2 5 ᵉ ˢ R e n c o n t r e s e s t i v a l e s

d e m u s i q u e d e c h a m b r e

D u 2 8 j u i l l e t a u 3 a o û t 2 0 1 3 F O R C A L Q U I E R A L P E S D E H A U T E - P R O V E N C E ( 0 4 )

Contacts Anne Liébaut - 06 60 79 34 24 - contact@rmhp.fr Monique Latil-Lévêque de Vilmorin - 06 64 16 59 84 - madame2@orange.fr Site : http://www.rmhp.fr

R E N C O N T R E S M U S I C A L E S

D E H A U T E - P R O V E N C E 2013

Vingt cinq ans, le bel âge !

Pour parler de cet anniversaire que nous allons fêter dignement s’il se peut, nous reviendrons sur la naissance et l’évolution des Rencontres Musicales, en empruntant beaucoup aux interventions écrites des « parents », Marie-France et Jean-François Queyras, de ce qu’aujourd’hui d’aucuns appellent festival. L’idée a commencé à germer il y a en réalité, non pas 25, mais 32 ans lorsque, en 1981, les enfants Queyras, Pierre-Olivier (17 ans) et Jean-Guihen (14 ans) donnèrent un premier concert en la cathédrale de Forcalquier avec leurs amis Ariane et Jérôme Granjon. Ce furent les prémices de ce qu’on appellera finalement « Journée continue de musique de chambre ». Puis, la fidélisation et l’enthousiasme du public étant acquis, il y aura, à la suite de cette journée continue, quatre concerts avec les musiciens amis et complices de la première heure. C’était en 1989 et ce fut la 1ère édition de ce qu’on nommera « Rencontres Musicales ». Mais l’appellation n’apparaîtra que l’année suivante où, pour la première fois, sera donné un concert au Prieuré de Salagon qui deviendra par la suite et jusqu’encore aujourd’hui (au moins pour 3 concerts) le berceau et l’écrin des Rencontres. Nous en donnerons pour preuve cet extrait d’un article du journaliste Christian Merlin dans Le Figaro en août 2008 : « Qui n’a pas fréquenté les concerts du Prieuré de Salagon, n’a pas une idée complète de ce qu’est l’esprit de la musique de chambre : celui du partage et de la joie d’être ensemble…Il y a quelque chose de grisant à voir ces amis, frères et belles-sœurs se renvoyer la balle. Et l’on n’est pas près d’oublier ce Quatuor pour la Fin du Temps de Messiaen, où l’on ne savait que trop pour qui* le violon et le violoncelle des frères Queyras chantaient la louange à l’immortalité. » (*pour leur mère Marie-France, décédée en juin). En 2008 justement, les 20 ans des Rencontres ont été généreusement et joyeusement fêtés avec l’intervention de 25 musiciens invités au lieu de la douzaine habituelle, des initiatives bienvenues telles que la calèche musicale avec des mini-concerts sur les places et aux coins des rues de Forcalquier puis, en couronnement, le final exubérant du samedi soir dans la Cour des artisans. Serons-nous à même de faire aussi bien, voire mieux, pour cette vingt-cinquième année malgré l’incertitude planant sur les financements attendus ? Nous l’espérons et, en tout cas, nous allons essayer. Notre équipe artistique a conçu un programme sortant de l’ordinaire avec un nombre plus important de musiciens chevronnés (une quinzaine au total) auxquels se joindront les jeunes talents de la « master-class », des œuvres de seize compositeurs allant du classique au contemporain, des innovations telles que l’intervention d’une soprano lyrique, de deux danseuses et, pour finir en beauté, une dernière soirée à surprises avec un joyeux et truculent « Carnaval des animaux » de Camille Saint-Saëns et, pour l’ambiance argentine, des musiques d’Astor Piazzola, les deux succédant à un classique du bien aimé Mozart. Le Prieuré de Salagon, devenu le berceau et l’écrin des Rencontres depuis 1990, accueillera cette année encore les trois premiers concerts. Puis le cloître du Couvent des Cordeliers, à l’acoustique perfectionnée depuis l’an dernier, sera le cadre de la seconde partie du festival avec la soirée finale endiablée et, nous l’espérons vivement, la présence de France Musique avec son « Magazine des festivals » ainsi que la venue de journalistes de la presse spécialisée. Jacques Mougel Président

E D I T O R I A L 2 0 1 3

V I O L O N

ANTJE WEITHAAS

LISA IMMER

PIERRE-OLIVIER QUEYRAS

CHRISTINE BUSCH

M U S I C I E N S 2 0 1 3

P I A N O

FRÉDÉRIC LAGARDE

SILKE AVENHAUS

FRANÇOIS DUMONT

X Y L O P H O N E CHRISTIAN MARIOTTI

V O I X HELEN KEARNS

R E C I T A N T WILHELM QUEYRAS

M U S I C I E N S 2 0 1 3

C O N T R E B A S S E PIERRE ROUX

D A N S E LÉA FAVRE

SÉRÉNA FAVRE

C L A R I N E T T E JEAN-MARC FESSARD

P R O G R A M M E 2 0 1 3

Dimanche 28 juillet, Cathédrale de Forcalquier, 15h à 19h Journée Continue de Musique de Chambre, entrée libre et gratuite

Lundi 29 juillet, Prieuré de Salagon, Mane, 21h 79’

Violon / Lisa Immer, Pierre-Olivier Queyras, Antje Weithaas Alto / Tabea Zimmermann, Sebastian Wohlfarth Violoncelle / Véronique Marin, Gesine Queyras, Jean-Guihen Queyras Piano / François Dumont Voix / Helen Kearns

Félix MENDELSSOHN BARTHOLDY : Quatuor pour piano Eric TANGUY : «Intermezzo» pour piano seul (1998) MELODIES FRANÇAISES : Mélodies polonaises de Francis POULENC et les 7 Songs op.54 de SZYMANOWSKI (sur des poèmes de James Joyce) Antonin DVOŘÁK : Sextuor à cordes

Mardi 30 juillet, Prieuré de Salagon, Mane, 21h 89’

Violon / Christine Bush, Lisa Immer Alto / Tabea Zimmermann, Sebastian Wohlfarth Violoncelle / Gesine Queyras Piano / Silke Avenhaus Hautbois / David Walter

Antonin DVOŘÁK : Bagatelles Francis POULENC : Sonate pour hautbois et piano Paul HINDEMITH : Sonate pour alto solo op. 25.1 Gilles SYLVESTRINI : Horae Volubilis pour hautbois seul (2005) Félix MENDELSSOHN BARTHOLDY : Quatuor à cordes

Mercredi 31 juillet, Prieuré de Salagon, Mane, 21h 87’

Violon / Christine Bush, Lisa Immer, Pierre-Olivier Queyras, Antje Weithaas Alto / Tabea Zimmermann, Sebastian Wohlfarth Violoncelle / Véronique Marin, Gesine Queyras, Jean-Guihen Queyras Hautbois / David Walter

Wolfgang Amadeus MOZART : Quatuor pour hautbois et cordes Dejan DESPIĆ : Quatuor pour hautbois et cordes Paul HINDEMITH : Trio à cordes Dominique TRONCIN : « Altitudes » duo de violon et violoncelle (2001) Robert SCHUMANN : Quatuor à cordes

P R O G R A M M E 2 0 1 3

Jeudi 1er août, Cloître des Cordeliers, Forcalquier, 21h 82’

Violon / Lisa Immer, Pierre-Olivier Queyras, Antje Weithaas Alto / Tabea Zimmermann Violoncelle / Véronique Marin, Jean-Guihen Queyras Piano / Frédéric Lagarde, Silke Avenhaus

Ludwig Van BEETHOVEN : Trio à l’Archiduc Wilfried HILLER : “Livre des étoiles » (2006) pour piano Robert SCHUMANN : Quintette pour piano et cordes

Vendredi 2 août, Cloître des Cordeliers, Forcalquier, 21h 78’

