adaptés aux situations particulières aussi bien sur le plan de l’ingénierie technique que financière (les crédits sont répartis sur les budgets de 3 directions – au total 15 k€ sont inscrits).

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L’enveloppe du programme « Plan Climat Energie Territorial » doit permettre de financer la mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage qui doit accompagner l’Agglomération dans la mise en œuvre de ce plan d’actions obligatoire pour les collectivités territoriales et E.P.C.I de plus de 50 000 habitants, et notamment pour la réalisation des Profils Climat (bilans carbone et études) de l’Agglomération, des villes et des bailleurs sociaux (160 K€). Il convient de préciser que cette démarche, conduite avec le soutien de l’ADEME et coordonnée par Est Ensemble, fait l’objet d’un groupement de commande avec les 9 communes qui contribuent au financement de 27 actions.

Enfin, les crédits relatifs à l’élaboration d’un « Projet territorial de développement durable » doivent permettre de poursuivre la démarche d’Agenda 21 dans laquelle s’est engagée Est Ensemble au niveau de l’éco-responsabilité de l’administration comme des politiques publiques sectorielles conduites par la collectivité.

Les moyens accordés à la « Communication hors magazine » (14K€) doivent permettre de promouvoir l’initiative « Familles à énergie positive » et les besoins de concertation et de communication autour du PCET et des initiatives entourant la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP 21).

7. Les services urbains

La politique de l’eau


PARTICIPATION AU BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMENT (0111210001) 300 000,00 300 000,00

EAUX POTABLES (0191201) 300 000,00 300 000,00

INSTALLATIONS (0191201001) 10 000,00 5 000,00

EAUX POTABLES (0191201) 10 000,00 5 000,00

310 000,00 305 000,00

L’enveloppe de crédits consacrée à la politique de l’eau correspond pour l’essentiel, sur le budget principal, à la participation reversée au budget annexe d’assainissement au titre de ses interventions sur le réseau des eaux pluviales (300K€).

révention et valorisation des déchets


SITOM & SYCTOM (0161201001) 19 422 270,00 19 725 145,00

TRAITEMENT COMPETENCE DU SYCTOM VIA SITOM 93 (0161201) 19 422 270,00 19 725 145,00

COLLECTE TRADITIONNELLE (0161202001) 19 183 821,00 19 311 592,00

dont propreté (collecte tas sauvages et corbeilles de rue) 1 868 668,00

PRECOLLECTES (0161202005) 1 150 502,00 1 144 760,00

dont propreté (collecte tas sauvages et corbeilles de rue) 89 760,00

COLLECTE PNEUMATIQUE (0161202006) 446 175,00 454 500,00

COLLECTE TRADITIONNELLE MARCHES MIXTES (0161202008) 209 500,00 -

PRECOLLECTE ET COLLECTE DES DMA AU QUOTIDIEN (0161202) 20 989 998,00 20 910 852,00

EQUIPEMENT TRAVAIL ET OUTILLAGE (0161203001) 66 000,00 131 986,00

FONCTIONNEMENT DPVD (0161203002) 180 310,00 114 673,00

MISE A DISPOSITION (0161203003) 71 000,00 -

ANIMATION, RELATIONS USAGERS (0161203004) 11 200,00 3 430,00

MOYENS GENERAUX ET COMMUNICATION (0161203) 328 510,00 250 089,00

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PROSP & PLPD (0161205002) 90 000,00 476 857,00

PROSPECTIVE TRI VALORISATION (0161205003) 62 500,00 -


VEHICULES (0101202003) - 141 000,00

MOYENS LOGISTIQUES (0101202) - 141 000,00



40 907 478,00 41 598 943,00

Le programme « Traitement compétence du SYCTOM via SITOM 93 » porte la contribution d’Est Ensemble aux prestations de traitement des ordures ménagères réalisées par les organismes de regroupement SITOM 93 et SYCTOM. Cette contribution comprend, en premier lieu, une part forfaitaire fonction de l’estimation INSEE de la population desservie à laquelle s’ajoute une participation au frais de fonctionnement du SITOM93 (2,73 M€).

Elle correspond en second lieu à la rémunération proprement dite du traitement des déchets, fonction de l’application du tarif à la tonne (97,46 euros la tonne en diminution par rapport à celui appliqué en 2014) à l’estimation prévisionnelle des tonnages collectées.

Les crédits inscrits pour 2015 (17M€) prennent en compte cet effet prix favorable même s’il ne permet pas de compenser l’augmentation prévisible des tonnages collectés (+2,3%), notamment ceux des encombrants et des tas sauvages. En matière d’ordures ménagères, l’année 2015 devrait correspondre à un retour au tonnage médian constaté entre 2007 et 2011.

L’enveloppe portant sur les différentes prestations de « précollecte et collecte traditionnelle », assurées dans le cadre des marchés communautaires, prend en compte l’ajustement des révisions applicables aux prestations des titulaires évaluées à 2% (clauses prévues dans les marchés) ainsi que l’affermissement de certaines tranches conditionnelles ; celle, d’une part, qui vise à l’harmonisation des fréquences de collecte en porte à porte sur les ordures ménagères non sélectives, les emballages journaux et magazine à Montreuil et Bagnolet (-270,84K€) et celle, d’autre part, qui renforce la fréquence de collecte des ordures ménagère en la passant à 3 fois par semaine sur l’habitat collectif à Bagnolet (+78,96K€).

Au total, les contrats de collecte traditionnelle hors propreté représentent l’essentiel des crédits inscrits sur l’action du même nom (19,1 M€ sur 19,3M€) auxquels il convient d’ajouter les frais de location, d’entretien et de réparation du matériel roulant et quelques dépenses d’outillage.

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De même, les différents contrats concernant la fourniture et la maintenance des bacs à roulettes et des conteneurs (lavage, réparations, curage) ainsi que l’achat des sacs destinés aux corbeilles de rue ou aux déchers verts justifient l’inscription d’une enveloppe de 1,15 M€ dont le maintien par rapport à 2014 est obtenue par la suppression d’un certain nombre de prestations (moindre distribution des sacs de déchets végétaux, moindre intervention sur les équipements défaillants, suppression des prestations de lavage des PAV réalisées en qui seront réalisées en régie).

Les crédits inscrits sur la collecte pneumatique correspondent au coût du marché d’exploitation de ce réseau (454,5K€).

Il convient enfin de noter l’achèvement des dernières prestations réalisées via des marchés mixtes passés par les Villes et remboursés par Est Ensemble.

Le programme « Moyens généraux et communication » permet de financer la fourniture des petits équipements et des outillages de travail dont l’enveloppe en augmentation permettra la mise en œuvre des prestations réglementaires d’entretien des vêtements de travail (131,9K€), la maintenance et l’entretien du parc des véhicules (97,2K€), des prestations d’études (AMO collecte pneumatique pour 10K€) ou encore une fraction de l’adhésion au réseau AMORCE (5,28K€).

Les crédits du programme « Prospective et prévention de la collecte des déchets » augmentent sensiblement avec l’allocation prévue de subventions (310K€) à différentes associations oeuvrant dans ce domaine conformément aux orientations du Programme local de prévention des déchets (PLPD) dont l’objectif principal est de réduire la production d’ordures ménagères assimilées de 7% à terme. Le reste de l’enveloppe sera consacré aux différents besoins en outils, équipements et autres supports d’animation autour des actions du PLPD (166,8K€).

Les moyens plus conséquents dédiés à la « Communication hors magazine » (95K€) visent à renforcer la sensibilisation et l’information des usagers sur la thématique des déchets : accompagnement des réorganisations de la collecte ville par ville (stickers pour chaque bac concerné, édition de guides info déchets, d'affiches de proximité..) et à éditer les documents courants destinés au pôle exploitation et aux éco-animateurs.

8. L’action économique


MAISON REVEL PANTIN (0051201001) 34 636,00 36 459,19


INCUBATEUR BONDY (0051201004) 30 000,00 30 000,00

PARCOURS IMMOBILIER POUR LES ENTREPRISES (0051201) 107 916,00 82 720,59

SOUTIEN AUX FILIERES ECONOMIQUES (0051202006) 57 000,00 43 000,00

SOUTIEN CREATION D'ENTREPRISES (0051202012) 63 000,00 62 000,00

BIENNALE DES METIERS D'ART (0051202013) 380 000,00 5 000,00

PROMOTION DU TERRITOIRE (0051202014) 22 850,00 45 000,00

OBSERVATOIRE (0051202015) 23 500,00 63 550,00

EVENEMENT JEU VIDEO (0051202016) 29 000,00 14 000,00

AIDE AUX ENTREPRISES ET DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE (0051202) 575 350,00 232 550,00


MOYENS LOGISTIQUES (0101202) 9 660,00 11 300,00



736 426,00 366 250,59

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Le programme « Parcours immobilier et développement économique » prévoit les dépenses d’entretien et maintenance courante ainsi que les fluides nécessaires au bon fonctionnement des deux équipements communautaires, la Maison Revel à Pantin et la Pépinière Atrium à Montreuil (22,75K€).

En matière d’action économique, cette enveloppe doit surtout permettre la poursuite du programme global d’accompagnement des artisans d’art (20,4K€) au sein de ce centre de ressources dédié (conseil, formation, animation du réseau, actions éducatives en partenariat avec les collèges de Pantin,…) et le financement de la garantie locative avec l’EPARECA.

On retrouve le même type de frais liés à l’animation de la communauté des entreprises hébergées et aux programmes de conseil, sur la pépinière Atrium (9,95K€) qui cotise par ailleurs à deux réseaux : le réseau régional des pépinières d’entreprises (P3Mil) et le Club des créateurs et entreprises nouvelles (CCEN).

Enfin il est proposé de reconduire le soutien accordé par Est Ensemble à l’incubateur de Bondy sous la forme d’une cotisation annuelle (10K€) et d’une subvention de fonctionnement (20K€).

La baisse sensible des crédits du programme « Aide aux entreprises et développement économique » entre 2014 et 2015 résulte essentiellement de l’absence de Biennale des métiers d’art ce qui n’exclut pas des initiatives dans ce domaine, à travers la participation aux Journées Européennes des Métiers d’art et la braderie d’hiver de la Maison Revel, soit un budget prévisionnel (17K€).

Par ailleurs cette enveloppe regroupe différentes actions portées par Est Ensemble. Il s’agit ainsi de soutenir les filières d’excellence présentes sur le territoire communautaire par le versement de subventions au Pôle Média Grand Paris, réseau d’entreprises et d’acteurs de l’image (15K€), par une participation aux actions de l’association Designers Days (12K€) ou encore par l’accompagnement de la démarche de constitution du réseau CEVIBIO dans le domaine de la santé et des biotechnologies (10K€). Un plan d’actions sera également mis en œuvre pour développer la filière des éco-activités : adhésion au réseau des éco-acteurs PEXE (2K€), appel à projets sur des initiatives autour de l’économie circulaire (6K€).

L’objectif est également de favoriser la création d’entreprises à travers notre adhésion à la plate-forme de prêts d’honneur Initiative 93 (51K€), le soutien à la permanence d’aide à la création d’entreprises assurée par l’association EGEE au sein de la pépinière à Montreuil (7K€) et en poursuivant l’accompagnement de la couveuse d’activités pour les projets liés aux métiers d’art gérée par Astrolabe (4 K€).

Est Ensemble concourt également à la promotion du territoire à travers plusieurs événements et rencontres avec les entreprises (petit-déjeuner, Forums, signatures de chartes…) mais surtout la création d’un club d’entreprises qui rencontre déjà un véritable succès (de 40 à 50 participants pour les premières sessions) et favorise l’émergence de nouveaux partenariats entre ces acteurs locaux de l’économie (21K€).

Il est également prévu de consacrer une enveloppe spécifique pour des actions en direction de l’économie solidaire et sociale dont plusieurs projets en cours de montage devraient être soutenus (24K€). Est Ensemble maintient son adhésion aux deux réseaux de l’Economie solidaire et sociale ainsi que sa participation à l’Observatoire régional de l’immobilier d’entreprise (ORIE) d’Ile-de-France (3,5K€).

Parallèlement, le soutien accordé aux European Independant Games Days (EIGD), évènement professionnel organisé à Montreuil par le Syndicat National des Jeux Vidéo autour du Jeu vidéo indépendant devrait être reconduit (14 K€).

Enfin, il est prévu d’engager la démarche d’élaboration du Schéma de développement économique du territoire, document stratégique de planification qui doit permettre de positionner le territoire d’Est Ensemble dans la métropole du Grand Paris, en particulier dans le cadre de la définition de l’intérêt métropolitain en tenant compte à la fois de ses singularités, de ses enjeux, des leviers et des moyens à sa disposition (60K€).

Les crédits de communication isolés sur le programme « Communication hors média » (39,68K€) doivent principalement financer la participation au Salon de l’immobilier d’entreprise en décembre mais aussi la réalisation de plaquettes de présentation et de promotion des différents volets de la politique communautaire de développement économique à destination des entreprises implantées sur le territoire ainsi que l’hébergement des sites internet dédiés au pôle des métiers d’art et à la pépinière Atrium.

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D. Les dépenses réelles d’investissement

Pour la seconde année consécutive, les inscriptions de dépenses réelles d’investissement7 (hors restes à réaliser) progessent fortement (+10,3%) pour atteindre 51,55 M€ (contre 46,75 M€ en 2014).

L’augmentation est particulièrement le fait des différents projets d’envergure (ou « coups partis ») transférés à la Communauté d’agglomération, pour la plupart gérés de manière pluriannuelle dans le cadre d’autorisations de programme (AP) et de crédits de paiement (CP)

Dans le cadre du présent budget, il est proposé de donner à ces derniers investissements, exhaustivement listés dans la partie consacrée aux engagements pluriannuels, le statut d’opérations d’équipement au sens de l’instruction budgétaire et comptable M148. Le vote de ces opérations apporte une plus grande souplesse de gestion puisqu’il fixe le contrôle de crédits au niveau de l’enveloppe budgétaire globale réservée à cette opération, quelle que soit l’imputation par nature de dépenses, en lieu et place du chapitre budgétaire habituel.

Dépenses réelles d’investissement (hors emprunt et dettes)

Ventilation par fonction

3,114 M€

1,895 M€

0,611 M€

2,354 M€

2,432 M€

0,722 M€

2,687 M€

1,961 M€

1,233 M€

1,406 M€

16,608 M€

0,820 M€

2,220 M€

1,422 M€

0,871 M€

0,125 M€

11,072 M€

Services généraux

Habitat

Aménagement urbain

Prévention et valorisation des déchets

Eau et assainissement

Environnement et espaces verts

Action économique

Emploi, insertion et formation -Cohésion sociale

Sports

0 M€ 5 M€ 10 M€ 15 M€ 20 M€ 25 M€

hors AP en AP/CP

Culture

Par ailleurs, en investissement, la reprise anticipée des résultats donne lieu à l’intégration, dès le budget primitif, des restes à réaliser 2014. Ces dépenses comptablement et juridiquement engagées mais non mandatés au 31 décembre de l’exercice précédent s’élèvent à 6,236 M€ en très forte baisse par rapport au montant constaté en 2014 (19,405 M€).

7 Dépenses réelles d’investissement hors emprunts et dettes assimilées. 8 « L'opération est constituée par un ensemble d'acquisitions d'immobilisations, de travaux sur immobilisations et de frais d'études y

afférents aboutissant à la réalisation d'un ouvrage ou de plusieurs ouvrages de même nature. Elle peut également comprendre des subventions d'équipement. La notion d'opération concerne exclusivement les crédits de dépenses (réelles). »

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Cette diminution est l’un des effets attendus du passage à une véritable gestion pluriannuelle en autorisations de programme / crédits de paiement de plusieurs opérations d’envergure conduites par Est Ensemble. Ce pilotage des dépenses, au plus près de la réalisation des projets, sous la forme d’engagements pluriannuels auxquels est attachée une allocation annuelle des crédits effectivement dus sur l’exercice substitue au concept classique de restes à réaliser celui de reste à financer évalué plus loin dans le rapport budgétaire.

Les dépenses inscrites en restes à réaliser ayant déjà été votées au cours des différentes étapes budgétaires antérieures, leur décomposition fonctionnelle est présentée dans le graphique ci-après pour information sans commentaire spécifique. Plus du tiers de ces restes à réaliser se concentrent sur la fonction « Services généraux » (2,35 M€- 38%) ; ils correspondent pour l’essentiel au solde des engagements liés aux fonds de concours attribués aux communes membres (Bagnolet, Bobigny, Bondy, Les Lilas, Le Pré Saint-Gervais, Montreuil et Romainville sont concernées pour un total de 1,38 M€). Le second secteur « Prévention et valorisation des déchets » (1,66 M€ soir 27%) concentre plusieurs engagements liés à la fourniture de points d’apport volontaires enterrés ou à leur gros entretien en différents lieux du territoire communautaire (943K€).

Dépenses réelles d’investissement

Répartition des restes à réaliser 2014 par fonction

SERVICES GENERAUX2,35 M€38%

PREVENTION ET VALORISATION DES DECHETS

1,66 M€27%

CULTURE0,67 M€11% HABITAT

0,51 M€8%

SPORT0,42 M€

7%

ACTION ECONOMIQUE0,28 M€

4%

ENVIRONNEMENT0,19 M€

3%

AMENAGEMENT URBAIN 0,15 M€

2%

AUTRES 0,01 M€

0%

AUTRES0,63 M€

9%

1. Les services généraux

Les bâtiments communautaires


BATIMENT "QUADRIUM" (0091201001) 699 829,00 203 783,56

UNITE TECHNIQUE MONTREUIL (0091201003) 166 000,00 31 536,00

UNITE TECHNIQUE BOBIGNY (0091201004) 15 000,00 40 538,72

DECHETERIE BONDY (0091201007) 112 000,00 70 000,00

DECHETERIE MONTREUIL (0091201008) 6 500,00 10 000,00

BATIMENTS DE L'ADMINISTRATION GENERALE (0091201) 999 329,00 355 858,28

ETUDES (0091202001) - 160 000,00

PROSPECTIVE ET ETUDES BATIMENTS (0091202) - 160 000,00

999 329,00 515 858,28

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L’enveloppe relative aux « bâtiments de l’administration générale » en forte diminution par rapport à 2014 correspond à des travaux visant à réduire significativement à court terme les coûts de maintenance et d’exploitation des bâtiments (régulation de la centrale de traitement d’air, extinction automatique de la salle des serveurs, maintien de pression réseau d'eau glacée sur le Quadrium), à des interventions de mise en sécurité (mise en place d’un contrôle des accès à l’Unité technique de Bobigny, diverses mesures anti-intrusion sur les deux décheteries de Montreuil et Bondy).

Le programme « Prospective et études bâtiments » porte les crédits d’études transverses à plusieurs équipements communautaires. Pour 2015, il est notamment prévu d’engager une étude de définition commune aux deux projets de restructuration de la piscine Leclerc et de création d’un nouveau conservatoire à Pantin (100K€).

Les moyens généraux


TELECOMMUNICATION (0101201001) 427 000,00 198 600,00

INFORMATIQUE ET RESEAUX (0101201002) 473 000,00 1 071 797,00

SYSTEMES D'INFORMATION (0101201) 900 000,00 1 244 100,00


VEHICULES (0101202003) 18 000,00 -

MOYENS LOGISTIQUES (0101202) 201 000,00 130 000,00

AP CREATION D'UN RESEAU TELECOM TRES HAUT DEBIT (9101201002) - 704 300,00

INFORMATIQUE ET RESEAUX (9101201) - 730 300,00

1 101 000,00 2 104 400,00

Comme en fonctionnement, l’enveloppe « Systèmes d’information » intègre la reprise en gestion communautaire de nombreux sites au cours de l’année 2014 (21 sites s’ajoutant aux 11 déjà repris en 2013) ce qui explique l’augmentation sensible des crédits. A titre d’exemple, le coût des licences logiciels et bureautiques supporté par ce budget s’élève ainsi à 528,1 K€ pour 2015 contre 168K€ au BP 2014.

En matière d’investissement sur le système d’information, la priorité des inscriptions a cependant porté sur les actions susceptibles d’engendrer des économies de fonctionnement à moyen terme (réinternalisation du logiciel de messagerie à mi-année – 127K€) ou liées à des mesures permettant de répondre à certaines situations de risques (mise en place d’un plan de secours informatique évitant la perte de données – 73K€).

Compte tenu du caractère pluriannuel de l’opération de création d’un réseau télécom très haut débit, et afin d’en faciliter la lecture budgétaire et opérationnelle, il est proposé d’ouvrir une autorisation de programme couvrant le solde des crédits nécessaires à l’achèvement de ce projet qui devrait intervenir fin 2017 et d’en inscrire le besoin de financement annuel (730K€).

Le programme « Moyens logistiques » permet l’acquisition du mobilier et autres petits équipements divers (130K€) conformément au plan d’équipement des sites. Il ne comporte aucun crédit sur l’opération Véhicules en cohérence avec la décision de diminuer le parc de véhicules légers en 2015.

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Communication institutionnelle



COMMUNICATION HORS MEDIA (0151202) 303 000,00 45 400,00

SITE INTERNET ESTENSEMBLE.FR (9151202001) - 40 000,00

SIGNALETIQUE DES EQUIPEMENTS COMMUNAUTAIRES (9151202002) - 50 000,00

COMMUNICATION HORS MEDIA (9151202) - 90 000,00

303 000,00 135 400,00

L’enveloppe consacrée à la « Communication institutionnelle » en investissement doit permettre, outre le développement de newsletters d’information des usagers, la refonte du site est-ensemble.fr pour l’orienter vers un contenu plus informatif à usage des habitants de l’agglomération (40K€) et le développement de la signalétique communautaire sur les équipements de service public (50K€). Pour chacun de ces deux projets, il est proposé l’ouverture d’une autorisation de programme dédiée permettant d’en suivre l’exécution.

LE GROS ENTRETIEN RENOUVELLEMENT (GER) DANS

LES EQUIPEMENTS COMMUNAUTAIRES

(hors Quadrium, Unités techniques et Déchèteries)

Les budgets de gros entretien renouvellement (GER) correspondent aux dépenses nécessaires lorsqu’il s’agit de remplacer des équipements parvenus en fin de vie soit pour des raisons de vétusté classique soit pour des raisons d’obsolescence.

