Rêve d'évasion Mag 14

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NOUVELLE ORLÉANSduo d’ÉVasion

GUADELOUPE

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EN ATTENDANT LES YOLES

ENTRE NOUS...

Déjà les vacances et vous n’avez pas vu passer les jours, les mois ! Ne croyez-vous pas qu’il serait temps de faire une pause, de souffler, de vous débarrasser pendant quelques jours des soucis du quotidien ?

Offrez-vous donc un dépaysement total en vous immergeant dans l’ambiance festive du Quartier français à La Nouvelle-Orléans ou en vous projetant dans le monde de demain au Futuroscope ! Appréciez et profitez des sites et des paysages de la Guadeloupe toute proche, ils vous ramèneront en douceur sous nos latitudes afin de vous permettre de suivre le tour des Yoles rondes. Juste avant la rentrée, un séjour en thalasso vous permettra de recharger durablement vos batteries pour la reprise.

Quels que soient vos choix ou vos projets, nous vous souhaitons des vacances pleines de rêves et d’évasions !

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trimestriel gratuit n°14dépôt légal : à parution • issn : 2103 - 3145

Directrice de la publication : C. revertDirecteur adjoint et rédacteur : M. alma : 0696 23 85 15Responsable commerciale : Chantal alma : 0696 36 80 56 Mail : [email protected] Responsable de la distribution : H. almaPublication : revert CommunicationZone acajou Californie, le lamentintél : 0596 70 34 86 Mail : [email protected] : Com-unique : 0596 52 63 14Imprimeur : imprimé en ueCrédits photos : Fotolia - ot usa - nouvelle-orleans - ot lamentin Futuroscope - Carole Colin - sarell saviliaRemerciements : Futuroscope - Jardin Botanique de deshaie - ot louisianeJean Marc delin

POUR COMMUNIQUER DANS CE MAGAZINE, TÉLÉPHONE : 0696 36 80 56 www.revesdevasion.com

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EN ATTENDANT LES

YOLES PAGE 12

Zoom surFuturoscope

Duo d’évasionGuadeloupe

Destination du momentLaNouvelleOrléans

• Agenda Page 06

• Le mot du CMT Page 08

• Coup de Cœur Page 10

• Étape en Martinique Page 12

• Escale en Martinique Page 16

• Duo d’évasion Page 18

• Escale des Saveurs Page 28

• Destination du moment Page 30

• Zoom sur Page 42

• Évasion des papilles Page 48

• Escale des Sens Page 50

• Tourisme Responsable Page 52

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sLES BONS PLANS

Martinique

Festival culturel de Fort-de-France6 au 28 juillet

Festival Biguine Jazz6 au 12 août (sous réserves)

Tour cycliste 7 au 15 juillet

Tour des Yoles rondes29 juillet au 5 août

GuadelouPeFestival de la Guadeloupe (gastronomie, musique, fêtes traditionnelles)1er juillet au 31 août

Festival de Gwo Ka de Sainte-Anne 9 au 14 juillet Infos: 0590 88 12 16

Festival International du Zouk de la Guadeloupeanimations et concerts dans plusieurs communes de l’archipel Infotel : 0590 24 19 68

11ème Tour de Guadeloupe En Voile traditionnelle 7 au 15 Juillet

Fête des cuisinièresProcession de cuisinières en tenue traditionnelle vers la Basilique St Pierre et St Paul pour une bénédiction suivie d’un défilé coloré dans les rues avant un grand banquet avec chants et danses. Ouvert à tous, la fête se termine par un grand bal. 11 aoûtInfos : 0590 91 22 75

Tour cycliste3 au 12 août

sainte- luCieCarnavalJusqu’au 17 juillet

Paris

Salon

Mondial de l’Automobile Paris-expo Porte de Versailles 29 septembre au 14 octobre

Concerts et spectacles

Paris Jazz Festival Parc floral Vincennes

9 juin au 29 juillet Rer A - Métro Château de Vincennes Bus ligne N°112

Opéra en plein air Aïda de Verdi mis en scène par Élie Chouraqui Hôtel national des Invalides du 7 au 15 septembre, château de Chantilly (Oise) les 21 et 22 septembre.

Solidays 2e plus grand festival de musique de France après des Vieilles Charrues À l’affiche : Bénabar, Charlie Winston, la Grande Sophie, Selah Sue, Sinsemilla,

Zebda, Arthur H, Brigitte, Amadou et Mariam... Tarif : forfait 3 jours à 39 € et 49 €. hippodrome de Longchamp 22 au 24 juin 2012

Cinéma en plein air à la Villette Du mardi au dimanche à la tombée de la nuit, diffusion d’un film chaque soir sur l’écran géant installé dans le parc de la Villette. Locations de transats possibles. Accès libre.

Festival Rock en Seine à Saint-Cloud Têtes d’affiche: The Black Keys,

Placebo, Green Day, Noel Gallagher et Foster The People. Domaine national de Saint-Cloud 24 au 26 août

Techno Parade de Denfert-Rochereau à Bastille 15 septembre 2012

La Quinzaine du hip-hop expressions de la culture hip-hop sous ses formes, jeune, populaire et métissée. Concerts, graffitis, danse, cinéma... 22 juin au 4 juillet 2012 www.paris-hiphop.com

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Résidence hôteliere LE PARADIS DES ANGESRestaurant LE BONHEUR DU PALAIS

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Le Paradis des Anges, c’est un cadre charmant discret et raffiné, pour un séjour calme et serein, à quelques pas de la plage, seul en couple ou en famille Le Bonheur du Palais, c’est son restaurant où vous apprécierez une cuisine créole fine et parfumée pour tous les événements de votre vie (Mariage, baptême, etc..)

les Martiniquais s’impliquent et s’investissent dans le challenge relevé par le Comité Martini-quais du tourisme et le Conseil régional, de redynamiser la destination Martinique. C’est ainsi qu’à peine la haute saison terminée, belle saison marquée par des chiffres encourageants, notamment dans le secteur de la croisière, la campagne locale « Bâtisseur de Paradis » a pris le relais en incitant les Martiniquais à faire connaître leurs actions en faveur du développe-ment touristique de la Martinique.

233 participants ont proposé, via notre jeu internet, des actions tournant autour des thématiques suivantes :- La valorisation des ressources naturelles et du patrimoine- L’embellissement de l’environnement de chacun- La «promotion « de la destination à travers les outils web

46% d’entre eux ont entre 18 et 24 ans, ce qui souligne un véritable esprit d’initiative qui augure d’une sensible amélioration de la conscience du challenge que nous avons lancé et d’une évolution des comportements. Pour ce deuxième volet de la campagne des bâtisseurs, 11 candidats ont été désignés par les votants sur internet dont 4 gagnants issus du tirage au sort final. Je tiens à remercier l’ensemble des participants qui œuvrent au quotidien, par de petits et de grands gestes, à l’amélioration de notre destination.

Par ailleurs, et pour continuer de gommer les effets de la saisonnalité, le Comité Martiniquais du Tourisme a proposé le 17 Mai 2012 un nouveau rendez-vous, une opération séduction sur nos meilleurs produits que sont la course de yoles et nos atouts musique, gastronomie et artisanat : le Martinique Yole Festival. Le public, les « yoleurs» et les touristes ont répondu présent pour cette manifestation associant un village artisanal de plus de 30 exposants, un programme d’animation musical et une belle compétition en mer. Le succès de cette fête sur l’eau et sur la plage nous amènera à proposer ce produit dès l’année prochaine à notre clientèle extérieure via les tours operators et les agents de voyage.

Enfin, la 12ème édition de l’opération « Partez en Vacances en Martinique » sera lancée les 15 & 16 juin à la Galléria. Des offres attractives provenant de plus de 50 partenaires pour les Martiniquais qui ne partent pas en vacances à l’extérieur. Afin de satisfaire nos proches voisins de la Guadeloupe l’opération « Partez en Vacances en Martinique » sera étendue à la Guadeloupe avec un événement prévu les 8 et 9 Juin au centre commercial Destreland. Des offres spéciales sur nos hébergements hôteliers, des découvertes de loisirs sportifs, des rallyes gourmands… de quoi en séduire plus d’un.

De belles perspectives pour préparer des vacances et réaliser quelques rêves d’évasion…Karine ROY-CAMILLE

Présidente

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En effet, idéalement située sur une colline de La Pointe du Bout, La Villa Melissa accueille 1 à 5 personnes dans des logements très confortables, entièrement équipés et allant du studio au T2.