Violon / Pierre-Olivier Queyras, Antje Weithaas Alto / Sebastian Wohlfarth Violoncelle / Véronique Marin, Gesine Queyras, Jean-Guihen Queyras Piano / Frédéric Lagarde Flûte / Juliette Hurel Clarinette / Jean-Marc Fessard

Bohuslav MARTINŮ : Trio pour flûte, violoncelle et piano Bruno MANTOVANI : « Until » pour trois violoncelles (2010) Francis POULENC : Sonate pour flûte et piano Johannes BRAHMS : Quintette pour clarinette et cordes

Samedi 3 août, Cloître des Cordeliers, Forcalquier, 21h 60’

Violon / Lisa Immer, Pierre-Olivier Queyras, Antje Weithaas Alto / Sebastian Wohlfarth Violoncelle / Véronique Marin, Gesine Queyras, Jean-Guihen Queyras Contrebasse / Pierre Roux Piano / Frédéric Lagarde Xylophone / Christian Mariotti Flûte / Juliette Hurel Clarinette / Jean-Marc Fessard Récitant / Wilhelm Queyras Danse / Léa Favre, Séréna Favre

Wolfgang Amadeus MOZART : Quatuor pour flûte et cordes Camille SAINT-SAENS : « Carnaval des animaux » sur le texte d’Eric-Emmanuel Schmitt Astor PIAZZOLA : Tangos

A U T O U R D U F E S T I V A L 2 0 1 3

Stage pour les jeunes, en partenariat avec l'École intercommunale de musique et de danse du Pays de Forcalquier-Montagne de Lure Le stage des jeunes se déroulera du 18 au 28 juillet à la Bonne Fontaine sous la direction de Marie-Line Fassino en collaboration avec les professeurs de l’école de musique de Forcalquier et cette année, avec le concours de Gesine Queyras, membre de la Direction Artistique. Le travail de musique de chambre et d’orchestre, effectué durant ce stage, fera l’objet d’auditions dans différents villages de la Communauté de communes du Pays de Forcalquier-Montagne de Lure.

Master jeunes talents Les Rencontres musicales de Haute-Provence ont créé cette année, un nouveau stage dont les jeunes participants sont en études supérieures dans divers conservatoires. Ce stage se déroulera du 14 au 28 juillet sous la direction de Véronique Marin et Pierre-Olivier Queyras. Plusieurs concerts sont programmés à l’issue du stage et des animations musicales sont prévues dans différents lieux de Forcalquier. Du 18 au 28 juillet, les deux stages seront rassemblés et permettront l’échange de travail musical entre les jeunes stagiaires et les jeunes talents plus expérimentés. Conjointement les jeunes stagiaires encadrés par l’école de musique de Forcalquier et les jeunes talents participeront à des concerts communs les 26 et 27 juillet et le 28 juillet à la Journée Continue de musique de chambre à la cathédrale de Forcalquier.

Répétitions publiques salle Saint-François et Bonne Fontaine Les répétitions des musiciens sont publiques pendant les quinze jours de leur présence à Forcalquier. Elles sont réparties à différents moments de la journée et accessibles à tous. La découverte du travail des musiciens et de leurs échanges pour des interprétations parfaites est riche d'enseignements. Programme des répétitions à découvrir chaque matin à l’office de tourisme de Forcalquier.

B I L L E T T E R I E 2 0 1 3

Renseignements et réservations

Office de Tourisme de Forcalquier à partir du 10 juin

Place Martial Sicard

tél : 04 92 75 10 02 / mail : oti@forcalquier.com

site : http://www.forcalquier.com

Renseignements

Rencontres Musicales de Haute-Provence

site : http://www.rmhp.fr

Billetterie

Office de Tourisme de Forcalquier

Lieu du concert s’il reste des places

Tarifs

Prix d’un concert à l’unité : 24 € (normal) 19 € (adhérent) 8 € (enfants de 13 à 17 ans, chômeurs et RSA)

Prix d’un abonnement 5 concerts : 98 € (normal) 81 € (adhérent)

Prix d’un abonnement 6 concerts : 118 € (normal) 96 € (adhérent)

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Silke Avenhaus, piano Née à Karlsruhe, Silke Avenhaus étudie le piano à la Hochschule für Musik München, auprès de Bianca Bodalia et Klaus Schilde, bénéficie de l’enseignement de György Sebök à l’Indiana University Bloomington et des conseils avisés de Sandor Végh ou d’Andras Schiff. La remarquable musicalité de son jeu, son sens de la forme allié une belle sensibilité artistique, une curiosité de tous les instants sont autant de qualités que reconnaissent tous ceux qui, sur la scène internationale, jouent à ses côtés. Elle enthousiasme les mélomanes des festivals de Malboro, des Berliner Festwochen, de Salzburg, de Lucerne ou du Schleswig-Holstein. A ses côtés, ce sont les musiciens de chambre les plus exigeants qui s’associent à ses apparitions : Thomas Zehetmair, Christoph Poppen, Isabelle Faust, Jörg Widmann, Clemens Hagen, Tabea Zimmermann, Antje Weithaas ou Sabine Meyer. Silke Avenhaus est professeur honoraire auprès de la Hochschule für Musik de Münich et montre un engagement remarquable auprès de jeunes enfants dans le cadre du projet « Rhapsody in school » mis sur pied par le pianiste Lars Vogt. Site : www.silke-avenhaus.de

Christine Bush, violon Christine Busch, née en 1966, est une violoniste baroque parmi les plus recherchées de sa génération en Europe. Après avoir terminé ses études à Freiburg, Winterthur et Vienne, elle s'est produite dans toute l'Europe. Ces dernières années, elle a joué en soliste et en premier violon avec les Deutsche Bachsolisten et le Freiburger Barockorchester, ainsi qu'avec le Concentus Musicus de Vienne, dirigé par Nikolaus Harnoncourt, et l'Orchestre de chambre d'Europe, sous la baguette de Claudio Abbado, Sir Colin Davis et Sandor Vegh. De plus, comme chambriste et soliste, elle a participé notamment au Berliner Bach Tage. En 1991, elle a remporté le premier prix du Concours International de Gernsbach et, en 1992, également les premiers prix des concours de Essen et du concours Stennebrueggen de l'Académie Karl Flesch de Baden-Baden. Site : www.salagonquartett.de

François Dumont, piano François Dumont est lauréat des plus grands concours internationaux : le concours Reine Elisabeth à Bruxelles en 2007, le concours Chopin de Varsovie en 2010 dont le jury, à l’occasion du bicentenaire réunissait notamment Martha Argerich et Nelson Freire, et en 2012, les pianos masters de Monte-Carlo. Il est également finaliste des concours Clara Haskil en Suisse, Hamamatsu au Japon, premier prix des Concours Jean Françaix et Steinway, Grand Prix de piano de la Spedidam. Il est nominé aux Victoires de la Musique en 2011, dans la catégorie « soliste instrumental ». En 2012, il reçoit le Prix de la Révélation de la critique Musicale Française. Né en 1985, François Dumont est formé par Chrystel Saussac au Conservatoire de Région de Lyon avant d’être admis à l’âge de quatorze ans au C.N.S.M. de paris où il travaille avec Bruno Rigutto et Hervé Billaud. Il a notamment joué au Théâtre du Châtelet, Salle Gaveau, Salle Pleyel, Auditoriums de Lyon et du Musée d’Orsay, Salle Cortot, de même qu’il participe régulièrement à diverses émissions sur France Musique, dont « Dans la cour des grands » et « Génération Jeunes Interprètes » de Gaëlle le Galllic. A l’étranger, parallèlement à des récitals en Allemagne, Pologne, Brésil et Mexique, il joue avec l’Orchestre de chambre de Lausanne, sous la direction des Jesus Lopez-Cobos, l’Orchestre national de Belgique, les Philarmoniques de Varsovie (direction Antoni Wit) et Cracovie, l’orchestre de Cannes et l’orchestre Philarmonique de Monte-Carlo sous la direction de Philippe Bender, le Tokyo Symphony, le Fortworthsymphony aux Etats-Unis, le Philarmonique de Wuhan en Chine, l’orchestres symphonique de Liepaja lors du Piano Stars festival en Lettonie. En 2011, il fait ses débuts à Saint-Pétersbourg avec l’orchestre du théâtre Mariinski dans le concerto n°1 de Tchaïkovski. En 2012, il joue notamment le Concerto de Brahms avec l’Orchestre de Bretagne, sous la direction d’Arie van Beek, le concerto en sol de Ravel avec l’orchestre de la Garde Républicaine (direction François Boulanger) pour la clôture des Journées Ravel de Montfort l’Amaury.

