Upload
andrhnationale
View
213
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
8/19/2019 Rapport Terrasse : la commission juridique ANDRH livre son analyse
http://slidepdf.com/reader/full/rapport-terrasse-la-commission-juridique-andrh-livre-son-analyse 1/7
Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines – 5, avenue Bertie Albrecht 75008 Paris - Tél : 01.56.88.18.28 Fax : 01.56.88.18.29
SIRET : 784 414 187 00046 – code NAF : 9499Z - TVA intracommunautaire : FR 69 784 414 187
www.andrh.fr
RAPPORT TERRASSE
Les membres de la Commission nationale juridique de l’ANDRH ont produit l’analyse critique du
rapport préparé par Pascal TERRASSE sur l’économie collaborative.
A la demande du Premier ministre, ce rapport visait « à établir, en étroite collaboration avec
l’ensemble des acteurs concernés, une analyse des enjeux liés à l’émergence de ces plateformes
collaboratives, les mesures d’ordre réglementaire ou législative qui permettrait leur épanouissement
dans un cadre sécurisé et celles pouvant faciliter la transition des secteurs les plus impactés par
l’émergence de ces nouvelles activités. ».
http://www.gouvernement.fr/sites/default/files/contenu/piece- jointe/2016/02/08.02.2016_synthese_du_rapport_sur_leconomie_collaborative.pdf
L’économie collaborative est un concept devenu réalité au fort potentiel de développement.
Au cœur du débat, l’ANDRH considère que la question de l’application de normes de droit social
aux activités relevant de l’économie collaborative, doit se poser dans le cadre des services à la
demande, reposant sur un mécanisme de service spécifique ou dédié (et non « préexistant »
comme c’est le cas dans le secteur de l’économie du partage) contre une rémunération.
L’ANDRH considère que l’économie collaborative repose les questions posées depuis toujours
par le statut des travailleurs indépendants, notamment celles des conditions de la fléxi-sécurité.
L’ANDRH est convaincue que cette question implique d’attacher les droits à la personne et non
plus à un statut (indépendant, salarié, CDI/CDD/Intérimaire).
L’ANDRH approuve les propositions 5, 6, 7,9 ,10 du rapport TERRASSE
- Proposition n° 5 : Poursuivre la trajectoire de convergence entre la protection sociale desindépendants et celle des salariés ;
- Proposition n° 6 : Mobiliser le compte personnel d’activité (CPA) pour instaurer une véritable
portabilité des droits ;
- Proposition n° 7 : Prendre en compte les périodes d’activité sur les plateformes dans le cadre
de la procédure de validation des acquis de l’expérience (VAE) ;
- Proposition n° 9 : Développer des sécurités annexes pour favoriser l’accès au logement,
sécuriser l’accès au crédit et améliorer la couverture sociale des utilisateurs ;
- Proposition n° 10 : Organiser des actions de formation pour les prestataires..
*****************************************
8/19/2019 Rapport Terrasse : la commission juridique ANDRH livre son analyse
http://slidepdf.com/reader/full/rapport-terrasse-la-commission-juridique-andrh-livre-son-analyse 2/7
Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines – 5, avenue Bertie Albrecht 75008 Paris - Tél : 01.56.88.18.28 Fax : 01.56.88.18.29
SIRET : 784 414 187 00046 – code NAF : 9499Z - TVA intracommunautaire : FR 69 784 414 187
www.andrh.fr
Les enjeux de l’économie collaborative sont au cœur des débats actuels (emploi, économie, droit dutravail, de la consommation, fiscal, protection sociale …). Le rapport Terrasse s’inscrit dans une sériede rapports produits en 20151, et dans la perspective des ceux qui sont attendus en 2016.
