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B IO P RESSE N°229 PRODUCTION ANIMALE PRODUCTION VEGETALE MARCHE ÉCOLOGIE & RURALITE VIE PROFESSIONNELLE RECHERCHE ET SYSTEME SPECIFIQUE JANVIER 2017

RECHERCHE ET YSTEME SPECIFIQUE BIO · 2017. 1. 27. · LA LUCIOLE N° 11, 01/05/2016, 2 pages (p. 16-17) réf. 229-092 ; Rédaction : ABioDoc Apiculture bio : la filière française

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  • B IO PRESSE

    N°229

    PRODUCTION ANIMALE

    PRODUCTION VEGETALE

    MARCHE

    ÉCOLOGIE & RURALITE

    VIE PROFESSIONNELLE

    RECHERCHE ET SYSTEME SPECIFIQUE

    JANVIER 2017

  • AGENDA Le 30 janvier 2017, à Paris (75) Colloque de restitution du projet CASDAR ALLIANCE, organisé par l’INRA, sur le thème : « Améliorer les performances écologiques et économiques par association de plantes de services légumineuses dans des systèmes de cultures à base de blé et de colza » https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSebGL33FtVxinW4bx1GeRgVst19LdwoFqdJMWIYN_wxXBOZVA/viewform?c=0&w=1 Du 30 janvier au 1er février 2017, au Parc des Expositions de Marseille-Chanot (13) Salon Millésime Bio 2017 http://www.millesime-bio.com/ Les 7, 8 et 9 février 2017, à Manosque (04) Formation « Arbo-Viti-Maraîch en Bio-Dynamie » (Centre de formation Le Chant des Arbres) T : 04 92 78 53 19 / 06 07 36 54 41 [email protected] http://www.arbobio.com/centreformation.htm Le 10 février 2017, à Flavin (12) Journée « Marché du lait de vache bio : Etat des lieux, perspectives et stratégies de développement », organisée par le Comité de Développement Agricole de Rodez Nord, la Mission AB de la Chambre d’Agriculture de l’Aveyron et l’APABA CDARN : 05 65 67 88 70 – [email protected] Mission AB Chambre d’Agriculture Aveyron : 05 65 73 79 01 APABA : 05 65 68 11 52 Du 15 au 18 février 2017, à Nuremberg (Allemagne) Salons BIOFACH 2017 et VIVANESS 2017 http://www.biofach.de Du 25 février au 5 mars 2017, à Paris (75) Salon International de l’Agriculture 2017 https://www.salon-agriculture.com/ Le 28 février 2017, à Paris (75) Séminaire International de l’Agriculture Biologique http://www.agencebio.org/agenda/seminaire-international-de-lagriculture-biologique-2 Les 2 et 3 mars 2017, à Sète (34) Congrès viticole « Approche biodynamique de la vigne : Connaissances, recherches et pratiques » http://www.bio-dynamie.org/formations/formations-dune-semaine/ Les 7, 8 et 9 mars 2017, à Manosque (04) Formation « Phytothérapie Végétale » (Centre de formation Le Chant des Arbres) T : 04 92 78 53 19 / 06 07 36 54 41 [email protected] http://www.arbobio.com/centreformation.htm Le 9 mars 2017, au Centre CTIFL de Lanxade (24) Rencontre Technique Fruits Bio CTIFL-ITAB http://www.ctifl.fr/Pages/Agenda/DetailsEvenement.aspx?id=492&utm_source=newsletter_dstfl_fruit_20170103_2&utm_campaign=Rencontre%20technique%20Ctifl%2FItab%20%20AB%20fruits&utm_medium=email

    AGENDA (SUITE) Les 21 et 22 mars 2017, à AgroParisTech, à Paris (75) Journées de Printemps de l’AFPF 2017, sur le thème « Le pâturage au cœur des systèmes d’élevage de demain » http://www.afpf-asso.fr/index/action/page/id/14/title/Actualites/ref/79 Le 23 mars 2017, à l’hippodrome d’Angers (49) 3èmes Rencontres nationales de l’éco-pâturage et de l’animal en ville http://entretien-nature-territoire.fr/journees-eco-paturage/inscription/rencontres-nationales-2017/ http://animal-en-ville.strikingly.com/ Les 28 et 29 mars 2017, à l’ISARA, à Lyon (69) Stage de formation Agriculture Biologique et Développement Local (formation de 2 jours par et pour des animatrices et des animateurs de projet). Formation organisée par l’ISARA-Lyon et l’ITAB, dans le cadre du projet CASDAR ABILE. [email protected] Les 28, 29 et 30 mars 2017, à Manosque (04) Formation « Fruits rouges en AB et Biodyn » (Centre de formation Le Chant des Arbres) T : 04 92 78 53 19 / 06 07 36 54 41 [email protected] http://www.arbobio.com/centreformation.htm Les 2 et 3 avril 2017, à Corbas (69) Planète Appro, salon professionnel des circuits alimentaires de proximité http://rhone-alpes.synagri.com/portail/planete Les 11, 12 et 13 avril 2017, à Manosque (04) Formation « Oléiculture Bio et Biodyn » (Centre de formation Le Chant des Arbres) T : 04 92 78 53 19 / 06 07 36 54 41 [email protected] http://www.arbobio.com/centreformation.htm Les 7 et 8 juin 2017, à Chèvreville (60) Salon technique TERR’EAU BIO 2017, salon professionnel des techniques bio en Hauts-de-France http://www.terreaubio.fr/ Les 20 et 21 septembre 2017, à Valence (26) Salon TECH&BIO 2017, salon des techniques bio et alternatives http://www.tech-n-bio.com/ Du 22 au 24 octobre 2017, à Paris (75) Salon NATEXPO http://www.natexpo.com/ Du 9 au 11 novembre 2017, à New Delhi, en Inde 19th Organic World Congress https://owc.ifoam.bio/2017

    Pour plus de dates d’évènements bio :

    www.abiodoc.com

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  • 3 Biopresse 229 - Janvier 2017

    SOMMAIRE

    Productions animales ............................................ 4Apiculture .................................................................. 4Elevage .................................................................... 5

    Productions végétales ......................................... 14Arboriculture ........................................................... 14Contrôle des adventices ......................................... 17Fertilisation ............................................................. 18Grandes cultures .................................................... 19Maraîchage ............................................................. 22Plantes aromatiques et médicinales ....................... 25Protection phytosanitaire ........................................ 26Sol .......................................................................... 26Viticulture ................................................................ 27

    Marché ................................................................... 29Filière ...................................................................... 29Qualité .................................................................... 36

    Ecologie et ruralité ............................................... 37Agriculture durable ................................................. 37Agriculture-environnement ...................................... 37Développement rural .............................................. 39

    Vie professionnelle ............................................... 42Annuaire ................................................................. 42Conversion ............................................................. 42Economie ................................................................ 43Etranger .................................................................. 45Généralités ............................................................. 47Organisation de l'Agriculture Biologique ................. 48Réglementation ...................................................... 50

    Recherche et système spécifique ....................... 52Biotechnologies ...................................................... 52Agriculture Biodynamique ....................................... 53Recherche .............................................................. 54

    BREVES ABIODOC ............................................... 56Bulletin d'abonnement ............................................ 64Tarifs du service documentaire ............................... 64Bon de commande ................................................. 65Coordonnées des éditeurs des ouvrages cités ......... 67

    DIRECTEUR DE PUBLICATIONEtienne JOSIEN - Directeur général adjoint de VetAgro Sup

    RÉDACTRICE EN CHEFSophie VALLEIX - Responsable d'ABioDoc

    RÉALISATIONEsméralda RIBEIRO et Benoit CROISEL

    ONT COLLABORÉ À CE NUMÉRO :Aurélie BELLEIL, Julie GRENIER, Esméralda RIBEIRO, Agnès ROUSSEL,Myriam VACHER VALLAS, Sophie VALLEIX

    Revue éditée et imprimée par ABioDocCentre National de Ressources

    en Agriculture Biologique,avec le soutien du ministère de l’Agriculture,

    de l’Agroalimentaire et de la Forêt,du Commissariat de Massif - Massif

    Central et du Conseil Régional d’Auvergne

    VetAgro SupCampus agronomique de Clermont

    89, Avenue de l’EuropeBP 35 - 63370 LEMPDES (France)

    Tél : 04.73.98.13.99 - Fax : 04.73.98.13.98 [email protected] - www.abiodoc.com

    Suivez-nous sur https://fr-fr.facebook.com/biopresse

    Suivez ABioDoc sur https://twitter.com/ABioDoc

    http://www.abiodoc.commailto:[email protected]://www.abiodoc.comhttps://fr-fr.facebook.com/biopressehttps://twitter.com/ABioDoc

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 4

    PRODUCTIONS ANIMALES

    APICULTURE

    Une pépinière pour faire essaimer lesinstallations d'apiculteurs : Interviewd'Emmanuel Rey, apiculteur en Ardèche

    MOIROT Fleur

    Le Syndicat des Apiculteurs Professionnels de RhôneAlpes (SAPRA) travaille depuis trois ans sur leprojet d'une pépinière d'essaims destiné à favoriseret à soutenir l'installation de nouveaux apiculteursprofessionnels. L'objectif est de confier des essaimsau candidat à l'installation, que ce dernier fait fructifierdurant deux/trois ans. Ensuite, le nombre d'essaims estrestitué à la pépinière pour pouvoir soutenir un autreapiculteur, comme l'explique Emmanuel Rey, apiculteuren Ardèche et responsable technique de la pépinière.Pour pouvoir bénéficier de ce dispositif, l'apiculteurcandidat doit justifier d'une compétence en apiculture,être dans une démarche d'installation professionnelleavancée, disposer déjà d'un minimum de 30 ruches etviser une augmentation de son cheptel. Un encadrérappelle les éléments de base du cahier des chargesbio à prendre en compte pour augmenter son cheptel enapiculture biologique.

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL /CHEPTEL / DISPOSITIF / ESSAIM / INTERVIEW / ELEVAGE /INSTALLATION AGRICOLE / TEMOIGNAGE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / APICULTURE / AUVERGNE-RHONE-ALPESLA LUCIOLE N° 11, 01/05/2016, 2 pages (p. 16-17)

    réf. 229-092 ; Rédaction : ABioDoc

    Apiculture bio : la filière françaiseen expansion ; Miel bio : les bonsarguments auprès des consommateurs

    BIO-LINEAIRES

    L'article présente une photographie de la filière apicolebio française, dans un contexte où la production demiel (AB et conventionnel), qui a été divisée par 2 enl'espace de 20 ans, ne suffit pas pour répondre àla demande de consommation. Alors qu'en 2015, lecheptel apicole a retrouvé son niveau de 1995 avec1 350 000 ruches, la production a diminué, passantde 33 000 t en 1995 à environ 16 000 t en 2015.Le nombre de ruches bio représentait, en 2013, 11 %des ruches françaises quand, comparativement dans lemonde, c'est seulement 1,4 % des ruches qui sont bio.En 2014, on comptait 579 apiculteurs inscrits dans unedémarche AB, soit 42 % de plus qu'en 2010, et 5 % dumiel produit en France était certifié bio ou en conversion.La mortalité importante des abeilles ces dernièresannées a affecté la production dans sa globalité ;en cause notamment, les pesticides, dont l'autoritéeuropéenne de sécurité des aliments reconnaît l'impact,sans toutefois pouvoir l'évaluer. La réglementationprévoit tout de même l'interdiction de l'utilisation desnéonicotinoïdes à partir de septembre 2018 et dessolutions alternatives seront identifiées. Parallèlement,les consommateurs réclament plus d'information surla réglementation qui encadre le miel bio. Beaucoupd'entre eux s'interrogent sur les différences entre lesmiels bio et non bio, sur les garanties du miel bio, sur lesdifférents cahiers des charges étrangers, etc. L'articlepropose quelques réponses à ces questions.

