RENCONTRE P. 5 REGARD P. 12 PRATIQUE P. 15 à … · Père Olivier de Scitivaux et Marie-Christiane Guénon (Cléry), Jean-Philippe Gabelotaud ... Bernard Rouilly • Publicité :

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DOSSIER

Initiatives

SPIRITUALITÉMissionnaires du Sacré Cœur,Missionnaires de l’Amour auservice du secteur Ouest

■ RENCONTRE P. 5Avec le vicaire général à l’occasion du synode

■ REGARD P. 12Choisir son activitéde rentrée

■ PRATIQUE P. 15Inscriptions pour éveil à la foi, catéchèse et aumônerie

Vent d’OuestNO86 ❚ Septembre 2017 ❙ 2 E

JOURNAL DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE • ARDON – BUCY-SAINT-LIPHARD – CHAINGY – CLÉRY-SAINT-ANDRÉ – DRY – INGRÉ – JOUY-LE-POTIER – LA CHAPELLE SAINT-MESMIN – LIGNY-LE-RIBAULT – MAREAU-AUX-PRÉS –

MÉZIÈRES-LEZ-CLERY – ORMES – SAINT-AY – SAINT-JEAN-DE-LA-RUELLE

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D ’ U N E R I V E À L’ A U T R E

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D ’ U N e r I V e À L ’ A U t r e r e N C O N t r e D O S S I e r e N G A G É S p I r I t U A L I t É I N F O S p r A t I Q U e S C A r N e t p r I È r e

Journal catholique des paroisses des secteurs ouest d’Orléans et Cléry-Portes de Sologne • Rédaction et administration : “ Association Les Quatre Vents ” - 25, rue du Parc - 45 380 La Chapelle-Saint-Mesmin • directeur de la publication : Marie-Denise Pellé • Comité de rédaction : Père Olivier de Scitivaux et Marie-Christiane Guénon (Cléry), Jean-Philippe Gabelotaud (Saint-Ay), Andrée Javoy et Denise Faucheux (Mareau-aux-Prés), Marie-Denise Pellé (Ormes).• Responsable de la distribution : Bernard Rouilly • Publicité : Bayard Service Édition Île-de-France - Centre • 18 rue Barbès - 92 128 Montrouge Cedex - Tél. 01 74 31 74 10 • Édition et mise en page : Bayard Service Édition Centre ouest. Secrétaire de rédaction : Jean-Noël Desoulle. • Impression : Prévost Offset (45 Saint-Jean-de-la-Ruelle) - Tél. 02 38 54 44 89 • Tirage : 24 750 exemplaires • ISSN : 1269-5696 • Dépôt légal : à parution.Vent d’Ouest est distribué gratuitement dans les Communes du doyenné ouest d’Orléans et du groupement de Cléry. Pour aider au développement du journal : CCP “Les 4 Vents du Secteur Ouest” - 3059-99Y La Source (avec mention Vent d’Ouest). N’hésitez pas à nous faire part de vos réactions, en vous adressant aux personnes du Comité de rédaction, ou en écrivant à l’Association des Quatre Vents (Courrier des lecteurs de Vent d’Ouest), adresse ci-dessus, ou par e-mail : [email protected] ou [email protected]

ÉditorialPourquoi recevez-vous Vent d’Ouest 4 fois par andans votre boîte aux lettres ?

Il y a maintenant plus de 21 ans que Vent d’Ouest existe, et 3 ans que les paroisses du groupement de Cléry-Portes de Sologne ont rejoint l’aventure initiée par les paroisses du

“Secteur Ouest d’Orléans” ! Aux commandes, une petite équipe de bénévoles qui, chaque tri-mestre, ont le désir de vous rejoindre afin de vous faire partager ce qui fait vivre l’Église catholique et les “cathos” du coin !En fait, un chrétien, et je pense que mes frères chrétiens appartenant à d’autres Églises que la nôtre ont la même vision de choses, c’est quelqu’un qui ne cesse d’entendre saint Luc (Lc 10, 1…20) nous rappeler que Jésus nous envoie en mission, jamais seul, mais toujours au moins deux par deux… En mission, cela veut dire à la rencontre des autres. Et comme on ne peut pas se permettre d’aller sonner à votre porte au risque de vous déranger, on a choisi ce moyen d’un journal distribué gratuitement chez vous.Cette “INITIATIVE” est peut-être surprenante, mais, malgré son coût économique certain, nous osons croire qu’elle permet à un grand nombre d’entre vous de ne pas se sentir coupés de la vie de notre Église lorsqu’elle porte un regard d’Évangile sur les initiatives des habitants de nos 14 communes. Et si vous preniez l’initiative de nous lire et pour-quoi pas de rejoindre l’équipe ? Bonne rentrée ! ■

Père Olivier de Scitivaux

A la basilique de Cléry Festival Marial, sur le thème “Marie au pied de la Croix”, tout le mois de septembre.Le Grand Chœur de Cléry, le Petit Chœur d’enfants et l’Or-chestre du Chapi t re inter -p rè te ron t “S taba t Ma te r ” , les vendredi 29 et samedi 30 sep-tembre, à 20 h 30. Billetterie : 06 29 27 96 13 ou [email protected]. Tarif : 15€ (5€ jusqu’à 14 ans).

En décembre, le diocèse d’Orléans organisera la

saison 2 de “Top Crèche”, un concours de crèches de Noël. Le thème retenu sera “Le Climat” !Informations et inscriptions :

topcreche.LeConcours ou écrire à [email protected]’année dernière, pour le secteur Ouest, la paroisse de Chaingy avait participé au concours.

La nouvelle saison de “Top Crèche”

Le 22 août 1944, remon-tant d’Oradour-sur-Glane,

la division SS “das Reich” fit escale à Ligny-le-Ribault. Elle rassembla les habitants de la commune dans l’église, tandis que quelques-uns réussissaient à s’enfuir. Ceux-là furent rattra-pés et fusillés, tandis que ceux

de l’église, après beaucoup de crainte et d’angoisses furent libérés. Le 22 août 2017, à l’initiative de la mairie, une plaque com-mémorative fut inaugurée dans l’église en présence du père Olivier de Scitivaux, curé de la paroisse.