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François Dumont, piano (suite) En musique de chambre, il a donné aux Etats-Unis l’intégrale des Sonates pour violon et piano de Beethoven avec Stéphane Tran-Ngoc. Il se produit également en duo avec Julien Szulman pour radio-France, Helen Kearns pour la radio suisse-italienne à Lugano et avec le Quatuor Debussy dans le cadre de la Société de Musique de Chambre de Lyon, ou encore au Musée d’Orsay. Enfin, avec Virginie Constant et Laurent Le Flécher, il a créé le Trio Elégiaque, dont le premier enregistrement (Dusapin-Messiaen) a été récompensé par un Diapason d’Or, 4 étoiles du Monde de la Musique et la Clé de sol de Resmusica. Leur second disque chez Triton, consacré à des compositeurs russes (Arensky, Rachmaninov, Rimski-Korsakov) a été récompensé par 5 Diapasons, le Coup de cœur d’Alain Duault et le Coup de cœur de Radio-Classique. En avril 2011, le Trio Elégiaque a joué l’intégrale des trios de Beethoven à l’Opéra Comique à Paris ; l’intégrale Beethoven est en préparation au disque pour BrillantClassics. Site : francoispianosolo.free.fr

Jean-Marc Fessard, clarinette Jean-Marc Fessard est issu de la grande tradition de l’école française de clarinette qu’il a représentée au Congrès International de Phoenix (USA). Diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique de paris où il obtient les plus hautes distinctions en clarinette, clarinette basse et musique de chambre ainsi que le Diplôme Supérieur, il est lauréat du Concours d’interprétation Jacques Lancelot (1er prix), des concours internationaux de Paris (3ème Prix 1996), Illzach (1er Prix 1997) et Gdansk (1er Prix et prix spécial de la Société Brahms de Hambourg 1997).

Jean-Marc Fessard mène une carrière de concertiste international et se produit tant en musique de chambre qu’en soliste accompagné par des artistes et ensembles prestigieux (Orchestre nationaux de Poznan, Szczecin, Katowice, Bakou, Gdansk, orchestre de chambre de la Philharmonie Tchèque, Orchestre de chambre de Zagreb, Quatuors Elysée, Ebène, Wieniaski, etc.). Engagé dans la création contemporaine, créateur et dédicataire de nombreuses œuvres, membre de l’Ensemble Sillages, Jean-Marc Fessard collabore régulièrement avec la radio et télévision polonaise, la BBC ou Radio-France. Il a donné en avril 2011 le concerto d’Alexandre Tansman à la radio de Varsovie et a enregistré en novembre 2011 « D’un silence… », concerto pour clarinette de Piotr Moss avec l’Orchestre National de la radio polonaise dirigé par Michal Klausa. Des compositeurs tels que Philippe Hersant, Piotr Moss, Karol Beffa, Jacques Bondon, Anthony Girard, Bruno Letort, Michel Lysight, Ivan Bellocq, Maury Buchala, Vincent Guyot lui dédient leurs œuvres.

Jean-Marc Fessard a enregistré une quinzaine de CDs pour des labels comme Naxos, Dux, Universal, ClarinetClassic, Signature Radio-France, Triton, Leibovitz, Kalidisc, Quantum, qui obtiennent régulièrement les prestigieuses distinctions de la presse spécialisée. Yvonne Loriod-Messiaen a salué sa version « tout simplement admirable » du Quatuor pour le Fin du temps d’Olivier Messiaen. Il vient de graver pour Naxos le « Concerto » et le « Concertino » d’Alexandre Tansman. « Polish Music for clarinet and piano » incluant des œuvres rares de Szalowski, Perkowsli, Rathaus, Moss sortira en octobre 2011 chez « ClarinetClassic » à Londres. Spécialiste de la clarinette basse, son CD « Dédicaces » regroupe les œuvres pour clarinette basse qui lui sont dédiées (Quantum/Codaex).

Jean-Marc Fessard enseigne depuis 2004 au Conservatoire Royal de Bruxelles et est invité pour des master-class en République Tchèque (Conservatoire de Prague), Russie (conservatoire de Saint-Pétersbourg), Pologne (Gdansk, Poznan, Lodz, Katowice), Angleterre (Royal College de Londres) et par l’Institut Eugene Isaye de Bruxelles. Il est membre du jury des Concours Internationaux Brahms de Gdansk, Alexandre Tansman de Lodz et du Concours International de Musique de Chambre de Lodz.

Jean-Marc Fessard est aussi diplômé de l’Université de paris VIII et l’auteur de « L’évolution de la clarinette », ouvrage traitant de l’histoire de la clarinette qui sera bientôt réédité par les éditions Billaudot-Paris. Jean-Marc Fessard est directeur de collection pour les éditions Billaudot-Paris. Site : www.jeanmarcfessard.com

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Juliette Hurel, flûte Juliette Hurel est une des flûtistes incontournables de la scène musicale française et étrangère. Premier Prix de flûte et Premier Prix de musique de chambre à l’unanimité au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, elle est lauréate de nombreux concours internationaux tels que ceux de Darmstadt, Kobé, Bucarest ou le concours Jean-Pierre Rampal. En 2004, elle est nommée pour les « Révélations de l’année « aux Victoires de la Musique Classique. Chambriste recherchée, elle se produit aux côtés de musiciens tels que Philippe Graffin ,Youri Bashmet, Jean-Guihen Queyras, Truls Mork , Stephen Kovacevich, , Marielle Nordmann, le Trio Wanderer… On la retrouve régulièrement en soliste avec l’Orchestre d’Auvergne, l’Orchestre de chambre de Toulouse, l’Orchestre de l’Opéra de Rouen, l’Orchestre Symphonique et Lyrique de Nancy, « Les Siècles », le BBC orchestra of Wales, le Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra, l’Orchestre Métropolitain de Montréal… ainsi que sur de prestigieuses scènes telles que le Théâtre des Champs Elysées, La Cité de la Musique, le musée d’Orsay à Paris , le Grand Théâtre de Provence , le Wigmore Hall de Londres, le Concertgebouw d’Amsterdam, et que lors de festivals comme la Roque d’Anthéron, les Folles Journées de Nantes, de Tokyo, Festival de la Meije, Colmar, Auvers-sur-Oise … Ayant à cœur d’interpréter la musique d’aujourd’hui, elle a eu l’occasion de travailler avec des compositeurs tels que Pierre Boulez, Pascal Dusapin, Philippe Hersant, Eric Tanguy… La discographie de Juliette Hurel comprend plusieurs enregistrements en compagnie de la pianiste Hélène Couvert, enregistrements qui ont reçu de nombreux prix et qui ont été chaleureusement salués par la critique : Martinu/Prokoviev, Lyrinx ; Musique française pour flûte du XXème siècle, Naïve-Valois ; Sonates de Haydn, « Impressions françaises » , Zig-Zag Territoires. Juliette Hurel a également enregistré les Concertos pour flûte et orchestre de C.P.E. Bach avec l’Orchestre d’Auvergne sous la direction d’Arie Van Beek toujours chez Zig-Zag Territoires . Elle est régulièrement invitée lors d’émissions de radio et de television. (Arte , Mezzo,”la boite à musique” , “toute la musique qu’ils aiment”…) Depuis 1998, Juliette Hurel occupe le poste de flûte solo de l’Orchestre Philharmonique de Rotterdam dirigé par Valery Gergiev et depuis 2008 par Yannick Nézet-Séguin. Après avoir été professeur au conservatoire Royal de La Haye , elle enseigne à présent au Conservatoire de Rotterdam. Site : www.juliettehurel.com