Concrètement cet ensemble regroupe les opérations opérations techniques de spécialité effectuées par un technicien ou une équipe spécialisée (ce que la norme a défini sous le terme de « P3 ») mais aussi les travaux de mise en conformité, de remplacement d’une installation, d’un équipement, d’une pièce de structure ou de fonctionnement.

La mise en œuvre des travaux du GER par Est Ensemble s’appuie désormais sur des marchés à bons de commande qui traitent les différents lots techniques concernés : chauffage ventilation, plomberie, peintures, étanchéité, électricité, menuiseries, cloisons, faux plafonds, revêtements de sol,…

Ventilation des inscriptions budgétaires au titre du GER par ville, type d’équipement et nature de intervention

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2. La culture

L’expression musicale, lyrique et chorégraphique


CRM MUSIQUE BAGNOLET (0081204001) 304 600,00 155 246,64

CRM BONDY (0081204002) 231 656,00 522 263,60

CRM LES LILAS (0081204003) 85 429,00 16 350,00

CRM NOISY (0081204004) 22 500,00 14 139,16

CRD MONTREUIL (0081204005) 265 000,00 282 943,45

CRD PANTIN (0081204006) 73 800,00 41 230,00

CRD ROMAINVILLE (0081204007) 12 000,00 196 069,08

ECOLE DE MUSIQUE DU PRE ST GERVAIS (0081204008) 20 000,00 80 000,00

LE PAVILLON PANTIN (0081204009) - 9 220,00


CRM DE DANSE DE BAGNOLET (0081204012) 1 000,00 4 700,00

EQUIPEMENTS D'ENSEIGT MUSIQUE, ARTS PLASTIQUES (0081204) 1 079 985,00 1 385 009,93


NOUVEAU CONSERVATOIRE DE NOISY (9081204012) 5 118 200,00 6 213 494,14

NOUVEAU CRD DE ROMAINVILLE (9081204013) 1 605 185,00 3 638 324,40

AP ENSEIGEMENT MUSIQUE ET ARTS PLASTIQUES (9081204) 7 464 136,00 9 988 324,40

8 544 121,00 11 373 334,33

Les crédits consacrés aux « Equipements d’enseignement musical et d’arts plastiques » correspondent quasi exclusivement à la réalisation d’opérations de gros entretien et de réparation sur les différents bâtiments communautaires (1,19M€).

Ventilation des dépenses de GER par type de travaux

Aménagement / Refection des

espaces8%

Sécurité des interventions

(Code du travail)7%

Sécurité utilisation du public

10%

Sécurité incendie6%

Autres installations techniques

7%Chauffage

3%

Clos couvert55%

Chauffage, Ventilation,

Climatisation et traitement de l'eau

4%

Plusieurs interventions sont ainsi projetées sur le CRM de Bondy, notamment d’importants travaux sur la toiture et la structure du bâtiment, la reprise des installations électriques, la rénovation et le réaménagement de salles de cours et le remplacement de portes inadaptées à la pratique musicale. Le CRD de Montreuil doit faire l’objet d’une nouvelle tranche de travaux d’étanchéité et voir la tour aéroréfrigérante défectueuse remplacée. Par ailleurs des travaux de mise en conformité seront engagés sur le CRM de Bagnolet.

L’enveloppe d’acquisition des instruments de musique est limitée au premier équipement du nouveau CRD de Romainville ainsi qu’à quelques crédits pour le CRD de danse de Bagnolet (194,7K€).

Les projets immobiliers les plus importants font l’objet d’autorisations de programme pluriannuelles. Les crédits de paiement inscrits sur l’auditorium de Bondy (150K€) correspondent au financement de travaux résiduels avant désaffectation du solde de l’AP. Le projet de restructuration et d’extension du CRD de Romainville (3,64M€) devrait aboutir à une livraison et une entrée en service à la rentrée d’automne. Seule la construction du nouveau conservatoire de Noisy-le-Sec de réalisation complexe a pris du retard et devrait se poursuivre au-delà de l’année 2015 (6,2M€) pour se terminer à la fin du premier semestre 2016.

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Les cinémas communautaires


CIN'HOCHE BAGNOLET (0081202001) 89 000,00 112 365,00

MAGIC CINEMA BOBIGNY (0081202002) 24 000,00 46 193,92

CINEMA MALRAUX BONDY (0081202003) 147 844,00 325 782,88

CINEMA LE MELIES MONTREUIL (0081202005) 10 000,00 20 000,00

CINEMA LE 104 PANTIN (0081202006) 142 000,00 167 165,20

CINEMA LE TRIANON ROMAINVILLE-NOISY (0081202007) 122 363,00 56 128,41

NOUVEAU COMPLEXE MELIES (0081202008) - 20 000,00

EQUIPEMENTS CINEMATOGRAPHIQUES (0081202) 535 207,00 747 635,41

CINEMA 6 SALLES MONTREUIL (9081203001) 8 230 610,00 5 569 933,00

AP EQUIPEMENTS CINÉMATOGRAPHIQUES (9081203) 8 230 610,00 5 569 933,00

8 765 817,00 6 317 568,41

Les inscriptions de crédits sur le programme « Equipements cinématographiques » permettent notamment aux cinémas communautaires de remplacer les sièges ou encore d’acquérir les lampes de projecteurs et autres matériels son et lumière (141K€). Elles demeurent toutefois principalement dédiées au financement de plusieurs interventions indispensables de gros entretien ou de réparation sur le patrimoine communautaire (606K€).

L’opération la plus conséquente concerne le cinéma Malraux à Bondy sur lequel il est notamment prévu de remplacer les équipements scéniques, de changer les faux plafonds et de reprendre les sols après désamiantage ou encore de rafraichir la sortie des spectateurs. Au Ciné 104 à Pantin, l’aménagement du bar devrait s’achever avec toute une série de travaux induits de contrôle des accès et de sécurité incendie. La ventilation des projecteurs sera modifiée et sécurisée. Des travaux sont également prévus sur le Cin’Hoche de Bagnolet tels que le réaménagement de l’espace bar et la réfection des bureaux de l’administration.


La livraison du nouveau complexe cinématographique Méliès doit intervenir en mai-juin pour un démarrage de l’exploitation à la fin de l’été. Les crédits de paiement sont inscrits en conséquence sur l’AP (5,57M€).

Les équipements de lecture publique


BIBLIOTHEQUE DENIS DIDEROT BONDY (0081201001) 197 000,00 216 814,81

BIBLIOTHEQUE ANDRE MALRAUX LES LILAS (0081201002) 91 751,00 38 496,09

BIBLIOTHEQUE F. MITTERRAND LE PRE ST-GERVAIS (0081201003) 62 000,00 117 143,32

BIBLI. R. DESNOS + 3 BIBLI. QUARTIER MONTREUIL (0081201004) 521 953,00 453 531,57

BIBLIOTHEQUE ELSA TRIOLET ET 2 ANNEXES PANTIN (0081201005) 307 000,00 140 106,96

NOUVELLE BIBLIOTHEQUE COURTILLIERES PANTIN (0081301001) - 15 000,00

EQUIPEMENTS DE LECTURE PUBLIQUE (0081201) 1 179 704,00 981 092,75

BIBLIOTHEQUE DES COURTILLIERES - PANTIN (9081301001) 130 389,00 50 000,00

AP EQUIPEMENTS LECTURE PUBLIQUE (9081301) 130 389,00 50 000,00

1 310 093,00 1 031 092,75

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L’enveloppe inscrite sur le programme « Equipements de lecture publique » couvre, à la fois, la dotation prévue pour le renouvellement des ouvrages et du fonds documentaires (livres, supports multimédia et audiovisuels) des bibliothèques (233,5K€) et les crédits nécessaires aux travaux de gros entretien et de réparation de ces espaces (966K€).

La première est globalement maintenue au niveau de son exécution en 2014 afin d’une part de réduire le déficit constaté par rapport aux principaux indicateurs nationaux (niveau d’activité, surfaces consacrées et plages d’ouverture au public des équipements) mais aussi de favoriser un rééquilibrage à l’échelon du territoire communautaire.


L’enveloppe de travaux doit quant à elle permettre notamment la reprise des sols, des peintures et de l’éclairage sur l’annexe Renoult et la transformation d’un appartement de fonction en bureaux sur le site Desnos des bibliothèques de Montreuil, la mise en œuvre de travaux sur la ventilation et le chauffage de la bibliothèque Denis Diderot à Bondy ou encore une première tranche de remplacement des menuiseries, de réfection des sols, de l’éclairage et des peintures de la bibliothèque Mitterrand au Pré Saint-Gervais

La construction de la bibliothèque des Courtillières à Pantin dont le périmètre a été étendu à la création d’une ludothèque et d’une salle de spectacle fait désormais l’objet d’une co-maîtrise d’ouvrage portée par la Ville conformément à la délibération adoptée par le Conseil communautaire le 16 décembre 2014. Le montant de l’autorisation de programme est diminué en conséquence et les crédits de paiement inscrits conformément à l’échéancier prévisionnel annexé au projet (50 K€).

Les autres actions culturelles


MAISON DE LA CULTURE 93 BOBIGNY (9081205001) 200 000,00 1 000 000,00

SOUTIEN MAISON DE LA CULTURE 93 (9081205) 200 000,00 1 000 000,00

200 000,00 1 000 000,00

Le programme « AP Soutien Maison de la Culture 93 à Bobigny » correspond au fonds de concours qu’Est Ensemble à décider d’accorder à la commune de Bobigny pour participer à la réhabilitation de la Maison de la Culture de Seine Saint Denis (MC 93), équipement dont la ville est propriétaire. Les crédits de paiement inscrit correspondent au nouvel échéancier de la convention de versement approuvé par la délibération du Conseil communautaire le 10 février 2015 suite au retard pris dans le calendrier de réalisation de l’opération.

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3. Les sports


PISCINE LES MALASSIS BAGNOLET (0031201001) 115 000,00 111 160,00

CENTRE NAUTIQUE JACQUES BREL BOBIGNY (0031201002) 87 000,00 220 953,24

PISCINE MICHEL BEAUFORT BONDY (0031201003) 175 000,00 130 275,68

PISCINE TOURNESOL BONDY (0031201004) 65 500,00 43 065,96

PISCINE RAYMOND MULINGHAUSEN LES LILAS (0031201005) 195 047,50 352 061,28

PISCINE FERNAND BLANLUET PRE ST GERVAIS (0031201006) 106 000,00 81 930,16

STADE NAUTIQUE MAURICE THOREZ MONTREUIL (0031201007) 126 000,00 135 967,89

PISCINE EDOUARD HERRIOT NOISY (0031201009) 186 000,00 93 090,44

PISCINE LECLERC PANTIN (0031201010) 45 000,00 130 782,92

BASSIN MAURICE BECQUET PANTIN (0031201011) 20 000,00 18 559,68

PISCINE JEAN GUIMIER ROMAINVILLE (0031201012) 82 298,00 88 296,96


PISCINE ECOLOGIQUE HAUT-MONTREUIL (9031201008) 5 109 000,00 11 067 288,73

PISCINE LECLERC PANTIN (9031201010) 346 200,00 -

HALLE DE TENNIS DU PRE ST GERVAIS (9031201013) 25 000,00 5 004,00


6 683 045,50 12 478 436,94

Le programme « Qualité des équipement sportifs » porte principalement les crédits de gros entretien et de réparation (GER) indispensables sur les différentes piscines communautaires (30.246 m²).

Parmi les principales opérations inscrites en 2015, la poursuite des travaux sur la chaufferie et le traitement de l’air à la Piscine Mulinghausen des Lilas, l’engagement de travaux urgents sur les réseaux de ventilation ainsi que la mise en conformité de locaux techniques au Centre nautique Jacques Brel à Bobigny, la création de vestiaires collectifs supplémentaires et la seconde tranche de remplacement des tuyauteries à la piscine Michel Beaufort à Bondy, la réfection du hall (peinture et éclairage) à la Piscine des Malassis à Bagnolet ou enfin la remise en état des vestiaires collectifs de la Piscine Leclerc à Pantin pour éviter les risques liés à l’utilisation des coursives.


L’enveloppe de crédits (40K€) permet également l’acquisition du matériel d’entretien (autolaveuse, monobrosse, nettoyeur haute pression), pédagogique (cage aquatique, buts,…) ou favorisant l’accessibilité des personnes en situation de handicap (chaises de mise à l’eau,…).

Parallèlement, trois projets à caractère pluriannuel transférés à la Communauté d’agglomération font l’objet d’une gestion en autorisation de programme (AP).

L’opération sur la Halle des Tennis du Pré Saint-Gervais ne sera pas poursuivie à l’issue de l’étude de structure qui en invalide la faisabilité ; les crédits inscrits (5K€) doivent assurer le dernier règlement du marché en cours avant désaffectation du solde de l’AP.

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Le projet de restructuration et d’extension de la piscine Leclerc à Pantin doit également être redéfini en lien avec la création à proximité d’un nouveau conservatoire à rayonnement départemental. Il n’est donc pas proposé de crédits de paiement en l’attente de l’étude conjointe portée sur le programme « Prospective et études bâtiments » présenté plus haut.

La construction de la piscine écologique des Hauts de Montreuil se poursuit sur la base d’un calendrier et d’un cahier des charges aménagé compte tenu de la difficulté à attribuer le lot de travaux relatif au bassin naturel. La partie couverte déjà bien engagée de cet équipement devrait être livrée en fin d’année ce qui justifie le montant des crédits de paiement inscrit sur l’exercice (11,07 M€).

4. L’emploi, la formation et l’insertion – Cohésion sociale


MAISON DE L'EMPLOI BAGNOLET (0061201001) 15 000,00 5 720,00

MAISON DE L'EMPLOI NOISY (0061201002) 5 000,00 6 437,48

MAISON DE L'EMPLOI PANTIN (0061201003) - 15 570,37

MAISONS DE L'EMPLOI ET GUICHETS UNIQUES (0061201) 20 000,00 27 727,85

SOUTIEN - ADHESION AUX TETES DE RÉSEAU (0061202017) - 1 200 000,00

ACCOMPAGNEMENT VERS L'EMPLOI (0061202) - 1 200 000,00

20 000,00 1 227 727,85

La principale inscription porte sur le programme « Accompagnement vers l’emploi ». Elle correspond à l’avance de trésorerie consentie au Plan Local pour l'Insertion et l'Emploi (PLIE) communautaire « Ensemble pour l’emploi », qui répond depuis le 1er janvier à l’exigence d’une couverture territoriale homogène sur les 9 villes composant l’agglomération (1,2M€).

L’enveloppe prévue sur le programme « Maisons de l’emploi et guichets uniques » doit permettre la réalisation de travaux de gros entretien et de réparation sur les trois équipements communautaires à Bagnolet, Noisy et Pantin (27,7K€).


KIOSQUE LES LILAS (0071201001) - 1 020,00

POINT D'ACCES AU DROIT LE PRE ST GERVAIS (0071201002) - 780,00

POINT D'ACCES AU DROIT MONTREUIL (0071201003) - 281,52

POINT D'ACCES AU DROIT NOISY (0071201004) - 1 322,40

MAISON DE LA JUSTICE ET DU DROIT PANTIN (0071201005) - 1 502,40

ACCES AU DROIT (0071201) - 4 906,32

- 4 906,32 PROG. ACTION BP 2014 BP 2015

KIOSQUE LES LILAS (0071201001) - 1 020,00

POINT D'ACCES AU DROIT LE PRE ST GERVAIS (0071201002) - 780,00

POINT D'ACCES AU DROIT MONTREUIL (0071201003) - 281,52

POINT D'ACCES AU DROIT NOISY (0071201004) - 1 322,40

MAISON DE LA JUSTICE ET DU DROIT PANTIN (0071201005) - 1 502,40

ACCES AU DROIT (0071201) - 4 906,32

- 4 906,32

Les crédits d’investissement inscrits le programme « Accès au droit » correspondent au dépenses de gros entretien des installations de chauffage, ventilation et climatisation des trois Point d’accès au droit, du Kiosque des Lilas et de la Maison de justice et du droit (6,23K€).

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5. L’habitat


OPAH RU MONTREUIL (PNRQAD) (0021201001) 106 885,00

PLAN DE SAUVEGARDE COPROPRIETE LA BRUYERE BONDY (0021201002) 131 739,00 100 000,00

PROGRAMME MULTI-SITES MONTREUIL BAGNOLET (0021201003) 40 000,00

RHI 54 RUE RAYMOND LEFEBVRE MONTREUIL (0021201006) 224 948,00 300 000,00

OPAH PRE ST GERVAIS (0021201009) 60 000,00 10 000,00

OPAH-CD BOBIGNY (0021201011) 80 638,00

OPAH-CD NOISY (0021201013) 15 000,00 15 000,00

FIQ PANTIN (0021201014) 300 000,00

OPAH CD ROMAINVILLE (0021201018) 40 000,00

ETUDE HABITAT INDIGNE FAUBOURGS (0021201021) 31 200,00

OPAH RU BAGNOLET (PNRQAD) (0021201027)

REQUALIFICATION URBAINE PANTIN PRE ST-GERVAIS (0021201028) 155 000,00

LUTTE CONTRE HABITAT INDIGNE (0021201) 999 210,00 611 200,00

OPAH RU MONTREUIL (PNRQAD) (9021501001) 310 000,00

OPAH PRE ST GERVAIS (9021501009) 20 000,00

OPAH-CD BOBIGNY (9021501011) 60 000,00

OPAH-CD NOISY (9021501013) 15 000,00

FIQ PANTIN (9021501014) 100 000,00

RHI SEPT ARPENTS PANTIN (9021501016) 767 817,73

RHI PRE ST GERVAIS (9021501017) 676 633,00

OPAH CD ROMAINVILLE (9021501018) 90 000,00

OPAH RU BAGNOLET (PNRQAD) (9021501027) 109 643,00

AP LUTTE CONTRE HABITAT INDIGNE (9021501) 2 149 093,73

POLES ETUDES (0021202006) 15 000,00

SOUTIEN OFFRE HABITAT SUR TERRITOIRE (0021202) 15 000,00

RHI SEPT ARPENTS PANTIN (9021201016) 469 361,00 70 880,27

RHI PRE ST GERVAIS (9021201017) 762 195,00

AP LUTTE CONTRE L'HABITAT INDIGNE (9021201) 1 231 556,00 70 880,27

2 245 766,00 2 831 174,00

L’enveloppe budgétaire inscrite sur le programme « Lutte contre l’habitat indigne » porte principalement les besoins des deux mécanismes communautaires de financement des travaux d’amélioration de l’habitat ancien et de lutte contre l’habitat indigne: le fonds communautaire d’aide à l’amélioration de l’habitat privé (FAAHP) dans la logique des conventions signées notamment avec l’ANAH et le fonds d’intervention des quartiers (FIQ) en lien en lien avec le Département de Seine-Saint-Denis (732 K€).

Les deux systèmes d’attribution des aides à l’habitat privé ont une dimension pluriannuelle liée à la durée des projets qu’elles accompagnent (classiquement 5 ans pour une opération programmée d’amélioration de l’habitat ou OPAH auxquels s’ajoutent les 2 ans avant l’extinction des droits ouverts au bénéficiaire d’une subvention). Ils présentent en outre une dynamique de consommation très variable, propre à chaque projet et à la situation personnelle du bénéficiaire ce qui rend très erratique toute projection prévisionnelle et partant l’optimisation des crédits qui leur sont annuellement alloués.

Ces caractéristiques comme la volonté d’une meilleure appréciation du volume des engagements pris de la Communauté d’agglomération ont motivé la décision d’en proposer la gestion en autorisations de programme et crédits de paiement. Ils rejoignent ainsi les deux opérations de résorption de l’habitat indigne

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(RHI du Pré Saint-Gervais sous mandat Deltaville et RHI des Sept arpents à Pantin en régie) déjà gérées sous cette forme (1,515M€).

Les propositions inscrites au BP 2015 portent les traces de ce choix avec la mise en place d’une nouvelle structure budgétaire adaptée. Les projets étant déjà lancés, les montants inscrits en AP correspondent au solde des engagements restant à prendre à la date d’adoption du présent budget et les crédits annuels au prévision de paiement restant à couvrir sur l’exercice.

Quelques crédits restent hors de ce système de gestion pluriannuelle. Il s’agit, en premier lieu, des projets d’études pré-opérationnelles tels le mandat d’étude multi-sites confié à la SOREQA sur le secteur des Faubourgs (31,2K€) ou encore celle relative à la requalification urbaine sur Pantin et le Pré Saint-Gervais dans le cadre de l’appel à projet de la DRIHL (155K€). Il s’agit, en second lieu, d’opérations dont l’état d’avancement est tel qu’il ne justifie plus un lissage pluriannuel comme le premier Plan de sauvegarde de la copropriété La Bruyère à Bondy (100K€) ou encore l’opération de RHI rue Raymond Lefebvre à Montreuil (300K€).

6. L’aménagement urbain, les espaces verts et l’environnement

L’aménagement urbain


PROJET URBAIN (0011202001) 100 000,00 100 980,00

PRESTATIONS LIEES AUX OPERATIONS D'AMENAGEMENT (0011202002) - 1 050 000,00

CP-GRAND PROJET 3 (0011202005) - -

ETUDES LIGNE 11 PROLONGEE (0011202007) 35 000,00 -

PROLONGEMENT TRAM T1 (0011202008) 104 700,00 -

ETUDE TANGENTIELLE NORD (0011202009) 8 600,00 5 000,00

PLAN DE RECOLLEMENT RN3-CANAL (0011202010) - -

EXPERTISE ENJEUX DE DEVELOPPEMENT URBAIN (0011202) 248 300,00 1 155 980,00

PARTICIPATION AU BUDGET ANNEXE ZAC (0111210002) 8 186 382,00 1 197 859,00

FLUX ENTRE BUD PRINCIPAL-BUD ANNEXE (0111210) 8 186 382,00 1 197 859,00

8 434 682,00 2 353 839,00

L’augmentation de l’enveloppe inscrite sur le programme « Expertise et enjeux de développement urbain » répond principalement à la volonté de la Communauté d’agglomération de prendre une participation au capital de la SEM Sequano Aménagement, acteur majeur de l’aménagement sur le territoire qui coordonne déjà la réalisation de plusieurs projets urbains, dans le cadre de concessions d’aménagement, ZAC, lotissement,… (1M€).