Le rapport est construit selon :
- Deux grands ensembles d’observations et données (points 1. et 2. du Rapport) :
1. La place de l’économie collaborative est aujourd’hui limitée mais elle recèle un véritable
potentiel de développement
2. La transparence sur les plateformes doit être un gage de confiance pour le
consommateur et d’équité vis-à-vis de l’économie traditionnelle
- Et trois grands ensembles de pistes de réflexions et propositions (points 3. à 5. du Rapport) ;3. Améliorer les conditions d’emploi des travailleurs des plateformes
4. Garantir une juste contribution des plateformes aux charges publiques et clarifier les
obligations fiscales et sociales des particuliers et celles des professionnels
5. Créer les conditions d’un développement durable de l’économique collaborative
Le Rapport, s’appuyant sur les travaux d’économistes, rappelle que les activités que recouvre
l’économie collaborative sont inspirées par « la mouvance du libre, du don et de l’économie de la
fonctionnalit é ». Il s’agit plus précisément des activités suivantes :
- la consommation collaborative, c’est-à-dire :
o l’organisation des échanges et de la consommation (achats groupés, conciergeries,
consignes, location de particulier à particulier, revente et don d’objets, troc, systèmesd’échanges locaux, monnaies complémentaires, etc., par exemple, vide-dressing (revente de
vêtements) ;
o le logement (habitat partagé, colocation, auto-construction, échanges de logements, par
exemple GuestToGuest -échange d’appartements-) ;
o l’énergie (coopération dans la production énergie, achat groupé, etc., par exemple Selectra -achat groupé d’énergie-) ;
o la mobilité (auto-partage, covoiturage, par exemple Blablacar -covoiturage-) ;
o l’alimentation et l’agriculture (autoproduction alimentaire, circuits courts, coopératives de
consommateurs, etc., par exemple La Ruche qui dit Oui) ;
- la réparation et la fabrication d’objets (hackerspaces, Fab Labs, TechShop, repair café, etc. par
exemple Fac Lab de l’université de Cergy-Pontoise) ;
- le financement de projets (crowdfunding, investissements citoyens, finance solidaire, etc. par
exemple KissKiss BankBank ) ;
- l’éducation et le savoir (partage de contenus numériques, massive open online course - MOOC,
encyclopédies contributives, par exemple Wikipedia -encyclopédie contributive-).
Citant Rachel Botsman, le rapport définit l’économie collaborative comme « des réseaux d’individus et
de communautés connectées, par opposition à des institutions centralisées, et qui transforment la
manière dont nous produisons, consommons, finançons et apprenons».
Il souligne par ailleurs :
1 Pour une énumération de ces rapports, cf. Rapport Terrasse, p. 7.
8/19/2019 Rapport Terrasse : la commission juridique ANDRH livre son analyse
http://slidepdf.com/reader/full/rapport-terrasse-la-commission-juridique-andrh-livre-son-analyse 3/7
Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines – 5, avenue Bertie Albrecht 75008 Paris - Tél : 01.56.88.18.28 Fax : 01.56.88.18.29
SIRET : 784 414 187 00046 – code NAF : 9499Z - TVA intracommunautaire : FR 69 784 414 187
www.andrh.fr
- d’une part, que ces modes alternatifs de consommation et de production, qui sont l’essence de
l’économie collaborative :
o ne passent (pour l’instant ?) par les plateformes collaboratives, c'est-à-par le réseau du
Web, que pour une faible partie… o ne représentent, au sein de l’économie française qu’ « une part très limitée de l ’activité »…
- mais d’autre part, que l’économie collaborative « recèle u n po ten tiel de dévelop pem ent
impor tant car el le repose sur des changements de fond du comportement des
consommateurs . ».
Le rapport souligne notamment que :
- que le marché mondial de l'économie collaborative devrait atteindre près de 335 Md$ d'ici à
2025, contre 15 Md$ en 2014 ;
- que des plateformes collaboratives se créent dans un nombre croissant de secteurs (se
déplacer, se loger, se financer, se nourrir, etc…) ;
- que les synergies entre l’économie collaborative et l’économie classique vont progresser
(il est donc probable que l’économie collaborative puisse être considérée comme un relais de
croissance) ;
- l’économie collaborative est un élément de réponse aux nouvelles exigences
environnementales (ré-usage des objets ou leur mutualisation), si les comportements évoluent
aussi.