Le 22 août… Une triste date pour Ligny-le-Ribault


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D ’ U N e r I V e À L ’ A U t r e r e N C O N t r e D O S S I e r D É b A t S p I r I t U A L I t É C A r N e t D É t e N t e - p r A t I Q U e p r I È r e

Parodiant une célèbre collec-tion de livres, une émission

de radio “Église pour les nuls” tente d’expliciter, chaque jour, de 12 h 25 à 12 h 30 sur RCF (91,2 FM), différents aspects de la vie de l’Église pas toujours compréhen-sibles par tous !Avec bonne humeur et humour, les chroniqueurs de cette émis-sion prennent l’initiative de faire avancer l’annonce de l’Évangile en utilisant les ondes de la radio, mais aussi, maintenant, celles des podcast sur Internet !

Marie Havet, assistante pastorale pour le groupement de Cléry-Portes de Sologne.À partir du début du mois de sep-tembre, elle participera à la vita-

lité missionnaire du Groupement. Elle a été, douze années durant, au service de l’aumônerie de l’Enseignement Public du Sud de l’Agglo d’Orléans,

et au service des paroisses du Groupement “Rives Loiret” (Olivet, Saint-Pryvé, Saint-Hilaire).Ses premières missions seront d’organiser une équipe d’accueil au presbytère, de coordonner la pastorale des enfants et des jeunes, d’envisager l’accompagnement des familles en deuil et des funérailles.

Ségolène Wedrychoswski de Pinieux, responsable de l’aumô-nerie Képhas d’IngréEgalement à partir de la rentrée, elle prendra la responsabilité de l’aumô-nerie, par suite du départ d’Isabelle Fouché appe-lée à une autre mission diocésaine.Âgée de 26 ans, titu-laire d’une licence de l’art, maman d’un petit Ambroise de deux ans, demeurant à Orléans, elle va au cours de cette première année découvrir sa mission au service des jeunes, des animateurs et anima-trices. “Je ne veux pas bousculer ce qui est en place, mais j’espère bien y mettre ma marque. J’ai hâte des belles rencontres qui m’attendent”, dit-elle.

Bienvenues à elles deux.

Église pour les nuls…

Mieux accueillir pour mieux servir

Un tableau de l’Annonciation à l’église d’IngréUne quarantaine de personnes étaient présentes pour l’inauguration du tableau représentant l’Annonciation de Leonard de Vinci le 30 juin dernier, à l’église d’Ingré. Placé dans la chapelle de la Vierge, il a été offert à la commune par l’Atelier Phosphène, une très belle reproduction collective. Pour étoffer l’événement, une exposition d’une douzaine de reproductions d’Annonciation, prêtée par la paroisse de Cléry-Saint-André, avait été disposée dans l’église. Les personnes ont pu prendre le temps de découvrir l’église dans l’ambiance chaleureuse de la Nuit des Eglises et de partager une collation offerte par les paroissiens.

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60 ans pour l’ESO Ormes Basket

Être sexagénaire et afficher une grande vitalité, tel est le cas de

l’ES Ormes Basket qui a fêté tout au long de l’année cet anniver-saire en organisant match de gala, rencontres sportives et amicales. Le club ayant été créé par l’abbé Courtial et quelques parents, l’équipe dirigeante a souhaité rendre hommage à la mémoire de toutes celles et ceux qui avaient œuvré durant toutes ces années en s’associant à la messe parois-siale du dimanche 18 juin.Aujourd’hui, fort de 300 licen-ciés encadrés par de nombreux parents et bénévoles, valeurs sportives, humaines, amicales et éducatives caractérisent toujours le club.


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Marie-Bernadette n’a pas été baptisée bébé et c’est à l’âge adulte, après avoir terminé ses études (licence en droit et master en sciences politiques) qu’elle a concrétisé

ce désir d’enfance. Très encouragée et épaulée par ses parents, elle est entrée en catéchuménat. Pendant trois ans, elle a cheminé avec toute une équipe, dans le désir de connaître et suivre le Christ, tout en rendant des ser-vices dans les paroisses du secteur Ouest.

Ce besoin “d’aller plus loin”C’est à Lourdes, au pèlerinage Amicitia, où fraternité avec les malades rime avec service, qu’elle a commencé

à ressentir ce besoin “d’aller plus loin”. L’humilité, la sim-plicité et la confiance de Bernadette, sa dévotion à Marie l’ont tellement bouleversée qu’elle a décidé d’être bap-tisée sous le nom de Marie-Bernadette.Les sacrements du baptême et de l’eucharistie qu’elle a reçus à Pâques 2016 ont renforcé ses sentiments et c’est tout naturellement qu’elle s’est préparée à la confirmation. Son souhait de mener une vie chrétienne, de se tourner vers l’Évangile et de cheminer à la suite du Christ s’est approfondi. “En ce qui me concerne, la vie chrétienne est une joie et progressivement la beauté et la grandeur de l’Église m’ont envahie. J’y ai alors senti les prémices d’un engagement fort et un besoin d’aller plus avant sur le chemin du service à la suite du Christ. Afin de faire germer ce désir qui grandissait en moi, j’ai accompagné pendant plusieurs mois “Les Petites Sœurs des Pauvres” à Orléans, tant auprès des personnes âgées qu’en partageant la vie de leur communauté”, confiait-elle à Vent d’Ouest avant son départ pour le Carmel de Limoges.Marie-Bernadette y est entrée comme postulante au cours du mois de juillet. Pendant cette première année, celle du discernement, sous la protection, l’accompa-gnement et l’aide de la maîtresse des novices, elle va partager la vie de cette communauté constituée de reli-gieuses de tout âge. “C’est, dit-elle, une première étape importante, un cheminement dans la voie où je m’engage à servir humblement là où le Christ m’appellera”. ■

Marie-Denise Pellé

Répondre humblementAprès avoir cheminé en catéchumenat, Marie-Bernardette a reçu le baptême. Son désir de suivre le Christ s’est approfondi. Elle vient d’entrer au carmel comme postulante.

La bible offerte à Marie-Bernadette accompagnera aussi sa prière.