    Mots clés : REGLEMENTATION EUROPEENNE /FILIERE / PRODUIT BIOLOGIQUE / AGRICULTURE ETENVIRONNEMENT / POLLUTION PAR LES PESTICIDES /QUALITE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / APICULTURE / ABEILLE /FRANCE / MIEL / STATISTIQUESBIO LINEAIRES N° 65, 01/05/2016, 2 pages (p. 81-83)

    réf. 229-081 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.corabio.org/index.php/telechargements

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    5 Biopresse 229 - Janvier 2017

    ÉLEVAGE

    Dossier : Nourrir ses chèvres grâce auxparcours

    ARAGNI Chjara / BARON Dominique / BROSSE-GENEVET Emmanuelle / ET AL.

    Les chèvres, attirées par les feuillages et des stratesde pâturage entre 0,5 et 1,5 m du sol, sont desanimaux particulièrement bien adaptés à la conduitesur parcours. Dans le Sud de la France, de telssystèmes d'élevage sont fréquents. Pour les éleveurs,les parcours permettent d'optimiser leur autonomiealimentaire en mobilisant de nouveaux espaces ;pour les collectivités locales, la gestion de zonespastorales par les animaux participe, notamment, à unemeilleure gestion des risques d'incendie… L'utilisationdes parcours pour l'alimentation des animaux nécessitecertains savoir-faire : - savoir évaluer la valeur d'unparcours à partir de la diversité des espèces présentes,du relief et du recouvrement par les espèces herbacéeset ligneuses ; - conduire le pâturage en fonction dela campagne de production et donc des besoins desanimaux ; - utiliser la ressource fourragère sans la fairerégresser.

    Mots clés : SUD FRANCE / ELEVAGE / ALIMENTATION DESANIMAUX / CAPRIN / CHEVRE / GESTION DES PARCOURS /PASTORALISME / SYLVO-PASTORALISME / PATURAGE /PARCOURS / AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENTREUSSIR LA CHEVRE N° 335, 01/07/2016, 8 pages (p. 18-25)

    réf. 229-001 ; Rédaction : ABioDoc

    Réussir le désaisonnement grâce autraitement lumineux

    VILLETTE Amélie

    Les caprins sont des animaux saisonnés : les chèvreset les boucs entrent dans une période d'activitésexuelle entre novembre et février, lorsque les nuitssont longues, induisant une sécrétion de mélatonineimportante chez les chèvres. Afin de produire du lait,en contre-saison, plusieurs méthodes existent, parmilesquelles le traitement lumineux. Cela consiste àsimuler des jours courts, puis des jours longs dansl'environnement du troupeau afin de faire entrer lesanimaux en activité sexuelle. A noter que l'utilisationd'implants de mélatonine, citée dans cet article, n'estpas autorisée en agriculture biologique.

    Mots clés : DESAISONNEMENT / TRAITEMENT LUMINEUX /ELEVAGE / CAPRIN / REPRODUCTION ANIMALE /PHOTOPÉRIODISMEREUSSIR LA CHEVRE N° 335, 01/07/2016, 1 page (p. 30)

    réf. 229-002 ; Rédaction : ABioDoc

    Evaluation des temps de travaux enproduction de veaux de lait sous la mère

    LAFFONT Florent

    Réalisé dans le cadre de la Licence ProfessionnelleAgriculture Biologique Conseil et Développement etd'un stage au sein de la Chambre d'Agriculture dela Corrèze, ce mémoire porte sur le temps de travailen élevage de veaux sous la mère. L'objectif généralconsistait à identifier des critères ou facteurs devariation pouvant influer sur le temps de travail deséleveurs et de déterminer de quelle façon ils agissaient.Dans le cadre du stage, la problématique a pu êtreprécisée : "En quoi les différentes fonctions dues àl'agencement des bâtiments, à l'organisation du travailet aux choix concernant les conduites de culturesmodulent-elles les temps de travaux et quels impactspeut-on mesurer sur les systèmes." A partir d'un travaild'enquête auprès d'éleveurs de veaux sous la mère, enbio et en conventionnel, quelques pistes de réponse etde réflexion sont exposées.

    Mots clés : AUTONOMIE ALIMENTAIRE / TEMPS DE TRAVAIL /TETEE / ELEVAGE / EXPLOITATION AGRICOLE / TRAVAILEN AGRICULTURE / ALIMENTATION DES ANIMAUX / VEAU /VEAU SOUS LA MERE / BATIMENT D'ELEVAGE / BOVINVIANDE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / SEMIS SOUS COUVERT /CORREZE / ENQUETE2015, 53 p., éd. VETAGRO SUP - Campus Agronomique deClermont / UNIVERSITE BLAISE PASCAL

    réf. 229-073 ; Rédaction : ABioDoc

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 6

    Chèvres, moutons : Parasites difficiles

    WERNE Steffen / BOLLINGER Susanne

    Les chèvres et les moutons étant particulièrementsensibles aux vers gastro-intestinaux, en particulierles strongles, la maîtrise du parasitisme en élevagede petits ruminants est complexe. Une enquête a étémenée en Suisse par le FiBL auprès de 58 élevagescaprins et 52 ovins, tous en AB, pour connaître lespratiques et les difficultés des éleveurs, mais aussi àquoi ils seraient prêts afin de réduire leur recours auxvermifuges (en moyenne de l’ordre de 1.6 traitement paran et par animal). Cet article reprend les résultats decette enquête. Parmi ces derniers, notons l’importancede la gestion du pâturage ; 60 % des éleveurs caprinsenquêtés et 32 % des moutonniers ont des bovins et,parmi ces éleveurs, les deux-tiers pratiquent le pâturagealterné (des caprins ou ovins en alternance avec desbovins). 30 % des éleveurs caprins (contre 13 %en élevages ovins) veillent aussi à mettre les jeunesanimaux sur les parcelles les moins contaminées.Les éleveurs sont prêts aussi à ne pas vermifugertous leurs animaux. En effet, des études ont montréque la résistance aux antiparasitaires se développaitsurtout si on vermifugeait tout le troupeau. Vermifugeruniquement les animaux qui sont les plus atteints (ex :ceux présentant plus de perte de poids) serait alorsune solution, malgré le coût en matériel et le travail despesées très régulières nécessaire alors. Autre pratiquepossible : éliminer les animaux les plus sensibles, enparticulier chez les caprins, espèce où la résistance auxparasites est mieux transmise entre générations.

    Mots clés : PRATIQUE ALTERNATIVE / VERMIFUGE /ENQUETE / CAPRIN / OVIN / ELEVAGE BIOLOGIQUE /PATURAGE MIXTE / GESTION DU PATURAGE / SANTEANIMALE / MALADIE PARASITAIRE / PARASITISMEGASTROINTESTINAL / SUISSEBIOACTUALITES N° 8/16, 01/10/2016, 2 pages (p. 8-9)

    réf. 229-042 ; Rédaction : ABioDoc

    Conception d'un outil d'autodiagnosticsur l'autonomie alimentaire en élevagebovin biologique

    DRIEU Clémence

    En agriculture biologique, le principe du lien au solest particulièrement important. Sur les exploitationsd'élevage, cela passe notamment par l'optimisation del'autonomie alimentaire, avec la volonté de produire unelarge part des aliments des animaux sur l'exploitationelle-même. Avec le changement climatique et lesphénomènes qui y sont associés, des sécheressesnotamment, cette autonomie alimentaire peut s'avérerdifficile à atteindre. Dans le cadre du projet CasdarOptiAliBio, porté par l'Institut de l’Élevage (Idele), unétat des lieux de l'autonomie alimentaire d'élevagesbovins biologiques a été réalisé, et une analysedes déterminants de l'autonomie a tenté de mieuxcerner les points forts et les faiblesses de cesélevages. Dans ce mémoire de stage ingénieur, leséléments méthodologiques mobilisés sont explicités etles résultats obtenus sont présentés. Ces élémentsont été utilisés pour la mise au point d'un outild'auto-diagnostic de l'autonomie alimentaire, destinéaux éleveurs. Il leur permettra de : - mesurer etévaluer le niveau d'autonomie en matière sèche eten concentrés (évaluation du niveau de couverture etde déficits) ; - d'évaluer l'exposition ou les facteursde risques du système aux déficits alimentaires(signalement des points de faiblesses et des facteurs desécurisation).

    Mots clés : AUTONOMIE ALIMENTAIRE / AUTONOMIEFOURRAGERE / OUTIL DE DIAGNOSTIC / CHANGEMENTCLIMATIQUE / AUTO-DIAGNOSTIC / METHODOLOGIE /ETUDE / BOVIN LAIT / BOVIN VIANDE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / FRANCE / PROJET DE RECHERCHEDEVELOPPEMENT2016, 67 p., éd. INSTITUT DE L'ELEVAGE / AGROCAMPUSOUEST - CFR de RENNES

    réf. 229-035 ; Rédaction : ABioDoc

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    7 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Dossier : Le bien-être animal chez lesvolailles : de l’élevage de poussinsmâles au pâturage

    SICARD Julia

    Quinze éleveurs français ont effectué un voyage outreRhin avec Bioland (marque allemande pour l'AB) pourobserver et échanger sur les pratiques d’éleveurs devolailles. Cette dernière, qui regroupe 5800 éleveurset 1000 transformateurs, se caractérise par un cahierdes charges plus strict que le cahier européen. Ainsi,Bioland interdit la mixité bio/non bio sur les fermes, limiteà 6000 le nombre de poules par élevage et applique unlien au sol plus fort : 50 % de l’alimentation doit êtreissue d’un périmètre de 50 km. Bioland mène égalementdes projets de recherche sur les volailles : prolongementde la durée de vie, les installations mobiles ou le bien-être animal. Ainsi, l’allongement de la durée de vie despoules pondeuses semble une piste prometteuse : parexemple, les poules plus âgées pondent de plus grosœufs que les jeunes ou ont des besoins alimentairesmoindres. Bioland travaille aussi sur la sélection d’unerace mixte qui permettrait de produire des œufs touten limitant l’abattage des mâles, ces derniers pouvantalors être valorisés pour la viande. Comme le montrentaussi des actions de recherche en France, les parcourspeuvent être des atouts : apport d’aliments, facteur debien-être ou de meilleures performances des animaux…C’est ce qu’illustre le cas des deux élevages allemandsprésentés dans ce dossier. L’un a un parcours trèsdiversifié avec des arbustes, des haies, des arbresfruitiers, du maïs, un couloir de grattage... Le second estbasé sur le principe de bâtiments mobiles, installés surdes prairies permanentes et déplacés tous les 10 jours(pâturage tournant dynamique), permettant ainsi unpâturage en alternance avec des vaches allaitantes.

    http://www.bioenlorraine.org/#!fdc/c1476Mots clés : DONNEE ECONOMIQUE / VOLAILLE DECHAIR / VENTE DIRECTE / REGLEMENTATION / MARQUE /MARQUE PRIVEE / VOLAILLE / POULE / POULET DECHAIR / POUSSIN MÂLE / POULAILLER MOBILE / BIEN-ÊTRE ANIMAL / ELEVAGE BIOLOGIQUE / AVICULTURE /OEUF / PARCOURS / PÂTURAGE TOURNANT DYNAMIQUE /SELECTION ANIMALE / RACE MIXTE / RECHERCHE /ALLEMAGNE / FRANCE / BÂTIMENT MOBILEFEUILLE DE CHOU BIO N° Novembre 2016, 01/11/2016, 4 pages(p. 7-10)

    réf. 229-043 ; Rédaction : ABioDoc

    Analyse longitudinale de la vulnérabilitédes exploitations bovines biologiquesaux variations de climat et de prix desproduits

    BAUDET Florence / BLANCO Jorge /CHABANON Aline / ET AL.