***
Au regard de ce qui précède, on ne peut que constater que l’économie collaborative est un
concept devenu réalité, avec un potentiel de développement certain - et qui, tout en résultant
d’une évolution des comportements et mentalités, va lui-même accélérer ou moduler cette
évolution.
Ainsi, il est probable qu’elle ne restera pas marginale, et les réponses aux questions qu’elle
soulève d’ores et déjà, comportent une dimension fondatrice et décisive pour l’avenir.
Pour les auteurs du rapport Terrasse, 3 catégories d’initiatives « alimentent » le secteur de l’économie
collaborative :
- les acteurs de l’économie du partage - échanges de particulier à particulier sans poursuite de
but lucratif, adossés à un actif (comme la voiture personnelle) ou à un service préexistant (comme
le trajet domicile-travail), qui aurait été en tout état de cause réalisé par l’offrant (BlaBlaCar, Guest
to Guest) ;
- les services à la demande, dans lesquels la plateforme propose un nouveau service, qu’elle
définit, et dans lesquels elle apparie elle-même utilisateur professionnel et consommateur, Uber ;
- les places de marché, qui peuvent mettre en relation des particuliers comme des
professionnels (La ruche qui dit oui, Le Bon Coin).
Les membres de la Commission juridique de l’ANDRH ont considéré que la question del’application de normes de droit social aux activités relevant de l’économie collaborative, se posait
dans le cadre des services à la demande, qui reposent sur un mécanisme de service spécifique ou
8/19/2019 Rapport Terrasse : la commission juridique ANDRH livre son analyse
http://slidepdf.com/reader/full/rapport-terrasse-la-commission-juridique-andrh-livre-son-analyse 4/7
Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines – 5, avenue Bertie Albrecht 75008 Paris - Tél : 01.56.88.18.28 Fax : 01.56.88.18.29
SIRET : 784 414 187 00046 – code NAF : 9499Z - TVA intracommunautaire : FR 69 784 414 187
www.andrh.fr
dédié (et non « préexistant » comme c’est le cas dans le secteur de l’économie du partage) contre
une rémunération.
Ils approuvent la préconisation du Rapport, selon laquelle « sauf à démontrer que la plateforme
exerce sur leur activité un pourvoir de direction tel qu’elle puisse être assimilée à un employeur, les
utilisateurs seront des travailleurs indépendants qui bénéficient de la protection sociale associée à ce
statut ». Bien sûr, cela suppose que le rôle des plateformes demeure celui qui est le leur aujourd’hui,
c'est à dire un support de mise en relation d’ « utilisateurs-prestataires » (ceux qui offrent uneprestation) et d’ « utilisateurs-bénéficiaires » (ceux qui vont acheter la prestation). Mais à cet égard, le
Rapport souligne que :
« Les plateformes numériques ont en commun le fait que leurs utilisateurs sont à l’origine de la
création de valeur : ce sont eux qui proposent d’acheter ou de vendre un produit ou une prestation,
qui finalisent le contact entre acheteur et vendeur, réalisent la vente ou la prestation et, enfin,
l’évaluent. La plateforme n’offre qu e des serv ices suppor ts (affichage des offres et des
demandes, service de communication par messagerie, sécurisation des paiements)… »
Ainsi, d’une manière générale, sauf à discuter le principe même de la mise en place d’un statut pour
les utilisateurs-prestataires des plateformes collaboratives de services à la demande, les questions
fondamentales sous-jacentes à la définition de ce statut sont connues : il s’agit des questions
posées depuis toujours à l’égard des travailleurs indépendants . Comme cela est souligné dans le
Rapport :
- « …les difficultés que rencontrent les travailleurs de l’économie collaborative en matière de
protection sociale ne sont pas différentes de celles que rencontrent l’ensemble des travailleursindépendants. Elles sont liées, d’une part, à l’absence de couverture obligatoire de certains risques
sociaux (chômage, accidents du travail et maladies professionnelles) et, d’autre part, à des niveaux
de prestations parfois inférieurs à ceux des travailleurs salariés en matière de retraite et de
prévoyance, en rapport avec des niveaux de cotisations plus réduits » ;
- « La question de l’inégalité de couverture sociale obligatoire en fonction des statuts est au cœur
de l’histoire de la sécurité sociale. Les évolutions entamées depuis plusieurs d écennies, qui
traduisent le passage d’une solidarité professionnelle vers une solidarité nationale, ont conduit à
rapprocher les conditions de prise en charge des risques sociaux quel que soit le secteur d’activité
et le statut 2 »
Le rapport énumère également les mesures récentes visant à permettre aux personnes alternant
activités salariées et indépendantes de cumuler les droits acquis dans le cadre de ces différentsstatuts.