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Les vacances sont mainte-nant terminées. Pour la plu-part d’entre nous, la période de repos estival est finie et

nous avons décidé de nous enga-ger dans plein d’activités nouvelles pour agrémenter le travail de l’an-née qui commence.C’est le moment de nous inscrire, ou réinscrire, dans les clubs de sports ou de gymnastique, de reprendre des activités artistiques : chorale, théâtre ou dessin, et pour certains de renouer avec des obligations politiques ou syndicales.Tout ceci est fort louable et néces-saire à l’équilibre physique et intel-lectuel de chacun. Mais, le troisième pilier, le spirituel, est très souvent oublié. C’est pourtant lui qui assure la parfaite stabilité de l’ensemble. La philosophie, la religion sont des pierres indispensables à la construc-tion de l’être humain.Dans un monde secoué par les

conflits, les famines, les peurs, face à une société où le “chacun pour soi” est de règle, où le “tout, tout de suite” prédomine, force est de constater que le message de paix et d’espoir que renferme l’Évangile reste malheureusement bien sou-vent inaudible.Le désintérêt pour ce qui est reli-gieux ou apparenté, quand ce n’est pas son rejet pur et simple, nous montre que l’annonce de la “Bonne Nouvelle”, comme il y a 30 ou 40 ans, est inefficace.La conclusion qui s’impose est que ces pratiques ne sont plus adaptées à notre monde et que nous devons changer nos habitudes, mais com-ment ? C’est là le sens et le but du “Synode” auquel Mgr Blaquart demande à tous, catholiques ou non, de participer. Synode signifie, marcher ensemble. C’est donc un

appel pour vivre des rencontres. Oser sortir de nos églises et de nos petits groupes d’habitués, pour aller au devant des autres et partager avec eux leurs joies, leurs peines, leurs questions, leurs soucis et leurs souffrances.Rechercher ce qu’attendent les plus fragiles : jeunes, personnes isolées, blessés de la vie, étrangers. Tenter de comprendre comment l’Église peut devenir pour chacun signe d’union et d’espérance.Vaste programme de remise en question dans lequel les chrétiens sont appelés à porter et à faire rayonner autour d’eux la joie et la lumière de l’Évangile. Sortir de notre train-train, bouger et aller à la rencontre des autres, voilà le chal-lenge qui nous est proposé. ■

Jean-Philippe Gabelotaud

Le temps est venu de se bougerVent d’Ouest a rencontré le père Philippe Gauthier, vicaire général, pour comprendre le pourquoi et le comment du Synode auquel Mgr Jacques Blaquart nous convie.

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InitiativesUn bien vaste programme que Vent d’Ouest vous propose très partiellement dans ce numéro de rentrée ! Bien des initiatives, qu’elles soient individuelles ou collectives, heureuses ou malheureuses, obligent à franchir de nombreux obstacles, de s’engager dans de nouvelles responsabilités, d’aller à la rencontre des autres, de se surpasser en faisant preuve d’audace, de créativité, de partage, de découverte.

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Initiatives en tous genres comme service et bénévolat auprès des malades à Lourdes (page de couverture) ou de se faire plaisir en donnant de la joie en chantant.

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Être bénévole, c’est répondre à un appel. C’est ainsi que René, dont l’épouse a été diagnostiqué Parkinson il y a

cinq ans, est devenu délégué de l’as-sociation pour le Loiret, mais égale-ment parce que dit-il, “nous étions le couple encore le moins touché par la maladie”.Geneviève, son épouse, confie : “Ce sont mes frères du ‘’chemin Parkinson’’, c’est-à-dire mes com-pagnons de galère qui nous aident, soutiennent et encouragent dans cette mission. Nous invitons chaque mois,

malades et aidants, à une rencontre. En effet, bien souvent, le malade a peur du regard des autres et s’enferme dans un état dépressif, symptôme reconnu de la pathologie. Dans toutes ces ren-contres, nous nous efforçons d’être à l’écoute, d’échanger des petits gestes qui améliorent le quotidien, de faire l’apprentissage du “vivre avec”. Notre rôle est de tenter d’apporter de la fraî-cheur et du dynamisme à tous ceux qui souffrent dans leur corps et dans leur cœur, par exemple en s’émerveil-lant du changement de saison, à vivre pleinement le moment présent, et sur-

tout mettre du positif dans leur vie.” Cet engagement trouve aussi son écho dans notre prière pour toutes ces personnes que nous côtoyons. “Ce que vous ferez aux plus petits d’entre les miens, c’est à moi que vous le ferez». (Matthieu 25/40) Dieu nous a appelés à vivre avec ceux qui nous entourent, ceux qu’il place sur notre route et à nous mettre à leur service. Ainsi nos existences ne seront pas une assurance contre la douleur mais une assurance vie dans l’amour. ■

Recueilli par M.-D. Pellé

Dans la famille rêvée, le partage apparaît à tous moments. Maintenant, les jeunes pères

sont fiers d’assumer les soins à la petite enfance, au ménage, à la cuisine. Les mères, très souvent travaillant à l’extérieur, apprécient le partage des tâches et respon-sabilités. Les enfants, encouragés par leurs parents, entrent dans le

service rendu : dresser et desser-vir la table, ranger les vêtements, chaussures et jeux divers… C’est autour de plats préparés et cuisinés en commun (peler, découper, laver, essorer, pétrir) que l’on se retrouve et s’exprime… Si le goût n’est pas satisfaisant, la “faute” n’incombe pas à la seule maîtresse de maison !Tout naturellement les marques de tendresse réciproques se mani-festent : câlins et bisous, œillades complices ponctuent les départs et les retours à la maison. Si l’un rit,

son bonheur se communique à l’en-semble. Quant aux moments diffi-ciles qui ne sauraient les épargner, les bras accueillants des membres de la famille s’ouvrent pour adoucir le cœur souffrant. Les petits bobos s’évanouissent sur les genoux avec un gros baiser… Pour les peines cruelles qui voient les larmes jail-lir en flot, une oreille attentive recueille l’expression de la contra-riété, l’écoute devient partage et l’empathie apaise la souffrance.Ces considérations trouvent aussi leur écho dans les cercles d’ami-tié : soutien dans les difficultés des uns et des autres, reconnaissance de leurs erreurs, de leurs oublis, de leur ignorance parfois compréhen-sion mutuelle et soulagement par l’aide et les conseils de l’entourage ; elles permettent l’harmonie dans notre société. Que de sérénité nous serait accordée si nous atteignions cet idéal humain ! ■ Denise Faucheux et Andrée Javoy

Au service de…

Partager...