Lisa Immer, violon Née en 1981 à Freiburg im Breisgau, elle termine ses études dans cette ville, en 2007, avec Rainer Kussmaul en réussissant l'examen final avec mention. Parmi de nombreux autres prix et récompenses, elle reçoit en 2003 le Prix du Conseil d'enseignement musical supérieur et, en 2004 le Prix Carl-Seeman du Conservatoire de Freiburg. En tant que soliste et premier violon, elle a joué avec l'Orchestre des jeunes Simon Bolivar du Venezuela, la Symphonie concertante de Mozart (avec Wolfram Christ, alto et direction). Avec l'Ensemble Balthasar Neumann, dirigé par Thomas Hengelbrock elle a participé, en 2005, à une tournée en Amérique du Sud ; elle s'est également produite comme soliste et premier violon avec l'Orchestre de Chambre de Mannheim. Depuis 2006, elle est premier violon solo de l'Ensemble Kaléidoscope de Berlin. Lisa Immer est membre de l'Ensemble Balthasar Neumann et de l'Orchestre de Chambre de Bâle. Elle a également été membre de l'Orchestre National de la Jeunesse et de l'Orchestre Gustav Mahler. À l'occasion de différentes master classes, elle a étudié avec Igor Oistrakh, ainsi qu'avec Gilbert Varga, Zakhar Bron, Gérard Poulet et le Quatuor Artemis. Elle a obtenu une bourse d'études à la Villa Musica, où elle a joué avec Reinhard Goebel, Ulf Hoelscher, Ida Bieler, Wen Yang Sin, Hariolf Schlichtig, Wolfgang Boettcher, Aurèle Nicolet et avec Dag Jensen en concert. Site : www.salagonquartett.de

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Frédéric Lagarde, piano 1er prix du CNSM de Paris, et lauréat de 10 concours internationaux, Frédéric Lagarde est cité dans "Le Point" parmi les pianistes français les plus en vue de sa génération. Musicien éclectique, il aborde les répertoires de tous horizons avec une soif de découverte particulière. C'est ainsi qu'outre les compositeurs les plus attendus, il met en lumière des auteurs méconnus tout autant que les créateurs de son temps, dont il est régulièrement dédicataire. A la fin des années 1980, Olivier Messiaen le choisit pour interpréter sa musique lors de plusieurs tournées (à Londres, à Paris, et au festival d'Avignon). Aujourd'hui, près de trente pays ont accueilli Frédéric Lagarde: Théâtre des Champs-Elysées à Paris, "Folle Journée" à Nantes, New York (Carnegie Hall), Prague (Salle Dvorak, Rudolfinum), Bucarest (Philharmonie), Vienne (Université des Sciences), Lisbonne (Théâtre National), Londres (Queen Elisabeth Hall), Istanbul, Rio, Tokyo, Osaka… Fervent chambriste, au sein de l'Ensemble Calliopée (dont il est co-fondateur) et du DUMKY TRIO entre autres, il est également soliste de nombreuses formations, dont les orchestres symphoniques de Lisbonne, Porto, National d'Ukraine, T. U. de Vienne, "Classica" de Moscou, Garde Républicaine, Bayonne-Côte Basque... Sa discographie, comprenant des enregistrements consacrés à Dvorak, Martinù, Beethoven, Strauss, Durosoir... reçoit deux "Choc" du Monde de la Musique et un "Diapason d'or". Début 2013 paraîtra pour le label "Artenetra" son enregistrement du 1er concerto de Wissmer avec l'Orchestre Philharmonique National d'Ukraine. Frédéric Lagarde enseigne à la Ville de Paris, au CRR de Rueil-Malmaison, et lors de master-classes en France, en République Tchèque, au Canada (Banff Center of the arts), au Japon (Université d’Osaka), et au Brésil (Université de Sao Paulo). Il est directeur artistique de plusieurs festival, parmi lesquels "Classicaval" à Val d'Isère, et "les Harmonies", dans le Morbihan. En 2012, il effectuera 2 tournées en Asie, qui le mèneront notamment à Tokyo, Pékin et Shanghaï. Site : http://dumkytrio.com

Helen Kearns, soprano Née en 1982 à Dublin, Helen Kearns débute ses études musicales à l'âge de 7 ans. Dès l'âge de 16 ans, elle est engagée par Chromaline France pour enregistrer un disque de mélodies. A 17 ans, elle reçoit une bourse pour étudier à l'université de Norwich avec Mark Wildman. Elle travaille ensuite avec Dierdre Grier Delanely et Irene Standford à la Royal Academy de Dublin. Elle se perfectionne ensuite auprès de Montserrat Caballe, Viorica Cortez et Aneta Pavalache. Elle a également reçu le Fitzwilton Trust Award pour « voix exceptionnelle », la récompense Raymond Marshall pour l'opéra (2001) ainsi que la bourse Adair Arms pour le répertoire lyrique féminin. En 2002, elle obtient le Premier Prix des Belfast Classical Music Bursaries au Waterfront Hall, à Belfast et reçoit, en 2003, une bourse de la "Fondazione Concertante" en Italie ainsi que le Premier Prix Lola Rodriguez‐Aragòn. Durant la saison 2006/2007, Helen a fait ses débuts avec succès à l'opéra de Rennes, aux opéras de Nantes et Angers dans le principal rôle féminin de "Golem", opéra de J. Casken. Elle a été sélectionnée pour chanter les rôles de Janthe et Emmy à l'opéra de Rennes et au Théâtre National de Szeged (Hongrie) dans le cadre du Concours d'Opera de la chaîne Mezzo. Helen Kearns a récemment remporté le Premier Prix ainsi que le Prix du Public lors du Concours International de chant "Klassik‐Mania" à Vienne. Elle revient de Pologne où elle s'est produite avec le Philharmonique de Cracovie et se produira prochainement en Irlande, en France et en Allemagne. Elle s'est produite également à Dublin, Belfast, Londres, Budapest, Paris, Rennes, Bergen, Pise, Sienne, Milan, Berlin, Cologne, Vienne, Rio de Janeiro... Elle participe à de nombreuses émissions pour les radios et télévisions françaises, autrichiennes, irlandaises, italiennes et brésiliennes. Helen Kearns a dernièrement enregistré un disque de mélodies françaises avec le pianiste François Dumont avec qui elle forme un duo depuis 2002. En septembre 2008, elle rejoint la section Opéra Studio de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth sous la direction de José Van Dam.