Pour les membres de la Commission juridique, ces observations confortent leur position selon
laquelle la flexi-sécurité, dont la nécessité n’est aujourd’hui plus discutée, ne peut passer que par la
mise en place de droits attachés à la personne, et non plus à un statut (indépendant, salarié
CDI/CDD/intérimaire) – la question même du contrat de travail, unique ou non, ne méritant d’être
débattue que dans un second temps.
Ainsi, les membres de la Commission juridique n’ont pu qu’approuver les propositions suivantes
énumérées par le Rapport :
2 Le Rapport vise ici le versement des prestations familiales sans conditions d’activité et dépendant de la seule
résidence régulière sur le territoire national en 1978, l’alignement des prestations de base du régime des
indépendants avec le régime général en matière de maladie, maternité et prestations familiales en 2001, et la
protection universelle maladie en 2016.
8/19/2019 Rapport Terrasse : la commission juridique ANDRH livre son analyse
http://slidepdf.com/reader/full/rapport-terrasse-la-commission-juridique-andrh-livre-son-analyse 5/7
Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines – 5, avenue Bertie Albrecht 75008 Paris - Tél : 01.56.88.18.28 Fax : 01.56.88.18.29
SIRET : 784 414 187 00046 – code NAF : 9499Z - TVA intracommunautaire : FR 69 784 414 187
www.andrh.fr
- Proposition n° 5 : Poursuivre la trajectoire de convergence entre la protection sociale des
indépendants et celle des salariés ;
- Proposition n° 6 : Mobiliser le compte personnel d’activité (CPA) pour instaurer une véritable
portabilité des droits ;
- Proposition n° 7 : Prendre en compte les périodes d’ac tivité sur les plateformes dans le cadre
de la procédure de validation des acquis de l’expérience (VAE) ;
- Proposition n° 9 : Développer des sécurités annexes pour favoriser l’accès au logement,
sécuriser l’accès au crédit et améliorer la couverture sociale des utilisateurs ;
- Proposition n° 10 : Organiser des actions de formation pour les prestataires.Pour les membres de la Commission juridique, l’implication fiscale et sociale des plateformes
collaboratives dans le prélèvement des cotisations et contributions semble être la voie la plus
transparente et la plus simple (quoique ce point se situe probablement un peu au-delà des missions
de la Commission). En ce sens, d’ailleurs, le Rapport énonce une proposition n°14 : « s’engager avec
les plateformes dans une démarche d’automatisation des procédures fiscales et sociales ».
La situation qui en résulterait serait néanmoins tout-à-fait nouvelle, dans la mesure où, à l’inverse des
salariés, les travailleurs indépendants sont en principe personnellement responsables de
l’acquittement des cotisations et contributions qui leur incombe.
En tout état de cause, pour ce faire, l’attribution d’office, à chaque « utilisateur-prestataire », d’un
numéro d’immatriculation de type « SIREN » ou « sécurité sociale » pourrait constituer une solution,dès lors que la procédure demeure fluide et non chronophage.