Localement, l’association “France Parkinson” apporte soutien, accompagnement et informations aux malades et à leurs aidants et favorise la recherche au plan national.

Le partage, un mot couramment utilisé dans la vie quotidienne : action de partager, de diviser, de repartir pour que chacun ait sa part… partager ses idées, être partagé entre la joie et l’inquiétude, se partager en petits groupes pour reflechir, faire part de quelque chose a quelqu’un…

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CONTACTAssociation France Parkinson(reconnue d’utilité publique).Délégation départementale :[email protected] 99 75 28 40.

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D ’ U N e r I V e À L ’ A U t r e r e N C O N t r e D O S S I e r e N G A G É S p I r I t U A L I t É I N F O S p r A t I Q U e S C A r N e t p r I È r e ■

Ami(e)s des mots, du verbe, de la poésie, des lettres, des gens, des fleurs, nous nous retrou-vons deux fois par mois à l’UTL (Université du Temps Libre - https ://www.univ-orleans.fr/utl),

pour écrire et ensuite savourer les merveilles de chacun et chacune. L’animatrice que je suis, propose des exer-cices, des sujets, des jeux d’écriture qui sont des déclen-cheurs d’idées. Nous démarrons chaque séance de deux heures, par dix minutes d’exercices d’échauffement. La contrainte oblige à se concentrer pour écrire un texte court soit avec beaucoup de préfixes, soit la lettre “L”,

soit une anaphore(1). Puis ce sont deux sujets au choix :- Dialogue dans un musée entre deux tableaux : “La femme” de Picasso et “La laitière” de Vermeer,ou/et “Si Jeanne d’arc n’avait pas libéré Orléans” ou “Je suis une toile d’araignée”.Après les hésitations, les questionnements, l’inspira-tion vient, les crayons se mettent à courir sur la feuille blanche, des signes noircissent les pages, un grand silence pendant vingt minutes ; les idées jaillissent, s’or-ganisent pour former un texte personnel, inédit, spon-tané. Nous ne sommes pas à l’école pour une rédaction notée mais laissons libre cours à l’expression d’un vécu, à l’imaginaire, à la poésie, aux émotions, aux secrets.Lors de la lecture individuelle à voix haute de chaque texte, c’est une merveille de déguster, sans commen-taire, les pépites de chacun. Mais d’où viennent ces associations d’idées ? Comment a-t-elle pu trouver ça ? C’est magnifique. “Une poignée de mots, frottez les, tor-dez les” à partir d’un même sujet, que de chemins dif-férents. Nous terminons par des jeux de proverbes à réinventer, des haïkus(2). Pourquoi ce plaisir d’écrire ensemble ? Pour partager des moments de créativité libre, de vérité personnelle, parfois intime et émouvante selon l’humeur du jour. Nous partageons entre nous, nos mots, nos sentiments, nos rêves. ■

Bernadette Lefevre-Dufour

(1) Une anaphore : reprise du même mot au début de phrases successives.

(2) Haïkus : forme de poésie japonaise, très concise (17 syllabes en trois vers).

“Magie des jeux de mots et merveilles de l’imaginaire”

“Prenez un mot, prenez-en deuxFaites-les cuir’comme des œufsPrenez un petit bout de sensPuis un grand bout d’innocenceFaites chauffer à petit feuAu petit feu de la techniqueVersez la sauce énigmatiqueSaupoudrez de quelques étoilesPoivrez et puis mettez les voiles…” Raymond queneau

Concentrés et appliqués dans l’exercice.

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Impliquée dans le soutien aux jeunes du Point Accueil Jeunesse (PAJ) de Saint-Ay, c’est tout naturellement qu’elle s’est souciée d’associer aux équipes exis-tantes, les enfants en difficulté de l’association “La

Vie au Grand Air” venus s’installer à Saint-Ay.Tous sont invités à participer à des activités sportives ou ludiques et aux moments forts de l’année : nettoyage du bord de la Loire, collecte pour la Banque alimentaire, service de table au repas et goûter des aînés, visites aux personnes seules et âgées. Le grand moment festif de la saison restant la Boom du carnaval. Ces actions volontairement partagées ont un effet bénéfique pour tous. Elles créent un esprit d’équipe et d’entraide, et des liens amicaux se tissent entre les jeunes et ceux qui les accompagnent. Dimanche 24 juin, la “journée de l’ami-tié” avait pour thème “l’aventure”. A cette occasion, 56

jeunes de Saint-Ay et de six autres communes des envi-rons ont constitué des équipes qui se sont affrontées dans diverses épreuves : descente en canoë de Saint-Ay à Beaugency et retour en VTT par le bord de Loire, avec un quiz sur les lieux traversés pour souffler un peu. A l’arrivée, parcours d’agilité et tir à l’arc. Après le dîner, chacun est reparti avec un prix, les yeux pleins de joie, le souvenir de rencontres supers ou l’espoir d’une nou-velle amitié, prêts à recommencer. Une journée fatigante pour tous, particulièrement pour les bénévoles qui pendant plusieurs mois ont travaillé à sa mise en œuvre. Des rires, des sourires et des mercis. La plus belle des récompenses pour tous les bénévoles. ■