Meublés et décorés avec goût et raffinement, ils offrent tous une superbe vue panoramique sur la baie de Fort-de-France récemment classée dans le cercle restreint des plus belles baies du monde !

Pour quelques jours de repos, vous rêvez d’un espace de charme, moderne et confortable, bénéficiant d’une vue magique, au calme, mais proche de toutes les commodités ! tous ces voeux, c’est aux trois-ilets que vous les conjuguerez à l’occasion d’un séjour dans le cadre exceptionnel de la Villa Melissa !

VILLA MÉLiSSA

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L’ensemble de conception très récente a été pensé pour le confort et le bien-être du vacancier, car il dispose de son parking sécurisé et met piscine et balnéo avec vue sur mer à disposition de sa clientèle qui bénéficie en plus de la connexion Wifi. A peu de distance de la plage et des loisirs nautiques, La « Villa Melissa » constitue un lieu idéal pour de vraies vacances, car outre le golf tout proche, commerces, boutiques, restaurants ou casino sont accessibles à pied, et grâce à la navette

maritime, visiter Fort-de-France ne nécessite que quelques minutes de transport. Ces atouts indéniables liés aux tarifs très abordables et à l’accueil particulièrement chaleureux des hôtes du lieu font de la « Villa Mélissa » un paradis pour vos vacances en Martinique.

Rue des palmiers Anse Mitan Trois iletstel: 0596 67 29 37/0696 27 43 27www.villamelissa.fr - facebook:Villa Melissa-Locations de vacancesMail:[email protected]

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Ce sont des milliers de spectateurs qui sont attendus sur nos côtes, sur la mer et dans les villes d’arrivée du 28e tour des Yoles rondes qui se dérouleradu 29 juillet au 5 août. l’épreuve est prévue en six étapes avec départ et arrivée au Robert. Ce sont autant d’opportunités qui s’offrent à nous pour découvrir certaines curiosités ou mieux connaître les particularités qui font le charme des communes ponctuant le parcours.

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Sous-préfecture de la Martinique depuis 1965, La Trinité héberge depuis 1862 l’usine du Galion seule subsistante de la quinzaine d’unités qui y fonc-tionnaient auparavant. Première émergence de la Martinique il y a 20 millions d’années, depuis 1976, la presqu’île de la Caravelle abrite une magnifique réserve naturelle pourvue d’un chemin de randonnée permettant d’accéder aux vestiges du château Dubuc, propriété de Pierre Dubuc, normand qui débarqua sur l’île en 1657. L’habitation principale de deux étages dominait l’ensemble de la propriété plantée de canne à sucre. La deuxième étape nous conduit à Saint-Pierre, ville fondée en 1635 par le gentilhomme Pierre

Belain d’Esnanbuc qui, séduit par le site au pied de la montagne, décida de jeter l’ancre à l’embouchure de la rivière Roxelane (du nom de son navire), construisit ensuite un fortin, prémices des premiers quartiers qui formeront bientôt la ville qui deviendra une capitale économique surnommée « Petit Paris » tant elle brille par sa richesse et son faste qui seront anéantis par la tragique éruption de 1902. Aujourd’hui, une visite instructive au CDST précédera un circuit pédestre ou en petit train entre les vestiges témoins de ce passé glorieux. Direction Fort-de-France qui accueillera les yoles rondes en tant que nouveau membre du club restreint des plus belles baies du monde.

EN ATTENDANTLESYOLES

Issue d’un fortin érigé en 1638 par Duparquet sur la presqu’île de Cul-de-sac Royal, la construction de Fort Royal débute en 1674. La ville qui prend un grand essor se transforme alors en centre administratif de la Martinique. Devenue Fort-de-France en 1848, incendies et catastrophes naturelles en- dommageront souvent ses constructions et infrastructures sans nuire à son expansion et à sa croissance. Aujourd’hui, après d’importants travaux de réno-vation, des espaces publics, des rues, les musées, la poste, la cathédrale Saint-Louis, le Parc floral Aimé Césaire,

le front de mer ou la Place de la Savane et ses nouveaux kiosques sont une véritable invitation à la découverte. Le Diamant est la quatrième ville de notre parcours. Habité par les Arawaks au IVe siècle puis par une nombreuse communauté de Caraïbes au Xe (Dizac notamment), la première église y est construite en 1684. un siècle plus tard, le Diamant est un lieu important de production de sucre, de coton, et de café, activités maintenant disparues. Cependant, c’est l’imposante masse volcanique de son rocher de 176 m de haut qui signe l’identité de la commune.

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Transformée en église en 1743, celle-ci subira cyclones, tremblements de terre et incendies jusqu’au siècle dernier avant d’arborer son élégante stature actuelle. Commune depuis 1837, outre la beauté magique de sa baie, ce sont les 10 îlets qui attirent le plus de tou-ristes au Robert. Citons l’îlet Chancel qui outre une belle plage, possède des ruines datant du 18e siècle, ancienne

poterie, fours à chaux, etc., tandis que sa faune est riche de chauves-souris et d’iguanes. Petite Martinique, ilet aux Rats ou plus au large, Lougarou agrémentent aussi le paysage. Mais, c’est l’îlet Madame qui accueille plus de visiteurs, ceux-ci appréciant ses eaux calmes et sécurisantes. C’est un endroit stratégique pour suivre l’entrée triomphale des yoles dans la baie.

Programme prévisionnel Dimanche 29 juillet : Prologue robert

Lundi 30 juillet : robert - trinité

Mardi 31 juillet : trinité - saint-Pierre

Mercredi 1 août : saint-Pierre - Fort-de-France

Jeudi 2 août : repos

Vendredi 3 août : Fort de France - diamant

Samedi 4 août : diamant - sainte-anne

Dimanche 5 août : sainte-anne - robert

28ème Tour des Yoles Rondes

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Avec son aspect rappelant un diamant (d’où le nom du lieu), il a joué un rôle stratégique majeur au XIXe siècle lors des nombreux conflits opposant Fran-çais et Anglais. De nos jours, à moins de 2 km d’une des plus belles plages de notre Île, ce rocher est le refuge protégé de nombreux oiseaux. Pour l’avant-dernière étape, cap juste en face, car l’arrivée sera jugée à Sainte-Anne, la

commune où se situent les plages les plus réputées de la Martinique. Au plan géologique, cette zone volcanique est la plus ancienne de l’île, et les nombreux fragments de poteries et céramiques re-trouvés notamment dans le secteur de l’anse Trabaud confortent l’idée d’une présence importante d’Amérindiens au IVe siècle. Au XVIIe siècle, marais salants et sucreries enrichissent la colonie,

mais c’est en 1731 que les 700 habitants verront leur territoire érigé en une pa-roisse où canne à sucre et élevage constituent l’activité essentielle. Deve-nue commune en 1837, par son église et son calvaire, Sainte-Anne est un important lieu de culte. Les vestiges des anciennes habitations comme Crève-Coeur et Val d’Or dont le moulin est en cours de réhabilitation ainsi que les sites

naturels protégés complètent la variété de promenades possibles sur cette terre témoin des échanges tumultueux entre la mer et l’océan. Mais, pendant que nos valeureux compétiteurs s’y affrontent, rendons-nous au Robert pour assister à la finale de ce tour 2012. C’est en 1694 que le père Labat fonde cette pa-roisse au fond de la baie et y édifie une chapelle qu’il dédie à Ste-Rose de Lima.