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Véronique Marin, violoncelle Après des études musicales au CNR de Rennes dans la classe de Guy Lepeu, Véronique Marin entre première nommée au CNSM de Paris dans la classe de Philippe Muller et se voit décerner trois ans plus tard les premiers prix de violoncelle et de musique de chambre (classe de Bruno Pasquier). Après un prix spécial Popper au concours international de violoncelle « Pablo Casals » de Budapest en1985, sous les plus vives recommandations de Paul Tortelier, elle entre en cycle de perfectionnement au CNSM de Paris dans la classe de Jean-Claude Bernède et Pierre Penassou, avec le quatuor à cordes « Albert Roussel », ensemble qui se distingue au concours international de quatuors à cordes d'Evian en remportant une médaille à l'unanimité. En 1986, lors du festival « Orlando » en Hollande, le quatuor participe aux master classes de Walter Levin (quatuor Lasalle), de Sandor Devich (quatuor Devich) et enregistre pour la radio hollandaise les 1er et 4ème quatuors de Bartok. L’ensemble se produit dans plusieurs pays — Autriche, Italie, Hollande… — et en France, salle Gaveau, comédie des Champs-Élysées, festival de Gargilesse, IRCAM, Centre Pompidou. A la suite de sa rencontre en 1987 avec le violoniste Pierre-Olivier Queyras, elle trouvera son véritable épanouissement en fondant le Trio des Iscles en 1988. Aujourd’hui rebaptisé DUMKY TRIO (Frédéric Lagarde, piano et Pierre-Olivier Queyras, violon), cet ensemble parmi les plus primés avec 6 prix nationaux et internationaux participe à de nombreux festivals en France et à l’étranger. Souvent diffusé sur les ondes (France-Musiques, Radio Nationale Tchèque, RAÏ Italienne…) il enregistre plusieurs disques plébiscités par la presse consacrés à Brahms et Schumann, des compositeurs contemporains Canadiens, une intégrale des Trios de Martinü… Le dernier CD, une intégrale des trios de Dvorak a obtenu 5 diapasons et de nombreuses autres distinctions. La musique contemporaine est également à l'honneur dans l'activité musicale de Véronique Marin. De 1990 à 2002, elle est membre soliste de l'ensemble FA (direction Dominique My), invité régulièrement dans des festivals tels que Musica (Strasbourg), Ultima à Oslo, la biennale de Venise, Ars Musica de Bruxelles, Archipels à Genève, « Présence » à Radio-France et festival d'automne à Paris. L'ensemble a enregistré des œuvres de Philippe Fenelon (THC 82057), une monographie de Tristan Murail (grand prix Charles Cros ; accord 200842), de Jean-Marc Singier (Diapason d'or ; accord 202762), Gérard Pesson (accord 204682), d'Hugues Dufourt (accord 205442), de Franco Donatoni (10 de Répertoire ; accord 206232) dont « le ruisseau sur l'escalier » pour violoncelle solo et ensemble. Le travail avec ces différents compositeurs a permis la création de plusieurs duos pour violon et violoncelle, entre autres: « Fragment 1 » de Philippe Fenelon, « Bruissant divisé » de Gérard Pesson « Altitudes » de Dominique Tronçin ainsi que la création française de « Convulsive Beauty » pour violoncelle solo et ensemble d'Eric Tanguy. Elle est également invitée régulièrement à jouer avec l’ensemble Intercontemporain sous la direction de Pierre Boulez, David Robertson et Jonathan Nott. En 2009, elle fait la création du deuxième Trio pour piano, violon et violoncelle d’Ivan Bellocq, dédicacé au DUMKY TRIO, et en 2010, avec Jean-Guihen Queyras et Gesine Queyras, celle du trio pour trois violoncelles « Until » de Bruno Mantovani. Le domaine du spectacle musical la passionne également beaucoup : elle participe à l'élaboration des « Aventures de Monsieur Vieux-Bois » pour trio à cordes, voix parlée et danseurs, inspirées des bandes dessinées de Topfer (musique de Gérard Pesson,; mise en scène Caroline Gauthier, Dominique Boivin), ainsi qu'au spectacle « Ombres nous-mêmes » pour violon, violoncelle, flûte et deux comédiens. Depuis quinze ans, elle participe en tant qu'artiste et directrice artistique aux succès du festival Rencontres Musicales de Haute-Provence. Elle anime depuis plusieurs années les Master-class internationales de Saint-Rémy-les-Chevreuses et depuis peu l’Université Musicale Hourtin Médoc et Festiv’académie de Neuvic. À la demande de Philippe Müller, professeur de violoncelle au CNSM de Paris, elle est maintenant son assistante depuis 1996. Elle enseigne également au CNR de Rueil-Malmaison et est régulièrement amené à donner des Master-class au Banff Centre for the Arts (Canada) et en Espagne. Site : http://dumkytrio.com

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Pierre-Olivier Queyras, violon Né à Pertuis (Vaucluse) en 1964, Pierre-Olivier Queyras a commencé le violon à 4 ans et demi. Après de brillantes études dans la classe de Jacques Ghestem au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon, il obtient en 1985 le Diplôme National d’Etudes Supérieures Musicales (1° prix), puis se perfectionne à la « Hochschule für Musik » de Freiburg-im-Breisgau en Allemagne dans classe de R. Kussmaul, Konzertmeister à la Philharmonie de Berlin, et obtient un Diplôme de Fin d’Etudes Supérieures de Musique, ainsi qu’un prix spécial au concours international « Mendelssohn » à Berlin en 1987. Il fonde en septembre 1988 le Trio des Iscles, aujourd’hui rebaptisé DUMKY TRIO, ensemble français parmi les plus primés avec 6 prix nationaux et internationaux. Il participe avec cet ensemble à de nombreux festivals en France et à l’étranger, souvent diffusé sur les ondes (France-Musiques, Radio Nationale Tchèque, RAÏ Italienne…) et enregistre plusieurs disques plébiscités par la presse consacrés à Brahms et Schumann, des compositeurs contemporains Canadiens, une intégrale des Trios de Martinü… Le dernier CD, une intégrale des trios de Dvorak, paru en 2006, a obtenu 5 Diapasons et de nombreuses autres distinctions. Son activité musicale se porte également sur la création contemporaine et le spectacle musical. De 1995 à 2002, il est membre soliste de l'ensemble FA (direction Dominique My) et invité dans de nombreux festivals ainsi que par l’ensemble intercontemporain sous la direction de Pierre Boulez, et participe à l’enregistrements de plusieurs CDs consacrés au répertoire contemporain. C’est l’occasion pour lui de nouer des liens avec la jeune génération de compositeurs et de créer depuis, chaque année, des oeuvres contemporaines, notamment à l’occasion de la résidence d’artistes du festival des « Rencontres Musicales de Haute-Provence ». Les dernières créations en date : En 2009, le Trio de Francine Aubin pour piano, violon et violoncelle, ainsi que le deuxième Trio pour piano, violon et violoncelle d’Ivan Bellocq, dédicacé au DUMKY TRIO. En 2010, « Apollo XI, ou l’Autre Côté » d’Ivan Bellocq pour violon seul. Depuis sa création, Pierre-Olivier Queyras consacre son mois de juillet au festival des Rencontres Musicales de Haute-Provence qu’il a fondé avec ses parents et son frère Jean-Guihen Queyras et dont il est directeur artistique. Ce festival est soutenu activement par plusieurs sommités du monde musical. Ces activités variées, ne lui font pas oublier la reconnaissance et l'admiration qu'il porte à tous les artistes qui l'ont guidé dans son apprentissage et son parcours musical. C'est pourquoi il enseigne comme professeur titulaire aux CRR de Cergy-Pontoise et Rueil-Malmaison et est chargé de cours dans différentes académies ou festivals tels que le Banff Centre for the Arts (Canada), Musicalta, Université Musicale Hourtin Médoc, Saint-Rémy-lès-Chevreuse et Festiv’académie de Neuvic. Site : http://dumkytrio.com

Gesine Queyras, violoncelle

Née à Freiburg im Breisgau, Gesine Queyras entre à 15 ans au Conservatoire Supérieur de Musique de cette ville dans la classe de Christophe Henkel. Elle y reçoit son diplôme avec une mention spéciale du jury en 1989 et poursuit ses études à Mannes College of Music à New-York chez Timothy Eddy où elle obtient un Artists Diploma en 1991. L'intérêt pour la musique baroque la dirige vers Christophe Coin, chez qui elle se perfectionne au CNSM de Paris d'où elle sort avec un premier prix en 1996. C’est déjà lors de ses dernières années d’étude qu’elle est engagée comme continuiste dans les principaux ensembles et orchestres baroques parisiens, tels Les Arts Florissants (William Christie), Le Concert Spirituel (Hervé Niquet), et Les Talents Lyriques dirigés par Christophe Rousset. Elle participe avec ce dernier à de nombreuses productions discographiques, notamment « Mithridate » avec Cecilia Bartoli et Nathalie Dessay. Elle joue depuis, régulièrement dans Le Balthasar Neumann Ensemble de Thomas Hengelbrock et dans l'Orchestre des Champs-Élysées de Philippe Herreweghe. Gesine Queyras est co-directeur artistique des Rencontres Musicales de Haute-Provence qui rassemble chaque été des musiciens de toute l’Europe. Site : www.salagonquartett.de