Propos recueillis par J.-Ph. Gabelotaud

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Quarante-huit élèves ont pu visiter quelques-uns des monuments les plus importants de Rome, de Pompéi et du Vatican. La fatigue et la chaleur les ont éprouvés mais la curiosité

et l’émerveillement ont fait leur œuvre : “J’ai beaucoup aimé les paysages et le fait qu’il reste des monuments du passé encore intacts”, déclare une élève de quatrième. Certains ont également été sensibles à tout ce que peut encore révéler ce qui a été, a priori, détruit : “Ce qui m’a surprise, c’est de découvrir le nombre de choses que l’on peut apprendre avec seulement des ruines”, confie une autre latiniste.Et le dépaysement en lui-même ? Là encore, les collé-giens ont fait preuve d’une ouverture d’esprit et d’une bonne volonté remarquables. En fait, la plupart d’entre

eux ont évoqué la difficulté de communiquer, mais pour finalement prendre plaisir à découvrir d’autres moyens d’échanger : “C’était compliqué mais on finit toujours par se comprendre”, explique une élève. Une autre lati-niste ajoute : “J’ai adoré entendre une autre langue, le fait de voir une culture différente de la nôtre.” Certains ont même analysé cette “barrière” de manière extrême-ment humaine et positive : “Je pense que comme nous étions des étrangers, les personnes venaient plus facile-ment nous parler, sûrement pour faire une petite décou-verte sur notre culture.”Enfin, beaucoup d’entre eux se sont surpris à songer, en particulier à Pompéi, à ce que notre civilisation devien-drait dans le futur. Un autre jeune s’exprime à ce sujet : “Dans les ruines de Pompéi, avec des amis, on discutait afin de savoir si notre civilisation serait étudiée un jour. (…) On veut toujours laisser notre trace : rien qu’avec Internet, notre civilisation reste conservée.” Bien sûr, cela prête à réflexion.“C’est un sujet sur lequel il faut méditer”, déclare l’un de ses camarades.Leur regard, à son tour, est instructif… ■

Myriam

Du 29 mai au 3 juin, les latinistes du collège Nelson Mandela (Saint-Ay) ont découvert l’Italie dans le cadre d’un voyage scolaire organisé par leurs professeurs d’histoire-géographie et de langues anciennes.

“Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage”

L’Arc de Vespasien, une fresque historique de 2000 ans.

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Depuis plus de dix-sept ans, Danielle, consacre une grande partie de son temps auprès des jeunes de Saint-Ay. Elle les accompagne sur le dur chemin de l’adolescence, leur faisant découvrir l’effort et la solidarité.

Une belle journée d’aventure et d’amitié.

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D ’ U N e r I V e À L ’ A U t r e r e N C O N t r e D O S S I e r e N G A G É S p I r I t U A L I t É I N F O S p r A t I Q U e S C A r N e t p r I È r e ■

Il est toujours frustrant, lorsqu’on désire prendre des décisions pour le bien commun, de se trouver confronté à certaines barrières

humaines qui, au nom des “on n’a jamais fait cela” ou “on a toujours fait ainsi” finissent non seulement par bloquer une initiative, mais aussi par tendre la relation entre

des hommes et des femmes, de bonne volonté, mais qui finissent par ne plus se parler… Nous avons tous, à un moment ou à un autre de notre existence, rencontré de ces situations qui, pour éviter de man-quer à la charité, nous font entrer dans un “non-dit” encore pire ! Il y a parfois de ces situations qui durent

tellement longtemps qu’on n’en connaît plus les causes, mais que l’on sait que, de génération en géné-ration, on ne se parle plus !Il faut savoir que tout engagement suscite à la fois des approbations, mais aussi des incompréhensions ou des rejets. À ce titre, nous ne pouvons pas nous permettre de ne plus prendre d’initiatives, au risque de déplaire ! D’ailleurs, agissons-nous pour plaire ou pour rechercher une amélioration au profit du bien commun ? S’il y a parfois besoin de conserver du courage afin de pour-suivre le chemin, il ne nous faut cependant pas œuvrer en abandon-nant ceux n’étaient pas d’accord !Tout d’abord, il y a la reprise d’un dialogue constructif, respectueux, sachant distinguer les personnes des projets… On peut ne pas être d’accord sur des projets, mais on doit toujours respecter l’homme ou la femme qui le conduit ! Et puis, il y a nécessité de savoir amender nos projets, pour leur permettre de deve-nir les plus unanimes possibles… Au prix, sûrement, de quelques renon-cements de part et d’autre ! On ne peut pas toujours demander qu’aux autres de renoncer ! Il est impor-tant de savoir fédérer, rassembler ! Enfin, lorsque la relation humaine a été blessée, il faut savoir poser des actes de réconciliation, pas d’oubli, mais de reconstruction ! ■

Père Olivier de Scitivaux

ReconstruireJe me souviens de ce vieux prêtre, professeur au temps de mon séminaire, nous rappelant sans cesse que “là ou il y a de l’homme, il y a de l’hommerie !” Il voulait ainsi signifier que nous ne serions jamais à l’abri des questions qui “pourrissent” trop souvent les relations qui nous unissent ! Depuis 28 ans, j’ai essayé de ne jamais oublier son conseil.

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L’une des grandes particularités de notre pays, c’est l’existence de près de 36 000 communes, maillant ainsi l’espace géographique en privi-légiant la proximité avec la population. Cela

permet d’élire, le plus souvent possible, des personnes que l’on connaît, dont on sait quelles sont leurs capaci-tés… Cela est encore plus vérifiable dans les communes rurales. L’actuel regroupement de communes, la consti-tution de nouvelles communautés de communes ne doit pas se faire au détriment de cette proximité ! Bien souvent, malheureusement, les forces vives viennent à manquer, et il est de plus en plus difficile de constituer des listes de personnes complémentaires et capables de travailler ensemble pour le bien de tous.Le tempérament français est ainsi fait que l’on est tou-jours plus rapide à critiquer, à reprocher qu’à s’engager ! Il semblerait même que soit devenu une sorte de sport national de considérer toute sorte d’engagement poli-

tique comme étant une source probable de corruption… Ce serait oublier que l’immense majorité des élus sont avant tout des hommes et des femmes intègres, bien même si nous ne partageons pas toujours leurs opinions politiques, et toujours plus préoccupés de la recherche du bien public que de l’intérêt personnel.Que ce billet soit une sorte de remerciement aux maires, conseillers municipaux et départementaux, députés et autres parlementaires qui dans ces paroisses que je pré-tends connaître, sont toujours attentifs aux relations que nous entretenons. ■ Père Olivier de Scitivaux

Être élu, c’est agir au nom de tous

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C’est le thème de cette année de la journée diocésaine proposée aux élus. Ce temps de réflexion, de rencontre, de prière, de ressource-ment, d’écoute et de débat respec-tueux dans la diversité des opinions, sans jugement, permet un partage constructif des initiatives, des diffi-

cultés, des expériences. Tout enga-gement au service des autres est au cœur de la vie d’un chrétien. Cette rencontre témoigne de la reconnais-sance de la valeur des engagements pris, en lien avec l’attention du dio-cèse à la vie publique. Avec le père Evêque, tous les élus sont invités à

cette journée, préparée par des élus, le samedi 18 novembre de 9h30 à 16h30, à Saint-Benoît-sur-Loire.