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Aussi, en 2012, l’Office de Tourisme du Lamentin a prévu d’être plus offensif, notamment en renforçant ses liens avec les socioprofessionnels du territoire pour que leur implication s’intensifie et contribue de façon continue au rayonnement touristique de la ville. Cependant, même si l’OTL a atteint sa vitesse de croisière, il n’entend pas de se reposer sur ses lauriers. Bien au contraire, 2012 sera l’occasion d’innover et d’aller encore plus loin dans la valorisa-tion des atouts touristiques du territoire lamentinois. Le touriste, qu’il soit local ou non a heureusement évolué, et aujourd’hui, même s’il est vrai que le soleil est un facteur primordial, celui qui vient aux Antilles n’a pas que son planning de bronzage en tête, il privilégiera plutôt les contacts authentiques avec la population et cherchera à s’immerger dans la culture

du pays. Dès lors, et pour développer ce tourisme différent et tout aussi appréciable, la ville du Lamentin qui ne dispose pas de plages offre néanmoins un littoral agrémenté d’une extraordinaire étendue de mangrove que complètent harmonieusement les nombreux autres atouts de son arrière-pays, et la présence de quelque 3500 entreprises. À l’inter-national, du 3 au 9 juillet, l’OTL sera présent au Festival de la Caraïbe à Santiago de Cuba, car créée en 1982, La Maison de la Caraïbe y accueillera la Martinique avec Le Lamentin en invité spécial. Dédié chaque année à un pays de la Caraïbe, ce grand événement a pour but de favoriser diverses expressions de l’art, de la littérature et de la culture populaire traditionnelle de Cuba, de la Caraïbe et du monde. Aussi, consacrée à la Martinique, l’année

Créé en 2002, l’office de tourisme du lamentin (otl) fête ses 10 anscette année. Cité en exemple pour son dynamisme et l’esprit d’équipequi y règne, ce jeune organisme qui avait un grand défi à relever, reçoit aujourd’hui de plus en plus de visiteurs pour qui, excursions ouanimations programmées, sont autant d’occasions pour exprimer leursatisfaction à l’ensemble du personnel.

BIENVENuE Au LAMENtiN


2012 offre une opportunité pour mieux faire connaître notre île et nouer des relations dans tous les domaines avec l’ensemble des pays représentés. Ainsi, aux côtés de la Région et du Département, Le Lamentin sera repré-senté par une nombreuse délégation qui y célébrera à la fois le Festival et les 15 ans de son jumelage avec Santiago de Cuba. C’est en effet le maire de la cité cubaine qui a souhaité consacrer cette édition 2012 à la Marti-nique à l’occasion des 15 ans de cette association qui a donné lieu à une coopération vivante et vivifiante, faite d’initiatives audacieuses, d’acquisitions et de partage de savoir-faire dans de nombreux domaines. Cet anniversaire fera l’objet d’une programmation toute particulière associant festivités et solennité, et pour l’occasion, un charter a été mis en place afin de permettre une grande participation de la population martiniquaise.

(Info line, OTL : 0596 42 35 87) Par ailleurs, il faut noter que 2012 qui marque les 175 ans de la fondation de la ville du Lamentin (12 juin 1837) sera aussi l’année du grand déména-gement, car afin de mieux satisfaire le public, l’OTL occupera prochainement (avec l’Office de la Culture) les locaux rénovés de la Maison Pierre Zobda-Quitman (rue P. Zobda-Quitman).

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Fortes de leurs traditions, de leur culture et de la diversité de leurs sites naturels, les Îles de Guadeloupe constituent un véritable parcours de découvertes conjuguant émerveillements, plaisir et authenticité. Ce sont la végétation luxuriante et le charme de la Basse-terre où domine la soufrière ainsi que la beauté exceptionnelle des sites et des côtes de la Grande-terre qui feront l’objet de notre visite du moment.

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La Basse-Terre la belle naturePartie occidentale de l’ensemble, la Basse-Terre est un massif montagneux pourvu dans sa partie centrale d’une forêt dont la végétation généreuse abrite les 17 000 hectares du Parc National de la Guadeloupe où dominent les 1467 m de La Soufrière, le plus haut sommet des petites Antilles. Créé en 1989, ce parc, classé Réserve mondiale de biosphère est le 7e des 9 parcs nationaux et il constitue une zone protégée offrant près de 300 km de sentiers et itinéraires de ran-donnée balisés permettant d’accéder à de nombreux sites naturels. Ainsi, en partant de Capesterre-Belle-Eau, on parvient aux spectaculaires chutes du Carbet dont la plus haute se situe à plus de 110 m de hauteur. Le séisme de 2004 ayant occasionné l’effondrement d’une partie de la paroi rocheuse, aujourd’hui, les accès ont été réaménagés avec notamment la mise en place d’un belvédère qui permet au visiteur, même

en fauteuil d’assister au spectacle en toute sécurité. Le site qui a néanmoins conservé tout son attrait demeure un des plus fréquentés de la Guadeloupe.Cependant, toujours dans le parc et par beau temps, c’est en empruntant le sentier du Chemin des Dames depuis l’aire des Bains jaunes à Saint-Claude que l’on peut, entre fumerolles et crevasses, accéder au sommet de la Soufrière pour jouir d’une vue spec-taculaire sur l’ensemble du paysage environnant où, issues du volcan, des eaux chaudes chargées de soufre alimentent sources et bains : Source de Thomas à Bouillante, Bains chauds de Matouba, Bains jaunes à Saint-Claude, Bains sulfureux de Sofaïaà Sainte-Rose ainsi que la source chaude de Dolé à Gourbeyre. Dans la partie nord du parc, c’est la bucolique Route de la Traversée qui offre de belles oc-casions de communion avec la nature entre le parc des Mamelles et sa faune sauvage, le Saut de la Lézarde

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et la Cascade aux écrevisses, dont l’aménagement remarquable, autorise l’accès à tous types de visiteurs.Mais, la Basse-Terre possède un charme tout particulier que l’on apprécie en visitant les cités et lieux historiques disséminés le long de ses côtes. Ainsi, tandis que des gravures rupestres ont été découvertes dans les rivières de Capesterre-Belle-Eau, le Parc archéo-logique des roches gravées de Trois-Rivières regroupe de nombreux mono-lithes dont les pétroglyphes remontent à l’époque amérindienne et où les Indiens pratiquaient probablement des rites

religieux. Non loin de là, après Vieux-Fort dont l’église arbore le plus vieux clocher de la Guadeloupe, voici qu’apparaissent les imposantes structures du Fort Delgrès à l’entrée de Basse-Terre, la capitale administrative, par ailleurs classée ville d’Art et d’histoire. L’ouvrage qui date du XVIIe siècle est remarquablement conservé, car peu utilisé au plan mili-taire, il offre depuis ses remparts, un superbe panorama depuis la Soufrière jusqu’à l’archipel des Saintes. Au plan architectural, les bâtiments publics comme la cathédrale ou l’horloge du marché ne manquent pas d’intérêt.

En terrasse ou dans la salle climatisée, Harold’s vous accueille à sa table tous les midis de la semaine et les vendredi et samedi soirs...

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Après Baillif, il en sera de même pour une habitation du XVIIIe siècle située dans un très beau site à Vieux-Habitants. En effet, nous voici au Domaine de la Grivelière, magnifique témoin de l’histoire de la culture du café, du cacao et des épices aux Antilles. Au-jourd’hui, restauré et classé monument historique, c’est l’opportunité de faire une visite instructive et divertissante. Se divertir, l’occasion se présente à quelques kilomètres de là, direction Bouillante où les Ilets Pigeon nous invitent à la découverte des 400 ha de la Réserve Cousteau. Le célèbre plongeur a en effet tourné des scènes du long métrage « Le Monde du silence » dans cet espace remarquable par sa faune et la variété de ses coraux. Peu profond, le site qui représente un véritable trésor est accessible aux plongeurs de tous

niveaux et venant de tous horizons ! L’horizon, après l’avoir scruté depuis la superbe plage de Grande-Anse à Deshaies, la visite s’impose au Jardinbotanique, l’ancienne propriété de Coluche où flamants roses, perroquets, ainsi que fleurs et plantes tropicales variées offrent un spectacle d’une rare beauté. Puis, après un rappel historique à l’écomusée près de Sainte-Rose, nous voici devant la réserve naturelle du Grand-Cul-de-Sac Marin. Située entre la Basse-Terre et la Grande-Terre, au coeur d’une baie magnifique et fermée par le plus long récif corallien des petites Antilles, ce Parc national classé réserve de biosphère par l’uNESCO en 1994 couvre plus de 3700 ha. Alternant mangroves, forêts maréca-geuses, vasières, ilets et bancs de sable ainsi qu’herbiers sous-marins, il justifie

l’ambitieux projet de réintroduction du lamantin des Antilles dans ce site. Ce pacifique mammifère qui a disparu des eaux de Guadeloupe depuis le siècle précédent fait partie des légendes des contes créoles, notamment au travers la Manman Dlo !