    L'autonomie alimentaire est une préoccupationimportante des élevages biologiques. Dans cecontexte, le projet Casdar OptiAliBio, piloté parl'Institut de l’Élevage (Idele), a pour objectifs,entre autres, d'analyser la résistance des élevagesbovins biologiques aux aléas climatiques en termesd'autonomie alimentaire, et d'identifier et/ou développerdes stratégies d'adaptation pour faire face à cesaléas. A la demande de l'Institut de l’Élevage et del'Inra, partenaire d'OptiAliBio, un groupe d'étudiants deVetAgro Sup a réalisé une analyse longitudinale de lavulnérabilité des exploitations bovines biologiques auxvariations de climat et de prix des produits. Pour cela,des données chiffrées issues des Réseaux d'élevageont été utilisées, et 29 éleveurs – 12 en bovins lait et17 en bovins viande – ont été enquêtés dans le Puy-de-Dôme et les départements limitrophes. Ce travaila permis d'identifier des stratégies d'adaptation misesen place par les éleveurs pour mieux faire face auxaléas climatiques, de façon ponctuelle ou à plus longterme. Les résultats obtenus montrent que le niveaud'autonomie alimentaire est lié à une combinaison defacteurs. Les exploitations les plus autonomes sontgénéralement celles qui dégagent le meilleur revenuet qui montrent une amélioration continue de leursrésultats. En termes d'adaptation aux aléas climatiques,les techniques ponctuelles sont plus souvent mobiliséespar les éleveurs que les stratégies à long terme. Lespratiques clés identifiées peuvent être divisées en deuxcatégories : - celles qui passent par l'augmentation dela quantité de ressources disponibles ; - et celles quipassent par la diminution des besoins des animaux.

    Mots clés : AUTONOMIE ALIMENTAIRE / AUTONOMIE ENPROTEINES / AUTONOMIE FOURRAGERE / CHANGEMENTCLIMATIQUE / ANALYSE / METHODOLOGIE / ENQUETE /ADAPTATION / BOVIN LAIT / BOVIN VIANDE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / AUVERGNE-RHONE-ALPES / ALLIER /CANTAL / HAUTE LOIRE / PUY DE DOME / LOIRE /BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE / NIEVRE / NOUVELLE-AQUITAINE / CORREZE / CREUSE2016, 97 p., éd. VETAGRO SUP - Campus Agronomique deClermont / INSTITUT DE L'ELEVAGE

    réf. 229-036 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.bioenlorraine.org/#!fdc/c1476

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 8

    Mieux comprendre les dynamiquesd'évolution des légumineuses dansles associations et les prairies multi-espèces

    PELLETIER P. / SURAULT F. / GASTAL F. / ET AL.

    Cette synthèse d'essais récents apporte desinformations sur les dynamiques d'évolution deslégumineuses dans les prairies d'associations et multi-espèces. Le choix d'espèces adaptées au contexte(sol, climat et mode d'exploitation) est primordialpour la productivité et la pérennité de ces prairies ;l'impact des doses de semis des légumineuses estfaible. Certaines légumineuses (luzerne, trèfle violet outrèfle blanc) ont tendance à dominer et entraînent ladisparition des autres légumineuses. Les espèces trèspeu concurrentielles (lotier corniculé) ne se développentqu'en l'absence d'espèces agressives. Une questionimportante subsiste, celle de l'influence de la variété desespèces semées sur ces dynamiques d'évolution deslégumineuses en mélange.

    Mots clés : AGRICULTURE CONVENTIONNELLE / AUTONOMIEEN PROTEINES / AUTONOMIE FOURRAGERE / DYNAMIQUEDE LA VEGETATION / GRAMINEE / MELANGE FOURRAGER /PATURE / PERENNITE / MATIERE SECHE / ELEVAGE /SECHERESSE / ESSAI / EVOLUTION / CAPRIN /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / BOVIN VIANDE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / DOSE DE SEMIS / LEGUMINEUSE /LEGUMINEUSE FOURRAGERE / LOTIER CORNICULÉ /LUZERNE / SAINFOIN / TRÈFLE BLANC / TRÈFLE HYBRIDE /TRÈFLE VIOLET / PRAIRIE / PATURAGE / PRAIRIE A FLOREVARIEE / FAUCHE / ASSOCIATION VEGETALE / FRANCE /RHONE ALPES / INDRE / VIENNEFOURRAGES N° 226 - Les légumineuses fourragères etprairiales : Quoi de neuf ?, 01/06/2016, 13 pages (p. 121-133)

    réf. 229-045 ; Rédaction : ABioDoc

    Développer les associations annuellescéréales - protéagineux dans lessystèmes fourragers

    EMILE JC. / COUTARD JP. / FOREL E. / ET AL.

    Les associations annuelles céréale(s) - légumineuse(s)présentent des atouts (économie, autonomie del'exploitation, simplicité de la conduite...) et constituentune voie de sécurisation (climatique et économique)du système fourrager. Associées à des céréales àpaille en culture d'hiver ou à des maïs ou sorghoen culture d'été, les légumineuses (pois, vesce,soja ou haricot) améliorent la productivité et surtoutles valeurs protéique et énergétique de la céréalepure. Les 2 principaux freins à l'utilisation de cesassociations sont le pilotage de la proportion delégumineuses et la prédiction de leur valeur alimentaire.De nombreux résultats expérimentaux fournissent deséléments pour la composition de ces associations, leurconduite culturale, leur récolte et leur utilisation pour lerationnement des ruminants.

    Mots clés : AGRICULTURE CONVENTIONNELLE /AUTONOMIE / AUTONOMIE EN PROTEINES / AUTONOMIEFOURRAGERE / CONDUITE TECHNIQUE / MELANGEFOURRAGER / SECURISATION / RATION ALIMENTAIRE /ELEVAGE / AGRICULTURE ET ENVIRONNEMENT /PRODUCTIVITE / ESSAI / VALEUR ALIMENTAIRE / VALEURAZOTEE / VALEUR ENERGETIQUE / RUMINANT / BOVIN /CAPRIN / OVIN / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / RECOLTE /CEREALE / CEREALE A PAILLE / AVOINE / TRITICALE /MAIS / SORGHO / FOURRAGE / CULTURE FOURRAGERE /LEGUMINEUSE / VESCE / SYSTEME FOURRAGER /HARICOT / POIS / SOJA / PROTEAGINEUX / CULTUREANNUELLE / ASSOCIATION VEGETALE / FRANCE / MODED'EXPLOITATION / MELANGE CEREALES PROTEAGINEUXFOURRAGES N° 226 - Les légumineuses fourragères etprairiales : Quoi de neuf ?, 01/06/2016, 9 pages (p. 143-151)

    réf. 229-049 ; Rédaction : ABioDoc

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    9 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Médecines alternatives : Témoignaged'une éleveuse conquise

    MASQUELIER Rémi

    Alcine Voiron élève 35 brebis laitières (Lacauneet Manech) à Saint-Étienne-de-Serre, communeardéchoise de la Vallée de l'Eyrieux, toute en terrasseset en pentes boisées de châtaigniers et de pins. Ason installation en 2007, elle s'intéresse très vite àl'utilisation de l'homéopathie pour soigner ses animaux.Pour elle, cette approche, basée pour une large partiesur l'observation, permet de mieux comprendre l'état dutroupeau dans ses différentes facettes. Elle fait appel àd'autres médecines alternatives, comme les médecinesmanuelles, pour soulager divers soucis articulairespar des manipulations simples auxquelles elle s'estformée. Selon elle, les médecines alternatives sontcomplémentaires et il s'agit de trouver les meilleuresapplications en fonction de ses compétences et de sesressentis. Ainsi utilise-t-elle la phytothérapie pour luttercontre le parasitisme, l'argile pour traiter les troublesdigestifs ou encore le chlorure de magnésium pourstimuler l'immunité de ses animaux ou désinfecter lesplaies, mais aussi ses connaissances en géobiologie,en kinésiologie vétérinaire, etc.

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : ELEVAGE / OBSERVATION / TEMOIGNAGE / OVINLAIT / MEDECINE ALTERNATIVE / PHYTOTHERAPIE / SANTEANIMALE / ARDECHELA LUCIOLE N° 11, 01/05/2016, 2 pages (p. 14-15)

    réf. 229-091 ; Rédaction : ABioDoc

    Ovin viande bio : Maîtriser les charges etla conduite pour dégager un revenu

    MAZENC Jean-Marie

    Le programme Casdar AgneauxBio, conduit entre2012 et 2016, a eu pour objectif de réaliser des étudessur la filière ovine bio. Dans cet article, des résultatstechniques et économiques, issus de deux de cesétudes, sont présentés, ainsi que des données sur lemarché ovin bio. Des graphiques montrent les coûtsde production et les prix de revient qui ont pu êtrecalculés. Grâce aux travaux de l'Inra de Theix (63) qui aréalisé un suivi de fermes conventionnelles et de fermesbio (ces dernières faisant partie du réseau de fermesdu programme Casdar AgneauxBio), des comparaisonsentre les résultats économiques de ces deux types defermes ont pu être établies. Un des défis des éleveursovins bio consiste à utiliser au mieux l'herbe et lesfourrages et à maîtriser la consommation de concentrés.

    http://www.bio-centre.org/index-3-185.htmlMots clés : COMPARAISON BIO-CONV / RESULTATTECHNICO-ECONOMIQUE / FILIERE OVINE / ELEVAGE /COUT DE PRODUCTION / PRIX DE REVIENT / REVENUAGRICOLE / ETUDE / AGNEAU / ELEVAGE BIOLOGIQUE /OVIN VIANDE / SYSTEME HERBAGER / RECHERCHEBIO CENTRE' MAG N° 15, 01/06/2016, 5 pages (p. 5-9)

    réf. 229-094 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementshttp://www.bio-centre.org/index-3-185.html

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    Biopresse 229 - Janvier 2017 10

    Projet 4AgeProd : bien faire vieillir saprairie

    SCHELSTRAETE Thibaut

    Dans le cadre d’un projet sur le vieillissement desprairies temporaires (4AgeProd), des enquêtes ont étémenées en 2015 auprès d’agriculteurs pour recueillirleurs pratiques, leurs critères ou encore leur ressenti surces prairies et leur évolution dans le temps. Cet articleprésente des mots choisis des dires de plusieurs deces éleveurs enquêtés, en lien avec diverses questionscomme « Qu’est-ce qu’une bonne prairie ? », « Qu’est-ce qu'une prairie dégradée ? » ou encore « Quellespratiques sont déterminantes pour bien faire vieillirses prairies ? ». Ces témoignages présentent despoints communs, comme, par exemple, les critères prisen compte pour définir si une prairie est dégradée(ex : présence de plantes indésirables, part de sol nuimportante ou encore perte en légumineuses). Maiscertaines différences entre agriculteurs peuvent êtrenotées : des pratiques parfois différentes ou encore unressenti différent sur l’évolution du rendement (variablepour certains, pour d’autres, existence d’une baisseobservable).

    Mots clés : PERENNITE / PORTANCE / PRATIQUE / ELEVAGE /PROJET / TEMOIGNAGE / RENDEMENT / PRAIRIE / PRAIRIEA FLORE VARIEE / PRAIRIE TEMPORAIRE / ASSOCIATIONVEGETALE / PRAIRIE DEGRADEE / BRETAGNE / PAYS-DE-LA-LOIRE / PRAIRIE TEMPORAIRE LONGUE DUREEATOUT TREFLE (L') N° 81, 21/06/2016, 2 pages (p. 4-5)

    réf. 229-053 ; Rédaction : ABioDoc

    Volailles : Les résultats de laconsultation FNAB

    SYMBIOSE

    Cet article présente les résultats d'une consultationlancée par la FNAB, début 2016, auprès de sesadhérents, dans le cadre de la révision du règlementbio européen. Les questions portaient sur les densitésd'élevage souhaitées et sur la taille des bâtiments,en volailles de chair et en poules pondeuses, ainsique sur la provenance de l'alimentation à donner auxvolailles. Concernant l'abattage, la FNAB défend undélai à 81 jours, contrairement au Synalaf (SyndicatNational des Labels Avicoles de France) qui propose71 jours.