Des crédits sont également prévus pour l’élaboration du projet urbain qui vise à construire et porter une vision commune de l’avenir du territoire, à déterminer la meilleure stratégie pour améliorer sa dynamique urbaine et économique et ainsi la qualité de vie de ses habitants (100,98 K€).

Comme annoncé par le Contrat de développement territorial, il est proposé de créer en partenariat avec l’Établissement Public Foncier Île-de-France (EPFIF), un véhicule de portage foncier chargé d’acquerir et de gérer de l’immobilier d’entreprise, locaux d’activités loués à des entreprises dans la perspective d'opérations de restructurations de sites économiques stratégiques (50 K€).

Enfin, Est Ensemble pousuivra son engagement dans le groupement de commandes autour de l’Alliance nord métropolitaine, coordonné par Plaine Commune qui porte les études relatives à la démarche aménagement-transport le long de la Tangentielle légère nord (5K€).

L’enveloppe du programme « Flux de participation du budget principal au budget annexe » des

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projets d’aménagement dont elle assurait l’équilibre est fortement réduite suite à la décision de recourir à l’emprunt en lieu et place d’une participation. Elle ne porte plus que le montant du flux nécessaire à l’équilibre spécifique de la ZAC du Centre-ville des Lilas (1,197 M€).

Les espaces verts


BOIS DE BONDY (0041201002) 132 500,00 113 420,00

PARC DES BEAUMONTS MONTREUIL (0041201004) 78 000,00 78 000,00

PARC DES GUILLAUMES NOISY (0041201009) - 2 062 950,00

ESPACES VERTS FUTURES TRAMES ECOLOGIQUES (0041201) 210 500,00 2 254 370,00

PARC DES GUILLAUMES NOISY LE SEC (9041201006) 98 500,00 98 500,00

ESPACES VERTS TRAMES ECOLOGIQUES CAEE (9041201) 98 500,00 98 500,00

309 000,00 2 352 870,00

La forte augmentation de l’enveloppe du programme « Espaces verts et trames écologiques » est principalement liée à l’acquisition du terrain sur lequel est aménagé le Parc des Guillaumes à Noisy-le-Sec (2,03 M€), conformément aux engagements pris auprès de la ville. Les autres crédits correspondent à plusieurs interventions sur les espaces verts communautaires. Concernant le Bois de Bondy, il est notamment prévu de déconstruire le chalet des éco-gardes, de rénover l’aire de jeux et d’assurer les indispensables travaux d’entretien de la mare (113,42 K€). Pour ce qui est du Parc des Beaumonts à Montreuil, une étude sera lancée sur la remise en état des mares dont l’étanchéité n’est plus assurée (78K€). Enfin, des travaux seront entrepris sur l’aire de jeux du Parc des Guillaumes (31,47 K€). Les crédits de paiement inscrits sur l’autorisation de programme relative à l’aménagement du Parc des Guillaumes correspondent au solde des travaux de la première tranche (98,5K€).

L’environnement


ELABORATION PLAN PREVENT DU BRUIT ENVIRONT (0041202001) 60 000,00 -

ETUDES NQU PROTOTYPE (0041202004) 433 000,00 433 000,00


PNBF CREATION 9 MURS ANTI-BRUIT BONDY-NOISY (9041202009) 394 006,00 772 560,00


887 006,00 1 205 560,00

Le programme «Actions environnementales » porte plusieurs projets, lauréats du dispositif régional « Nouveaux quartiers urbains » (NQU) destiné à promouvoir une nouvelle manière de vivre en ville, dans des quartiers exemplaires d’un point de vue architectural et environnemental. Pour être sélectionnées, ces études doivent répondre à de nombreux critères : cohérence territoriale, réponse à la crise du logement, mixité des fonctions urbaines, compacité, qualité environnementale et évolutions des pratiques urbaines. La Communauté d’agglomération a ainsi été retenue sur son ambition de définir un référentiel en matière d’aménagement durable (108K€), sur celle de définir une stratégie globale en matière énergétique (145K€) et enfin sur son projet d’étude sur les espaces publics au cœur du développement urbain (180K€). Les études sont subventionnées à hauteur de 121 L € en 2015.

Par ailleurs, il est prévu de solder la participation d’Est Ensemble au projet ouvert en AP de résorption des points noirs du bruit (PNB) ferroviaire sur les communes de Bondy et de Noisy-le-Sec par l’inscription des crédits de paiement conformément à la convention signée avec l'Etat, la Région Ile-de-France, et le Département de la Seine-Saint-Denis (772,56K€).

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7. Les services urbains

La politique de l’eau et l’assainissement


PARTICIPATION AU BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMENT (0111210001) 482 364,00 482 364,00

FLUX ENTRE BUD PRINCIPAL-BUD ANNEXE (0111210) 482 364,00 482 364,00

INSTALLATIONS (0191201001) 30 000,00 240 000,00

EAUX POTABLES (0191201) 30 000,00 240 000,00

512 364,00 722 364,00

L’enveloppe du programme « Flux entre le budget principal et le budget annexe» d’assainissement traduit la prise en charge sur le budget principal de certains travaux de gros entretien concernant de fait le réseau des eaux pluviales et non celui des eaux usées auquel est dédié le budget annexe (482,36K€).

Les crédits portés sur le programme « Eaux potables » correspondent pour l’essentiel à des travaux d’adduction d’eau à réaliser Sente de l’arbitrage à Romainville (90 K€) ainsi qu’au remboursement de dépenses liées aux eaux pluviales.

La prévention et la valorisation des déchets


COLLECTE TRADITIONNELLE (0161202001) 615 000,00 -

PRECOLLECTES (0161202005) 3 092 600,00 2 057 851,00

COLLECTE PNEUMATIQUE (0161202006) 233 300,00 -

PRECOLLECTE ET COLLECTE DES DMA AU QUOTIDIEN (0161202) 3 940 900,00 2 057 851,00

AMENAGEMENT DECHETERIE DE MONTREUIL (9161402001) 1 422 355,00

AP PRECOLLECTE ET COLLECTE DES DMA AU QUOTIDIEN (0161202) - 1 422 355,00

EQUIPEMENT TRAVAIL ET OUTILLAGE (0161203001) 47 000,00 59 000,00

FONCTIONNEMENT DPVD (0161203002) 500 000,00 230 000,00

ANIMATION, RELATIONS USAGERS (0161203004) 97 500,00 44 770,00

MOYENS GENERAUX ET COMMUNICATION (0161203) 644 500,00 333 770,00

PROSP & PLPD (0161205002) 35 000,00 15 000,00




4 660 400,00 3 868 976,00

Le programme « Précollecte et collecte des déchets ménagers assimilés (DMA) au quotidien» poursuit un double objectif. Le premier vise à permettre le remplacement des points d’apport volontaire aérien (PAVA) les plus dégradés et poursuivre l’implantation des points d’apport volontaire enterré (PAVE) en se limitant toutefois aux seuls projets initiés avec les communes et en réduisant en conséquence l’acquisition de nouvelles sondes de télérelevage (1,71 M€). Le second correspond à l’achats des bacs et timons dédiés à la collecte des déchets dans les nouvelles habitations individuelles ou collectives (y compris pour les professionnels). Ces crédits (0,35 K€) se veulent une réponse à la hausse croissante des demandes formulées par les usagers auprès d’Est Ensemble (+73% entre 2013 et 2014).

Parallèlement, il est proposé de prendre en compte le cadre pluriannuel du projet d’aménagement de la décheterie de Montreuil pour laquelle des crédits avaient déjà été inscrits au BP 2014 (0,615 K€). Cette oépration fait donc l’objet de l’ouverture d’une autorisation de programme ; l’état d’avancement de la

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maîtrise d’œuvre et la perspective d’une mise en chantier et d’une livraison courant 2015 justifie l’inscription proposée en crédits de paiement (1,42 M€).

L’enveloppe consacrée aux « Moyens généraux et à la communication » correspond pour l’essentiel (230K€) à l’acquisition de nouveaux véhicules dédiés à la collecte (camion plateau et camion tas sauvage) poursuivant l’objectif de réduire le coût des locations. Des crédits sont également prévus pour les différents lots du marché de matériel, de contenants et de rangements dediés (59 K€). Ce programme porte également l’achat des composteurs collectifs ainsi que le matériel pédagogique à l’attention des éco-usagers (1,3K€).

Les crédits inscrits sur le programme transverse « Communication hors magazine » visent le développement d’une solution informatique d’information à destination des habitants du territoire sous la forme d’une carte interactive info-déchets (40 K€).

8. L’action économique


MAISON REVEL PANTIN (0051201001) 1 000,00 65 721,81

PROJET PEPINIERE PANTIN (0051201002) 1 298 000,00 1 757 000,00


PROJET PEPINIERE BONDY (0051201006) 250 000,00 -

PARCOURS IMMOBILIER POUR LES ENTREPRISES (0051201) 1 659 000,00 1 928 483,41

PROJET PEPINIERE / HOTEL D'ENTEPRISE BONDY (9051201006) - 125 000,00

AP PARCOURS IMMOBILIER POUR LES ENTREPRISES (9051201) - 125 000,00

APPUI AU DEVELPPT ECONOMIQUE DES TERRITOIRES (0051202017) 50 000,00 42 500,00

AIDE AUX ENTREPRISES ET DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE (0051202) 50 000,00 42 500,00

COMMUNICATION HORS MAGAZINE (0151202001) 20 000,00 -

PARCOURS IMMOBILIER POUR LES ENTREPRISES (0051201) 20 000,00 -

1 729 000,00 2 095 983,41

Le programme « Parcours immobilier pour les entreprises » est dominé par les inscriptions relatives au projet de Cité de l'Ecohabiter à Pantin dont l’objectif est de devenir l’équipement structurant et de ressources pour le développement des éco-filières sur le territoire d'Est Ensemble. L’opération prévoit notamment la construction d’une pépinière et d’un hôtel d'activité, situé sur une friche industrielle au coeur de la ZAE Cartier Bresson et à proximité immédiate du projet urbain de l'écoquartier. Les crédits inscrits correspondant essentiellement au frais d’acquisition de la fiche « Firméca » à la Ville de Pantin y compris quelques études techniques complémentaires (1,75 M€).

Le second projet d’envergure, géré en autorisation de programme depuis la délibération du 18 novembre 2014 compte tenu de son caractère pluriannuel, a pour objet de financer le projet de pépinière et d’hôtel d’entreprises conduit sous maîtrise d’ouvrage de Bondy Habitat sur un site mitoyen de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) afin d’y accueillir des entreprises crées grâce au soutien de l’incubateur (125K€).

Des crédits sont également inscrits au bénéfice de la pépinière Atrium à Montreuil afin d’y réaliser plusieurs travaux de gros entretien (95,7K€) destinés à permettre l’accueil des jeunes entreprises dans de bonnes conditions (réfection de locaux en vue de nouvelles locations, remplacement du système de chauffage ou encore remise en état des réseaux électriques et informatiques). Les crédits restant ont trait à la gestion des cautions déposées par les pépins (10 K€). De même, la Maison Revel à Pantin fera l’objet de plusieurs interventions afin d’y aménager des locaux pour favoriser le développement de nouvelles activités, d’y mettre en place un contrôle d’accès sur la porte principale ou encore de recloisonner un local techique (65,7K€).

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Dans le cadre du programme « Aide aux entreprises et développement économique », Est Ensemble prévoit d’engager deux études de faisabilité. La première porte sur un projet de couveuse numérique à Bagnolet, en lien avec la Fonderie de l’image et la ville de Bagnolet (30K€). La seconde doit engager la réflexion autour du projet de création d’un centre d’affaires de type hôtel d’entreprises dans le quartier Gagarine à Romainville (10K€). Enfin le solde de la participation au capital de la SEMAEST est également inscrit (2,5K€).

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IV. LES MOUVEMENTS D’ORDRE

Fonctionnement Dépenses Recettes

Total mouvements réels 288 713 283,36 285 777 956,88

Dotation aux amortissements 4 861 286,00 104 955,00

Virement à la section d’investissement 1 511 962,00

Total mouvements d’ordre 6 373 248,00 104 955,00

Résultat reporté 9 203 619,48

Total budget 295 086 531,36 295 086 531,36

Investissement Dépenses Recettes


Dotation aux amortissements 104 955,00 4 861 286,00

Virement de la section de fonctionnement 1 511 962,00

Total mouvements d’ordre 104 955,00 6 373 248,00


Total budget 72 271 080,21 72 271 080,21

Les mouvements d’ordre correspondent, pour une partie, au virement depuis la section de fonctionnement permis par le relèvement du taux de la TEOM (1,51 M€) et pour l’autre à l’amortissement obligatoire des immobilisations comptabilisées.

Le Conseil communautaire a d’ores-et-déjà révisé la méthode d’amortissement en la restreignant aux seuls biens obligatoirement amortissables (délibération du 18 novembre 2014), puis en proposant de porter la durée d’amortissement des biens inscrits au compte 2158 à 30 ans (délibération associée à ce budget et présentée au Conseil communautaire du 10 avril 2015).

La dotation aux amortissement (4,87 M€) se décompose comme suit :

dotation de « base » suite aux nouvelles acquisitions 2014 (3,6 M €)

dotation liée à l’intégration de la collecte pneumatique (0,4 M €)

dotation liée aux amortissements des subventions versées en 2012 et 2013 au budget des Projets d’aménagement (0,85 M€) ; ces subventions n’ayant pas fait l’objet d’amortissements en 2013 et 2014, l’inscription intervient en régularisation à la demande de la Trésorerie.

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III. LE BUDGET ANNEXE PROJETS D’AMENAGEMENT

Le budget primitif fait l’objet d’une reprise anticipée du résultat de l’exercice 2014. Il n’y a pas d’excédent de fonctionnement capitalisé sur ce budget annexe qui fait l’objet d’un flux d’équilibre depuis le budget principal au moment de la clôture comptable. En investissement, le résultat de clôture légèrement déficitaire (-9,8K€) est repris ainsi que le reste à réaliser de recette sur l’emprunt (4,446 M€).



- - -DÉPENSES RÉALISÉES (Réelles et d'Ordre) 1 973 937,69 11 525 619,43 -

RÉSULTAT DE L'EXERCICE 2014 - - 990 640,04 4 446 032,00

+ + +EXCÉDENT / DEFICIT 2013 REPORTÉ - 980 815,08 -

- 9 824,96 4 446 032,00

EXCÉDENT DE FONCTIONNEMENT 2014 -

EXCÉDENT D'INVESTISSEMENT 2014 4 436 207,04

EXCÉDENT GLOBAL 2014 4 436 207,04

BUDGET ANNEXE DES PROJETS D'AMENAGEMENT SECTION DE

FONCTIONNEMENT


EXCÉDENT / DEFICIT DE CLÔTURE 2014 - 4 436 207,04

+

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I. LES GRANDS EQUILIBRES DU BUDGET PRIMITIF

FONCTIONNEM

ENT

INVESTISSEM

ENT

DÉPENSES DE GESTION COURANTE2,275 M€ RECETTES DE GESTION COURANTE

3,750 M€

OPERATIONS D'ORDREAMORTISSEMENT ET COMPTA DE STOCKS

2,492 M€

OPERATIONS D'ORDRE AMORTISSEMENT ET COMPTA DE

STOCKS 3,781 M€


DEPENSES D'EQUIPEMENT

14,405 M€

DEPENSES FINANCIERES 1,942 M€

SUBVENTIONS D'INVESTISSEMENT

4,529 M€

DEPENSES D'ORDRE 2,471 M€

RECETTES D'ORDRE 3,759 M€

EMPRUNT D'EQUILIBRE

10,539 M€

DEFICIT REPORTE 0,009 M€


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II. LES RECETTES RÉELLES


L’évolution des recettes réelles du budget annexe aménagement, y compris reprise du résultat de l’exercice précédent et restes à réaliser (RAR)

18.82M€ de recettes sont inscrites cette année sur ce budget annexe, dont la moitié provient de l’emprunt (9.34M€), qui s’est substitué depuis la DM1 de l’exercice 2014 à la participation du budget principal et qui constitue donc l’essentiel des recettes réelles d’investissement.

0,13M€3,21M€

0,74M€3,75M€

8,83M€

11,15M€

9,36M€

10,62M€

1,01M€

4,45M€

‐ €

2,00M€

4,00M€

6,00M€

8,00M€

10,00M€

12,00M€

14,00M€

16,00M€

18,00M€

20,00M€

CA 2013 BP 2014 CA 2014 BP 2015

Recettes réelles du budget annexe aménagement

Restes à réaliser

Inscriptions liées au résultat del'exercice précédent

Investissement

Fonctionnement

L’évolution des recettes réelles du budget annexe aménagement, hors reprise du résultat de l’exercice précédent et restes à réaliser (RAR)

Les recettes prévisionnelles, hors restes à réaliser et reprise de l’exercice 2014, se stabilisent entre le BP2014 et le BP2015 (+0.1%). Cependant, la structure des recettes évolue :

- la participation des communes membres aux investissements en matière de projets d’aménagement doit fortement augmenter (+59%), passant de 2.61M€ en 2015 à 4.15M€ en 2015.

- le recours à l’emprunt finance la plus grosse part de l’investissement et est désormais supérieur à ce qu’était la participation du budget principal au budget annexe assainissement lors du BP2014. Cette augmentation de l’emprunt est destinée à financer les projets d’investissement.

- la participation du Budget principal au fonctionnement du budget annexe aménagement, enfin, augmente fortement entre le BP2014 et le BP2015.

- en revanche, la participation du budget principal au financement de l’investissement diminue fortement et est remplacée notamment par l’emprunt

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B. Les recettes réelles hors ZAC des Lilas

La gestion des opérations d’aménagement, hors ZAC des Lilas, est concédée à des aménageurs privés ou publics ; sur les opérations concédées, la CAEE n’assumant pas directement les dépenses de l’opération (sauf études pré-opérationnelles, participation au déficit des opérations …), elle ne perçoit en recettes que des subventions et des participations des villes, le cas échéant.

Hors ZAC des Lilas, et hors restes à réaliser (RAR) et inscriptions liées à la reprise du résultat de l’exercice 2014, les recettes réelles du budget annexe aménagement s’élèvent à 10.70M€, dont 88% de recettes d’investissement :

Subventions4%

Participation des Villes

39%Emprunt46%

Partitipation du budget principal

11%

Recettes réelles du budget annexe aménagement hors ZAC des Lilas (hors RAR et inscriptions liées à la reprise du résultat de

l'exercice 2014)

En fonctionnement :

- La participation du budget principal : elle est en augmentation par rapport à 2014, passant de 487 264€ lors du BP2014 à 1 237 792€ au BP 2015.

- Les subventions de fonctionnement : elles représentent moins d’1% des recettes du budget annexe aménagement (30 000€) et se compose de deux subventions, l’une du Conseil Régional d’Ile-de-France sur l’éco quartier de Pantin et l’autre de la Caisse des Dépôts et Consignations sur la ZAC Fraternité.


PARTICIPATION DU BPAL AU BA ZAC (0211201001 ) 487 264,00 1 237 792,00

PARTICIPATION DU BUD PRINCIPAL AU BA PA (0211201) 487 264,00 1 237 792,00

ZAC FRATERNITE CONCERTATION (0211203002 ) 63 000,00 15 000,00

ZAC FRATERNITE (0211203) 63 000,00 15 000,00

FRAIS D'ETUDES ECOQUARTIER PANTIN (0211208001 ) 15 000,00 15 000,00

ECOQUARTIER GARE DE PANTIN QUATRE CHEMINS (0211208) 15 000,00 15 000,00 565 264,00 1 267 792,00

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En investissement :

- L’emprunt : il s’élève à 8 512 124.85€, dont 4 895 923.85€ de restes à réaliser du budget 2014. - La participation des Villes : elle est en nette augmentation par rapport à 2014 et se répartit sur

plusieurs ZAC (ZAC Ecocités de Bobigny, ZAC Fraternité de Montreuil, ZAC de l’Ourcq à Noisy-le-Sec, ZAC de Port de Pantin, ZAC de l’Ourcq à Bondy)

- Les subventions d’investissement : l’essentiel des subventions du budget annexe aménagement portent sur l’investissement et proviennent du Conseil Régional d’Ile-de-France, de l’Agence Nationale de l’Habitat et de la Caisse des Dépôts et Consignations.


PARTICIPATION DU BPAL AU BA ZAC (0211201001 ) 6 892 922,00 -

PARTICIPATION DU BUD PRINCIPAL AU BA PA (0211201) 6 892 922,00 -

CHARGE DE LA DETTE (HORS ZAC LILAS) (0211209001 ) - 4 895 923,85

GESTION ACTIVE DE LA DETTE BAPA (0211209) - 4 895 923,85

ZAC ECOCITE BOBIGNY - PARTICIPATION VILLE (9211201002 ) 514 800,00 514 800,00

ZAC ECOCITE BOBIGNY (9211201) 514 800,00 514 800,00

ZAC BOISSIERE ACACIA MONTREUIL - ETUDES (9211202002 ) 43 000,00 -

ZAC BOISSIERE MONTREUIL (9211202) 43 000,00 -

ZAC FRATERNITE MONTREUIL - ETUDES (9211203002) 86 000,00 156 012,50

ZAC FRATERNITE MONTREUIL - PARTICIPATION VILLE (9211203007) 1 237 837,00 1 565 836,00

ZAC FRATERNITE MONTREUIL (9211203) 1 323 837,00 1 721 848,50

ZAC PORT DE PANTIN - PARTICIPATION VILLE (9211204004) 820 924,00 820 924,00

ZAC PORT DE PANTIN (9211204) 820 924,00 820 924,00

ZAC PLAINE DE L'OURCQ NOISY - PARTICIPATION VILLE (9211205003) 602 429,00

ZAC PLAINE DE L'OURCQ NOISY (9211205) - 602 429,00

ZAC RIVES DE L'OURCQ BONDY - ETUDES (9211207001) - 35 000,00

ZAC RIVES DE L'OURCQ BONDY - PARTICIPATION VILLE (9211207004) 648 300,00

ZAC RIVES DE L'OURCQ - BONDY (9211207) - 683 300,00

ECOQUARTIER PANTIN - ETUDES (9211208002) 230 000,00 100 000,00

MAITRISE D'OEUVRE URBAINE ECOQUARTIER PANTIN (9211208003 ) - -

ECOQUARTIER PANTIN QUATRE CHEMINS (9211208) 230 000,00 100 000,00

PNRQAD BAGNOLET - ETUDES (9211211001) 31 000,00 85 434,00

PNRQAD BAGNOLET (9211211) 31 000,00 85 434,00

9 856 483,00 9 424 659,35

C. Les recettes réelles de la ZAC des Lilas

La ZAC Centre-ville des Lilas est la seule ZAC gérée en régie (comptabilité de stock) au sein du budget annexe. Ce mode de gestion explique la structure particulière des recettes perçues par la CAEE au titre de cette ZAC. En effet, contrairement aux autres opérations d’aménagement dont la gestion est concédée à des aménageurs privés ou publics, la CAEE assume en direct l’intégralité des dépenses sur la ZAC Centre-Ville des Lilas et perçoit en parallèle l’intégralité des recettes (revenus des immeubles, produits des cessions, subventions …).