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Jean-Guihen Queyras, violoncelle Longtemps soliste de l’Ensemble Intercontemporain, Jean-Guihen Queyras est profondément influencé par son travail avec Pierre Boulez. Sa discographie, marquée par l’éclectisme, comprend aussi bien des œuvres de Haydn (sur instrument d’époque) que de Dvořák ou de compositeurs du xxième siècle. Fondamentalement ouvert à la musique contemporaine, Jean-Guihen Queyras a créé les concertos d’Ivan Fedele, Gilbert Amy, Bruno Mantovani et Philippe Schoeller (Wind's Eyes), dont certains seront enregistrés pour harmonia mundi fin 2008. Ses récitals solos au Triphony Hall à Tokyo ou au Théâtre du Châtelet à Paris offrent une résonnance contemporaine au répertoire plus ancien. Ainsi, il a associé les Suites de Bach (enregistrées en 2007) aux Echos commandés à Kurtág, Amy, Fedele, Nodaïra, Mochizuki et Harvey, projet qui connut le succès au Konzerthaus de Berlin, à la Musikhalle de Hambourg et à la Cité de la Musique. Invité par les orchestres du monde entier (Philharmonia de Londres, Orchestre de Paris, Tokyo SO, Radio-Sinfoniorchester de Saarbrücken, orchestres de la SWR, BBC National Orchestra of Wales, Prague Philharmonia, Tonhalle de Zurich, The Hallé, City of Birmingham Symphony Orchestra...),Jean-Guihen Queyras a joué sous la direction de Heinz Holliger, Frans Brüggen, Jiří Bĕlohlávek, Leonard Slatkin, Oliver Knussen, Bruno Weil, András Ligeti ou encore David Stern. Passionné de musique de chambre, il a pour partenaires Emmanuel Pahud, Isabelle Faust, Alexander Melnikov et Alexandre Tharaud, et fondait en 2004 le quatuor à cordes Arcanto avec Tabea Zimmermann, Antje Weithaas et Daniel Sepec. 2008 a été une année particulièrement importante dans la carrière de Jean-Guihen Queyras : en mars, il était distingué par les Victoires de la Musique Classique dans la catégorie “soliste instrumental de l’année” et en novembre il était élu “Artiste de l’année” par les lecteurs de la revue Diapason. Jean-Guihen Queyras est professeur à la Musikhochschule de Stuttgart et co-directeur artistique des Rencontres Musicales de Haute-Provence (Forcalquier). Depuis novembre 2005, Jean-Guihen Queyras joue un violoncelle de Gioffredo Cappa de 1696 prêté par Mécénat Musical Société Générale. Site : http://www.jeanguihenqueyras.com

David Walter, hautboïste, chef d’orchestre

Hautboïste issu du Conservatoire National Supérieur Musique de Paris (Premier prix de hautbois et de musique de chambre), David Walter acquiert une renommée internationale grâce à ses 5 récompenses au concours de Munich, Prague, Genève, Belgrade et Ancona. Musicien éclectique, il partage aujourd’hui ses activités dans différents registres. Sa carrière de soliste l’appelle à se produire sur les cinq continents. La musique de chambre occupe une place centrale avec le Quintette Moragues (fondé en 1980), l’ensemble Pasticcio Barocco, les pianistes C. Zacharias, S. Richter, C. Désert, E. Strosser, C. Ivaldi, J.F. Heisser, M. Dalberto, les quatuors à cordes Ysaye, Ligeti, Manfred, Endellion, Psophos et de nombreux autres ensembles. La direction d’orchestre, dans un répertoire allant du baroque au jazz, est l’occasion d’une collaboration avec le Mariinsky St Petersbourg, l’Orchestre Simon Bolivar, l’Orchestre de Rennes, le Metropolitan Lisboa, l’Orchestre National de l’Ile de France ou l’Orchestre Royal de Wallonie… Il est professeur de hautbois et de musique de chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris depuis 1987, également professeur des mêmes disciplines de 1997 à 2009 à la Guildhall School of Music de Londres. Sa passion de transmettre le conduit à donner des master classes dans plus de quarante pays. La transcription représente une activité intense réunissant un catalogue de plus de 550 œuvres, de la sonate à l’opéra. A travers la composition, il explore différents styles, à ce jour une trentaine d’opus principalement en musique de chambre. L’année 2013 verra la création d’un opéra-conte écrit en collaboration avec la dramaturge et metteur en scène Emmanuelle Cordoliani. Site : www.davidwalter.fr

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Antje Weithaas, violon Antje Weithaas étudie au Conservatoire "Hans Eisler" de Berlin. En 1987, elle remporte le concours Kreisler de Graz, le concours Bach de Leipzig, le concours international de violon de Hannover. Ces succès lui ouvrent la voie d'une carrière internationale. Elle se produit dès lors avec les plus grands orchestres en Europe, aux USA et au Japon... Elle a joué en Asie avec le Tokyo Metropolitan Orchestra et l'Orchestre Symphonique de Singapour, en Scandinavie avec l'Orchestre Symphonique de la Radio Nationale Danoise et l'Orchestre de Chambre de Suède... Ses partenaires au pupitre sont Vladimir Ashkenazy, Yavok Kreizberg, Yuri Termikanov, Sakari Oramo et bien d'autres. Chambriste passionnée, Antje Weithaas travaille aussi régulièrement avec des artistes comme Lars Vogt, Isabelle Faust, Tabea Zimmermann, Boris Pergamenschikov, Jean-Guihen Queyras… Elle a ainsi été l'invitée des festivals de Heimbach, Mondsee, Londres... Depuis 1999, Antje Weithaas enseigne à l'Université des Arts de Berlin.

Sebastian Wohlfarth, alto Né à Freiburg im Breisgau en 1972, il étudie le violon à l'âge dès l’âge de six ans. En 1985 il entame une formation auprès d’Ildiko Moog, ainsi qu'auprès de Christian Sikorski à partir de 1988. En 1990, il se met au violon alto. Après le baccalauréat, il entre au conservatoire de Freiburg où il effectue ses études de musique de 1993 à 1996 auprès du Professeur Kim Kashkaschian. Il part ensuite pour Berlin, à l'académie Hanns Eisler, dont il sort diplômé en 1998. Dans le même temps il parfait sa formation auprès de maîtres tels que Nora Chastain, Shmuel Ashkenazy, György Kurtàg. De 1994 à 1999 commence une période riche et variée de concerts, de productions radiophoniques et de CD au sein du Sikorsky Quartett de Stuttgart. En tant que soliste, il est également sollicité par bien des formations de chambre d'écoles de musique, mais aussi par l'Ensemble Bartholdy ou par l'Orchestre de chambre de Freiburg. Sebastian a commencé à enseigner le violon alto et la musique de chambre au conservatoire de Freiburg, et depuis 2000, il exerce à l'université d'été de la Part Dieu (Suisse) dont il est co-organisateur. On le voit maintenant très souvent en tournée à l'étranger ou sur les plateaux allemands où il est invité par de nombreuses formations, telles que l'Orchestre de chambre de Bâle, celui du Wurttemberg à Heilbronn, ou les solistes baroques de Freiburg. Site : www.salagonquartett.de