    Mots clés : DENSITE / REGLEMENTATION EUROPEENNE /VOLAILLE DE CHAIR / FILIERE / ABATTAGE DES ANIMAUX /POULE / BATIMENT D'ELEVAGE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /AVICULTURE / FRANCE / VOLAILLE / BATIMENT AVICOLESYMBIOSE N° 213, 01/06/2016, 1 page (p. 19)

    réf. 229-099 ; Rédaction : ABioDoc

    EARL Moreau : objectif zéro concentrés,transition vers un système économetout herbe

    SCHELSTRAETE Thibaut

    Yoann a repris l'exploitation en 2011, à la Guyonnière(85), au départ à la retraite de son père. La fermecomptait alors un troupeau bovin naisseur de 110 têteset 42 vêlages, complété par un atelier volaille.Aujourd’hui, il gère avec sa mère un troupeau de130 têtes pour 48 vêlages et développe la finition. Sonobjectif est de tout engraisser (voies mâle et femelle) àl’herbe, tout en augmentant le troupeau. Pour ce faire,il s’est formé au pâturage tournant dynamique. Aprèsavoir redimensionné ses paddocks, acheté le matérielnécessaire pour faciliter le travail de gestion de la pâture(clôtures araignées, quad, réseau d’eau pour plus depoints d’abreuvement…), il pratique, avec beaucoup desatisfaction, ce type de pâturage sur 44 hectares. Iltravaille aussi à améliorer ses prairies, avec une placeplus grande accordée aux prairies à flore variée, avecpar exemple de la chicorée.

    Mots clés : DONNEE TECHNICO ECONOMIQUE / PLANTAIN /TEMOIGNAGE / ENGRAISSEMENT / BOVIN / BOVIN VIANDE /HERBE / TRÈFLE / PRAIRIE / PATURAGE / PRAIRIE A FLOREVARIEE / PÂTURAGE TOURNANT DYNAMIQUE / CHICOREE /VENDEE / ELEVAGEATOUT TREFLE (L') N° 81, 21/06/2016, 3 pages (p. 11-13)

    réf. 229-054 ; Rédaction : ABioDoc

    Comment gérer les zones humides ?

    ECHO DU CEDAPA (L')

    Sur les exploitations d'élevage, les zones humidespeuvent être difficiles à gérer et à valoriser. Dans cetarticle, trois éleveurs de vaches laitières et un éleveurde vaches allaitantes témoignent de leurs pratiques.Deux d'entre eux sont en agriculture biologique, lesdeux autres entament leur conversion en 2016. Tousfont pâturer une partie de l'année leurs animaux surces parcelles particulières, généralement des animauxà faibles besoins (vaches taries, jeunes génisses).Certains font des fauches en complément.

    Mots clés : PATURE / TEMOIGNAGE / GESTION DUPATURAGE / BOVIN LAIT / BOVIN VIANDE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / FAUCHE / BRETAGNE / COTES D'ARMOR /ILLE ET VILAINE / ZONE HUMIDEECHO DU CEDAPA (L') N° 126, 01/09/2016, 1 page (p. 2)

    réf. 229-116 ; Rédaction : ABioDoc

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    11 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Dossier : Maintenir la qualité de sesprairies

    MONY Frédéric

    Dans ce dossier, certains principes de fonctionnementdes prairies sont détaillés, ainsi que les principalesgraminées rencontrées. L’auteur donne ensuite deséléments sur des plantes pouvant devenir gênantes etdes moyens pour les réguler.

    http://www.bioenlorraine.org/fdcMots clés : GRAMINEE / GRAND PLANTAIN / SENEÇON /ECOLOGIE VEGETALE / SECHERESSE / ENTRETIEN /QUALITE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / CONTROLE DESADVENTICES / DACTYLE / FETUQUE / PÂTURINCOMMUN / RAY GRASS ANGLAIS / PRAIRIE / ESPECENUISIBLE / CHARDON / CIRSE DES CHAMPS / AGROSTIDESTOLONIFERE / FRANCEFEUILLE DE CHOU BIO N° Septembre 2016, 01/09/2016,6 pages (p. 6-11)

    réf. 229-061 ; Rédaction : ABioDoc

    L'alimentation des vaches laitières a-t-elle une influence sur les mammites ?

    ROUSSEL Philippe / BALLOT Nadine /BAREILLE Nathalie / ET AL.

    Si l'alimentation des vaches laitières n'a pas delien direct avec l'occurrence de mammites, certainschangements ou déséquilibres peuvent fragiliserles défenses immunitaires. A travers cette fiche,rédigée dans le cadre du plan national « Lesmammites, j'anticipe ! », lancé en 2013 par leCNIEL et ses partenaires (France Conseil Élevage,GDS France, Institut de l'Élevage, SIMV, SNGTV),les liens entre alimentation et mammites sontquestionnés : - rationnement équilibré en énergie et enprotéines ; - alimentation en vitamines et minéraux, desmicronutriments impliqués dans le bon fonctionnementdu système immunitaire ; - maladies métaboliques(cétose et acidose) ; - œdème mammaire. Globalement,afin de favoriser une capacité correcte de réactiondes vaches laitières face aux risques de mammites,il convient de respecter une bonne couverture desbesoins alimentaires. Concernant la complémentationen vitamines et minéraux, il faut noter que seulescertaines formes pour des éléments cités dans cedocument sont autorisées en agriculture biologique(pour le zinc, par exemple).

    http://idele.fr/linstitut-de-lelevage/publication/idelesolr/recommends/lalimentation-des-vaches-laitieres-a-t-elle-une-influence-sur-les-mammites.htmlMots clés : COMPLEMENTATION / ELEVAGE / ELEVAGELAITIER / ALIMENTATION DES ANIMAUX / COMPLEMENTALIMENTAIRE / VACHE LAITIERE / SANTE ANIMALE /MAMMITE / BOVIN LAIT / FRANCE2016, 4 p., éd. CNIEL (Centre National Interprofessionnel del'Economie Laitière)

    réf. 229-121 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.bioenlorraine.org/fdchttp://idele.fr/linstitut-de-lelevage/publication/idelesolr/recommends/lalimentation-des-vaches-laitieres-a-t-elle-une-influence-sur-les-mammites.htmlhttp://idele.fr/linstitut-de-lelevage/publication/idelesolr/recommends/lalimentation-des-vaches-laitieres-a-t-elle-une-influence-sur-les-mammites.htmlhttp://idele.fr/linstitut-de-lelevage/publication/idelesolr/recommends/lalimentation-des-vaches-laitieres-a-t-elle-une-influence-sur-les-mammites.html

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 12

    Réseau charolais campagne 2015 :50 exploitations conventionnelles :Principales évolutions par rapport à2014 et 2012 ; 10 exploitations agri.biologique : Principales évolutions parrapport à 2014 et 2013

    LHERM Michel / TROQUIER Christophe /ROULENC Marielle / ET AL.

    Cette fiche synthétique rapporte les principaux résultatstechnico-économiques obtenus par le réseau charolaisen 2015, réseau suivi par l'Unité Mixte de Recherchesur les Herbivores (UMRH) de l'Inra. La taille desexploitations et la productivité du travail, la margebrute bovine, la marge brute des cultures, lescharges de structure et le revenu par travailleur pour50 élevages conventionnels et 10 élevages biologiquessont analysés. Pour les exploitations biologiques, lescheptels se sont agrandis mais la taille des exploitationsreste stable. La marge brute bovine de ces élevagesa progressé de 16 % entre 2014 et 2015, grâce à uneamélioration du produit brut bovin et à une baisse descharges du troupeau et des surfaces fourragères. Enrevanche, la marge brute des cultures est en baisse(-3 %) et les charges de structure sont en hausse(+2,6 %). Les revenus des éleveurs bio de ce réseausont en hausse par rapport à leurs revenus de 2014, etrestent supérieurs à ceux des éleveurs conventionnels(+35 %).

    Mots clés : COMPARAISON BIO-CONV / ELEVAGE / ELEVAGEALLAITANT / TAILLE DES EXPLOITATIONS / CHARGEDE STRUCTURE / MARGE BRUTE / PRODUCTIVITE /RESULTAT TECHNICO-ECONOMIQUE / REVENU AGRICOLE /RACE BOVINE CHAROLAISE / BOVIN VIANDE / ELEVAGEBIOLOGIQUE / RECHERCHE / FRANCE2016, 2 p., éd. INRA CLERMONT - THEIX

    réf. 229-123 ; Rédaction : ABioDoc

    Cahier technique : La santé des volailles enagriculture biologique : Gestion sanitairedes élevages de volailles de chair enagriculture biologique et méthodes deprévention sanitaire

    EXPERTON Catherine / ROINSARD Antoine /BRACHET Mathilde / ET AL.

    Ce cahier technique s’adresse à l’ensemble desacteurs de la filière Poulet de chair biologique, etplus particulièrement aux professionnels qui souhaitentavoir des références pour améliorer la santé desvolailles de chair en agriculture biologique. Les éleveursde la filière sont en effet en forte demande deréférences sur la prévention pour faire face à unensemble d’affections souvent multifactorielles. L’ITABa coordonné un programme CASDAR "Synergies pourla santé des élevages biologiques" afin d’acquérir desréférences à destination des éleveurs, des conseillerset des vétérinaires de la filière, et des leviers d’actionadaptés à cette production. Ce cahier technique est lefruit d’un travail collectif dans lequel se sont impliquésde nombreux partenaires et dont les complémentaritésont enrichi le contenu. Le projet a permis d'identifier,au sein des élevages de poulets de chair biologiques,des pratiques et des conditions d’élevage, ainsi quedes facteurs de risque associés influençant l’état desanté des animaux. La validation de pratiques issues destations expérimentales et le partage de connaissancesentre les conseillers ont également permis de proposer,dans ce guide, des recommandations contribuant aumaintien ou au renforcement de l’équilibre sanitaire enélevage. Les résultats de l’étude épidémiologique duprojet Synergies sont détaillés au fil du guide, ainsi quel’identification des marges de progrès possibles et desleviers d’action pour une meilleure maîtrise de la santédans ces élevages.

    http://www.itab.asso.fr/downloads/synergie/cahier-sante-volailles.pdfMots clés : BATIMENT AVICOLE / COCCIDIE / PRATIQUEALTERNATIVE / PRATIQUE SANITAIRE / VOLAILLE DECHAIR / REGLEMENTATION / FILIERE AVICOLE / POULETDE CHAIR / OBSERVATION / PREVENTION / ALIMENTATIONDES ANIMAUX / BIEN-ÊTRE ANIMAL / HYGIENEVETERINAIRE / ELEVAGE BIOLOGIQUE / PHYSIOLOGIEANIMALE / RECHERCHE / FRANCE / MEDECINEALTERNATIVE / OLIGOTHERAPIE / PHYTOTHERAPIE /SANTE ANIMALE / EPIDEMIOLOGIE / NEMATODE /PARASITISME GASTROINTESTINAL / AROMATHERAPIE /HOMEOPATHIE / AVICULTURE2016, 34 p., éd. ITAB (Institut Technique de l'AgricultureBiologique)

    réf. 229-106 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.itab.asso.fr/downloads/synergie/cahier-sante-volailles.pdfhttp://www.itab.asso.fr/downloads/synergie/cahier-sante-volailles.pdf

  • PRODUCTIONS ANIMALES

    13 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Allier agronomie et autonomie protéiqueavec les méteils protéagineux

    AGRO PERSPECTIVES

    Les méteils sont des mélanges de céréaleset protéagineux. Ce document, écrit dans uncontexte d'élevage conventionnel, s'intéresse plusspécifiquement aux méteils dits protéagineux, richesen espèces de cette famille végétale (exemple demélange : féverole, vesce, pois, triticale). Commepour tous les méteils, ces cultures présentent diversintérêts, aussi bien agronomiques que zootechniques,et peuvent être aisément cultivées sans fertilisants niproduits phytosanitaires. D'un point de vue nutritionnel,les méteils protéagineux seront plus riches en matièresazotées totales (MAT). La date de la récolte devra êtrechoisie de manière à privilégier la qualité plutôt que lerendement. Des exemples de mélanges, ainsi que leursvaleurs alimentaires, sont donnés pour la zone NordMayenne.

    http://www.agroperspectives.fr/post/allier-agronomie-et-autonomie-proteique-avec-les-meteils-proteagineuxMots clés : ASSOCIATION DE CULTURES / AUTONOMIEEN PROTEINES / VALEUR NUTRITIONNELLE / ELEVAGE /QUALITE / ALIMENTATION DES ANIMAUX / AGRONOMIE /RENDEMENT / CEREALE / FOURRAGE / LEGUMINEUSE /MELANGE CEREALES PROTEAGINEUX / PROTEAGINEUX /PAYS-DE-LA-LOIRE / MAYENNE2016, 4 p., éd. AGRO PERSPECTIVES

    réf. 229-124 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.agroperspectives.fr/post/allier-agronomie-et-autonomie-proteique-avec-les-meteils-proteagineuxhttp://www.agroperspectives.fr/post/allier-agronomie-et-autonomie-proteique-avec-les-meteils-proteagineux

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 14

    PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    ARBORICULTURE

    Rencontre technique châtaigne :Renaissance d'un fruit (presque)oublié ?