75

Participation du budget principal

(déficit)33%

Ventes de terrains aménagés

67%

Revenus des immeubles

0%

Recettes réelles de la ZAC des Lilas, hors RAR et inscriptions liées à la reprise de l'exercice 2014

En fonctionnement :

- Les produits de vente d’immeubles : les cessions de terrains aménagés constituent la principale ressource de la ZAC des Lilas, avec une recette prévisionnelle sur budget primitif de 2 464 137€. Cette recette correspond à la vente de l’Ilot I à Nexity.

- Les loyers : la ZAC des Lilas génère également des recettes de location à hauteur de 17 674€ par an.


ZAC CENTRE VILLE DES LILAS (0211206004 ) 2 641 365,00 2 481 811,00

ZAC CENTRE VILLE LES LILAS (0211206) 2 641 365,00 2 481 811,00 2 641 365,00 2 481 811,00

En investissement :

- L’emprunt : 829 831€ d’emprunt ont été mis en restes à réaliser (RAR) à l’issu de l’exercice 2014 et sont donc budgétés dès le budget primitif sur les recettes de la ZAC des Lilas.

- La participation du budget principal : la ZAC des Lilas continue de percevoir une avance en provenance du budget principal à hauteur de 1 197 859€, nécessaire au portage de trésorerie.



ZAC CENTRE VILLE LES LILAS (0211206) 1 290 460,00 1 197 859,00

1 290 460,00 1 197 859,00

76

III. LES DÉPENSES RÉELLES

Les dépenses réelles s’élèvent à 18,81 M€ en augmentation de 31% par rapport au budget primitif 2014. Cette hausse est le reflet des nouveaux traités de concession signés au cours de l’année écoulée qui génèrent le versement des premiers flux de participation de la Communauté d’agglomération au déficit à terminaison de l’opération (ZAC Rives de l’Ourcq à Bondy, ZAC Plaine de l’Ourcq à Noisy-le-Sec, ZAC Fraternité à Montreuil).

7,38 M€

12,18 M€10,32 M€

16,35 M€0,52 M€

2,18 M€

0,81 M€

2,46 M€

0,01 M€

0 M€

2 M€

4 M€

6 M€

8 M€

10 M€

12 M€

14 M€

16 M€

18 M€

20 M€

CA 2013 BP 2014 CA 2014 BP 2015

Déficit d'investissement reporté (0,009 M€)

Fonctionnement

Investissement

Répartition des dépenses réelles inscrites au BP 2015 par chapitre budgétaire

011 ‐ Chargesà caractère général

2,29 M€

66 ‐ Charges financières0,19 M€

16 ‐ Empruntset dettes assimilées

1,80 M€

20 ‐ Immobilisations incorporelles1,02 M€

21 ‐ Immobilisations corporelles1,31 M€

ZAC Benoit HureBagnolet1,21 M€

ZAC de l'Horloge Romainville0,25 M€

ZAC Ecocité Bobigny2,00 M€

ZA Fraternité ‐Montreui3,50 M€ ZAC Plaine de l'Ourcq

Noisy‐le‐Sec1,50 M€

ZAC Port de Pantin 2,00 M€

ZAC Rives de l'Ourcq ‐ Bondy1,61 M€

204 ‐ Participations au déficit prévisionnel

12,08 M€

La première nature de dépense correspond aux participations versées aux aménageurs ou aux villes (64%). L’importance des charges à caractère général est la conséquence de la gestion en régie directe de la ZAC du centre ville des Lilas. L’augmentation la plus sensible entre 2014 et 2015 demeure celle des dépenses à caractère financier (remboursement du capital de la dette et règlement des charges d’intérêt) en lien avec le choix, lors de la dernière décision modificative du 18 novembre 2014, de flécher directement l’emprunt d’équilibre sur le budget annexe en lieu et place du flux de participation précédemment versé depuis le budget principal.

77

A. Les dépenses de fonctionnement

1. Les dépenses d’intervention

Les crédits de fonctionnement recouvent plusieurs types de dépenses.

Il s’agit tout d’abord, concernant la ZAC des Lilas, d’acquérir les derniers lots fonciers (1,83 M€) et d’assurer le règlement des honoraires et des travaux de démolition associés (0,27 M€). Seules les dépenses réeelles sont distinguées à l’exclusion des variations de stocks et autres écritures d’ordre retracées ci-après.

Par ailleurs, les démarches de concertation se poursuivent sur la ZAC Fraternité à Montreuil comme sur l’Ecoquartier de Pantin, associées à la mise en place des zones d’aménagement (93 K€). Il est également prévu de solder les honoraires dus à la SEM Séquano Aménagement.


ZAC BOISSIERE MONTREUIL (0211202001 ) 20 000,00 26 500,00

ZAC BOISSIERE MONTREUIL (0211202) 20 000,00 26 500,00

ZAC FRATERNITE CONCERTATION (0211203002 ) 30 000,00 30 000,00

ZAC FRATERNITE (0211203) 30 000,00 30 000,00


ZAC CENTRE VILLE LES LILAS (0211206) 2 030 816,00 2 143 196,00

FRAIS D'ETUDES ECOQUARTIER PANTIN (0211208001 ) 53 200,00 63 000,00

ECOQUARTIER GARE DE PANTIN QUATRE CHEMINS (0211208) 53 200,00 63 000,00 2 134 016,00 2 262 696,00

2. Les charges d’intérêt

Enfin, au-delà des ajustements de charges d’intérêt liées à l’emprunt spécifique contractée sur la ZAC des Lilas (21,47 K€), le programme « gestion active de la dette » introduit à l’occasion de la dernière décision modificative retrace les crédits correspondant aux frais bancaires et charges d’intérêt de l’emprunt d’équilibre du budget annexe (176,34 K€).

Ce choix de recourir à l’emprunt répond à la difficulté d’Est Ensemble de pourvoir dégager une épargne brute sur ce budget. En effet, le cadre réglementaire et comptable impose d’amortir les flux d’équilibre d’un budget vers l’autre. Ce budget ne pouvant absorber la charge de l’amortissement sur sa section de fonctionnement via le compte 681 au risque de dégager une épargne brute négative, un arbitrage a été rendu pour emprunter en propre sur le budget annexe projet d’aménagement.

Les seuls intérêts de cet emprunt en 2015 représente 158K€ en hausse de 494% par rapport à 2014. Cette forte augmentation correspond à l’incidence du coût de la dette lié à l’avancement des différents projets et aux besoins d’emprunts y afférent.


DETTE EN K ET INTERETS (ZAC DES LILAS) (0211206005 ) 41 347,00 21 474,00

ZAC CENTRE VILLE LES LILAS (0211206) 41 347,00 21 474,00

CHARGE DE LA DETTE (HORS ZAC LILAS) (0211209001 ) - 176 366,00

GESTION ACTIVE DE LA DETTE BAPA (0211209) - 176 366,00 41 347,00 197 840,00

78

Evolution du remboursement des intérêts des emprunts entre 2014 et 2015

26,58 K€

157,96 K€

0 K€

20 K€

40 K€

60 K€

80 K€

100 K€

120 K€

140 K€

160 K€

180 K€

2014 2015

B. Les dépenses d’investissement

1. Les dépenses sectorielles

L’ensemble des crédits d’investissement à l’exclusion de ceux relatifs aux remboursements du capital des emprunts contractés fait l’objet d’une gestion pluriannuelle dans le cadre d’autorisations de programme votées par le Conseil communautaire.

A l’occasion de la préparation du budget primitif, la structure budgétaire de chaque projet, désormais érigé en opérations d’équipement, a été revue pour en simplifier la lecture en distinguant les crédits liés à des études pré-opérationnelles (1,04 M€), les flux versés par la Communauté d’agglomération aux aménageurs (11,5 M€), ceux versés aux villes afin d’équilibrer la participation au déficit prévisionnel à terminaison (0,46 M€) ainsi, le cas échéant, que les éventuels frais d’acquisition foncière (1,31 M€). Il s’y ajoute les dépenses d’accompagnement juridique et financier transverses aux différents projets (90 K€). Le détail est repris dans le tableau ci-après.


ZAC ECOCITE BOBIGNY - PARTICIPATION A L'AMENAGEUR (9211201001) 2 180 000,00 2 000 000,00

ZAC ECOCITE BOBIGNY (9211201) 2 180 000,00 2 000 000,00

ZAC BOISSIERE ACACIA MONTREUIL - ETUDES (9211202003) 316 000,00 56 900,00

ZAC BOISSIERE ACACIAS MONTREUIL - PARTICIPATION VILLE (9211202005)

1 300 833,00 -

ZAC BOISSIERE ACACIA MONTREUIL - ACQUISITIONS (9211202006) 1 312 620,00

ZAC BOISSIERE MONTREUIL (9211202) 1 616 833,00 1 369 520,00

ZAC FRATERNITE MONTREUIL - ETUDES (9211203003) 20 000,00 35 300,00

ZAC FRATERNITE MONTREUIL - PARTICIP. AMENAGEUR (9211203005 ) 2 000 000,00 3 500 000,00

ZAC FRATERNITE MONTREUIL (9211203) 2 020 000,00 3 535 300,00

ZAC PORT DE PANTIN - ETUDES (9211204001) - 17 845,00

ZAC PORT DE PANTIN - PARTICIPATION AMENAGEUR (9211204003) - 2 000 000,00

ZAC PORT DE PANTIN (9211204) - 2 017 845,00

ZAC PLAINE DE L'OURCQ NOISY - PARTICIP.A L'AMENAGEUR (9211205002)

- 1 500 000,00

ZAC PLAINE DE L'OURCQ NOISY (9211205) - 1 500 000,00

ZAC CENTRE VILLE LES LILAS PARTICIPATION BILAN (9211206001 ) 1 659 662,00 -

ZAC CENTRE VILLE LES LILAS (9211206) 1 659 662,00 -

ZAC RIVES DE L'OURCQ BONDY - ETUDES (9211207001) 116 000,00 116 213,39

ZAC RIVES DE L'OURCQ BONDY - PARTICIP. AMENAGEUR (9211207003) - 1 500 000,00

ZAC RIVES DE L'OURCQ - BONDY (9211207) 116 000,00 1 616 213,39

79


ECOQUARTIER PANTIN - ETUDES (9211208002) - 345 700,00

ECOQUARTIER PANTIN - MAITRISE D'OEUVRE URBAINE (9211208003) 906 938,00 254 300,00

ECOQUARTIER PANTIN QUATRE CHEMINS (9211208) 906 938,00 600 000,00

PORTES DE L'OURCQ PANTIN ETUDES PRE-OPERAT. (9211210001 ) 70 000,00 -

PORTE DE L'OURCQ PANTIN (9211210) 70 000,00 -

PNRQAD BAGNOLET - ETUDES (9211211001) 55 000,00 50 618,00

PNRQAD BAGNOLET (9211211) 55 000,00 50 618,00

LIAISON URBAINE PAR CABLE BAGNOLET (9211212001 ) 40 000,00 -

DE PORTE DE BAGNOLET A LA COLLINE DE LA NOUE (9211212) 40 000,00 -

ACCOMPAGNEMENT JURIDIQUE ET FINANCIER (9211213001) 100 000,00 90 000,00

ACCOMPAGNEMENT JURIDIQUE, FINANCIER ZAC ET AMGT (9211213) 100 000,00 90 000,00

ZAC BENOIT HURE BAGNOLET - PARTICIP. AMENAGEUR (9211214001) 1 000 000,00 1 000 000,00

ZAC BENOIT HURE BAGNOLET - PARTICIPATION VILLE (9211214002) 214 636,00 214 636,00

ZAC BENOIT HURE BAGNOLET (9211214) 1 214 636,00 1 214 636,00

ZAC DE L'HORLOGE ROMAINVILLE - PARTICIP. AMENAGEUR (9211215001 )

1 500 000,00 -

ZAC DE L'HORLOGE ROMAINVILLE - PARTICIPATION VILLE (9211215002) 249 140,00 249 140,00

ZAC DE L'HORLOGE ROMAINVILLE (9211215) 1 749 140,00 249 140,00

TERRITOIRE PLAINE DE L OURCQ (9211216001 ) 250 000,00 162 000,00

TERRITOIRE PLAINE DE L OURCQ (9211216) 250 000,00 162 000,00

14 250 372,00 14 405 272,39

2. Le remboursement du capital de la dette

Les dépenses liées à la dette progressent sensiblement du fait d’un remboursement in fine de l’emprunt contracté sur la ZAC du Centre ville des Lilas (1,515 M€) et des premières échéances en capital sur les emprunts mobilisés en 2014 pour financer spécifiquement les projets d’aménagement (427,5 K€).


DETTE EN K ET INTERETS (ZAC DES LILAS) (0211206005 ) 200 000,00 1 515 000,00

ZAC CENTRE VILLE LES LILAS (0211206) 200 000,00 1 515 000,00

RESULTAT EXERCICE ANTERIEUR (0211207001 ) - 9 824,96

RESULTAT EXERCICE ANTERIEUR (0211207) - 9 824,96

CHARGE DE LA DETTE (HORS ZAC LILAS) (0211209001 ) - 427 520,00

GESTION ACTIVE DE LA DETTE BAPA (0211209) - 427 520,00

200 000,00 1 952 344,96

80

Evolution du remboursement du capital de l’encours de dette entre 2014 et 2015

200,00 K€

1 941,73 K€

0 K€

500 K€

1 000 K€

1 500 K€

2 000 K€

2 500 K€

2014 2015

Les écritures de la ZAC des Lilas constituent en soit un bilan financier équilibré au sein duquel d’importants mouvements d’ordre interviennent du fait d’une gestion en comptabilté de stocks.

Derrière ces mouvements, le budget 2015 repose en recettes sur la vente à Nexity de l’ilôt I et à Haddouk du volume 3 de l’ilot D et d’une partie de l'ilot I (2,46 M€) ainsi que sur des revenus issus des immeubles en propriété (17,68 K€).

Les dépenses correspondent pour l’essentiel à des frais d’acquisitions (en VEFA sur l’ilôt I), au versement d’indemnités (SCI Fromont), au règlement d’honoraires d’avocat et de notaire ou à quelques travaux (2,05 M€). Elles intègrent également la rémunération de l’AMO SEMIP (90 K€).

FONCTIONNEM

ENT

DÉPENSES DE GESTION COURANTE2,168 M€

RECETTES DE GESTION COURANTE2,482 M€

OPERATIONS D'ORDREAMORTISSEMENT ET COMPTA DE STOCKS

2,193 M€

OPERATIONS D'ORDRE AMORTISSEMENT ET COMPTA DE STOCKS

2,482 M€


INVESTISSEM

ENT DEPENSES FINANCIERES 1,515 M€



EMPRUNT D'EQUILIBRE 1,201 M€

81

IV. LES MOUVEMENTS D’ORDRE

Fonctionnement Dépenses Recettes


Opérations de stock en fonctionnement 21 474,00 21 474,00

Dotation aux amortissements 1 277 801,00 305 875,00

Opérations de stock virées en investissement 2 481 811,00 2 164 670,00

Total mouvements d’ordre 3 781 086,00 2 492 019,00

Total budget 6 241 622,00 6 241 622,00



Dotation aux amortissements 305 875,00 1 277 801,00

Opérations de stock virées en investissement 2 164 670,00 2 481 811,00

Total mouvements d’ordre 2 470 545,00 3 759 612,00

Résultat reporté 9 824,96

Total budget 18 828 162,35 18 828 162,35

En dehors des opérations de stocks déjà évoquées et liées à la ZAC des Lilas, le budget annexe des projets d’aménagement dispose d’une dotation aux amortissements en lien avec les participations versées aux aménageurs ou aux villes pour un montant de 1,278 M€.

82

IV. LE BUDGET ANNEXE D'ASSAINISSEMENT

Le vote du budget primitif fait l’objet d’une reprise anticipée du résultat de l’exercice 2014. Cette décision permet de constater, à la fois ,un excédent capitalisé de fonctionnement à hauteur de 11,1 M€ (dont 8,2 M€ sont liés au résultat des exercices antérieurs) et un déficit d’investissement de 1,64 M€.

L’excédent global 2014 s’élève donc à 9,45 M€.



- - -DÉPENSES RÉALISÉES (Réelles et d'Ordre) 5 818 554,78 8 557 504,14 3 104 654,27

RÉSULTAT DE L'EXERCICE 2014 2 892 694,16 - 4 197 962,36 - 481 783,27

+ + +EXCÉDENT / DEFICIT 2013 REPORTÉ 8 195 967,43 3 037 310,43 -

- 1 160 651,93 - 481 783,27

EXCÉDENT DE FONCTIONNEMENT 2014 11 088 661,59

DEFICIT D'INVESTISSEMENT 2014 - 1 642 435,20

EXCÉDENT GLOBAL 2014 9 446 226,39

- 1 642 435,20


BUDGET ANNEXE D'ASSAINISSEMENT 2014

SECTION D'EXPLOITATION

EXCÉDENT / DEFICIT DE CLÔTURE 2014 11 088 661,59 +

Il est proposé d’en affecter une partie au budget principal étant entendu que sont respectées les conditions cumulatives fixées par le Conseil d’Etat à ce type de reversement : l’excédent dégagé ne résulte pas de la fixation d’un prix trop élevé à l’encontre des usagers du service, le besoin de financement dégagé par la section d’investissement est couvert et enfin la part reprise a été évaluée déduction faite des dépenses d’exploitation ou d’investissement envisagées à très court terme.

Le budget primitif du budget annexe d’assainissement présente avant reprise du résultat un besoin de financement qui suppose pour en assurer l’équilibre d’y maintenir 5,32 M€ du montant cumulé de l’excédent capitalisé. Le solde est transféré à titre exceptionnel au bénéfice du budget principal.

83

a. LES GRANDS EQUILIBRES DU BUDGET PRIMITIF

INVESTISSEM

ENT

FONCTIONNEM

ENT

RECETTES D'EXPLOITATION

8,518 M€


DÉPENSES DE GESTION DES SERVICES4,183 M€


AMORTISSEMENTS 1,845 M€

VIREMENT A LA SECTION D'INVESTISSEMENT 2,223 M€

RECETTES D'EQUIPEMENT 4,317 M€

DÉFICIT REPORTÉ 20141,161 M€

FCTVA 1,407 M€

DEPENSES D'EQUIPEMENT13,373 M€

DEPENSES FINANCIERES0,915 M€


AMORTISSEMENTS 1,845 M€

VIREMENT A LA SECTION D'INVESTISSEMENT 2,223 M€



EXCÉDENTDE FONCTIONNEMENT

CAPITALISÉ

5,320 M€

dont Restes à réaliser : 0,403M€

84

b. LES RECETTES RÉELLES

A. Les recettes d’exploitation

L’évolution des recettes réelles du budget annexe assainissement, y compris reprise du résultat de l’exercice précédent et restes à réaliser (RAR)

Cette année, le vote du budget primitif ayant lieu en même temps que le compte administratif, le budget annexe assainissement intègre dans ses recettes d’investissement, dès le budget primitif, le résultat de l’exercice précédent, soit l’excédent de fonctionnement capitalisé (1068), pour un montant de 5 320 341.64€ et les Restes à Réaliser (RAR) pour un montant de 2 622 871.00€.

7,72M€ 7,77M€ 8,65M€ 8,52M€

3,25M€6,63M€

2,50M€ 3,50M€

11,04M€ 11,23M€

5,32M€

2,62M€

‐ €

5,00M€

10,00M€

15,00M€

20,00M€

25,00M€

CA2013 BP2014 CA 2014 BP2015

Recettes réelles du budget annexe assainissement

Restes à réaliser

Inscriptions liées au résultat del'exercice précédent

Investissement

Fonctionnement

L’évolution des recettes réelles du budget annexe assainissement, hors reprise du résultat de l’exercice précédent et restes à réaliser (RAR)

Les recettes réelles du budget annexe assainissement, hors inscriptions liées au résultat de l’exercice précédent et restes à réaliser, s’élèvent donc à 12 021 655.56€, dont 71% de recettes de fonctionnement et 29% des recettes d’investissement. Les recettes du BP2015 diminuent par rapport au BP2014 (-17%).

Cette diminution se constate uniquement sur les recettes d’investissement et s’explique essentiellement par le fait que l’emprunt de 2.9M€ qui avait été budgété au BP2014 n’a pas été reconduit dans les inscriptions du BP2015. Cette absence de recettes est compensée par la reprise des excédents de fonctionnement capitalisés relatifs à l’exercice 2014, dès le BP2015. Cet emprunt n’a d’ailleurs pas été consommé en 2014 puisque, lors du budget supplémentaire pour 2014, il avait été complètement désinscrit.

Cependant, certaines recettes d’investissement augmentent ; c’est le cas des recettes de subventions de l’Agence de l’Eau et du Fonds de Compensation pour la TVA (FCTVA) qui sont mécaniquement liées à l’augmentation des dépenses d’investissement.