Grande-Terre la spectaculaireTraversons la Rivière Salée afin de rejoindre la Grande-Terre et ses grands espaces dédiés à l’agriculture, ses plages et ses lieux d’animations en commençant par Pointe-à-Pitre, la capitale économique de l’archipel Guadeloupéen.

Articulée autour du port et de la Place de la Victoire,la ville concentre la majeure partie de l’activité économique et commerciale,

notamment au travers de l’animation qui règne autour des quais et du marché de la darse ou sous les arches de celui plus touristique de St Antoine non loin du musée Schoelcher. Cependant, il faut arpenter la Place de la Victoire avec ses magnifiques palmiers pour apprécier l’architecture d’édifices anciens tels le presbytère puis le cinéma « La Renais-sance » qui a vu le jour en 1930 et tout près de là, place Gourbeyre, la Basi-lique St-Pierre et St-Paul qui mérite le détour, car sa belle façade néoclassique abrite une remarquable architecture métallique. Avant de quitter la ville, une brève visite s’impose au musée consa-cré au poète Alexis Léger, autrement dit Saint-John Perse, enfant du pays et prix Nobel de littérature en 1960 dont la mé-moire est perpétuée dans une superbe maison coloniale du XIXe siècle.

Mais, direction le nord de la Grande-Terre en faisant étape à la plage de Babin à Vieux-Bourg où lesbains de boue argileuse et soufrée ont la réputation de soulager les rhumatismes et de donner une peau de velours. Puis, après un passage à Morne-à-l’Eau et son célèbre cimetière aux tombes en damiers noir et blanc, un parcours de découverte de l’intimité de la mangrove par le Canal des Rotours, il sera l’heure de prendre un bain de soleil sur la très belle plage du Souffleur à Port-Louis, le pays de la canne, où à Beauport, un chemin de fer touristique entraîne le visiteur au coeur de l’histoire du sucre à la Guadeloupe dans un parc ayant

pour thème la canne à sucre. La suite, c’est une séance de surf à la plage de la Chapelle à Anse Bertrand, la pa-trie de Lilian Thuram, tandis que l’on approche de la Pointe de la Grande Vigie véritable balcon d’où l’on peut admirer le spectacle de la houle au pied de falaises vertigineuses et distinguer au large les îles voisines de Montserrat et d’Antigua visibles aussi quelques kilomètres plus loin, à la Porte d’Enfer, où il faut faire une halte. Ici, dans ce cadre d’une étrange beauté, il faut profi-ter du magnifique panorama et prendre un bain dans l’anse sauvage avant de suivre le sentier menant au légendaire « trou à Man Coco ».

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Mais, direction le nord de la Grande-Terre en faisant étape à la plage de Babin à Vieux-Bourg où lesbains de boue argileuse et soufrée ont la réputation de soulager les rhumatismes et de donner une peau de velours. Puis, après un passage à Morne-à-l’Eau et son célèbre cimetière aux tombes en damiers noir et blanc, un parcours de découverte de l’intimité de la mangrove par le Canal des Rotours, il sera l’heure de prendre un bain de soleil sur la très belle plage du Souffleur à Port-Louis, le pays de la canne, où à Beauport, un chemin de fer touristique entraîne le visiteur au coeur de l’histoire du sucre à la Guadeloupe dans un parc ayant

pour thème la canne à sucre. La suite, c’est une séance de surf à la plage de la Chapelle à Anse Bertrand, la pa-trie de Lilian Thuram, tandis que l’on approche de la Pointe de la Grande Vigie véritable balcon d’où l’on peut admirer le spectacle de la houle au pied de falaises vertigineuses et distinguer au large les îles voisines de Montserrat et d’Antigua visibles aussi quelques kilomètres plus loin, à la Porte d’Enfer, où il est nécessaire de faire une halte. Ici, dans ce cadre d’une étrange beauté, il faut profiter du magnifique panorama et prendre un bain dans l’anse sauvage avant de suivre le sentier menant au légendaire « trou à Man Coco ».

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Rejoignons maintenant Le Moule, cité balnéaire dotée de très belles plages où se déroulent de nombreuses activités nautiques comme le surf ou le canoë et dont la production agricole est importante, notamment le melon, le sucre et le rhum. Par ailleurs, outre un beau parcours de promenade sur le bord de mer, il faut y observer le style néoclassique de l’église classée monument historique et faire une incursion instructive au musée archéologique Edgar Clerc avant de faire un arrêt photo devant la superbe architecture métallique de la maison coloniale Zevallos sur la route menant à Saint-François et son magnifique lagon.

Mais, pour l’heure, voici la Pointe des châteaux, l’un des sites les plus visités de la Guadeloupe et reconnu comme un espace unique de bio-diversité, mais aussi de richesses archéologiques. Le site est aujourd’hui labellisé « Grand Site de France ». En effet, du Morne Pavillon, cette fine langue de terre située à l’extrémité Est de la Grande-Terre, évoque -en minuscule- la Pointe du Raz en Bretagne. Elle est dominée par la Pointe des Colibris et sa croix géante du pied de laquelle on découvre un extraordinaire panorama incluant la côte, les nuances de l’océan, Marie-Galante, la Désirade ou Petite Terre, îles que l’on peut rejoindre en bateau depuis Saint-François, une très jolie commune touristique offrant de grandes possibilités de loisirs nautiques et dotée d’une marina, d’un golf international de 18 trous récemment rénové en bord de mer et d’un casino. Cependant, c’est une dizaine de kilomètres plus loin, à Sainte-Anne que l’on peut jouir des trois plages classées parmi les plus belles de l’Île.

Nous achèverons notre balade au Gosier, une autre étape incontournable lors d’un séjour en Guadeloupe, car située à moins de 10 km de Pointe-à-Pitre, c’est la principale station balnéaire guadeloupéenne. Particulièrement animée, elle possède des atouts qui rassemblent touristes et autochtones autour d’activités et divertissements tant diurnes que nocturnes. Ainsi, ils y apprécient la vue imprenable sur le Petit Cul-de-sac marin et la Pointe de la Verdure depuis le Fort Fleur d’épée (1695), la forteresse qui devait assurer la protection du port de Pointe-à-Pitre. Le Gosier qui accueille par ailleurs l’aquarium de la Guadeloupe, le musée le plus visité de l’archipel est aussi le siège de la marina de Bas-du-Fort. Toutefois, après avoir fait la fête dans les établissements de la Pointe de la Verdure, à quelques brasses en face, l’incontournable ilet du Gosier est le lieu tout indiqué pour la récupération. En effet, outre la possibilité d’y pique-niquer, ce petit havre de tranquillité est doté d’un agréable sentier de découverte sous-marine permettant d’admirer la faune et la flore sous-marine locale. Pour terminer ce premier séjour, n’oublions pas que la Guadeloupe qui accueille la mythique Route du Rhum* a créé Agoa, un sanctuaire pour les mammifères marins qui peuvent être observés lors d’excursions organisées toute l’année, tandis que les amateurs de pêche au gros et de sorties en mer trouveront ici tous les moyens pour satisfaire leur passion. Par ailleurs, tandis que le carnaval et la Karujet suscitent une grande ferveur en début d’année, pendant les grandes vacances, des évènements phares comme le Festival de Gwo Ka de Sainte-Anne, le tour de Guadeloupe en voile traditionnelle, le tour cycliste, Ilet en fête à Gosier ou la fameuse Fête des Cuisinières à Pointe-à-Pitre garantissent une animation qui attire un public toujours nombreux autour de ces manifestations colorées et marquées du sceau de l’enthousiasme et de la bonne humeur.

* Prochaine édition en 2014


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le Pass’nature permet de découvrir trois sites exceptionnels à petit prix :

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INFOS PRATIQUES

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C’est en longeant la mer des Caraïbes, peu après la sortie de deshaies en direction de Pointe noire qu’une des merveilles de la Guadeloupe s’étend sur les 5 hectares de l’ancienne propriété de l’humoriste Michel Coluche : le Jardin botanique de deshaies, le site le plus visité de Guadeloupe !

Ouvert depuis le 1er avril 2001, c’est un parc floral et animalier de loisir d’une très grande beauté qui présente sous différents thèmes plus de 1000 espèces de fleurs et plantes tropicales sur un parcours long de 1500 mètres et par ailleurs accessible aux handicapés en fauteuils roulants prêtés sur place. De plus, des bancs permettent au promeneur de profiter de la fraîcheur générée par le système aérien de brumisation tandis que l’écoulement de l’eau dans le torrent voisin lui apporte une note certaine de sérénité.