    HENNION Bernard

    Le 7 avril 2016, le Ctifl et le Syndicat nationaldes producteurs de châtaignes ont co-organisé unerencontre technique consacrée à la filière castanéicole.Si celle-ci a connu un fort déclin en un siècle,passant d'une production de 500 000 tonnes àmoins de 10 000 tonnes, elle connaît aujourd'huiun regain d'intérêt. Ses deux principales orientationssont : - la remise en valeur de cette production,bénéficiant d'une forte image de naturalité ; - lamise en adéquation de la production avec lescontraintes technico-économiques et sociales actuelles.En termes de protection phytosanitaire, la recherche deméthodes de lutte biologique est apparue comme unepriorité (utilisation de parasitoïdes, confusion sexuelle,utilisation d'infra-doses de sucre...).

    Mots clés : CASTANEICULTURE / MATERIEL VEGETAL /RENCONTRE TECHNIQUE / FILIERE / PROTECTION DESVEGETAUX / LUTTE BIOLOGIQUE / ARBORICULTURE /CHATAIGNE / FRANCEINFOS CTIFL N° 323, 01/07/2016, 2 pages (p. 6-7)

    réf. 229-010 ; Rédaction : ABioDoc

    Le cerisier en cage

    LE CORRE Maude

    Drosophila suzukii et la mouche de la cerise (Rhagoletiscerasi) sont deux ravageurs entraînant des dégâtsparticulièrement importants sur cerisiers. La pose defilets anti-insectes est efficace mais impacte l'ensemblede la conduite des vergers. En effet, elle n'estapplicable qu'en vergers palissés ou en gobelet bas,des configurations assez rares en France. Concernantle filet, plusieurs tailles de maille ont été testéespar différents organismes de recherche, avec desprotections intéressantes pour des mailles entre 0,8 ×0,8 mm et 1,4 × 1,7 mm. Par ailleurs, plus la maille serafine, plus le filet aura un impact sur le microclimat créédans le verger (température, rayonnement, humidité...),et donc sur le développement de maladies.

    Mots clés : CONDUITE DU VERGER / FILET ANTI-INSECTES /MICROCLIMAT / METHODE DE LUTTE / PROTECTION DESVEGETAUX / INSECTE RAVAGEUR / DROSOPHILA SUZUKII /LUTTE MECANIQUE / ARBORICULTURE / VERGER / MOUCHEDE LA CERISE / CERISIER / FRANCEREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 363, 01/07/2016, 2 pages(p. 47-48)

    réf. 229-015 ; Rédaction : ABioDoc

    L'eau chaude contre les maladies deconservation

    LE CORRE Maude

    Afin de lutter contre les maladies de conservationdes pommes, une technique consiste à immerger lespommes dans de l'eau chaude : c'est la thermothérapie.Dans le cadre du réseau national Conservation, lastation expérimentale de la Morinière, en Indre-et-Loire, a conduit des essais sur cette technique. Ils ontpermis de montrer des résultats probants, sur pommesconventionnelles et biologiques, et de définir lesconditions optimales d'application : temps d'immersionde deux minutes, température de 48-49°C, applicationdans les sept jours suivant la récolte. Quelques résultatsd'efficacité pour plusieurs variétés sont présentés.

    Mots clés : AGRICULTURE CONVENTIONNELLE /CONSERVATION / THERMOTHERAPIE / QUALITE /ESSAI / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / PROTECTIONDES VEGETAUX / ARBORICULTURE / POMME /EXPERIMENTATION / STOCKAGEREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 363, 01/07/2016, 1 page(p. 55)

    réf. 229-018 ; Rédaction : ABioDoc

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    15 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Expérimenter dans le Tarn-et-Garonne :Bioagresseurs et charge des pommiers

    ROSE Frédérique

    Cet article rapporte les principaux résultats des essaisconduits en vergers de pommiers bio au Centred'expérimentation fruits et légumes (Cefel) du Tarn-et-Garonne. Concernant la lutte contre le carpocapse,deux systèmes de cage, avec des filets au-dessuset autour des vergers, ont été comparés : l'un avecfilets paragrêle (maille 7×3) au-dessus et filets Alt'carpo(maille 4×4) autour, et l'autre avec des filets Alt'carpopartout. Aucune différence significative n'a pu êtredémontrée au cours des trois années de l'essai. Uneautre expérimentation a comparé différents produitsphytosanitaires utilisables en bio dans la lutte contre lamaladie de la suie et les crottes de mouche. En ce quiconcerne le puceron lanigère, c'est la lutte préventivequi a été mise à l'épreuve, avec des essais sur unverger de Dalinette pas encore infesté. Trois techniquesd'entretien du rang ont par ailleurs été testées : - laméthode sandwich, avec 40 cm de trèfle blanc nain surle rang et un travail du sol de part et d'autre ; - ungéotextile placé sur le rang ; - un désherbage mécaniqueavec un porte-outil Naturagriff. Enfin, des essais deproduits dessicants pour l'éclaircissage sur fleurs visentà définir les modalités idéales pour une telle pratique.L'éclaircissage sur jeunes fruits est également testé.

    Mots clés : ARBORICULTURE / EXPERIMENTATION /STATION D'EXPERIMENTATION / POMMIER / TARN ETGARONNE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / PROTECTIONDES VEGETAUX / FILET ANTI-INSECTES / FILETPARAGRELE / MALADIE DE LA SUIE / MOUCHE DES FRUITS /PUCERON LANIGERE / ENTRETIEN DES CULTURES /ECLAIRCISSAGE / OMBRAGE / OCCITANIEBIOFIL N° 108, 01/11/2016, 3 pages (p. 55-57)

    réf. 229-032 ; Rédaction : ABioDoc

    Cultivar and Year Rather thanAgricultural Practices Affect Primaryand Secondary Metabolites in AppleFruit

    La variété et l'année affectent plus fortement lacomposition en métabolites primaires et secondairesdes pommes que les pratiques agricoles (Anglais)

    LE BOURVELLEC Carine / BUREAU Sylvie /RENARD Catherine / ET AL.

    De nombreux paramètres, biotiques et abiotiques,affectent les métabolites impliqués dans les qualitésorganoleptiques des fruits et dans leur intérêt parrapport à la santé . Ainsi, il est important de comprendrel'impact des décisions des agriculteurs, du choix dela variété aux pratiques de gestion du verger, sur lacomposition des fruits. Pour hiérarchiser l'impact despratiques, de la variété, et de l'année de culture, desmesures ont été effectuées par l'INRA sur le poidsdes fruits, la matière sèche, les composants solidessolubles, l'acidité, les sucres et acides organiques,et les composés phénoliques, sur trois variétés depommes : Ariane, Melrose et Smoothee. Trois modes deconduite ont aussi été comparés : agriculture biologique,agriculture à bas intrants et agriculture conventionnelle.Les pommes ont été récoltées à maturité commercialesur le domaine expérimental de l'Inra de Gotheron, dansla Drôme, et ce, sur trois campagnes (2011, 2012,2013). Les principaux facteurs affectant les métabolitesprimaires et secondaires, dans la peau et la chair desfruits, sont, de loin, la variété et les conditions de culturede l'année, alors que le mode de conduite semble avoirun effet très limité. Pour deux vergers du même âgeet soumis à des conditions pédoclimatiques similaires,les effets du mode de conduite, bio ou conventionnel,sur la qualité des pommes sont très limités, voirnon-significatifs. Plus généralement, chaque mode deconduite englobe une grande variabilité de pratiques, cequi souligne l'importance de documenter avec précisionles pratiques appliquées à la conception et pendant laconduite du verger.

    http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0141916Mots clés : AGRICULTURE A FAIBLE NIVEAUD'INTRANTS / AGRICULTURE CONVENTIONNELLE /CONDITION CLIMATIQUE / CONDUITE DU VERGER /QUALITE DU PRODUIT / PRATIQUE AGRICOLE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ARBORICULTURE / VERGER /POMME / VARIETE / RECHERCHE / AUVERGNE-RHONE-ALPES / DROME / COMPARAISON BIO-CONV /ANTIOXYDANT / QUALITE ORGANOLEPTIQUEPLOS ONE N° Vol. 10, n° 11, 01/11/2015, 23 pages (p. 1-23)

    réf. 229-039 ; Rédaction : ABioDoc

    http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0141916http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0141916

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 16

    Le puceron lanigère du pommier : desperspectives de lutte

    NAVARRO Jean-Michel

    Claude Vaudaine est arboriculteur bio à Bougé-Chambalud (38). Son exploitation est située dans unetrès ancienne zone arboricole autrefois spécialisée dansla pêche, au sud de Vienne. Suite au problème de laSharka, les vergers de pêches ont été, en très grandepartie, remplacés par des pommiers. Les vergersde pommes de Claude Vaudaine ont été convertisprogressivement à l'AB, à partir de 2007. L'arboriculteurapporte, dans cet article, son témoignage sur la luttecontre le puceron lanigère qui s'attaque aux pommeset dont la pression reste importante, en bio comme enconventionnel. Il utilise tout un arsenal de techniquespréventives par l'instauration d'un équilibre végétatif etbiologique du verger : choix des variétés, apport d'azote,taille en vert des gourmands... Il favorise égalementles auxiliaires prédateurs du puceron qui vont ainsiparticiper à l'équilibre global du verger : Aphélinus,forficules, mésanges...

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : METHODE DE LUTTE / INSECTERAVAGEUR / LUTTE BIOLOGIQUE / INSECTE AUXILIAIRE /ARBORICULTURE / PUCERON LANIGERE / POMMIER /ISERE / PROTECTION DES VEGETAUX / TEMOIGNAGE /AGRICULTURE BIOLOGIQUELA LUCIOLE N° 11, 01/05/2016, 2 pages (p. 8-9)

    réf. 229-088 ; Rédaction : ABioDoc

    La note de conjoncture « Fruits àpépins »

    PELLEQUER Diane

    Cette note de conjoncture concerne les fruits àpépins pour la campagne 2016/2017, et est établienotamment à partir d’informations issues d’une réunionde suivi de campagne ayant eu lieu le 12 septembre2016 (organisation FNAB). Parmi les divers chiffresprésentés, on peut retenir les éléments suivants : i)au cours du premier semestre 2016, les achats des15 fruits et légumes bio les plus consommés (horsagrumes) ont augmenté de 16 % en volume et de 19 %en valeur par rapport à la même période en 2015 ; ii)les surfaces en vergers pommes et poires bio ou enconversion ont augmenté en 2015 (+ 14 % en pommeset + 19 % en poires) par rapport à 2014 ; iii) pour lacampagne 2016/17, les volumes en pommes de tabledevraient satisfaire la demande (moins de rendementmais plus de vergers), avec une qualité au rendez-vous mais plus de petits calibres et une augmentationdu prix de vente (de l’ordre de 0.2 € / kg - sortieproducteurs ) ; iv) l’offre en poires sera plus hétérogèneselon les territoires (année d’alternance), mais avecune bonne qualité (mais là aussi avec plus de petitscalibres) et des prix de vente entre 1.65 et 2.25 €/kg(prix caisse de 13kg, départ expéditeur). Enfin, cettenote présente un calendrier des périodes des premièresmises en marché, outil développé par la FNAB avecles producteurs pour organiser au mieux les mises enmarché.

    http://www.fnab.org/nos-actions/filieres-de-commercialisation/631-informations-et-reperes-sur-les-filieres-pommes-et-poires-bioMots clés : COMMERCIALISATION / FILIERE FRUITSET LEGUMES / MARCHE / PRIX / SURFACEAGRICOLE / STATISTIQUES / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /CONVERSION / ARBORICULTURE / FRUIT A PEPINS / POIRE /POMME / FRANCE / CONJONCTURE ECONOMIQUELES NOTES DE CONJONCTURE FNAB - ARBORICULTURE N° Octobre 2016, 01/10/2016, 5 pages (p. 1-5)

    réf. 229-055 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementshttp://www.fnab.org/nos-actions/filieres-de-commercialisation/631-informations-et-reperes-sur-les-filieres-pommes-et-poires-biohttp://www.fnab.org/nos-actions/filieres-de-commercialisation/631-informations-et-reperes-sur-les-filieres-pommes-et-poires-biohttp://www.fnab.org/nos-actions/filieres-de-commercialisation/631-informations-et-reperes-sur-les-filieres-pommes-et-poires-bio

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    17 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Désinsectisation des châtaignes aprèsrécolte : Traitement thermique etatmosphère contrôlée (Méthode CATTS)

    LUROL Sébastien / LANDRY Pierre /DEGUETTE Hélène / ET AL.