85

Les recettes réelles du budget annexe assainissement, hors inscriptions liées au résultat de l’exercice précédent (1068) et hors Restes à réaliser (RAR) se répartissent comme suit :

F.C.T.V.A.12%

Subventions 15%

P.F.A.C.1%

Redevance d'assainissement

collectif59%

Participation du budget principal ‐eaux pluviales

5%

Prestations de service6%

Produits exceptionnels

2%

Répartition des recettes réelles par nature (hors RAR et inscriptions liées à la reprise du résultat 2014)

B. Les recettes d’exploitation


REHABILITER LE RESEAU (0191203004 ) 100 000,00 211 668,56

TRAVAUX POUR COMPTE DE TIERS (BRANCHEMENTS) (0191203005 ) - 700 000,00

GESTION PATRIMONIALE DES RESEAUX ASSAINISSEMENT (0191203) 100 000,00 911 668,56

REDEVANCES ET PARTICIPATIONS DIVERSES (0191213001 ) 7 671 990,00 7 606 058,00

REDEVANCES ET PARTICIPATIONS (0191213) 7 671 990,00 7 606 058,00

7 771 990,00 8 517 726,56

Produits exceptionnels

En raison d’un trop versé sur un marché portant sur la réhabilitation du réseau public d’assainissement, la Communauté d’agglomération a réclamé le remboursement auprès du prestataire, ce qui constitue une recette de fonctionnement inscrite au BP2015 pour un montant de 211 668.56€.

Les travaux effectués pour compte de Tiers (prestation de service):

Afin de mieux maîtriser la qualité des travaux de nouveaux raccordements d’assainissement, réalisés antérieurement par les pétitionnaires dans les anciens règlements d’assainissement communaux, le service d’assainissement peut réaliser les travaux sous le domaine public entre le réseau et le regard de branchement situé en limite de propriété, si le pétitionnaire le demande. Conformément à l’article L1331-2 du Code de la santé publique, la collectivité peut se faire rembourser les dépenses entraînées par ces

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travaux. Pour 2015, cette recette est ainsi estimée à 700 000€, contre 330 000€ en 2013. Imputés l’année dernière en investissement, elle figure désormais dans la section de fonctionnement.

Contrôles de raccordement à l’égout (prestation de service) :

A l’occasion de mutations, certains notaires, agences immobilières ou propriétaires sollicitent le service d’assainissement communautaire afin de disposer d’une attestation de raccordement à l’assainissement. Ce document ne peut être délivré qu’à l’issue d’une enquête réalisée sur place. Cette mission qui dépasse le cadre de l’activité « normale » du service et qui constitue une prestation facultative, peut ainsi donner lieu à une tarification. La prestation de ce service est prévue dans le budget annexe assainissement depuis l’année dernière. En 2014, la Communauté d’agglomération a perçu 27 674.15€ au titre des contrôles de raccordement à l’égout. Pour le budget 2015, il est envisagé de réaliser environ 600 certificats de raccordement à l’égout, soit une recette prévisionnelle pour la section de fonctionnement de 52 000.00€.

La Participation forfaitaire pour le Financement de l’Assainissement Collectif (P.F.A.C.)

La PFAC remplace l’ancienne participation pour le raccordement à l’égout (PRE) depuis le 1er juillet 2012. Elle est exigible à compter de la date de raccordement effectif au réseau public de l’immeuble ou de la partie réaménagée de l’immeuble, dès lors que ce raccordement génère des eaux usées supplémentaires. En 2014, ce poste de recettes avait fait l’objet d’une surréalisation en raison d’un rattrapage effectué sur la facturation des PRE. Pour 2015, les redevances issues de la PFAC sont estimées à 200 000.00€, c’est-à-dire au même niveau que l’année dernière.

Le financement de la gestion des eaux pluviales – participation du budget principal

La collecte et le traitement des eaux pluviales constituent un service public administratif, à la charge du budget général de la Communauté d’agglomération d’Est Ensemble, contrairement à l’assainissement des eaux usées domestiques ou industrielles qui relèvent d’une mission de service public industriel et commercial. La gestion des eaux pluviales donne ainsi lieu à un flux de participation en fonctionnement du budget principal vers le budget annexe assainissement. Pour 2015, cette participation s’élève donc, comme en 2014, à 300 000.00€.

La redevance d’assainissement collectif

La redevance d’assainissement collectif est perçue par la Communauté d’agglomération à la place des communes qui l’avaient mise en place, au titre de sa compétence en matière d’assainissement. Les tarifs appliqués pour l’année 2015 sont les mêmes que ceux appliqués en 2014, même si une trajectoire de convergence a été définie à moyen terme afin de s’assurer d’une harmonisation et d’une équité des charges pesant sur l’ensemble des usagers communautaires. Le tarif actuel (moyenne pondérée) se situe à 0.34€ par m3. Le montant prévisionnel pour 2015 de la redevance diminue légèrement par rapport au BP2014, passant de 7 136 990.00€ à 7 054 058.00€.

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C. Les recettes d’investissement


CREAT AMEL OUVRAGES GESTION EAUX PLUVIALES (0191202003 ) 482 364,00 296 952,00

LUTTE CONTRE LES INONDATIONS (0191202) 482 364,00 296 952,00

REHABILITER LE RESEAU (0191203004 ) 1 614 315,00 1 800 000,00

TRAVAUX POUR COMPTE DE TIERS (BRANCHEMENTS) (0191203005 ) 330 000,00 -

GESTION PATRIMONIALE DES RESEAUX ASSAINISSEMENT (0191203) 1 944 315,00 1 800 000,00

RESULTAT EXERCICE PRECEDENT (0191209001 ) - 5 320 341,64

RESULTAT EXERCICE ANTERIEUR (0191209) - 5 320 341,64

FCTVA (0191210001 ) 1 278 464,00 1 406 977,00

RESSOURCES INVESTISSEMENT (0191210) 1 278 464,00 1 406 977,00

DETTE EN K ET INTERETS (0191211001 ) 2 926 570,00 -

GESTION ACTIVE DE LA DETTE (0191211) 2 926 570,00 -

6 631 713,00 8 824 270,64

Le cofinancement des dépenses d’investissement en matière d’eaux pluviales

En plus de la contribution eaux pluviales, qui est une redevance et alimente la section de fonctionnement, le budget principal participe également au financement de l’investissement en matière de gestion des eaux pluviales. Cela se traduit par un cofinancement de 296 952.00€.

Les cofinancements au bénéfice de la réhabilitation du réseau

Les subventions de l’Agence de l’Eau Seine Normandie (AESN) sont estimées en fonction du volume de dépenses d’investissements projetés sur l’année. Pour 2015, le volume de dépenses estimé est en augmentation par rapport au BP2014 ; le volume des subventions de l’AESN augmente donc également, et se situe à 1 800 000€ euros cette année (+12% par rapport au BP2014). S’ajoutent à cela 2 219 344.00€ de reports de subventions relatifs à des reports de dépenses subventionnées.

Le Fonds de compensation de la TVA

Le fonds de compensation de la TVA permet à l’Etat d’encourager l’investissement local en reversant aux collectivités locales une partie de la TVA acquittée lors de leurs dépenses d’investissement. La loi de finance 2015 revalorise ce taux de reversement à hauteur de 16.404%, contre 15.761% en 2014. Compte tenu des investissements programmés pour 2015, le FCTVA devrait s’établir sur le budget annexe assainissement à 1 406 977€ auxquels s’ajoutent 403 527€ de reports (associés aux Restes à Réaliser de dépenses éligibles au FCTVA), soit un total de 1 810 504.00€ de FCTVA.

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c. LES DEPENSES REELLES

Les dépenses réelles progressent sous l’effet de la reprise anticipée du résultat de l’exercice 2014 qui revient à intégrer dès le budget primitif le solde déficitaire reporté de la section d’investissement (1,16 M€) et les restes à réaliser de dépenses d’investissement (3,104 M€) mais plus structurellement du fait d’un périmètre croissant d’intervention. Entre 2014 et 2015, les inscriptions budgétaires passent ainsi de 12,4 M€ à 15,7 M€ en augmentation de plus de 20% avec un effort particulier en investissement (de 8,5 M€ à 11,18 M€).

6,81 M€

10,22 M€8,50 M€

11,18 M€

3,96 M€

4,18 M€

3,95 M€

4,52 M€

3,10 M€

1,16 M€

0 M€

5 M€

10 M€

15 M€

20 M€

25 M€

CA 2013 BP 2014 CA 2014 BP 2015

Déficit d'investissement reporté (1,161 M€)

Investissement ‐ RAR 2014

Fonctionnement

Investissement ‐ BP 2015

A. Les dépenses d’exploitation

Les dépenses d’intervention


ENT OUVRAGES GEST EAUX PLUVIALES (0191202001 ) 420 000,00 500 000,00


CURAGE ET ENTRETIEN DES OUVRAGES (0191203001 ) 1 420 000,00 1 335 000,00

CONNAISSANCE DU PATRIMOINE (0191203002 ) 140 000,00 130 000,00

REHABILITER LE RESEAU (0191203004 ) - 831,00


PARTENARIATS INSTITUTIONNELS (0191204001 ) 10 000,00 6 500,00

LIEN A L'USAGER (0191204002 ) 15 000,00 115 000,00

GESTION SOLIDAIRE DE L'EAU COMMUNICATION (0191204) 25 000,00 121 500,00

COM° POUR RECOUVREMENT DE LA REDEVANCE (0191213001 ) 145 000,00 145 000,00

REDEVANCES ET PARTICIPATIONS (0191213) 145 000,00 145 000,00

2 150 000,00 2 232 331,00

L’enveloppe consacrée au programme de « lutte contre les inondations » continue d’augmenter en lien avec le besoin croissant d’entretien des ouvrages de gestion des eaux de pluie, notamment des bassins à ciel ouvert pour atteindre 500 K€ ; elle comprend notamment une étude sur l’infiltration des eaux de pluie.

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Le programme de « Gestion patrimoniale des réseaux d’assainissement » correspond pour l’essentiel aux opérations courantes de maintenance et d’entretien des canalisations (reprises de tampons, curages divers, dératisations, réparation de branchement). Les inspections télévisées ponctuelles ayant pour objet d’affiner la connaissance du patrimoine communautaire seront également poursuivies. L’enveloppe pour 2015 (1,466 M€) a été évaluée sur la base du montant d’interventions réalisé en 2014.

L’augmentation des crédits ouverts sur le programme « Gestion solidaire de l’eau » qui porte notamment les adhésions à différents acteurs de l’assainissement (SAGE Marne confluence, Astee, Arceau) et les actions de communication du secteur, prend en compte la commande d’une étude d’opportunité sur l’expérimentation en matière de tarification sociale et progressive de l’eau prévue par la loi du 15 avril 2013 visant à préparer la transition vers un système énergétique sobre et portant diverses dispositions sur la tarification de l'eau et sur les éoliennes (loi « Brottes »).

Enfin, le programme « Redevances et participations » porte les crédits correspondant au frais de recouvrement de la redevance d’assainissement et à la rémunération du délégataire du service au Pré Saint-Gervais (145 K€).

Les ressources humaines et moyens généraux


FRAIS DE MISSION, FORMATIONS, RECRUT., INSERTION (0191205001 ) 1 121 944,00 1 373 201,00

RESSOURCES HUMAINES MASSE SALARIALE (0191205) 1 121 944,00 1 373 201,00

SYSTEMES D'INFORMATION (0191206001 ) 27 800,00 56 000,00

LOGISTIQUE (0191206002 ) 62 000,00 83 500,00

VEHICULES (0191206003 ) 69 000,00 62 250,00

PRESTATIONS RELATIVES AFFAIRES IMMOBILIERES (0191206004 ) 321 500,00 322 250,00

MOYENS GENERAUX (0191206) 480 300,00 524 000,00

SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL (0191207001 ) 1 000,00 2 667,00

ACTION SOCIALE (0191207002 ) 19 600,00 27 467,00

ACTION SOCIALE ET SANTE AU TRAVAIL (0191207) 20 600,00 30 134,00

GESTION DES RECRUTEMENTS (0191208001 ) 10 000,00 2 000,00

FORMATION (0191208002 ) 40 000,00 20 000,00

FRAIS DE MISSION (0191208003 ) 1 500,00 1 500,00

RECRUTEMENT, FORMATION ET CONSEIL EN RH (0191208) 51 500,00 23 500,00

1 674 344,00 1 950 835,00

Les crédits du programme « Ressources humaines et masse salariale » progressent en 2015 sous l’effet en année pleine des recrutements intervenus au cours de l’année précédente. Cette augmentation mécanique explique celle corollaire des dépenses d’action sociale et de santé au travail.

En revanche, compte tenu de la stabilisation du nombre de postes ouverts en 2015, les prestations annexes de recrutement, formation et conseil associées au pilotage des ressources humaines qui, a contrario, diminuent de plus de moitié.

Le programme « Moyens généraux » comprend l’ensemble des dépenses associées au bon fonctionnement du service de l’assainissement. Il s’agit du remboursement de dépenses supportées par le budget principal (maintenance des systèmes informatiques, des frais de télécommunications, quote-part sur les assurances véhicules), de l’achat de petits équipements de protection individuelle et autres fournitures diverses ou encore de carburant pour les véhicules du service. Il finance également les loyers et taxe associés au Centre technique de Bobigny.

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La charge d’intérêt de la dette


DETTE EN K ET INTERETS (0191211001 ) 360 451,00 332 896,00

GESTION ACTIVE DE LA DETTE (0191211) 360 451,00 332 896,00

DEPENSES DE FONCTIONNEMENT 360 451,00 332 896,00

L’encours de la dette sur le budget annexe est de 11,7 M€ au 1er janvier 2015. Pour l’exercice 2015, le montant des intérêts représente 286 076 €. La Communauté d’agglomération est engagée auprès de huit établissements bancaires, le huitième étant l’Agence de l’Eau Seine Normandie (AESN). Les prêts accordés par l’AESN sont à taux zéro.

Encours de dette par type de prêteur

CREDIT FONCIER DE FRANCE20%

Agence de l'eau Seine Normandie

20%

SOCIETE GENERALE

19%

SFIL CAFFIL14%

CAISSE D'EPARGNE

11%

CDC9%

CREDIT AGRICOLE

5%

DEXIA2%

B. Les dépenses d’investissement

Les dépenses d’équipement s’élèvent à 13,373 M€. Leur progression à périmètre constant (hors reprise des restes à réaliser 2014 soit 3,105 M€) est de 14,6% entre 2014 à 2015 du fait, d’une part, de la pleine administration du patrimoine transféré à la Communauté d’agglomération mais aussi du lancement de deux gros projets à portée pluriannuelle.

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Dépenses d’investissement

Répartition des restes à réaliser 2014 par opération (pour information)

Les restes à réaliser 2014 touchent l’ensemble des secteurs d’intervention du service d’assainissement. Pour information, les principaux engagements en cours concernent les travaux de réhabilitation du réseau avenue des clos français à Montreuil, la création d’un réseau pluvial autour du marché Vaillant à Bobigny, la deuxième tranche de réhabilitation avenue de la Dhuys à Bagnolet ou encore la réhabilitation en cours rue Eugène Masson à Bondy ou enfin la reprise de 17 branchements rue Curie à Noisy-le-Sec.

Les dépenses d’intervention


CREAT AMEL OUVRAGES GESTION EAUX PLUVIALES (0191202003 ) 230 000,00 420 000,00


CONNAISSANCE DU PATRIMOINE (0191203002 ) 30 000,00 145 000,00

ETUDES, DIAGNOSTICS (0191203003 ) 800 000,00 700 000,00

REHABILITER LE RESEAU (0191203004 ) 7 871 571,00 5 580 000,00

TRAVAUX POUR COMPTE DE TIERS (BRANCHEMENTS) (0191203005 ) 300 000,00 700 000,00


9 231 571,00 7 545 000,00

Le programme « Lutte contre les inondations » doit permettre de financer la création d’un réseau sur la voie nouvelle Emmaüs à Bobigny et plus largement d’assurer différents travaux d’exploitation sur le réseau des eaux pluviales (reprise de grilles ou remplacement d’avaloirs, travaux courants,…).

Les crédits inscrits sur le programme « Gestion patrimoniale des réseaux d’assainissement » permettent principalement la réalisation des inspections, curages et études diverses (700 K€) préalables à la réalisation des travaux de réhabilitation du réseau (5,58 M€). Ils portent également les dépenses d’intervention croissante du service d’assainissement réalisées pour le compte de tiers (branchements, contrôle de raccordements à l’assainissement communautaire,…) intégralement compensées en recette.

La réduction entre 2014 et 2015 de l’enveloppe consacrée aux travaux de réhabilitation qui comprend des interventions, soit de réhabilitation urgente compte tenu de l’état du réseau, soit d’extension ou de grosse réparation liées à des projets de voirie ou d’aménagement, tient à l’impact des travaux liés au prolongement du T1.

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rue Bellevue (Bellevue) sinistres, interventions exploitation, affaissements

rue Raymond Lefebvre (Malassis) en lien avec le PRU

voie nouvelle Emmaus création d'une voirie neuve desservant une opération immobilière

avenue Henri Barbusse état du réseau

Robert Bonnet CAEE reseau dégradé

rue des Courts sillons - Espérance

LES LILAS Rue du 14 juillet désordres sur chaussée, réparation ponctuelle 2014

rue Alexis lepère visite CAEE

rue Anatole France

rue Baudin extension de réseau - permis de contruire déposé.

rue de la Renaissance Française

rue Alexandre Ribot intervention exploitation

rue Jacquart DIAG priorité 1 - opération prévue par la ville avant le transfert de compétences

avenue des Courtillières (serpentin)

rue Weber

rue Lesieur

LE PRE SAINT GERVAIS

rue Carnot

rue Louis Aubin DIAG priorité 1 - travaux ville

Sente de l'arbitrage interventions AEP-passage en domaine public à la demande de la ville

MONTREUIL

NOISY

PANTIN

ROMAINVILLE

PROGRAMMATION PREVISIONNELLE DES TRAVAUX D'ASSAINISSEMENT 2015

BAGNOLET

BOBIGNY

BONDY

Les opérations à caractère pluriannuel


SCHEMA DIRECTEUR RESEAUX D'ASSAINISSEMENT (9191203003) - 660 000,00

TRAVAUX DE RESEAUX LIES AU PROLONGEMENT DU T1 (9191203004 ) - 2 000 000,00

GESTION PATRIMONIALE RESEAUX D'ASSAINISSEMENT (9191203) - 2 660 000,00

- 2 660 000,00

Le budget primitif 2015 doit être l’occasion d’introduire la gestion pluriannuelle des crédits sous forme d’autorisations de programme (AP) et de crédits de paiement sur deux opérations d’envergure à la fois opérationnelle et financière portées par le budget annexe de l’assainissement.

Le premier projet, lancé en 2014, vise à l’élaboration du schéma directeur d’assainissement communautaire et de zonage des eaux pluviales et des eaux usées. Ce projet se structure en quatre phases : la première vise par l’analyse des études antérieures à dresser le bilan et un premier diagnostic de fonctionnement du système d’assainissement, la seconde à définir les secteurs géographiques présentant des anomalies, la troisième à en mesurer précisément les contours par des inspections télévisées, afin enfin d’établir un zonage et un programme hiérarchisé d’action à l’échelle communautaire. La durée prévisionnelle du projet est de 4 ans pour un coût total de 1,5 M€ et un besoin sur l’exercice 2015 évalué à 660 K€.

La seconde opérations concerne les différents travaux de dévoiement et d’amélioration du réseau d’assainissement le long du tracé de prolongement du T1 jusqu’à Montreuil qui devraient durer jusqu’à fin 2017 pour un coût global de 5 M€ et une première tranche de dépense de 2 M€ en 2015.

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Les moyens généraux


SYSTEMES D'INFORMATION (0191206001 ) 13 000,00 52 000,00

LOGISTIQUE (0191206002 ) 7 000,00 7 000,00

VEHICULES (0191206003 ) - -

PRESTATIONS RELATIVES AFFAIRES IMMOBILIERES (0191206004 ) 10 000,00 4 000,00

MOYENS GENERAUX (0191206) 30 000,00 63 000,00

30 000,00 63 000,00

Les crédits inscrits en investissement sur le programme « Moyens généraux » doivent principalement concourir au développement du système d’information géographique de la Direction de l’assainissement et autres projets associés à ce service (52K€). Par ailleurs des crédits doivent permettre le renouvellement d’équipements de protection individuelle (7K€) ainsi que de petits aménagement sur le Centre technique de Bobigny ou encore l’agencement de véhicules existants (4K€).

Le remboursement du capital de la dette


DETTE EN K ET INTERETS (0191211001 ) 957 337,00 915 500,00

GESTION ACTIVE DE LA DETTE (0191211) 957 337,00 915 500,00

957 337,00 915 500,00

Pour l'exercice 2015, le montant de la dette à rembourser s'élève à 915 500€, soit 644 580 € à rembourser auprès des sept établissements bancaires et 270 920€ auprès de l'Agence de l'Eau Seine Normandie.

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d. LES MOUVEMENTS D’ORDRE

Exploitation Dépenses Recettes


Dotations aux amortissements 1 844 609,59 65 948,00

Virement à la section d’investissement 2 223 002,97

Total mouvements d’ordre 4 067 612,56 65 948,00

Résultat reporté

Total budget 8 583 674,56 8 583 674,56



Dotations aux amortissements 65 948,00 1 844 609,59

Virement de la section de fonctionnement 2 223 002,97

Total mouvements d’ordre 65 948,00 4 067 612,56


Total budget 15 514 754,20 15 514 754,20

La dotation d’amortissement qui prend en compte les éléments de patrimoine transférés et acquis depuis 2010 sur la compétence assainissement est évaluée à 1,84 M€.

Le reste de l’épargne dégagée en fonctionnement est transmise à la section d’investissement. Le montant du virement de la section de fonctionnement à la section d’investissement est donc de 2,22 M€.

Le budget est correctement équilibré, conformément au tableau ci-dessus.

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V. LES ENGAGEMENTS PLURIANNUELS

Le développement de projets communautaires supposant la mobilisation de crédits sur plusieurs exercices suppose de s’assurer de leur soutenabilité budgétaire dans la durée, au regard de la capacité de paiement de la Communauté d’agglomération issue de la prospective financière.

Le recours à des autorisations de programme (AP) ou d’engagement (AE) pour gérer la pluriannualité constitue un premier élément de réponse puisqu’il permet de satisfaire à l’exigence de tenue d’une comptabilité des engagements en ne faisant supporter à un budget que les seules dépenses effectivement réglées sur l’exercice.