Les membres de la Commission juridique se sont enfin interrogés sur la proposition n°12 :
« Clarifier la doctrine de l’administration fiscale sur la distinction entre revenu et partage de frais et
celle de l’administration sociale sur la notion d’activité professionnelle. ». En effet, il leur apparaît quela question de l’application de normes de droit social ou de protection social ne doit être posée que
dans le cadre d’activités de services à la demande, et non dans le cadre d’activités collaborative de
partage.
En effet, les activités de services à la demande se présentent, pour les utilisateurs-bénéficiaires des
plateformes, comme des alternatives aux services proposés dans le secteur économique classique
par des professionnels. Ne devrait-on donc pas considérer que les services à la demande ne revêtent
pas, par essence, une dimension professionnelle ?
En tout état de cause, les membres de la Commission juridique considèrent que, s’il était
envisagé de poser certains critères afin de distinguer les prestations professionnelles des non-
professionnelles, alors il y aurait 3 critères envisageables : le revenu tiré des activités par le
bénéficiaire-prestataire, le temps passé par ce dernier, ou le secteur d’activité concerné – les
deux premiers critères posant la question de la totalisation des revenus ou des heures pour les
bénéficiaires-prestataires inscrits sur plusieurs plateformes collaboratives.
Les tableaux comparatifs des différentes solutions adoptées au sein de l’Union européenne, qui
figurent en annexe du Rapport, témoignent de la complexité des problématiques posées, et de larichesse des réflexions qui sont en cours.
**********************************
8/19/2019 Rapport Terrasse : la commission juridique ANDRH livre son analyse
http://slidepdf.com/reader/full/rapport-terrasse-la-commission-juridique-andrh-livre-son-analyse 6/7
Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines – 5, avenue Bertie Albrecht 75008 Paris - Tél : 01.56.88.18.28 Fax : 01.56.88.18.29
SIRET : 784 414 187 00046 – code NAF : 9499Z - TVA intracommunautaire : FR 69 784 414 187
www.andrh.fr
Créée en 1947, l’ANDRH est une association loi 1901 au service des professionnels des
ressources humaines représentant les entreprises et organisations de tous secteurs
d’activité et de toutes tailles, publiques et privées, nationales et internationales. Avec plus
de 5 000 membres rassemblés dans 80 groupes locaux en France métropolitaine et dans les
DROM-COM, elle est la plus grande communauté de professionnels de la fonction RH en
France.
Depuis plus de 65 ans, l’ANDRH anticipe et accompagne l’évolution des métiers des
ressources humaines. Elle joue un rôle majeur dans le débat RH en suscitant les échanges, en
favorisant la coopération de l’ensemble des acteurs et décideurs et en affirmant sa vision. Sa
mission est d'échanger les bonnes pratiques et développer le professionnalisme de ses
adhérents, promouvoir la contribution de la fonction RH à l'amélioration des performances
des organisations publiques et privées et représenter les DRH auprès des pouvoirs publics,
des médias et des partenaires sociaux.
Afin d’anticiper les mutations qui se profilent et de répondre aux besoins de ses adhérents,
l’ANDRH pratique une veille permanente. Celle-ci s’appuie à la fois sur la réalisation
d’études, les travaux menés au sein de ses groupes locaux, des commissions nationales, et
les événements qu’elle organise pour nourrir la réflexion sur les grandes thématiques RH.
www.andrh.fr
8/19/2019 Rapport Terrasse : la commission juridique ANDRH livre son analyse
http://slidepdf.com/reader/full/rapport-terrasse-la-commission-juridique-andrh-livre-son-analyse 7/7
Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines – 5, avenue Bertie Albrecht 75008 Paris - Tél : 01.56.88.18.28 Fax : 01.56.88.18.29
SIRET : 784 414 187 00046 – code NAF : 9499Z - TVA intracommunautaire : FR 69 784 414 187
d h f