    Le carpocapse est un insecte ravageur pour différentescultures fruitières, notamment en production dechâtaignes. Les larves s'installent en effet dans lesfruits, causant des dégâts internes sévères. Dans lecadre du projet Casdar D²Biofruits (« Développementde méthodologies d'évaluation des pertes post-récolteet étude de l'efficacité de procédés compatibles avecl'agriculture biologique pour désinfecter et désinsectiserles fruits »), une méthode de traitement physiqueaprès récolte a été mise au point. Appelée CATTS,pour Controlled Atmosphere / Temperature TreatmentSystem, elle combine chaleur et atmosphère contrôlée :chaleur humide et absence d'oxygène dans ce casconcernant la châtaigne. Les essais à petite échelleont permis de démontrer une mortalité totale des larvesde carpocapse. Des essais à grande échelle et uneévaluation du coût de la méthode et de son impact surla qualité des fruits doivent maintenant être réalisés.

    Mots clés : ATMOSPHERE CONTROLEE /CASTANEICULTURE / CONSERVATION /DESINSECTISATION / TRAITEMENT PHYSIQUE /TRAITEMENT THERMIQUE / QUALITE / ESSAI /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / PROTECTION DESVEGETAUX / INSECTE RAVAGEUR / ARBORICULTURE /CHATAIGNE / CARPOCAPSE / FRANCEINFOS CTIFL N° 324, 01/09/2016, 5 pages (p. 30-34)

    réf. 229-114 ; Rédaction : ABioDoc

    CONTRÔLE DESADVENTICES

    Un robot désherbeur : Musique d'avenirou déjà presque au point ?

    SPUHLER Markus

    Dans le domaine de la robotisation adaptée àl'agriculture biologique, de nombreuses solutions sontdéjà en développement. La régulation des adventices,notamment, est un objectif important, parce qu'ellepermettrait d'économiser beaucoup de frais de maind’œuvre. En Allemagne, le Bonirop est en cours dedéveloppement. Il consiste en une unité mobile surlaquelle il sera possible de monter différentes machinescomme sur un tracteur. Pour le moment, le systèmechargé de différencier la culture et les adventices estencore à l'étude. En Suisse, un prototype de robot dedésherbage utilise la reconnaissance d'images et leguidage par GPS et fonctionne avec deux panneauxsolaires. Des tests ont été réalisés sur des culturesde betteraves en conventionnel, d'autres sont prévus,notamment en bio. Selon Hansueli Dierauer, conseillergrandes cultures au FiBL, les robots de désherbageont de l'avenir, et les résultats des tests en betteravessucrières bio sont très attendus.

    Mots clés : PROTOTYPE / TEST / MATERIEL AGRICOLE /ROBOT DESHERBEUR / CONTROLE DES ADVENTICES /GRANDE CULTURE / MARAICHAGE / DESHERBAGE /DESHERBAGE MECANIQUE / SUISSE / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / AGRICULTURE CONVENTIONNELLEBIOACTUALITES N° 2/16, 01/03/2016, 2 pages (p. 10-11)

    réf. 229-077 ; Rédaction : ABioDoc

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    Biopresse 229 - Janvier 2017 18

    FERTILISATION

    Dynamique de l'azote dans lesassociationsgraminées - légumineuses : quelsleviers pour valoriser l'azote fixé ?

    LOUARN G. / FAVERJON L. / BIJELIC Z. / ET AL.

    La composition des associationsgraminées - légumineuses tout à la fois modifie etrésulte du cycle de l'azote. Le choix des constituantsa un effet sur les entrées d'azote fixé à l'échelle dela culture, sur les transferts d'azote pendant la duréede l'association, puis sur les reliquats au cours de larotation. Le type de légumineuse utilisé a un impactmajeur sur la dynamique de l'azote sous prairie. Lapart de l'azote de la graminée issue de la légumineusepeut atteindre 60% dans les associations à base detrèfle blanc, 50% dans celles à base de trèfle violet et40% dans celles à base de luzerne. La proportion delégumineuses optimale pour les transferts en faveur dela graminée (30%) est inférieure à celle maximisant lafixation du couvert (70%). L'amélioration des plantespour un usage en association, le choix des variétés et lagestion des couverts (fertilisation, rythme de récolte...)sont des leviers majeurs pour ajuster l'équilibre entreconstituants des associations. Ils permettent dans unecertaine mesure de piloter leur contribution au biland'azote dans les rotations.

    Mots clés : ARRIERE EFFET / GRAMINEE / FERTILISATION /ROTATION DES CULTURES / GRAMINEE FOURRAGERE /LEGUMINEUSE / LEGUMINEUSE FOURRAGERE / LUZERNE /TRÈFLE BLANC / TRÈFLE VIOLET / PRAIRIE / FIXATION DEL'AZOTE / ASSOCIATION VEGETALE / AZOTE / ASSOCIATIONFOURRAGEREFOURRAGES N° 226 - Les légumineuses fourragères etprairiales : Quoi de neuf ?, 01/06/2016, 8 pages (p. 135-142)

    réf. 229-048 ; Rédaction : ABioDoc

    12e rencontre Comifer-Gemas 2015 :Fertilisation raisonnée et systèmes deculture

    PIERRE Prisca

    Les 18 et 19 novembre 2015, à Lyon, se sonttenues les 12èmes rencontres de la fertilisationraisonnée et de l'analyse, organisées par le COMIFER(Comité Français d’Étude et de Développement dela Fertilisation Raisonnée), en collaboration avec leGEMAS (Groupement d’Études Méthodologiques pourl'Analyse des Sols) et avec la participation de l'AFES(Association Française d’Étude des Sols). Elles ontréuni plus de 430 personnes. Dans un contexte defortes préoccupations environnementales, des résultatstechniques et scientifiques ont été présentés. Ilsconcernaient : - la gestion de la nutrition azotée ; - lesindicateurs biologiques des sols ; - la fertilisation enphosphore et potassium et les analyses de terre ; - lesémissions de gaz à effet de serre et les innovationsen systèmes de cultures. Les communications étaientnotamment tournées vers le raisonnement des intrantset la fertilité biologique et chimique des sols. Certainsdes essais présentés étaient conduits en agriculturebiologique.

    Mots clés : RENCONTRE PROFESSIONNELLE / VIEBIOLOGIQUE DU SOL / GAZ A EFFET DE SERRE /INNOVATION / FERTILISATION / FERTILISATION AZOTEE /FERTILISATION RAISONNEE / SOL / ANALYSE DE SOL /SYSTEME DE CULTURE / AZOTE / PHOSPHORE /POTASSIUM / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / AGRICULTURECONVENTIONNELLE / FRANCEINFOS CTIFL N° 324, 01/09/2016, 5 pages (p. 6-10)

    réf. 229-113 ; Rédaction : ABioDoc

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    19 Biopresse 229 - Janvier 2017

    GRANDES CULTURES

    Grandes cultures biologiques : Quellesrotations-types en Midi-Pyrénées ?

    GLANDIERES Anne

    C'est en région Midi-Pyrénées que l'on compte le plusde surfaces certifiées en grandes cultures biologiques,et 21 % des exploitations bio de la région sont conduitesen grandes cultures sans élevage. Les Chambresd'agriculture se sont interrogées sur la pérennité detels systèmes. Ainsi, depuis 2003, elles enquêtentcertaines de ces fermes sur leurs résultats technico-économiques. Une synthèse pluriannuelle, présentantces résultats pour les années 2003 à 2012, a étépubliée. Trois rotations-types – courte, moyenne etlongue – représentatives sont passées au criblesur des critères agronomiques, environnementaux,économiques et sociaux. Les rotations longues (5 à8 ans) et diversifiées sont les plus intéressantes. JeanArno, conseiller en agriculture biologique à la Chambred'agriculture du Gers, explique l'importance d'unebonne rotation en AB, véritable levier agronomiqueet économique, et donne quelques clés pour bien lachoisir.

    Mots clés : DURABILITE / INTERVIEW / ENQUETE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / GRANDE CULTURE /SYSTEME DE GRANDES CULTURES SANS ELEVAGE /ROTATION DES CULTURES / MIDI PYRENEESCHAMBRES D'AGRICULTURE N° 1055, 01/08/2016, 2 pages(p. 40-41)

    réf. 229-021 ; Rédaction : ABioDoc

    Tri et stockage des céréales : Deuxfermes, deux approches

    ROLLAND Céline

    Suite à deux visites de fermes bio du Finistère réaliséespar le GAB 56, cet article décrit comment chacunede ces deux exploitations procède pour stocker sescéréales. La première exploitation, l'EARL Volailles deKerguilavant, a démarré sa conversion en 2010. Ellepossède une surface de 80 ha et produit 50 000 volaillesde chair par an. Elle a une capacité de stockage de1 000 tonnes et utilise un séchoir à gaz. Le GAECPostic, quant à lui, a démarré sa conversion en 2000. Ilpossède une surface de 200 ha de grandes cultures et50 ha de prairies. Les céréales produites sont venduesen direct, après séchage, à des éleveurs ou autantque possible pour l'alimentation humaine. Après avoirutilisé, pendant 7 ans, un séchoir à gaz, le GAEC s'estéquipé d'un séchoir à basse température alimenté pardes plaquettes de bois (produites sur l'exploitation).

    Mots clés : FINISTERE / FERMOSCOPIE / TRI /SECHAGE / TEMOIGNAGE / STOCKAGE A LA FERME /MATERIEL AGRICOLE / GRANDE CULTURE / CEREALE /STOCKAGE DES GRAINS / VENTE DIRECTE / AGRICULTUREBIOLOGIQUESYMBIOSE N° 212, 01/05/2016, 2 pages (p. 18-19)

    réf. 229-076 ; Rédaction : ABioDoc

    Bons rendements bio sur la durée

    SAUTER Moritz / PERROCHET Frédéric /MÄDER Paul / ET AL.

    L’essai comparatif DOC de longue durée, mené enSuisse par le FiBL et Agroscope depuis 1978, montreque les rendements en agriculture biologique sonten moyenne plus bas (de 20 % par rapport auconventionnel), mais que l’utilisation des élémentsnutritifs et de l’énergie est plus efficiente. Ainsi, lescultures bio ont besoin de 19 % d’énergie de moinspar unité de rendement. Cependant, le maïs d'ensilageet le soja bio obtiennent de bons rendements. Le sojarévèle d'ailleurs un rendement en bio équivalent auconventionnel et avec un bon arrière-effet sans avoirreçu aucune fumure spécifique.

    Mots clés : COMPARAISON BIO-CONV / ESSAI LONGUEDUREE / COMPARAISON / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /AGRICULTURE BIODYNAMIQUE / FERTILISATION /RENDEMENT / GRANDE CULTURE / MAIS ENSILAGE / SOJA /RECHERCHE / SUISSEBIOACTUALITES N° 8/16, 01/10/2016, 2 pages (p. 14-15)

    réf. 229-044 ; Rédaction : ABioDoc

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    Biopresse 229 - Janvier 2017 20

    Stocker et assurer la conservation deses céréales à la ferme

    STEPHANY David / PERROT Martin

    Afin d'éviter les pertes de grains et pour préserver aumieux à ces derniers leurs facultés germinatives ouencore leurs performances nutritives, assurer un bonstockage et une bonne conservation des céréales àla ferme est primordial. Deux agriculteurs témoignentsur le matériel qu'ils utilisent et sur la façon dont ilsprocèdent pour stocker et conserver leurs céréales : - Trià la récolte, refroidissement du grain, propreté des siloset surveillance régulière (Raphaël Baltassat, agriculteurbio à Bonne (74)) ; - Une remorque-sécheuse pour servird'appoint au séchage des grains sur la ferme (XavierDuclos-Gonet, agriculteur bio à Crémieu (38)).