Parmi les thèmes, dès l’entrée du parc on peut admirer l’étang artificiel de plus de 50 m de long et sa magnifique collection de nénuphars, de papyrus et autres plantes aquatiques entre lesquels évoluent des carpes koï. Dans la volière, les visiteurs sont accueillis par une trentaine de Loriquets (petits perroquets d’Australie aux couleurs vives) qui le temps d’une photo, n’hésitent pas à venir se poser sur leur tête. Mais, c’est au village des perroquets que l’on peut admirer le plumage flamboyant des aras symboles de la forêt tropicale. Puis, après un passage mi-ombre, mi-soleil où des orchidées en fleurs grimpent et s’entremêlent sur les arbres en un spectacle tout en grâce et en teintes délicates, voici que par leur remarquable palette de couleurs, hibiscus et bougainvilliers éblouissent une allée. Il y a aussi l’arboretum, espace vaste et aéré qui domine la mer des Caraïbes et dont le paysage se compose d’une multitude d’arbres parmi lesquels on peut distinguer : palmiers royaux, bombax, baobabs, jacarandas, arbres à pain, calliandras et araucarias. Cependant, aux abords du restaurant panoramique, à l’un des endroits préférés de Coluche, il faut observer particulièrement le Banian, un arbre impressionnant par sa forme et les centaines de racines aériennes formant son tronc. La cascade de 10 mètres de haut surplombée par le restaurant enchantera aussi ceux qui traverseront son bassin par un petit pont de bois, tandis qu’à quelques mètres, 10 flamants rouges de la Caraïbe rappellent que l’espèce existait dans la région de St-François avant les années 40.

Plusieurs espèces de bambous, une quarantaine de palmiers dont un étonnant royal double ainsi qu’un Talipot, spécimen originaire du Sri Lanka et unique en Guadeloupe, agrémentent le paysage où les concepteurs n’ont négligé ni les splendeurs des fougères arborescentes dans leur climat humide, ni les cactées qui arborent leurs épines dans un décor aride. À l’inverse, c’est un mur d’eau végétalisé de 25 m qui permet aux plantes aquatiques de s’épanouir.

À noter que le Ministère de la Culture et de la Communication a distingué cette oeuvre en 2006 par l’attribution du label « Jardin remarquable ».

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Notre challenge a consisté à l’adapter à notre terroir Antillais sous diverses appellations comme pizza Ti-nain morue, Giraumon-lardons, Hareng saur et bien d’autres… Dès le départ nous-nous sommes attachés à élaborer des pizzas de qualité artisanale et nos efforts ont été récompensés par le Trophée d’or national dans la catégorie croissance économique. En 2003, c’est Kabana Pizza, une nouvelle enseigne qui voyait le jour au Lamentin. Aujourd’hui, elles sont cinq à composer ce qu’il est convenu d’appeler LES ARTISANS DE LA PIZZA : Casa Pizza et Hacienda Pizza à Schoelcher, Mama Pizza à Terreville, Kay’A Pizza à Redoute et Kabana Pizza au lamentin. Au sein de chaque

établissement, les méthodes traditionnelles côtoient le matériel le plus moderne et notre pâte est pétrie tous les jours suivant la tradition. Vous pourrez choisir entre deux pâtes : fine ou gourmande. Le soin toutparticulier qui a été apporté à la sélection de nos ingrédients nous permet de proposer 48 pizzas re- groupées par thèmes. Ainsi, on les trouve : Classiquestelles la Régina et la Royale… Tex Mex avec la Texane, la Yucatan, la Rio Bravo, la Chiquita… Spéciales comme la chèvre miel ou la Savoyarde… Saveurs du monde, comme la Madras, la Jambalaya, la Kébab… Océanes et bien sûr Kréoles comme la Ti bwa ou la Mikelon… Enfin Pizzas Apéro Géantes.

Première entreprise Martiniquaise à obtenir à saint Malo le Trophée d’or les ailes de la Très Petite Entreprise, Casa Pizza a basé sa notoriété sur son savoir faire et la qualité de ses pizzas. notre aventure commence en 1999 avec la création de Casa Pizza à schoelcher. en quelques années, cette unité de production pilote est devenue une adresse très recherchée par les amateurs de cette spécialité italienne née à naples et devenue aujourd’hui un produit dégusté dans le monde entier.

LES PIZZAS À L’âME CRÉOLE DESArtiSANSDELAPizzA


Le savoir faire de nos équipes et le tour de main du pizzaiolo apporteront une touche personnelle à l’élaboration de votre pizza préférée. Il faut aussi souligner la qualité et la rapidité du service dans nos pizzérias qui vous accueilleront chaleureusement 7 jours/7 et vous proposeront des offres intéres-santes : - Le midi 1 pizza achetée, la seconde est

offerte. - Le soir 2 pizzas achetées, la troisième

est offerte. De quoi partager un moment gourmand, en couple, en famille ou entre amis.

J. Mussard

* Casa Pizza, Hacienda Pizza, Kay’A Pizza et Kabana Pizza sont ouverts tous les jours de 11h00 à 14h00 et de 17h00 à 22h30. Jusqu’à 23h00 le vendredi et samedi.Fermé le dimanche midi ouvert le dimanche soir de 17h00 à 22h30. Mama Pizza est fermé le dimanche toute la journée et ouvre du Lundi au samedi soir de 17h00 à 22h30.

Casa Pizza* Tél: 0596 61 01 014 Av L.M Gottschalk Plateau fofo

Schoelcher - F d FA emporter ou livré à domicile

Hacienda Pizza* Tél: 0596 61 02 021 Rue des Alizés Batelière

Schoelcher - F d F - Nord CaraibeA emporter

Mama Pizza* Tél: 0596 61 10 10Route de Terreville

F d F - Schoelcher TerrevilleA emporter ou livré à domicile

Kay’A Pizza* Tél: 0596 78 01 012,5 km Rte de redoute

Entrée de la GendarmerieF d F - Redoute Ravine vilaine

A emporter

Kabana Pizza* Tél: 0596 51 55 551 Av G. Gratiant

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Seule ville des États-unis construite au-dessous du niveau de la mer, La Nouvelle-Orléans s’étale autour d’un large S formé par le fleuve Mississippi peu avant son delta dans le golfe du Mexique.Ville à nulle autre pareille, elle est parée de nombreux superlatifs : la plus exotique, la plus romantique, la plus festive, elle n’est cependant pas à confondre avec la capitale de la Louisiane qui est Bâton Rouge. Par ailleurs, l’empreinte de la culture française y est fortement marquée tant dans les noms de lieux et de rues que dans le langage parlé qui, bien que difficilement compréhensible, permet à un « gaulois » de reconnaître ses sources.

Jazz, carnaval, cuisineLa Nouvelle-Orléans c’est du jazz dans les rues, les bars, les espaces comme Congo square ou Louis Armstrong Parc, les clubs tels Palm court et

Snug Harbor, ou à l’occasion de nombreux festivals qui s’y déroulent régulièrement. Aussi, le soir venu, après ceux de la célèbre Bourbon Street, les amateurs plongeront avec plaisir dans l’atmosphère authentique de Préservation Hall, le mythique club de jazz de la Ville.La Nouvelle-Orléans, c’est aussi le plus célèbre carnaval d’Amérique du Nord qui débute dès l’épiphanie et rassemble chaque année des milliers de visiteurs autour de gigantesques chars bariolés et groupes costumés paradant dans les rues des vieux quartiers où le jeu consiste à attraper des colliers de perles ou des friandises lancés depuis les balcons. Entre défilés et bals masqués, c’est une véritable frénésie qui s’empare de la ville pendant cette période, et comme partout ailleurs, la fête atteint son apogée le Mardi gras, jour où les festivités qui débutent à 8h s’achèveront à minuit, le début du carême.

après la découverte de la louisiane et ses magnifiques plantations, nous nous devions de faire une halte prolongée dans sa cité la plus cé-lèbre, tant pour son carnaval que comme le lieu qui a vu éclore le jazz et ses immenses virtuoses Sidney Bechet et Louis Armstrong. Prenons du bon temps à la nouvelle-orléans.