Jean-François Hodeau, diacre permanent

Pour toutes informations : www.orleans.catholique.fr/

Dans une démocratie, telle la France, des hommes et des femmes sont appelés à exercer une responsabilité locale ou nationale. La plupart d’entre eux sont élus, d’autres sont nommés. Beaucoup sont bénévoles, parfois indemnisés…

L’Hôtel départemental du Loiret à Orléans.

PRENDRE SOIN DE L’HUMAIN : UNE RESPONSABILITÉ POUR L’ÉLU ET LA COLLECTIVITÉ

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D ’ U N e r I V e À L ’ A U t r e r e N C O N t r e D O S S I e r r e G A r D S p I r I t U A L I t É I N F O S p r A t I Q U e S C A r N e t p r I È r e

Sport individuel ou collec-tif, musique, activité artis-tique comme le théâtre ou la danse, le dessin ou

la peinture, la liste est tellement longue que la tentation est grande de se lancer dans une activité nouvelle sans même savoir si elle répondra aux attentes. Il y a, bien sûr, les fidèles qui pratiquent, avec la même passion, le même sport ou la même activité depuis des années et qui n’ont aucune envie d’en changer. Des disciplines nouvelles

voient le jour chaque année et les publicitaires invitent à investir dans l’achat de matériel et dans l’équi-pement vestimentaire “tendance”. Sans vouloir donner de conseil, il est toujours préférable de tester une activité avant de s’y engager, car même si elle plaît, elle ne répond pas forcément aux besoins.Certains préfèrent les disciplines s’exerçant collectivement et exi-geant respect de l’autre, assiduité et rigueur. D’autres choisissent de s’épanouir dans un groupe avec une pratique plus individuelle. Certaines activités comme la musique ou le théâtre sont plus exigeantes quant au travail personnel à fournir. L’art s’exerce de bien des façons, que ce soit par la peinture, l’art floral ou dans des activités plus manuelles comme la broderie, le bricolage ou le tricot. D’autres apprécient des moments de partage et de convivia-lité qui permettent aussi de sortir de la solitude.Les parents ont un rôle primordial à jouer dans le difficile choix de rentrée des enfants et des adoles-cents, afin d’éviter que la lourdeur de l’emploi du temps ne leur laisse pas un instant à eux. Pour leur épa-nouissement physique et psycho-logique, il est important de tenir compte de leurs souhaits mais aussi de savoir leur proposer d’autres centres d’intérêt comme celui d’al-ler au catéchisme.Il faut choisir une activité pour s’y épanouir en dehors des contraintes du quotidien, que ce soit au travail, à l’école, ou même à la maison, pour en faire un moment où chacun trouvera son plaisir. ■

Marie-Denise Pellé

ChoisirAprès la trève estivale, l’heure des bonnes résolutions approche. Que ce soit pour les enfants, les jeunes, les adultes et même pour les plus âgés, la rentrée est le moment des choix dans une société qui laisse une large place aux loisirs.

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LE CATÉCHISME Choisir d’inscrire son enfant au catéchisme (qu’il soit ou non baptisé), c’est lui offrir d’aller à la rencontre de Jésus, de découvrir qu’il est aimé de Dieu. Comment ?

Par des temps de partage avec d’autres enfants, sous la conduite d’un animateur disponible pour répondre à ses questions sur la foi, la vie de l’Eglise, les sacrements… Les propositions et itinéraires sont variés : comprendre un épisode de Bible ou un pas-sage d’Evangile à l’aide d’un DVD, connaître l’histoire d’un saint par une bande dessinée, visiter l’église et être invité à se joindre de temps en temps à la communauté des chrétiens qui se réunit pour prier….A partir de 4 ans, les enfants sont accueillis à l’éveil à la foi (deux rencontres par tri-mestre). Dès le CE2 et durant le cycle de l’école primaire, c’est le catéchisme. Pour les années collèges et lycée, l’au-mônerie accueille les jeunes. (Voir page 15 les informations pour la rentrée). La catéchèse s’adresse égale-ment aux adultes, baptisé(e)s ou non, quel que soit l’âge, l’his-toire personnelle de chacun. Des chrétiens sont à votre disposition pour vous y aider (voir l’Eglise vous accueille page 15).

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Nous sommes mission-naires, donc ouverts à l’Église Universelle. Nous allons là où l’Église nous

appelle. Depuis notre fondation en 1854, à l’appel du pape, nous sommes allés loin, en Papouasie (Nouvelle Guinée) par exemple. Aujourd’hui, nous sommes pré-sents sur tous les continents.Alors pourquoi le secteur Ouest d’Orléans ? Nous sommes dans le diocèse depuis 1968. A l’époque, nous avions un foyer de jeunes qui se posaient la question d’une éven-tuelle vocation particulière. Très vite, nous avons été investis avec les autres forces vives dans différents ministères : au service des jeunes, puis des paroisses, du monde de la santé, du séminaire, de la vie

consacrée, etc. Notre présence a été fluctuante comme la vie, mais nous nous sommes toujours insérés dans la pastorale du diocèse.En 2015, la congrégation cherchait un lieu où des confrères arrivant à la retraite pourraient encore vivre une présence. Nous avons interrogé les instances diocésaines et elles nous ont proposé le presbytère de Saint-Jean-de-la-Ruelle et de rendre de petits services dans le secteur Ouest.Nous sommes heureux de pouvoir encore mettre au service de l’Église les quelques énergies missionnaires qui nous restent ! Merci de nous accueillir tels que nous sommes, pas très jeunes, mais toujours “Missionnaires de l’amour”. ■

Louis, msc

Missionnaires de l’Amour

Missionnaires du Sacré-Cœur (msc), pourquoi sommes-nous venus dans ce diocèse d’Orléans et plus précisément dans ce secteur Ouest ?