Tabea Zimmermann, alto Tabea Zimmermann commence l’alto à l’âge de trois ans, et le piano deux ans plus tard. Après avoir étudié avec Ulrich Koch à la Musikhochschule de Fribourg, elle travaille auprès de Sandor Vegh au Mozarteum de Salzbourg. Lauréate de nombreux concours, elle remporte notamment les Premiers Prix du Concours international de Genève en 1982 et du Concours international de Budapest en 1984. Tabea Zimmermann doit au succès qu’elle remporte au Concours Maurice Vieux en 1983, un alto du luthier Étienne Vatelot, sur lequel elle joue toujours à l’heure actuelle. Tabea Zimmermann forme avec les violonistes Antje Weithaas et Daniel Sepec ainsi que le violoncelliste Jean-Guilhen Queyras le Quatuor Arcanto, auquel elle continue à consacrer une part importante de son activité de chambriste. Cette saison sera marquée par leurs débuts au Festival Tivoli de Copenhague, au Festival du Rheingau, à la Philharmonie de Berlin, à Londres, Paris, Amsterdam, Helsinki et Madrid, ainsi qu’à la Kunstfest de Weimar où Tabea Zimmermann est en résidence pour l’édition 2009. Après un disque Bartók, leur second enregistrement sera consacré à Brahms (Premier Quatuor et Quintette avec le pianiste Silke Avenhaus). Incitant de nombreux compositeurs à écrire pour l’alto, Tabea Zimmermann a déjà fortement contribué à l’introduction d’œuvres nouvelles dans le répertoire habituel des concerts. En avril 1994, elle crée la Sonate pour alto solo de György Ligeti – qui lui est dédiée – et, ces dernières saisons, créé notamment Recicanto pour alto et orchestre de Heinz Holliger, Über die Linie IV de Wolfgang Rihm, Monh de George Lentz et Notte di pasqua de Frank Michael Beyer. Parmi les nombreux disques de Tabea Zimmermann figurent un enregistrement du concert qu’elle a donné avec Hartmut Höll dans la maison natale de Beethoven avec l’alto du compositeur. Elle a aussi récemment gravé Harold en Italie de Berlioz avec l’Orchestre Symphonique de Londres placé sous la direction de Sir Colin Davis et la Suite pour alto et orchestre de Bloch avec l’Orchestre Symphonique Allemand placé sous la direction de Steven Sloane. Depuis octobre 2002, Tabea Zimmermann est professeur à la Hochschule für musik Hans Eisler de Berlin, après avoir enseigné à Saarbrücken et à Frankfurt. Site : http://www.tabeazimmermann.de

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Pierre Roux, contrebasse Né à Aix-en-Provence, Pierre Roux a fait ses études de contrebasse dans la région PACA. Elève de Pierre Delescluse à Aix-en-Provence et d’André Mariller à Nice il obtient les premiers prix de conservatoire avec félicitations. Contrebassiste à l'orchestre de l'opéra de Marseille en 1980 et à l’orchestre de l’Opéra d’Avignon pendant deux saisons, mais également dans les orchestres de Toulouse et de Toulon. Il accompagne le chanteur Charles Trenet dans ses tournées internationales de 1980 à 1985. Il joue actuellement dans diverses formations instrumentales de la région, « Le Lacidon », orchestre de chambre composé d’instruments à vent, l’Ensemble Cattanea avec six clarinettes et une contrebasse, le Trio Brassens, guitare, batterie, contrebasse et chant. Pierre Roux est professeur certifié, titulaire au CRD 04 DIGNE/MANOSQUE

Léa Favre, danse Léa commence son parcours de danseuse avec la Danse Contemporaine à l’âge de 7 ans. Elle goûte également à la Danse Classique puis à la Danse Orientale avant de rencontrer la Danse Indienne au cours d’un voyage en Inde du Sud. De retour en France, elle se forme activement auprès de professeurs de différents styles : Bharata Natyam, Bollywood, Odissi… tout en continuant son parcours Universitaire en Master de Cinéma et en intégrant une Ecole de Comédienne (Cours A. Simon à Aix-en-Provence). La danse trouvera une juste place au sein des différents rôles qu’on lui propose au travers de projets divers, pièces de théâtre et court métrages. Ainsi elle mêle souvent la danse à sa pratique théâtrale et rencontrera d’ailleurs plusieurs rôles où danse et comédie sont inextricablement liées (elle jouera notamment un mois pendant le festival d’Avignon dans une pièce d’Adel Hakim qui mêle danse et texte et dans plusieurs autres projets audiovisuels pour lesquels elle crée différents soli). Elle se perfectionne en Odissi (Danse du Nord Est de l’Inde) au coté d’Anne Claire Feybesse, professeur à Marseille, ce qui lui permettra de retourner en Inde où elle rencontre une grande danseuse et chorégraphe d’Odissi, Madhumita Patnaik, avec laquelle elle entame un apprentissage traditionnel et rigoureux en cours particuliers. Elle a suivi pendant plusieurs mois la formation Tétraccord à Marseille avec des modules théoriques et pratiques en Histoire de la Danse et de la Musique ainsi qu’un enseignement Pédagogique et des cours d’Anatomie. Cette formation était encadrée notamment par Marie-Hélène Desmaris, Miguel Nosibor, Virginie Recollin… Elle a obtenu une certification et a été diplômée en Décembre 2011 comme Formatrice en Danse. Elle enchaîne ensuite avec une formation dans l’école du Grenier du Corps à Marseille dirigée par Véronique Larcher, et reçoit à cette occasion une certification de stage en « Pédagogie, Anatomie et Analyse du Mouvement ». Elle anime aujourd’hui des Ateliers de Danse Indienne pour enfants, adolescents et adultes dans les Alpes de Haute Provence. Elle a également participer à plusieurs interventions en milieux scolaires notamment dans le cadre de Crok Livres, festival jeunesse en région paca (Forcalquier), ainsi que dans des centre aérés à l’occasion des Découvertes du Monde. Depuis quelques années déjà, elle fait partie de la Cie de Danse Contemporaine T’émoi, (www.compagnie-temoi.com) qui propose des croisements artistiques et culturels, où elle apporte une forme de métissage au sein des diverses créations. En 2011 elle a participé à une création de Sylvie Guillermin dans le cadre d’un spectacle –joué au Théâtre du Cadran à Briançon- sur le croisement entre danse indienne et danse contemporaine. Ce croisement a permis à Léa de travailler en étroite collaboration avec Sylvie Guillermin et Jyoti (Josiane Sarrazin - danseuse de Bharata Natyam) présente sur le projet pour assurer la partie danse traditionnelle. Elle souhaite aujourd’hui orienter ses ateliers davantage autour du métissage des styles, entre modernité et tradition, en accord avec son parcours artistique.

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Séréna Favre, danse Fille de danseuse, Séréna entre dans un studio de danse dès son plus jeune âge. Commençant par un apprentissage en Danse Contemporaine, avec un travail approfondi sur l’Espace, la Musicalité et la conscience du corps elle découvrira par la suite d’autres disciplines qui ne feront qu’enrichir sa Danse (technique Body Mind Centuring, Capoeira, Danse classique, Danse Indienne, Théâtre, Hip Hop…) Elle sera rapidement engagée comme interprète pour différents projets au sein de compagnies diverses. Elle est tout d’abord une des danseuses de la compagnie T’emoi, collectif d’artistes de la région PACA, venant d’horizons et d’univers tous aussi riches et différents les uns que les autres. Cette compagnie (www-compagnie-temoi.com) se produit pour des festivals ou dates ponctuelles et crée des spectacles autant pour le jeune public que pour le tout public. Privilégiant des projets inter-culturels et travaillant sur des thématiques variées et symboliques telles que les frontières, l’errance, les racines, la filiation… la compagnie « T’emoi » obtient en 2007 une résidence au Maroc où leur spectacle, dans lequel Séréna danse, sera joué plusieurs fois. La Compagnie travaille actuellement sur un projet entre Danse Indienne et Danse Contemporaine, une création qui crée un pont entre modernité et tradition. Séréna est une des interprètes principales de ce spectacle. La Compagnie prévoit de faire tourner celui-ci en Inde. Séréna a travaillé également avec d’autres compagnies, la première étant la compagnie « C’est pas nous » une compagnie inter-universitaire qui se produira à Aix-en-Provence, Poitiers, Marseille… Elle intégrera ensuite le collectif « Commun echo » de Marseille et fera plusieurs résidences au KLAP et également une présentation de leur travail dans ce lieu dédié à la Danse et dirigé par Michel Kéléminis. Aujourd’hui elle travaille les percussions corporelles mêlées à la danse au sein d’ « Hippo Project » une création mis en scène par la danseuse et chanteuse Sibonguilé Mambo. Elle a suivi une formation professionnelle aux Studios du Cours à Marseille et obtenu son diplôme d’Etat, ce qui lui permet d’enseigner aujourd’hui au sein d’écoles de danse différentes, à Pierrevert, Aix-en-Provence, Château Arnoux et Marseille. Séréna continue de se former auprès d’artistes et enseignants qui nourrissent son travail, ainsi Véronique Larcher, Nicole Vivier, German Jauregui, et les différents intervenants de l’école de PARTS à Bruxelles font partie de son panthéon de formateurs. Elle continue un travail régulier avec ces différents intervenants et se rend souvent à l’étranger afin de suivre leurs master-class.