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Enfin, La Nouvelle-Orléans est réputée avoir une des meilleures cuisines du pays. Qu’elle soit Cajun colorée et pimentée, créole goûteuse et épicée, elle est typiquement Louisianaise et la ville possède plus de mille restaurants prêts à satisfaire les papilles de ses visiteurs !Auparavant offrons-nous une visite dans les principaux quartiers que l’on nomme districts, chacun proposant ses sites ou ses centres d’intérêt spécifiques.

Le Vieux Carré Appelé aussi Quartier Français, c’est le centre historique et le plus ancien quartier de la Nouvelle Orléans. Au bord du fleuve, son architecture de style espagnol est faite de jardins intérieurs, de cours et patios autour d’élégantes demeures dont les balcons fleuris en fer forgé arborent de véri-tables dentelles métalliques, évocation d’un passé chargé de romantisme. Il s’en dégage une impression magique alliant décontraction sereine et am-biance de fête. une pause s’impose à Jackson Square, place centrale où se situent : St Louis cathedral qui est à ce jour la plus vieille cathédrale en service dans le pays, Le Presbytère qui abrite un fabuleux musée consacré

principalement au carnaval, Le Cabildo, édifice qui après avoir été le lieu de cession de la Louisiane aux États-unis, conserve maintenant les témoignages de l’histoire de la ville. Jackson Square est un espace particulièrement animé où l’on trouve des attractions de toutes sortes tout au long de l’année. Mais en matière d’animations, il faut s’aventurer dans Bourbon street et Royal street pour baigner dans l’atmosphère du quartier. La première, ainsi nommée en hommage à Louis XIV est un secteur résidentiel qui le soir venu s’anime avec frénésie, car haut lieu de distractions, il abrite nombre de bars, restaurants et clubs de jazz. La seconde est une des plus photographiées du Vieux Carré, car elle possède de magnifiques balcons qui surplombent boutiques de luxe, galeries d’art et magasins d’anti-quités. Le Quartier français offre aussi à la visite des musées qui ne manquent pas d’intérêt. Ainsi, le New Orleans Voodoo qui retrace l’histoire du vaudou, l’Historic New Orleans Collection dont le pavillon qui fut lieu de pensionnat de Tennessee Williams est aujourd’hui le gardien de la culture de la ville, enfin il faut observer les objets vaudous et autres spécimens de sangsues du Pharmacy Museum.

Marigny - Bywater - Lower 9th wardJouxtant le Quartier français, voici le lieu de rencontre et d’échanges où la jeunesse branchée de La Nouvelle-Orléans se retrouve pour faire la fête, notamment le long de la très animée Frenchmen Street qui leur offre un large choix de cafés, de restaurants typiques et clubs de jazz renommés où l’on peut manger et applaudir des stars de la discipline. Néanmoins, après avoir parcouru Esplanade Avenue et ses demeures cossues, il faut s’offrir une balade sous les superbes chênes du Washington square pour arriver à la

Chapelle St Roch et son étonnante collection d’objets déposés en guise de remerciements. Dans ce quartier, la zone de Lower qui a été dévastée par l’ouragan Katrina mérite le détour. En effet, on y trouve la maison de Fats Do-mino, l’auteur du célèbre Blueberry hill. Le célèbre musicien âgé alors de 77 ans a du être évacué par bateau lors des inondations. À l’inverse, les Dollut Steamboat Houses (deux maisons) bâties au début du XXe siècle avec leur toit de style japonais ainsi que leur hublots et cheminées ont été épargnées, car elles ont été construites en hauteur avec un dallage carrelé.


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Central Business district/Warehouse districtNous sommes ici à la limite entre la ville créole ancienne et la partie américaine qui a vu le jour après la cession de la Louisiane aux uSA et dont Lafayette square est le coeur où se déroulent de nombreux concerts ainsi que le grand festival de blues de l’automne. À l’origine, Le Central business district abritait un nombre important de commerces, banques et autres grandes compagnies d’assurances. Leurs locaux sont devenus des hôtels ou des lieux de restauration recherchés, alors que les anciens entre- pôts de Warehouse ont été transformés en lofts, ateliers et galeries d’art très courus. C’est d’ailleurs dans ce quartier

que l’on trouve les principaux musées de La Nouvelle-Orléans, dont Civil War, le plus ancien musée de Louisiane (1891), le National WW II consacré à la Seconde Guerre mondiale, Ogden Museum of Southern art qui abrite des oeuvres du XVIIIe à aujourd’hui ou encore Contemporary Arts Center réservé aux artistes locaux et dont les soirées sont très branchées. Les amateurs ne rateront pas l’imposante structure du superdome de Louisiane, qui outre les All Saints, l’équipe de foot-ball locale vainqueur du Superbowl 2010, a accueilli plus de 85 000 specta-teurs au concert les Rolling Stones en 1981 et plus tristement des milliers de réfugiés après le passage de l’ouragan.

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Garden District/Irish Channel/Central CityNon loin du Quartier français, en em-pruntant le fameux Tramway nommé désir (1947) de Tennessee Williams, on arrive dans le quartier de Garden district, qui comme son nom l’indique est riche de parcs et jardins entourant de somptueuses demeures de style « Greek Revival » bâties en 1820 par les «Américains» et aujourd’hui habités par de nombreuses les célébrités. Pour mieux apprécier l’architecture de ces constructions, il faut se promener sur St Charles Avenue, toujours au moyendu tramway vert qui traverse l’ensemble du secteur résidentiel de Garden district. Naguère réservé aux Allemands et aux Irlandais qui exerçaient le métier de docker, Irish Channel le quartier voisin est devenu un endroit populaire très fréquenté, notamment Magazine

street, qui alterne sur des kilomètres, boutiques de mode, friperies, antiquaires, bijouteries fantaisie et bars en ter-rasses pour se rafraîchir en cours de route. Enfin, délaissé auparavant, de nombreuses initiatives sont à l’origine de la renaissance de Central City la zone des Afro-Américains, notamment Big top gallery, un espace dédié au cinéma, à la musique et au théâtre, et 3 ring circus qui concentre des ateliers pour adultes et enfants. Parmi les curiosités du quartier, il faut observer la grille en fonte particulièrement ou-vragée du Colonel Short’s Villa, visiter Payne-Strachan House où mourut Jefferson Davis le Président des Confé-dérés, enfin Zeitgeist, le plus grand centre d’art alternatif de la région.

* habitants arrivés après la cession de la Louisiane aux uSA.

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Uptown/Mid-CityÉtiré sur les berges du Mississippi à bonne distance des zones touristiques, voici un autre quartier de la ville qui affiche une image plutôt proche de la nature. En effet, bien que traversé par la survoltée Magazine street, Uptown est apprécié pour des lieux de détente tels Levee Park, une très agréable promenade au bord du fleuve, doublée d’une piste cyclable au bout de laquelle se situe le bel ensemble d’Audubon qui concentre le zoo, le golf et le parc. Depuis Levee Park, le fameux tramway de St Charles Avenue offre une autre alternative pour les non marcheurs ; par contre, ils seront privés de la vue sur le fleuve !En matière d’espaces verts, Mid-City n’est pas en reste, même si ceux-ci évoquent romantisme et nostalgie. Ainsi, sur les bords du bayou Saint John, on peut visiter le magnifique jardin qui entoure Pitot House, jolie maison créole de plantation où vécut le premier maire « américain » de La Nouvelle-Orléans, City Park qui accueille sur plus de 500 ha des chênes plusieurs fois centenaires, un jardin botanique ainsi que le musée d’art de La Nouvelle-Orléans. À proxi-mité, Longue Vue House and Gardens permet de se promener dans de superbes jardins entourant une imposante bâtisse des années 30, propriété de la famille Stern qui y recevait d’illustres personnalités comme les Kennedy ou Pablo Casals. À voir aussi le Backstreet Cultural Museum pour découvrir, du carnaval aux funérailles en musique, le coeur des traditions culturelles afro-américaines en Louisiane.Au niveau du fleuve, il faut noter que le Canal Street Ferry relie en 30’ (gratui-tement pour les piétons) l’aquarium d’Audubon à Algiers, une partie agréable du Vieux Carré située sur la rive opposée ; enfin, depuis La Nouvelle-Orléans, d’authentiques bateaux à aube permettent de visiter de nombreuses plantations.