LE SAVEZ-VOUS ?

Les Missionnairesdu Sacré-Cœur, qui sont-ils ?

C’est une congrégation religieuse missionnaire dont la devise est la suivante : “Aimé soit partout le Sacré-Cœur de Jésus”. Cette devise exprime toute notre vie et notre visée missionnaire.L’amour du Christ pour le monde, c’est le Cœur ouvert du Christ sur la Croix. Le Père Jules Chevalier (1824-1907), notre fondateur, a découvert cette expression de l’amour du Christ pour tous les hommes. En un temps où le Jansénisme sévissait et vou-lait faire de Dieu, un Dieu Juge, sévère, il découvrait un Dieu d’amour qui aimait tous les hommes sans exception. Et cette découverte l’a séduit et à sa suite nous avons, nous aussi, été séduits par cet amour qui conti-nue à se donner aux hommes.Cela nous conduit “PARTOUT” où l’on attend que l’on révèle cet amour. Dans une bonne cinquan-taine de pays, nous proposons aux hommes les plus divers cette vision d’un Dieu qui aime et relève, un Dieu attentif à chacun et plus spécialement aux plus pauvres parmi les hommes. Aujourd’hui 1700 MSC sillonnent le monde et continuent à se vouloir “Cœur de Dieu au cœur du monde”.

Louis, msc

Après avoir parcouru le monde, ils se sont mis au service du secteur Ouest.

Père Philippe Séveau

Père Régis Cuisinet Père Louis Raymond

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Le carnetdes mois de mai, juin et juillet 2017Paroisses du secteur Ouest d’Orléans

BAPTÊMESChaingy : Hannah et Henzo Prud’homme, Margaux Pinardaud, Lana Delandre, Soléann Bonnet, Diago Felizio.Ingré : Romy Molio, Tyrese Terrier, Lexie Dericand, Léa Capitaine, Judith Cathonnet, Tiago Torres, Eline et Jade Potez, Lilly et Raphaël Tally, Loucas Stewenson, Milo Masson, Inès Pupin, Jules Béchu, Emma VinconLa Chapelle-Saint-Mesmin : Enaël Nabab, Paulin Thomas, Marceau Da Silva, Tiano Esteves, Aurelien Felten, Ezra Gueret, Heloïse Brunet, Kamila Ravel, Paloma Ramaugé.Ormes : Alyssia Cochin, Louis Mourgues-Guénard, Lyliana Gacher, Mike et Messon Gougeard Da Costa, Saint-Ay : Léo Bergé, Maeva Audoux, Lana Le Bourhis, Alicia Brunet, Diago Da Silva Moriou.Saint-Jean-de-la-Ruelle : Maddy Annette, Thaïs Cramaregeas, Etham Harang, Timéo Chennebault, Nolann et Timéo Mercadie-Lefebvre, Dgino Jansen, Martin Peyroux, Faustine Mullard, Loane Quintard, Axel Chargelegue, Pauline Hennequin.

MARIAGESChaingy : Ingrid Desbuquois et Marc Hemesath.Ingré : Benjamin Lefranc et Alicia Soulas, Audrey Grimault et Florian Pichon, Mélanie Dulac et Arnaud Lebeaume. La Chapelle-Saint-Mesmin : Mathilde Fatin et Damien Desnoue, Héloïse Rouby et Dominique Nunes Martins, Stéphanie Belgioino et Stéphane Leonard, Sophie Da Silva et Aurélien BigarOrmes : Noémie Munoz et Alexandre Hue, Laëtitia Follet et Yohan Broquard.Saint-Ay : Lisbeth Zachalski et Adrien Masson.

OBSÈQUESChaingy : Gérard Roblet, Geneviève Maurice née Barruet, Guy-Serge Guenard, Fernando Alves-Teixeira, Roland Grandjean.Ingré : Paulette Savois née Courteille, Ginette Gillotin née Imbault, Hélène Ratisseau née Barruet, Denise Benard née Bigey, Michaël Desbordes, Simone Réau, Guy Renault.La Chapelle-Saint-Mesmin : Daniel Relandeau, Adèle Crassin née Pirou, Agapita Foucault née Felipe, Jean-Philippe Côme, Jacques Hatton, Jakie Corna, Henriette Doyard née Charnalet, Bernard Dejouy Ormes : Jean-Michel Lenormand, Jacques Porthault, Régis Devige, Gérard Dupont, Gisèle Fournier née Mignot. Saint-Jean-de-la-Ruelle : Simonne Goujon Simonne née Duchene, Trouve Michèle née Gicquel, Paulette Brunet, Régine Ranson, Nicole Blanchard Nicole née Martin, Monique Laluque née Lorillard, Roland Georges, Pierrette Blois née Corond, Marcelle Gorse née Vaucouloux, Claudine Rieul née Bellouard, Roland Desnous, Françoise Joseph, Christiane Venat née Rocheron, Arlette Georges née Altier.

Paroisses du groupement de Cléry-Porte de Sologne

BAPTÊMESCléry-Saint-André : Sybille Bocktaels, Dorian Boissay, Dylan Boyer, Léo Chery, Lucia Teixera- Fernandes, Louise Fesnin, Côme de Saint Phalle, Louis et Martin Michau, Margot Boucher, Tiago Da Mota Cruz, Maïna Godin, Ania Guillot, Montaine Nirta

I N F O S p r A t I Q U e S


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C A R N E T


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C A r N e t


A l’agenda - Dimanche 10 septembre, en rai-son du pèlerinage à Notre-Dame de Cléry, la messe sera célébrée à 15h30 à la basilique. Pas de messe à 11h. - Dimanche 8 octobre, à 10 h 30 à Saint-Dominique de Saint-Jean-de-la-Ruelle, confirmation.

L’ÉGLISE VOUS ACCUEILLEVOUS ARRIVEZ,FAITES-VOUS CONNAÎTRE !

Vous voulez préparer le baptême de votre enfant, vous envisagez de vous marier, l’un de vos proches est décédé, vous souhaitez connaître les horaires des messes, confier un souci, une intention de prière, prendre rendez-vous avec un prêtre, n’hésitez pas !