Le suivi de ces engagements hors bilan fait l’objet d’états spécifiques produits en annexe des maquettes budgétaires qui en déterminent le montant global ainsi que l’échéancier prévisionnel d’exécution en crédits de paiement sur l’ exercice en cours et suivants.

La distinction entre la possibilité d’engager une dépense, appréciée de manière pluriannuelle sur le montant total de l’AP, et la capacité de mandater sur un exercice qui correspond au montant des crédits de paiement ouverts annuellement doit permettre une allocation optimisée des crédits, au plus près de l’exécution réelle en anticipant le niveau des dépenses effectivement dû sur l’exercice

Cet avantage explique notamment leur mise en place progressive par la Communauté d’agglomération pour piloter les projets d’envergure, engagés par les communes membres avant la déclaration d’intérêt communautaire (grands équipements structurants, projets d’aménagement concerté) qui reposent sur un partage à parité du coût net en investissement ou du déficit prévisionnel à terminaison des opérations s’agissant des projets d’aménagement urbain9.

Les premiers effets de cette gestion en AP/CP introduisant un pilotage au plus de la réalisation des projets seront particulièrement visibles à l’occasion de la présentation du compte administratif qui devrait afficher un taux d’exécution en section d’investissement en nette amélioration (75% sur le budget principal) par rapport à celui constaté en 2013 (52%).

Le recours à des AP/CP constitue par ailleurs un outil complémentaire d’aide à la décision en proposant une approche des projets, consolidée par politique publique, qui permette d’apprécier leur soutenabilité budgétaire dans la durée.

Cependant, pour être véritablement efficace, le modèle budgétaire AP/CP suppose la réunion de plusieurs conditions. La première tient au périmètre des crédits qui seront soumis à la gestion pluriannuelle ; il doit être le plus large possible et ne pas se limiter aux seuls projets structurants d’investissement.

9 Ce programme d’investissement piloté en AP/CP comprend les opérations dites « coups partis » financées sur le budget principal (Auditorium de Bondy, Complexe cinématographique Le Méliès et piscine écologique à Montreuil, conservatoire et Parc des Guillaumes à Noisy-le-Sec, bibliothèque des Courtilières et piscine Leclerc à Pantin, Halle des tennis et opération de réhabilitation de l’habitat indigne au Pré Saint-Gervais, conservatoire à Romainville), des fonds de concours (Maison de la culture 93 à Bobigny, Résorption des points noirs du bruit ferroviaire à Noisy-le-Sec et Bondy) ainsi que les opérations d’aménagement distinguées dans un budget annexe (ZAC Eco-cité de Bobigny, ZAC Centre-Ville des Lilas, ZAC Boissière-Acacias et ZAC Fraternité à Montreuil, ZAC Rives de l’Ourcq à Bondy, ZAC Plaine de l’Ourcq de Noisy-le-Sec, ZAC du Port de Pantin, Ecoquartier de la Gare de Pantin, PNRQAB à Bagnolet, ZAC Benoit Hure à Bagnolet, ZAC de l’Horloge à Romainville et les différentes études d’aménagement sur le territoire Plaine de l’Ourcq).

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Le corollaire à cette extension souhaitée du domaine géré en AP-AE/CP tient dans la connaissance et la maîtrise des risques qui lui sont associés. Par nature, le vote d’une AP ou d’une AE modifie plus l’avenir qu’elle n’engage le présent puisque la somme des crédits de paiement à venir représente le plus souvent un montant nettement supérieur à ceux ouverts l’année de son vote, seul montant équilibré en recettes.

Il est donc indispensable de prévenir toute ouverture excessive d’AP et surtout d’éviter l’accumulation de crédits de paiement à régler sur un même exercice conduisant à une impasse budgétaire. Cette deuxième condition justifie la phase d’affectation, proposée au vote du Conseil communautaire lorsque les conditions de démarrage de l’opération sont réunies y compris le plan prévisionnel de financement détaillé par poste et intégrant les demandes de subvention. La délibération de l’assemblée en précise l’objet, le montant, le délai et affine son échéancier prévisionnel de réalisation en crédits de paiement

Enfin, troisième condition, la maîtrise de la dynamique budgétaire pluriannuelle repose sur un système d’information fiable, capable d’accompagner l’adaptation du processus de préparation et de suivi budgétaire.

Depuis le début de l’exercice 2014, au regard des trois conditions précitées, les services de la Communauté d’agglomération ont travaillé à un élargissement du périmètre de la gestion pluriannuelle. Le budget primitif marque les premières conclusions de cette réflexion en proposant :

- d’étendre la gestion en autorisations de programme (autorisations d’engagement pour le fonctionnement) et crédits de paiement à d’autres opérations à caractère pluriannuel déjà lancées par Est Ensemble, particulièrement en matière de lutte contre l’habitat indigne mais aussi sur certains projets spécifiques tels la création d’un réseau télécom très haut débit ou encore l’aménagement de la déchèterie à Montreuil. L’enveloppe de ces AP dites « de reprise » a été calculé, dans chacun des cas, sur la base du reste à mandater du projet concerné après déduction des paiements antérieurs et correspond à la limite supérieure des dépenses pouvant être engagées pour son financement ;

- de systématiser le recours à ce mode de gestion pour les nouveaux projets pluriannuels initiés à compter de 2015 comme par exemple la création du bassin de rétention des Hauts de Montreuil, le dévoiement des réseaux d’assainissement le long du T1, le programme multi-sites de lutte contre l'habitat indigne Bagnolet Montreuil ou encore la restructuration de l’école de musique du Pré Saint-Gervais ;

- d’attribuer aux projets d’investissement gérés en AP/CP le statut d’opération d’équipement prévu par l’instruction budgétaire et comptable qui fixe le contrôle des crédits au niveau de l’enveloppe budgétaire globale réservée à l’opération sur l’exercice, quelle que soit l’imputation par nature des dépenses d’équipement. Le chapitre de dépenses correspond à chaque numéro d’opération ouverte précisé dans le tableau annexé.

Par ailleurs il est proposé d’inscrire comme objectif l’adoption d’un nouveau règlement budgétaire et financier par le Conseil communautaire. Ce document doit à la fois être une synthèse accessible à tous des normes applicables en matière budgétaire, financière et comptable mais également un outil pratique rappelant les procédures et circuits en vue d’une amélioration de la gestion au quotidien.

Parallèlement à ces évolutions, le budget primitif a permis l’actualisation de l’échéancier prévisionnel des crédits de paiement associé à des AP en lien avec le décalage d’exécution des opérations auxquelles elles se rapportent (cas notamment de la piscine Leclerc à Pantin dont le programme doit être redéfini), leur réalisation à moindre coût (cas de l’auditorium de Bondy) voire leur abandon en raison de leur infaisabilité technique (cas de la halle des tennis au Pré Saint-Gervais).

Après adoption du budget primitif, en tenant compte tenu de changement de périmètre, l’enveloppe totale d’AP ouvertes sur le budget principal s’élèvera à 115,97 M€ (contre 103,51 M€ lors de la décision modificative du budget 2014). Sur cette enveloppe, il est prévu de consacrer un montant de crédits de paiement de 33,13 M€ en 2015.

97

L’enveloppe des autorisations d’engagement (AE) en fonctionnement, augmentée des projets liés à l’habitat, atteint 5,62 M€ (contre 1,65 M€ lors de la décision modificative du budget 2014) pour un montant de crédits de paiement évalués à 0,899 M€ sur l’exercice. Enfin, l’enveloppe ouverte et affectée sur le budget annexe des projets d’aménagement est portée de 168,327 M€ à 172,15 M€ pour 14,4 M€ de crédits de paiement inscrits sur 2015.

Les crédits de paiement constituent la limite supérieure des dépenses pouvant être mandatées dans le cadre d’une AP au cours d’un exercice. L’équilibre budgétaire de la section d’investissement s’apprécie donc en tenant compte des seuls crédits de paiement.

Le détail des autorisations de programme et d’engagement ainsi que leurs échéanciers prévisionnels respectifs en crédits de paiement sont présentés dans les tableaux annexés ci-après.

L’échéancier prévisionnel des crédits de paiement reflète l’impact pluriannuel des engagements déjà pris par Est Ensemble10.

L’année 2015 représente à ce titre un moment particulier où se conjugue la réalisation de plusieurs des opérations de construction ou de réhabilitation portées par le budget principal (complexe cinématographique du Méliès, conservatoire de Romainville, bassin couvert de la piscine écologique des Hauts-de-Montreuil) et l’augmentation des participations reversées aux aménageurs dans le cadre des projets d’aménagement concerté (ZAC du Port de Pantin, ZAC Ecocité à Bobigny, Fraternité à Montreuil, Plaine de l’Ourcq à Noisy, Rives de l’Ourcq à Bondy, Benoit Hure à Bagnolet ou encore de l’Horloge à Romainville). Elle marque également l’émergence des premiers projets à caractère pluriannuel sur le budget annexe d’assainissement (dévoiement des réseaux le long du T1 et élaboration du schéma directeur d’assainissement). Cela explique le pic de crédits de paiement (50M€).

A compter de 2016, la répartition entre les trois budgets se modifie sensiblement avec la pregnance croissante et durable des crédits liés à la réalisation des projets d’aménagement. Ce lissage confirme en tous les cas l’importance du socle de dépenses d’investissement sur lequel la Communauté d’agglomération est engagé (en moyenne 30 M€ par an au cours des trois prochains exercices) et l’interroge sur sa capacité, à ressources constantes, à lancer de nouveaux projets, à réaliser ceux déjà engagés en respectant leur calendrier initial ou encore à maintenir le niveau de GER pourtant nécessaire sur les différents équipements communautaires.

10 A l’exception de la part non mandatée de l’enveloppe d’AP consacrée à la piscine Leclerc à Pantin (soit 25,5M€) qui n’est pas lissée dans le graphique ci-après en l’attente de la redéfinition du programme et donc du calendrier de réalisation de ce projet.

98

Echéancier prévisionnel des crédits de paiement d’investissement

6,8M€ 6,6M€

19,8M€

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10,8M€5,9M€

3,4M€ 2,0M€ 2,5M€

2,7M€

5,9M€

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3,5M€7,2M€

10,1M€

14,4M€

20,8M€

21,1M€

14,2M€

14,0M€

66,8M€

10,3M€

13,8M€

30,0M€

50,0M€

37,5M€

31,6M€

22,0M€

15,9M€

0M€

10M€

20M€

30M€

40M€

50M€

60M€

70M€

80M€

90M€

100M€

2 012 2 013 2 014 2 015 2 016 2 017 2 018 2 019 Au‐delà

Budget principal Budget assainissement Budget projet d'aménagement

69,3 M€

Comme indiqué préalablement, le budget primitif est l’occasion d’introduire cette projection sur les exercices à venir pour certains projets de fonctionnement à caractère pluriannuel, et notamment l’habitat. La réflexion doit en la matière être complétée par l’élaboration d’un véritable programme pluriannuel des crédits de fonctionnement. D’ores et déjà sur le seul périmètre géré en AE/CP, le besoin en crédits nécessaires entre 2015 et 2018 s’élève en moyenne à 0,950M€ par an.

Echéancier prévisionnel des crédits de paiement de fonctionnement

0,4M€ 0,4M€ 0,3M€

0,9M€

1,2M€1,0M€

0,7M€

0,4M€0,3M€

0K€

200K€

400K€

600K€

800K€

1 000K€

1 200K€

1 400K€

2 012 2 013 2 014 2 015 2 016 2 017 2 018 2 019 Au‐delà

Budget principal

99

BUDGET PRIM

ITIF 2015 ‐ SITUATION DES AUTO

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14

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390,

00

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-

-

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50 0

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1 88

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17

1 88

8,00

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1205

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0,00

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54

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722

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00

12

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0,00

10 2

91 9

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0

N

ouve

lles

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AP d

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AP

101

BUDGET PRIM


RISATIONS D'ENGAGEM

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1320

14M

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-201

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203

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203

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00

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-

-

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00

227

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153

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100

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1 39

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-

-

-

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505

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157

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17

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17

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-

-

-

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-

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9,11

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98

43

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0,00

267

200,

00

TOTA

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ELO

PP

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353

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67

3

52 9

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3

1

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102

BUDGET PRIM



ITS DE PAIEMEN

T ‐ Budget annexe d'assainissement

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1220

1320

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015

2016

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-

-

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00

3

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420,

00

4

445

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00

-

-

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5 60

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-

-

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-

-

6

6 00

0,00

66

000

,00

-

1

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2 6

60 0

00,0

0

5

912

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00

4

550

020,

00

4

445

891,

00

-

-

N

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lles

AP

AP d

ites

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prise

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TE A

MA

ND

ATE

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UR

AP

103

BUDGET PRIM

ITIF 2015 ‐ SITUATION DES IN

SCRIPTIONS BUDGETAIRES (INVESTISSEM

ENT) ‐ Budget annexe des projets d'aménagem

ent

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VE

LOP

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DU

PR

OJE

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1320

14M

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-201

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51

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0,00

51

4 80

0,00

51

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0,00

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00

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0,00

2 00

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51

4 80

0,00

51

4 80

0,00

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-

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1 58

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ZAC

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2112

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1320

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1 85

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2 42

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-

-

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1,00

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0

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-

-

-

-

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1 82

3 50

6,00

1 82

3 50

6,00

1 82

3 50

6,00

10 9

41 0

32,0

0

105

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T20

1320

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-201

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1620

1720

1820

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1

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1

200

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00

1

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-

-

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59

9 91

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59

9 91

4,00

59

9 91

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1

799

741,

00

9211

2110

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-

-

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34,0

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-

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-

-

-

-

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1

200

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00

1

200

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00

1

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000,

00

3

598

793,

00

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199

397,

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-

-

-

-

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4,00

59

9 91

4,00

59

9 91

4,00

59

9 91

4,00

1

799

741,

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00

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0

27

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20

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,00

-

-

-

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-

-

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1 21

4 63

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00

1 71

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00

214

637,

00

-

-

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HU

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1

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00

1 00

0 00

0,00

1

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000,

00

77

9 06

5,00

-

-

-

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BEN

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NO

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S1

073

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21

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0

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1

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1

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00

2

249

140,

00

2

249

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00

2

249

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00

2

249

140,

00

83

1 17

9,00

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1 50

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0,00

-

2 00

0 00

0,00

2 00

0 00

0,00

2 00

0 00

0,00

2 00

0 00

0,00

582

037,

00

ZAC

DE

L'H

OR

LOG

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VILL

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24

9 14

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24

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24

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-

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0

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0,00

-

-

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-

-

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-

-

-

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,00

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697

799

,00

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0

81

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,00

TOTA

L E

NV

ELO

PP

E A

P R

EC

ETT

ES

66

944

570,

20

RE

CE

TTE

S S

UR

AP

5 0

88 1

99,7

0

4 5

47 6

41,5

0

6

639

076

,50

6 6

49 8

48,5

0

5

828

925

,50

5 8

10 8

02,5

0

32

543

971

,00

Le m

onta

nt d

es re

cette

s es

t pré

sent

é à

titre

indi

catif

.

TER

RIT

OIR

E PL

AIN

E D

E L'

OU

RC

Q (9

2112

16)

PNR

QAD

BAG

NO

LET

(921

1211

)

ACC

OM

PAG

NEM

ENT

JUR

IDIQ

UE

ET F

INAN

CIE

R (9

2112

13)

ZAC

BEN

OIT

HU

RE

BAG

NO

LET

(921

1214

)

ZAC

DE

L'H

OR

LOG

E R

OM

AIN

VIL

LE (9

2112

15)

106

CHAPITRE ‐ LIBELLE

BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ

011‐ CHARGES DE GESTION COURANTE

56 047

422,50

53 909 885,59

53 909

885,59

013 ‐ ATTEN

UATIONS DE CHARGES

65 200,00

60 000,00

60 000,00

012‐ CHARGES DE PERSO

NNEL ET FRAIS ASSIM

ILES

46 630

352,50

46 834 700,24

46 834

700,24

70 ‐ PRODUITS DES SERVICES

4 137 832,00

4 543 388,00

4 543

388,00

014‐ ATTENUATION DE PRODUITS

1 865

590,00

2 933 550,00

2 933

550,00

73 ‐ IM

PÔTS ET

TAXES

193 842 946,00

197 869 060,00

197 869

060,00

014‐ ATTENUATION DE PRODUITS (AC)