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INFOS PRATIQUES

- l’entrée de certains bars peut être payante

- Pourboire dans les bars, restau-rants et taxis

- aucune ligne de bus ne parcourt le Vieux Carré

- 3 lignes de tramway (street car)- Carte magnétique rechargeable

Jazzy pass bus et tram valable 1,3,5 ou 30j de 5 à 55$

- la ville est plane et le vélo est un bon moyen pour circuler

- Pour les séjours en périodes de fêtes, réserver très à l’avance.

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C’est dès 1984 que nait le premier bâtiment emblé-matique, Le Pavillon du Futuroscope rapidement suivi du second, le Kinémax, l’édifice phare de ce qui deviendra le Parc Européen de l’Image. C’est entre ces deux pavillons, que se situe le véritable coeur battant de l’ensemble, un lac bordé d’un théâtre de 5000 places, oeuvre de l’architecte Denis Laming où sera créé en 1997 le spectacle nocturne du Lac auxImages à l’occasion des 10 ans du parc du Futuroscope.

Le premier Palais des Congrès voit le jour au centre du Parc, suivent le Cinéma en relief et le cinéma circulaire dit ‘360°’ qui font leur apparition avant les années 90, consacrant ainsi la montée en puissance du Futuroscope dont la renommée grandit avec notamment l’adjonction de L’Omnimax, et la Gyrotour dont la fine silhouette qui se dresse à 45 mètres de hauteur, permet de découvrir toute

l’étendue du parc où les tubes hauts et sombres du Tapis Magique abritent une salle unique au monde, puisque composée de deux immenses écrans plats dont l’un se situe sous les pieds des spectateurs. Visible encore, le Solido, un pavillon qui offre en grand format des images hémisphériques et en relief.

Depuis son ouverture il y a 25 ans, plus de 40 millions de personnes ont visité le Futuroscope et cette attractivité ne cesse de croître, car sa stra-tégie de développement est audacieuse et s’appuie sur la diversité de ses nombreuses attractions qui sont accessibles à tous les publics. 50 % de celles-ci sont renouvelées tous les deux ans. Pour ce faire, le Parc collabore avec de grandes signatures afin de produire et développer des spectacles et des divertissements sur mesure, mêlant audacieusement innovation technologique et création artistique.

Concept né en juin 1987 de l’imagination visionnaire de René Monory, 2e parc de loisirs en France, le Futuroscope est la traduction d’un remarquable projet d’aménagement du territoire, car près de Poitiers, sur un site résolument tourné vers le futur coexistent une aire de loisirs, une zone d’activité économique et un espace de formation.

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Réouverture du restaurant au Diamant avec Gérard Rivière en cuisine pour retrouver les saveurs et le succès de ce lieu envoutant.

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Ainsi, profitant du lancement du procédé IMAX 3D, c’est Jean-Jacques Annaud qui réalise en exclusivité pour le Futuroscope Les Ailes du Courage, l’histoire vraie de l’épopée de l’aéros-patiale, Jacques Perrin qui crée en 2004 l’odyssée poétique et écologique Voyageurs du Ciel et de la Mer, Kamel Ouali qui chorégraphie Danse avec les Robots ou encore, l’acteur Lorànt Deutsch qui commente les images spectaculaires de Chocs Cosmiques,Luc Besson qui réalise Arthur, L’Aventure4D en 2011, et Arthur Jugnot qui signe la mise en scène du spectacle de Bertran Lotth iMagic.

Attraction alors unique en Europe, l’IMAX 3D dynamique voit le jour en avril 2000 et deux ans plus tard, c’est à Yves Pépin son directeur artistique que Le Futuroscope confie la création d’un nouveau spectacle noc-turne intitulé Le Miroir d’Uranie alors que, Destination Cosmos, un nouveau pavillon sur le thème de la conquête spatiale propose un voyage poétique aux confins de l’univers, commenté par Pierre Arditi. L’ouverture en 2003 de

La Cité du numérique, véritable temple de ce qui se fait de plus innovant dans le monde des jeux vidéos fera le bon-heur des amateurs, car en partenariat avec Microsoft, le Futuroscope propose ici des jeux en réseaux, des jeux gran-deur nature en équipe ainsi que des expériences de réalité augmentée.

Mais, élue meilleure attraction du monde*, c’est « Arthur, l’aventure 4D » inspirée de la trilogie Arthur et les Minimoys et imaginée par Luc Besson qui, bien que lancée en 2010 demeure encore aujourd’hui l’attraction préférée des visiteurs, petits et grands. En effet, elle combine les meilleures technologies cinématographiques au profit d’une immersion totale dans l’univers féerique des minimoys, où grâce à un simulateur de mouvements et aux images pro-jetées en relief sur un dôme IMAX® de 900 m², les visiteurs sont emportés à toute allure par leur coccivolante aux côtés d’Arthur dans une ébouriffante course contre la montre en compagnie de Sélénia et de Bétamèche. Cette attraction est accessible aux enfants à partir de 1,05 m.


Aujourd’hui, Le Futuroscope souffle ses 25 bougies avec deux nouvelles attractions : Le petit prince, un voyage merveilleux dans l’imaginaire et iMagic, un programme d’animations renforcé avec la création du Peuple du Futur où des créatures venues de 2112 et dotées de capa-cités extraordinaires se donnent en spectacle dans les allées du Parc pour vous faire rire et imaginer un peu ce que sera demain… Mais, le positionnement du Parc, entre plaisir et découverte s’incarne dans un nouveau pavillon et une attraction unique en son genre : Danse avec les Robots, une étonnante mise en scène de 10 robots de sept mètres de haut dans une chorégraphie originale signée

Kamel Ouali. Véritable bijou techno-logique, chaque robot danseur articulé accueille à son bord deux passagers. Intégrés alors dans un ballet innovant, grandiose et insolite, rythmé par dif- férentes séquences musicales, ils seront emportés dans un tourbillon de mouve-ments et de sensations, pendant qu’au plafond, un écran tubulaire gonflable de 33 mètres de long et 3 mètres de diamètre diffuse à la verticale cinq clips mettant en scène le chorégraphe et sa troupe de danseurs. L’expérience est saisissante pour les visiteurs, qu’ils soient acteurs dans les sièges articulés ou spectateurs surplombant l’attrac-tion depuis la mezzanine par ailleurs accessible aux personnes en fauteuils roulants. Sensations fortes garanties !


LE TOWERBriDGE

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Une autre attraction attire aussi nombre de visiteurs, ici, sous forme de jeu collectif grandeur nature parrainé par la Fondation Maud Fontenoy, le spectateur participe àla protection des océans. En effet, en sus des continents connus, notre monde moderne a produit un nouveau territoire artificiel… « Le 8e continent » connu aussi sous le nom de « Grande

Plaque de déchets du Pacifique » puisqu’ila été découvert en 1997 par le capitaine Charles Moore dont l’embarcation s’est retrouvée piégée dans une soupe de plastique au beau milieu du Pacifique. Là, face à un écran panoramique, les visiteurs s’installent sur des sièges individuels aux allures de scooters brise-glace, drôles de montures dynamiques qui bougent au

rythme des péripéties de l’aventure. Et quelle aventure ! Il s’agit d’assister deux scientifiques dans leur mission périlleuse qui consiste à éliminer les déchets marins pour les changer en air pur ! Pour réussir, chaque visiteur est armé d’un trashbuster, un pistolet laser lumineux contenant un fluide antidé-chets. Le Parc accueille bien d’autres nouveautés intéressantes comme Bluessur la Louisiane qui retrace la fragilité des écosystèmes du bayou de Louisiane à l’Omnimax, et au Kinémax, Moi, Van Gogh, un témoignage inédit et intime sur l’oeuvre du peintre.

Enfin, célébrer ses 25 ans pour le Futuroscope, c’est avant tout partager la fête avec ses visiteurs. C’est pourquoi, préalablement à son spectacle nocturne, le parc a concocté une nouvelle animation « Spéciale anniversaire » privilégiant la convivialité. Ici, sur les gradins bordant le lac, les spectateurs du soir sont invités à répondre aux questions d’un animateur,

interagir avec les images d’un grand écran de plein air et à gagner des cadeaux. Suit, chaque soir, à la tombée de la nuit, un spectacle grandiose qui clôture la journée en apothéose. En effet, la scène aquatique devient alors le théâtre d’un gigantesque spectacle multimédia combinant effets spéciaux et création musicale originale où Lasers, images géantes sur écrans d’eau, jets de feux et de lumières composent une histoire féerique : Le Mystère de la Note bleue. ‘est un moment magique à vivre, donc à voir absolument !