■ Pour les paroisses du secteur Orléans :P e r m a n e n c e d ’ a c c u e i l a u presbytère de la chapelle Saint-Mesmin, 25 rue du Parc, du lundi au vendredi, de 9 à 12 h (le samedi, sur rendez-vous), par Isabelle Compin, assistante pastorale. Joignable par téléphone au 02 38 43 80 43 (en cas d’absence, possibilité de laisser un message sur répondeur), ou par courriel à [email protected] informations paroissiales diffusées par la feuille Eole sont consultables et actualisées sur le blog des groupements paroissiaux :La Chape l le -Sa in t -Mesmin : http://blogsaintmesmin.blogspot.frIngré - Ormes - Bucy : http://blogstloup.blogspot.frSaint-Jean-de-la-Ruelle : http://blogstjeanruelle.blogspot.fr

■ Pour les paroisses du groupement de Cléry-Portes de Sologne :À partir du mois de Septembre, sera progressivement établie, au presbytère de Cléry, une permanence d’accueil, le matin, de 9h30 à 12h. Vous pouvez nous joindre par mail : [email protected] ou par téléphone : 02 38 45 70 05 (aux heures de permanence) ou par courrier : 1, rue du Cloître – 45370 Cléry-Saint-André. Les informations sont également disponibles sur le blog de Notre-Dame : http://notredamedeclery.blogspot.fr/

Jouy-le-Potier : Alaïs , Loëvan et Gaëtan Giron, Aélis Barnier, Maïa Puygrenier, Arsène Poulain.Ligny-le-Ribault : Jenny Da Silva Pinheiro, Azilis Van Hille, Jeanne de Montaignac.Mareau-aux-Près : Obeline Fénelon, Clarelle Imbault.

MARIAGESArdon : Raphaëlle Kwantes et Louis Chavignier.Cléry-Saint-André : Anne Philippon et David Jacques, Marina Janicaud et Christopher Auger.Dry : Carole Bisson et Eric Dabert.Jouy-le-Potier : Aline Sorin et Nicolas Richer.

Ligny-le-Ribault : Constance Thauvin et Antoine Guyonvarch.

OBSÈQUESCléry-Saint-André : André Guerin, Marie-Thérèse Bonnereau née Boisselet.Dry : Simone Doisneau née Beaujouan.Jouy-le-Potier : Marie-Thérèse Asselin née Juffroy.Ligny-le-Ribault : Léone Aufort née Boulet, Marie-France d’Hyevre née de BaudusMareau-aux-Près : Robert Duru.Mézières-lez-Cléry : Jacques Blot,Simone Deckrock née Gatelier.

Les informations mentionnées dans le carnet sont publiées avec l’accord des familles.

AUMÔNERIE KEPHAS, DE LA 6e À LA TERMINALE10, rue de la Garenne à IngréTél. 02 38 74 77 [email protected]

Présentation et inscriptions en présence des jeunes et de leurs parents :- Samedi 9 septembre, à 10 h pour les 5e et 4e ; à 11 h pour les 3e ; à 12 h pour les lycéens ;- Mercredi 13 septembre à 20 h pour les 6e.

POUR LE GROUPEMENT CLERY-PORTE DE SOLOGNEInformations et pré-inscriptions au catéchisme et à l’aumônerie sur le blog de Notre-Damehttp://notredamedeclery.blogspot.fr/

ÉVEIL A LA FOI et CATÉCHÈSE pour le SECTEUR OUESTParoisse Inscriptions Réunion de parents à 20 h 30Ingré Forum des associations à la Coudraye,

dimanche 10 septembre, de 11 à 18 h. Jeudi 21 septembre à l’aumônerie

OrmesBucy

Forum des associations, complexe des Plantes, samedi 9 septembre de 14 à 18 h.

Jeudi 14 septembre salle du presbytère

La Chapelle-St-Mesmin

Espace Jean-Paul II samedi 9 et mer-credi 13 septembre de 10 à 12 h.

Mardi 19 septembreEspace Jean-Paul II25, rue du Parcà La Chapelle-Saint-Mesmin

Chaingy Salle paroissiale, samedi 9 septembre de 10 à 12 h et 14 à 16 h ; mercredi de 13 septembre 17 à 19 h

Saint-Ay Forum des associations, samedi 9 septembre de 14 h 30 à 18 h

Saint-Jean-de-la-Ruelle

Centre Saint-Dominique, 9 septembre de 10 à 12 h et de 16 à 18 h

Centre St-Dominique, rue F. MaulienMercredi 30 septembre

Pour le secteur ouest, messe de rentrée, le dimanche 25 septembre à 10 h 30

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C A R N E T


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p r I È r e

Ç A S e pA S S e C H e Z N O U S F I N A N C e r N O t r e É G L I S e D O S S I e r r e N C O N t r e S p I r I t U A L I t É C A r N e t D É t e N t e - p r At I Q U e p r I È r ePrier avec

les doigts de la main

Je regarde les cinq doigts de ma main.

Quand je prie, le pouce est le plus proche de mon cœur. Il me rappelle de prier pour mes proches...

Je te prie Seigneur pour mes parents.

L’index, je le lève quand je veux parler.La Bible me dit de prier pour

ceux qui parlent en ce monde: Les présidents, le pape, les prêtres...

Aujourd’hui, je fais silence pour le prêtre de ma paroisse...

Parfois, le majeur est utilisé pour maudire. Jésus dit de prier pour nos ennemis

plutôt que de les maudire.Je prie pour ceux que je n’aime pas assez....

Le quatrième doigt, l’annulaire, est le plus faible des cinq doigts.

Il m’encourage à prier pour le plus faible de mon entourage: Je prie pour un(e) ami(e) malade.

L’auriculaire, le plus petit, Me rappelle que je suis petit.

Je ne dois pas oublier de prier pour moi,Pour que toujours je marche sur le chemin de Jésus.Ve

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MERCI À TOUS NOS ANNONCEURS


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RENCONTRE P. 5 REGARD P. 12 PRATIQUE P. 15 à … · Père Olivier de Scitivaux et Marie-Christiane Guénon (Cléry), Jean-Philippe Gabelotaud ... Bernard Rouilly • Publicité :