169

666

018,00

175 813 483,00

175 813

483,00

74 ‐ DOTATIONS ET PARTICIPATIONS ‐ SU

BVENTIONS

86 557 962,00

82 531 985,88

82 531

985,88

65 ‐ AUTRES CHARGES DE GESTION COURANTE

6 432

206,00

7 251 601,01

7 251

601,01

75 ‐ AUTR

ES PR

ODUITS

568 000,00

526 200,00

526

200,00

TOTAL DEPEN

SES DE GESTION COURANTE

280

641

589,00

286 743 219,84

‐

286 743

219,84

TOTAL DES RECETTES DE GESTION COURANTE

285 171 940,00

285 530 633,88

‐

285 530

633,88

66‐ CHARGES FINANCIERES

1 599

901,00

1 896 171,52

1 896

171,52

76 ‐ PRODUITS FINANCIERS

209 922,00

240 973,00

240

973,00

67‐ CHARGES EXCEPTIONNELLES

‐

73 892,00

73 892,00

77 ‐ PRODUITS EXCEPTIONNELS (APUREMEN

T)15 350,00

6 350,00

6 350,00

68‐ DOTATIONS AUX AMORTIS. ET AUX PROVISIONS

45 000,00

‐

TOTAL DES RECETTES REELLES DE FONCTIONNEMEN

T285 397 212,00

285 777 956,88

‐

285 777

956,88

TOTAL DES DEPEN

SES

REELLES DE FONCTIONNEM

ENT

282

286

490,00

288 713 283,36

‐

288 713

283,36

042 ‐ OPERATIONS DE TR

ANSFER

TS ENTR

E SECTIONS

‐

104 955,00

104 955,00

023‐ VIREM

ENT A LA SECTION D'IN

VESTISSEM

ENT

192 665,00

1 511 962,00

1 511

962,00

TOTA

L DES RECETTES D'ORDRE DE FO

NCTIONNEM

ENT

‐

104 955,00

‐

104 955,00

042 ‐ AMORTISSEM

ENT

2 918 057,00

4 861 286,00

4 861 286,00

TOTAL

285 397 212,00

285 882 911,88

‐

285 882

911,88

TOTA

L DES DEPEN

SES D'ORDRE DE FO

NCTIONNEM

ENT

3 110 722,00

6 373 248,00

‐

6 373 248,00

TOTAL

285

397

212,00

295 086 531,36

‐

295 086

531,36

3 435

299,53

5 768

319,95

TOTAL DES RECETTES DE FONCTIONNEMENT CUMULEES

295 086

531,36

Pour inform

ation : Epargne

brute

‐ 2 935

326,48

Pour inform

ation : Epargne

nette

‐ 6 222

832,48


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ

20 ‐ IMMOBILISATIONS INCORPORELLES

1 889

924,00

1 956 827,50

706 037,38

2 662

864,88

13 ‐ SUBVENTIONS D'INVESTISSEMENT RECUES

8 050 613,00

10 916 866,24

729 084,25

11 645

950,49

204 ‐ SUBVENTIONS D'EQUIPEMEN

T VERSEES

9 758

749,00

482 364,00

1 732 395,05

2 214

759,05

16 ‐ EMPRUNTS ET DETTES ASSIM

ILES

43 785 703,50

38 937 858,03

8 661 282,00

47 599

140,03

21 ‐ IMMOBILISATIONS CORPORELLES

12 177

244,50

12 064 449,16

3 595 756,65

15 660

205,81

TOTAL DES RECETTES D'EQUIPEMEN

T51 836 316,50

49 854 724,27

9 390 366,25

59 245

090,52

23 ‐ IMMOBILISATIONS EN COURS

21 483

246,00

300 000,00

127 576,47

427

576,47

10 ‐ DOTATIONS,FO

NDS DIVERS ET RESERVES

2 967 868,00

5 722 523,50

685 218,19

6 407

741,69

Opérations d'équipement

33 130 492,13

33 130

492,13

‐

TOTAL DES DEPENSES D'EQUIPEM

ENT

45 309

163,50

47 934 132,79

6 161 765,55

54 095

898,34

1068

Excédents de fonctionnement capitalisés

‐

16 ‐ EMPR

UNTS ET DETTES ASSIM

ILES

11 306

683,00

11 052 026,00

11 052

026,00

165 ‐ CAUTIONS

45 000,00

25 000,00

25 000,00

26 ‐ PARTICIPATIONS ET

CREANCES RATTA

C.A DES PARTICIPATIONS

1 002 500,00

75 000,00

1 077

500,00

27 ‐ AUTR

ES IM

MOBILISATIONS FINANCIERES

100 000,00

100 000,00

100

000,00

27 ‐ AUTRES IM

MOBILISATIONS FINANCIERES

1 444

060,00

2 497 859,00

2 497

859,00

TOTAL DES RECETTES FINANCIERES

3 112 868,00

5 847 523,50

685 218,19

6 532

741,69

10‐ DOTATIONS

45x2 ‐ OPERATIONS POUR COMPTE DE TIERS

120 000,00

120

000,00

TOTAL DES DEPENSES FINANCIERES

12 750

743,00

14 552 385,00

75 000,00

14 627

385,00

TOTAL DES RECETTES REELLES D'INVESTISSEMENT

54 949 184,50

55 822 247,77

10 075 584,44

65 897

832,21

45x1 ‐ OPER

ATIONS POUR COMPTE DE TIERS

‐

120 000,00

120

000,00

021 ‐ VIREM

ENT DE LA

SECTION DE FO

NCTIONNEM

ENT

192 665,00

1 511 962,00

1 511 962,00

TOTAL DES DEPEN

SES

REELLES D'INVESTISSEMEN

T58

059

906,50

62 606 517,79

6 236 765,55

68 843

283,34

040 ‐ OPE.D'ORDRE DE TR

ANSFER

TS ENTR

E SECTIONS

2 918 057,00

4 861 286,00

4 861 286,00

040 ‐ OPERA

TIONS D'ORDRE DE TR

ANSFER

TS ENTR

E SECTIONS

‐

104 955,00

104 955,00

TOTA

L DES RECETTES D'ORDRE D'IN

VESTISSEM

ENT

3 110 722,00

6 373 248,00

‐

6 373 248,00

TOTA

L DES DEPEN

SES D'ORDRE D'IN

VESTISSEM

ENT

‐

104 955,00

‐

104 955,00

TOTAL

58 059 906,50

62 195 495,77

10 075 584,44

72 271

080,21

TOTAL

58 059

906,50

62 711 472,79

6 236 765,55

68 948

238,34

Emprunt

31 198 338,03

3 322

841,87

‐

72 271

080,21

72 271

080,21

TOTAL DES DEPENSES D'INVESTISSEMENT CUMULEES

TOTAL DES RECETTES D'INVESTISSEMEN

T CUMULEES

BUDGET PRIM

ITIF 2015 ‐ BUDGET PRINCIPAL

SECTION DE FO

NCTIONNEM

ENT

DEP

ENSES DE FONCTIONNEM

ENT

RECETTES

DE FONCTIONNEMEN

T

R002 RESU

LTAT 2014 REPORTÉ OU ANTICIPÉ

R002 AFFECTATION DE L'EXCED

ENT DU BUDGET ASSAINISSEMENT

SECTION D'IN

VESTISSEM

ENT

DEPENSES D'INVESTISSEMENT

RECETTES D'IN

VESTISSEMENT

D001

RESU

LTAT REPORTE OU ANTICIPE

R001 RESU

LTAT REPORTÉ OU ANTICIPÉ

VI. VUE D’ENSEMBLE DU BUDGET PRINCIPAL PAR CHAPITRE

107


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ

011 ‐ CHARGES A CARACTERE GEN

ERAL

2 134 016,00

2 274 896,00

2 274 896,00

70 ‐ VEN

TES DE PRODUITS FABRIQUES PRESTATIONS DE SERVICES

2 623 365,00

2 464 137,00

2 464 137,00

65 ‐ AUTRES CHARGES DE GESTION COURANTE

‐

‐

74 ‐ DOTATIONS,SU

BVEN

TIONS ET PARTICIPATIONS

565 264,00

1 267 792,00

1 267 792,00

TOTAL DEPEN

SES DE GESTION COURANTE

2 134 016,00

2 274 896,00

2 274 896,00

75 ‐ AUTRES PRODUITS DE GESTION COURANTE

18 000,00

17 674,00

17 674,00

66 ‐ CHARGES FINANCIERES

41 347,00

185 640,00

185 640,00

TOTAL DES RECETTES DE GESTION COURANTE

3 206 629,00

3 749 603,00

3 749 603,00

67 ‐ CHARGES EXCEPTIONNELLES

‐

‐


‐

68 ‐ DOTATIONS AUX AMORTIS. ET AUX PROVISIONS

‐

77 ‐ PRODUITS EXCEPTIONNELS

‐

022 ‐ DEPEN

SES IM

PREVUES

‐

‐

TOTAL DES RECETTES REELLES DE FO

NCTIONNEM

ENT

3 206 629,00

3 749 603,00

3 749 603,00

TOTAL DES DEPEN

SES REELLES DE FO

NCTIONNEM

ENT

2 175 363,00

2 460 536,00

2 460 536,00

042 ‐ O

PERA

TIONS DE TRANSFERTS ENTRE SECTIONS

2 07

2 16

3,00

2 47

0 54

5,00

2 47

0 54

5,00

042 ‐ O

PERA


3 10

3 42

9,00

3 75

9 61

2,00

3 759 612,00

043 ‐ O

PERA

TIONS D'ORD

RE A L'IN

TERIEU

R SECTION DE FO

NC.

41 347

,00

21 474

,00

21 474

,00

043 ‐ O

PERA

TIONS D'ORD

RE A L'IN

TERIEU

R SECTION DE FO

NC.

41 347

,00

21 474

,00

21 474,00

TOTA

L DES RECETTES D'ORD

RE DE FO

NCTIONNEM

ENT

2 11

3 51

0,00

2 49

2 01

9,00

2 49

2 01

9,00

TOTA

L DES DEPEN

SES D'ORD

RE DE FO

NCTIONNEM

ENT

3 14

4 77

6,00

3 78

1 08

6,00

3 78

1 08

6,00

TOTA

L5 320 139,00

6 241 622,00

6 241 622,00

TOTA

L5 320 139,00

6 241 622,00

‐

6 241 622,00

D002 RESULTAT REPORTÉ OU ANTICIPÉ

R002 RESULTAT REPORTÉ OU ANTICIPÉ

‐

TOTAL DES DÉPEN

SES DE FO

NCTIONNEM

ENT CUMULEES

6 241 622,00

TOTAL DES RECETTES DE FO

NCTIONNEM

ENT CUMULEES

6 241 622,00

Pour inform

ation : AUTO

FINANCEM

ENT PREVISIONNEL DEG

AGE AU PROFIT DE LA SECTION D'INVESTISS.

1 289 067,00


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


1 873 938,00

1 016 663,00

1 016 663,00

13 ‐ SUBVEN

TIONS D'INVESTISSEM

ENT RECUES (hors 138)

9 856 483,00

4 528 735,50

4 528 735,50

204 ‐ SUBVEN

TIONS D'EQUIPEM

ENT VERSEES

9 924 271,00

12 075 989,39

12 075 989,39


ILES (hors 165)

1 290 460,00

6 093 782,85

4 446 032,00

10 539 814,85


180 000,00

1 312 620,00

1 312 620,00

TOTAL DES RECETTES D'EQUIPEM

ENT

11 146 943,00

10 622 518,35

4 446 032,00

15 068 550,35

23 ‐ IMMOBILISATIONS EN

COURS

‐

‐

10 ‐ DOTATIONS,FO


‐

‐

TOTAL DES DEPEN

SES D'EQUIPEM

ENT

11 978 209,00

14 405 272,39

‐

14 405 272,39

1068 Excédents de fonctionnem

ent capitalisés

‐

‐


ILES

200 000,00

1 942 520,00

1 942 520,00

13 ‐ SUBVEN

TIONS D'INVESTISSEM

ENT RECUES (138)

‐

‐

26 ‐ PARTICIPATIONS ET CREANCES RATTAC.A DES PARTICAPATIONS

‐

‐


ILES (165)

‐

‐

27 ‐ AUTRES IMMOBILISATIONS FINANCIERES

‐

‐

26 ‐ PARTICIPATIONS ET CREANCES RATTAC.A DES PARTICAPTIONS

‐

‐

020 ‐ DEPEN

SES IM

PREVUES

‐

‐

27 ‐ AUTRES IMMOBILISATIONS FINANCIERES

‐

‐

TOTAL DES DEPEN

SES FINANCIERES

200 000,00

1 942 520,00

‐

1 942 520,00

024 ‐ PRODUITS DES CESSIONS

‐

‐

45x1

‐ OPERATIONS POUR COMPTE DE TIERS

‐

‐


‐

‐

TOTAL DES DEPEN

SES REELLES D'INVESTISSEM

ENT

12 178 209,00

16 347 792,39

‐

16 347 792,39

45x2


‐

‐

040 ‐ O

PERA

TIONS D'ORD

RE DE TRANSFERTS ENTRE SECTIONS

2 07

2 16

3,00

2 47

0 54

5,00

2 47

0 54

5,00

TOTAL DES RECETTES REELLES D'INVESTISSEM

ENT

11 146 943,00

10 622 518,35

4 446 032,00

15 068 550,35

TOTA

L DES DEPEN

SES D'ORD

RE D'IN

VESTISSEMEN

T2 07

2 16

3,00

2 47

0 54

5,00

‐

2 47

0 54

5,00

021 ‐ V

IREM

ENT DE LA

SECTION DE FO

NCTIONNEM

ENT

‐

TOTA

L14 250 372,00

18 818 337,39

‐

18 818 337,39

040 ‐ O

PE.D'ORD


3 10

3 42

9,00

3 75

9 61

2,00

3 75

9 61

2,00

TOTA


RE D'IN

VESTISSEMEN

T3 103 429,00

3 759 612,00

‐

3 759 612,00

TOTA

L14 250 372,00

14 382 130,35

4 446 032,00

18 828 162,35

D001 RESULTAT REPORTE OU ANTICIPE

9 824,96


‐

TOTAL DES DÉPEN

SES D'INVESTISSEM

ENT CUMULEES

18 828 162,35

TOTAL DES RECETTES D'INVESTISSEM

ENT CUMULEES

18 828 162,35

AUTO

FINANCEM

ENT PREVISIONNEL DEG

AGE PAR LA SECTION DE FO

NCTIONNEM

ENT

1 289 067,00

DEPEN

SES D'IN

VESTISSEM

ENT

RECETTES D'IN

VESTISSEM

ENT

BUDGET PRIM

ITIF 2015 ‐ BUDGET ANNEX

E DES PROJETS D'AMEN

AGEM

ENT

SECTION DE FO

NCTIONNEMENT

DEPEN

SES DE FO

NCTIONNEM

ENT

RECETTES DE FO

NCTIONNEM

ENT

SECTION D'INVESTISSEM

ENT

VII. VUE D’ENSEMBLE DU BUDGET ANNEXE DES PROJETS D’AMENAGEMENT PAR CHAPITRE

108

VIII. VUE D’ENSEMBLE DU BUDGET ANNEXE D’ASSAINISSEMENT PAR CHAPITRE


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ

011 ‐ CHARGES A CARACTERE GEN

ERAL

2 671 800,00

2 976 134,00

2 976 134,00

70 ‐ VEN

TES DE PRODUITS FABRIQUES PRESTATIONS DE SERVICES

7 671 990,00

8 306 058,00

8 306 058,00

012 ‐ CHARGES DE PERSO

NNEL ET FRAIS ASSIM

ILES

1 142 544,00

1 206 201,00

1 206 201,00

74 ‐ SUBVEN

TIONS D'EXPLO

ITATION

100 000,00

‐

‐

TOTAL DEPEN

SES DE GESTION DES SERVICES

3 814 344,00

4 182 335,00

‐

4 182 335,00

TOTAL DES RECETTES DE GESTION DES SERVICES

7 771 990,00

8 306 058,00

‐

8 306 058,00

66 ‐ CHARGES FINANCIERES

360 451,00

332 896,00

332 896,00


‐

‐

67 ‐ CHARGES EXCEPTIONNELLES

10 000,00

831,00

831,00

77 ‐ PRODUITS EXCEPTIONNELS

211 668,56

211 668,56

022 ‐ DEPEN

SES IM

PREVUES

‐

‐

TOTA

L DES RECETTES REELLES D'EXPLO

ITATION

7 771 990,00

8 517 726,56

‐

8 517 726,56

TOTA

L DES DEPEN

SES REELLES D'EXPLO

ITATION

4 184 795,00

4 516 062,00

‐

4 516 062,00

042 ‐ O

PERA


65 948,00

65 948,00

042 ‐ O

PE.D'ORD


1 85

7 91

0,00

1 84

4 60

9,59

1 844 609,59

TOTA


RE D'EXP

LOITATION

‐

65 948

,00

‐

65 948

,00

023 ‐ V

IREM

ENT A LA SECTION D'IN

VESTISSEMEN

T1 72

9 28

5,00

2 22

3 00

2,97

2 223 002,97

TOTA

L7 771 990,00

8 583 674,56

‐

8 583 674,56

TOTA

L DES DEPEN

SES D'ORD

RE D'EXP

LOITATION

3 58

7 19

5,00

4 06

7 61

2,56

‐

4 06

7 61

2,56

TOTA

L7 771 990,00

8 583 674,56

‐

8 583 674,56

D002 RESULTAT 2013 REPORTÉ OU ANTICIPÉ

R002 RESULTAT 2014 REPORTÉ OU ANTICIPÉ

TOTAL DES DÉPEN

SES DE FO

NCTIONNEM

ENT CUMULEES

8 583 674,56

TOTAL DES RECETTES DE FO

NCTIONNEM

ENT CUMULEES

8 583 674,56

Pour inform

ation : EPARGNE BRUTE

4 001 664,56


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

TOTAL BUDGETÉ


850 000,00

825 000,00

682 162,41

1 507 162,41

13 ‐ SUBVEN

TIONS D'INVESTISSEM

ENT RECUES (hors 138)

2 096 679,00

2 096 952,00

2 219 344,00

4 316 296,00


8 111 571,00

6 783 000,00

2 409 141,66

9 192 141,66


ILES

2 926 570,00

‐

‐

23‐ TRAVAUX EN COURS

‐

‐

13 350,20

13 350,20

TOTAL DES RECETTES D'EQUIPEM

ENT

5 023 249,00

2 096 952,00

2 219 344,00

4 316 296,00

Opérations d'équipem

ent

2 660 000,00

2 660 000,00

10 ‐ DOTATIONS,FO


1 278 464,00

1 406 977,00

403 527,00

1 810 504,00

TOTAL DES DEPEN

SES D'EQUIPEM

ENT

8 961 571,00

10 268 000,00

3 104 654,27

13 372 654,27

106 Réserves

5 320 341,64

5 320 341,64


ILES

957 337,00

915 500,00

915 500,00


1 278 464,00

6 727 318,64

403 527,00

7 130 845,64

020 ‐ DEPEN

SES IM

PREVUES

‐

‐

‐

45x2


330 000,00

‐

TOTAL DES DEPEN

SES FINANCIERES

957 337,00

915 500,00

‐

915 500,00

TOTA

L DES RECETTES REELLES D'IN

VESTISSEM

ENT

6 631 713,00

8 824 270,64

2 622 871,00

11 447 141,64

45x1


300 000,00

‐

021 ‐ V

IREM

ENT DE LA

SECTION DE FO

NCTIONNEM

ENT

1 72

9 28

5,00

1 84

4 60

9,59

1 84

4 60

9,59

TOTA

L DES DEPEN

SES REELLES D'IN

VESTISSEM

ENT

10 218 908,00

11 183 500,00

3 104 654,27

14 288 154,27

04

0 ‐ O

PE.D'ORD


1 85

7 91

0,00

2 22

3 00

2,97

2 22

3 00

2,97

040 ‐ O

PERA

TIONS D'ORD


65 948,00

65 948,00

TOTA


RE D'IN

VESTISSEMEN

T3 58

7 19

5,00

4 06

7 61

2,56

‐

4 06

7 61

2,56

TOTA

L DES DEPEN

SES D'ORD

RE D'IN

VESTISSEMEN

T‐

65 948

,00

‐

65 948

,00

TOTA

L10 218 908,00

12 891 883,20

2 622 871,00

15 514 754,20

TOTA

L10 218 908,00

11 249 448,00

3 104 654,27

14 354 102,27


D001 RESULTAT REPORTE OU ANTICIPE (DEFICIT D'EXECUTION 2014)

1 160 651,93

TOTAL DES RECETTES D'INVESTISSEM

ENT CUMULEES

15 514 754,20

TOTAL DES DÉPEN

SES D'INVESTISSEM

ENT CUMULEES

15 514 754,20

DEPEN

SES D'IN

VESTISSEM

ENT

RECETTES D'IN

VESTISSEM

ENT

BUDGET PRIM

ITIF 2015 ‐ BUDGET ANNEX

E ASSAINISSEMEN

T

SECTION D'EXPLO

ITATION

DEPEN

SES D'EXPLO

ITATION

RECETTES DE FO

NCTIONNEM

ENT

SECTION D'IN

VESTISSEM

ENT

109

Fonction

Sous‐fonction

Sous‐Rubrique

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

0 : SERVICES GÉN

ÉRAUX ADMINISTRATIONS PUBLIQUES LOCALES

1 650 000,00

1 463 729,00

56 225 986,00

54 121 786,59

868 200,00

1 300 160,00

02 : Administration générale

1 650 000,00

1 463 729,00

55 867 017,00

53 368 874,59

789 200,00

736 160,00

020 : Administration générale de la collectivité

‐

53 946 075,00

51 900 054,58

789 200,00

736 160,00

021 : Assem

blée locale

‐

1 236 692,00

1 058 254,01

‐

023 : Inform

ation, communication, publicité

1 650 000,00

1 463 729,00

662 850,00

391 066,00

‐

024 : Fêtes et cérém

onies

‐

19 900,00

18 000,00

‐

025 : Aides aux associations (non classées ailleurs)

‐

1 500,00

1 500,00

03 : Justice

‐

358 969,00

752 912,00

79 000,00

564 000,00

3: CULTURE

‐

3 745 372,50

3 995 555,56

2 885 768,00

3 116 404,00

30 : Services communs

‐

‐

‐

‐

31 : Expression artistique

‐

‐

2 630 487,50

2 811 896,19

2 871 268,00

3 111 304,00

311 : Expression musicale, lyrique et chorégraphique

‐

910 763,00

726 590,48

1 435 206,00

1 387 500,00

312 : Arts plastiques et autres activités artistiques

‐

16 273,00

15 874,64

‐

‐

314 : Ciném

as et autres salles de spectacles

‐

1 703 451,50

2 069 431,07

1 436 062,00

1 723 804,00

32 : Conservation et diffusion des patrimoines

‐

‐

874 885,00

947 759,37

14 500,00

5 100,00

321 : Bibliothèques et médiathèques

‐

874 885,00

947 759,37

14 500,00

5 100,00

33: Action culturelle

‐

240 000,00

235 900,00

‐

4 : SPORT ET JEU

NESSE

‐

‐

2 737 933,50

3 061 621,63

1 157 000,00

994 900,00


‐

35 000,00

94 000,00

‐

15 500,00

41 : Sports

‐

‐

2 702 933,50

2 967 621,63

1 157 000,00

979 400,00

413 : Piscines

‐

2 582 933,50

2 967 621,63

1 157 000,00

979 400,00

414 : Autres équipem

ents sportifs ou de loisir

‐

‐

‐

‐

‐

415 : Manifestations sportives

‐

120 000,00

‐

‐

‐

5 : IN

TERVEN

TIONS SO

CIALES ET SANTÉ

‐

‐

1 016 418,00

1 171 417,47

‐

57 500,00

52 : Interventions sociales

‐

‐

1 016 418,00

1 171 417,47

‐

57 500,00


‐

1 016 418,00

1 171 417,47

‐

57 500,00

7 : LOGEM

ENT

‐

4 159 979,00

1 666 193,00

1 050 849,00

602 049,00

792 410,28


‐

317 700,00

68 080,00

114 628,00

56 037,00

72 : Aide au secteur locatif

‐

4 159 979,00

1 348 493,00

982 769,00

487 421,00

736 373,28

8 : AMÉN

AGEM

ENT ET SERVICES URBAINS, ENVIRONNEM

ENT

‐

‐

43 326 149,00

44 530 979,00

48 627 616,00

51 755 021,00

81 : Services urbains

‐

‐

41 217 478,00

39 945 515,00

48 248 403,00

51 399 047,00

811 : Eau et assainissement

‐

310 000,00

305 000,00

19 000,00

267 134,00

812 : Collecte et traitem

ent des ordures ménagères

‐

40 907 478,00

39 640 515,00

48 229 403,00

51 131 913,00

815 : Transports urbains

‐

‐

82 : Aménagement urbain

‐

‐

1 638 971,00

4 286 340,00

184 000,00

229 949,00


‐

1 958 428,00

‐

823 : Espaces verts urbains

‐

310 000,00

320 000,00

‐

824 : Autres opérations d’aménagement urbain

‐

1 328 971,00

2 007 912,00

184 000,00

229 949,00

83 : Environnement

‐

‐

469 700,00

299 124,00

195 213,00

126 025,00


‐

469 700,00

299 124,00

195 213,00

126 025,00

9 : ACTION ÉCONOMIQUE

‐

‐

736 426,00

366 250,59

240 000,00

274 457,00

90 : Interventions économiques

‐

736 426,00

366 250,59

240 000,00

274 457,00

TOTA

L DES DÉPEN

SES ET RECETTES REELLES VEN

TILEES

1 650 000,00

5 623 708,00

109 454 478,00

108 298 459,84

54 380 633,00

58 290 852,28

RESULTAT REPORTE DE N‐1

‐

9 203 619,48

CHARGE DE LA DETTE ‐ INTERÊTS ET FRAIS FINANCIERS

‐

1 600 404,00

1 967 790,52

PROVISIONS

‐

FISCALITE

‐

DOTATIONS, SUBVEN

TIONS ET PARTICIPATIONS

‐

83 581 794,00

78 607 780,60

RELATIONS FINANCIERES AVEC

LES COMMUNES

‐

169 666 018,00

175 813 483,00

147 224 863,00

148 638 351,00

REVERSEMEN

TS DE FISCALITE

1 565 590,00

2 633 550,00

DEPEN

SES IM

PREVUES

‐

AUTRES DEPEN

SES / RECETTES DIVERSES

‐

209 922,00

240 973,00

TOTA

L DES DÉPEN

SES ET RECETTES REELLES DE FO

NCTIONNEM

ENT

1 650 000,00

5 623 708,00

282 286 490,00

288 713 283,36

285 397 212,00

294 981 576,36

BUDGET PRINCIPAL

SECTION DE FO

NCTIONNEM

ENT

Dépenses

Recettes

AE

CP

CP

IX. PRESENTATION FONCTIONNELLE DES INSCRIPTIONS BUDGETAIRES BUDGET PRINCIPAL

110

Fonction

Sous‐fonction

Sous‐Rubrique

BP 2014

BP 2015

BP 2014

RAR N‐1

BP 2015

BP 2014

BP 2015

BP 2014

RAR N‐1

BP 2015

0 : SERVICES GÉN

ÉRAUX ADMINISTRATIONS PUBLIQUES LOCALES

‐

1 541 553,27

2 343 329,00

2 348 957,57

2 720 564,60

‐

‐

‐

‐

341 034,03

02 : Administration générale

‐

1 541 553,27

2 343 329,00

2 348 957,57

2 715 658,28

‐

‐

‐

‐

341 034,03

020 : Administration générale de la collectivité

‐

1 321 553,27

2 100 329,00

2 311 695,27

2 620 258,28

‐

341 034,03

021 : Assem

blée locale

‐

‐

95 400,00

‐

‐

023 : Inform

ation, communication, publicité

‐

220 000,00

243 000,00

37 262,30

‐

‐

024 : Fêtes et cérém

onies

‐

‐

‐

‐

025 : Aides aux associations (non classées ailleurs)