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : MATERIEL DE STOCKAGE / FARINE /TEMOIGNAGE / ALIMENTATION DES ANIMAUX / STOCKAGEA LA FERME / MATERIEL AGRICOLE / GRANDE CULTURE /CEREALE / BLE / SARRASIN / SEIGLE / MAIS /MELANGE CEREALES PROTEAGINEUX / CONSERVATIONDES GRAINS / STOCKAGE DES GRAINS / POIS / FEVEROLE /HAUTE SAVOIE / ISERE / TRI / AGRICULTURE BIOLOGIQUELA LUCIOLE N° 11, 01/05/2016, 2 pages (p. 18-19)

    réf. 229-093 ; Rédaction : ABioDoc

    Tri et stockage des céréales : Stocker dublé tendre meunier

    LE QUINTREC Gwénolé

    Gérard Launay et Claire Salvignol sont installés en biodans les Côtes d'Armor. Ils exploitent 50 ha, dont 35 haen prairies, 7 ha de blé meunier, 3,5 ha de féveroleet 3,5 ha de blé noir. Chaque année, ils transforment25 tonnes de blé en farine. L'intégralité du blé produit surl'exploitation est nettoyé et stocké sur la ferme. L'articledécrit comment ils procèdent, avec quel matériel, et pourquel résultat. Ils estiment leur dispositif efficace, bienque perfectible, notamment en termes de manutentionet en termes de pilotage automatique de la ventilation.

    Mots clés : FARINE / SECHAGE / TEMOIGNAGE /TRANSFORMATION A LA FERME / STOCKAGE A LA FERME /MATERIEL AGRICOLE / GRANDE CULTURE / CEREALE /BLE / BLÉ TENDRE / CONSERVATION DES GRAINS /STOCKAGE DES GRAINS / COTES D'ARMOR / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / SARRASIN / TRISYMBIOSE N° 213, 01/06/2016, 2 pages (p. 12-13)

    réf. 229-097 ; Rédaction : ABioDoc

    Gaec de la Commanderie dans le Tarn-et-Garonne : Des céréaliers « jardiniers »

    POUPEAU Jean-Martial

    Bruno Papa et Lis Gurtner témoignent sur les itinérairestechniques choisis pour bien maîtriser l’enherbementen grandes cultures bio, dans le cadre d’une rotationcourte sans luzerne ni prairie temporaire. L’absencede labour et de travail profond permet de limiter lapression de la folle-avoine. Le blé bénéficie d’un fauxsemis à l’automne et, la veille du semis, les levéesd’adventices sont détruites par un passage de herseplate. L’arrachage manuel complète efficacement ledésherbage mécanique et n’est pas gourmand en tempsaujourd’hui. Ce sont des mélanges de variétés de bléqui sont semés afin d’avoir des rendements bons et plusréguliers. Le soja n’est jamais semé avant le 1er maipour favoriser une levée rapide et pour avoir le temps deréaliser un faux semis. L'agriculteur effectue un passagede double écrouteuse, puis utilise ensuite une bineusecombinée à une herse étrille, ce qui permet de gagnerdu temps et d’optimiser l’efficacité du désherbage. Lescouverts sont absents de l’exploitation et la fertilisationrepose sur l’achat d’engrais organiques du commerce.

    Mots clés : FAUX SEMIS / MELANGE VARIETAL /TEMOIGNAGE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / RENDEMENT /TRAVAIL DU SOL / NON LABOUR / MATERIEL AGRICOLE /BINEUSE / HERSE ETRILLE / CONTROLE DES ADVENTICES /GRANDE CULTURE / ROTATION DES CULTURES /DESHERBAGE MANUEL / DESHERBAGE MECANIQUE / BLE /SOJA / TOURNESOL / FOLLE AVOINE / TARN ET GARONNEBIOFIL N° 108, 01/11/2016, 4 pages (p. 45-48)

    réf. 229-056 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.corabio.org/index.php/telechargements

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    21 Biopresse 229 - Janvier 2017

    1ères Rencontres des Grandes CulturesBio - 24 novembre 2016 - Paris : Recueil decommunications

    GURY Pascal / GUHL Florent /BEDOUSSAC Laurent / ET AL.

    Les 1ères Rencontres des Grandes Cultures Bio,organisées par l'ITAB, ARVALIS - Institut du Végétalet Terres Inovia, ont eu lieu le 24 novembre2016, à Paris. Au sommaire de ce Recueilde communications : INTRODUCTION : - Ledéveloppement des grandes cultures bio : pourquels marchés ? ; - Les produits de grandescultures biologiques au cœur de la consommationalimentaire biologique. ASSOCIATIONS CÉRÉALES-LÉGUMINEUSES : - Performances et fonctionnementdes associations céréales-légumineuses ; Quandchercheurs, coopérative et agriculteurs travaillentensemble pour améliorer la production de lalentille par le biais des associations ; - Principestechniques pour conduire une association céréales-protéagineux ; - Association d'espèces : retourd'expérience de la CORAB, coopérative biologique.SOJA POUR L'ALIMENTATION HUMAINE ETANIMALE : - Atouts et contraintes de la productionde soja biologique en France ; - Transformer du sojabiologique : les attentes d'un Fabricant d'Alimentsdu Bétail (FAB) ; - Transformer du soja biologiquepour l'alimentation humaine : témoignage d'un acteurfrançais. BLÉS PANIFIABLES : - Produire du blé biopour répondre à la demande en pain bio : les attentesd'un meunier ; - Impact de l'insertion de légumineusesdans les systèmes de culture et de la fertilisationorganique sur le couple rendement-teneur en protéinesdu grain de blé en AB ; - Analyse de la qualité desvariétés de blé cultivées en AB ; - Du producteur auconsommateur pour développer une filière de pain biolocale : l'exemple de la Provence. Les diaporamasde ces interventions sont en ligne à l'adresse : http://www.itab.asso.fr/publications/colloque-gc2016.php.

    http://www.itab.asso.fr/publications/colloque-gc2016.phpMots clés : ASSOCIATION DE CULTURES / BLE PANIFIABLE /FABRICANT D'ALIMENTS DU BETAIL / RENCONTRETECHNIQUE / ALIMENTATION HUMAINE / MEUNERIE /FILIERE CEREALES / PAIN / QUALITE / ESSAI /TRANSFORMATION / ALIMENTATION DES ANIMAUX /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / FERTILISATION ORGANIQUE /GRANDE CULTURE / CEREALE / BLE / LEGUMINEUSE /MELANGE CEREALES PROTEAGINEUX / LENTILLE /SOJA / FEVEROLE / ASSOCIATION VEGETALE / AZOTE /RECHERCHE / FRANCE / CONSOMMATION2016, 72 p., éd. ITAB (Institut Technique de l'AgricultureBiologique) / ARVALIS - INSTITUT DU VEGETAL

    réf. 229-058 ; Rédaction : ABioDoc

    Scic Graines équitables, dans l'Aude : Ala reconquête des friches viticoles

    POUPEAU Jean-Martial

    La SCIC Graines équitables a été créée en 2014, avecpour objectif de produire des graines à germer surd’anciennes friches viticoles dans l’Aude et l’Héraultsur environ 1500 ha. Son principal client est Germ’line,qui commercialise essentiellement en magasin bio,pour des graines de luzerne, blé tendre, moutardeblanche, orge, avoine et lentilles. Après récolte, les lotsde graines à germer sont triés, stockés et analyséschez un prestataire. Le prix net perçu par l’agriculteurest intéressant si le rendement suit. La luzerne estsemée sous couvert de blé. Après récolte du blé,les céréaliers laissent la luzerne se développer toutl’hiver. Au printemps, la première coupe de luzerneest valorisée en fourrage auprès d’éleveurs grâce àune bourse de fourrages régionale. Après la premièrecoupe, une récolte de graines est effectuée fin juillet.Il est prévu de faire se succéder blé et luzerne unan sur deux. Par solidarité, plusieurs membres de laSCIC mettent également leurs parcelles à dispositiond’éleveurs de moutons locaux, notamment l’automnelorsque les luzernières sont vigoureuses. Les ovinspermettraient aussi d’éliminer les repousses de folle-avoine et la cuscute. Par ailleurs, en plus des grainesà germer, les adhérents de la SCIC produisent dessemences pour couverts végétaux, pour la viticulture etpour l'élevage.

    Mots clés : BOURSE AUX FOURRAGES / GRAINE GERMEE /SOCIETÉ COOPERATIVE D'INTÉRÊT COLLECTIF (SCIC) /COUVERT VEGETAL / ENTREPRISE / TEMOIGNAGE / OVIN /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / ELEVAGE BIOLOGIQUE /GRANDE CULTURE / VITICULTURE / SEMIS SOUS COUVERT /BLE / FOURRAGE / LUZERNE / PATURAGE / FRICHE /PRODUCTION DE SEMENCES / GRAINE A GERMER /PRODUCTION DE GRAINES / CHER / OCCITANIE / AUDEBIOFIL N° 108, 01/11/2016, 3 pages (p. 49-51)

    réf. 229-059 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.itab.asso.fr/publications/colloque-gc2016.php

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 22

    Semis direct sous couvert végétal enagriculture biologique : Conception desystèmes de culture innovants chez lesagriculteurs de Rhône-Alpes

    VINCENT-CABOUD Laura

    En Rhône-Alpes, le semis direct sous couvert végétalen grandes cultures biologiques peut, à certainesconditions, constituer un levier pour améliorer la qualitédes sols. Cependant, son adoption se heurte à desdifficultés techniques, agronomiques et économiques.L’étude réalisée dans le cadre de ce mémoire vise àconcevoir des systèmes de culture innovants intégrantdu semis direct sous couvert végétal et adaptésau contexte d’agriculteurs rhône-alpins orientés engrandes cultures biologiques. Elle repose sur unedémarche prospective du semis direct en AB pour cetterégion. Après un état des lieux des connaissancessur le sujet dans le monde et des méthodes deconception de systèmes de culture, deux approchessont présentées : une étude analytique d'un semisdirect sous couvert dans un contexte rhône-alpin et unedémarche systémique pour co-concevoir des systèmesde culture intégrant du semis direct.

    Mots clés : AUVERGNE-RHONE-ALPES / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / GRANDE CULTURE / SEMIS DIRECT / SEMISSOUS COUVERT / SYSTEME DE CULTURE / QUALITE DESSOLS / ETUDE2016, 106 p., éd. ISARA-LYON

    réf. 229-107 ; Rédaction : ABioDoc

    MARAÎCHAGE

    La patate douce, une production àdécouvrir

    BARGAIN Véronique

    Originaire d'Amérique du Sud, la culture de patate doucevoit sa production se développer en France. Cet articleprésente les principaux points techniques de la conduitede cette culture maraîchère : plantation, besoins enfertilisation, en irrigation, récolte, conservation... Lesprincipales exigences de la culture de la patate douceconcernent les besoins en chaleur et en eau. Assez peusensible aux problèmes phytosanitaires, sa conduite enagriculture biologique est relativement aisée. PhilippeChanson, producteur conventionnel en Loire-Atlantique,témoigne.