Concept de loisir différent et original, le Futuroscope est une desti-nation de séjour qui occupe désormais une place bien à part sur le marché des parcs de loisirs. Référence à travers le monde, il offre un rare plaisir à ses visiteurs petits et grands, car il est por-teur d’une double promesse : s’amuser grâce à l’émotion, les sensations, le jeu, tout en se cultivant. * Prix remis le 17 mars dernier à Los Angeles.

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INFOS PRATIQUES

FORMALITÉS : - 92% de visiteurs satisfaits et prêts à recommander le parc.

- accès facile par tGV en 1h25 depuis Paris-Montparnasse.

- Par la route : autoroute a10 – e5, sortie 28 Futuroscope. accès direct aux parkings et hôtels du site.

- séjours et Billets incluent le spectacle nocturne le soir même de la visite. tarifs adaptés en fonction de l’âge, du nombre de personnes et de la durée du séjour (voir site ci-dessous).

- Consultez www.futuroscope.com pour connaître l’horaire précis du spectacle. nocturne le jour de votre visite. la programmation de ce dernier peut-être modifiée, retardée ou supprimée en raison des conditions météorologiques ou pour des causes techniques.

Ingrédients pour 4 personnes :4 souris d’agneau,1 grosse carotte coupée en morceaux,1 oignon piqué de clous de girofle (4),1 feuille de bois d’inde, 1 cuiller à soupe de sucre,2 feuilles de laurier,3 branches de thym frais,4 feuilles de gros thym créole,2 bouillons de volaille en cube, sel, huile, 50 cl d’eau et 25 cl de vin blanc.

Procédé :Dans une marmite, saisir les souris d’agneau avec un peu d’huile et le sucre. Ajouter les carottes, les feuilles de thym, lauriers et bois d’inde. Mouiller au vin blanc, ajouter l’eau, les bouillons de volaille et l’oignon. Laisser cuire à feu doux pendant 1 h 30. Retirer les souris de la sauce que vous laisserez réduire. Napper les souris de miel et passer au four chaud pendant 10 min pour les glacer. Passer la sauce au tamis et servir chaud.

souris d’agneau aux deux thyms glacé au miel

LES CRÉOLITÉS GOuRMANDES Du CHEF JM DELIN

Ingrédients :125 g de beurre,125 g de sucre,3 oeufs,50 g de poudre de lait de coco,150 g de farine, levure chimique 5 g,1 paquet de Tagada, vanille, crème au beurre ou chantilly.

Procédé :Mélanger le beurre et le sucre. Blanchir en ajoutant les oeufs un à un. Rajouter le lait de coco, la vanille, la farine tamisée avec la levure. Dresser dans des petits moules munis de caissettes en papier, inclure un Tagada à coeur et cuire à 180° C pendant 20 min. Après refroidissement, décorer avec la crème et les Tagada. Réserver au frais.

Cup cake Coco tagada

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OFFREZ-VOuS LE PLEiNDEVitALitÉ!


Alors, pour retrouver le bien-être du corps et de l’esprit, abandonnez votre quotidien et joignez le plaisir du voyage à une cure antistress, notamment en effectuant un séjour reconstituant dans un centre de thalassothérapie ou de balnéothérapie, car si se baigner dans l’eau de mer est bon pour la santé, il est certain qu’une cure de thalassothérapie rechargera bien plus durablement l’organisme en éléments essentiels à son bon fonctionnement. Faut-il rappeler que par sa teneur élevée en sels minéraux et oligo-éléments, l’eau de mer demeure une extraor-dinaire source de bienfaits ? C’est pourquoi, outre la détente et l’apport profitable de celle-ci, lors d’une cure antistress, les séances de massage, d’oxygénation et d’algothérapie, ainsi que les bains bouillonnants, exer-cices en piscine, séances de gymnastique ou de réflexologie plantaire participent à l’ensemble de soins qui agiront de manière positive sur l’organisme en procurant une véritable sensation de sérénité et en assurant une relaxation durable. Par ailleurs, de plus en plus, les centres mettent en place des techniques annexes de soin que les curistes ne

pratiquent pas habituellement par manque de temps ou de motivation. C’est l’occasion de découvrir ou redécouvrir leurs bienfaits, qu’il s’agisse de shiatsu, sophrologie, yoga, taï-chi, sauna ou hammam. Aujourd’hui, de nombreuses formules sont proposées sous forme de package autour d’un thème incluant l’hébergement, les soins ainsi que la restauration ou les conseils de nutrition et d’hygiène de vie. Les cures de thalasso ou de balnéo ne doivent cependant pas être assimilées aux cures thermales remboursées par la sécurité sociale. Plus courtes, elles ne font pas l’objet de prescription médicale, mais s’adressent aux personnes fatiguées qui décident de s’offrir une parenthèse de détente afin de faire le plein d’énergie pour leur bien-être tant physique que psychique. Cependant, quel que soit son thème, un séjour en cure de thalasso permet aussi de profiter pleinement des plages ou autres sites touristiques du lieu de vacances, excellent moyen pour s’octroyer un supplément de tonus et de vitalité. Alors pour une fois, soyez égoïste, car après tout n’est-il pas normal et agréable de prendre soin de soi ?

après une année rythmée par les impératifs de nos activités professionnelles et familiales auxquels s’ajoutent parfois les aléas de la vie, voici venu le temps des vacances, le moment de se débar-rasser de l’accumulation de fatigue qui entraîne cette sensation d’oppression et de nervosité qui trouble le sommeil. en bref, il faut faire une pause afin de refaire le plein d’énergie et de vitalité.

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C’est sur le thème « Votre choix fait la différence » que s’est déroulée en mai dernier la Quinzaine du commerce équitable. À cette occasion et afin de mieux faire connaître cette pratique, de nombreuses manifestations, animations, concerts et projections de films suivis de débats et des ren-contres avec des producteurs ont eu lieu dans toute la France.

Le commerce équitable s’inscrit dans la réalisation des objectifs de la Stratégie nationale de développement durable notamment par l’article 60 de la loi du 2 août 2005 qui définit comme suit le commerce équitable. Au sein des activités du commerce, de l’artisanat et des services, le commerce équitable organise des échanges de biens et de services entre des pays développés et des producteurs désavantagés situés dans des pays en développement. Ce commerce vise à l’établissement de relations durables ayant pour effet d’assurer le progrès économique et social de ces producteurs.

Aussi, cette 12e édition a permis d’en rappeler les objectifs qui sont :- assurer une juste rémunération du travail des producteurs et artisans

les plus défavorisés, et de leurs familles pour leur permettre de satis-faire leurs besoins élémentaires ;

- garantir le respect des droits fondamentaux des personnes ;- instaurer des relations durables entre partenaires économiques ;- favoriser la préservation de l’environnement ;- proposer aux consommateurs des produits de qualité.

Les produits alimentaires représentent près de 75% des ventes de pro-duits issus du commerce équitable (café, cacao, banane, thé), l’artisanat assurant le solde à travers la mode, la décoration ou le textile et au total, plus de 70 pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine sont aujourd’hui engagés dans des circuits de commerce équitable qui bénéficient à plus de 1,5 million de producteurs, soit environ 8 millions de personnes en incluant leur famille.

Au plan national, un foyer français sur trois est consommateur de produits équitables qui génèrent 350 millions d’euros témoignage de la dynamique du secteur !

cOMMErcEÉqUitABLE?a l’occasion de nos voyages ou visites dans certains pays dits émergents, nous ramenons toujours un produit artisanal dans nos valises, qu’il soit alimentaire, vestimentaire ou autre souvenir. Contribution souvent modeste certes, mais, le geste participe au commerce équitable.

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Avec une vue exceptionnelle sur la Savane et sur la mer profitez des terrasses de l’Impératrice pour vos cocktails, mariages, banquets, remise de médailles, repas d’affaires, réunions, séminaires.

Possibilité de salle climatisée au 1er étage.Son restaurant de gastronomie créole, propose un buffet tous les jeudis midi.

Et le bar de l’Impé avec animation musicale vous accueille tous les vendredis soir

Direction: Ghislaine Glaudon, Médaille d’or du Tourisme 2012

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Rêve d'évasion Mag 14