‐

‐

‐

‐

03 : Justice

‐

‐

4 906,32

‐

‐

3: CULTURE

43 818 136,65

43 827 457,08

18 820 031,00

673 371,58

19 721 995,49

‐

‐

7 121 202,00

154 571,00

6 332 855,47


‐

‐

‐

‐

31 : Expression artistique

39 518 136,65

41 383 681,08

17 309 938,00

419 535,47

17 690 902,74

‐

‐

6 908 834,00

154 571,00

6 332 855,47

311 : Expression musicale, lyrique et chorégraphique

23 369 224,39

26 986 543,45

8 544 121,00

328 109,11

11 364 114,33

3 035 430,00

3 496 981,47

312 : Arts plastiques et autres activités artistiques

‐

‐

9 220,00

1 936 702,00

314 : Ciném

as et autres salles de spectacles

16 148 912,26

14 397 137,63

8 765 817,00

91 426,36

6 317 568,41

1 936 702,00

154 571,00

2 835 874,00

32 : Conservation et diffusion des patrimoines

2 300 000,00

443 776,00

1 310 093,00

253 836,11

1 031 092,75

‐

‐

212 368,00

‐

‐

321 : Bibliothèques et médiathèques

2 300 000,00

443 776,00

1 310 093,00

253 836,11

1 031 092,75

212 368,00

33: Action culturelle

2 000 000,00

2 000 000,00

200 000,00

1 000 000,00

‐

4 : SPORT ET JEU

NESSE

49 471 086,86

47 263 841,49

6 683 045,50

418 635,16

12 478 436,94

‐

‐

1 922 621,00

‐

3 598 899,00


‐

‐

‐

‐

‐

41 : Sports

49 471 086,86

47 263 841,49

6 683 045,50

418 635,16

12 478 436,94

‐

‐

1 922 621,00

‐

3 598 899,00

413 : Piscines

47 039 547,10

47 193 397,56

6 658 045,50

418 635,16

12 473 432,94

1 922 621,00

3 598 899,00

414 : Autres équipem

ents sportifs ou de loisir

2 431 539,76

70 443,93

25 000,00

5 004,00

‐

‐

415 : Manifestations sportives

‐

‐

‐

‐

‐

5 : IN

TERVEN

TIONS SO

CIALES ET SANTÉ

‐

‐

20 000,00

2 553,47

1 227 727,85

‐

‐

100 000,00

‐

‐

52 : Interventions sociales

‐

‐

20 000,00

2 553,47

1 227 727,85

‐

‐

100 000,00

‐

‐


‐

20 000,00

2 553,47

1 227 727,85

100 000,00

7 : LOGEM

ENT

6 203 461,00

18 707 136,24

2 245 766,00

506 385,35

2 831 174,00

‐

‐

295 921,00

‐

685 511,74


‐

‐

15 000,00

‐

‐

72 : Aide au secteur locatif

6 203 461,00

18 707 136,24

2 230 766,00

506 385,35

2 831 174,00

‐

295 921,00

685 511,74

8 : AMÉN

AGEM


ENT

3 815 671,97

5 819 346,00

14 803 452,00

2 006 996,81

10 503 609,50

‐

‐

682 571,00

574 513,25

168 566,00


‐

2 000 000,00

5 172 764,00

1 664 934,24

4 591 340,00

‐

‐

35 000,00

567 040,75

15 000,00


‐

512 364,00

2 823,47

722 364,00

‐

‐

812 : Collecte et traitem

ent des ordures ménagères

‐

2 000 000,00

4 660 400,00

1 662 110,77

3 868 976,00

35 000,00

567 040,75

15 000,00

815 : Transports urbains

‐

‐

‐

‐

‐


3 043 111,97

3 046 786,00

8 743 682,00

152 132,53

4 706 709,50

‐

‐

647 571,00

7 472,50

16 100,00

823 : Espaces verts urbains

3 043 111,97

3 046 786,00

309 000,00

54 462,24

2 352 870,00

625 571,00


‐

8 434 682,00

97 670,29

2 353 839,50

22 000,00

7 472,50

16 100,00

83 : Environnement

772 560,00

772 560,00

887 006,00

189 930,04

1 205 560,00

‐

‐

‐

‐

137 466,00


772 560,00

772 560,00

887 006,00

189 930,04

1 205 560,00

‐

137 466,00

9 : ACTION ÉCONOMIQUE

‐

250 000,00

1 729 000,00

279 865,61

2 095 983,41

‐

‐

10 000,00

35 000,00

90 : Interventions économiques

‐

250 000,00

1 729 000,00

279 865,61

2 095 983,41

10 000,00

35 000,00

TOTA

L DES DÉPEN


TILEES

103 308 356,48

117 409 334,08

46 644 623,50

6 236 765,55

51 579 491,79

‐

‐

10 132 315,00

729 084,25

11 161 866,24

EXCED

ENT DE FO

NCTIONNEM

ENT CAPITALISE

‐

‐

‐


‐

‐

3 322 841,87

‐

DEPEN

SES IM

PREVUES

‐

‐

‐

CHARGE DE LA DETTE ‐ REM

BOURSEMEN

T DU CAPITAL

‐

2 734 813,00

3 287 506,00

‐

GESTION ACTIVE DE LA DETTE

‐

8 526 870,00

7 739 520,00

8 526 870,00

7 739 520,00

EMPRUNT D'EQUILIBRE

‐

‐

35 258 833,50

8 661 282,00

32 710 300,03

FCTVA

‐

‐

‐

2 967 868,00

685 218,19

5 722 523,50

SUBVEN

TIONS D'INVESTISSEM

ENT

‐

‐

‐

AUTRES DEPEN

SES / RECETTES

‐

153 600,00

‐

TOTA

L DES DÉPEN

SES ET RECETTES REELLES D'IN

VESTISSEM

ENT

103 308 356,48

117 409 334,08

58 059 906,50

6 236 765,55

65 929 359,66

‐

‐

56 885 886,50

10 075 584,44

57 334 209,77

BUDGET PRINCIPAL


ENT

Dépenses

Recettes

AP

CP

AP

CP

111

X. PRESENTATION FONCTIONNELLE DES INSCRIPTIONS BUDGETAIRES BUDGET ANNEXE PROJETS D’AMENAGEMENT

Fonction

Sous‐fonction

Sous‐Rubrique

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

8 : AMÉN

AGEM


ENT

‐

‐

2 134 016,00

2 274 896,00

‐

‐

‐

3 206 629,00

3 749 603,00

‐


‐

‐

2 134 016,00

2 274 896,00

‐

‐

‐

3 206 629,00

3 749 603,00

‐


2 134 016,00

2 274 896,00

3 206 629,00

3 749 603,00

TOTA

L DES DÉPEN


TILEES

‐

‐

2 134 016,00

2 274 896,00

‐

‐

‐

3 206 629,00

3 749 603,00

‐


41 347,00

185 640,00

PROVISIONS

ADMISSION EN NON VALEUR


DEPEN

SES IM

PREVUES

AUTRES DEPEN


TOTA

L DES DÉPEN


NCTIONNEM

ENT

‐

‐

2 175 363,00

2 460 536,00

‐

‐

‐

3 206 629,00

3 749 603,00

‐

Fonction

Sous‐fonction

Sous‐Rubrique

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR N‐1

8 : AMÉN

AGEM


ENT

168 356 486,00

172 155 636,90

11 978 209,00

14 405 272,39

‐

‐

66 944 570,20

9 856 483,00

4 528 735,50

4 446 032,00


168 356 486,00

172 155 636,90

11 978 209,00

14 405 272,39

‐

‐

66 944 570,20

9 856 483,00

4 528 735,50

4 446 032,00


168 356 486,00

172 155 636,90

11 978 209,00

14 405 272,39

66 944 570,20

9 856 483,00

4 528 735,50

4 446 032,00

TOTA

L DES DÉPEN


TILEES

168 356 486,00

172 155 636,90

11 978 209,00

14 405 272,39

‐

‐

66 944 570,20

9 856 483,00

4 528 735,50

4 446 032,00

EXCED

ENT DE FO

NCTIONNEM

ENT CAPITALISE


9 824,96

DEPEN

SES IM

PREVUES


BOURSEMEN

T DU CAPITAL

200 000,00

1 942 520,00


EMPRUNT D'EQUILIBRE

‐

4 895 923,85

FCTVA

SUBVEN

TIONS D'INVESTISSEM

ENT

AUTRES DEPEN

SES / RECETTES

1 290 460,00

1 197 859,00

TOTA

L DES DÉPEN


VESTISSEM

ENT

168 356 486,00

172 155 636,90

12 178 209,00

16 357 617,35

‐

‐

66 944 570,20

11 146 943,00

10 622 518,35

4 446 032,00

BUDGET ANNEXE PROJETS D'AMEN

AGEM

ENT

SECTION DE FO

NCTIONNEM

ENT

Dépenses

Recettes

AE

CP

AE

CP

BUDGET ANNEXE PROJETS D'AMEN

AGEM

ENT


ENT

Dépenses

Recettes

AP

CP

AP

CP

112

XI. PRESENTATION FONCTIONNELLE DES INSCRIPTIONS BUDGETAIRES BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMENT

Fonction

Sous‐fonction

Sous‐Rubrique

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR 2014

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR 2014

8 : AMÉN

AGEM


ENT

‐

‐

3 814 344,00

4 182 335,00

‐

‐

7 771 990,00

‐


‐

‐

3 814 344,00

4 182 335,00

‐

‐

7 771 990,00

‐


3 814 344,00

4 182 335,00

7 771 990,00

TOTA

L DES DÉPEN


TILEES

‐

‐

3 814 344,00

4 182 335,00

‐

‐

7 771 990,00

‐


360 451,00

332 896,00

PROVISIONS

ADMISSION EN NON VALEUR


DEPEN

SES IM

PREVUES

10 000,00

831,00

AUTRES DEPEN


‐

TOTA

L DES DÉPEN


NCTIONNEM

ENT

‐

‐

4 184 795,00

4 516 062,00

‐

‐

7 771 990,00

‐

Fonction

Sous‐fonction

Sous‐Rubrique

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR 2014

BP 2014

BP 2015

BP 2014

BP 2015

RAR 2014

8 : AMÉN

AGEM


ENT

‐

‐

9 261 571,00

10 268 000,00

3 104 654,27

‐

‐

2 426 679,00

2 096 952,00

2 219 344,00


‐

‐

9 261 571,00

10 268 000,00

3 104 654,27

‐

‐

2 426 679,00

2 096 952,00

2 219 344,00


9 261 571,00

10 268 000,00

3 104 654,27

2 426 679,00

2 096 952,00

2 219 344,00

TOTA

L DES DÉPEN


TILEES

‐

‐

9 261 571,00

10 268 000,00

3 104 654,27

‐

‐

2 426 679,00

2 096 952,00

2 219 344,00

EXCED

ENT DE FO

NCTIONNEM

ENT CAPITALISE

5 320 341,64


1 160 651,93

DEPEN

SES IM

PREVUES


BOURSEMEN

T DU CAPITAL

957 337,00

915 500,00


EMPRUNT D'EQUILIBRE

2 926 570,00

FCTVA

1 278 464,00

1 406 977,00

403 527,00

AUTRES DEPEN

SES / RECETTES

TOTA

L DES DÉPEN


VESTISSEM

ENT

‐

‐

10 218 908,00

12 344 151,93

3 104 654,27

‐

‐

6 631 713,00

8 824 270,64

2 622 871,00

BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMEN

T


ENT

Dépenses

Recettes

AP

CP

AP

CP

BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMEN

T

SECTION D'EXPLO

ITATION

Recettes

AE

AE

CP

CP

Dépenses

113

LEXIQUE BUDGETAIRE ET FINANCIER

Annualité

Principe budgétaire suivant lequel la prévision et l'autorisation ne valent que pour un an. Par exception, les crédits de fonctionnement peuvent être utilisés jusqu'au 31 janvier de l'exercice suivant (journée complémentaire) et les crédits d'investissement peuvent être reportés d'un exercice sur l'autre.

Attribution de compensation

Reversement effectué d'un EPCI à cotisation économique territoriale unique (CETU) vers les communes et qui correspond au miroir inversé des flux intervenus entre la dernière année de l'ancien système et la première année du nouveau.

Attribution positive : ancienne taxe professionnelle, compensations assorties et autres recettes liées aux compétences transférées à l'intercommunalité.

Attribution négative : Fiscalité ménages antérieurement levée par l'EPCI et charges transférées.

Budget

Le budget d’une collectivité locale est voté par l’assemblée délibérante. Il détermine les actions et interventions dont l’assemblée entend doter la collectivité et prévoit les recettes indispensables pour financer la charge de ses décisions.

Le mode de vote adopté par Est Ensemble est le vote par nature.

Capacité de désendettement

Rapport de l'encours de dette à l'épargne brute.

Cd=encoursde detteépargnebrute

Compte administratif

Le compte administratif est le document qui retrace,

par rapport aux prévisions autorisées par l’assemblée délibérante, les opérations budgétaires réalisées au cours d’un exercice et fait apparaître le résultat de clôture.

Coefficient d'intégration fiscale (CIF)

Rapport des impositions directes levées par un groupement sur l'ensemble des impositions directes levées par le groupement et les communes membres. Les impositions directes figurant au numérateur se voient défalquer les reversements effectués par le groupement intercommunal aux communes (attribution de compensation et dotation de solidarité communautaire le cas échéant comptabilisée à hauteur de 50 %). Le CIF est un des critères utilisés dans le calcul du montant de la dotation d'intercommunalité (dotation faisant partie de la Dotation globale de fonctionnement).

CIF=impositionsperçues parl ' EPCI− reversementsaux communes

impositionsdirecteslocales

Compte de gestion

Le compte de gestion est le document dans lequel le comptable de la collectivité présente l’ensemble des opérations comptables auxquelles il a procédé sous sa responsabilité personnelle et pécuniaire.

Dégrèvement

Situation dans laquelle l'Etat se substitue purement et simplement au contribuable local, pour payer à la collectivité un impôt dont ce dernier est exonéré du paiement.

Dépenses obligatoires

Elles comprennent d'une part, les dépenses expressément prévues par la loi et d'autre part, les dépenses nécessaires à l'acquittement des dettes exigibles. Concernant ces dernières, le caractère obligatoire doit être justifié à la fois sur son principe et sur son montant.

114

Dépenses réelles de fonctionnement

Total des dépenses de fonctionnement après déduction des opérations d'ordre (prestations internes, dotations aux amortissements et aux provisions, déficit de fonctionnement reporté, etc.).

DrF= dépensestotalesde fonctionnement −opérationsd ' ordre

Dotation de solidarité communautaire

Reversement d'un EPCI aux communes venant en plus de l'attribution de compensation et qui est principalement assis sur le recours à deux types de critères : la péréquation sociale et la compensation économique.

Emprunt revolving

Emprunts à long terme qui offrent également des facilités d’utilisation comparables à celles d’une ligne de trésorerie. La collectivité peut emprunter et rembourser au gré de ses besoins pendant l’exercice.

Engagement comptable

Réservation de crédits sur une ligne budgétaire et permettant de procéder à un engagement juridique.

Engagement juridique

Acte par lequel un organisme public crée ou constate, à son encontre, une obligation de laquelle résultera une charge.

Encours de dette

Stock de dette pris à un moment donné. C’est le capital des emprunts contractés par Est Ensemble qui restent à rembourser.

Épargne brute

Elle est égale à la différence entre les recettes réelles de fonctionnement et les dépenses réelles de fonctionnement (y compris les frais financiers). L’excédent finance les dépenses d’investissement et le remboursement du capital de la dette.

Eb= RrF− DrF

Épargne de gestion

Elle est égale à la différence entre les recettes réelles de fonctionnement et les dépenses réelles de fonctionnement, déduction faite des frais financiers. L’excédent finance les dépenses d’investissement et le remboursement des intérêts et du capital de la dette.

Eg= RrF− DrF− frais financiers

Épargne nette ou épargne disponible

Elle est égale à l’épargne brute diminuée du remboursement du capital de la dette. Elle correspond donc à l’excédent des recettes de fonctionnement qui sert à financer les dépenses d’investissement.

En= RrF− DrF− remboursementducapitaldela dette

Équilibre du budget

Selon l'article 8 de la loi du 2 mars 1982, est dit équilibré un budget qui présente des sections de fonctionnement et d'investissement respectivement équilibrées :

les dépenses et les recettes ayant été évaluées de façon sincère,

l'annuité des emprunts en capital étant financée par les recettes propres de la section d'investissement (à l'exception des emprunts), et le prélèvement sur les recettes de fonctionnement,

le déficit éventuel résultant de l'exécution du dernier budget étant résorbé.

115

Exercice

Durée d’exécution des opérations d’un budget

Fiscalité mixte

Application d'une fiscalité additionnelle sur les impôts ménages par un EPCI qui pratique par ailleurs la cotisation économique territoriale unique.

Fond national de garantie individuelle des ressources (FNGIR)

Dispositif mis en place en 2011 pour assurer à chaque collectivité le maintien des ressources dont elle disposait avant la réforme fiscale votée par la loi de finances pour 2010. Le FNGIR se matérialise par un transfert positif ou négatif qui compense à l'euro, les écarts constatés sur la base 2010. Au-delà de cette date, des gains ou des pertes seront constatés, au regard des dynamiques différentes des ressources concernées.

Fonds de roulement au 31 décembre

Le fonds de roulement à la clôture de l’exercice correspond au résultat global des opérations budgétaires (différence entre les titres de recettes et mandats de paiement émis) cumulé avec les résultats des exercices antérieurs. Il correspond au résultat global de clôture du compte administratif.

Intérêt communautaire

Définition devant être donnée au contenu de compétences transférées à l'intercommunalité et qui permet d'apprécier la répartition des responsabilités, quant à l'exercice de la dépense, entre l'EPCI et les communes, ces dernières ne conservant que la part des compétences qui n'est pas reconnue d'intérêt communautaire.

Mandatement

Acte par lequel est donné au comptable l'ordre de

payer une dépense. Le mandat doit indiquer l'exercice de rattachement, le crédit d'imputation, l'objet de la dépense, le montant à payer, le nom du créancier, le mode de paiement et la liste des pièces justificatives constatant la dette de la collectivité ainsi que la régularité du paiement.

Nomenclature

Cadre comptable unique servant à tous les intervenants (ordonnateur, comptable, juge des comptes,...) de grille de classement destinée à prévoir, à ordonner, à constater, à contrôler et à consulter les opérations financières.

Opérations réelles / opérations d’ordre

En dépenses comme en recettes, les opérations budgétaires sont composées des opérations réelles et des opérations d’ordre. Les opérations d’ordre correspondent à des écritures comptables n’impliquant ni encaissement ni décaissement effectif, tels que le prélèvement sur la section de fonctionnement ou les dotations aux amortissements. Au contraire des opérations d’ordre, les opérations réelles donnent lieu à des mouvements de fonds.

Péréquation

Mécanisme de transfert de ressources visant à rééquilibrer au moins partiellement les écarts de richesse et/ou de niveaux de charges entre collectivités. On distingue usuellement la péréquation verticale qui émane de l'État et la péréquation horizontale qui consiste en prélèvements sur les ressources de certaines collectivités pour en alimenter d'autres.

Potentiel fiscal

Indicateur de richesse fiscale qui correspond à la somme que produiraient les impositions directes d'une collectivité si les taux d'imposition qu'elle appliquait à ses bases étaient égaux aux taux moyens nationaux. Cet indicateur intègre depuis 2000 la compensation versée par l'État pour suppression des bases salaires de l'ancienne taxe

116

professionnelle.

Potentiel financier

Somme du potentiel fiscal et des dotations non péréquatrices versées par l'État.

Recettes réelles de fonctionnement

Total des recettes de fonctionnement, après déduction des opérations d'ordre (prestations internes, excédent reporté, travaux en régie,...).

RrF= recettestotalesde fonctionnement− opérationsd ' ordre

Section de fonctionnement

La section de fonctionnement enregistre les opérations courantes qui se renouvellent régulièrement, et sont nécessaires au fonctionnement de la communauté d’agglomération (charges de personnel, fournitures, intérêts des emprunts, etc.) ainsi que les subventions de fonctionnement à des organismes extérieurs.

Section d’investissement

La section d’investissement retrace les opérations relatives au patrimoine, soit de la communauté d’agglomération elle-même, soit de tiers. Ces opérations concernent notamment les biens mobiliers, immobiliers, détenus par la communauté d’agglomération (acquisitions, ventes, travaux, etc.), ses créances et ses dettes (remboursement en capital de la dette, souscription d’emprunts, avances, etc.), ainsi que les subventions d’investissement.

SWAP

Contrat d’échange de flux financiers. Le swap de taux d’intérêt standard, taux fixe contre taux variable, échange les intérêts d’un prêt ou dépôt notionnel à taux variable contre des intérêts à taux fixe.

Taux d'épargne (brut, net, de gestion)

Epargne (brute, nette, de gestion) divisée par les recettes réelles de fonctionnement

Unité

Principe budgétaire qui exprime que toutes les opérations doivent être traduites dans le budget. Ce principe souffre quelques exceptions relatives à l'existence de budgets annexes et rattachés.

Universalité

Principe budgétaire spécifiant la non contraction des dépenses et des recettes et la non affectation des recettes aux dépenses. Ce principe souffre quelques exceptions relatives à l'existence de recettes affectées (fonds de concours, plafond légal de densité, amendes de police,...)

Valeur actuelle nette (VAN)

Actualisation (expression en euros actuels) à taux de marché de toutes les échéances futures d’un emprunt. La VAN est directement comparable au capital restant dû (CRD) d’un emprunt, et par extension à l’encours de dette. L’écart VAN / CRD équivaut au surcoût en intérêts par rapport au marché, autrement dit à ce qui serait économisé en cas de renégociation sans indemnité.

Documents

Rapport sur budget primitif - Est Ensemble · 2017. 10. 19. · 6 II. BUDGET PRINCIPAL Le vote du budget primitif fait l’objet d’une reprise anticipée du résultat de l’exercice