    Mots clés : AGRICULTURE CONVENTIONNELLE / CONDUITECULTURALE / PATATE DOUCE / ITINERAIRE TECHNIQUE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / DIVERSIFICATION /IRRIGATION / MARAICHAGE / FRANCEREUSSIR FRUITS ET LEGUMES N° 363, 01/07/2016, 2 pages(p. 52-53)

    réf. 229-016 ; Rédaction : ABioDoc

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    23 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Permaculture : Ni un miracle, ni unearnaque

    PIEL Thérèse

    La permaculture peut se définir de plusieurs façons. Ason origine, deux scientifiques australiens, Bill Mollisonet David Holmgren, proposent, dans les années 1970,une approche holistique visant à mettre en place desstratégies et des techniques permaculturelles pour vivreau sein des limites écologiques dans le contexte dudéclin programmé des énergies fossiles. Aujourd'hui,elle recouvre aussi des principes de conceptionpermettant d'organiser efficacement un cadre pour lamise en place d'une culture permanente. A travers lanotion de design, elle capitalise un ensemble d'idées,d'aptitudes, de modes de vie propres à pourvoir nosbesoins tout en accroissant le capital naturel pour lesgénérations futures. Un des exemples emblématiquesde la permaculture, la Ferme du Bec Hellouin, faitl'objet d'une étude de l'Inra visant à caractériser laviabilité de ce système. Kevin Morel, doctorant à l'Inra,a prolongé ces travaux par une thèse sur les micro-fermes et la permaculture. Il a réalisé des enquêtes sur22 micro-fermes maraîchères biologiques au Nord dela Loire, d'où il ressort de fortes aspirations sociales etécologiques de la part des agriculteurs. Ces aspirationspourraient faire passer ces nouveaux paysans pour dedoux rêveurs. L'échange et le dialogue avec d'autresmaraîchers bio installés depuis plus longtemps sontdéterminants pour l'enrichissement des pratiques del'agriculture biologique et pour permettre à ceux qui sontpeut-être les pionniers de l'agriculture de demain demieux enraciner leurs rêves.

    Mots clés : CONCEPTION / MICRO-FERME / ORIGINE /PERMACULTURE / PRATIQUE AGRICOLE / ETUDE /EXPERIENCE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / MARAICHAGE /PAYSANSYMBIOSE N° 212, 01/05/2016, 2 pages (p. 16-17)

    réf. 229-075 ; Rédaction : ABioDoc

    Phytothérapie en maraîchage : Despratiques applicables à certainesconditions

    CHAUVEL Anne-Laure

    La phytothérapie englobe le soin par les plantesde manière générale : utilisation d’extraits végétauxou encore d’huiles essentielles. Différents typesde préparations existent (purin, décoction, infusion,macération, huile essentielle) et n’ont pas les mêmesmodes d’actions (renforcement et/ou stimulation desplantes, limitation des ravageurs et maladies). Cetarticle répertorie ces préparations et cite quelquesessais intéressants. La réglementation actuelle reste unpoint de blocage pour l’utilisation de ces préparations.Lors des journées de l’ITAB sur les PNPP, le Présidentde l’ITAB a rappelé la nécessité et la volonté de l’ITABde développer les recherches sur ces substances pourfavoriser l’autonomie des paysans.

    Mots clés : DECOCTION / ELICITEUR / MACERATION /PREPARATION A BASE DE PLANTES / PURIN / PURIND'ORTIE / REGLEMENTATION / INFUSION / HUILEESSENTIELLE / ESSAI / PROTECTION DES VEGETAUX /PREPARATION NATURELLE PEU PREOCCUPANTE /MARAICHAGE / AIL / FOUGERE / RECHERCHE /ISOTHERAPIE / PHYTOTHERAPIE / FRANCE / SUISSESYMBIOSE N° 216, 01/10/2016, 3 pages (p. 20-22)

    réf. 229-041 ; Rédaction : ABioDoc

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 24

    Mildiou, variétés résistantes,conservation... : Les défis de la pommede terre

    PELLEQUER Diane

    En 2015, les cultures de pommes de terre biologiquescouvraient plus de 2000 ha, dont un tiers dans dessystèmes maraîchers plutôt destinés aux circuits courtset deux tiers issus de systèmes de production légumiers.Si c'est l'un des premiers légumes cultivés en bio, avecune forte demande de la part des consommateurs, cetteculture n'est pas sans difficultés, et les agriculteursdoivent faire face à plusieurs difficultés majeures,comme la pression des ravageurs et maladies, lemildiou en tête. Si les précipitations sont inférieures à700 mm/an, un recours à l'irrigation doit être envisagé.D'autres conseils en termes de gestion sanitaire de laculture de pommes de terre biologiques sont apportésdans cet article (doses de cuivre, choix des variétés,maîtrise du stockage, etc.).

    Mots clés : CONDITION DE STOCKAGE / CONDUITECULTURALE / CULTURE LEGUMIERE / CONSERVATION /STOCKAGE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE / PROTECTIONDES VEGETAUX / LEGUME DE PLEIN CHAMP /MARAICHAGE / POMME DE TERRE / VARIETE / CUIVRE /MILDIOU / FRANCEBIOFIL N° 108, 01/11/2016, 3 pages (p. 52-54)

    réf. 229-031 ; Rédaction : ABioDoc

    Découvrir le maraîchage bio en Paysde la Loire : Un temps "autrementproductif"

    BONHOMME Pauline

    Un voyage d'étude, organisé en novembre 2016 parl'ARDAB (Association des agriculteurs biologiques duRhône et de la Loire) et le BTM (Bureau techniquedes maraîchers du Rhône), a permis à un groupede 16 maraîchers de Rhône-Alpes de découvrir lesspécificités du maraîchage bio en Pays de la Loire. Desvisites de fermes étaient au programme, mais aussides rencontres avec des experts et des techniciensde structures (GAB Loire Atlantique, Ctifl). Grâce aupartage d'expériences et aux illustrations sur le terrain,certaines idées ont été retenues pour être testées enRhône-Alpes, comme les semis de carottes sablés,les semis directs de mesclun et de mâche, certainesassociations de cultures, l'utilisation de diverses petitestechniques ou petits outils, etc.

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : VOYAGE D'ETUDE / AGRICULTURE BIOLOGIQUE /MARAICHAGE / AUVERGNE-RHONE-ALPES / PAYS-DE-LA-LOIRELA LUCIOLE N° 11, 01/05/2016, 2 pages (p. 6-7)

    réf. 229-087 ; Rédaction : ABioDoc

    Une ferme maraîchère dans une fermelaitière

    DUGAS Samuel / LERAY Aurélien

    En Mayenne, les deux frères de la famille Guihery, Jean-François et Pierre, se sont installés comme maraîcherssur la ferme laitière de leurs parents, Bernard etJacqueline. Cet article décrit le processus de cetteinstallation originale, sur 2500 m² initialement et jusqu'àprès de 4 ha en 2016. Pour accompagner au mieuxle projet de leurs fils, initié par Jean-François, l'aîné,Bernard et Jacqueline ont converti petit à petit toutesleurs terres en propriété à l'agriculture biologique.Le GAEC maraîcher, outre les deux frères associés,emploie quatre salariés. Les légumes sont vendus endirect (Amap, marchés, magasin à la ferme) et enmagasins bio.

    Mots clés : INSTALLATION AGRICOLE / VENTE DIRECTE /ELEVAGE LAITIER / TEMOIGNAGE / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / CONVERSION / MARAICHAGE / PAYS-DE-LA-LOIRE / MAYENNE / TRANSMISSION D'EXPLOITATION /FONCIER / RELATION ÉLEVEUR MARAÎCHERECHO DU CEDAPA (L') N° 126, 01/09/2016, 2 pages (p. 10-11)

    réf. 229-118 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.corabio.org/index.php/telechargements

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    25 Biopresse 229 - Janvier 2017

    Améliorer l'ergonomie en maraîchagec'est possible !

    LETTRE FILIÈRES FNAB - LÉGUMES

    L'article présente quelques pistes pour améliorerl'ergonomie au travail en maraîchage biologique,en particulier pour mieux gérer la pénibilitédes tâches physiques répétitives : corriger sespostures, réapprendre les bons gestes, adapter sonenvironnement (réglage de la hauteur du plan de travailou du siège...), adapter ses outils de travail... sansoublier que ménager une phase de récupération aprèsl'effort permet aussi d'atténuer les risques.

    http://www.fnab.org/index.php/component/content/article/766-decouvrez-nos-nouvelles-lettres-filieresnMots clés : CONFORT / CONDITION DE TRAVAIL /AUTOCONSTRUCTION / TRAVAIL EN AGRICULTURE /MARAICHAGE / SANTE / FRANCE / DIMENSION SOCIALELETTRE FILIÈRES FNAB - LÉGUMES N° 7, 01/06/2016, 2 pages(p. 1-2)

    réf. 229-108 ; Rédaction : ABioDoc

    La patate douce bio : un nouveaulégume à planter fin mai-début juin

    LETTRE FILIÈRES FNAB - LÉGUMES

    La culture de la patate douce bio en France est enplein développement et le marché s'avère attractif pourune production relocalisée, au vu d'une consommationen hausse et des 15 000 tonnes importées par an(en grande partie en provenance d'Espagne). Lesopérateurs de la filière bio ont, depuis 2 ans, initié despartenariats avec des producteurs pour des plantationsen Roussillon et dans le Sud-Ouest. Une fortedemande est également constatée en circuits courtsbio dans certaines régions. Habituellement pratiquée enEspagne et au Portugal pour ce qui est des pays voisins,cette production a pu prendre place dans le Sud de laFrance après quelques années d'essais. Les stationsbio du réseau ITAB se sont mobilisées pour acquérir desréférences. L'itinéraire technique optimal reste encoreà préciser, mais un certain nombre d'indications sedégagent : préférence pour un sol léger, culture surbuttes hautes et étroites, irrigation en goutte à gouttesous paillage...

    http://www.fnab.org/index.php/component/content/article/766-decouvrez-nos-nouvelles-lettres-filieresnMots clés : PATATE DOUCE / REFERENCE TECHNIQUE /RELOCALISATION / SUD FRANCE / FILIERE FRUITS ETLEGUMES / ITINERAIRE TECHNIQUE / ESSAI / AGRICULTUREBIOLOGIQUE / MARAICHAGE / LEGUME / CONSOMMATIONLETTRE FILIÈRES FNAB - LÉGUMES N° 7, 01/06/2016, 2 pages(p. 4-5)

    réf. 229-110 ; Rédaction : ABioDoc

    PLANTES AROMATIQUES ETMÉDICINALES

    Plantes à Parfum, Aromatiques etMédicinales : L'Herbier du Diois innovedans le séchage des PPAM

    WRIGHT Julia

    L'histoire de l'Herbier du Diois (26) a commencé dansles années 1970. Pionnière dans le domaine desPPAM, l'entreprise compte aujourd'hui 43 salariés. Ellecultive une quinzaine d'ha de PPAM bio (EARL dela Croix) et travaille environ 350 variétés de plantes,grâce à la collaboration de producteurs partenaires. Ily a 4 ans, l'entreprise s'est lancée dans la conceptiond'un nouveau séchoir, plus volumineux et disposantde caractéristiques techniques novatrices. Grâce àl'appui d'un bureau d'études et en s'inspirant d'autresexpériences, un nouveau concept de séchoir a vu lejour. Composé de caissons en inox, il fonctionne endéshumidifiant l'air (température autour de 30-40°C),tout en étant très économe en énergie et en produisantun séchage de qualité. Ce séchoir devrait égalementpermettre de passer de 10 tonnes à 30 tonnes deplantes séchées en 2016, puis à 100 tonnes d'ici 2 à3 ans.

    http://www.corabio.org/index.php/telechargementsMots clés : SECHOIR / SECHAGE / ECONOMIED'ENERGIE / ENTREPRISE / INNOVATION TECHNIQUE /AGRICULTURE BIOLOGIQUE / MATERIEL AGRICOLE /PLANTE AROMATIQUE ET MEDICINALE / DROMELA LUCIOLE N° 11, 01/05/2016, 2 pages (p. 10-11)

    réf. 229-089 ; Rédaction : ABioDoc

    http://www.fnab.org/index.php/component/content/article/766-decouvrez-nos-nouvelles-lettres-filieresnhttp://www.fnab.org/index.php/component/content/article/766-decouvrez-nos-nouvelles-lettres-filieresnhttp://www.fnab.org/index.php/component/content/article/766-decouvrez-nos-nouvelles-lettres-filieresnhttp://www.fnab.org/index.php/component/content/article/766-decouvrez-nos-nouvelles-lettres-filieresnhttp://www.corabio.org/index.php/telechargements

  • PRODUCTIONS VÉGÉTALES

    Biopresse 229 - Janvier 2017 26

    PROTECTIONPHYTOSANITAIRE

    Protection d