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Wilhelm Queyras, comédien Auteur, metteur en scène, comédien en langue anglaise, française et allemande. Il a suivi une formation d'art de la parole à la London School of Speech and Drama (l989-1993), avant de rejoindre le " Crysalis Theater " (Londres) où il intègre la troupe de Peter et Barbara Bridgmont. A travers ces deux expériences, il approche et approfondit la méthode du Cours aux acteurs de Rudolf Steiner. De retour en France il collabore avec Roland Dubillard, Pierre Chabert, Howard Barker (théâtre), Guillaume Canet, Jean-Pierre Mocky (cinéma), Romain Bouteille, Rufus, Romain Weingarten (radio France Culture). Durant plusieurs années, il anime un atelier de voix pour comédiens professionnels à Paris tout en poursuivant sa carrière de comédien au Rond Point des Champs Elysées, au Chêne Noir (Avignon), au Théâtre Molière ou encore au Théâtre du Lucernaire (Paris). Citons, entre-autres: Comme un bouchon de Roland Dubillard avec Ariane Dubillard,Si Camille me voyait, de Roland Dubillard, mise en scène de Maria Machado-Dubillad, La Cène, de Howard Barker, La boite à outils de Roland Dubillard, mise en scène de Pierre Chabert, Le soldat fanfaron de Plaute, mise en scène de Marc Cousquer. En 2007, il co-fonde la compagnie La Faille établie à Villeneuve les Avignon où il poursuit son travail de metteur en scène (Faim, Festivals d'Avignon 2007 et 2008) et d'auteur (La Visite, Power of Imagination, Les fenêtres endormies, Il viendra à six heures, Dans le ventre de la mère, ou encore, The Order, en préparation pour Avignon 2010). En milieu scolaire, il a dirigé régulièrement des adolescents avec notamment des mises en scène de: Marie Tudor, adapté du roman de Vicor Hugo, Le menteur de Goldoni, La contrebasse de Patrick Süskind, La rivière des deux mondes, spectacle soutenu par les éditions Actes Sud, et dont il a également conduit l'adaptation à partir de textes d'Eric Emmanuel Schmitt, Simone Weil, Henri Mitton... En 2009, il a dirigé La tempête de Shakespeare, pièce avec laquelle les élèves sont partis en tournée en Inde.Récemment, il a mis en scène La Cantatrice Chauve d'Eugène Ionesco avec la compagnie "Les Art'Souilles", mais aussi L'Assemblée des Femmes d'Aristophane au théâtre antique d'Arles (août 2011) et Les Métamorphoses d'Ovide dans le cadre de l'anniversaire de l'inscription d'Arles au patrimoine mondial de l'UNESCO (juillet 2011).

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1. REMERCIEMENTS À NOS SOUTIENS, MÉCÈNES ET PARTENAIRES

L’association des Rencontres Musicales de Haute-Provence fonctionne grâce au

dévouement de ses bénévoles et au travail efficace de son administratrice, salariée à temps

partiel de l'association. Les concerts proposés sont donnés par des musiciens, tous engagés

dans des carrières internationales, dont la générosité est d'accepter des cachets très

modestes par rapport à leur notoriété.

C'est ce qui permet de maintenir des tarifs vraiment raisonnables compte tenu des concerts

de grande qualité afin d’accueillir un large public.

Mais, malgré toutes les bonnes volontés qui contribuent au fonctionnement de

l'association, les Rencontres Musicales ne pourraient continuer à vivre et à proposer,

chaque été et tout au long de l'année, les concerts qui ont fait leur renommée, sans les

soutiens financiers et les aides matérielles et morales des collectivités territoriales, des

mécènes et des partenaires.

Nous tenons à leur exprimer toute notre reconnaissance et nos remerciements ; nous

espérons vivement que, malgré les inquiétudes qui pèsent sur le financement du spectacle

vivant et de la culture, l'engagement de tous permettra la poursuite et le développement de

la mission culturelle de l'association dans le domaine musical.

La Direction Artistique et le Bureau de l'association.

Les Rencontres Musicales de Haute-Provence sont soutenues par :

Traiteur Étal +, Intermarché Forcalquier, Chocolaterie Manon, Biscuiterie Roubaud, Crédit Agricole, Cum

Panis, Confitures Comtes de Provence, Le Cabanon, Garage Lions, GAEC des Provins, Lothantique,

L’Occitane en Provence, Banque Alimentaire (pour le prêt d'un véhicule).

Les Rencontres Musicales de Haute-Provence sont très honorées

du soutien fidèle de Pierre Boulez et l'en remercient vivement.

Les pianos sont loués par "Le Monde de la Musique" (Éric Poulain, Manosque).

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Les Rencontres Musicales Il était une fois… Juillet 1983 Quelques jeunes musiciens, élèves des conservatoires de Lyon et de Paris, se produisent gratuitement à la cathédrale de Forcalquier. C’est la naissance de la Journée Continue de Musique de Chambre qui, au fil des années, s’enrichit de nouveaux musiciens et d’un programme de plus en plus varié. Manifestations nouvelles A la demande du public, conquis par la journée continue, 4 ou 5 concerts payants sont programmés dans des lieux voisins. Pour permettre à tous l’écoute de la musique, les prix des concerts restent très accessibles. Depuis 1989, une dizaine de musiciens se retrouvent chaque année en juillet pour travailler et partager de riches moments musicaux. La musique et son ouverture En 1996, des répétitions publiques ravissent le public désireux d’y assister. La qualité artistique, l’atmosphère de simplicité, l’amitié et le dialogue ont participé à la renommée des Rencontres Musicales. Ces jeunes musiciens, qui avaient lancé la journée continue, se sont imposés comme solistes ou chambristes dans le monde de la musique tant sur le plan national que sur la scène internationale. Chaque année, de nouveaux artistes rencontrés dans des festivals prestigieux en France ou à l’étranger, sont invités. Ces rencontres permettent une programmation hardie, de la musique baroque à la musique contemporaine. Chaque concert propose une œuvre contemporaine commentée par les musiciens voire par le compositeur lui-même, amenant le public à découvrir un univers moins familier. Soutien aux Rencontres Musicales Encouragées et soutenues financièrement par d’éminentes personnalités du monde musical, elles sont aussi subventionnées par la ville de Forcalquier, le Conseil général, le Conseil Régional PACA et autres mécènes. Organisation des Rencontres Musicales Nées sous l’impulsion de leurs fondateurs, Marie-France et Jean-François Queyras, l’association des Rencontres Musicales, est actuellement prise en main par une équipe bénévole, qui respecte le même esprit que ses créateurs, soutenue pendant l’été, par de nombreux volontaires qui assurent la mise en place des manifestations. Les Rencontres Musicales dans le futur… En évolution constante, les musiciens, tous engagés dans des carrières internationales, se retrouvent à Forcalquier pendant une quinzaine de jours, pour une prestation particulièrement originale et un succès toujours grandissant. Manifestations Journée Continue de Musique de Chambre 3 Concerts à Notre-Dame de Salagon de Mane 3 Concerts au Couvent des Cordeliers à Forcalquier Stage en partenariat avec l’Ecole de musique et de danse de la communauté de communes du pays de Forcalquier-Montagne de Lure Master jeunes talents